COMPTE-RENDU D ACCRÉDITATION DE LA POLYCLINIQUE CÔTE BASQUE SUD. 7 rue Léonce Goyetche SAINT JEAN DE LUZ

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1 COMPTE-RENDU D ACCRÉDITATION DE LA POLYCLINIQUE CÔTE BASQUE SUD 7 rue Léonce Goyetche SAINT JEAN DE LUZ Novembre 2003

2 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION DE L ETABLISSEMENT DE SANTE... p.8 PARTIE 2 DEROULEMENT DE LA PROCEDURE D ACCREDITATION... p.10 PARTIE 3 CONCLUSIONS DU COLLEGE DE L ACCREDITATION I APPRECIATION DU COLLEGE DE L ACCREDITATION...p.11 Synthèse par référentiel...p.11 II. DECISIONS DU COLLEGE DE L ACCREDITATION...p.15 II.1 Recommandations formulées par le Collège de l accréditation...p.15 II.2 Modalités de suivi...p.15-2/15 -

3 COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION» Le «compte-rendu d accréditation» dont vous disposez résulte d une procédure d évaluation externe d un établis sement de santé (hôpital ou clinique), conduite par l Agence Nationale d Accréditation et d Évaluation en Santé (ANAES). Cette procédure vise à développer les actions relatives à la qualité et à la sécurité des soins au sein de chaque établissement. Ce compte-rendu présente les résultats de la procédure engagée par l établissement. Pour en faciliter la lecture quelques informations vous sont proposées ci-dessous. L ANAES L ANAES est un établissement public administratif de l État créé en Ses missions sont de : - faire le bilan des connaissances sur les techniques diagnostiques et thérapeutiques ; - contribuer à améliorer la qualité et la sécurité des soins notamment en mettant en œuvre la «procédure d accréditation» des établissements de santé. I. QU EST-CE QUE L ACCRÉDITATION DES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ? L accréditation est un moyen pour inciter l ensemble des professionnels des établissements de santé (soignants, médecins, personnels administratifs, agents d entretien ) à analyser leur organisation et à améliorer la qualité de la prise en charge des patients. La procédure d accréditation est obligatoire et intervient périodiquement. CE QUE N EST PAS L ACCRÉDITATION - Elle n établit pas un palmarès des hôpitaux ou cliniques. - Elle ne note pas les médecins, les soignants ou les services. - Elle ne décide pas de l attribution de moyens supplémentaires. - 3/15 -

4 II. QU APPORTE LA PROCÉDURE D ACCRÉDITATION? La procédure d accréditation favorise une meilleure organisation de l établissement au service de la personne soignée. Grâce à l auto-évaluation et à la visite des experts-visiteurs, elle permet aux professionnels de l établissement de santé de : réfléchir ensemble à leur organisation, en fonction des différents besoins des personnes soignées ; reconnaître les points forts et les points à améliorer ; définir des actions prioritaires ; faire évoluer leur façon de travailler. dans le but de : permettre à tous d accéder à des soins de qualité ; contribuer à mieux répondre aux différents besoins de chaque personne soignée ; améliorer la qualité et la sécurité des soins (cf. encadré) et des autres services (accueil, hôtellerie, information ). APPORT POUR LA QUALITÉ DES SOINS - L information de la personne soignée et de sa famille sur les conditions de séjour et sur son état de santé. - L amélioration de la sécurité des soins. - Une meilleure coordination des professionnels intervenant auprès de la personne soignée. - La réalisation de soins respectant les bonnes pratiques recommandées. III. COMMENT EST ÉTABLI LE COMPTE-RENDU D ACCRÉDITATION? La procédure d accréditation d un établissement de santé se déroule en plusieurs temps. Elle débute par une évaluation réalisée par les professionnels de cet établissement (appelée «auto-évaluation») à l aide d un manuel* d accréditation proposé par l ANAES. Ce manuel comporte 300 questions permettant l appréciation de la sécurité et de la qualité regroupées en 10 chapitres appelés référentiels. Ces référentiels sont complémentaires, de façon à traiter l ensemble des activités d un établissement et aboutir à une vision transversale de son fonctionnement. * Le manuel d accréditation est disponible sur le site Internet de l ANAES - 4/15 -

