Jeunesse en région / Colloque de l ARF / Arcachon le 8 décembre 2011

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Jeunesse en région / Colloque de l ARF / Arcachon le 8 décembre 2011"

Transcription

1 Jeunesse en région / Colloque de l ARF / Arcachon le 8 décembre 2011 Intervention Jean-Claude Richez, coordonnateur de la mission observation : évaluation de l Injep. Mon propos sera double, c est ce qui m a été demandé: revenir sur les enjeux tels qu ils viennent d être décrits par mes collègues à travers les expériences dans le champ dans les régions, leurs pratiques et interpeller en amont le travail qui vous allez engager cet après-midi dans le cadre de vos ateliers. Je vais essayer de m y tenir. Je voudrais cependant auparavant récapituler ce qui vient de nous être dit savamment par mes collégues. Les quatre piliers d une politique de jeunesse Je retiendrais quatre axes de réflexion à partir desquelles nous pouvons examiner ce que les pratiques de régions peuvent avoir d innovantes aujourd hui : 1) Les modalités de socialisation des jeunes se sont profondément modifiées. Leur socialisation ne se fait plus de façon privilégiée dans le cadre d institutions mais à travers la munltiplication d expériences, Régis Cortesero parle même, reprenant des auteurs anglo-saxons d auto-socialisation. Le jeune est acteur de sa socialisation, ce qui appelle son autonomie. La responsabilité des pouvoirs publics est de sécuriser leurs parcours. Sécuriser le parcours des jeunes de la formation vers l emploi est l ojectif majeur affiché par le Conseil régional qui nous accueille. 2) Investir dans la jeunesse dans le sens proposé aujourd'hui rappelé par Francine Labadie. Investir dans la jeunesse est un pilier du développement, de l inclusion sociale et de la cohésion sociale fondée sur la connaissance. Cet investissement passe par la prise en compte de l éducation comme enjeu stratégique. L investissement dans le capital humain est une condition essentielle pour obtenir une croissance inclusive et soutenable avec des hauts niveaux de production (Francine Labadie). 3) Sortir des logiques politiques verticales, descendantes, hérarchisées pour développer des logiques de gouvernance à savoir de coordination et de coproduction des politiques de jeunesse dans le sens donné à ce mot par la commission générale de terminologie (22 avril 2009) qui rappelle que la gouvernance s apprécie surtout d après des critéres tels que la transparence, la participation et le partage des responsabilités. 4) Fonder ses politiques sur le principe d équité, d un traitement juste, d une répartition équitable basée sur la juste mesure. Les logiques d équité prennent en compte les inégalités d opportunités. Notons pour mémoire que ce principe entre en résonnance immédiate avec ce que l on a pu appeler avec le tryptique respect, égalité, solidarité que mettent en évidence la plupart des sondages autour des valeurs des jeunes. Le principe d équité s inscrit dans une logique d Etat social. Celui-ci cherche à prévenir et à fournir aux individus toutes les ressources les capabilités- qui leur permettent de faire leurs choix de vie et de construire leurs parcours (Francine Labadie).

