MÉLANGES BINAIRES LIQUIDE - SOLIDE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "MÉLANGES BINAIRES LIQUIDE - SOLIDE"

Transcription

1 MÉLANGES BNARES LQUDE - SOLDE DÉFNON Mélange constitué de deux composés A et B, pouvant chacun subir un changement d'état liquide = solide. MSCBLÉ OALE A L'ÉA SOLDE - MÉLANGE QUAS-DÉAL Supposons que fus * B > fus * A. P fixée * B ε échauffement rapide du liquide S γ S γ γ L β β L échauffement global lent et fusion α échauffement rapide du solide x sol A X A x liq 1 A * A x sol A x liq A X A temps Evolution, lors de l'échauffement isobare, de la phase solide : Evolution, lors de l'échauffement isobare, de la phase liquide : Courbe "liquidus" : jouxte la phase liquide, ensemble des points de "fin de fusion" Courbe "solidus" : jouxte la phase solidus, ensemble de points de "début de fusion" On constate que le changement d'état ne se fait ni à température constante ni à composition constante (contrairement au corps pur). La fusion étant endothermique, l'échauffement isobare est moins rapide. Exemples : Ag - Au Cu - Ni Sn - Bi En métallurgie, on parle d'alliages. Noter la "proximité" des métaux dans le tableau périodique. 1

2 ANALYSE HERMQUE E CONSRUCON x A =,7 x A = 1 L = S t 1 HÉORÈME DES MOMENS CHMQUES * B P fixée S M x sol A X A x liq 1 A L étude * A x sol A x liq A X A Soit un système biphasique de composition globale X A, étudié à étude. l est représenté par le point M. La phase liquide est représentée par le point L d'abscisse x liq A et la phase solide par le point S d'abscisse x sol A. Alors : n n liq sol MS = LM tot liq sol l suffit de connaître n = n + n pour résoudre le système à deux inconnues. Attention : le diagramme isobare est SOUVEN gradué en fraction massique! l faut "adapter" le théorème des moments chimiques : m m liq sol MS tot liq sol = et LM m = m + m Exemple : 1kg d'alliage solide précédent (A + B) de titre massique ω A =,6 est porté à une température supérieure à sa température de début de fusion. l apparaît deux phases telles que : phase solide : ω sol A =,5 phase liquide : ω liq A =,8. Calculer m sol A. Principe : on calcule m sol et avec ω sol A on obtient m sol A. 2

3 MSCBLÉ OALE A L'ÉA SOLDE - MÉLANGE NON-DÉAL l apparaît un point indifférent n (analogie avec point Z). C'est SOUVEN un minimum. fus *(1) - P = 1 atm Exemples : Cu - Au As - Sb LiCl - NaCl MgBr 2 - Mg 2 Liq Liq + Sol - fus *(2) Nbre de domaine phases = φ 1 Nature des phases Composition Variance n k r v V + 2 Sol n () V 1 C = 2 Point n 2,1,5 x() 1 x 2 Un mélange indifférent se comporte comme un corps pur : C = 1. P = Cte * 1 ε Phase liquide ε' refroidissement rapide du liquide L refroidissement global lent et solidification exothermique γ S γ β β L γ L liquidus * 2 α S + L (Z) solidification isobare zérovariante Z Solidus X 2 refroidissement rapide du solide temps 1 = Cu (* = 184 C) (Z) = 884 C 2 = Au (* = 164 C) X(Z) =,56 3

