Qualité des eaux de surface et souterraines dans la ville de Yaoundé et son impact sanitaire.

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1 Institut National de la Statistique Institut Fédéral des Géosciences et des Ressources Naturelles Qualité des eaux de surface et souterraines dans la ville de et son impact sanitaire. Cadre et objectifs o visés : Un dispositif statistique approprié pour une meilleure gestion durable du développement Le dispositif statistique mis en place par le Gouvernement vise à fournir des informations pour la gestion durablele du développement. Dans cette perspective, l INS s est engagé, en collaboration avec les autres administrations et institutions publiques impliquées, à mettre en place un cadre de référence de production des statistiques et des indicateurs de suivi et évaluation de l ensemble des objectifs, notamment l Objectif du Millénaire pour le Développement n 7 qui met en exergue l interrelation entre la disponibilité de l eau de bonne qualité et la santé humaine. La présente étude pilote sur la pollution des eaux de surface et souterraines dans la ville de et son impact sur la santé des populations, vise principalement à sensibiliser les pouvoirs publics sur la problématique de la disponibilité d une eau de qualité, qu elle soit de surface ou souterraine, pour l alimentation des populations de et ses environs. 90% de la population de consomment une eau ayant subi un traitement. Les autres, soit 10%, recourent pour 4% aux sources d eau protégées, pour 3% au forage et pour 2% aux sources d eau non protégées. Tableau1 : Principale eau de boisson du ménage Eau principale consommée Figure1 : Principale eau de boisson par grappe de la zone d étude Eau ayant subi un traitement 87,8 90,2 Eau de robinet 67,7 72,8 Fontaine publique 17,4 14,3 Eau minérale 2,7 3,2 Eau n'ayant subi aucun traitement 12,2 9,8 Puits aménagé 0,2 0,2 Puits non aménagé 0,5 0,4 Forage 5,4 3,2 Source protégée 3,0 3,8 Source non protégée 2,9 2,2 Autre 0,2 0,1 Effectif Bien que 88% des ménages de la zone d étude déclarent consommer de l eau traitée, il existe tout de même une proportion de 12 % qui affirme consommer de l eau non traitée. Cette eau non traitée provient essentiellement des forages et dans une certaine mesure des sources (protégées ou non). Par ailleurs, ce sont les ménages de Madagascar (16 %) et d Ekoudou (15 %) qui sont

2 les plus exposés aux effets potentiellement néfastes de l eau non traitée. Les fréquentes coupures d eau à dégradent la situation, car la proportion des ménages qui consomment de l eau n ayant subi aucun traitement approprié augmente de deux fois et demi en passant de 10 à 35%. Les coupures intermittentes d eau à touchent pratiquement 92 % des ménages. La situation est plus prononcée à Madagascar où 98 % des ménages connaissent des coupures d eau intermittentes. A travers des réserves d eau constituées ou l approvisionnement dans les basfonds de la ville, certains ménages mitigent l effet du manque d eau. Figure2 : proportion de ménages ayant connu des pénuries ou des coupures d eau intermittentes 46 % des ménages de subissent au moins quatre fois par mois une coupure d eau. Cette réalité est plus prononcée dans la zone de Madagascar, où 92 % des ménages sont concernés. Tableau2 : Fréquence mensuelle de coupure d eau (en %) Pas de pénurie /coupures 40,4 Tous les jours 6,9 Une fois 4,2 Deux fois 3,5 Trois fois 5,7 Quatre fois et plus 39,3 Total 100,0 INS Note de présentation des résultats provisoires du commerce extérieur de l exercice 2012 Page 2 sur 27

3 36% des ménages disposent d un puits près de la concession pour résoudre le problème de déficit en eau. Pour juguler ces pénuries d eau, les ménages font recours soit aux réserves d eau (55 %), soit à l eau minérale (10 %), aux forages (6 %) ou à d autres sources d eau jugées non potables telles que les sources (11 %) et les puits (13 %).