2 Le rôle stratégique des régions Dans la plupart des grands pays d Europe les régions aujourd hui jouent un rôle central dans la conception et la mise en oeuvre des politiques de jeunesse. La compétence jeunesse reléve au Royaume-Uni des parlements régionaux ; dans le cadre de la dévolution, en Allemagne des Länder sur la base du principe de subsidiarité ; aux régions autonomes en Espagne ; des communautés flamandes et wallonnes en Belgique ; des régions en Italie La France est l un des rares pays qui a conservé, jusqu à il y a encore peu de temps, un régime très centralisé des politiques de jeunesse. Aujourd hui, les politiques nationales demeurent centralisées dans les champ de l éducation et de l emploi, les autres politiques relèvent de compétences partagées avec les collectivités territoriales. Il y a de ce point de vue une véritable exception française. Les Conseils régionaux ont cependant été amenés depuis quelques années à se saisir des questions de jeunesse parce qu elles sont au coeur des dynamiques territoriales dont elles ont la responsabilité. Comme le souligne le Conseil régional Midi Pyrénées: La trajectoire du lycée à l emploi regarde l essentiel des compétences de la région. Outre celle des lycées les questions de jeunesse font appel à au moins quatre des grandes compétences des régions telles qu elles sont arrêtées aujourd hui: celle du développement économique, celle de l aménagement du territoire, celle des transports et celle de la formation. A détailler cette liste ne manquent à la région que les compétences en matière de logement et d orientation pour que soit couvert effectivement l ensemble du parcours d un jeune du lycée à lemploi. Un certain nombre de régions d ailleurs n ont pas attendu pour prendre en compte les questions de logement des jeunes dont le Président Rousset vient de rappeller qu il pensait qu elle devrait être une compétence des régions. Aujourd hui la plupart des Conseils régionaux font de la jeunesse l une de leurs priorités. Celles-ci naturellement se déclinent de façon très différentes, conditionnées à des degrés divers par la prégnance -quant à leur conception- des modéles anciens, nombre de politiques régionales restent encore prisonniéres de politiques pensées d abord en terme de dispositifs. Elles sont aussi largement déterminées par le contexte social, culturel, historique de chaque région. Nous prendrons quatre exemples. Pour la Bretagne joue sans aucun doute une forte identité culturelle qui, de longue date, a généré des logiques de coopération entre acteurs. Rhône-Alpes est fortement porté par une forte culture industrielle très tournée vers l innovation qui nécessite une main d oeuvre hautement qualifiée et en permanence à niveau pour nombre de secteurs. Sur la Lorraine continue à peser le traumatisme de la fin des industries minières et sidérurgiques ou encore textile pour les vallées vosgiennes qui ont longtemps été la marque d une grande partie du pays générant une véritable culture de l insertion économique des jeunes dont le lorrain Bertrand Schwartz, inventeur des missions locales est le produit. Dans une région comme l Auvergne, très enclavée, les problématiques de mobilité et de contention du déclin démographique- apparaissent comme centrales. Le nouveau régime de socialisation Le nouveau régime de socialisation confére la responsabilité aux politiques de sécuriser le parcours d autonomie des jeunes. C est à cette condition que les initiatives pack autonomie des jeune font véritablement sens. Elles impliquent également qu elles prennent en compte le

3 jeunes sous tous ses aspects. Ainsi le Pack autonomie pour les jeunes du Conseil régional du Pays de Loire décline un panel relativement large comprenant accès au logement, à la culture, aux loisirs, au permis de conduire, à la première mutuelle. De même le Pack autonomie en Bourgogne décline mobilité (aide au permis de conduire) / logement / santé). Le Sas-orientation active pour l emploi des jeunes s inscrit également dans cette logique en visant un accompagnement renforcé et sécurisé vers l insertion professionnelle pour les ans comprenant un Pack autonomie (à hauteur de 300 euros) et une allocation d orientation (à hauteur de 1020 euros). Dans une logique d autonomie l accès au logement joue un rôle essentiel, il permet à la fois la dé-cohabitation avec les parents et est une des conditions de la mobilité. Même si celle-ci n est pas de la compétence des régions nombre d entre-eux ont pris à bras le corps cette question du logement jeune. Le nouveau régime de socialisation implique que l on prenne en compte le jeune comme capable, comme acteur ce qui donne sens aux politiques de participation. La plupart des régions ont dans un premier temps, pour certaine déjà depuis plusieurs mandatures des Conseils régionaux de jeunes. Ils n ont parfois pas répondu aux attentes le plus souvent pour avoir oublié que la démocratie participative dont relévent les Conseils de jeune, ne se met en oeuvre de façon spontanée et que tout autant que la démocratie représentative elle a besoin d être outillée, dotée d un appareil technique. Le développement de politiques de participation ne sauraient être par ailleurs réduite aux Conseils même si elles en sont pour nous une forme par excellence. Dans le prolongement d expériences de Conseil de jeune parallélement ou de façon alternative des régions se sont engagées dans des expériences de participation autrement comme les Forum jeunes en Rhône-Alpes, la Conférence régionale de la jeunesse en région Centre ou encore un processus complexe de consultaion autour du pack autonomie en Pays de Loire. Une politique de partcipation passe nécessairement, et c est quelque part ce qui en assoie la légitimité, par la multiplication dans toutes les institutions d espace de participation des jeunes. De même que le Conseil régional de Poitou Charente impose en quelque sorte une clause emploi jeunesse dans Investir dans la jeunesse et dans l éducation Plusieurs régions se sont engagés, au delà des politiques de dispositifs, dans l élaboration de véritables plans d investissement dans la jeunesse. Nous retiendrons ici deux exemples: le Pacte pour l emploi des jeunes en Poitou-Charentes, le Plan régional pour la jeunesse en Bourgogne. Le Pacte pour l emploi des jeunes en Poitou-Charentes s organise autour de quatre axes: l emploi, la formation, l apprentissage et le service civique: - Emploi, pas d aide publique de la région sans contrepartie en terme d emplois qui introduit par là une sorte de clause jeunesse - Formation qui se décline en engagements première chance, ouvertures de places supplémentaires en formation professionnelle - Apprentissage, objectif chiffré de 2000 apprentis supplémentaires d ici 2014, 3000 ayant été ouverts depuis 2005

