captage stockage carbone Garantir une utilisation en toute sécurité du et du du en Europe Agir pour le climat
|
|
- Gabriel Joseph
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Garantir une utilisation en toute sécurité du captage stockage carbone en Europe et du du Agir pour le climat
2 Le captage et le stockage du carbone (CSC) est une nouvelle technologie susceptible d apporter une contribution importante à la lutte contre le changement climatique. Comme pour toutes les nouvelles technologies, il est essentiel de bien prendre en considération ses effets potentiels sur l environnement et la santé humaine. En 2009, l Union européenne (UE) a adopté une législation 1 visant à garantir que la technologie CSC peut être utilisée en toute sécurité et, dans la mesure du possible, à prévenir et supprimer tout risque pour l environnement et la santé humaine. La présente brochure explique comment cette législation garantit l exploitation en toute sécurité de la technologie CSC en Europe. Qu est-ce que le captage et le stockage du carbone? La technologie CSC consiste à capter 1 le dioxyde de carbone (CO 2 ) émis par les centrales électriques ou les installations industrielles, à le transporter vers des sites désignés et à l injecter dans des formations géologiques dont il ne peut plus s échapper. Des formations géologiques appropriées peuvent être trouvées en mer ou sur terre, par exemple dans des champs de pétrole ou de gaz épuisés ou dans des aquifères salins, parfois à une profondeur de plusieurs kilomètres sous le niveau de la mer ou du sol. La directive CSC a été adoptée dans le cadre d un paquet de mesures dans le domaine de l énergie et du climat visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre responsables du réchauffement planétaire, à renforcer la sécurité énergétique et à favoriser la transition vers une économie sobre en carbone. L UE souhaite que la technologie CSC devienne commercialement viable et puisse réaliser pleinement son potentiel en tant que technologie clé pour réduire les émissions de CO 2 dans l UE et dans le monde. L Europe se positionne clairement comme l un des chefs de file mondiaux dans le développement de la technologie CSC. Les procédés en tant que tels (captage, transport et stockage) n ont rien de nouveau. Le premier projet de démonstration de captage et de stockage du CO 2 a vu le jour en 1996, dans le champ gazier norvégien de Sleipner. Les États-Unis et le Canada comptent des milliers de kilomètres de conduites de CO 2. Le principal défi consiste à intégrer le captage, le transport et le stockage dans un cycle complet pouvant être appliqué à l échelle commerciale dans des centrales électriques ou des installations industrielles. C est dans cette optique qu ont été élaborés les programmes de démonstration cofinancés par l UE. Pour des raisons économiques, la technologie CSC devrait d abord être déployée dans le secteur de l électricité. Elle figure parmi les technologies à faible intensité de carbone et les mesures d efficacité énergétique sur lesquelles la Commission européenne compte s appuyer pour décarboniser le secteur de l électricité d ici à L application commerciale à grande échelle du CSC aux émissions générées par des installations industrielles telles que des installations sidérurgiques ou des usines de ciment devrait quant à elle débuter à partir de Directive 2009/31/CE du Parlement européen et du Conseil du 23 avril 2009 relative au stockage géologique du dioxyde de carbone et modifiant la directive 85/337/CEE du Conseil, les directives 2000/60/CE, 2001/80/CE, 2004/35/CE, 2006/12/CE et 2008/1/CE et le règlement (CE) n 1013/2006 du Parlement européen et du Conseil. 2 COM (2011) 112: Feuille de route vers une économie compétitive à faible intensité de carbone à l horizon 2050 (8 mars 2011). Shutterstock, Gary Whitton
3 La communauté internationale a reconnu la nécessité de maintenir le réchauffement au-dessous de 2 C (3,6 F) par rapport à l ère préindustrielle afin d éviter une évolution dangereuse du climat. Pour ce faire, il faudra réduire de manière considérable les émissions mondiales de CO 2 et autres gaz à effet de serre (GES) au cours des prochaines décennies. Le CSC est l une des technologies susceptibles de contribuer à la réalisation de cet objectif. L UE, qui est actuellement responsable d environ 11 % des émissions mondiales de GES, a mis en place une législation contraignante visant à ramener ses émissions à 20 % sous les niveaux de 1990 d ici à L Europe propose également de porter son objectif de réduction à 30 % si les autres grandes économies du monde développé et en développement acceptent de contribuer à l effort mondial de manière équitable. À plus long terme, l UE s est engagée à réduire ses émissions de 80 à 95 % par rapport aux niveaux de 1990 d ici à 2050, dans le cadre des efforts supplémentaires demandés aux pays développés. En mars 2011, la Commission européenne a publié une feuille de route qui trace la voie à suivre pour assurer une transition au meilleur coût