République du Mali Ministère de l Economie et des Finances. Évaluation des capacités pour atteindre des résultats de développement au Mali

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "République du Mali Ministère de l Economie et des Finances. Évaluation des capacités pour atteindre des résultats de développement au Mali"

Transcription

1 République du Mali Ministère de l Economie et des Finances Évaluation des capacités pour atteindre des résultats de développement au Mali Scan des capacités en gestion axée sur les résultats de développement Mise en œuvre du processus CAP-Scan Février 2012 DRAFT

2 Table des matières Remerciements 5 Résumé 6 Introduction 8 I. Préparation de l auto-évaluation 10 A. Facilitation de l exercice CAP-Scan 10 B. Adaptation de l outil 10 C. Formation des participants 10 D. Périmètre de l évaluation 11 II. Evaluation des capacités en GRD 12 A. Méthodologie 12 B. Résultats au plan des secteurs 12 C. Résultats par pilier de la GRD Planification et Budgétisation 2, Suivi et Evaluation 2, Statistiques 2, Leadership 2, Redevabilité et partenariats 2,3 27 Plan d action de GRD pour l ensemble du secteur public 29 A. Méthodologie 29 B. Plan d action par pilier de GRD 30 III. Evaluation de l atelier CAP-Scan 37 2

3 Liste des figures Figure 1 : Résultats au plan national par pilier de la GRD... 6 Figure 2 : Note moyenne par secteur Figure 3 : Résultats nationaux par dimension de la GRD Figure 4 : Résultats en Planification et Budgétisation Figure 5 : Résultats en Suivi et Evaluation Figure 6 : Résultats en capacités statistiques Figure 7 : Résultats en Leadership Figure 8 : Résultats en Redevabilité et Partenariats Figure 9 : Evaluation de l atelier CAP-Scan Liste des tableaux Tableau 1 : Dimensions notées par pilier de la GRD pour l évaluation des capacités... 8 Tableau 2 : Résultat par secteur pour chaque pilier Tableau 3: Plan d action national de GRD

4 Acronymes Aide Budgétaire Sectorielle Cadre Budgétaire à Moyen Terme Cadre des Dépenses à Moyen Terme Cadre des Ressources à Moyen Terme Cadre Stratégique pour la Croissance et la Réduction de la Pauvreté Cellule d Appui à la Décentralisation et Déconcentration Cellule d Appui au Développement à la Base Cellule de Planification et de Statistique Cellule d Appui à la Réforme des Finances Publiques Cellule Technique du Cadre Stratégique de Lutte contre la Pauvreté Commissariat au Développement Institutionnel Développement Sanitaire du Mali Direction Nationale des Collectivités Territoriales Direction Régionale de la Planification, de la Statistique, de l Informatique, de l Aménagement du Territoire et de la Population Enquête Démographique et de Santé Enquête par grappes à Indicateurs Multiples et Enquête Légère Intégrée auprès des Ménages Enquête permanente et modulaire auprès des ménages Gestion axée sur les Résultats de Développement Gestion axée sur les Résultats Institut National de la Statistique Monitoring Externe Orienté vers les Résultats Organisations de la Société Civile Partenaires Techniques et Financiers Plan Opérationnel du Programme de Développement Institutionnel Programme de Renforcement des Capacités Nationales pour une Gestion Stratégique du Développement Scan des Capacités en GRD Schéma Directeur de la Statistique Secrétariat à l Harmonisation de l Aide Stratégie Commune d Assistance au Pays Système d Information Sociale ABS CBMT CDMT CRMT CSCRP CADD CADB CPS CARFIP CT-CSLP CDI DESAM DNCT DRPSIAP EDS MICS-ELIM EMOP GRD GAR INSTAT MENOR OSC PTF POPDI PRECAGED CAP-Scan SDS SHA SCAP SISO 4

5 Remerciements Le Gouvernement de la République du Mali a conduit sous l égide du Ministère de l Economie et des Finances et avec l appui de la Banque Mondiale, un exercice d autoévaluation de ses capacités en Gestion axée sur les résultats de développement (GRD) avec la méthodologie CAP-Scan au cours d un atelier organisé du 12 au 14 décembre 2011 à Bamako. Cet atelier a réuni plus d une cinquantaine de participants représentant les fonctionnaires de l administration publique, ainsi que les représentants du secteur privé, de la société civile, des collectivités territoriales et des partenaires techniques et financiers. Le Groupe de travail du CAP-Scan reconnaît avec gratitude la contribution active de l ensemble des participants qui ont consacré leur temps à auto-évaluer leurs secteurs respectifs et développer un plan d'action pour renforcer les capacités nationales de GRD. Leur implication, au cours de l'atelier de trois jours a conduit à ce rapport. Nos remerciements particuliers vont à l endroit du Secrétaire Général du Ministère de l Economie et des Finances et de tous les Secrétaires Généraux des départements ministériels qui ont désigné à haut niveau les fonctionnaires participant à l'exercice. Le Groupe de travail tient également à souligner le leadership démontré par Mahamadou Zibo Maïga, Coordonateur national du Programme de Renforcement des Capacités Nationales pour une Gestion Stratégique du Développement (PRECAGED) rattaché au Ministère de l Economie et des Finances, et Président de la Communauté de Pratiques sur la GRD du Mali, ainsi que par Siaka Sanogo, Conseiller technique du Ministre de l Economie et des Finances, et Sadio Koly Kéïta et Mme Ouattara Mafing Koné membres de la CoP-Mali et de l équipe de coordination nationale de l exercice. Il convient également de mentionner le rôle de Marco Varea, facilitateur international, et de Cyril Blet de l Unité des Résultats de la Banque Mondiale. Grâce à leur engagement et leur détermination, l exercice d évaluation des capacités en GRD au Mali a pu être préparé et organisé dans de bonnes conditions ayant permis d atteindre des résultats fort appréciables illustrés tout au long du présent rapport L'équipe remercie la Banque Mondiale qui a fourni un soutien pour mettre en œuvre le CAP-Scan au Mali, avec l'aide financière de l'agence Suisse pour le Développement et la Coopération. Nous exprimons en particulier notre gratitude au bureau de pays de la Banque Mondiale au Mali garante du bon déroulement de l exercice qui s est tenu à l Hôtel El Farouk de Bamako. Un exercice CAP-Scan est un processus hautement participatif et des remerciements sont dus à tous ses acteurs. Nous les remercions pour leurs contributions, commentaires et suggestions tout au long du processus. 5