4 A E B OALEMEN NON MSCBLES EN PHASE SOLDE : EUECQUE fus *(1) (1*) sol + Liq (2*) sol + Liq E (1*) solide pur + (2*) solide pur X(E) 1 Courbe fus *(2) liquidus (E) X(2) Palier eutectique Courbe solidus 1 Naphtalène 8 C 2 Phénol 41 C (E) 3 C X(E),8 1 Or 2 hallium (E) 131C X(E),73 ANALYSE HERMQUE α' α a a' fus *(1) (1*) sol + Liq E γ L β γ (2*) sol + Liq fus *(2) β S γ S b d d F e' F e' ε' X(E) 1 ε X(2) temps De α β : Refroidissement isobare de la phase liquide En β : Apparition d un grain de A 2 pur (rupture de pente en b) De β + : Refroidissement isobare global LEN du système biphasique et cristallisation EXOHERMQUE du solide A 2 Composition du liquide : β E Composition du solide : A 2 pur En : Apparition d un grain de cristal de A 1 pur (palier zérovariant) puis COCRSALLSAON des solides au détriment du liquide Composition du liquide : E Composition du 1 er solide : A 2 pur Composition du 2 ème solide : A 1 pur De ε : Refroidissement de solides purs A 1 et A 2 De α E : Refroidissement isobare de la phase liquide En E : Apparition d un grain de A 2 pur et d un grain de A 1 pur puis COCRSALLSAON des solides au détriment du liquide Palier zérovariant plus long car il faut cristalliser la OALE de la matière liquide. De E ε : Refroidissement de solides purs A 1 et A 2 4

5 CONSRUCON Si on a la composition de l eutectique : on repère les ruptures de pente des courbes d'analyse thermique ainsi que les paliers zérovariants (corps purs = maxima relatifs et eutectiques = minima relatifs) Si on n a pas la composition de l eutectique : riangle de AMAN puis première méthode APPLCAON DES MÉLANGES EUECQUES Un composé eutectique permet de faire fondre à des températures inférieures au fusion des corps pur. Exemples : Mélange eau NaCl : permet de faire fondre la glace à des inférieures à C ((E) = 21 C) Mélange eau glycérol : antigel dans les radiateurs de voitures ou produit lave-vitre Soudure Plomb-Etain : permet de faire une soudure à relativement basse (2 C) COMPOSÉ DÉFN 5

6 Définitions Un composé défini CD est un corps pur composé qui n'existe qu'à l'état solide et est constitué de la "réunion" des deux "éléments" du binaire dans des proportions bien définies. ci : A = Mg, B = Zn, on cherche le CD tel que CD = A u B v u et v sont les plus petits entiers positifs tels que v / (u+v) = x(cd) =,66 soit u = 1 et v = 2 Un CD fond à température constante pour donner une phase liquide contenant les "éléments" du binaire. Si le liquide présente les même proportions que celles du CD, on dit qu'il y a fusion congruente. Sinon, la fusion est non congruent ou incongruente. Remarque : si le diagramme binaire A + B est gradué en fraction massique ω B, on cherche CD = A u B v tel que u et v, plus petits entiers positifs avec M(B)v / (M(A)u+M(B)v) = ω (CD) domaine Nbre de phases (φ) Nature des phases Composition des phases Variance n k r v V V V V E1 E2 F 6

7 A E B PARELLEMEN NON MSCBLES EN PHASE SOLDE : EUECQUE E SOLUONS SOLDES *(A) *(B) Courbe liquidus Courbe solidus S 1 + L (E) S 1 S 2 + Liq E S 1 S 2 V + V S 2 V Palier eutectique 1 x B domaine Nbre de phases (φ) Nature des phases Composition Variance des phases n k r v V V V 7

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska,

' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska, J. Phys. IVFrance 11 (2001) O EDP Sciences, Les Ulis Limites des solutions solides dans le système binaire CdBr2-AgBr A. Wojakowska, A. Gorniak and W. ~awel' Laboratoire d'analyse Thermique, Département

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée

Plus en détail

Stockage inter saisonnier de l'énergie solaire par procédé thermochimique

Stockage inter saisonnier de l'énergie solaire par procédé thermochimique Stockage inter saisonnier de l'énergie solaire par procédé thermochimique Lingai LUO Directeur de recherche CNRS LTN-UMR CNRS 6607, Nantes Nolwenn Le Pierres LOCIE-Université de Savoie Stockage de l'énergie

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION

TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION Sommaire 1. Méthodologie : comment tracer le graphe d'une fonction... 1 En combinant les concepts de dérivée première et seconde, il est maintenant possible de tracer le