vers l économie européenne compétitive, à faible intensité de carbone, que cette réduction va exiger. La recherche et le développement dans le domaine du CSC, ainsi que la démonstration et la diffusion rapide de cette technologie revêtent une importance capitale pour garantir son application à grande échelle, de manière rentable et en toute sécurité. La directive CSC La directive établit un cadre juridique solide pour le stockage géologique du CO 2, en mettant en place des normes strictes destinées à la fois à garantir la sécurité et à aider l Europe à atteindre ses objectifs dans le cadre de la lutte contre le changement climatique. Elle donne la priorité à la protection de l environnement et de la santé humaine, en s efforçant de réduire les risques au minimum et de supprimer les éventuels effets néfastes. La directive se concentre avant tout sur l aspect «stockage», le captage et le transport étant couverts par d autres actes législatifs de l UE. 3 Sélection des sites de stockage Les États membres de l UE sont libres de choisir s ils souhaitent ou non autoriser le stockage géologique du CO 2 sur leur territoire. Les pays qui choisissent d autoriser cette activité sur leur territoire doivent se conformer à la directive. Ils doivent évaluer la capacité de stockage disponible dans des régions spécifiques ou sur l ensemble de leur territoire, notamment en autorisant l exploration. Les permis, sans lesquels l exploration ne peut être entreprise, sont délivrés sur la base de critères objectifs et transparents. Ces permis couvrent une zone limitée et leur durée de validité ne dépasse pas la durée nécessaire pour réaliser l exploration. La validité du permis peut toutefois être prorogée lorsque cela s avère nécessaire pour mener à son terme l exploration concernée. Courtesy of the Zero Emissions Platform La capacité d une formation géologique à servir de site de stockage est déterminée grâce à une caractérisation et à une évaluation approfondie du complexe de stockage potentiel et des environs au regard des critères énoncés dans la directive. Ceux-ci prévoient notamment le développement de modèles informatiques et de simulations d injection de CO 2, la réalisation d une évaluation des risques et l identification de tous les dangers potentiels, en particulier les fuites de CO 2. Les développeurs potentiels doivent tenir compte de la population vivant dans la région et garder à l esprit les intérêts des espèces locales et des habitats naturels. C est pourquoi ils sont tenus de procéder à une analyse des possibles conséquences sanitaires et environnementales. 3 Par exemple, la directive de 2008 sur la prévention et la réduction intégrées de la pollution (IPPC) se concentre sur l impact que peut avoir la capture du CO 2 émis par les installations relevant de son champ d application sur l environnement et la santé humaine. Toute injection de CO 2 dans des aquifères salins doit respecter la législation de l UE sur la protection des eaux souterraines contre la pollution et la détérioration.
4 Permis de stockage Le permis de stockage est un instrument essentiel pour garantir que le CSC soit mis en œuvre d une manière qui ne nuise pas à l environnement. Les sites de stockage ne peuvent pas être exploités sans permis. Les exploitants potentiels doivent être en mesure de prouver qu ils ont la compétence technique nécessaire pour exploiter un site de stockage en toute sécurité. Ils doivent fournir des données détaillées sur le site et le complexe de stockage afin de garantir qu une formation géologique ne sera choisie en tant que site de stockage qu à la condition qu il n existe pas de risque significatif de fuite de CO 2 ou de tout autre incidence néfaste sur la santé ou l environnement. La demande doit également contenir une description des mesures envisagées par l opérateur pour prévenir des irrégularités notables, une proposition de plan de surveillance, une proposition de mesures correctives en cas de nécessité, une proposition de plan de postfermeture, ainsi que la preuve que la garantie financière sera valable et effective avant le début de l injection de CO 2, cela afin de garantir que toutes les obligations juridiques pourront être respectées à tout moment et sans interruption. Statoil ou irrégularité notable susceptible d avoir des effets néfastes, notamment sur l eau potable, les communautés locales ou le milieu environnant. Les exploitants doivent établir un plan de surveillance, qui sera mis à jour tous les cinq ans pour refléter l évolution des techniques et des connaissances scientifiques, et communiquer leurs observations aux autorités nationales au moins une fois par an. Un permis de stockage ne peut être délivré que si toutes les exigences de la directive CSC et des autres législations de l UE pertinentes sont respectées. Le permis doit notamment indiquer l emplacement exact du site de stockage, la quantité maximale de CO 2 à injecter, le plan de surveillance approuvé et les mesures correctives envisagées en cas de problèmes. Les États membres