4 Tableau 3 : Eau de boisson alternative Eau de boisson alternative Eau ayant subit un traitement zone d'étude 59,3 64,9 Réserve d'eau 49,7 54,7 Eau minérale 9,6 10,2 Eau n'ayant subit un traitement 40,7 35,1 Puits aménagé 9,3 6,7 Puits non aménagé 9,0 6,1 Forage 5,8 5,7 Source protégée 4,9 6,1 Source non protégée 4,9 4,5 Eau de pluie,1 Autre 6,7 5,9 Effectif Ces ménages disposent de l eau courante, mais du fait des coupures régulières, ils s approvisionnent à des sources d eau non traitées et sont exposés au même titre que ceux n ayant pas accès à l eau potable, aux risques de maladies hydriques. En effet, les études conduites par Obuobie et al. (2006), Rutkowski et al.(2007), et Van Der Hoek et al. (2005), ont montré que la recrudescence des maladies hydriques est corrélée à la mauvaise qualité de l eau. La disponibilité d une source ou d un puits près de la concession du ménage accroit la capacité de ce dernier à répondre à ses besoins en eau ou à suppléer au problème de multiples coupures d eau dans la ville. Près de 36 % des ménages disposent d un puits tandis que 6 % sont situés près d une source. Tableau4 : Disponibilité d un puits ou d une source près de la concession Un puits 40,1 35,9 Une source 3,2 5,6 Rien 56,6 58,5 Effectif INS Note de présentation des résultats provisoires du commerce extérieur de l exercice 2012 Page 4 sur 27

5 53% des ménages s exposent aux maladies véhiculées par l eau en recourant aux puits pour leur alimentation. Si le constat de puits non aménagé concerne 56% des ménages dans la zone d étude, elle touche principalement les ménages de la grappe de Madagascar, Biyem-assi/Obili et Ngoa-Ekellé. Tableau5 : Puits/Source aménagé Par ailleurs la distance recommandée entre les toilettes et la source d eau n est pas respectée pour 41% des ménages. Tableau7 : Distance entre le puits/source et les toilettes Puits/source aménagé 43,8 46,6 Puits/source non aménagé 56,3 53,4 Effectif Mais aussi, la position en aval du puits ou de la source vient accentuer les risques de contamination des eaux souterraines pour 50% des ménages. Moins de 15 m 42,5 40,6 15 m et plus 57,5 59,4 Effectif Ce non respect de la distance réglementaire (15 m ou plus) dans la zone d étude est plus constaté à Madagascar et à Biyem-assi/Obili. Figure3 : Distance entre le puits/source et les toilettes par grappe de la zone d étude Tableau6 : Position des toilettes par rapport au puits/source En amont 54,4 49,6 En aval 45,6 50,4 Effectif

6 INS Note de présentation des résultats provisoires du commerce extérieur de l exercice 2012 Page 6 sur 27

7 Près de ¾ des ménages de la ville de n ont pas vidangé le puisât de leurs fosses septiques depuis au moins 10 ans comme le recommande la réglementation. Il est remarqué que 52 % des ménages canalisent les eaux des toilettes vers les fosses septiques alors que près de 34 % des ménages déversent ces eaux dans un trou. Les rigoles qui desservent les quartiers sont sollicitées par 15 % des ménages de et 20 % de ceux de la zone d étude pour évacuer leurs eaux usées des toilettes. Ce comportement déviant des ménages expose les populations aux risques de maladies. Tableau8 : Mode de canalisation des eaux de toilettes Fosse septique 47,0 52,0 Egout 1,3 1,6 Cours d'eau d'à côté 4,1 3,6 Rigole qui dessert le quartier 20,4 15,3 Dans un trou 37,3 34,2 Autre 1,3 1,7 Effectif Tableau9 : Fréquence de vidange des fosses septiques durant les 10 dernières années Aucune fois 73,3 73,6 Au moins une fois 19,5 20,3 NSP 7,3 6,1 Ensemble % des ménages de ont déclaré n avoir pas vidangé leurs fosses septiques au cours des 10 dernières années précédent l enquête et seuls 20 % des ménages se sont prêtés à cette pratique. Il s en dégage ainsi un faible engouement pour la vidange des fosses septiques. Ceci entraîne la contamination de la nappe phréatique par des nutriments et des sels provenant de ces eaux usées. Tableau11 : Type de toilettes utilisé par le ménage WC avec chasse d'eau 28,1 35,5 Latrines aménagées 49,1 42,3 Latrines non aménagées 22,8 22,2 Effectif Tableau10 : Mode d évacuation des eaux usées du ménage Fosse septique 15 19,8 Egout 0,4 1 Dans la cours 17 13,8 Caniveau/rigole 58,8 57,7 Cours d'eau 2,3 2,1 Dans la broussaille 6,5 5,6 INS Note de présentation des résultats provisoires du commerce extérieur de l exercice 2012 Page 7 sur 27

