Panorama macroéconomique. allocation des actifs
|
|
- Jérôme Desmarais
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Panorama macroéconomique mondial et allocation des actifs Par Andreas Koester, Head of Asset Allocation & Currency, Global Investment Solutions (GIS) En tant qu investisseurs multi-actifs, nous consacrons beaucoup de temps et de ressources à l analyse des tendances économiques et des marchés financiers qui constituent des facteurs déterminants pour les cours des actifs. Nos analyses macroéconomiques et du marché jouent un rôle essentiel dans le processus de mise en place de stratégies d investissement par notre équipe Global Investment Solutions (GIS). Sur les pages suivantes, nous exposons nos prévisions pour l économie mondiale à moyen et long termes, mais aussi sur un horizon de 12 à 18 mois. Nous abordons également certains événements ayant influencé nos décisions en matière d allocation des actifs au deuxième trimestre, et présentons nos analyses actuelles en termes de monnaies et de placements alternatifs.
2 Nos analyses macroéconomique et du marché En tant qu investisseurs multi-actifs, nos perspectives à moyen terme restent optimistes. Nous privilégions largement les actions par rapport aux obligations, bien que toutes les catégories d actifs et les monnaies présentent des opportunités de placement attrayantes en termes de potentiel de risque et rendement. Nette préférence pour les actions par rapport aux obligations, malgré des opportunités attrayantes dans toutes les catégories d actifs Au deuxième trimestre, nous avons adopté une position plus positive sur les actions de la zone euro, notre approche favorable au risque étant soutenue par la conviction que la reprise économique de la région se poursuivrait, malgré l évolution de la crise de la dette grecque. Si notre positionnement sur les actions suisses est neutre, nous nous attendons cependant à ce que cette catégorie d actifs profite à long terme du redressement économique actuel de l Europe. Cette stratégie correspond d ailleurs à notre préférence pour les marchés des actions développés (hors Etats-Unis). Hausse possible des taux d intérêt par la Fed, maintien de l assouplissement pour la BoJ et la BCE La plupart des investisseurs ne s inquiètent guère des pressions inflationnistes, et les conditions pour les liquidités à l échelle mondiale devraient rester favorables pour les 12 à 18 mois à venir. Si, d après l opinion générale, la Réserve fédérale américaine (Fed) devrait commencer à relever les taux d intérêt cette année, en revanche, la Bank of Japan (BoJ) et la Banque centrale européenne (BCE) restent résolument en phase d assouplissement. Toutefois, les investisseurs surveilleront probablement de près les conditions de liquidités sur les marchés chinois, étant donné la possibilité de nouvelles périodes de forte volatilité. Des conditions de croissance plus difficiles sur les marchés émergents que dans les pays développés Selon nous, les économies des marchés émergents connaissent des conditions de croissance plus difficiles que dans les pays développés. Nos prévisions concernant les marchés émergents sont plus favorables pour l année prochaine, surtout dans le cas des pays du nord de l Asie, qui sont des importateurs nets de pétrole et disposent d une balance courante relativement saine. Prévisions de croissance et d inflation du consensus pour Marchés développés Croissance du PIB en % Inflation de l IPC en % Etats-Unis Zone euro Japon Royaume-Uni Suisse Marchés émergents Chine Russie Brésil Inde A fin juin 2015 Source: Bloomberg Finance LP, UBS Global Asset Management Andreas Koester est Head of Asset Allocation & Currency dans l équipe Global Investment Solutions (GIS). Il a la responsabilité générale de la définition de la stratégie dans l ensemble des capacités GIS d allocation des actifs et des monnaies, y compris pour les mandats relatifs aux indices de référence traditionnels et axés sur des rendements absolus1. M. Koester dirige également la recherche et l analyse visant à soutenir la définition de la stratégie d allocation des actifs. Il a rejoint UBS Global Asset Management en 2009 et jouit de plus de 21 ans d expérience dans le secteur. 2
3 La Suisse sur le devant de la scène La solidité du franc suisse reste un obstacle majeur pour l économie nationale, surtout dans la mesure où elle mine la compétitivité des exportateurs et réduit le tourisme à destination de la Suisse. La consommation privée, en revanche, devrait rester relativement saine dans les mois à venir, en l absence de pression à la hausse sur les prix à la consommation, bien que les perspectives de hausse du chômage et le manque de croissance des salaires pourraient restreindre la capacité des ménages à dépenser. Evolution contrastée pour les entreprises Au deuxième trimestre, la croissance des bénéfices des entreprises a été décevante dans la plupart des secteurs de l économie suisse, bien que les entreprises des secteurs davantage orientés vers l économie nationale, tels que la santé ou les services sociaux, aient signalé des reculs moins nets. Dans un contexte de solidité persistante du franc, les secteurs sensibles aux prix, comme les machines et l électricité, sont ceux qui ont le plus souffert.. Pendant ce temps, le secteur immobilier suisse a continué à afficher une dynamique positive, avec une progression, en glissement annuel, des créances hypothécaires vis-à-vis des ménages et une tendance à la hausse des indices des prix de l immobilier. Les perspectives de l industrie suisse restent mitigées, avec ses risques plutôt orientés à la baisse. Pour la