ont la responsabilité de délivrer les permis, mais doivent transmettre les demandes de permis qu ils reçoivent, ainsi que les projets de permis qu ils prévoient de délivrer, à la Commission européenne pour examen. La Commission peut alors émettre un avis, que les autorités nationales ne sont toutefois pas obligées de suivre, pour autant qu elles justifient leur décision. Cette procédure vise à faire en sorte que la directive soit appliquée de façon cohérente et à renforcer la confiance du public dans la sécurité du CSC. Tout changement prévu dans l exploitation des sites de stockage doit être signalé aux autorités nationales 4, qui mettent à jour le permis de stockage si nécessaire. En cas de fuites de CO 2 ou de non-respect des autres conditions, les autorités peuvent retirer le permis de stockage et assumer temporairement la gestion du site, en récupérant tous les frais engagés auprès de l ancien exploitant. Tous les permis de stockage font l objet d un réexamen cinq ans après leur date de délivrance, puis tous les dix ans. Surveillance La surveillance du site de stockage est cruciale pour vérifier que le comportement du CO 2 stocké est conforme au comportement modélisé. Les exploitants sont donc tenus de surveiller attentivement certains paramètres spécifiques tels que la pression, la température et l activité sismique du complexe de stockage et, s il y a lieu, du milieu environnant afin de détecter toute fuite Inspections Les autorités nationales sont également chargées d organiser des inspections de routine ou ponctuelles sur tous les complexes de stockage. Des inspections de routine doivent être effectuées au moins une fois par an jusqu à trois ans après la fermeture du site et tous les cinq ans jusqu au transfert de la responsabilité à l autorité compétente. Des inspections supplémentaires devront être réalisées de manière ponctuelle, par exemple si les autorités reçoivent des plaintes sérieuses relatives à l environnement ou à la santé humaine, ou lorsque des fuites sont signalées. Les résultats de chaque inspection seront consignés dans un rapport rendu public dans les deux mois suivant l inspection. Mesures correctives En cas de fuite de CO 2 ou de tout autre problème, la directive oblige les exploitants à prendre immédiatement les mesures correctives nécessaires, notamment des mesures visant à protéger la santé humaine. Les exploitants sont également tenus d établir un plan de mesures correctives, qui doit être approuvé par les autorités compétentes. Si l exploitant d un site ne prend pas les mesures nécessaires, les autorités doivent intervenir et récupèrent, auprès de l exploitant, les frais engagés dans le cadre de cette action, y compris en recourant à la garantie financière. La responsabilité pour les dommages causés à l environnement (par exemple aux habitats naturels, aux eaux et aux sols) est régie par la directive sur la responsabilité environnementale 5. En cas de fuite de CO 2 dans l atmosphère, l exploitant du site de stockage doit restituer des quotas d émission dans le cadre du système d échange de quotas d émission de l Union européenne. 4 Tous les États membres doivent désigner une autorité qui sera chargée d exécuter les tâches définies par la directive. 5 Directive 2004/35/CE du Parlement européen et du Conseil du 21 avril 2004 sur la responsabilité environnementale en ce qui concerne la prévention et la réparation des dommages environnementaux, JO L 143 du , p. 56.
5 Sécurité à long terme Après la fermeture d un site de stockage, l exploitant demeure responsable de la surveillance, de la communication d informations et des éventuelles mesures correctives. Ces obligations doivent être remplies sur la base d un plan de postfermeture, celui-ci étant d abord approuvé dans le cadre de la délivrance du permis de stockage puis mis à jour en fonction des besoins avant la fermeture du site. Enfin, au moins 20 ans après la fermeture du site, l exploitant peut transférer ses responsabilités à l autorité compétente. Des conditions spécifiques doivent être remplies. En particulier, le site doit avoir atteint une situation de stabilité à long terme et tous les éléments disponibles doivent tendre à prouver que le CO 2 stocké restera confiné parfaitement et en permanence. L exploitant doit établir un rapport démontrant que ces conditions sont respectées. Pour que le transfert soit effectif, le site doit également avoir été scellé et les installations d injection démontées. Lorsque toutes ces conditions sont réunies, l autorité peut approuver le transfert de responsabilité. Les projets de décisions de transfert doivent être transmis à la Commission européenne, qui émet un avis avant qu une décision finale ne soit rendue. Une fois le transfert de responsabilité intervenu, les inspections de routine cessent et la surveillance peut être réduite à un niveau permettant la détection des fuites de CO 2 ou des irrégularités notables. Si des fuites de CO 2 ou des irrégularités notables sont détectées, la surveillance doit être renforcée afin