8 Total Effectif Mal gérées, les eaux usées du ménage attirent des moustiques et autres parasites ou microbes, facteurs de maladies telles que le paludisme et celles liées à la peau (Nguendo Yongsi et al. 2008). Dans la ville de, l enquête EPESS révèle que près de 58 % des ménages déversent leurs eaux usées dans les caniveaux/rigoles proches de leurs logements. Les toilettes appropriées apparaissent comme un préalable incontournable dans l assainissement afin d éviter une contamination des eaux souterraines et de surface par les matières fécales. Dans la ville de, 42 % des ménages utilisent les latrines aménagées et 36 % les WC avec chasse d eau. Malheureusement, près de 22% des ménages utilisent des latrines non aménagées. Aussi, les coupures fréquentes d eau dans la ville contribueraient au mauvais entretien de ces toilettes, mêmes de celles dites modernes, qui seraient par conséquent le lieu de cultures des pathogènes. L utilisation des mêmes toilettes par plusieurs ménages traduit la promiscuité dans laquelle vivent les populations de, qui courent ainsi un risque élevé de contamination, dans la mesure où le partage d une même toilette implique parfois quatre à six ménages dans les zones étudiées et 56 % des ménages en sont concernés. Cette pratique est plus observée à Ngoa-Ekélé, à Biyem-Assi/Obili avec respectivement 70 % et 67 % des ménages. Figure4 : Pourcentage de ménages utilisant les toilettes avec les autres ménages INS Note de présentation des résultats provisoires du commerce extérieur de l exercice 2012 Page 8 sur 27

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10 Environ 80% des ménages passent par HYSACAM pour l évacuation de leurs ordures ; les autres s en débarrassent surtout dans les broussailles avoisinantes. De l enquête EPESS, il ressort qu environ 80 % de ménages de la ville évacuent leurs ordures ménagères par le canal de la société HYSACAM. On voit donc que le taux de couverture de la ville, plus précisément des zones d étude par HYSACAM est élevé, même si des efforts restent à fournir par les pouvoirs publics pour étendre ce réseau au reste des ménages dont une grande partie, à savoir 12% évacue les ordures ménagères dans les broussailles ou dans la cour. L évacuation dans les caniveaux/rigoles par 4% Tableau12 : Mode d évacuation des ordures ménagères La fréquence d évacuation des ordures ménagères rend compte, non seulement des difficultés y afférentes, mais aussi de l exposition du ménage aux inconvénients liés à la présence des ordures ménagères dans l habitat tels que les mauvaises odeurs, les parasites et l insalubrité. Dans l ensemble, 71 % de ménages se débarrassent des déchets solides à une fréquence régulière d une fois par semaine. Ceux qui le font quotidiennement ne représentent que 21 %. Figure5 : Proportion des ménages ayant déclaré avoir des difficultés pour évacuer les ordures ménagères HYSACAM 76,1 79,6 Bac à ordure public 57,1 53,6 Ramassage direct HYSACAMysacam 19,0 26,0 Autre lieu 23,9 20,4 Fosse septique 0,4 1,0 Caniveau/rigole 3,6 1,9 Cours d'eau 4,3 3,7 Broussaille/Dans la cours 13,1 11,7 Autre 2,5 2,2 Effectif des ménages dans la zone d étude est d importance particulière, parce que les bouteilles d eau représentent une part importante des déchets d un ménage, bouchent le système de drainage en surface et sont la cause d inondations locales pendant la saison des pluies ou les gros orages. Cela vaut aussi pour l évacuation dans un cours d eau. 32% des ménages de déclarent avoir des difficultés pour évacuer les ordures ménagères. Dans la zone d étude, Ngoa-Ekellé est la grappe où la proportion de ménages qui rencontrent ces difficultés est la plus élevée. En général, l éloignement des bacs à ordures serait le principal problème des populations. Ces bacs sont généralement posés dans les carrefours ou sur des terrains non aménagés. Par conséquent, les ménages qui se trouvent dans les zones enclavées notamment Ngoa-Ekellé ont des difficultés à y accéder, déversant ainsi leurs déchets dans les cours d eau d à côté ou dans les broussailles.. Tableau13 : Type de difficultés pour évacuer les ordures ménagères (en %) Services payants 2,5 3,1 Eloignement des bacs 81,9 81,5 Autre 15,6 15,4 Effectif Tableau14 : Fréquence d'évacuation des ordures ménagères Tous les jours 21,9 20,7 Au moins une fois par semaine 70,3 71,4 Au moins une fois par mois 3,6 3,8 Autre 3,2 3,3 NSP 1,1 0,8 Effectif

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12 Près de 30% des ménages se plaignent du mauvais entretien des réseaux d assainissement, notamment les caniveaux non entretenus où se déversent des eaux usées. 29 % des ménages de ont affirmé être gênés par certaines installations ou activités présentes dans leur entourage. Dans la zone d étude, on observe que c est à Messa-Carrière