5 LES RÉFÉRENTIELS D ACCRÉDITATION 1. Droits et information du patient 2. Dossier du patient 3. Organisation de la prise en charge du patient 4. Management de l établissement et des secteurs d activité 5. Gestion des ressources humaines 6. Gestion des fonctions logistiques 7. Gestion du système d information 8. Qualité et prévention des risques 9. Vigilances sanitaires et sécurité transfusionnelle 10. Surveillance, prévention, contrôle du risque infectieux Après l auto-évaluation, l ANAES organise la visite de l établissement (la «visite d accréditation») pour observer son organisation et discuter avec les personnels des résultats de l auto-évaluation. Cette visite est réalisée par une équipe d «experts-visiteurs» (médecins, directeurs, soignants) formés par l ANAES. Pour garantir l indépendance de la procédure d accréditation, les experts-visiteurs sont issus d établissements de santé publics et privés d une région différente de celle de l établissement visité. Les résultats de cette visite et les observations de l établissement sur celle-ci sont analysés par le «Collège de l accréditation». LE COLLÈGE DE L ACCRÉDITATION Le Collège de l accréditation est un groupe composé de 15 professionnels, issus d établissements de santé (médecins, directeurs, soignants) nommés par le Ministre de la santé. Le Collège de l accréditation établit un «rapport d accréditation» qui est transmis à l établissement de santé et à l autorité dont il dépend dans sa région (Agence Régionale de l Hospitalisation ou ARH ). Le directeur de l ANAES élabore le compte-rendu d accréditation à partir du rapport d accréditation du Collège de l accréditation. - 5/15 -

6 DÉROULEMENT D UNE PROCÉDURE D ACCRÉDITATION Entrée de l établissement de santé dans la procédure Réalisation d une auto-évaluation par l établissement de santé Visite de l établissement et rédaction d un rapport par des experts-visiteurs Formulation d observations par l établissement de santé sur le rapport des experts-visiteurs Étude du rapport des experts-visiteurs et des observations de l établissement. Élaboration du rapport d accréditation par le Collège de l accréditation. Élaboration du COMPTE-RENDU D ACCRÉDITATION par le Directeur de l ANAES - 6/15 -

7 IV. QUE CONTIENT LE COMPTE-RENDU D ACCRÉDITATION? Le compte-rendu d accréditation contient les informations suivantes : - la présentation de l établissement de santé, - le déroulement de la procédure d accréditation, - les conclusions du Collège de l accréditation sur la situation de l établissement. Ces conclusions mettent en évidence une synthèse selon les 10 référentiels. Dans ses décisions, le Collège de l accréditation peut émettre : - des recommandations : demandes formulées à l établissement pour progresser sur des domaines précisés en perspective de la prochaine procédure ; - des réserves : constat(s) d insuffisances sur des domaines précisés et absence de dynamique de progrès ; - des réserves majeures : constat(s) d insuffisances graves relatives aux exigences de qualité et de sécurité, sans qu il y ait eu de preuves d actions correctrices. Les décisions du Collège de l accréditation peuvent se résumer de la façon suivante : APPRÉCIATIONS Sans recommandation Avec recommandations Avec réserves Avec réserves majeures MODALITÉS DE SUIVI Le Collège de l accréditation encourage l établissement de santé à poursuivre la dynamique engagée. L établissement de santé met en œuvre les mesures préconisées et assure le suivi des recommandations formulées par le Collège de l accréditation en vue de la prochaine procédure. L établissement de santé produit un rapport de suivi ou fait l objet d une «visite ciblée» sur les sujets concernés dans un délai fixé par le Collège de l accréditation. L établissement de santé doit apporter des solutions aux réserves majeures lors d une «visite ciblée» à une date fixée par le Collège de l accréditation. * * * Les comptes rendus d accréditation des établissements de santé ayant conclu leur procédure d accréditation sont disponibles auprès de la direction de chaque établissement concerné et sur le site Internet de l ANAES - 7/15 -

