La Stérilisation centrale, un maillon essentiel de la qualité au sein de l hôpital
|
|
- Yves Jean-Baptiste Martineau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La Stérilisation centrale, un maillon essentiel de la qualité au sein de l hôpital Ch. Faber Cliniques Universitaires Saint-Luc 23 octobre 2007
2 Stériliser = Lutter contre les infections Empêcher les objets inertes de jouer le triple rôle de réservoir, de transporteur et d inoculateur de microorganismes» Les Recommandations en Matière de Technique de Stérilisation Les Recommandations pour la prévention de la transmission des Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles (EST) en milieu hospitalier
3 Recommandations = Guides pratiques Directions des institutions de soins Responsables de stérilisation Optimaliser les étapes indispensables au «bon» traitement des instruments médicaux. Améliorer le niveau qualitatif global des services de stérilisation 3
4 Stériliser = une Profession Détruire tous les micro-organismes présents sur ou dans un objet. "Un lot d objets est déclaré stérile lorsque la probabilité d avoir au maximum un microorganisme survivant par million d unités traitées est atteinte." Ph. Européenne 5 éd. Contamination initiale inconnue : Qualité? Quantité? Métier dans un environnement "haute technologie" Implanter un Système d Assurance de Qualité VALIDER appareils et méthodes Procédures approuvées par le Comité d Hygiène Hospitalière : travail journalier et contrôles 4
5 Stériliser = Ressources humaines Pharmacien hospitalier, nommément désigné Garantie du niveau qualitatif des activités journalières (A.R. 04/03/1991 Art 12) Infirmière, nommément désignée Présente à chaque cycle, Formation, de préférence reconnue, en matière de technique de stérilisation obligatoire, Formation continue. Auxiliaires de stérilisation Nombre proportionnel aux activités de l hôpital (nombre et nature des interventions chirurgicales et autres). Formation spécifique obligatoire : comprendre et appliquer les procédures de travail. Technicien 5
6 Stériliser = Formations reconnues. Infirmières C.P.S.I. Centre de Perfectionnement en Soins Infirmiers avenue Hippocrate 1200 Bruxelles Katho. Katholieke Hogeschool Zuid-West-Vlaanderen wilgenstraat 8800 Roeselaert PHL Provinciale Hoge School, Hasselt Auxiliaires C.P.S.I.* Centre de perfectionnement en soins infirmiers I.E.P. ps rue des Augustins Liège PHL Provinciale Hoge School, Hasselt Antwerpen 6
7 Stériliser = Service indépendant Centralisé. Circuits séparés de Ramassage ramassage (sale) et de distribution (propre). Surface suffisante pour : 3 zones distinctes Respect du principe de marche en avant : Matériel Personnel En aucun cas intégré au quartier opératoire. Recomposition Sortie Stérilisation Entrée stérilisateurs Traçabilité Distribution 1m2/ lit et minimum 200 à 250 m2 7
8 Stériliser = Sécurité. Interdiction de traiter en stérilisation : Instruments utilisés sur animaux Instruments d autopsies Instruments non porteurs de marquage CE Instruments 2 Temps total de prise en charge 4 h Accès au service limité au personnel (+ techniciens) Règles d hygiène : personnel et visiteurs 8
9 Stériliser = un Environnement. Air : Surpression zone propre et stérile Contrôle de l Aérobiocontamination Surfaces Entretien Sols, tables, Du "propre" au "sale" Contrôles microbiologiques Surfaces Tables, Ordinateurs, clavier, souris, Téléphones Mains 9
10 Stériliser n est qu une des étapes du traitement subit par les instruments médicaux. TRACABILITE Retour en stérilisation Bloc opératoire Paramètres de stérilisation et Charge Validation des stérilisateurs Unités de soins Lavage automatique manuel Validation Lavage Constitution du plateau Stérilisation Etiquette Conditionnement
11 Nombre de germes revivifiables 10 7 Importance de la contamination initiale sur le résultat de la stérilisation 20 min. Cycle à 121,1 C 10 1 Temps 10-3 On ne stérilise bien que ce qui est propre