4 - service civique, aide à la mobilité, prime de civisme et inscrption dur le pass formation régional Le Plan régional pour la jeunesse s organise autour de quatre volets: l orientation, la formation, l emploi et le logement. A travers ce plan La région poursuit un double objectif: soutenir le développement de tous les jeunes dans les domaines fondamentaux de l orientation, de la formation, de l emploi, du logement; ouvrir les politiques régionales aux jeunes les plus fragiles, tant dans le secteur rural, qu urbain. Le Limousin avec sa Charte d engagement en faveur de la jeunesse adoptée en 2010, le Conseil régional de Bretagne avec la Charte d engagement pour les jeunes (2011), l Alsace avec le Projet régional pour la jeunesse d Alsace (2011) sont engagés dans des démarches similaires d une approche élargie et globalisée des questions de jeunesse prenant également en compte aussi bien en compte les questions d emploi, d insertion, de formation. Il est dommage qu elles ne soient le plus souvent pas articulées fortement avec les questions de mobilté et surtout d éducation. Celle-ci reste le plus souvent cantonnée à des approches essentiellement scolaires et de formation initiale. De ce point de vue la région innove fortement en mettant en inscrivant à l agenda politique la question de la formation et de l éducation tout au long de la vie en créant une viceprésidence qui lui est tout spécialement dédiée, en s engageant dans la mise en place d un service régional de la formation avec comme objectif le développement prsonnel et collectif. Substituer aux logiques de gouvernement des logiques de gouvernance Nous retiendrons ici deux expériences qui s inscrivent tout à fait dans une logique de bonne gouvernance : LOR Jeune, l observatoire lorrain de la jeunesse, le B15 jeunesse du Conseil régional de Bretagne et l Agence régionale jeunesse en Alsace LOR Jeune se définit comme un laboratoire d idées, un lieu d observation régional et un réseau d acteurs (...) outil d aide à la décision et de prospective au service de la région, de ses partenaires et de tous les jeunes lorrains. Le laboratoire n est pas seulement comme collecteur de données statistiques mais comme un véritable espace de mutualisation entre l ensemble des acteurs, outil d intelligence collective au service de l ensemble des acteurs. D autres régions se sont également engagés dans cette voie, notamment la région Languedoc- Rousillon. Elle est aussi en discussion d autres régions. Ce type d initiative ne prend cependant tout son sens que si il est effectivement conçu comme outil de mise en commun et de coproduction entre l ensemble des acteurs jeunesse du territoire. Le B 15 jeunesse (B pour Bretagne), créé en 2010, rassemble autour de la table le Conseil régional, les quatre départements bretons et dix agglomérations. Il vient prendre place dans une forte dynamique territoriale régionale s enracinant certes dans l histoire, mais fortement impulsé politiquement à partir de 2004 avec les Assises régionales des territoires et du Contrat pour la Bretagne. Il est conçu comme un Lieu de convergence et dans certains cas de coordination des politiques de jeunesse. Afin de mieux impulser une politique transversale jeunesse l Alsace a créé une Agence régionale jeunesse. L Agence réunit douze personnes en équipes-projet, des agents en