8 PARTIE 1 PRESENTATION DE L ETABLISSEMENT DE SANTE La polyclinique CÔTE-BASQUE-SUD, sise 7, rue Léonce-Goyetche, Saint-Jean-de-Luz. La polyclinique Côte-Basque-Sud est un établissement privé à caractère commercial situé à l entrée de Saint-Jean-de-Luz nord depuis Il s agit du premier établissement privé situé après la frontière espagnole. L ancienne bâtisse, datant de 1954, était située au centre de Saint-Jean-de-Luz. La remise aux normes et son accessibilité ont conduit le conseil d administration à construire un nouvel établissement. La polyclinique dispose de 3 niveaux, soit m 2, d un parking de 143 places sur une superficie totale de m 2. Sa capacité est de : - 50 lits d hospitalisation chirurgicale dont 10 places d ambulatoire ; - 15 lits d hospitalisation en médecine dont 2 places de chimiothérapie ; - 4 places pour l accueil des urgences. La polyclinique, depuis le 1 er août 2001, est autorisée par les tutelles à faire fonctionner une Unité de proximité, d accueil, de traitement et d orientation des urgences en complémentarité avec l hôpital Côte-Basque-Sud. Les deux établissements ont signé une convention de fonctionnement. La polyclinique, par cette Unité de proximité, d accueil, de traitement et d orientation des urgences, répond aux besoins sanitaires du Schéma régional d organisation sanitaire Aquitaine et notamment au secteur sud 7 de Bayonne-Saint-Palais. La zone d attractivité est essentiellement celle du département des Pyrénées-Atlantiques de plus de habitants, située dans la zone frontalière avec l Espagne. Ainsi 83 % des patients viennent principalement des communes de Saint-Jean-de-Luz, Ciboure, Hendaye, Ascain, Urrugne, Guéthary. La polyclinique est située dans une région touristique. Pendant la période estivale, la population est multipliée par sept ou huit les mois d été. - 8/15 -

9 L activité ambulatoire concerne 57 % de l activité : - dont 34 % sont des «interventions sur le cristallin»; - 22 % «endoscopie sous anesthésie en ambulatoire» ; - l hospitalisation chirurgicale générale représente 33 % ; - l hospitalisation médicale 9 %. - 9/15 -

10 PARTIE 2 DEROULEMENT DE LA PROCEDURE D ACCREDITATION Ce rapport fait suite à l engagement de l établissement dans la procédure d accréditation en date du 9 octobre Cette procédure a donné lieu à une autoévaluation réalisée par l établissement, suivie d une visite effectuée du 1 er au 4 avril 2003 par une équipe multiprofessionnelle de 3 experts-visiteurs mandatée par l agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé. A l issue de cette visite un rapport des experts a été communiqué à l établissement qui a formulé ses observations auprès de l ANAES. Le rapport des experts ainsi que les observations de l établissement audit rapport ont été communiqués pour délibération au Collège de l accréditation en novembre Après avoir pris connaissance : - du rapport des experts, et plus particulièrement des modalités de réalisation de l autoévaluation et de la visite, de la mise à disposition des documents de synthèse sur la sécurité et du suivi des recommandations faites par les organismes de contrôle, - des observations et informations complémentaires au rapport des experts fournies par l établissement, le Collège de l accréditation décide que le La Polyclinique Côte Basque, sise 7 rue Léonce-Goyetche, Saint-Jean-de-Luz a satisfait à la procédure d accréditation. - 10/15 -