première fois cette année, l indice des directeurs d achats (PMI) suisse a atteint 50 en juin, un niveau qui traduit l expansion des activités commerciales, mais ces gains ont été de courte durée, l indice tombant à 48,7 en juillet. Les sociétés nationales ont eu beau tailler dans leurs effectifs et chercher à réduire leurs bases de coûts libellées en francs, elles continuent néanmoins à souffrir de façon significative de la force du franc suisse. Un coup de pouce donné par la reprise économique de la zone euro Une nouvelle progression de la reprise économique de la zone euro devrait donner un coup de pouce aux actions suisses, étant donné les étroites relations commerciales entre les entreprises régionales. Mais pour l instant, nous restons neutres sur les actions suisses. Nous privilégions dans l ensemble les actions des pays développés hors Etats-Unis, ou l indice MSCI EAFE. Les emprunts d Etat suisses nous semblent peu attrayants, puisqu ils affichent des rendements faibles sur toute la courbe. Le fait que le gouvernement suisse détienne peu de titres de dette étrangère et l absence de pressions inflationnistes, couplés aux rachats d actifs de grande envergure de la Banque centrale européenne, devraient permettre aux rendements obligataires de rester bien ancrés. Les obligations d Etat suisses sont généralement perçues comme une source de financement constante, avec l avantage supplémentaire d un éventuel affaiblissement de la monnaie. L absence de stratégie de conciliation actifs-passifs ou d avantages de la couverture de change pour les investisseurs étrangers rend les emprunts d Etat suisses peu attrayants, d après nous. Dépréciation progressive en vue pour le franc suisse Sur le plan monétaire, selon notre thèse, l affaiblissement des données économiques de la Suisse et de la balance des paiements du pays pèseront sur le franc à terme. Si ce dernier a raisonnablement bien tenu face à l euro, dans un contexte de craintes au sujet de la Grèce au deuxième trimestre, les investisseurs qui recherchent des valeurs refuges pourraient préférer d autres monnaies que le franc suisse, par exemple le dollar américain. Suite à son intervention pour stabiliser le franc, après l envolée de ce dernier face à l euro à la fin du deuxième trimestre, la BNS pourrait encore prendre de telles mesures, en particulier pour répondre à de nouvelles périodes de volatilité du marché imputables à la crise de la dette grecque. 3
4 Nos décisions en matière d allocation des actifs Trois situations, chacune se développant de manière plus ou moins prévisible, ont retenu l attention des investisseurs ces derniers temps: Evolution aux États-Unis; la Chine et la Grèce ouvrent opportunités d investissement Il est de plus en plus probable que la Fed relève ses taux d intérêt, pour ce qui serait sans aucun doute la hausse de taux la plus annoncée de toute l histoire. De manière plus chaotique, les actions chinoises ont joué aux montagnes russes, tandis que l économie s adaptait à un taux de croissance plus faible et que la banque centrale tentait d exercer son influence pour changer la donne. Enfin, la situation la moins prévisible de toutes concerne la saga en cours de la dette grecque, le pays et ses créanciers internationaux cherchant toujours à trouver une solution viable cinq ans après le déclenchement de la crise. Ces trois situations ont façonné le panorama macroéconomique et financier au cours du dernier trimestre, si bien que nous avons tenté de positionner nos portefeuilles de manière à profiter des opportunités de placement attrayantes auxquelles elles ont donné lieu. Pas de meilleur guide que la Fed Après avoir examiné les déclarations de la présidente de la Fed, Janet Yellen, les investisseurs lui font confiance pour procéder à des hausses progressives et conformes aux statistiques, une fois que la Fed commencera à relever les taux d intérêt, qui sont à des niveaux historiquement bas- que ce soit en septembre, en décembre ou en début d année prochaine. L actualité du deuxième trimestre a suggéré que les taux s orienteraient à la hausse, mais à un rythme encore plus lent qu on ne le pensait. D après nous, cette tendance renforce les perspectives d inflation inattendue, qui risquerait d exercer une pression sur les rendements des emprunts d Etat américains à longue échéance. Par conséquent, nous avons liquidé notre position sur les bons du Trésor américain, qui aplatissait la courbe (courte sur le segment des 5 ans par rapport aux bons du Trésor à 30 ans). Nous pensons que le moment est idéal pour que la Fed commence à resserrer ses conditions monétaires, étant donné que d autres banques centrales ont récemment renforcé leur politique d assouplissement, à savoir la Banque centrale européenne (BCE) et la Bank of Japan (BoJ). Cette stratégie contribuerait en partie à alléger le fardeau de la gestion des liquidités internationales pour la Fed. Depuis juin, certains signes semblent annoncer une hausse pour septembre, qui serait suivie par une normalisation très progressive. Cependant, la politique employée implique une marge d erreur importante. Evaluation de l ensemble du marché des actions américain moins attrayante que pour d autres pays développés Nous estimons que l ensemble du marché des actions américain est évalué de manière moins attrayante que les actions d autres pays développés (représentées par l indice MSCI EAFE), notamment la zone euro et le Japon. Si les marges bénéficiaires des entreprises américaines sont restées robustes, elles sont cependant susceptibles de subir des pressions à l avenir, au fur et à mesure de l amélioration du marché du travail et de la consolidation de la croissance des salaires. La solidité du dollar américain constitue un obstacle pour les exportateurs, et pèse sur les perspectives de croissance des bénéfices. 4