de déterminer l ampleur du problème et l efficacité des mesures correctives. Cependant, s il s avère que l exploitant a dissimulé des informations ou commis une faute, l autorité compétente peut récupérer, auprès de l ancien exploitant, les frais engagés après que le transfert de responsabilité a eu lieu. Garantie financière et contribution financière Il est essentiel que les exploitants disposent des ressources financières nécessaires pour pouvoir respecter toutes ces obligations, notamment après la fermeture du site et jusqu à ce que la responsabilité soit transférée. C est pourquoi les exploitants doivent, dans le cadre de leur demande de permis de stockage, fournir une garantie financière appropriée. Celle-ci doit être valable et effective avant le commencement de l injection et devra être adaptée pour tenir compte, notamment, de l évolution du risque de fuite durant l exploitation. Lorsqu un site est fermé et que la responsabilité est transférée à l autorité compétente, l exploitant doit également apporter une contribution financière couvrant au moins le coût de la surveillance du site pendant une période de trente ans. Le rôle de la Commission européenne pour promouvoir l utilisation sans risque du CSC Comme pour l ensemble de la législation de l UE, la Commission doit s assurer que les États membres transposent correctement la directive CSC dans leur droit national et l appliquent effectivement sur le terrain. La Commission a pris des mesures concrètes pour soutenir les États membres et les aider à appliquer la directive CSC. Elle a notamment créé un groupe d échange d informations destiné à faciliter l échange des informations et des bonnes pratiques entre les autorités des États membres. L objectif est de promouvoir une mise en œuvre cohérente de la législation dans l ensemble de l UE. La Commission a également publié quatre documents contenant des conseils techniques à l intention des États membres et des exploitants sur certaines questions spécifiques telles que la sécurité 6. Ces documents sont le fruit de discussions et de consultations menées avec les autorités nationales, l industrie, des ONG, des chercheurs et d autres parties prenantes 7. La directive impose à la Commission de réaliser, d ici le 31 mars 2015, un réexamen approfondi de la directive et d en proposer la révision si nécessaire. Ce réexamen devra se faire à la lumière de l expérience acquise jusque-là dans le CSC et en tenant compte du progrès technique et des connaissances scientifiques les plus récentes. Kim Laland, Statoil 6 Ces quatre documents (disponibles en anglais uniquement) sont les suivants: 1) «CO 2 storage life-cycle risk management framework»; 2) «Characterisation of the storage complex, CO 2 stream composition, monitoring and corrective measures»; 3) «Criteria for transfer of responsibility to the competent authority»; et 4) «Financial security and financial mechanism». 7 Voir (disponible en anglais uniquement).
6 ML FR-C Informations complémentaires: DG Action pour le climat: (disponible en anglais uniquement) Union européenne, Reproduction autorisée, moyennant mention de la source. Imprimé sur papier recyclé ayant reçu l écolabel européen pour le papier graphique ( doi /11919 ISBN
Capture et stockage du CO2 (CCS)
European Technology Platform for Zero Emission Fossil Fuel Power Plants (ZEP) Capture et stockage du CO2 (CCS) Une solution majeure pour combattre le changement climatique 50% de réduction des émissions
Plus en détailInvestir dans l action pour le climat, investir dans LIFE
Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détailL observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2
L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2 Laurent Jammes, Guillemette Picard Schlumberger Carbon Services Technique Académie des sciences Paris 19 Mai 2009 Plan de la présentation 2 La
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailEvolution récente et à venir de l environnement réglementaire européen: Quelle implication pour le secteur carrier?
Evolution récente et à venir de l environnement réglementaire européen: Quelle implication pour le secteur carrier? 1) La Directive «Mining waste» 2) La Directive IPPC et PRTR 3) Les Directives «Climate
Plus en détailLe Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé. Introduction
OMM GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL SUR L ÉVOLUTION DU CLIMAT PNUE Introduction Le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé Les activités humaines
Plus en détailENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires
ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies
Plus en détailVAlorisation et Stockage du CO 2. Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire
VAlorisation et Stockage du CO 2 Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire Gilles Munier Directeur Général gmu@geogreen.fr Projet cofinancé par:
Plus en détailResponsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON
Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...