11 PARTIE 3 CONCLUSIONS DU COLLEGE DE L ACCREDITATION I APPRECIATION DU COLLEGE DE L ACCREDITATION Synthèse par référentiel I.1 Droits et information du patient L information et les droits des patients sont des axes prioritaires pour l établissement. L ambulatoire représentant plus de la moitié de l activité, elle a conduit les professionnels à organiser l information donnée aux patients. La charte du patient hospitalisé est intégrée aux pratiques professionnelles. Ainsi, une fiche spéciale a été mise en place pour recueillir le consentement du patient après information bénéfices-risques et pour en garder la trace. Des mesures doivent être prises pour assurer la confidentialité du dossier du malade et des informations médicales dans les postes d accueil le soir et dans les postes de soins aux urgences. L implication des professionnels est réelle. I.2 Dossier du patient L établissement a mis en œuvre une politique du dossier du patient suite à l audit externe de Cela a débouché sur une mobilisation multidisciplinaire des professionnels avec la mise en place en 2000 d un dossier du patient. La mise au point d un guide de rédaction du dossier médical serait souhaitable, de manière à améliorer les informations écrites concernant le suivi du patient pendant l hospitalisation. Le document retraçant la réflexion bénéfices-risques n est pas toujours rempli. Des actions d évaluation sur les supports et le contenu ont eu lieu, débouchant sur des actions correctrices. La dynamique créée, qui devra être pérennisée, donne lieu à une réflexion sur l étape suivante, l informatisation du dossier du patient. - 11/15 -

12 I.3 Organisation de la prise en charge des patients La polyclinique a élargi la prise en charge des patients de la chirurgie réglée et de l ambulatoire avec ceux relevant des urgences médicochirurgicales et de la médecine. Elle s est alors structurée sur le plan des locaux et de l organisation pour faire face à cette extension d activité et pour répondre aux besoins spécifiques des patients, en leur assurant la sécurité, le confort et la qualité des soins. La mobilisation des professionnels autour du patient est forte malgré la récente intégration des urgences. La continuité des soins est assurée et il existe des modes de fonctionnement organisés entre les divers secteurs d activités. Le projet infirmier doit cependant être finalisé. Il serait souhaitable d adapter les formations du personnel aux orientations médicales, et d équiper rapidement un local destiné à l accueil des corps après le décès des patients. I.4 Management de l établissement et des secteurs d activité La Polyclinique de la Côte Basque dispose d un projet d établissement récemment formalisé, établi à partir des orientations stratégiques du Contrat d Objectifs et de Moyens. Ce projet a été porté essentiellement par la direction ; une politique de communication plus active devrait permettre l appropriation de ce projet par l ensemble du personnel. Les instances sont en place et fonctionnent de manière efficace, avec une politique financière volontariste, permettant de satisfaire les besoins d équipement et les projets d extension. Les défauts de formalisation de certaines actions occultent la dynamique de l établissement relative au management mis au service du patient. La mise en œuvre récente du projet d établissement n en autorise pas encore l évaluation. I.5 Gestion des ressources humaines La gestion des ressources humaines est une forte préoccupation de l établissement. Une formalisation de la politique sociale est nécessaire car de réelles actions sont en place tant en matière de dialogue social, de formation, d amélioration des conditions de travail que de négociation sociale et d accord d entreprise. La rédaction des profils de poste et des fiches de fonction doit être poursuivie, de manière à pouvoir mieux structurer l entretien annuel d évaluation. - 12/15 -