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES ~--------------~~-----~- ----~-- Session 2009 BREVET DE TECNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES U22 - SCIENCES PYSIQUES Durée: 2 heures Coefficient : 3 Les calculatrices

Plus en détail

Le séchage des ateliers :

Le séchage des ateliers : Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr

Plus en détail

Sur la structure des alliages cuivre-étain

Sur la structure des alliages cuivre-étain Sur la structure des alliages cuivre-étain par MM. W. BRONIEWSKI et B. HACKIEWICZ O O O DEUXIÈME PARTIE (fin) (,) III. ETUDES DES PHASES fi ET y. Alliages trempés. Les phases et Y sont formées par des

Plus en détail

Premier principe : bilans d énergie

Premier principe : bilans d énergie MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie

Plus en détail

Viandes, poissons et crustacés

Viandes, poissons et crustacés 4C la Tannerie BP 30 055 St Julien-lès-Metz F - 57072 METZ Cedex 3 url : www.techlab.fr e-mail : techlab@techlab.fr Tél. 03 87 75 54 29 Fax 03 87 36 23 90 Viandes, poissons et crustacés Caractéristiques

Plus en détail

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie

Plus en détail

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution : SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ

THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,

Plus en détail

Représentation d une distribution

Représentation d une distribution 5 Représentation d une distribution VARIABLE DISCRÈTE : FRÉQUENCES RELATIVES DES CLASSES Si dans un graphique représentant une distribution, on place en ordonnées le rapport des effectifs n i de chaque

Plus en détail

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4

Plus en détail

Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive.

Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Lucas DEMBINSKI Christian CODDET, Cécile LANGLADE Université de Technologie de Belfort-Montbéliard

Plus en détail

COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES

COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES I.U.. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie hermique et énergie COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES Olivier ERRO 200-20 2 Avertissement : Ce cours de machines frigorifiques propose d aborder le principe

Plus en détail

IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0

IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0 IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0 La fusion gourmande... ou comment fondre de plaisir! Quitterions-nous le domaine des sciences pour une nouvelle rubrique culinaire? Ce serait, pour le moins,

Plus en détail

Mesures calorimétriques

Mesures calorimétriques TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid

2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur

Plus en détail

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA 3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

OPTIMISATION À UNE VARIABLE

OPTIMISATION À UNE VARIABLE OPTIMISATION À UNE VARIABLE Sommaire 1. Optimum locaux d'une fonction... 1 1.1. Maximum local... 1 1.2. Minimum local... 1 1.3. Points stationnaires et points critiques... 2 1.4. Recherche d'un optimum

Plus en détail

Fiche de lecture du projet de fin d étude

Fiche de lecture du projet de fin d étude GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &

Plus en détail

Chapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul

Chapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul DERIVEES ET REGLES DE CALCULS 69 Chapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul Prérequis: Généralités sur les fonctions, Introduction dérivée Requis pour: Croissance, Optimisation, Études de fct.

Plus en détail

Fiche de révisions sur les acides et les bases

Fiche de révisions sur les acides et les bases Fiche de révisions sur les s et les s A Définitions : : espèce chimique capable de libérer un (ou plusieurs proton (s. : espèce chimique capable de capter un (ou plusieurs proton (s. Attention! Dans une

Plus en détail

MODELE DE PRESENTATION DU PROJET

MODELE DE PRESENTATION DU PROJET MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du

Plus en détail

Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant

Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant I Présentation I.1 La roue autonome Ez-Wheel SAS est une entreprise française de technologie innovante fondée en 2009.

