SYNTHESE DE LA TABLE RONDE. IUFM de Besançon - Vendredi 29 juin 2012
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- Constance St-Jacques
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1 SYNTHESE DE LA TABLE RONDE IUFM de Besançon - Vendredi 29 juin 2012
2 Le Plateau Débat public un acteur du dialogue environnemental Le Plateau Débat public de la Maison de l Environnement de Franche-Comté, dont l animation est portée par le réseau France Nature Environnement Franche-Comté, s inscrit au sein de la gouvernance à 5 instaurée par le Grenelle 2 de l environnement. Ce mode de gouvernance associe l Etat, les élus, les syndicats représentatifs des salariés, les entreprises et les associations notamment environnementales. Le rôle du Plateau Débat public est d intervenir en amont des décisions par le dialogue environnemental et cela conformément à la Convention d Aarhus de 2006 (art. 6-4) : «la participation du public commence au début de la procédure, c est-à-dire lorsque toutes les options et solutions sont encore possibles et que le public peut exercer une réelle influence» et en accord avec le dernier rapport public du Conseil d Etat qui souligne que la concertation implique «que le décideur s engage non seulement à écouter mais, chaque fois que possible, à prendre en considération un certain nombre de remarques, d amendements, voire de propositions. Ouvrir une concertation, c est plus que demander un avis ponctuel sur une opération ou un projet de texte, c est associer le ou les interlocuteurs pour tenter de faire œuvre commune». Avec le soutien de : Plateau Débat public FNE Franche-Comté 7, rue Voirin Besançon Tél : Mail : debat.public.mefc@gmail.com
3 Les perspectives Suite à cette table ronde et dans la perspective de poursuivre les échanges avec les acteurs agricoles, France Nature Environnement Franche-Comté met en avant les pistes suivantes : Comment travailler ensemble dans l anticipation des problèmes? Comment envisager la mise en place d une cartographie des sols? Comment «mettre en musique» un épandage respectueux de l environnement? Comment améliorer les conditions d élevage des porcs franc-comtois? Comment prendre en compte la lutte contre le soja OGM dans la nourriture des porcs sur notre territoire? Quelles sont les limites à une accentuation de la production porcine franc-comtoise? Comment assurer une juste rémunération de l éleveur qui prend en compte l environnement, la biodiversité et le bien-être animal? Les participants Table ronde animée par Daniel Bordur, journaliste : Sylvain Marmier, Président de la commission économie à la Chambre Régionale d agriculture Patrice Bernard, Président de RECIDEV (Réseau Citoyenneté Développement) Romaric Cussenot, chef de service élevage et filières animales à la Chambre Régionale d agriculture Christian Barnéoud, pédologue du GRAPE (Groupe régional agronomie pédologie environnement) Philippe Monnet, éleveur qui valorise sa production dans la filière IGP Saucisse de Morteau et de Montbéliard (élevage sur caillebotis) Olivier Bole, éleveur de porcs qui valorise en vente directe (élevage sur paille) Jacques Mudry, hydogéologue au laboratoire chrono-environnement de l Université de Franche-Comté Anne Vonesch, spécialiste du bien-être animal à Franche Nature Environnement Pascal Blain, représentant de FNE Franche-Comté au Conseil économique social et environnemental
4 Préambule Début 2012, le Plateau Débat public de la Maison de l environnement de Franche-Comté, animé par FNE Franche-Comté, a sollicité la Chambre régionale d agriculture pour débattre de la question de l élevage porcin en Franche-Comté. Ce débat s est déroulé lors de la Table ronde «Quel élevage porcin en Franche-Comté?» le vendredi 29 juin 2012 à l amphithéâtre de l IUFM de Besançon. En 2012, le thème de l élevage porcin s inscrit dans l actualité franc-comtoise à double titre. Citons tout d abord celle de la publication en janvier 2012 du rapport sur l agro-alimentaire du Conseil économique social et environnemental. Ce dernier invite à repenser l ensemble de la filière porcine afin de privilégier un approvisionnement régional de viande de porc notamment pour la saucisse de Morteau et de Montbéliard. A cette actualité s ajoute celle de la dégradation de la qualité des rivières karstiques en Franche-Comté. Le rapport d expertise sur la Loue du 9 mars 2012 fait état de la vulnérabilité des rivières karstiques. Il met en lien cette vulnérabilité avec entre autre les pratiques agricoles. En effet leur évolution ces dernières décennies vers des systèmes lisiers impacte la qualité de la ressource en eau. Ces actualités invitent, dans une démarche d anticipation, à un débat public sur le thème de l élevage porcin. Comment concilier le développement des élevages porcins avec la préservation de l environnement, tout en garantissant une valorisation économique d une production de qualité et le respect du bien-être animal avec une production durable de porc en Franche-Comté? Afin d engager la poursuite des échanges entre les acteurs agricoles et les associations, deux supports ont été produits : un enregistrement vidéo et une synthèse écrite. L enregistrement vidéo reprend par thème sous la forme de 6 chapitres, les sujets qui ont été débattus. Le document de synthèse suivant reprend les propositions et les points de vigilance évoqués par les acteurs agricoles, les associations, les scientifiques et le public présents à la table ronde. La parole aux experts Jacques