13 I.6 Gestion des fonctions logistiques La Polyclinique Côte Basque Sud a recours à la sous-traitance pour assurer les fonctions logistiques et la maintenance. Après un choix qualitatif des prestataires, la coordination et l évaluation du service doivent être mises en place pour une amélioration de la qualité. Des efforts importants ont été consentis en matière d investissements, d emplois, de compétences, de formation et de rédaction de protocoles dans les domaines de la sécurité incendie et de l élimination des déchets qui sont en gestion directe par la polyclinique. Reste à coordonner les diverses actions de maintenance, à sécuriser le stockage du linge propre, à renforcer la sécurisation du hall d accueil et des urgences le soir, à former l ensemble des personnels aux nouvelles méthodes de détection incendie et à organiser l évaluation des activités logistiques sous-traitées. I.7 Gestion du système d information La polyclinique dispose d un système d information administratif unique et sécurisé et a accru les moyens du Département d information médicale pour que celui-ci puisse atteindre un niveau de qualité reconnu. L absence de définition d une réelle politique des systèmes d information trouble le débat sur l informatisation du dossier du patient. La définition d axes stratégiques du système d information doit permettre de clarifier la distinction entre information et informatisation et de hiérarchiser le choix des supports (papier ou informatique). Le recueil des besoins des utilisateurs et un système d identification des dysfonctionnement du système d information seraient souhaitables. I.8 Gestion de la qualité et prévention des risques La polyclinique s est donnée les moyens humains pour entrer dans une démarche qualité et mener à bien la procédure d accréditation. Un travail conséquent a été réalisé sur la formalisation des protocoles, des procédures, d organisation de la documentation. La prévention et la gestion des risques sont en place, mais le programme d action n est pas encore formalisé. Des actions d évaluation de la satisfaction des patients, des audits des pratiques, évaluation des dossiers sont réalisés. Restent à mettre en place des indicateurs d efficacité de ces actions. - 13/15 -

14 Les axes prioritaires de la dynamique qualité sont identifiés ; le renforcement de la structure qualité devrait permettre la formalisation, la hiérarchisation et la rédaction d un échéancier des actions à mettre en place. I.9 Vigilances sanitaires et sécurité transfusionnelle Les vigilances mises en place, avec identification de correspondants dans les services, fonctionnent de façon cloisonnée. Le recrutement récent d une secrétaire devrait permettre d en développer la coordination. La nécessité d assurer le suivi des actions et de leur évaluation a été identifiée et un secrétariat est opérationnel. Une dynamisation des vigilances à travers cette nouvelle organisation est ébauchée. Les règles de sécurité transfusionnelle sont mises en œuvre et le patient reçoit l information nécessaire, mais le médecin traitant n est pas systématiquement prévenu. I.10 Surveillance, prévention et contrôle du risque infectieux Le Comité de lutte contre les infections nosocomiales est en place depuis 1995, et demeure dynamique et réactif. Des actions d évaluation sur le terrain sont organisées et leur résultat a pu donner lieu à la mise en place rapide d actions correctives. Les travaux récents d agrandissement de la structure ont intégré des dispositifs de lutte contre le risque infectieux (améliorations des circulations, hygiène plus facile des locaux, sécurité en stérilisation). La surveillance du risque infectieux par l analyse d indicateurs est effective, et donne lieu à la mise en place d actions d amélioration. Ainsi, l évaluation de la procédure concernant les accidents d exposition au sang à permis d apporter les modifications nécessaires pour clarifier la conduite à tenir dans cette situation. - 14/15 -

15 II DECISIONS DU COLLEGE DE L ACCREDITATION II.1 Recommandations formulées par le Collège de l accréditation - Assurer la confidentialité du dossier du patient et des informations médicales dans les postes d accueil le soir et dans les postes de soins des urgences ; - Assurer la disponibilité permanente de l infirmière présente aux urgences pour accueillir les patients ; - Assurer le respect des conditions de stockage des tenues propres des personnels. II.2 Modalités de suivi Au vu des éléments contenus dans le présent rapport d accréditation issu des résultats de l auto-évaluation, du rapport des experts consécutif à la visite sur site et des observations de l établissement à ce rapport, le Collège de l accréditation décide que l établissement a satisfait à la procédure d accréditation. Considérant la dynamique qualité de l établissement, le Collège de l accréditation décide qu il fait l objet des recommandations mentionnées cidessus. L établissement met en œuvre les actions correctives et en assure le suivi en perspective de la prochaine procédure d accréditation. - 15/15 -

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