Plus en détailAPPEL à MANIFESTATIONS D INTERET (AMI) INVESTISSEMENTS D AVENIR EDITION 2010
Direction des Investissements d Avenir Direction Villes et Territoires Durables Service Bâtiment Direction Recherche et Prospective Service Recherche et Technologies avancées APPEL à MANIFESTATIONS D INTERET
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailFiche informative du Réseau Action Climat-France sur les certificats. d économie d énergie
Octobre 2006 Fiche informative du Réseau Action Climat-France sur les certificats d économie d énergie 1) Origine et objectif : C est en Angleterre, puis en Italie que le dispositif des certificats d économie
Plus en détailAPPEL A PROJETS FEDER QUARTIER DEMONSTRATEUR BAS CARBONE. Programme Opérationnel FEDER 2014 2020
APPEL A PROJETS FEDER QUARTIER DEMONSTRATEUR BAS CARBONE Programme Opérationnel FEDER 2014 2020 Axe 3 «conduire la transition énergétique en Région Nord Pas de Calais» Investissement Prioritaire 4e «en
Plus en détailLa Banque européenne d investissement en bref
La Banque européenne d investissement en bref En tant que banque de l Union européenne (UE), la Banque européenne d investissement (BEI) apporte ses financements et son savoir-faire à l appui de projets
Plus en détailPrise de position du CCRE sur la proposition de directive relative à l efficacité énergétique
COUNCIL OF EUROPEAN MUNICIPALITIES AND REGIONS CONSEIL DES COMMUNES ET REGIONS D EUROPE Inscrit au registre des représentants d intérêts de la Commission européenne. Numéro d inscription : 81142561702-61
Plus en détailMÉMOIRE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION SUR L EAU, L ENVIRONNEMENT, LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LES GRANDS PARCS
MÉMOIRE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION SUR L EAU, L ENVIRONNEMENT, LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LES GRANDS PARCS Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique 484, route 277, Saint-Léon-de-Standon,
Plus en détailLe stockage géologique du CO 2
Énergies renouvelables Production éco-responsable Transports innovants Procédés éco-efficients Ressources durables Le stockage géologique du CO 2 Les solutions IFP Energies nouvelles pour un déploiement
Plus en détailListe de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale
Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3
Plus en détailLes outils de la transition énergétique ISO 50001
Les outils de la transition énergétique ISO 50001 26 mars 2013 Michel HIRAUX +32 496 58 12 04 Le Management énergétique dans son contexte Management et Système de Management Objectif d un EnMS Facteurs
Plus en détailComprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux
Comprendre les négociations internationales sur le climat Contexte, historique et enjeux Chapitre 1 LE CONTEXTE: L URGENCE CLIMATIQUE La planète s est déjà réchauffée de +0,8 C Les impacts Les impacts
Plus en détailPréambule. Claude Sicard Vice-président au partenariat et à l expertise-conseil 2 LE CADRE D INTERVENTION EN PRÉVENTION-INSPECTION
Préambule Le présent guide d application du cadre d intervention s adresse aux inspecteurs, aux chefs d équipe et aux directeurs en santé et sécurité en prévention-inspection de la CSST de même qu aux
Plus en détailConseil économique et social
NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/MP.PP/2005/2/Add.4 8 juin 2005 Original: ANGLAIS, FRANÇAIS, RUSSE COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE Réunion des Parties à la Convention
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailÉnergie et Mondialisation
Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau
Plus en détailAppel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste
Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs
Plus en détailPolitique et Standards Santé, Sécurité et Environnement
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu
Plus en détailWestern Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015
Western Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015 Table des matières Introduction... 1 Services de plafonnement et d échange... 2 Système de
Plus en détailLa stratégie développement durable de Nov@log. Alan Fustec Directeur du domaine d actions stratégiques développement durable
La stratégie développement durable de Nov@log Alan Fustec Directeur du domaine d actions stratégiques développement durable Sommaire Un mot sur le partenariat Nov@log-Lucie Introduction : contexte Conséquence
Plus en détailEvolution de la politique wallonne de l environnement relative aux entreprises
Evolution de la politique wallonne de l environnement relative aux entreprises Marianne PETITJEAN, Directrice Département des Permis et Autorisations Direction de Liège UWE - Namur, 2 décembre 2014 Contexte
Plus en détailRy Moran Directeur de la consignation des déclarations de la CVR, responsable du Centre national de recherches
Compte rendu de la deuxième conférence téléphonique : Appel de propositions pour héberger en permanence le Centre national de recherches sur les pensionnats indiens Date : Mercredi 11 janvier 2012 Endroit
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailLa place du charbon dans le mix électrique
La place du charbon dans le mix électrique Présentation au colloque 7 février 2008 Gérard Mestrallet, PDG de SUEZ «Les nouveaux débouchés du charbon : quels risques pour le changement climatique?» Outline
Plus en détailÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE
ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE 2 1 LE CONTEXTE LES OBJECTIFS DES DIRECTIVES ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE Protéger l environnement (1), sécuriser l approvisionnement énergétique (2)
Plus en détailNPT/CONF.2010/PC.III/WP.39
Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième
Plus en détailCarbone Des occasions d'affaires pour les entreprises québécoises
PLAN DE COURS FORMATION SUR LE MARCHÉ DU CARBONE POSSIBILITES DE CRÉATION DE CRÉDITS DE GAZ À EFFET DE SERRE Mise en contexte Depuis quelques années, les activités de réduction de gaz à effet de serre
Plus en détailUn fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche
Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche 1 1 1 Contexte et enjeux Un engagement territorial pour le climat Objectifs du plan climat d ici 2020 : les 3x20-20% des émissions de gaz à effet
Plus en détailPersonne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.
Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations
Plus en détailFACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES
L ENVIRONNEMENT EN FRANCE 2 FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES des initiatives locales et des actions de long terme VERS UN RAPPROCHEMENT DES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES ET DE L ENVIRONNEMENT? INTRODUCTION L OBSERVATION
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailet la promotion de l action en faveur du climat
La Banque européenne d investissement et la promotion de l action en faveur du climat Les changements climatiques constituent l une des principales menaces d un point de vue environnemental, social et
Plus en détailTraité de Copenhague nécessaire
Traité de Copenhague nécessaire version 1.0 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague Résumé A4-TraiteResume.indd 1 6/07/09 17:58:38 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague
Plus en détailLe Big Data est-il polluant? BILLET. Big Data, la déferlante des octets VIVANT MATIÈRE SOCIÉTÉS UNIVERS TERRE NUMÉRIQUE TERRE (/TERRE)
Donner du sens à la science Rechercher Se connecter / S'inscrire Suivre VIVANT MATIÈRE SOCIÉTÉS UNIVERS TERRE NUMÉRIQUE MES THÈMES Types DOSSIER Paru le 15.11.2012 Mis à jour le 29.01.2014 Big Data, la
Plus en détailDiscovering Hidden Value
Discovering Hidden Value A la découverte de la valeur cachée Consultation pour les Opérations de Forage Proposées en Offshore Marocain 2013 Qui est Cairn Energy? Cairn est une société de pétrole et de
Plus en détailComment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp
Septembre 2005 Comment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp L'IFP inscrit les travaux sur la réduction des émissions de CO 2 au cœur de ses programmes de recherche. La stratégie de l'ifp
Plus en détailPourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?
Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle
Plus en détailProposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015
Proposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015 Recommandations pour appuyer la croissance et le développement de la production commerciale de biocarburants cellulosiques pour une économie
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailStratégie nationale en matière de cyber sécurité
Stratégie nationale en matière de cyber sécurité 1 INTRODUCTION Le fonctionnement de notre société est aujourd hui étroitement lié aux infrastructures et systèmes de communication et de traitement de l
Plus en détailPosition du secteur électrique français
16 novembre 2010 ENERGIE 2020 Position du secteur électrique français L UFE, Union Française de l Electricité, est l association professionnelle du secteur de l électricité. Elle représente les employeurs
Plus en détailComment financer sa stratégie d efficacité énergétique
Partageons le succès de nos expériences Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique Pascal Lesage Directeur Commercial 06 86 68 85 92 01 41 42 33 95 14 Novembre 2014 5 domaines d intervention
Plus en détailPanorama de la recherche au BRGM sur le stockage géologique de CO2
Panorama de la recherche au BRGM sur le stockage géologique de CO2 81 eme congrès de l'acfas Le BRGM: service géologique français Le BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières) est l'établissement
Plus en détailEditorial. Chère lectrice, cher lecteur,
Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial
Plus en détailMINISTERE DE L INDUSTRIE ET DES MINES ACTIONS EN MILIEU DE TRAVAIL DES STRUCUTURES DE CONTROLES
MINISTERE DE L INDUSTRIE ET DES MINES ACTIONS EN MILIEU DE TRAVAIL DES STRUCUTURES DE CONTROLES I- INTRODUCTION I-1 CADRE JURIDIQUE, RATTACHEMENT HIERARCHIQUE ET ORGANISATION I-2 ATTRIBUTIONS I-3 MISSIONS
Plus en détailSG FRANCE PME. Pour profiter des opportunités du marché des PME et ETI françaises. Commercialisation jusqu au 31 juillet 2014
FONDS PROTÉGÉ EN CAPITAL À HAUTEUR DE 70% À L ÉCHÉANCE SG FRANCE PME Pour profiter des opportunités du marché des PME et ETI françaises Commercialisation jusqu au 31 juillet 2014 n Ce placement n est pas
Plus en détailContrat de courtier. Entre : (ci-après nommée «Empire Vie») (ci-après nommé «courtier») Adresse civique : Ville ou municipalité :
Contrat de courtier Entre : L EMPIRE, COMPAGNIE D ASSURANCE-VIE (ci-après nommée «Empire Vie») et (ci-après nommé «courtier») Adresse civique : Ville ou municipalité : Province : Code postal : Date d effet
Plus en détailPrésentation de la gestion des infrastructures de centres de données
Présentation de la gestion des infrastructures de centres de données 2010 Raritan Inc. Présentation La demande mondiale pour des applications informatiques innovantes et plus puissantes, combinée aux avantages
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document:
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 22.4.2015 SWD(2015) 88 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT accompagnant le document: Rapport de la Commission au Parlement
Plus en détailRadosław Tarkowski, Barbara Uliasz-Misiak 1. Le stockage souterrain : une solution pour le dioxyde de carbone 2
Radosław Tarkowski, Barbara Uliasz-Misiak 1 Le stockage souterrain : une solution pour le dioxyde de carbone 2 Introduction On considère de plus en plus souvent le dioxyde de carbone comme la principale
Plus en détailLes Technologies de l Information et de la Communication et leurs impacts sur l environnement
Les Technologies de l Information et de la Communication et leurs impacts sur l environnement Selon le rapport "Impacts of Information and Communication Technologies on EnergyEfficiency", réalisé par BIOIS
Plus en détaild intervention prioritaires de l Etat et les modalités de cette intervention.