6 Résumé Le gouvernement du Mali a décidé d auto-évaluer ses capacités en Gestion axée sur les Résultats de Développement (GRD) en utilisant la méthodologie du Scan des Capacités (CAP-Scan) pour identifier ses forces et faiblesses, ainsi que développer un plan d action visant l amélioration des prestations de services publics. Sous la direction du ministère de l Economie et des Finances, plus de cinquante fonctionnaires provenant des secteurs prioritaires du Cadre Stratégique pour la Croissance et la Réduction de la Pauvreté et représentants du secteur privé, de la société civile et des collectivités territoriales ont contribué à identifier les capacités nationales en GRD en utilisant le cadre de mesures du CAP-Scan adapté aux spécificités du pays. Il s agit de représentants des ministères et/ou secteurs suivants : Economie et Finances ; Education, Alphabétisation et Langues Nationales, et Enseignement supérieur ; Développement Institutionnel et Gouvernance, Justice ; Industries, Investissements et Commerce, Artisanat, Emploi et Promotion de l Investissement privé ; Coopération et Intégration africaine ; Culture et Jeunesse ; Développement rural, Environnement et Assainissement, Affaires foncières et Urbanisme; Mines et Energie, Transport, Equipement et Communications ; Santé ; Développement social, Solidarité et Personnes âgées, Promotion de la Femme, de l'enfant et de la Famille ; Administration territoriale et collectivités locales, Travail et Fonction Publique, Sécurité intérieure et Protection civile. Le cadre de mesures du CAP-Scan est structuré selon les cinq piliers suivants de la GRD : Planification et Budgétisation, Suivi et Evaluation, Statistique, Leadership, et Redevabilité et Partenariats. Avec une note moyenne nationale de 2,3 sur une échelle de 4 points, le Mali se trouve dans une phase de transition se dirigeant vers la mise en œuvre pleine et entière des pratiques de la GRD, mettant en œuvre certaines pratiques de gestion basée sur la performance mais sans pratique de gestion axée sur les résultats qui soit ancrée dans la vie administrative. Le graphique ci-dessous présente un aperçu de la notation des capacités nationales en GRD par les participants pour chacun des piliers. Figure 1 : Résultats au plan national par pilier de la GRD Planification et Budgétisation Suivi et Evaluation Statistiques Leadership Redevabilité et Partenariats Moyenne

7 Tous les piliers se situent dans le stade de la transition des pratiques de la GRD. Quelques composantes telles que celles consacrées à la stratégie nationale pour le développement de la statistique et à la clarté des orientations de développement ont obtenu une note supérieure aux autres composantes de leur pilier respectif de la GRD. Les ministères de l Economie et des Finances, et de l Education et l Enseignement supérieur disposent de capacités d élaboration budgétaire basée sur les objectifs et résultats jugées supérieures à celles d autres secteurs. Il convient de noter que le profil du Mali est très homogène, avec un écart de notes dépassant rarement un point. Des notes plus basses ont été obtenues en ce qui concerne les piliers du Suivi et Evaluation, et du Leadership. Les secteurs ont indiqué de faibles capacités en système de mesure de la satisfaction des usagers. La faible délégation des responsabilités et le difficile changement dans la gestion limitent l aptitude des fonctionnaires à obtenir des résultats. Les secteurs ont indiqué que la gestion des ressources humaines ne reposait pas suffisament sur les pratiques de la GRD. Une amélioration des capacités du pays à gérer pour l obtention de résultats pourrait être obtenue dans les délais de 24 à 36 mois prévus par le plan d action qui vise des gains de capacités à court terme et peu onéreux. L amélioration des capacités en GRD pourrait avoir un effet multiplicateur bénéficiant à l ensemble du pays. Par exemple, l instauration généralisée de systèmes de mesure de la satisfaction des usagers permettant d améliorer les services publics favoriserait l implication des citoyens dans l atteinte des résultats de développement. En matière de Leadership, il est recommandé d évaluer les performances individuelles de façon systématique. L application des actions du plan élaboré lors de l exercice augmenterait largement les résultats de l évaluation et la capacité du pays à gérer de façon axée sur les résultats. Ces mesures pourraient être introduites rapidement avec le soutien des autorités ayant participé au CAP-Scan. Le CAP-Scan au Mali est opportun, car le gouvernement s engage dans nombre d initiatives de GRD. Cet intérêt accru, s il se traduit par des actes, facilitera l avènement d une administration moderne et résolument tournée vers l atteinte des résultats. 7

8 Introduction L'objectif de ce Scan des Capacités (CAP-Scan) en Gestion axée sur les Résultats de Développement (GRD) en République du Mali est double. Il a d'abord été mené pour évaluer les forces et faiblesses du secteur public du Mali en ce qui concerne les procédures, pratiques et capacités en GRD, et également pour concevoir un plan d actions prioritaires pour favoriser la fourniture de biens et services publics, ainsi que contribuer aux efforts en GRD. Tant l'auto-évaluation que le développement du plan d'actions se sont déroulés pendant l'atelier du CAP-Scan tenu à Bamako, au Mali, du 12 au 14 décembre Le résultat de l'évaluation fournit une base de référence pour la mesure des capacités en GRD et des progrès réalisés en la matière. Le cadre de mesure du CAP- Scan fournit un système de notation sur une échelle allant de zéro à quatre, fondée sur des dimensions à la fois quantitatives et qualitatives selon les cinq piliers de la GRD : leadership, suivi et évaluation, planification et budgétisation, redevabilité et partenariats, et statistique. Chaque unité de l'échelle représente une étape dans la capacité de la GRD allant de la sensibilisation, à l'exploration, puis de la transition à la pleine application de la GRD. Six à huit dimensions existent pour chaque pilier. Certaines d entre elles ont été adaptées pour répondre au mieux au contexte du Mali. Le tableau 1 fournit la liste des dimensions pour chaque pilier. Tableau 1 : Dimensions notées par pilier de la GRD pour l évaluation des capacités Piliers de la GRD Composantes par pilier 1. Planification et Budgétisation 1.1. Cohérence du budget avec les priorités nationales 1.2. Elaboration budgétaire basée sur les objectifs et résultats 1.3. Participation des acteurs non gouvernementaux à la planification et l'élaboration budgétaire 1.4. Coordination interne dans le département 1.5. Coordination inter sectorielle 2. Suivi et Evaluation 2.1. Planification nationale orientée vers les résultats de développement 2.2. Capacité en suivi et évaluation des Politiques publiques 2.3. Système d'information et outils d'aide à la décision 2.4. Système de mesure de la satisfaction des usagers 2.5. Performance de l'administration orientée vers les résultats de développement 2.6. Harmonisation des demandes d'in formation des PTFs 2.7 Intégration des systèmes de S-E à la prise de décision. 3. Statistiques 4. Leadership 3.1. Stratégie et dispositif 3.2. Désagrégation des données 3.3. Etendue des données 3.4. Évaluation de la qualité des données 3.5 Capacité à mener et rentabiliser les enquêtes de niveau national 3.6 Capacité d'analyse et de modélisation 4.1 Engagement 4.2. Clarté et articulation des orientations de développement 4.3. Participation des acteurs non étatiques 4.4.Responsabilisation et délégation au niveau des cadres de l'administration 4.5. Intégration de la dimension décentralisation 5. Redevabilité et Partenariats 5.1. Indépendance de la Jus tice et des Hautes Institutions de Contrôle 5.2. Rôle du Parlement dans le contrôle de l'action gouvernementale 5.3. Indépen dance des médias 5.4. Accès du public aux informations 5.5. Coordination des partenaires techniques et financiers 1.6 Cadre de gestion des résultats 4.6. Changement dans la gestion 5.6. Alignement des partenaires sur priorités nationales 1.7 Les donateurs lient la program mation aux résultats 3.7 Mesure de la performance 4.7. Gestion des ressources humaines 8