Plus en détail

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les

Plus en détail

Gestion de projet - contraintes, chevauchement, attente entre 2 tâches, jalons

Gestion de projet - contraintes, chevauchement, attente entre 2 tâches, jalons Gestion de projet - contraintes, chevauchement, attente entre 2 tâches, jalons GÉRARD CASANOVA - DENIS ABÉCASSIS Paternité - Pas d'utilisation Commerciale - Pas de Modification : http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr/

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre. Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences

Plus en détail

1/2000. Informations pour les utilisateurs des systèmes d'analyse thermique METTLER TOLEDO. Sommaire

1/2000. Informations pour les utilisateurs des systèmes d'analyse thermique METTLER TOLEDO. Sommaire 1/2000 Informations pour les utilisateurs des systèmes d'analyse thermique METTLER TOLEDO Chers clients L'année 2000 sera pour METTLER TOLEDO extrêmement intéressante dans le domaine de l'analyse thermique.

Plus en détail

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :

Plus en détail

Ekoconstruct / Catalogue 2014. ek construct

Ekoconstruct / Catalogue 2014. ek construct Ekoconstruct / Catalogue 2014 ek construct 1 Nos engagements Nos engagements Une entreprise familiale avec un savoir faire Une société tournée vers le développement durable Une construction rapide et personnalisée

Plus en détail

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation 4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température

Plus en détail

L E BILAN DES ACTIVITÉS

L E BILAN DES ACTIVITÉS L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

Unités: m 3. 1,3 kg m 3 * V = πr 2 h.

Unités: m 3. 1,3 kg m 3 * V = πr 2 h. 1. Masse volumique Définition: La masse volumique ρ est définie comme étant la masse M par unité de volume V: ρ = M V Unités: kg ou éventuellement 3 m g cm 3. Ordres de grandeur: Matière Eau Air * Aluminium

Plus en détail

Exercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer

Exercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy

Plus en détail

COURS DE THERMODYNAMIQUE

COURS DE THERMODYNAMIQUE I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie Thermique et énergie COURS DE THERMODYNAMIQUE eme Semestre Olivier PERROT 010-011 1 Avertissement : Ce cours de thermodynamique présente quelques applications

Plus en détail

CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :

CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités

Plus en détail

Athénée royal Jules Delot, Ciney Energie Thermique

Athénée royal Jules Delot, Ciney Energie Thermique 6G3 - Energie thermique page 1 Athénée royal Jules Delot, Ciney Energie Thermique Physique 6ème Générale 3h/semaine Ir Jacques COLLOT 1 6G3 - Energie thermique page Energie Thermique 1. Calorimétrie 1.1

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

Exercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2

Exercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2 Les parties A et B sont indépendantes. Partie A Exercice 3 (5 points) Commun à tous les candidats On considère la fonction A définie sur l'intervalle [1 ; + 00 [ par A(x) = 1-e -0039' ' x 1. Calculer la

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Plus en détail

27/31 Rue d Arras 92000 NANTERRE Tél. 33.(0)1.47.86.11.15 Fax. 33.(0)1.47.84.83.67

27/31 Rue d Arras 92000 NANTERRE Tél. 33.(0)1.47.86.11.15 Fax. 33.(0)1.47.84.83.67 Caractéristiques standards MODELE Puissance secours @ 50Hz Puissance prime @ 50Hz Moteur (MTU, 16V4000G61E ) Démarrage électrique, alternateur de charge 24 V, régulation Elec Alternateur (LEROY SOMER,

Plus en détail

Panorama de l astronomie

Panorama de l astronomie Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

Statistiques Descriptives à une dimension

Statistiques Descriptives à une dimension I. Introduction et Définitions 1. Introduction La statistique est une science qui a pour objectif de recueillir et de traiter les informations, souvent en très grand nombre. Elle regroupe l ensemble des

Plus en détail

pouchard tubes pouchard tubes C A T A L O G U E G E N E R A L Pouchard Tubes Pantin Pouchard Tubes Lyon Pouchard Tubes Nantes PANTIN

pouchard tubes pouchard tubes C A T A L O G U E G E N E R A L Pouchard Tubes Pantin Pouchard Tubes Lyon Pouchard Tubes Nantes PANTIN pouchard tubes pouchard tubes PANTIN Pouchard Tubes Pantin 1 à 15, rue du Cheval Blanc 93698 Pantin Cédex France Tél. 33 (0) 1 49 42 75 75 Fax 33 (0) 1 48 91 71 00 14, rue Jules Auffret 93500 Pantin 157,

Plus en détail

Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire

Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge

Plus en détail

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg

Plus en détail

Mise à jour 2006-2008 1 Comptabilité intermédiaire - Analyse théorique et pratique, Questions, exercices, problèmes, cas.