13 (34 %) que les ménages se sont le plus plaints des différents types de nuisances dans leur entourage. Les chiffres sont légèrement plus faibles à Ekoudou (30 %), à Biyem-Assi/Obili (29 %) et à Ngoa-Ekéllé (28 %). L activité des bars provoque le plus de nuisances aux ménages (37 %). Viennent ensuite les installations telles que les caniveaux non entretenus (23 %), les discothèques (14 %) et les églises. Cela met en évidence le fait que le déversement des eaux usées est perçu comme une nuisance conséquente par une large partie de la population. Figure6 : Proportion de ménages ayant déclaré qu il y a des installations gênantes dans leur entourage Tableau15 : Type d installations ou d activités qui nuisent dans à proximité Discothèque 13,9 13,1 Bar 37,1 30,4 Marché 1,3 1,5 Usine 0,7 1,5 Caniveau 22,5 23,7 Ferme 10,6 8,5 Garage 8,6 5,2 Menuiserie 7,9 5,5 Eglise 11,3 14,3 Autre 30,5 34,3 INS Note de présentation des résultats provisoires du commerce extérieur de l exercice 2012 Page 13 sur 27

14 41% des ménages disposent d au moins un robinet d eau dans leur logement alors que presque le même pourcentage se ravitaille chez le voisin. La commercialisation de l eau est plus répandue aux quartiers Messa carrière (63%) et Ekoudou (53%). La principale source d énergie utilisée pour cuisiner dans les ménages est le gaz. Cette tendance se vérifie dans chacune des zones d étude. L utilisation du bois de chauffe par une proportion assez importante (11%) de la population de la ville de pose non seulement le problème de la pauvreté des ménages, mais également celui lié à l environnement du milieu urbain, avec la fumé dégagée qui aurait des effets sur la santé. Les ménages qui ont leurs robinets dans leurs logements représentent 41 % et 40 % s approvisionnent chez le voisin, tandis que 20 % ont un robinet dans la cour. Ces pourcentages pourraient expliquer non seulement les problèmes d approvisionnement en eau du logement, mais également ceux d hygiène et d assainissement des toilettes modernes, qui nécessitent l utilisation de l eau par le système de chasse d eau. Au cours de l enquête EPESS, 601 % des ménages enquêtés déclarent qu ils partagent leurs robinets avec d autres ménages. Ce phénomène est le plus accentué à Ngoa-Ekélé qui est un quartier composé majoritairement d étudiants, suivi de Biyem-Assi et de Messa-Carrière. Près de 34 % des ménages à commercialisent de l eau. Cette proportion est Figure7: Proportion des ménages utilisant le robinet avec d autres ménages relativement plus élevée dans la zone de Messa- Carrière (63 %) et d Ekoudou (53 %). Ceci peut s expliquer par l existence d un grand marché dans la zone de Messa-Carrière et par l extension insuffisante du réseau de distribution d eau courante dans le quartier Ekoudou. Tableau16 : Énergie utilisée pour cuisiner Ne fait pas la cuisine 2,7 2,5 Bois (acheté. ramassé ou reçu) 12,9 11,0 Gaz 68,6 71,6 Electricité 1,1 1,6 Pétrole %danger?! 10,4 9,2 Charbon/sciure/copeaux de bois 4,3 4,1 Effectif Tableau17 : Position du robinet dans le ménage (en %) Dans le logement 31,0 41,0 Dans la cours 21,2 19,5 Chez le voisin 47,9 39,5 Effectif Figure8: Proportion des ménages commercialisant l eau

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16 Par contre, entre 35 et 60% des ménages consomment de l eau souterraine provenant d un approvisionnement local qui répond aux conditions d hygiène requises (en E.coli). Les principaux inconvénients sont que le niveau de coliforme est supérieur à 100mg/l dans la grande majorité des cas, la teneur en nitrate des eaux souterraines se situe au-delà du seuil critique de 50 mg/l. En outre, plus de la moitié des ménages est localisé près d un point d eau contaminé par l ammonium. A la fin de la saison sèche, 35 à 60% des ménages consomment de l eau provenant d un approvisionnement local qui répond aux conditions d hygiène requises. Si l on considère la catégorie correspondant à un risque faible, ce sont 20% des ménages à Ngoa-Ekéllé, 55% à Messa- Carrière et 40% à Madagascar qui sont concernés. Comme les sources et puits non couverts ne se trouvent pas contaminés durant la saison sèche par les eaux de pluie, ni lessivées, on peut supposer que les résultats varieraient durant la saison des pluies et que la proportion d échantillon à risque important serait plus élevée. Quelle que soit la grappe de la zone d étude, plus de 75% de ménages enquêtés sont situés à proximité d un point de prélèvement ayant un niveau de coliforme fécal supérieur à 10mL. INS Note de présentation des résultats provisoires du commerce extérieur de l exercice 2012 Page 16 sur 27