9 Le gouvernement du Mali est convaincu que le chemin de la réalisation des objectifs de développement est défini par une culture de résultats assurée par l'application des principes de la GRD dans le secteur public. À cet égard, la mise en place de la capacité requise dans les institutions publiques pour renforcer la gestion des résultats s avère être d'une importance capitale. Le Mali devient le neuvième pays africain à mettre en œuvre l'exercice CAP-Scan, démontrant l engagement du gouvernement en faveur de la gestion axée sur les résultats de développement en vue de la réalisation des objectifs souhaités compte tenu de l utilisation de ressources publiques limitées. Les mesures du Cadre Stratégique de Lutte Contre la Pauvreté pour la période sont allées dans ce sens. Les défis rencontrés pour la mise en œuvre des prochaines orientations de développement nécessiteront, elles aussi, une série d'interventions de renforcement des capacités dans le pays. Différentes évaluations ont été menées pour mesurer les progrès relatifs à la mise en œuvre des réformes politiques, avec le soutien des partenaires techniques et financiers. Dans ce contexte, l'exercice CAP-Scan au Mali est arrivé à point nommé alors que le gouvernement s engage davantage dans la voie de la GRD. Le Mali déploie des efforts et établit des structures pour davantage de performance et résultats de développement, mais manque des capacités requises dans le secteur public. Complétant les cadres existants de renforcement des capacités, le CAP-Scan est utilisé pour déterminer les domaines clés de la gestion publique ayant besoin d une orientation vers la GRD pour une prestation plus efficace et efficiente des résultats de développement au Mali. 9

10 A. Facilitation de l exercice CAP-Scan I. Préparation de l auto-évaluation Le CAP-Scan a été conduit au Mali sous la direction du ministère de l Economie et des Finances qui a nommé un point focal en charge de la coordination de l ensemble de l auto-évaluation, avec le soutien de la Communauté de Pratiques sur la GRD du Mali, d un consultant international et de l Unité des Résultats de la Banque Mondiale. Les trois types d acteurs suivants ont joué un rôle important dans le CAP-Scan : Groupe de travail CAP-Scan. Composée de hauts fonctionnaires du ministère de l Economie et des Finances, notamment du Programme de Renforcement des Capacités Nationales pour une Gestion Stratégique du Développement (PRECAGED), ainsi que de membre de la Communauté de Pratiques sur la GRD du Mali, cette équipe a planifié le processus, identifié les ressources et défini le calendrier. L équipe a communiqué avec les ministères et partenaires au développement pour générer un soutien national en faveur de l exercice et identifier les défis principaux. Ce groupe de travail a fourni un soutien administratif et d orientation au cours de l ensemble du processus. Groupes sectoriels. Les Secrétaires Généraux de chaque ministère ont désigné un groupe de quatre à sept représentants de leur secteur pour participer à l ensemble de l exercice. Les participants provenaient de postes techniques et de gestion. Points focaux. Chaque secteur a nommé un point focal en charge de la facilitation des groupes de discussion pendant l exercice pour parvenir au consensus lors de l auto-évaluation. Lorsque les groupes étaient composés de deux secteurs ou plus, un seul point focal par groupe était désigné. Rapporteurs. Au moins un participant de chaque secteur était responsable pour noter les résultats en termes de capacité et l argumentation y conduisant. B. Adaptation de l outil Avant l exercice de trois jours,le groupe de travail CAP-Scan, ainsi que les partenaires au développement ont façonné l exercice au contexte du Mali. La plupart des changements visent principalement à s assurer que le nom d institutions figurant dans le cadre de mesures serait compréhensible dans le contexte du Mali. La composante du pilier Planification et Budgétisation relative au pourcentage du budget national assumé par les partenaires au développement a été retirée, car la manière dont elle peut contribuer à renseigner l auto-évaluation est incertaine. C. Formation des participants Tous les participants ont été formés aux bases de la GRD et à la méthodologie CAP-Scan pour assurer une conduite efficace de l exercice dans chaque groupe de discussion. Cela a 10

11 fourni aux participants les connaissances nécessaires pour reproduire l exercice, ainsi que le déployer auprès d autorités locales ou de secteurs spécifiques. Cette formation a suivi la cérémonie d ouverture le 12 décembre D. Périmètre de l évaluation L évaluation vise les ministères et secteurs prioritaires du Cadre Stratégique pour la Croissance et la Réduction de la Pauvreté (CSCRP), à savoir: Economie et Finances ; Education, Alphabétisation et Langues Nationales, et Enseignement supérieur ; Développement Institutionnel et Gouvernance, Justice ; Industries, Investissements et Commerce, Artisanat, Emploi et Promotion de l investissement privé ; Coopération, Intégration africaine, Culture et Jeunesse ; Développement rural, Environnement et Assainissement ; Affaires foncières et Urbanisme; Mines et Energie, Transport, Equipement et Communications ; Santé, Développement social, Solidarité et Personnes âgées ; Promotion de la femme, de l'enfant et de la famille ; Administration territoriale et collectivités locales ; Travail et Fonction Publique ; Sécurité intérieure et Protection civile. Le ministère de l Economie et des Finances prend part à l exercice en sa capacité de département coordinateur de la mise en œuvre du CSCRP. Cette présentation est faite par grands secteurs de développement et s inspire de celle des Cellules de Planification et de Statistique (CPS) pouvant regrouper un ou plusieurs ministères dans le secteur concerné. Pour disposer de groupes homogènes en nombre et nécessaires pour le travail, certains secteurs ont été regroupés. Les représentants de la Société civile, du Secteur privé et des Collectivités territoriales ont été intégrés dans les secteurs. Au total, plus de soixante participants ont pris part à l exercice. 11

12 II. Evaluation des capacités en GRD L évaluation des capacités en GRD a suivi un processus menant à une note nationale de 2,3 sur une échelle allant de 0 à 4, reflétant différents stades de capacités en GRD. Chaque secteur participant s est d abord auto-évalué et a fourni une justification pour chaque note fournie. Les résultats sectoriels ont ensuite été agrégés et traités pour fournir une note moyenne nationale des capacités. A. Méthodologie Les secteurs ont évalué l état de mise en œuvre des pratiques de GRD, en suivant le cadre de mesures du CAP-Scan. Chaque secteur a déterminé s il se trouvait dans l une des étapes suivantes : la prise de conscience, reconnaissant le besoin de mettre en œuvre la GRD dans le secteur, sans qu une action concrète n ait été prise jusqu ici ; l exploration, prenant des actions, mais dans un contexte de ressources limitées pour mettre en œuvre une stratégie donnée de façon effective ; la transition, avançant vers une utilisation effective des pratiques de la GRD ; la mise en œuvre pleine des pratiques de la GRD. La définition de chaque étape de capacité en GRD est reproduite en Annexe 2. Ces étapes s étendent sur une échelle de quatre points allant de zéro, début de l étape de prise de conscience, à quatre, étape de la mise en œuvre pleine de la GRD, et sont divisées par incréments de 0,25. Des justifications qualitatives sont apportées par les secteurs pour expliquer chaque note, en utilisant des informations présentes notamment dans des documents administratifs, telles que reproduites en Annexes 4 et 5. La note globale nationale est obtenue en faisant la moyenne simple des notes des secteurs représentés, plutôt qu en obtenant l accord de tous les secteurs sur une note commune à l ensemble du pays. Ce processus visant l atteinte d un consensus étant jugé trop chronophage, il a été préféré d accorder davantage de temps à la conception d un plan d action. Les sous-sections suivantes présentent les résultats tels qu ils ont été générés au cours de l exercice d auto-évaluation. Elles fournissent un aperçu des résultats fournis par les secteurs publics présents et présentent la note nationale, ainsi que pour chaque pilier de la GRD. B. Résultats au plan des secteurs La première étape de l évaluation a consisté pour chaque secteur à s auto-administrer le cadre de mesures du CAP-Scan. Plusieurs ministères disposant d un nombre réduit de participants ont travaillé par groupe de deux à trois secteurs afin de rendre les échanges entre participants plus constructifs et dynamiques. C est le cas par exemple du ministère en charge du développement rural avec celui en charge des Transports. Les autres secteurs ont travaillé par groupes ministériels spécifiques. 12