Mise à jour 2006-2008 1 Comptabilité intermédiaire - Analyse théorique et pratique, Questions, exercices, problèmes, cas. Mise à jour 2006-2008 1 Chapitre 8 QEPC/MAJ 2008 MGLBD Page 134 Remplacer l exercice E6 par le suivant. E6. L écriture d ajustement à partir de l information tirée du rapprochement bancaire Le comptable

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique

Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et

Plus en détail

III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES

III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES instrumentation III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES Spectrophotomètres UV/visibles 2 à 4 Spectrophotomètres visibles 5 à 7 0100100100100100011100110100100100100100 110100100100100100 011100110100100100100100 00100100100100011100110100100100100100

Plus en détail

Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique.

Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Laboratoire Electronique Méthodologie. Jamart Jean-François. - 1 - La fabrication d un circuit imprimé. SOMMAIRE Introduction

Plus en détail

Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?

Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture? Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité

Plus en détail

août La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel

août La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel août La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel Bienvenue Tribond - La danse de la pluie L oeil dans la météo A yous que la météo fit dans mon programme Météo everywhere

Plus en détail

DOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.

DOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur

Plus en détail

UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES

UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES Université Paris 13 Cours de Statistiques et Econométrie I UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 Licence de Sciences Economiques L3 Premier semestre TESTS PARAMÉTRIQUES Remarque: les exercices 2,

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -, Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence

Plus en détail

La simulation probabiliste avec Excel

La simulation probabiliste avec Excel La simulation probabiliste avec Ecel (2 e version) Emmanuel Grenier emmanuel.grenier@isab.fr Relu par Kathy Chapelain et Henry P. Aubert Incontournable lorsqu il s agit de gérer des phénomènes aléatoires

Plus en détail

Les calottes polaires Isostasie Champ de température

Les calottes polaires Isostasie Champ de température 1 M2R STUE / Cours «Neige et Glace» Les calottes polaires Isostasie Champ de température F. Parrenin Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement Grenoble 2 L'isostasie sous-glaciaire Rigidité

Plus en détail

DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur

DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur de données Les nouveaux appareils DP 500/ DP 510 sont les appareils de service mobiles idéaux pour mesure le point de rosée

Plus en détail

Rupture et plasticité

Rupture et plasticité Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements

Plus en détail

Contexte général. Objectifs de ce cours. L intervenant. Plan du cours. Pourquoi La Gestion des Risques Contexte Général

Contexte général. Objectifs de ce cours. L intervenant. Plan du cours. Pourquoi La Gestion des Risques Contexte Général Objectifs de ce cours Cours d Introduction à l Analyse des Risques en Gestion de Projets et en Entreprise Bordeaux novembre 2007 Par Daniel Cohen, Président de Zalis SAS. www.zalis.com! Il s agit d une

Plus en détail

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.

Plus en détail

INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE

INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs

Plus en détail

8/10/10. Les réactions nucléaires

8/10/10. Les réactions nucléaires Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que

Plus en détail

LAITON A HAUTE RESISTANCE CuZn23Al4

LAITON A HAUTE RESISTANCE CuZn23Al4 LAITON A HAUTE RESISTANCE CuZn23Al4 LAITON A HAUTE RESISTANCE CuZn23Al4 DESIGNATIONS NORMALISEES AFNOR : [U-Z23A4] NF L14-78 : CuZn23Al4 DIN : 179 ANALYSE CHIMIQUE MOYENNE Zn : 2,/25, % Al : 3,5/5,% Mn

Plus en détail

SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES

SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES MES 1 Les mesures de longueurs MES 2 Lecture de l heure MES 3 Les mesures de masse MES 4 Comparer des longueurs, périmètres.