5 charge du programme jeunesse qui sont nommés dans les directions régionales et y restent rattachés (avec le projet régionalpour la jeunesse comme mission principale). Le projet est doté en propre d une enveloppe de 3M d euros, de budgets rattachés à chaque direction spécifique (global 9 M d euros) et de financements européens (PEJA)3. Le projet s articule autour de trois axes: les jeunes acteurs de leur devenir, l accès à la citoyenneté et le soutien des talents. Le Conseil régional Midi Pyrénées a de son côté mis l accent sur la coordination des politiques tant en interne qu en externe. Est confié au vice-président en charge de la jeunesse d assurer la coordination entre tous les vice-présidents concernés par les politiques de jeunesse mais aussi d assurer la coordination avec les partenaires extérieurs. C est une voie similaire qui est suivi par le Conseil régional de Picardie quand il se fixe pour objectif de fédérer l ensemble des compétences jeunesse dans la région pour une prise en charge des 0 / 25 ans et engage une vaste démarce de concertation transversale : La concertation est pilotée directement par le président de la région qui a constitué un comité de pilotage politique. La DGA chargée du pôle service à la population intervient comme directrice de projet et ont été organisés 9 ateliers autour des grands axes retenus avec 9 animateurs internes, nommés parmi les grandes directions et 9 animateurs externes pour ouvrir le champ de la concertation à tous les acteurs du territoire: associations,communes, conseils régionaux.... Nous avons souligné que la transparence est un principe constitutif de la gouvernance. Elle appelle notamment l explicitation des objectifs des politiques mise en oeuvre et la mise en débat. Dans ce sens il est essentiel que l ensemble de la politique de jeunesse fasse l objet d un document de référence et qu il soit débattu tant par l éxécutif que par l assemblée délibérante. C est ce qu a fait le Conseil régional du Limousn en 2010 avec sa Charte d engagement en faveur de la jeunesse en 2010 et le Conseil régional de Bretagne avec la Charte d engagement pour la jeunesse en Quatre questions pour une grille de travail En conclusion je voudrais proposer quatre questions pour les ateliers de cet après-midi qui de façon plus large peuvent servir de grille de lectures des politiques de jeunesse en région. 1) En quoi et comment ma politique de jeunesse prend t-elle en compte le nouveau régime de socialisation des jeunes, fait place et prend en compte leurs initiatives, encourage leur participation, favorise leur autonomie, sécurise leurs parcours? 2) En quoi et comment ma politique de jeunesse prend t-elle en charge de façon globale, articulée et fonctionelle l ensemble du parcours du jeune du lycée à l emploi sous tous ses aspects, investi effectivement dans l éducation dans sa dimension formelle mais aussi non formelle et informelle, favorise les allers retour entre l emploi et l école dans une logique d éducation tot au long de la vie, la prise en compte des savoirs et compétences développées hors du cadre scolaire? 3) En quoi et comment ma politique de jeunesse s inscrit dans une logique de coopération et de de coproduction entre l ensemble des acteurs, différents échelons des collectivités territoriales mais aussi les associations, les entreprises, les jeunes la société civile- mais aussi l Etat et met en oeuvre pas seulement des critéres d organisation et d efficience mais aussi et