13 Les ministères en charge de l Education ; de l Alphabétisation et des Langues Nationales, et de l Enseignement supérieur, ainsi que ceux en charge des Industries et du Commerce, et de l Artisanat disposent des plus fortes capacités en GRD, se situant à la frontière de la mise en œuvre pleine et entière des pratiques de la GRD. Tous les secteurs se trouvent au minimum dans l étape de la transition vers des approches axées sur les résultats. Seuls deux groupes se situent au stade de l exploration des pratiques de la GRD. Les ministères en charge de l Administration territoriale, de la Fonction publique et de la Sécurité, ainsi que ceux en charge de la Coopération, de l Intégration africaine, de la Culture et de la Jeunesse, ont enregistré les notes les plus basses dépassant tout juste l étape de la prise de conscience de l importance de la GRD. Il convient de relativiser cette présentation classant les secteurs les uns par rapport aux autres tant l écart des notes entre les groupes disposant de la note la plus haute (Education et Industrie ; note de 3) et ceux ayant la plus basse (Administration territoriale, Fonction publique et Sécurité ; note de 1,6) est étroite. Le résultat moyen pour chaque secteur est reproduit ci-dessous. Figure 2 : Note moyenne par secteur Administration territoriale, Fonction publique et Sécurité Santé, Développement social, Promotion de la femme Développement rural, Assainissement et Urbanisme Coopération, Intégration, Culture et Jeunesse Industrie et Commerce 3.0 Gouvernance et Justice Education et Enseignment Supérieur Economie et Finances Conscienction 1 Explora- 2 Transition 3 Mise en 4 oeuvre Les forces relatives des ministères dans l application de stratégies existent dans certains domaines spécifiques. Par exemple, l indicateur évaluant la pratique des ministères en matière de cadre de gestion orienté vers les résultats a obtenu une moyenne de 2,2 sur 4, avec les ministères chargés de l Education et de l Enseignement supérieur, et de la Santé, du Développement social et de la Promotion de la femme recevant des notes s élevant à 3 sur 4. Cette performance s explique par le rôle pionner de ces secteurs au Mali en GRD. Ces ministères mettent en œuvre depuis plusieurs années d importants programmes (PRODEC, PRODESS) selon des démarches de Gestion axée sur les résultats (GAR), à l instar du Programme Décennal de Développement de l'education et du Programme d'investissement secteur santé. En matière d harmonisation des demandes des Partenaires 13

14 Techniques et Financiers (PTF), ce sont les ministères en contact très régulier avec les PTF qui obtiennent les notes les plus élevées : Economie et Finances, Education, Alphabétisation et Langues Nationales, et Enseignement supérieur, et Industrie et Commerce. De même, les secteurs de la Gouvernance et de la Justice, de l Industrie et du Commerce, de la Santé et du Développement social ont indiqué qu ils étaient les secteurs disposant d une capacité forte à mener et rentabiliser les enquêtes de niveau national. Fort de plans sectoriels et stratégiques, le secteur public du Mali se situe à la frontière du stade de la mise en œuvre complète en ce qui concerne la clarté et l articulation des orientations de développement. Des faiblesses manifestes ont aussi été identifiées. Les secteurs dans leur ensemble ont noté la quasi-inexistence de systèmes de mesure de la satisfaction des usagers des services publics, ainsi que la faible existence d outils d aide à la décision et de système d information. Les structures administratives s avèrent peu équipées pour répondre à ces défis de GRD. De même, il ressort de l auto-évaluation que les ministères travaillent peu de façon à s assurer de la qualité des données statistiques qu ils utilisent et disposent d une faible capacité d analyse et de modélisation. Certains secteurs se révèlent les seuls à obtenir de faibles notes dans des domaines spécifiques de la GRD. C est le cas du ministère de la Santé qui pointe l absence de délégation en matière de prise de décisions, ou encore des ministère de la Culture et de la Jeunesse qui constatent combien leurs administrations ne prennent pas en compte les voix de la participation citoyenne lors de l élaboration de leurs politiques. Le tableau ci-dessous reproduit la note obtenue par groupe sectoriel pour chaque pilier de la GRD, ainsi que la moyenne générale obtenue. 14

15 Tableau 2 : Résultat par secteur pour chaque pilier Planification et Budgétisation Suivi et Evaluation Statistiques Leadership Redevabilité et Partenariats Moyenne par secteur Economie et Finances Education et Enseignment Supérieur Gouvernance et Justice Industrie et Commerce Coopération, Intégration, Culture et Jeunesse Développement rural, Assainissement et Urbanisme Santé, Développement social, Promotion de la femme Administration territoriale, Fonction publique et Sécurité Moyenne nationale 2,3 2,1 2,4 2,2 2,5 2.3 C. Résultats par pilier de la GRD Le Mali a obtenu une note moyenne de 2,3 sur une échelle de quatre points, se trouvant au stade de la transition et se dirigeant vers une mise en œuvre pleine et entière des pratiques de la GRD. Les piliers de la GRD relatifs aux capacités statistiques, ainsi qu à la redevabilité et aux partenariats, et à la planification et budgétisation, constituent les domaines les plus forts du secteur public, avec des notes allant de 2,3 à 2,5. Les piliers suivi et évaluation, et leadership, constituent deux domaines clés de la gestion des politiques publiques. Ils ont obtenu les notes les plus basses avec respectivement 2,1 et 2,2 sur une échelle de quatre points. Les sous-sections suivantes fournissent une explication des résultats pour l ensemble des secteurs et départements du secteur public pour chaque composante des cinq piliers de la GRD et suivent l ordre du cadre de mesures du CAP-Scan. Les notes nationales pour chaque pilier et composante sont reproduites dans le titre même des dimensions de la GRD en question. Le graphique ci-dessous reproduit également les notes par secteur. Les 15

16 résultats détaillés des secteurs et les justifications fournies lors de l auto-évaluation sont reproduits en Annexes 4 et 5. Figure 3 : Résultats nationaux par dimension de la GRD 1. Planification et Budgétisation 5. Redevabilité et Partenariats 4. Leadership 3. Statistiques 2. Suivi et Evaluation 1.1. Cohérence du budget avec les priorités nationales 1.2. Elaboration budgétaire basée sur les objectifs et 1.3. Participation des acteurs non gouvernementaux à 1.4. Coordination interne dans le département 1.5. Coordination inter sectorielle 1.6 Cadre de gestion des résultats 1.7 Les donateurs lient la programmation aux résultats 2.1. Planification nationale orientée vers les résultats 2.2. Capacité en suivi et évaluation des Politiques 2.3. Système d'information et outils d'aide à la décision 2.4. Système de mesure de la satisfaction des usagers 2.5. Performance de l'administration orientée vers les 2.6. Harmonisation des demandes d'information des 3.1. Stratégie et dispositif 3.2. Désagrégation des données 3.3. Etendue des données 3.4. Évaluation de la qualité des données 3.5 Capacité à mener et rentabiliser les enquêtes de 3.6 Capacité d'analyse et de modélisation 3.7 Mesure de la performance 4.1 Engagement 4.2. Clarté et articulation des orientations de 4.3. Participation des acteurs non étatiques 4.4. Responsabilisation et délégation au niveau des 4.5. Intégration de la dimension décentralisation 4.6. Changement dans la gestion 4.7. Gestion des ressources humaines 5.1. Indépendance de la Justice et des Hautes 5.2. Rôle du Parlement dans le contrôle de l'action 5.3. Indépendance des médias 5.4. Accès du public aux informations 5.5. Coordination des partenaires techniques et 5.6. Alignement des partenaires sur priorités nationales