Mudry, hydrogéologue au laboratoire chrono-environnement à l Université de Franche- Comté «Le lisier c est de l azote, du phosphore et du carbone qui sont une merveille agronomique mais aussi un poison dans l eau. La partie que les plantes n auront pas utilisée va se retrouver dans la ressource en eau.» «Tout le paysage karstique n est pas identique. Il y aura des endroits adaptés à l épandage et d autres qui ne le seront pas.» «La nécessité de cartographier le sol est claire. A terme on disposerait de cet outil pour orienter l activité agricole, industrielle, etc. (...) Un terrain qui n est pas favorable à l épandage de lisier ne sera pas non plus favorable à du stockage de produits toxiques. Cette cartographie servira à donner aux collectivités un outil pour orienter l aménagement du territoire.» «La Loue est à bout de souffle. (...) On est obligé de faire de sérieux efforts partout en particulier en matière d épandage. (...) Il faut que toutes les activités humaines des bassins versants concourent à améliorer cette qualité sinon nos rivières seront perdues et notre eau potable ne sera pas meilleure dans quelques années.» Christian Barnéoud, pédologue au GRAPE «Les 42 communes du bassin versant de la Haute- Loue vont pouvoir disposer de cartes d orientation des effluents d élevage. (...) Cette cartographie servira à donner aux collectivités un outil pour l aménagement du territoire.» «Il faut changer les habitudes (d épandage). Le plan d épandage sert à ça, c est un outil de pilotage pour les agriculteurs, qui intègre agronomie et environnement» «En matière de fertilisation, il ne faut pas opposer les types d effluents : c est la fertilisation excessive, ou des épandages réalisés en condition inadaptée qui mènent à la dégradation du milieu»
5 La parole aux associations Annette Lapalus, Présidente de France Nature Environnement Franche-Comté (FNE FC) «Le thème de l élevage porcin est en adéquation avec la mission de débat public de l association.» «Les acteurs et le débat contribueront à apaiser les tensions qui existent entre les agriculteurs, les environnementalistes et les consommateurs.» Pascal Blain, représentant de FNE FC au Conseil économique social et environnemental de Franche-Comté «Ce que je retiens c est le désir d ouverture, de dialogue.» «Mettons nous ensemble autour de la table pour nous approprier cette identification des potentialités et des vulnérabilités de nos territoires.» «Il faudra nous revoir.» Daniel Bernardin, administrateur référent du Plateau Débat public «Un tel débat n est pas une fin en soi mais un tremplin pour aller plus loin.» Patrice Bernard, Président de RECIDEV «Le jour où il faudra nourrir tout le monde 9 milliards d individus (...) on sera peut-être obligé de manger moins de viande et de la viande de meilleure qualité.» «J ai appris que les activités Cargil Brésil avaient été rachetées par le groupe coopératif français In Vivo qui fournit je crois une grande partie des aliments pour bétail en France. (...) Cargil importe du soja du Brésil donc In Vivo maintenant importe du soja qui est en grande partie OGM. Alors, il sert à quoi? A nourrir les vaches, les porcs. Je me pose des questions à ce niveau là.» Anne Vonesch, spécialiste du bien-être animal à France Nature Environnement «France Nature Environnement tient beaucoup à l autonomie des exploitations, à la liaison au sol et à la biodiversité. Ce qui signifie qu il y ait sur une partie de la surface agricole utile pas ou peu de fertilisation. Conclusion : moins mais mieux» «L avenir c est d avoir des zones fonctionnelles et des zones où les animaux font leurs déjections. Il ne faut pas seulement parler de porcs sur caillebotis ou de porcs sur paille mais de systèmes mixtes paille/ caillebotis. En Suisse, les élevages sont sur paille avec caillebotis partiel et ils ont une partie de litière sur leur zone de repos et des hachoirs sous leurs caillebotis. Ce système fonctionne et 50% des élevages ont le label bien-être.» «On a complètement oublié que l animal a un cerveau. Un porc ce n est pas que de la viande, il a des émotions. (...) Le porc est un animal intelligent, il doit pouvoir interagir avec son environnement. (...) Respecter le bien-être animal, c est au minimum 4 à 5m² par truie.» «Je veux des cahiers des charges qui prennent en compte les conditions d élevage, le bien-être animal et la biodiversité.» «Dans les signes de qualité d origine, il faudra qu on arrive à mettre dans les cahiers des charges du bien-être animal.» «Le prix doit revenir à l agriculteur c est-à-dire au producteur. Il y a des petits volumes, les marges proportionnelles, il y a une segmentation du marché qui vous fait croire n importe quoi et c est là qu il faut faire de l ordre. Donc il faut une transparence des prix et des prix équitables et pour avoir des prix équitables il faut aussi que l éleveur traite la nature et les animaux de manière équitable.» La parole aux éleveurs Olivier Bôle, éleveur de porcs en plein air et sur paille «Actuellement je ne peux pas valoriser ma production dans la filière IGP.» «Ce type d élevage est contraignant en hiver et il faudrait le concevoir de mai à novembre.» «Il existe une véritable interaction entre les éleveurs et les animaux.» Philippe Monnet, éleveur de porcs, intégré dans la filière IGP «Ce qui est intéressant dans les systèmes herbe, lait et porcs, c est qu on arrive à fonctionner en grande partie en autonomie.» «L investissement bien-être a un coût pour l éleveur.»