6 surtout de transparence, de participation et de responsabilité? 4) En quoi et comment ma politique de jeunesse met-elle en oeuvre le principe d équité, estelle juste? Quelques éléments en conclusion A partir des pratiques dans lesquelles sont engagées les différentes régions et différentes prises de positions de l Association des régions de France quelques pistes peuvent être dégagées pour avancer. Tout d abord, sans que cela remette en cause le cadre actuel, dans un souci de plus grande cohérence s impose la revendication d une compétence Orientation, formation et emploi ainsi ue celle du logement jeune qui est inséparable dans une logique d autonomie.. L intérêt est certes, à cadre institutionnel inchangé, de se donner les moyens de la maîtrise d un ensemble cohérent d enjeux qui convergent tous vers la construction de parcours professionnels mieux sécurisés. On peut dire qu il s agit d une première forme de transversalisation ( mais qui reste d essence sectorielle). Une telle approche appelle cependant un certain nombre de remarques. On passe d un monopole à l autre, celui hier exercé par l Etat à celui qui serait exercé par la région (translation vers le bas, certes au plus près des activités économiques et de la vie des personnes). Surtout on reste dans une logique gestionnaire ou bureaucratique avec des préoccupations organisationnelles avant tout et une approche descendante de l action publique, dont on a vu dans exposé de Francine Labadie qu elle n était pas pertinente au regard de l enjeu de la place des jeunes dans la société qui appelle une approche vraiment transversale et politique. Par ailleurs sortir de la logique de guichet comme le propose Philippe Meirieu suppose de sortir de la logique de dispositifs qui domine aujourd hui dans les régions, elle n est pas seulement le fait de l Etat. Positionner enfin les régions comme ensemblier : on ne peut qu être d accord si c est la première marche d une approche politique mais attention à ne pas développer des logiques hégémoniques de la région sur les autres collectivités. On doit rester dans la perspective «on est plus intelligent à plusieurs que tout seul et on met en cohérence nos stratégies dans une perspective d action collective où chacun dans la partition a une note à jouer».

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

APFP. Les Pays, moteurs de stratégies de développement territorial et de gouvernance locale. Contribution de l Association de

APFP. Les Pays, moteurs de stratégies de développement territorial et de gouvernance locale. Contribution de l Association de Mars 2012 cahier d acteurs Association de Promotion et de Fédération des Pays APFP APFP Pays / Territoires de projet Contribution de l Association de Promotion et de Fédération des Pays dans le cadre des

Plus en détail

POUR DIFFUSION AUX AGENTS. CONSEILLER EN HYGIENE ET PROPRETE (h/f) B- TECHNICIEN TERRITORIAL C- AGENT DE MAITRISE C- ADJOINT TECHNIQUE BOBIGNY

POUR DIFFUSION AUX AGENTS. CONSEILLER EN HYGIENE ET PROPRETE (h/f) B- TECHNICIEN TERRITORIAL C- AGENT DE MAITRISE C- ADJOINT TECHNIQUE BOBIGNY MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE PPRS/DGP/ERH4/CP/FG/DEJ/N 13-21( 1 bis) Equipe RH 4 01 43 93 89 45 POUR DIFFUSION AUX AGENTS POSTE A POURVOIR : DIRECTION ET SERVICE : CATEGORIE

Plus en détail

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter

Plus en détail

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE

PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE Préambule PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE La réussite éducative se définit comme la recherche du développement harmonieux de l enfant et du jeune. Elle est plus large

Plus en détail

Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial

Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris

Plus en détail

...... en quelques mots 1

...... en quelques mots 1 ... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant

Plus en détail

Renforcer la mobilisation du droit commun

Renforcer la mobilisation du droit commun Dossier ressources Comprendre le droit commun pour le renforcer dans les quartiers Dans son article 1 er, la loi pour la ville et la cohésion urbaine précise : «La politique de la ville mobilise et adapte,

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mobilisation contre le décrochage scolaire Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mercredi 8 janvier 2014 SOMMAIRE Introduction : la Nation mobilisée contre le

Plus en détail

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle, Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs

Plus en détail

gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers

gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers L i m m o b i l i e r v o u s o u v r e t o u t e s s e s p o r t e s gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers Bienvenue à l UNIS De plus en