17 1. Planification et Budgétisation 2,3 Figure 4 : Résultats en Planification et Budgétisation Cohérence du budget avec les priorités nationales Les donateurs lient la programmation aux résultats Cadre de gestion des résultats 1.2. Elaboration budgétaire basée sur les objectifs et résultats Coordination inter sectorielle 1.3. Participation des acteurs non gouvernementaux à la planification Coordination interne dans le département 1.1. Cohérence du budget avec les priorités nationales 2,5 La préparation du budget se déroule chaque année sur la base des conclusions et recommandations issues de la revue de l année écoulée de la mise en œuvre du CSCRP. Dans les ministères, les budget-programmes sont également élaborés par les cellules de Planification et de Statistique sur la base des éléments contenus dans la lettre circulaire de cadrage pour la préparation du budget de l Etat. Les allocations budgétaires sont votées à travers les budgets programmes, les Cadres des ressources à moyen terme (CRMT) et les Cadres des dépenses à moyen terme (CDMT). Le Cadre budgétaire à moyen terme (CBMT) du CSCRP est élaboré sur la base des CDMT sectoriels et du CDMT global. La cohérence n est pas totalement assurée entre les budgets programmes et les CDMT. L ensemble de ces éléments concourent à assurer un reflet fort des priorités nationales de développement dans le budget, bien que certains secteurs, tel celui de l Education, notent que les allocations budgétaires effectives se révèlent souvent inférieures à celles prévues dans le CDMT sectoriel. Ce décalage peut conduire à l abandon d activités Elaboration budgétaire basée sur les objectifs et les résultats 2,4 Des revues sectorielles de l année écoulée sont tenues annuellement pour permettre la prise en compte des résultats de la mise en œuvre des politiques dans l élaboration budgétaire. La mesure selon laquelle ces revues modifient effectivement la répartition des allocations budgétaires reste cependant peu claire. Bien souvent, le budget est reconduit d année en année sans prise en compte des résultats passés. C est notamment le cas des 1 Le graphique en forme de diamant représente le score du pays pour chaque composante du pilier concerné sur une échelle allant de un à quatre. 17

18 ministères en charge de la Coopération, de l Intégration africaine, de la Culture et de la Jeunesse, qui soulignent que les allocations restent généralement établies par activité Participation des acteurs non gouvernementaux à la planification et l élaboration budgétaire 1,3 L implication des acteurs non gouvernementaux aux processus budgétaires se révèle relativement limitée. Les Organisations de la société civile (OSC) participent aux débats d orientation budgétaire et au lancement des travaux préparatoires à l élaboration du budget. Les parlementaires sont quant à eux impliqués dans l analyse et l allocation des ressources, bien que les structures permettant un dialogue entre le parlement et l administration requièrent davantage de capacités. Les commissions parlementaires reçoivent les directeurs de certains services centraux pour étudier l exécution du budget passé et le projet budgétaire Coordination interne dans les départements 2,6 Après une lettre de cadrage adressée à ses services techniques, le ministère élabore son budget sur la base des propositions formulées par ces services. Les préoccupations de l ensemble des services tant au plan central que déconcentré sont prises en compte. Dans ce processus, les départements mettent en avant l atteinte des résultats réalisés lors de l année passée Coordination inter-sectorielle 2,2 Différentes structures existent pour coordonner l atteinte des objectifs inter-sectoriels. C est le cas des cellules de Planification et de Statistique, de la Cellule d'appui à la Réforme des Finances Publiques (CARFIP) et du Commissariat au Développement institutionnel (CDI) Cadre de gestion des résultats 2,2 Plusieurs initiatives indiquent que le Gouvernement du Mali se tourne pleinement vers la mise en œuvre de la GRD. Une politique nationale sur la Gestion Axée sur les Résultats (GAR) est en cours de préparation, sous la conduite du CDI, et attend la validation au sommet des instances gouvernementales. L utilisation des CDMT et CRMT est généralisée dans l ensemble des ministères. Le secteur de l Education et de l Enseignement supérieur a adopté la GAR comme méthode de gestion depuis L ensemble des outils de planification, budgétisation et S&E sont axés sur les résultats. De même, les hauts fonctionnaires des ministères en charge de la Gouvernance et de la Justice ont été formés à la GAR. Certains ministères, tels que ceux en charge de la Coopération, de l Intégration africaine, de la Culture et de la Jeunesse, recourent aux outils de la GAR dans seulement certains de leurs départements Les partenaires au développement lient la programmation aux résultats 2,8 Les interventions des Partenaires techniques et financiers se font à travers la satisfaction d un certain nombre de conditionnalités, dont la tenue de revues. Il s agit des revues annuelles du CSCRP, du Schéma directeur de la statistique et de l Appui budgétaire général (ABG). La tenue régulière des réunions de la Troïka composée de trois PTF (chef de fil actuel, chef de file précédent et chef de file future des PTF) et du Gouvernement permet une prise de décision conjointe. Le ministère de la Santé note que les documents d accord avec les PTF conditionnent les décaissements des partenaires, notamment en termes d Aide budgétaire sectorielle (ABS). Cette pratique bien que communément répandue ne constitue toutefois pas une règle absolue de la part des PTF pour allouer des fonds. 18

19 2. Suivi et Evaluation 2,1 Figure 5 : Résultats en Suivi et Evaluation 2.7 Intégration des systèmes de S-E à la prise de décision Planification nationale orientée vers les résultats de développement Capacité en suivi et évaluation des Politiques publiques Système d'information et outils d'aide à la décision Harmonisation des demandes d'information des PTFs 2.5. Performance de l'administration 2.2 orientée vers les résultats de développement 2.4. Système de mesure de la satisfaction des usagers 2.1. Planification orientée vers les résultats de développement 2,8 Dans onze secteurs de développement regroupant un ou plusieurs ministères, une CPS suit et évalue la mise en œuvre du CSCRP. Plus globalement, la mise en œuvre et le suiviévaluation des plans et programmes sectoriels de développement sont assurés dans le cadre des revues sectorielles annuelles. Il en va ainsi à tous les niveaux du CSCRP, du PAGAM, et du Programme d Appui à la Réforme Administrative et à la Décentralisation du Commissariat au Développement Institutionnel, jusqu à celui des projets Capacité en Suivi et Evaluation des politiques publiques 2,3 Le Conseil des Ministres du 13 septembre 2006 a adopté les projets de textes relatifs à la création, à l organisation, aux modalités de fonctionnement et aux cadres organiques des CPS. Au titre des innovations, il faut noter : la redéfinition des missions avec une meilleure détermination des attributions en matière de planification et d information statistique ; la conception des CPS selon une approche par secteur ; le nombre de CPS passe de 6 à 11 en vue de couvrir la quasi-totalité des activités des Ministères. Par la suite, les CPS ont été créées par la Loi n du 27 février Elles assurent, en rapport avec les services techniques concernés, la mission de planification et d information statistique dans les domaines couverts par les secteurs. Ces CPS travaillent également avec les services centraux comme la direction nationale de la Planification du développement existe (DNPD). Elles jouent un rôle essentiel dans la préparation de la revue annuelle du CSCRP, des revues sectorielles, des revues des projets et programmes, en vue de les inscrire dans le cycle budgétaire. Elles organisent la circulation des 19