5 Dans la mesure où de nombreuses grandes entreprises américaines ont du mal à doper leurs bénéfices, nous considérons les petites et moyennes entreprises comme une alternative plus attrayante. Ce point de vue repose sur nos prévisions de renforcement de l activité de fusions et acquisitions. Les grandes entreprises qui peinent à afficher une croissance interne des bénéfices cherchent souvent à racheter d autres sociétés pour augmenter leurs profits. Elles visent généralement des petites et moyennes entreprises de l indice Russell 2000, susceptibles de générer plus de bénéfices. La Chine sur le devant de la scène Les investisseurs en actions mondiales surveillent de près la progression de la Chine dans leur univers de placement potentiel. A la fin du deuxième trimestre, le fournisseur mondial d indices de référence MSCI a annoncé qu il n inclurait pas encore d actions cotées en Chine continentale («A-share») dans son indice MSCI Emerging Markets. D après MSCI, la Chine n a toujours pas assez d infrastructures pour permettre une entrée et une sortie efficaces de fonds, et les craintes persistent concernant l accès au marché de nombreux investisseurs internationaux. Cette décision intervient malgré les progrès opérés par la Chine dans l ouverture du marché local aux investisseurs étrangers, avec notamment la plateforme d échange avec Hong Kong. Préférence pour les actions cotées à Hong- Kong «H-shares» par rapport aux actions chinoises «A-shares» La décision de MSCI de ne pas inclure la Chine dans son indice des marchés émergents a sapé le moral des investisseurs et contribué à ce que les actions chinoises «A-shares» perdent une partie de leurs gains considérables. Le marché boursier continental a bénéficié d une forte hausse au premier semestre, les investisseurs ayant commencé à prendre leurs profits en juin. Cette évolution a marqué un tournant décisif, avec un recul de plus de 30% du marché chinois continental après la fin du deuxième trimestre. Notre préférence va aux «H-shares» hong-kongaises par rapport aux «A-shares» chinoises, un positionnement relatif dans lequel nous croyons toujours. Au regard de l ensemble de l univers des marchés émergents, nous adoptons une position positive sur les actions du nord de l Asie, qui bénéficient de la faiblesse des cours des matières premières. La People s Bank of China opte pour une politique de plus en plus accommodante, dans son effort de stabilisation des conditions de croissance, en abaissant son taux d intérêt de référence et en assouplissant les exigences en matière de réserves pour certains prêteurs en juin. Elle a eu recours à un large éventail d outils pour tenter d empêcher de nouvelles chutes du marché des actions. Réflexion sur l évolution de la situation en Grèce Le deuxième trimestre a été dominé par l actualité relative à la Grèce, les gros titres faisant état des dernières péripéties de la crise de la dette du pays. Fin juillet, la Grèce et ses créanciers internationaux continuaient à régler les détails relatifs à la proposition d un troisième plan de sauvetage. Si les craintes des investisseurs ont été renouvelées à chaque nouveau rebondissement, l impact sur les marchés financiers est cependant resté relativement limité. Cette évolution n était pas surprenante, dans la mesure où les banques européennes et autres institutions bancaires étrangères avaient réduit leur exposition à la Grèce, et compte tenu de la solidité relative des autres économies à la périphérie de la zone euro, qui ont progressé dans la mise en place de réformes structurelles. Optimisme accru vis-à-vis des actions de la zone euro Dans ce contexte, nous avons adopté une position de plus en plus positive sur les actions de la zone euro au cours du deuxième trimestre. D après nous, il est peu probable que les derniers événements en Grèce mettent en péril la reprise économique de la zone euro, en pleine consolidation. Les entreprises de la zone euro devraient enregistrer une croissance des bénéfices cette année, et le programme d assouplissement quantitatif en cours de la BCE crée un environnement favorable aux actifs à risque. Les outils de la banque centrale ont été renforcés par la ratification par la Cour de justice de l Union européenne de son programme de rachats de titres (OMT). Nous estimons que la BCE dispose des instruments nécessaires pour limiter la contagion en cas d intensification de la crise de la dette souveraine grecque. 5
6 Monnaies L anticipation par les investisseurs de la première hausse de taux de la Fed a constitué un facteur clé dans l orientation des événements du trimestre sur le marché monétaire. L opinion générale selon laquelle la Fed devrait relever ses taux d intérêt au moins à une reprise, sinon deux, pendant l année, a soutenu les gains du dollar américain sur la période. Les signes indiquant que la faiblesse économique du premier trimestre constituait une anomalie, dans un contexte de croissance américaine globalement positive, ont aussi dopé le dollar américain. Réduction de la surpondération du dollar américain, avec une position qui reste cependant haussière D après nous, le solide rebond enregistré par le dollar américain sur l année écoulée arrive à sa fin, comme le révèle le fait que le positionnement long sur le dollar est désormais une opération largement consensuelle parmi les investisseurs. Nous avons réduit notre surpondération du dollar américain, mais nous