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18 Tableau18 : Niveau de risque de contamination de l eau par l Escherichia coli (E.coli) selon la zone d étude pendant la saison sèche (en %) E. coli en Risque Risque Risque Normal OMS-classes faible intermédiaire élevé Total Ngoa-Ekélé Messa-Carrière Madagascar S agissant du nitrate (NO3), la majorité des ménages sont proches d un point d eau ayant un seuil critique (50 mg/l ou plus). Cette situation reste inchangée selon la source principale d eau ou le type de toilettes utilisées dans le ménage. Comme facteur de pollution des eaux, il s avère donc important de limiter sa teneur dans les eaux souterraines ou de surface de. Tableau19 : Niveau de risque de contamination de l eau par le coliforme fécal selon la zone d étude pendant la saison sèche (en %) Coliforme fecal en cfu/100ml 0-9 >10 Total Effectif Ngoa-Ekélé Messa Madagascar La proportion de ménages localisés près des points d eau contaminés par l ammonium se situe au-delà de 70 % et ce, quelle que soit la grappe de la zone d étude. On peut également noter que les ménages consommant principalement de l eau non traitée sont presque tous proches d un point d eau ayant un seuil critique en ammonium.

19 Tableau20 : Niveau de risque de contamination de l eau par le nitrate selon la zone d étude pendant la saison sèche (en %) Nitrate Moins de 50 mg/l 50 mg/l ou plus Total Ngoa-Ekélé Messa-Carrière Madagascar Tableau21 : Niveau de risque de contamination de l eau par l ammonium selon la zone d étude pendant la saison sèche (en %) Ammonium Moins de 0.3 mg/l 0.3 mg/l ou plus Total Ngoa-Ekélé Messa Madagascar L analyse microbiologique confirme une contamination élevée des eaux de surface par l Escherichia coli, néanmoins 10 fois inférieure à celle des coliformes totaux. Ces eaux n ont aucune concentration en entérocoque. Seules les cours d eau, recevant des eaux usées, ont une concentration très importante en coliphages. Escherichia coli (E. coli) est une bactérie communément présente dans l intestin humain. Concernant les échantillons d eau de surface, les résultats montrent une contamination élevée des échantillons aux indicateurs fécaux. En général dans les cours d eau (moyenne > cfu/100 ml), la contamination est plus élevée que dans l eau du lac (moyenne cfu/100 ml) : Dans le lac, la contamination fécale est légèrement plus faible: les rayons ultra-violets (UV) éliminent les bactéries dans la couche supérieure de l eau et le ph atteint des valeurs autour de 9, créant un environnement peu favorable au développement des microorganismes. Les coliformes totaux sont un groupe d Entériobactériacées qui présente des réactions physiologiques similaires à l E. coli. L on a pu INS Note de présentation des résultats provisoires du commerce extérieur de l exercice 2012 Page 19 sur 27