20 informations et l harmonisation des différents calendriers des revues sectorielles, du CSCRP, des projets et programmes et du processus budgétaire. Les ministères en charge de la Coopération, de l Intégration africaine, et de la Culture et de la Jeunesse remarquent cependant que le personnel des CPS ne dispose pas des formations et logiciels adéquats. De même, les ministères de l Administration territoriale, de la Fonction publique et de la Sécurité remarquent que les ressources manquent également en termes de budget Système d information et outils d aide à la décision 1,8 Les CPS collectent, traitent et analysent les données. Les logiciels informatiques appelés Système d information sociale (SISO) et celui du Développement sanitaire du Mali (DESAM) constituent deux des outils informatiques utilisés par les ministères de la Santé et du Développement social pour gérer ces données. Des efforts sont menés pour y intégrer les données relatives à la promotion de la femme, de l enfant et de la famille. L administration ne dispose pour le moment pas de schéma directeur informatique. Il existe peu d interconnexions entre les départements ou services au sein des ministères Système de mesure de la satisfaction des usagers 0,8 Le CDI a développé des outils de mesure de la satisfaction des usagers de l administration. De même, des mesures de la satisfaction des élus et personnels communaux sont conduites par la Direction nationale des Collectivités territoriales (DCNT). Plusieurs secteurs, tels ceux de l Industrie et du Commerce, et ceux en charge du Développement rural, notent qu aucune disposition pratique n est prise pour mesurer le degré de satisfaction des usagers. Le CDI a développé des outils de mesure de la satisfaction des usagers de l administration. De même, des mesures de la satisfaction des élus et personnels communaux sont conduites par la Direction Nationale des Collectivités Territoriales (DCNT). Les ministères en charge de la Coopération, de l Intégration africaine, de la Culture et de la Jeunesse notent le recours à des boîtes à suggestion, tout en reconnaissant que le traitement des remarques des usagers ne soit pas systématique. Certains départements du ministère de la Santé recourent à ces boîtes à suggestion également. Le ministère de l Education note que la politique nationale en cours de validation insiste sur l importance d améliorer ce point Performance de l administration orientée vers les résultats de développement 2,2 Des reformes ont été initiées par le CDI à travers le Plan opérationnel du programme de développement institutionnel (PO/PDI) qui a permis à plusieurs services centraux de disposer d un organigramme fiable et axé sur les résultats. Cette modernisation engagée par le CDI ne produit pour le moment pas entièrement les résultats escomptés. Par exemple, la pratique d enregistrement des heures d arrivée et de départ des travailleurs ne se traduit pas nécessairement par une efficacité au travail accrue et une meilleure atteinte des résultats Harmonisation des demandes d information des PTF 2,3 Dans le cadre de la mise en œuvre de la Déclaration de Paris de 2005 sur l efficacité de l aide, il a été mis en place trois structures visant à renforcer le dialogue entre les Partenaires techniques et financiers (PTF) et le gouvernement : la Cellule technique de coordination du Cadre stratégique de lutte contre la pauvreté (CT-CSLP), le Secrétariat à 20

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS

TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...

Plus en détail

La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement?

La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La nouvelle loi organique relative aux lois de finances a été promulguée en août 2001. Deux ans plus tard, et bien que la mise en œuvre de cette

Plus en détail

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période

Plus en détail

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

Forum Pan-Africain des Secrétaires Généraux de Gouvernements

Forum Pan-Africain des Secrétaires Généraux de Gouvernements Centre Africain de Formation et de Recherche Administratives pour le Développement La République de Madagascar Forum Pan-Africain des Secrétaires Généraux de Gouvernements Thème : Les Nouvelles Approches

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies

La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies Atelier n 15 Organisateurs : Conseil de l Europe (Centre d expertise sur la réforme de l administration locale

Plus en détail

Cadre et Structures Organiques

Cadre et Structures Organiques 1 République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Publique SECRETARIAT GENERAL A LA SANTE PUBLIQUE Cadre et Structures Organiques Août 2012 INTRODUCTION 2 Le présent document relatif au Cadre et

Plus en détail

PROMISAM - II. Formation en Suivi /Evaluation des Plans de Sécurité Alimentaire 2009

PROMISAM - II. Formation en Suivi /Evaluation des Plans de Sécurité Alimentaire 2009 Présidence de la République Commissariat à la Sécurité Alimentaire APCAM/MSU/USAID Projet de Mobilisation des Initiatives en matière de Sécurité Alimentaire au Mali Phase II (PROMISAM - II) PROMISAM -

Plus en détail

Un nouvel État territorial

Un nouvel État territorial La réforme de l administration territoriale de l État 1 / 7 Un nouvel État territorial L organisation territoriale de l État en France est caractérisée par : une architecture historique calée sur les départements

Plus en détail

ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET

ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET I CONTEXTE DE LA REFORME BUDGETAIRE II OBJECTIFS ET AXES DE LA REFORME BUDGETAIRE III CARACTERISTIQUES DE LA REFORME BUDGETAIRE IV FACTEURS CLES DE SUCCES 2 Modernisation

Plus en détail

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale

Plus en détail

MISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA

MISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA MISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA Préparé par l ARD de Kaolack Dans le Cadre de la Convention PNDL Enda ECOPOP Table des matières Sigles et acronymes

Plus en détail

Ghana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni.

Ghana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni. Principes de Belgrade sur la relation entre les Institutions nationales des droits de l Homme et les Parlements (Belgrade, Serbie, les 22-23 février 2012) Le séminaire international de février 2012 sur

Plus en détail

Burundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga

Burundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Burundi Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Organisation : Ministère de l'intérieur et de la Sécurite Publique

Plus en détail

Conception des projets de coopération technique de l AIEA à l aide de la méthodologie du cadre logique

Conception des projets de coopération technique de l AIEA à l aide de la méthodologie du cadre logique Conception des projets de coopération technique de l AIEA à l aide de la méthodologie du cadre logique Guide pratique www.iaea.org/technicalcooperation Table des matières 1. INTRODUCTION... 1 2. PROGRAMME

Plus en détail

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre

Plus en détail

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL Durban, Afrique du Sud 6-7 Septembre 2012 Thème «Amélioration de l infrastructure institutionnelle et humaine

Plus en détail

EVALUATION FINALE MLI/016. Programme d Appui à la Santé de Base

EVALUATION FINALE MLI/016. Programme d Appui à la Santé de Base EVALUATION FINALE MLI/016 Programme d Appui à la Santé de Base FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre long du projet Titre court du projet Code LuxDev Mali Programme d Appui à la Santé de Base PASAB MLI/016 Version

Plus en détail

Art. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant :

Art. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant : Projet de loi portant certaines modalités d application et sanction du règlement (CE) no 1221/2009 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2009 concernant la participation volontaire des organisations

Plus en détail

Nouveau processus budgétaire. performance: Le projet tunisien

Nouveau processus budgétaire. performance: Le projet tunisien Nouveau processus budgétaire axé sur le résultat r et la performance: Le projet tunisien Mohsen Thabet Ministère des Finances Unité GBO Atelier GBO Tunis 26-27 27 Juin Plan de l interventionl 1. Système

Plus en détail

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

Un GSI plénier est prévu en juin 2001 au cours duquel devra être présenté un document élaboré à partir des travaux du groupe de travail.