restons haussiers. Notre approche privilégiée est d associer une position longue sur le dollar américain à une exposition courte sur une devise que nous estimons surévaluée, comme le dollar néo-zélandais. Nous estimons que le yen est la monnaie la plus sous-évaluée du G10, ce qui permet d envisager son appréciation dans la plupart des scénarios. Dans la mesure où la BCE suit une voie de plus en plus similaire à celle de la BoJ en termes de politique monétaire, nous considérons qu il existe un potentiel d appréciation du yen face à l euro, et nous sommes positionnés en conséquence (position longue sur le yen vis-à-vis de l euro). Selon nous, les investisseurs surestiment les perspectives d un renforcement de la politique monétaire accommodante, ce qui devrait découler sur une pression à la baisse sur le yen de la part de la BoJ. L amélioration des termes d échanges commerciaux du Japon et la croissance modérée des volumes à l exportation constituent d autres facteurs qui soutiendront probablement le yen. devenus de moins en moins prévisibles, et les investisseurs se sont rués vers le franc suisse, qui a joué le rôle de valeur refuge. Avec l effondrement de l euro face au franc suisse, la Banque nationale suisse est intervenue sur les marchés monétaires pour stabiliser le franc. Selon notre thèse, la dégradation des données économiques de la Suisse et de la balance des paiements du pays pèseront sur le franc à terme. Si ce dernier a raisonnablement bien tenu face à l euro, dans un contexte de craintes des investisseurs au sujet de la Grèce, nous pensons que les investisseurs recherchant des valeurs refuges pourraient préférer d autres monnaies au franc suisse, par exemple le dollar américain. Alternatives Le deuxième trimestre a été marqué par un environnement difficile pour les matières premières. Les périodes où le dollar américain est fort tendent à constituer un obstacle pour les matières premières, tandis que des conditions de liquidités relativement peu favorables et l affaiblissement de l économie chinoise pesaient également sur les rendements. Dans ce contexte, nous percevons un potentiel de hausse dans l or et l agriculture. Rééquilibrage possible des conditions de l offre et de la demande de pétrole A l échelle mondiale, l offre de pétrole reste excédentaire, mais nous pensons que les conditions de l offre et de la demande pourraient s ajuster et se rééquilibrer dans les trimestres à venir. Sur un horizon à 12 mois, nous prévoyons une chute du prix du baril de pétrole brut dans la fourchette de 50 à 70 dollars américains. Nous sommes dans l ensemble positifs sur le private equity, tant illiquide que coté. Intervention de la BNS en conséquence de la dégringolade de l euro face au franc suisse Vers la fin du trimestre, les nouveaux événements survenant dans le cadre de la crise de la dette grecque sont 6
7 Attrait des catégories d actifs Le graphique ci-dessous montre le point de vue de l équipe GIS Asset Allocation & Currency sur l attractivité globale des catégories d actifs, ainsi que sur l attractivité relative dans les actions, les titres à revenu fixe et les devises, à finjuillet Ensemble Non attrayant Neutre Attrayant Australie Etats-Unis Japon Actions Royaume-Uni ME Zone euro Suisse Obligations Japon Suisse Royaume-Uni UEM Etats-Unis EMD en monnaie locale Australie EMD en USD Haut rendem. Entreprises NZD CAD Monnaies CHF AUD GBP USD EUR JPY Positif Négatif A titre d illustration uniquement. Données à fin juillet 2015; en fonction d un horizon de 12 à 18 mois, sur la base des informations dont nous disposons. Ces points de vue ne sont pas nécessairement le reflet du portefeuille GIS portefeuille actuel et sont sujets à changement. Source: équipe GIS Asset Allocation & Currency d UBS Global Asset Management 7
A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS
FINANCE FONDS DE FONDS A PLUS DYNAMIQUE A PLUS PATRIMOINE A PLUS TALENTS A PLUS OBLIGATIONS RAPPORT DE AU 30-06-2015 COMMENTAIRE DE 1 er SEMESTRE 2015 Le premier semestre 2015 a été caractérisé par le
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailPrivilégier les actions et les emprunts d entreprise aux placements monétaires et aux emprunts d Etat AAA
Swisscanto Asset Management SA Waisenhausstrasse 2 8021 Zurich Téléphone +41 58 344 49 00 Fax +41 58 344 49 01 assetmanagement@swisscanto.ch www.swisscanto.ch Politique de placement de Swisscanto pour
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailLa guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015
PERSPECTIVES La guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015 Depuis le début de l année 2015, de nombreuses banques centrales à travers le monde ont abaissé leur taux d intérêt ou pris d autres
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailInformations générales 1 er trimestre 2015. Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas
Informations générales 1 er trimestre 2015 Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas A propos de Swisscanto Swisscanto figure parmi les plus grands promoteurs de fonds de placement et prestataires
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailInvestir sur les marchés de taux au sein des pays émergents
Gestion obligataire Investir sur les marchés de taux au sein des pays émergents Nous pensons que la répression financière se prolongera encore plusieurs années. Dans cet intervalle, il sera de plus en
Plus en détailPlacements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques
Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble
Plus en détail2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?
Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos
Plus en détailStratégie d Investissement
STRATÉGIE Mars 2015 Stratégie d Investissement Perspectives trimestrielles Marge de sécurité Les perspectives pour l économie mondiale restent mitigées. La croissance américaine se généralise, sans pour
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailWeekly Review. Atténuation des tensions sur les devises. L assouplissement quantitatif sera-t-il différent cette fois? Lundi 18 octobre 2010
Atténuation des tensions sur les devises Les tensions à l égard des devises entre les États-Unis et la Chine ont atteint une nouvelle apogée cette semaine lorsque les réserves en devises étrangères de
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailLE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE
DE LA GESTION PRIVÉE COMPTE RENDU DAVID DESOLNEUX DIRECTEUR DE LA GESTION SCÉNARIO ÉCONOMIQUE ACTIVITÉS La croissance économique redémarre, portée par les pays développés. Aux Etats-Unis, après une croissance
Plus en détailOUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active
Ce document est destiné à des investisseurs professionnels uniquement Vivienne investissement L analyse quantitative au service de la gestion active OUESSANT Rapport de gestion Printemps-été 2015 Vivienne
Plus en détailAS Equities Opportunity Switzerland (CHF)
AS Investment Management (CHF) Rapport annuel 2011 Philosophie d investissement AS Equities - Opportunity Switzerland est un fonds long-short en actions suisses, avec une faible corrélation au marché suisse.
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détailLa BNS capitule: Fin du taux plancher. Alain Freymond (BBGI Group SA)
La BNS capitule: Fin du taux plancher Alain Freymond (BBGI Group SA) Changement radical de politique monétaire le 15/1/2015 Les taux d intérêt négatifs remplacent le taux plancher 1. Abandon du taux plancher
Plus en détailDORVAL FLEXIBLE MONDE
DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et
Plus en détailEconomie et marchés. Editorial. Nos évaluations en bref
Investment Strategy & Research Economie et marchés Août 21 Editorial Les tragédies financières ne manquent pas cet été: à peine le dernier acte de la crise grecque terminé, la Chine est ébranlée par un
Plus en détailNouvelle Classification Europerformance. Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma
Nouvelle Classification Europerformance Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma ANCIENNE CLASSIFICATION EUROPERFORMANCE NOUVELLE CLASSIFICATION EUROPERFORMANCE Famille Trésorerie Tresorerie
Plus en détailLes divergences dominent le marché
Les divergences dominent le marché L euro a continué de glisser, pour la sixième semaine consécutive, face au dollar américain. Et cette baisse devrait continuer de s accentuer dans les prochains jours,
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailLe RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions
27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailPerspectives économiques 2013-2014
Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailDiversification obligataire et recherche de rendement : Un rôle stratégique pour la dette émergente. Insight + Process = Results
Diversification obligataire et recherche de rendement : Un rôle stratégique pour la dette émergente Insight + Process = Results Des fondamentaux solides Un potentiel de diversification Dans un environnement
Plus en détailLES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES. Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1
LES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1 Couverture : Protéger des créances ou des dettes (commerciales ou financières) contre le risque de variation
Plus en détailBIL BOARD L'actualité des marchés financiers été 2013
BIL BOARD L'actualité des marchés financiers été 2013 Chers clients, Chers investisseurs, La fin du 1 er semestre 2013 ne sonne malheureusement pas encore la fin de cette crise financière! Les informations