20 observer dans les échantillons analysés dans cette étude que les concentrations de coliformes totaux sont 10 fois supérieures à celles d E. coli. Les entérocoques sont plus résistants que l E. coli et indiquent une contamination fécale, même en l absence d E. coli. Comme les concentrations en Les coliphages servent d indicateur pour les virus excrétés avec les matières fécales. Ainsi, recourir à l analyse des coliphages dans l eau permet de surveiller la menace virale qui s y trouve. Dans les échantillons d eau prélevés, la concentration en coliphages la plus importante (moyenne 4,140 pfu/100 ml) a été mesurée dans l eau de rivière entérocoques sont généralement 10 fois inférieures aux concentrations en E. coli dans le même échantillon, cela explique pourquoi E. coli est parfois présente en l absence d entérocoque dans les échantillons d eau de surface prélevés. qui reçoit les eaux usées. Dans l eau du lac, la concentration de coliphages est divisée par 10 et l on a mesuré une concentration moyenne de 150 pfu/100 ml, ce qui est proche des concentrations observées dans les rivières propres qui reçoivent des eaux usées traitées. Tableau22 : Distribution des paramètres microbiologiques dans les eaux de surface Eau de surface n Range (cfu/100 ml) Median Risque Paramètre Cours d eau 5 >200 - >100,000 >100,000 Très fort Lac >100,000 27,39 Très fort Cours d eau 5 >200 - >100,000 >100,000 Lac 4 >2,400 - >100,000 51,76 Cours d eau 5 >100 >100 Lac > Cours d eau ,740 4,14 Lac 4 <20-3, E. coli Total coliforms entérocoque Coliphage L analyse microbiologique montre que la concentration en E. coli est plus faible dans les eaux souterraines que dans les eaux de surface. Les concentrations en coliformes totaux sont plus importantes dans les eaux de source que dans celles des puits. Les sources et les puits sont sujets aux contaminations fécales et les virus autres que les coliphages peuvent aussi contaminer ces sources d eau. Dans les eaux souterraines, les concentrations d E. coli se sont révélées être plus faibles. La plus forte concentration (maximum et moyenne) a été détectée dans l eau prélevée dans les sources. L eau des puits est moins contaminée et 18,75% des échantillons d eau (3/16) ne présentent pas de trace de contamination fécale. Une valeur médiane de 23 cfu/100 ml a été détectée, ce qui d après l OMS (2004), équivaut à un risque intermédiaire. L eau des sources présentait en moyenne une contamination plus importante (70 cfu/100 ml) que celle des puits (23 cfu/100 ml) et présente un risque plus important, selon L OMS (2004). Néanmoins, 18% des échantillons de sources (2/11) ne présentaient pas de trace d E. coli, résultat proche de celui obtenu pour les échantillons des puits. Tableau23 : Distribution des paramètres microbiologiques dans les eaux souterraines Eau Range n souterraine (cfu/100 ml) Median Risk Paramètre Forage 5 (4) Faible Puits 16(21) 0 - > Moyen E. coli Source 14 (121) 0 - >10, Fort Forage 5 (4) 0 - >200 36,9 Total Puits 16(21) 1 5,790 >200 coliforms Source 14 (121) 1 - >10,000 >200 Forage 5 (4) 0 0 Puits 16(21)11 0 1,300 4,5 entérocoque Source 14 (121) 0 2, ,5 Forage 4 <2 - <5 <2 Puits 12 < Coliphages Source Enfin, les puits profonds fournissant de l eau souterraine comportent le moins de traces de contamination à l E. coli. Seul un échantillon prélevé d un conteneur de stockage a montré une contamination avec 3 cfu/100 ml. Tous les autres échantillons ne comportaient pas d E. coli. C est INS Note de présentation des résultats provisoires du commerce extérieur de l exercice 2012 Page 20 sur 27

21 la raison pour laquelle les eaux souterraines provenant de ces puits profonds peuvent être considérées comme microbiologiquement saines, mais il existe un risque de contamination durant le stockage. Les concentrations en coliformes totaux sont plus importantes dans les eaux de sources que dans celles des puits, mais la différence entre les provenances de ces eaux est mineure. Seule la valeur maximum > cfu/100 ml relevée dans un prélèvement d eau de source est supérieure à la valeur maximum de cfu/100 ml mesurée dans les puits. Les eaux souterraines provenant des sources et des puits ont été contaminées par des coliphages à des concentrations respectives de 6 pfu/100 ml et 10 pfu/100 ml. Dans les forages, seules des concentrations inférieures à 5 pfu/100 ml ont été relevées. Ces résultats indiquent que les puits profonds sont protégés des contaminations fécales. Si des virus viennent à se trouver dans l eau, ils vont être filtrés lors de la pénétration de celle-ci dans le sous-sol et être adsorbés dans les particules du sol. Les sources et les puits sont sujets aux contaminations fécales et les virus autres que les coliphages peuvent aussi contaminer ces sources d eau. Les eaux de forage ne manifestent aucune concentration en entérocoques. Ces bactéries n ont également été détectées dans 100 ml/g de prélèvements des eaux de puits et de source. Du fait de la concentration en nitrate, plus de la moitié des points d eau échantillonnés ne sont pas adéquats pour la consommation La valeur médiane de ph 5,7 (p50) indique que les eaux souterraines ont une tendance acide. 90% de tous les prélèvements ont un ph inférieur à 6,5 avec un ph minimum de 4,6. La concentration médiane (p50) du nitrate dans les eaux souterraines dépasse la limite de 50mg/L préconisée par l OMS. Ce qui signifie que plus de la moitié des points d eau échantillonnés ne devraient pas servir à l alimentation en eau de boisson. Les sources quant à elles ont une concentration médiane en nitrate plus élevée et elle atteint un maximum de 140 mg/l alors qu il se chiffre à 161 mg/l dans les puits. Par contre, les échantillons d eau de surface ont une faible concentration en nitrate avec quelques exceptions. L ammonium a une concentration médiane proche de 2 mg/l dans les eaux souterraines, ce qui est élevée. Cette concentration est de 6,5mg/L pour les puits où elle peut aussi atteindre 23,8mg/L. Mais dans les eaux de surface, la concentration en ammonium est très faible et presque difficilement détectable dans le cas du lac municipal où les conditions sont favorables à la nitrification. La concentration maximale de 1,26mg/L en nitrites a été trouvée dans les eaux de surface près du carrefour Warda. Les concentrations en nitrite A, l environnement malsain causé par les eaux usées génère la présence d insectes et d animaux nuisibles dans les logements. En effet, les cafards (93 %), les moustiques (91 %) et les souris/rats (87 %) qui sont des vecteurs de S Type de point d'eau dans les eaux souterraines sont en dessous de cette limite avec 0,57mg/L dans les puits. L eau de surface du Mfoundi échantillonnée près du carrefour Warda a une teneur en phosphate dissous qui atteint 200 µg/l, conformément aux autres paramètres physicochimiques. On pourrait s attendre à des quantités considérables de phosphore total dans ces eaux de surface. Tableau24 : statistiques sur quelques paramètres physicochimiques des eaux souterraines et de surface min p10 p25 p50 p75 p90 max Paramètre Souterrain 4,6 4,8 5,2 5,7 6,2 6,4 7,2 Surface 6,7 6,9 7,0 7,2 7,7 8,3 8,9 Souterrain < 0,01 1,5 22,1 51,2 99,9 125,1 161,0 Surface 0,49 0,8 2,1 8,8 21,3 50,6 65,6 Souterrain < 0,01 0,004 0,64 1,89 10,7 40,7 80,4 Surface 0,01 0,01 0,01 0,02 0,6 2,3 2,57 Souterrain < 0,07 < 0,07 < 0,07 0,08 0,31 0,45 0,57 Surface < 0,07 NA NA NA NA NA 1,26 Souterrain < 0,03 < 0,03 Surface < 0,03 < 0,03 < 0,03 < 0,03 < 0,03 < 0,03 0,03 1,6 0,05 0,12 0,19 0,2 maladies, partagent le quotidien des ménages, devenant de ce fait d importants facteurs de risques de maladies et gênants pour le bien-être des populations. PH Nitrate Ammonium Nitrite Phosphore INS Note de présentation des résultats provisoires du commerce extérieur de l exercice 2012 Page 21 sur 27