Un GSI plénier est prévu en juin 2001 au cours duquel devra être présenté un document élaboré à partir des travaux du groupe de travail. Contrats éducatifs locaux missions et la formation des coordonnateurs de cel Réflexions du groupe de travail relevant du groupe de suivi interministériel des cel 1. Informations L'outil informatique de

Plus en détail

PREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE

PREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE PREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE RAPPEL DU SUJET : Vous êtes secrétaire administratif de classe exceptionnelle,

Plus en détail

Les Fiches de projet et leur canevas

Les Fiches de projet et leur canevas Les Fiches de projet et leur canevas République du Burundi Ministère de la Sécurité Publique Agence nationale d exécution : Fiche de Projet1 Titre du Projet : Renforcement des capacités de planification

Plus en détail

La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT

La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux

Plus en détail

REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ RAPPORT SUR LES MECANISMES DE MISE EN ŒUVRE ET DE SUIVI DU DSRP -----------------

REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ RAPPORT SUR LES MECANISMES DE MISE EN ŒUVRE ET DE SUIVI DU DSRP ----------------- REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ RAPPORT SUR LES MECANISMES DE MISE EN ŒUVRE ET DE SUIVI DU DSRP ----------------- SOMMAIRE AVANT PROPOS... 3 LISTE DES SIGLES... 4 INTRODUCTION...

Plus en détail

Document technique Outil d évaluation des risques et orientation

Document technique Outil d évaluation des risques et orientation Promotion de la bonne gouvernance et lutte contre la corruption Activité T3.3 : (SNAC Tunisie) Apporter des outils et des méthodologies ainsi que consolider les capacités pour soutenir la conception de

Plus en détail

Valorisation des résultats de la recherche. Objet et domaine d application du manuel Qualité...2

Valorisation des résultats de la recherche. Objet et domaine d application du manuel Qualité...2 Valorisation des résultats de la recherche Version : décembre 2003 Objet et domaine d application du manuel...2 Champ d application du manuel 2 Périmètre d application du manuel 2 Terminologie 2 Présentation

Plus en détail

Plan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015

Plan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015 Plan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015 ISO l Organisation internationale de normalisation L ISO comprend 163* membres qui sont les instituts nationaux de normalisation de pays

Plus en détail

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

Cours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE

Cours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE Cours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE INTRODUCTION : Les collectivités territoriales Depuis la révision constitutionnelle du 28 mars 2003, sont définies comme

Plus en détail

CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER

CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER CONTROLE GENERAL ECONOMIQUE ET FINANCIER MISSION AUDIT 3, boulevard Diderot 75572 PARIS CEDEX 12 CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER CHARTE DE L'AUDIT Validée par le comité des audits du 4 avril 2012

Plus en détail

UNEP/OzL.Conv.10/4. Programme des Nations Unies pour l environnement

UNEP/OzL.Conv.10/4. Programme des Nations Unies pour l environnement NATIONS UNIES EP UNEP/OzL.Conv.10/4 Distr. : générale 5 août Français Original : anglais Programme des Nations Unies l environnement Conférence des Parties à la Convention de Vienne la protection de la

Plus en détail

Décret n 2008-517 du 20 mai 2008

Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 fixant les modalités d organisation et de fonctionnement des Agences régionales de Développement. RAPPORT DE PRESENTATION En application

Plus en détail

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application

Plus en détail

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,

Plus en détail

Avancement de la REDD+ en RDC : processus participatif d auto-évaluation pour la soumission du R-Package au Comité des Participants du FCPF

Avancement de la REDD+ en RDC : processus participatif d auto-évaluation pour la soumission du R-Package au Comité des Participants du FCPF République Démocratique du Congo Avancement de la REDD+ en RDC : processus participatif d auto-évaluation pour la soumission du R-Package au Comité des Participants du FCPF Plan de consultation Kinshasa,

Plus en détail

pas de santé sans ressources humaines

pas de santé sans ressources humaines Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième

Plus en détail

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE 9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,

Plus en détail

Le Cadre de Dépenses à Moyen Terme. Définition et principes généraux

Le Cadre de Dépenses à Moyen Terme. Définition et principes généraux Le Cadre de Dépenses à Moyen Terme Définition et principes généraux Définition du CDMT Le CDMT est un instrument de programmation triennal glissant permettant de placer la gestion budgétaire dans une perspective

Plus en détail

Workshop Gestion de projet- IHEID- MIA- Décembre 2008 Cas Colombie Cucuta

Workshop Gestion de projet- IHEID- MIA- Décembre 2008 Cas Colombie Cucuta PROJET FORMATION DE LEADERS POUR LA DEMOCRATISATION ET LE DEVELOPPEMENT LOCAL DANS LA MUNICIPALITE DE SAN JOSE DE CUCUTA COLOMBIE. 1. CADRE D'INSERTION DU PROJET Les conditions de vie de la population,

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

EVALUATION DE LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES AU MALI SELON LA METHODOLOGIE PEFA. Rapport sur la performance de la gestion des finances publiques

EVALUATION DE LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES AU MALI SELON LA METHODOLOGIE PEFA. Rapport sur la performance de la gestion des finances publiques EVALUATION DE LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES AU MALI SELON LA METHODOLOGIE PEFA Rapport sur la performance de la gestion des finances publiques Version définitive du 28 juin 2011 Rapport élaboré par

Plus en détail

Guide d auto-évaluation

Guide d auto-évaluation REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation

Plus en détail

DECRETS. Section 1 Recrutement et promotion. Section 2 Stage, titularisation et avancement. 12 Moharram 1429 20 janvier 2008

DECRETS. Section 1 Recrutement et promotion. Section 2 Stage, titularisation et avancement. 12 Moharram 1429 20 janvier 2008 12 Moharram 1429 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 03 3 DECRETS Décret exécutif n 08-04 du 11 Moharram 1429 correspondant au 19 janvier 2008 portant statut particulier des fonctionnaires appartenant

Plus en détail

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017 UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours

Plus en détail

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes

Plus en détail

REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple Un But Une Foi. Résumé du Schéma Directeur Statistique (SDS)

REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple Un But Une Foi. Résumé du Schéma Directeur Statistique (SDS) REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple Un But Une Foi Résumé du Schéma Directeur Statistique (SDS) Avril 2008 Sommaire SOMMAIRE... 2 I INTRODUCTION... 3 II L ETAT DU SSN... 3 III LE SCHEMA DIRECTEUR DE LA STATISTIQUE

Plus en détail

Adaptation de l organigramme à des clubs de diverses importances. Avantages de l organigramme modèle. Clubs à effectif limité

Adaptation de l organigramme à des clubs de diverses importances. Avantages de l organigramme modèle. Clubs à effectif limité 1 Organisation d un club Organigramme du club Description des fonctions des officiers et autres responsables désignés Activités des comités du club Méthode de travail des comités Rapports des comités Une

Plus en détail

EVOLUTIONS RECENTES DU CONTRÔLE DE GESTION LOCAL. L exemple de Strasbourg

EVOLUTIONS RECENTES DU CONTRÔLE DE GESTION LOCAL. L exemple de Strasbourg 1 EVOLUTIONS RECENTES DU CONTRÔLE DE GESTION LOCAL L exemple de Strasbourg 2 Sommaire 1. Un contrôle de gestion historiquement tourné vers le contrôle des satellites 2. L essor du contrôle de gestion interne

Plus en détail

La fonction publique en France

La fonction publique en France MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE édition 2013 La fonction en France Des métiers au service des citoyens les essentiels Dans la fonction, tous les agents

Plus en détail

DOCUMENT DE CONSULTATION

DOCUMENT DE CONSULTATION COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation

Plus en détail

UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE

UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE 2 SOMMAIRE I. LES FAMILLES PROFESSIONNELLES... 5 II. LES FONCTIONS GENERIQUES... 12 FAMILLE ETUDES ET CONCEPTION......... 15 ASSISTANT D ETUDES ET CONCEPTION...16