Plus en détailATTIJARI MARKET RESEARCH FX & COMMODITIES TEAM
29 juin 2009 Forex Weekly Highlights I. Evénements clés et statistiques de la semaine du 22 juin 2009 Le retour de l aversion au risque a permis au billet vert d effacer un peu les pertes accumulées face
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailFINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAIL INDIVIDUEL I
FINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAIL INDIVIDUEL I ()*( TABLE DES MATIERES 1. EXERCICE I 3 2. EXERCICE II 3 3. EXERCICE III 4 4. EXERCICE IV 4 5. EXERCICE V 5 6. EXERCICE VI 5 7. SOURCES 6 (#*( 1. EXERCICE
Plus en détailNouvelle vague d assouplissement 1
Nouvelle vague d assouplissement 1 Ces derniers mois, une vague d assouplissement des politiques monétaires, largement inattendue, a mobilisé l attention des marchés financiers mondiaux. Dans un contexte
Plus en détailIndices Pictet LPP 2015. Une nouvelle référence pour les caisses de pension suisses
Indices Pictet LPP 2015 Une nouvelle référence pour les caisses de pension suisses Pictet Asset Management Janvier 2015 Table des matières Une nouvelle famille d indices 3 Un examen des indices LPP existants
Plus en détailCinq ans après le début de la crise financière, l économie
52 5 L immobilier d entreprise allemand et les investisseurs Par Marcus Cieleback, directeur de recherche, PATRIZIA Immobilien AG. 5.1/ SITUATION GÉNÉRALE Cinq ans après le début de la crise financière,
Plus en détailGENERALI INVESTMENTS EUROPE GF FIDELITE FR0010113894 15 juin 2015
Sur la période 11 mai 2015 au 10 juin 2015, la performance du fonds est en retrait de -1.04% par rapport à son indicateur de référence*. Néanmoins, depuis le début d année, GF Fidélité surperforme son
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailLEADER MONDIAL DU PETIT ÉQUIPEMENT DOMESTIQUE
26 février 2015 Résultats de l exercice 2014 Groupe SEB : Des performances opérationnelles solides Des devises pénalisantes 1 Ventes de 4 253 M en croissance organique* de + 4,6 % Croissance organique*
Plus en détailFlash Stratégie n 2 Octobre 2014
Flash Stratégie n 2 Octobre 2014 Vers un retour de l or comme garantie du système financier international. Jean Borjeix Aurélien Blandin Paris, le 7 octobre 2014 Faisant suite aux opérations de règlement
Plus en détailInvestments Europe PERSPECTIVES 2015 UNE ÉCONOMIE MONDIALE FRAGILISÉE QUI AVANCE MALGRÉ TOUT. www.generali-investments-europe.com
Investments Europe PERSPECTIVES 2015 UNE ÉCONOMIE MONDIALE FRAGILISÉE QUI AVANCE MALGRÉ TOUT RÉSERVÉ AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS Vue d ensemble 2014 marque le septième anniversaire du déclenchement
Plus en détailLetko, Brosseau & Associés Inc.
Letko, Brosseau & Associés Inc. Perspectives sur la conjoncture économique et les marchés financiers Letko, Brosseau & Associés Inc. 1800 avenue McGill College Bureau 2510 Montréal, Québec H3A 3J6 Canada
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailUne porte d entrée vers un nouveau monde. par Sergio Trigo-Paz
Une porte d entrée vers un nouveau monde Pour les investisseurs professionnels uniquement par Sergio Trigo-Paz STRATEGIC SOLUTIONS Edition Printemps 2013 Une porte d entrée vers un nouveau monde par Sergio
Plus en détailRAPPORT SUR LA STABILITÉ FINANCIÈRE DANS LE MONDE Avril 2015
RAPPORT SUR LA STABILITÉ FINANCIÈRE DANS LE MONDE Avril 2015 RÉSUMÉ ANALYTIQUE Les chocs macroéconomiques mettent de nouveau à l épreuve les marchés mondiaux Durant ces six derniers mois, les événements
Plus en détailLe commerce extérieur de la Suisse en 2013
Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailLa faiblesse du huard va persister
Septembre 215 La faiblesse du huard va persister L élargissement de la bande de flottement du yuan et la dévaluation subséquente d autres monnaies des marchés émergents ont propulsé l USD pondéré des échanges
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailQU EST-CE QUE LE FOREX?