Plus en détail

Projet de loi de cohésion sociale / Propositions d amendements

Projet de loi de cohésion sociale / Propositions d amendements Projet de loi de cohésion sociale / Propositions d amendements Pourquoi encourager la création de Centres Intercommunaux d Action Sociale est une réponse pertinente aux difficultés sociales auxquelles

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE

Présentation du Programme PHARE Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des

Plus en détail

Le diagnostic Partagé,

Le diagnostic Partagé, Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase

Plus en détail

Problématique : la mutualisation comme solution pour le maintien des services publics en milieu rural

Problématique : la mutualisation comme solution pour le maintien des services publics en milieu rural Évaluation de la politique de soutien du CPER 2007-2013 de la région Centre aux Maisons des services publics, Relais services publics et leur articulation avec les autres entrées de service sur le territoire

Plus en détail

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance

Plus en détail

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à

Plus en détail

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015 Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)

Plus en détail

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S P r é a m b u l e Proximité Singularité de la personne Universalité du service De nombreux territoires ruraux et urbains se situent en

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités

Plus en détail

Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques?

Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Rencontre professionnelle 4 Ont participé à cet atelier : David ALCAUD,

Plus en détail

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération

Plus en détail

Résultats du sondage

Résultats du sondage Résultats du sondage L agence française du programme européen «Jeunesse en action» (PEJA), dans le cadre de ses petits déjeuners «Prêt à l emploi!», a diffusé un questionnaire exclusif, réalisé en ligne

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux

Plus en détail

ISF et intermédiation : Collecte 2009

ISF et intermédiation : Collecte 2009 ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous

Plus en détail

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France)

Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Résumé du rapport réalisé par EUROPA pour la DATAR DATAR EUROPA Etude sur les maisons des services publics en Europe Résumé du rapport

Plus en détail

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction

Plus en détail

Axes de travail et plan d action 2015

Axes de travail et plan d action 2015 19 novembre 2014 Axes de travail et plan d action 2015 SOMMAIRE Introduction... 3 Partager l information sur les métiers, l emploi et la formation professionnelle en LR ; être plus utile et plus accessible...

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires

Plus en détail

Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»

Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00 ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA

Plus en détail

LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT

LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT RÉSEAU NATIONAL D'AGENCES IMMOBILIÈRES INDÉPENDANTES ACHAT VENTE GESTION LOCATION PROMOTION FINANCEMENT LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE N É O, L ' A G E N T I M M O B I L I E R D E F A M I L

Plus en détail

Le cadre institutionnel transfrontalier du Grand Genève

Le cadre institutionnel transfrontalier du Grand Genève Le cadre institutionnel transfrontalier du Grand Genève Nicolas LEVRAT Professeur à la Faculté de droit et directeur du Global studies Institute de l Université de Genève 1 L évolution des fonctions des

Plus en détail

Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets

Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en

Plus en détail

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre

Plus en détail

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» 10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,

Plus en détail

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer

Plus en détail

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE ADDITIF EXPLICATIF 1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE Organisation de deux «secteurs» clairement identifiés dans leurs objectifs et missions. Sous la responsabilité d un pilotage unique, ces deux «secteurs»

Plus en détail

LES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF

LES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF LES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF La présente publication est soutenue financièrement par le programme de l Union européenne pour l emploi et la solidarité sociale PROGRESS (2007-2013)

Plus en détail

APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE

APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE 1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir

Plus en détail

PRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation.

PRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation. cohérence ÉGALITÉ DES CHANCES/DYNAMIQUE ÉCONOMIQUE Concertation Innovation Innovation www.regionreunion.com Concertation cohérence 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations

Plus en détail

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010 Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.