DSAS/Avant-projet du 28.02.2014 Loi du... sur les seniors (LSen) Le Grand Conseil du canton de Fribourg Vu la Constitution du canton de Fribourg du 16 mai 2004 (Cst. cant.), notamment ses articles 35 et
Plus en détailAssemblée générale. Nations Unies A/AC.105/C.1/L.320
Nations Unies A/AC.105/C.1/L.320 Assemblée générale Distr. limitée 30 octobre 2012 Français Original: anglais et russe Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Sous-Comité scientifique
Plus en détailComment développer Ecoville : le cahier des charges
Comment développer Ecoville : le cahier des charges Les élus d Ecoville ont besoin de vous pour décider du futur de la commune. Ce document vous explique les objectifs principaux et les phases de développement
Plus en détailUne réussite : Les prix de rachat garantis soutiennent les énergies renouvelables en Allemagne
Une réussite : Les prix de rachat garantis soutiennent les énergies renouvelables en Allemagne Ce document illustrera comment cette réussite est arrivée, il est composé des parties suivantes : 1. Qu'est
Plus en détailWP Board No. 972/05. 29 avril 2005 Original : anglais. Projets/Fonds commun. Comité exécutif 258 e réunion 17 19 mai 2005 Londres, Angleterre
WP Board No. 972/05 International Coffee Organization Organización Internacional del Café Organização Internacional do Café Organisation Internationale du Café 29 avril 2005 Original : anglais Projets/Fonds
Plus en détailLa gestion durable du chantier en pratique
Formation Bâtiment Durable : La gestion durable du chantier en pratique Bruxelles Environnement Le coût de la gestion durable du chantier Marc Vanderick Les Entreprises Louis De Waele Le coût de la gestion
Plus en détail1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ
1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailDU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ELECTRICITE, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION
RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ELECTRICITE, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION Mise en œuvre du dispositif CATEC : Certificat d aptitude à travailler
Plus en détailNOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers
Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique
Plus en détailLe marquage CE vous ouvre les portes du marché européen!
Le marquage CE vous ouvre les portes du marché européen! Commission européenne Entreprises et industrie Table des matières Qu est-ce que le marquage CE? Qu est-ce que le marquage CE? 3 Obligations légales
Plus en détailLE SERVICE PAR L EXCELLENCE BOURBONOFFSHORE.COM
LE SERVICE PAR L EXCELLENCE BOURBONOFFSHORE.COM UNE PRÉSENCE GLOBALE, UNE EXPERTISE LOCALE EUROPE MEDITERRANEE MOYEN-ORIENT 83% d effectifs locaux AMERIQUES 89% d effectifs locaux ASIE 79% d effectifs
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailUN EXEMPLE D INSTRUMENT ÉCONOMIQUE DE PROTECTION DE L ENVIRONNEMENT :LA RÉDUCTION DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE ET LA CRÉATION D UN MARCHÉ
UN EXEMPLE D INSTRUMENT ÉCONOMIQUE DE PROTECTION DE L ENVIRONNEMENT :LA RÉDUCTION DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE ET LA CRÉATION D UN MARCHÉ Contribution pour les Xes Journées Juridiques franco-chinoises
Plus en détailCONSEIL SIMULATION SPÉCIALE DU CONSEIL
Organisation de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL C-WP/Simulation 5/12/14 CONSEIL SIMULATION SPÉCIALE DU CONSEIL DÉFIS RELATIFS AUX PRÉVISIONS DE PÉNURIE DE PERSONNEL AÉRONAUTIQUE QUALIFIÉ
Plus en détailGreen it consulting nouveau leader de l informatique écologique
green it consulting Green IT Consulting est née d une réflexion fondamentale Comment peut-on améliorer un système d information tout en participant à la lutte contre le réchauffement climatique? 01 / green
Plus en détailEntente administrative sur la certification de produits conclue entre. la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC)
Entente administrative sur la certification de produits conclue entre la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC) et l Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) (ci-après
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailLambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011
Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du
Plus en détailLigue contre la Violence Routière
Ligue contre la Violence Routière La Ligue contre la violence routière, notre confrère français, vient de lancer la voiture citoyenne. Elle tient compte aussi bien de la protection de l environnement que
Plus en détailTRANSITION ÉNERGÉTIQUE : DE NOUVELLES DISPOSITIONS POUR DYNAMISER LE DÉVELOPPEMENT DU CHAUFFE-EAU SOLAIRE EN MARTINIQUE DOSSIER DE PRESSE
TRANSITION ÉNERGÉTIQUE : DE NOUVELLES DISPOSITIONS POUR DYNAMISER LE DÉVELOPPEMENT DU CHAUFFE-EAU SOLAIRE EN MARTINIQUE DOSSIER DE PRESSE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE, UNE PRIORITÉ POUR LA MARTINIQUE La Martinique
Plus en détailLe développement durable 2010
Le développement durable 2010 Fédération internationale de laiterie (FIL-IDF Canada) mars 2010 Danone Inc. Canada Danone Plan Danone Danone au Canada Le développement durable Danone et le double-projet
Plus en détailAnalyse de la position allemande
Note du Réseau Action Climat - Mars 2013 Analyse de la position allemande Super crédits : le diable se cache dans les détails Contexte En juillet 2012, la Commission publie sa proposition de révision du
Plus en détailque devez vous savoir avant le 26/09/2015?