Chapitre 1 QU EST-CE QUE LE FOREX? 1. INTRODUCTION Forex est la contraction de foreign exchange qui signifie «marché des changes». C est le plus grand marché du monde. Le volume journalier moyen des transactions
Plus en détailBSI Market Outlook. II Quarter 2015. Banquiers suisses depuis 1873. Quarterly market and economic view By BSI Strategy and Research Department
Banquiers suisses depuis 1873 BSI Market Outlook II Quarter 2015 Quarterly market and economic view By BSI Strategy and Research Department BSI SA via Magatti 2 6900 Lugano Svizzera tel. +41 (0)58 809
Plus en détailSeptembre 2011 Baromètre bancaire 2011. L'évolution conjoncturelle des banques en Suisse
Septembre 2011 Baromètre bancaire 2011 L'évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2011 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Sommaire Executive Summary 3 1 Evolution
Plus en détailPleins feux sur BlueBay Asset Management L un des plus grands gestionnaires mondiaux de titres à revenu fixe spécialisés
Pleins feux sur BlueBay Asset Management L un des plus grands gestionnaires mondiaux de titres à revenu fixe spécialisés BlueBay : À la pointe des titres à revenu fixe spécialisés BlueBay a été fondée
Plus en détailCompte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant)
Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Présentation Cogefi Gestion est la société de gestion, filiale à 100% de la maison mère Cogefi. Elle fait partie
Plus en détailLa dette des ménages canadiens demeure très élevée
12 septembre 2014 La dette des ménages canadiens demeure très élevée Faits saillants États Unis : accélération bienvenue des ventes au détail. Forte hausse du crédit à la consommation en juillet aux États
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailFONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES
FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES Octobre 2011 Gabriela TURCATTI Jordi GUILLO SOMMAIRE IMMOBILIER SUISSE 3 CATÉGORIES L immobilier résidentiel 4 L immobilier commercial 5 L immobilier de bureau 5
Plus en détailInvestments Europe PERSPECTIVES D INVESTISSEMENT DES FACTEURS DE SOUTIEN CYCLIQUES. Deuxième trimestre 2015. www.generali-investments-europe.
Deuxième trimestre 2015 Investments Europe PERSPECTIVES D INVESTISSEMENT DES FACTEURS DE SOUTIEN CYCLIQUES RÉSERVÉ AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS PERSPECTIVES D' INVESTISSEMENT Vue d ensemble Les indicateurs
Plus en détailLes mesures adoptées et la réduction des risques à court terme ont revigoré les marchés 1
Les mesures adoptées et la réduction des risques à court terme ont revigoré les marchés 1 Au cours des trois mois écoulés jusqu à début décembre, les prévisions en matière de croissance économique mondiale
Plus en détailEuronext simplifié (dérivés: level 1, actions: level 2) Pays-bas, France, Belgique 2,00 EUR 59,00 EUR
Cours en temps réel - Europe Euronext simplifié (dérivés: level 1, actions: level 2) -bas, France, Belgique 2,00 EUR 59,00 EUR Euronext total (dérivés: level 2, actions: level 2) -bas, France, Belgique
Plus en détailBANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011
البنك المركزي التونسي BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 SOMMAIRE Pages Introduction... 5 Endettement extérieur
Plus en détailPerspective des marchés financiers en 2014
Perspective des marchés financiers en 2014 21/01/2014 13 ième édition 1 Outil d aide à la décision : The Screener OUTIL D AIDE À LA DÉCISION : THESCREENER Des analyses sur les valeurs boursières Disponible
Plus en détailLa Banque nationale suisse surprend les marchés
La Banque nationale suisse surprend les marchés 16 janvier 2015 Faits saillants États-Unis : baisse décevante des ventes au détail en décembre. États-Unis : les prix de l essence font diminuer l inflation,
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détail5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines
5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines Avec toute la volatilité qui règne sur les marchés ces derniers temps, nombreux sont les investisseurs qui cherchent à diversifier leur portefeuille.
Plus en détailDéchiffrer les marchés et les placements à long terme. 30 juin 2015
Déchiffrer les marchés et les placements à long terme 30 juin 2015 L histoire derrière les graphiques L avantage des journaux, du point de vue d un éditeur, c est qu ils créent une dépendance. Les histoires
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE JOURNALIER
RESEARCH TEAM RAPPORT TECHNIQUE JOURNALIER LIMITATION DE RESPONSABILITE & TRANSPARENCE Veuillez lire les clauses de limitation de responsabilite et de transparence en fin de rapport DIRECTION PERIODE STRATEGIE
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE JOURNALIER
RESEARCH TEAM RAPPORT TECHNIQUE JOURNALIER LIMITATION DE RESPONSABILITE & TRANSPARENCE Veuillez lire les clauses de limitation de responsabilite et de transparence en fin de rapport DIRECTION PERIODE STRATEGIE
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Enquête triennale sur le marché des changes et le marché des produits dérivés: résultats pour la Belgique.