Plus en détail

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes

Plus en détail

statuts Mutuelle substituée par la Mutuelle Nationale Territoriale Mutuelle régie par le livre II du code de la Mutualité - Numéro SIREN 444 042 303

statuts Mutuelle substituée par la Mutuelle Nationale Territoriale Mutuelle régie par le livre II du code de la Mutualité - Numéro SIREN 444 042 303 statuts 2014 Adoptés par l Assemblée générale constitutive du 11 septembre 2002 Modifiés par les Assemblées générales des 9 décembre 2003, 25 juin 2005, 24 juin 2006, 23 juin 2007, 22 septembre 2009, 16

Plus en détail

La mobilité. Au service des Outre-mer

La mobilité. Au service des Outre-mer La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue

Plus en détail

L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer

L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel

Plus en détail

L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse

L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La

Plus en détail

Synthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76)

Synthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76) Synthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76) 1. Qu est-ce que le SDET : schéma directeur des espaces numériques de travail?

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2009"

La santé des étudiants en 2009 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie

Plus en détail

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée

Plus en détail

Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique

Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique AFITL - 3 mai 2006 L objectif poursuivi Offrir aux membres de l AFITL (ou à quiconque se promène sur son site Internet) un recensement

Plus en détail

Budget participatif des lycées. Règlement d intervention

Budget participatif des lycées. Règlement d intervention 3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue

Plus en détail

Intervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire

Intervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire 1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait

Plus en détail

Quelle image avez-vous de la Belgique?

Quelle image avez-vous de la Belgique? Quelle image avez-vous de la Belgique? Saviez vous que?. Sont d origine belge. Le saxophone. La marque de montres Ice watch. La chaine de fast food Quick. l ile de Porquerolles au large de Toulon appartenait

Plus en détail

La loi sur l économie sociale et solidaire. Les principales dispositions et quelques angles de vue

La loi sur l économie sociale et solidaire. Les principales dispositions et quelques angles de vue La loi sur l économie sociale et solidaire Les principales dispositions et quelques angles de vue La loi ESS du 31 juillet 2014 les racines de l ESS Un peu d histoire: Des lois sur les coopératives, les

Plus en détail

Bonsoir, Mesdames et Messieurs,

Bonsoir, Mesdames et Messieurs, Bonsoir, Mesdames et Messieurs, Tout d abord je souhaiterais remercier les organisateurs de ce symposium, la Division de la Population des Nations Unies et la Fondation Roselli, pour leur invitation de

Plus en détail

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans

Plus en détail

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble STRATÉGIE PATRIMONIALE DE MISE EN ACCESSIBILITÉ DES ERP Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble COTITA 30-01-15-1 Contexte La Ville de Grenoble : 300 équipements

Plus en détail

Atelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité?

Atelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? Atelier A7 Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? 1 Intervenants Jean-Pierre Hottin Associé, PWC jean-pierre.hottin@fr.pwc.com Annie Bressac Directeur de l audit et du contrôle

Plus en détail

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

L organisation interne et la gestion des ressources humaines. Un outil d aide à la structuration

L organisation interne et la gestion des ressources humaines. Un outil d aide à la structuration L organisation interne et la gestion des ressources humaines Un outil d aide à la structuration Sommaire 1 L organisation interne de l association 2 1.1. Clarifier les rôles et missions de chacun 2 1.2.

Plus en détail

Ministère des sports. Le ministre des sports

Ministère des sports. Le ministre des sports Ministère des sports Direction des sports Mission sport et développement durable Personnes chargées du dossier : Arnaud JEAN Tél. : 01 40 45 96 74 Mel: arnaud.jean@jeunesse-sports.gouv.fr Fabienne COBLENCE

Plus en détail

au 1er novembre 2013

au 1er novembre 2013 au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise

La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise 50 salariés et plus / groupes de distribution (GDSA) dans la Branche des Services de l Automobile GPEC La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise Anticiper les enjeux

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013 CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

26 et 27 mai 2015. Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général

26 et 27 mai 2015. Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général 26 et 27 mai 2015 Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général Mesdames, Messieurs, Lors de mes propos introductifs à ces débats, je vous ai dit que le développement social, comme le développement

Plus en détail

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI? LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière

Plus en détail

Panorama. de l économie sociale et solidaire

Panorama. de l économie sociale et solidaire Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France