6 La parole aux acteurs agricoles Jean Simondon, Directeur de la Chambre Régionale d agriculture «Une raison essentielle de ce débat est l inquiétude voire l opposition d une partie du public qui est bien plus ciblée sur les élevages de porcs que vers d autres productions. Ne serait-ce que pour cela, le débat est justifié.» «Poursuivre par des échange réguliers entre les organisations agricoles et la Maison de l environnement pour aller plus loin.» Romaric Cussenot, chef de service élevage et filières animales «L élevage sur paille est difficilement compatible avec l utilisation du lactosérum (...). Ce n est pas impossible mais c est compliqué.» «Par un autre type de circuit les éleveurs (sur paille) peuvent compenser la difficulté d accès à l IGP.» «Le plan d épandage, c est un outil. Il y a une mise en musique à faire et il y a sûrement à progresser.» Concernant la question sur les OGM, «un quart à un tiers du lactosérum est issu des fabrications AOC, on a déjà réglé un quart à un tiers du problème.» La parole au public Michel Delacroix, Président de l association de promotion de la saucisse de Montbéliard et de Morteau «On ne veut pas avoir des volumes et pas de prix. (...) Il faut une politique de filière, on doit avoir un projet collectif qui permette d avoir une valeur ajoutée.» «C est un développement durable que l on veut et équitable.» «Avec 450 cochons vous ne fonctionnez pas.» Marc Goux, représentant du Collectif SOS Loue et rivières comtoises «Le collectif se questionne sur la mise aux normes des petites fermes. (...) Le collectif souhaite qu il y ait un bilan complet de la mise aux normes avant d engager les petits agriculteurs dans de nouveaux investissements qui peuvent les mettre en difficulté économique pour une efficacité qui est à vérifier.» «Il y a un sujet qui n a pas été évoqué c est l impact des lisiers sur la diversité floristique de la zone à Comté.» «Il y a une recalcification des calcaires au niveau des substrats. C est préoccupant pour l avenir des rivières. Tout l édifice du vivant qui est contenu dans les substrats extrêmement riches et diversifiés (des rivières) est en train de se recouvrir d une gangue de calcaire. Peut-être qu il faut des études complémentaires pour éclaircir complètement le rôle des lisiers dans ces processus là.» «L IGP (indication géographique protégée), un label c est quoi? (...) Tirer l IGP vers le haut.» Sylvain Marmier, Président de la Commission économie à la Chambre Régionale d agriculture «Ce genre de débat est important et justifié.» «Il faut qu on arrive à bien cibler le positionnement des quelques porcheries stratégiquement faites au bon endroit avec un nombre justifié de manière à ce que les plans d épandage soient parfaitement faits. Il faut avoir une vision globale des choses : production, social et environnemental.» «Notre projet c est de produire un peu plus et mieux.» «Il faut qu on ait (avec les associations) des séances de travail plus techniques plus fréquentes de manière à se comprendre mieux. On est favorable à ce qu on ait des travaux plus suivis de manière à avancer sur ces sujets là.» Sylvain Moncorgé, représentant de l association de consommateurs «Une autre assiette» «La demande des consommateurs doit évoluer vers plus de qualité notamment de bien-être animal. Et ça peut-être un objectif de la filière de se tourner vers ça.» Gérard Groubatch, Président de France Nature Environnement 90 «Il y a un point qui a été occulté, c est les antibiotiques. 20 millions de porcs en France consomment plus d antibiotiques que les 65 millions de Français.» Marie-José Trivaudey -Vergon, DREAL Franche- Comté «Dans quelle mesure on peut répondre à la question de savoir si ce que produit une exploitation en lisier est compatible avec la surface qui est effectivement épandue?» «Le principe de l épandage c est qu on apporte au sol ce qu on lui enlève, par la culture, par la fauche, etc, c est souvent estimé à partir de données statistiques qui ne sont pas toujours liées au milieu.» Eric Durand, Conseiller régional «La norme IGP qui oblige à la consommation d un certain pourcentage de lactoserum par les porcs empêche selon les éleveurs tout autre élevage que sur caillebotis (...) Il faudrait une dérogation ou arriver à un taux très bas de lactosérum (...) pour voir si l élevage sur paille est incompatible avec le lactosérum.»
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