Bruxelles, le 25 septembre 2007. COMMUNIQUÉ DE PRESSE Enquête triennale sur le marché des changes et le marché des produits dérivés: résultats pour la Belgique. En avril 2007, cinquante-quatre banques
Plus en détailREGARD SUR LES PLACEMENTS MONDIAUX. Comité des stratégies de placement RBC
REGARD SUR LES PLACEMENTS MONDIAUX Comité des stratégies de placement RBC NOUVEL AN 215 COMITÉ DES STRATÉGIES DE PLACEMENT RBC Le Comité des stratégies de placement RBC est composé de professionnels du
Plus en détailCONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii
CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii Consolider les dettes publiques: un processus au long cours Les dysfonctionnements européens
Plus en détailRésultats du premier trimestre 2015. SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 %
SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 % SCOR démarre l année avec de solides performances grâce à la mise en œuvre rigoureuse de son plan stratégique
Plus en détailSeptembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse
Septembre 2013 Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2013 Executive summary 3 1 Evolution économique globale 1.1 Economie internationale 1.2 Suisse
Plus en détailWS32 Institutions du secteur financier
WS32 Institutions du secteur financier Session 1 La vision chinoise Modernisation du système financier chinois : fusion de différentes activités bancaires et financières, accès des ménages au marché des
Plus en détailRéseaux. La Lettre de Swiss Life AM
Réseaux La Lettre de Swiss Life AM N 12 octobre 2013 Sommaire Edito... 2 par Jean-Pierre Grimaud Quand la mer se retire... 3 par Éric Bourguignon Marchés financiers et stratégies Taux et crédit... 4 par
Plus en détailGestion de fortune intégrée
Gestion de fortune intégrée Exemple SA Profil du portefeuille Gestion de fortune intégrée Numéro de dépôt 0835-123456-75 01.01.2014 31.12.2014 www.credit-suisse.com Table des matières 1. Informations sur
Plus en détailje connais mon banquier je connais mon banquier La sélection des valeurs les plus étoilées Investir
La sélection des valeurs les plus étoilées Investir Quelles valeurs choisir dans la nébuleuse des placements financiers? Comment composer un portefeuille d actifs en préservant le capital et en visant
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailVolume des opérations sur les marchés des changes et des produits dérivés Enquête triennale de la BRI: résultats pour la Suisse
Communiqué de presse Embargo: jeudi 5 septembre 2013, 15 heures (heure d été d Europe centrale) Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 5
Plus en détailLE DOLLAR. règne en maître, par défaut
LE DOLLAR règne en maître, par défaut Les arrangements monétaires internationaux sont examinés à la loupe depuis la crise financière mondiale Eswar Prasad LE DOLLAR a été la principale monnaie mondiale
Plus en détailRecherches mises en valeur
Recherches mises en valeur Résumé hebdomadaire de nos meilleures idées et développements au sein de notre univers de couverture La Meilleure Idée Capital One va fructifier votre portefeuille 14 février
Plus en détailCHAPITRE 1 : LES REGIMES DE CHANGES
CHAPITRE 1 : LES REGIMES DE CHANGES I- un bref survol historique du système monétaire international Le Système Monétaire International (SMI) représente le cadre institutionnel des échanges internationaux.
Plus en détailLa sélection de gérants dans le contexte d un mandat de conseil
Conseil en investissement (fiduciary management) La sélection de gérants dans le contexte d un mandat de conseil Les besoins des clients institutionnels, et en particulier ceux des fonds de pension, sont
Plus en détailL Europe serait-elle enfin à un tournant?
L Europe serait-elle enfin à un tournant? Thomas Higgins, PhD, chef économiste et stratégiste global macro chez Standish Rebecca Braeu, CFA, PhD, responsable de la recherche obligations souveraines Standish
Plus en détailLetko, Brosseau & Associés Inc.
Letko, Brosseau & Associés Inc. Perspectives sur la conjoncture économique et les marchés financiers Sommaire L amélioration progressive de la conjoncture économique dans les pays développés, menée par
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE JOURNALIER
RESEARCH TEAM RAPPORT TECHNIQUE JOURNALIER LIMITATION DE RESPONSABILITE & TRANSPARENCE Veuillez lire les clauses de limitation de responsabilite et de transparence en fin de rapport DIRECTION PERIODE STRATEGIE
Plus en détailthématique d'investissement
6// thématique d'investissement PRéSERVER LE CAPITAL AVEC DU CRéDIT DE QUALITé Alors qu elles avaient bien résisté à la crise de la dette souveraine sur le premier semestre, les obligations d entreprise
Plus en détailANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015
Direction de la Recherche Economique Auteur : Philippe Waechter L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Le premier point cette semaine porte sur la croissance modérée de la zone Euro au dernier
Plus en détailChercher. Taux d intérêt bas. Placements. Efficience du marché. Temporiser. Sécurité. Mis de côté
Asset Management Actions Seul celui qui regarde de près voit le vrai potentiel du marché Niches Hausse Mis de côté Actions Placements Efficience du marché Alternatives Taux d intérêt bas Chercher Trouver
Plus en détailLa dynamique du cycle européen reste robuste en dépit des incertitudes sur la Grèce
CONVICTIONS Conclusions du comité d investissement mensuel de Natixis Asset Management Juillet 2015 ANALYSE MACROECONOMIQUE La dynamique du cycle européen reste robuste en dépit des incertitudes sur la
Plus en détail