Plus en détail

vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national innover et entreprendre créer son emploi

vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national innover et entreprendre créer son emploi vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national de S l économie ociale & olidaire entrée libre innover et entreprendre créer son emploi FondeR son association epargner

Plus en détail

POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017

POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017 LE PACTE : un outil pragmatique et partenarial au service des habitants et des acteurs économiques POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017 Depuis sa création Est Ensemble a fait du

Plus en détail

ASSEMBLÉE DES COMMUNAUTÉS DE FRANCE

ASSEMBLÉE DES COMMUNAUTÉS DE FRANCE ASSEMBLÉE DES COMMUNAUTÉS DE FRANCE L évolution des effectifs intercommunaux NOTE TECHNIQUE Juillet 2012 1. Une augmentation des effectifs dans les collectivités locales La fonction publique territoriale

Plus en détail

Préparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014

Préparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement

Plus en détail

Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury

Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Lucile Manoury Chargée d études, Collège coopératif, Aix-en-Provence Bonjour à tous. Je vais vous faire une présentation un peu théorique

Plus en détail

APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE

APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE L apprentissage dans l enseignement supérieur a pour mission de faciliter l accès à des formations de haut niveau et de permettre à des étudiants de

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant

Plus en détail

Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit!

Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit! Conférence de presse du 30 novembre 2011 Session budgétaire de la Région Auvergne* Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi Unique et inédit! L Auvergne : 1 ère Région de France à lancer une

Plus en détail

POUR UNE NOUVELLE POLITIQUE DE SOUTIEN A L INSERTION PAR L ACTIVITE L ECONOMIQUE. Rapport Cadre n CR 41-09 du 06 Mai 2009

POUR UNE NOUVELLE POLITIQUE DE SOUTIEN A L INSERTION PAR L ACTIVITE L ECONOMIQUE. Rapport Cadre n CR 41-09 du 06 Mai 2009 POUR UNE NOUVELLE POLITIQUE DE SOUTIEN A L INSERTION PAR L ACTIVITE L ECONOMIQUE Rapport Cadre n CR 41-09 du 06 Mai 2009 1 Une politique régionale concertée Le 20 Mai 2008, le CRIF organise une large concertation

Plus en détail

Guide d'auto-évaluation des établissements d'enseignement supérieur

Guide d'auto-évaluation des établissements d'enseignement supérieur Guide d'auto-évaluation des établissements d'enseignement supérieur avril 2008 Les références européennes pour l auto-évaluation 1 Le processus de Bologne qui vise à créer un espace européen d enseignement

Plus en détail

Le DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012

Le DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012 Le DMP en Bretagne Assemblée générale ANIORH Vendredi Ordre du Jour 1- Présentation du DMP 2- Déploiement du DMP en Bretagne 3- Présentation de la démarche en établissement 4- Présentation de la démarche

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

Bilan de la concertation sur le PEDT

Bilan de la concertation sur le PEDT les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche

Plus en détail

Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France

Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes

Plus en détail

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,

Plus en détail

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 Document créé le 22/02/2011 Direction de l Education RHONE ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 En proposant aux collectivités territoriales de négocier et de signer les Contrats

Plus en détail

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l

Plus en détail

Que ressentirais-tu si la victime était un(e) de tes camarades de classe, un(e) voisin(e) ou un(e) ami(e)?

Que ressentirais-tu si la victime était un(e) de tes camarades de classe, un(e) voisin(e) ou un(e) ami(e)? Que ferais-tu si quelqu un de ton lycée, de ton entourage, de ton quartier était agressé, verbalement ou physiquement, en raison de son look, de son sexe, de son accent, de sa religion ou de sa couleur

Plus en détail

Une association qui entreprend au service de l intérêt général

Une association qui entreprend au service de l intérêt général Une association qui entreprend au service de l intérêt général Des métiers au service du lien social L UFCV, UNE ASSOCIATION QUI ENTREPREND AU SERVICE DE L INTÉRÊT GÉNÉRAL 1907 Naissance de l Union Parisienne

Plus en détail

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag

Plus en détail