Réglementation ErP - éco-conception et étiquetage énergétique Réglementation ErP, éco-conception et étiquetage énergétique : que devez vous savoir avant le 26/09/2015? Préparez-vous au mieux à la réglementation
Plus en détailChauffage à granulés de bois
0 Chauffage à granulés de bois Alliance pour le Climat Luxembourg Protection du climat à la base En partenariat avec plus de 00 villes et communes européennes, plusieurs communes de l Alliance pour le
Plus en détailASSOCIATION CANADIENNE DES PAIEMENTS CANADIAN PAYMENTS ASSOCIATION RÈGLE E2
ASSOCIATION CANADIENNE DES PAIEMENTS CANADIAN PAYMENTS ASSOCIATION RÈGLE E2 ÉCHANGE D EFFETS DE PAIEMENT EN LIGNE ÉLECTRONIQUE AUX FINS DE LA COMPENSATION ET DU RÈGLEMENT 2013 ASSOCIATION CANADIENNE DES
Plus en détailPourquoi un bilan Green IT? Zoom sur la méthodologie. Les chiffres clés Et moi?
Pourquoi un bilan Green IT? Zoom sur la méthodologie Les chiffres clés Et moi? Bilan Green IT mars 2011 Bilan Green IT mars 2011 Pourquoi un bilan Green IT? > CONTEXTE En France, la loi sur la Responsabilité
Plus en détailPromouvoir une énergie sûre, compétitive et durable en Europe
Promouvoir une énergie sûre, compétitive et durable en Europe L une des priorités stratégiques de l Union européenne consiste à promouvoir une énergie sûre, compétitive et durable pour l Europe. La BEI
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailCycles de séminaires en coopération entre Sciences Po CERI et EDF R&D. Equilibres et enjeux internationaux de l énergie
1 Cycles de séminaires en coopération entre Sciences Po CERI et EDF R&D Equilibres et enjeux internationaux de l énergie Séminaire 3 : The German Energiewende after the elections and before the EU-2030
Plus en détailETUDE DES NORMES ET SAUVEGARDES SOCIALES DE LA REDD-PLUS
ETUDE DES NORMES ET SAUVEGARDES SOCIALES DE LA REDD-PLUS SYNTHESE INTRODUCTION La présente étude documentaire a été réalisée par le Programme Carbone forestier, Marchés et Communautés (FCMC). Ce programme
Plus en détailLes impacts cachés des TIC. Quels enjeux et quelles actions concrètes?
Les impacts cachés des TIC Quels enjeux et quelles actions concrètes? Eric Drezet Fête de la Science CRHEA, Valbonne 19/11/2013 1 Plan Conclusion Derrière mon PC une avalanche numérique Des conséquences
Plus en détailLes mécanismes de projet
Les mécanismes de projet Changement climatique du protocole de Kyoto Franck Jésus Conseiller Environment du Directeur des Relations Internationales DGTPE MINEFI 04 juillet 2005 Le protocole de Kyoto: limiter
Plus en détailLES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE
LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE Gontran Bage Directeur- Développement durable et gestion des GES GES dans le secteur
Plus en détailAssurer l intégrité environnementale du système québécois de plafonnement et d échange pour les émissions de gaz à effet de serre
Assurer l intégrité environnementale du système québécois de plafonnement et d échange pour les émissions de gaz à effet de serre Document soumis au gouvernement du Québec à propos de son projet de règlement
Plus en détail