22 Tableau25: Type d'insectes et d'animaux présent dans le logement (en %) Souris/rats 89,,1 87,,1 Mouches 64,,2 59,,5 Moustiques 91,,4 91,,2 Cafards 93,,0 92,,6 Fourmis 72,,2 67,,8 Tiques 5,,2 5,,6 Autres 1,,1 2,,3 Effectif Environ 12% de la population des ménages enquêtés ont déclarés avoir été au moins une fois malade au cours des deux dernières semaines précédent l enquête. La proximité des points d eau de mauvaise qualité prédisposerait la population à des risques de maladies hydriques, surtout dans un contexte où il y a coupure régulière d eau courante et que les populations doivent faire recours à ces points d eau pour se ravitailler en eau de boisson ou pour les autres usages des ménages. Il n est donc pas surprenant que la morbidité soit plus élevée dans les ménages situés à moins de 500 mètres des points d eau. Cette morbidité est plus répandue à Ngoa-Ekéllé (16 % dans un rayon de moins de 100 mètres, 22 % entre 100 et moins de 500 Tableau27: Nombre des personnes tombées malade dans la zone d enquête suivant la distance entre le ménage et le point de prélèvement le plus proche Moins de 100 mètres Distance 100 à 499 mètres 500 mètres et plus Total Ekoudou 0,0 8,8 8,1 7,6 Ngoa-Ekélé 16,3 22,0 50,0 19,3 Messa Carrière 6,3 15,8 0,0 10,8 Madagascar 14,7 10,0 0,0 11,5 Biyem Assi/Obili 10,0 6,1 0,0 5,7 Ensemble 12,4 12,6 6,9 12,1 mètres et 50 % à 500 mètres et plus) que dans les autres quartiers comme Madagascar (15 % et 10 % respectivement à moins de 100 mètres et entre 100 et 499 mètres) ou Messa-Carrière (6 % à moins de 100 mètres et 16 % entre 100 et 499 mètres). Tableau26: Apparition des maladies (en %) zone d'étude Aucune maladie 87,7 88,1 Une maladie 10,9 10,1 Deux maladies ou plus 1,4 1,8 Effectif

23 Alors que les maladies diarrhéiques ont été observées dans presque toutes les zones d étude, à l exception de Biyem-Assi/Obili, la prévalence du paludisme chez les enfants de moins de 5 ans atteint respectivement 5 % et 6 % dans la zone et hors zone d étude. Pour l ensemble de la ville de, la prévalence des maladies a été de 6 %. Le paludisme est la maladie dont la prévalence est la plus élevée (5 %). Les autres maladies hydriques telles que la typhoïde, la dysenterie, les maladies diarrhéiques, les maladies de la peau, ont enregistré moins de 1 %. La prévalence des autres maladies non liées à l eau telles que: l asthme, les maux de dents, les céphalées, l AVC, l infection gastrique, la toux, la rougeole, etc. est de 6 %.