Plus en détail

LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ

LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ POURQUOI UNE RÉFORME? Améliorer l État de santé de la population Plus d Équité, Une meilleure couverture, Et La maîtrise des coûts! THÈMES PRIORITAIRES

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ----------------------

BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ---------------------- BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ---------------------- Direction de la Recherche et de la Statistique APPUIS

Plus en détail

Note sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda

Note sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda Note sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda Alexandra Panis, BIT / STEP. Kigali, Janvier 2008 1) Contexte historique des mutuelles de santé au Rwanda En 1999, le gouvernement rwandais

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

L organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport

L organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport L organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport Présenté par M. Pascal Terrasse Député de la République française Secrétaire général parlementaire Berne (Suisse) ( 6 juillet 2015 I/ Le programme,

Plus en détail

Guide pour la rédaction du rapport d auto-évaluation

Guide pour la rédaction du rapport d auto-évaluation L évaluation d unités académiques à l Université de Genève Guide pour la rédaction du rapport d auto-évaluation Programmes de formation de base, approfondie et continue Bureau qualité Guide pour la rédaction

Plus en détail

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Sommaire 1. Périmètre du débat et méthodologie des contributions

Plus en détail

Pour un Plan d Investissement Communal plus Participatif

Pour un Plan d Investissement Communal plus Participatif MINISTERE DE L INTERIEUR CAISSE DES PRETS ET DE SOUTIEN DES COLLECTIVITES LOCALES 9, rue de l assistance Cité El Khadhra -1003 Tunis Pour un Plan d Investissement Communal plus Participatif Ines SALLEM

Plus en détail

PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO

PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation

Plus en détail

COMPOSANTE 3 Objectif 3.C

COMPOSANTE 3 Objectif 3.C TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final Il y a un astérisque quand des renseignements sensibles ont été enlevés aux termes de la Loi sur l'accès à l'information et de la Loi sur la protection des renseignements personnels. BUREAU DU CONSEIL

Plus en détail

1 Informations générales

1 Informations générales PAMEC-CEEAC Programme d Appui aux Mécanismes de Coordination et au renforcement des capacités de la CEEAC pour la mise en œuvre et le suivi du PIR Communauté Economique des Etats de l Afrique Centrale

Plus en détail

Évaluation et recommandations

Évaluation et recommandations ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne

Plus en détail

Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest

Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Guide Méthodologique de Conduite du Dialogue Inclusif Pays «Formulation des Priorités Résilience Pays (PRP-AGIR)» Version Finale (Septembre

Plus en détail

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre

Plus en détail

APFP. Les Pays, moteurs de stratégies de développement territorial et de gouvernance locale. Contribution de l Association de

APFP. Les Pays, moteurs de stratégies de développement territorial et de gouvernance locale. Contribution de l Association de Mars 2012 cahier d acteurs Association de Promotion et de Fédération des Pays APFP APFP Pays / Territoires de projet Contribution de l Association de Promotion et de Fédération des Pays dans le cadre des

Plus en détail

République de Guinée. Ministère de l Economie et des Finances. Unité de Coordination et d Exécution des Projets

République de Guinée. Ministère de l Economie et des Finances. Unité de Coordination et d Exécution des Projets République de Guinée Ministère de l Economie et des Finances Unité de Coordination et d Exécution des Projets PROJET D APPUI AU RENFORCEMENT DES CAPACITES DE GESTION ECONOMIQUE ET FINANCIERE (PARCGEF)

Plus en détail

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

Introduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT

Introduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte

Plus en détail

DOCUMENT PROVISOIRE L ENTRETIEN AVEC UN JURY

DOCUMENT PROVISOIRE L ENTRETIEN AVEC UN JURY ATTACHÉ PRINCIPAL fa-ob 23/10/2009 Note de cadrage DOCUMENT PROVISOIRE Cette note entend présenter précisément l épreuve aux candidats, aux formateurs et aux membres du jury. Chacun, selon sa qualité,

Plus en détail

IS CONSULT 09 BP 408 Ouagadougou 09 Burkina Faso Secteur 14 - Rue 14.31 Porte 101 Courriel: isconsult@hotmail.fr Tél: (226) 50 36 09 53/50 45 27 90

IS CONSULT 09 BP 408 Ouagadougou 09 Burkina Faso Secteur 14 - Rue 14.31 Porte 101 Courriel: isconsult@hotmail.fr Tél: (226) 50 36 09 53/50 45 27 90 IS CONSULT 09 BP 408 Ouagadougou 09 Burkina Faso Secteur 14 - Rue 14.31 Porte 101 Courriel: isconsult@hotmail.fr Tél: (226) 50 36 09 53/50 45 27 90 RAPPORT D'ÉVALUATION INDÉPENDANTE DU CADRE GÉNÉRAL D'ORGANISATION

Plus en détail

Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa

Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,

Plus en détail

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Distribution limitée IFAP-2008/COUNCIL.V/3 4 février 2008 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Conseil intergouvernemental du Programme Information

Plus en détail

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction

Plus en détail

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées NOTE SUR LES SUBVENTIONS - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées - Les produits de la tarification ne sont pas des subventions A. Récapitulatif des obligations des associations

Plus en détail

CIRCULAIRE CDG90 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE

CIRCULAIRE CDG90 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE CIRCULAIRE CDG90 11/12 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée, portant droits et obligations

Plus en détail

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016. Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi)

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016. Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi) PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016 Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi) Ce rapport a été préparé par : 205, rue Catherine, Suite 300 Ottawa, Ontario K2P 1C3 Tél. : 613.230.6424 Fax : 613.567.1504

Plus en détail

La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004. Recrute

La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004. Recrute La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004 Recrute Le/la directeur(trice) adjoint(e) de l établissement I. Les missions et l

Plus en détail

Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS)

Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS) Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS) Exposé succinct I. Introduction II. Objet de la gestion des données du secteur des transports III. Efforts passés et présents par le SSATP

Plus en détail

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS

Plus en détail

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT

Plus en détail

Vers l amélioration continue

Vers l amélioration continue Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission

Plus en détail

Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France)

Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Résumé du rapport réalisé par EUROPA pour la DATAR DATAR EUROPA Etude sur les maisons des services publics en Europe Résumé du rapport

Plus en détail

Note Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------

Note Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée

Plus en détail

LOLF. Les essentiels - 2005 - AMUE

LOLF. Les essentiels - 2005 - AMUE LOLF Les essentiels - 2005 - AMUE 1 Objectifs de la réforme Redonner un pouvoir de contrôle aux parlementaires. Rendre l'utilisation des moyens plus lisible. Remplacer une culture de moyens par une culture

Plus en détail

EAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012

EAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 EAU ET MILIEUX AQUATIQUES Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 Janvier 2007 9 es 2007-2012 programmes des agences de l eau «L Europe s est dotée d un cadre communautaire pour

Plus en détail

Promulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I

Promulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I Loi n 98-11 du 29 Rabie Ethani 1419 correspondant au 22 août 1998 portant loi d Orientation et de Programme à Projection Quinquennale sur la Recherche Scientifique et le Développement Technologique 1998-2002

Plus en détail

i) Types de questions Voici les lignes directrices pour chaque type de question ainsi que la pondération approximative pour chaque type :

i) Types de questions Voici les lignes directrices pour chaque type de question ainsi que la pondération approximative pour chaque type : Raison d être Plan des examens Audit interne et contrôles internes [MU1] 2011-2012 Les examens Audit interne et contrôles internes [MU1] ont été élaborés à l aide d un plan d examen. Le plan d examen,

Plus en détail