Plus en détail

Introduction au logiciel de simulation ASPEN-Plus. J. Schwartzentruber

Introduction au logiciel de simulation ASPEN-Plus. J. Schwartzentruber Introduction au logiciel de simulation ASPEN-Plus J. Schwartzentruber Septembre 2005 Ce document se veut une rapide introduction au logiciel ASPEN-Plus, qui sera utilisé pour les travaux dirigés du cours

Plus en détail

Fusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48

Fusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48 Fusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48 Résumé de l article Les regroupements d entreprises peuvent se traduire en comptabilité par une fusion régie par le règlement

Plus en détail

Rampes, marches et escaliers

Rampes, marches et escaliers Rampes, marches et escaliers Marches et escaliers représentent un obstacle à la mobilité de nombreuses personnes, même si certaines solutions techniques telles que mains courantes et paliers - permettent

Plus en détail

On peut être «lourd» et agile!

On peut être «lourd» et agile! éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,

Plus en détail

Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ

Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ LE JUS E FRUIT 35(0,Ê5(3$57,(%LRFKLPLHSRLQWV L'analyse d'un jus de fruit révèle la présence d'un composé

Plus en détail

Information Technique Derating en température du Sunny Boy et du Sunny Tripower

Information Technique Derating en température du Sunny Boy et du Sunny Tripower Information Technique Derating en température du Sunny Boy et du Sunny Tripower On parle de «derating» en température lorsque l onduleur réduit sa puissance afin de protéger les composants contre toute

Plus en détail

Fonctions de la couche physique

Fonctions de la couche physique La Couche physique 01010110 01010110 Couche physique Signal Médium Alain AUBERT alain.aubert@telecom-st-etienne.r 0 Fonctions de la couche physique 1 1 Services assurés par la couche physique Transmettre

Plus en détail

SOUDAGE SANS PLOMB TEST DE CERTIFICATION DE FORMATION (DVD-FR45C)

SOUDAGE SANS PLOMB TEST DE CERTIFICATION DE FORMATION (DVD-FR45C) Ce test comprend vingt questions à choix multiples. Toutes les questions sont retenues de la vidéo: Soudage Manuel Sans Plomb, DVD-FR45C. Chaque question n a seulement qu une réponse la plus correcte.

Plus en détail

véhicule hybride (première

véhicule hybride (première La motorisation d un véhicule hybride (première HERVÉ DISCOURS [1] La cherté et la raréfaction du pétrole ainsi que la sensibilisation du public à l impact de son exploitation sur l environnement conduisent

Plus en détail

BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m

BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m Composition de la formule EMINENCE La Maçonnerie Tous les blocs de maçonnerie sont prévus pour construire une piscine d'une dimension de 10m de longueur et 5m de largeur.

Plus en détail

PROJET DE GESTION PORTEFEUILLE. Evaluation d une Stratégie de Trading

PROJET DE GESTION PORTEFEUILLE. Evaluation d une Stratégie de Trading PROJET DE GESTION PORTEFEUILLE Evaluation d une Stratégie de Trading Encadré par M. Philippe Bernard Master 1 Economie Appliquée-Ingénierie Economique et Financière Taylan Kunal 2011-2012 Sommaire 1) Introduction

Plus en détail

Propulsion COLLÈGE. 1. Le moteur vulcain. > Expositions > Niveau 0 > CENTRE DE LANCEMENT

Propulsion COLLÈGE. 1. Le moteur vulcain. > Expositions > Niveau 0 > CENTRE DE LANCEMENT 1. Le moteur vulcain C. Expliquer le principe d action réaction aussi appelé le principe des actions réciproques qui s applique dans le moteur Vulcain. Vous pouvez-vous aider du schéma ci-dessous. A. Quels

Plus en détail

Le triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique

Le triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique LES RELAIS STATIQUES (SOLID STATE RELAY : SSR) Princ ipe électronique Les relais statiques sont des contacteurs qui se ferment électroniquement, par une simple commande en appliquant une tension continue

Plus en détail