24 Tableau28: Prévalence des principales maladies Paludisme/fièvre 4,6 5,3 Typhoïde 0,3 0,5 Maladie de la peau 0,4 0,3 Dysenterie 0,4 0,4 Maladie diarrhéique 1,1 0,7 Infection respiratoire 0,9 0,8 Autre maladie 6,0 5,9 Le mode d évacuation des eaux usées agit plus sur la prévalence des maladies hydriques que sur celle des maladies non hydriques, soit 7 % contre 5 %. Cette prévalence des maladies hydriques est en grande partie imputable à la prévalence du paludisme au sein de la population des ménages. La distance entre le ménage et le point de prélèvement le plus proche semble déterminante, surtout pour la prévalence des maladies hydriques. Cependant, cette prévalence est d abord tributaire de la forte prévalence du paludisme qui est considérée comme la première cause de mortalité en Afrique sub-saharienne. Tableau29: Prévalence des principales maladies liées à l eau selon le principal mode d évacuation des eaux usées (en %) Caniveau/rig ole/cours d'eau Autre lieu Moins de Paludis me Maladie liée à l'eau Autre maladie liée à l'eau Autre maladie Tableau30: Prévalence des principales maladies liées à l eau selon la distance entre le ménage et le point de prélèvement d eau le plus proche (en %) 100 mètres mètres 500 mètres et plus Effectif Zone d'étude 4,7 1,7 0,6 4, ,5 1,5 0,7 5, Zone d'étude 4,1 1,7 2,4 7, ,1 1,7 1,7 6, Zone d'étude Paludis me Maladie liée à l'eau Autre maladie liée à l'eau Autre maladie Effectif 5,5 1,9 1,3 5, ,5 1,9 1,3 5,8 638 Zone d'étude 4,5 1,4 1,6 6, ,5 1,4 1,6 6, Zone d'étude 0,7 2,8 0,0 3, ,7 2,8 0,0 3,5 142

25 Tableau31 : statistiques sur les autres paramètres physicochimiques des eaux souterraines et de surface Type de point min p10 p25 p50 p75 p90 max Paramètre d'eau souterrain 2,5 4,2 5,5 8,4 10,5 13,0 48,5 surface 6,7 6,9 7,4 7,7 9,3 10,1 10,6 souterrain < 0,1 < 0,1 < 0,1 0,50 1,10 2,5 13,2 carbone organique surface < 0,1 0,27 6,3 7,6 8,5 8,8 8,8 total Groundwater 27,4 59,7 105,8 195,5 308,4 412, solide dissous Surface water 113,9 159,7 189,0 213,3 311,5 349,4 439,7 totaux Souterrain 1,9 7,0 9,8 23,4 51, silice Surface 8,0 13,7 24,5 26,4 39, Souterrain 1,1 1,4 3,25 5,5 12,0 22,1 64,6 Surface 4,4 5,7 11, ,1 28,1 36,9 souterrain 0,8 3,7 12,1 27,0 58,5 74,4 220,0 surface 8,0 16,4 29,5 30,8 48,1 57,6 66,6 souterrain 0,10 0,44 0,9 1,9 6,8 15,3 21,0 surface 1,71 2,12 2,9 6,1 17,8 19,8 21,2 Souterrain 0,014 0,031 0,049 0,079 0,108 0,196 0,974 Surface 0,113 0,120 0,131 0,175 0,229 0,314 0,392 Souterrain 0,004 0,010 0,018 0,061 0,103 0,138 0,21 Surface 0,016 0,023 0,043 0,074 0,116 0,155 0,19 sodium potassium chlorure sulfate fluorure bromure

26 Type de point d'eau min p10 p25 p50 p75 p90 max Paramètre souterrain 1,8 5,5 12, surface 56,2 64,1 75, Souterrain 0,003 0,004 0,008 0,020 0,118 1,38 13,8 Surface 0,077 0,15 0,23 0,31 0,46 0,57 0,6 souterrain 0,01 0,07 0,10 0,25 0,9 1,5 5,1 surface 0,01 0,01 0,11 1,01 1,3 1,7 1,7 souterrain 0,004 0,004 0,011 0,024 0,047 0,096 0,256 surface 0,008 0,010 0,014 0,023 0,033 0,224 0,413 bicarbonate fer manganèse aluminium INS Note de présentation des résultats provisoires du commerce extérieur de l exercice 2012 Page 26 sur 27

27 Institut National de la Statistique BP : Cameroun Tél : (237) Fax : (237) Site Web: Une publication du Département des Statistiques Démographiques et Sociales INS, juin 2013

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