12 Stériliser = Nettoyer et Désinfecter Eviter le biofilm : Traiter rapidement les instruments après usage. En laveur-désinfecteur > lavage manuel (désinfection chimique) Cycle reproductible Désinfection thermique EN : Concept du Ao exprime l inactivation des micro-organismes. Importance du couple Température / temps. Eau renouvelée à chaque cycle Meilleure protection du personnel Adapté aux endoscopes 12
13 Stériliser = Valider Prouver que l appareil fonctionne de façon homogène et reproductible. 13
14 Sécurité = Lavage et désinfection Cycle performant et reproductible : Contrôler la performance de la phase de lavage : Prélavage < 45 C Température de lavage est fonction des produits lessiviels Tests de Souillures Applications aux endroits critiques Souillure type Détection de résidus biologiques protéiques Détection de résidus sanguins 14
15 Sécurité = Lavage et désinfection Contrôler la désinfection thermique Température / temps Calcul du Ao Contrôler le séchage Visuel Température Contrôler la reproductibilité du volume des produits lessiviels distribués à chaque cycle. Volumes d eau utilisés / phase Contrôler l absence de résidus lessiviels. 15
16 Cycle de Lavage - Désinfection Test Souillure Essai thermométrique trique Pré-lavage lavage ph Essai thermométrique trique Rinçage neutralisation Rinçage Ao Décontamination thermique Séchage Test visuel Eau < 45 C Température / Eau Produits lessiviels
17 Ao = 10 (T- 80) / Z. t A minimum? 0 Ao = 60 ( 1 minute à 80 C) Minimum reconnu. D.M. = peau intacte, biocharge faible, absence de micro-organismes pathogènes résistants à la chaleur. ( Tunnel de la Cuisine ) Dispositif semi-critique : Ao 600 Dispositif critique : Ao
18 A 0 permet de comparer la létalité de divers procédés de désinfection par la chaleur humide Ao 80 C 90 C 93 C 60 1 min Tunnel Cuisine 6 sec 3 sec min 1 min 30 sec min 5 min 2,5 min A o exprime l inactivation des microorganismes. Industrie des boissons : Ao = 2,37 ( 72 C / 15 sec ).
19 Sécurité et Ultrasons Pré-traitement pour salissures "tenaces" Température de l eau (40 45 C) Vérifier efficacité des ultrasons Contrôles en routine Maintenance technique Volume du produit lessiviel Renouvellement des bains Ultrasons + irrigations pour instruments creux 19
20 Stériliser = Vérifier Contrôle visuel de chaque instrument Propreté Intégrité Fonctionnalité 20
21 Stériliser = Conditionner Perméable à l agent stérilisant Porte un indicateur de passage Etiquette de traçabilité Usage Unique Contrôle journalier de la scelleuse Conteneurs Conditionnement interne Contrôler les filtres Contrôler les joints Clamp de sécurité Maintenance annuelle 21
22 Sécurité = Conditionnement EN devient EN ISO 11607/ 1&2 Système de Barrière Stérile (SBS) : Configuration d emballage minimale qui garantit une barrière microbienne et permet la présentation aseptique du produit au point d utilisation. Exemple : les feuilles de stérilisation Système de Barrière Stérile préformé : Système de barrière stérile Partiellement Assemblé avant remplissage et fermeture ou scellage Exemple : Sachets, gaines, sacs et conteneurs ouverts réutilisables Conteneur réutilisable : Système de barrière stérile rigide conçu pour être utilisée de manière répétée. Exemple : Conteneurs réutilisables avec couvercles et filtres 22
23 Sécurité = Conditionnement EN devient EN ISO 11607/ 1&2 Emballage de Protection : Configuration d emballage conçue pour éviter tout dommage au système de barrière stérile et à son contenu lors de leur assemblage et jusqu au point d utilisation. Exemple : second sachet ou gaine, second sac,, seconde feuille, sachet de protection, gaine de protection, conteneur, etc. Système d Emballage : combinaison du système de barrière stérile et de l emballage de protection. 23
24 Sécurité = Date de Péremption Directive hollandaise «Steriliseren en steriliteit» Basée sur un calcul dépendant du : Matériau d emballage, Mode d emballage, Mode de transport, Conditions de stockage (utilisateur) Nombre et importance des manipulations. Délai de validité lié à l évènement. Stockage hors contamination chez l utilisateur 24
25 Stériliser = Méthodes de stérilisation Libération paramétrique Vapeur d eau saturée Dossier de VALIDATION Critères / températures, pression Pas de libération paramétrique Indicateurs biologiques Oxyde d éthylène Peroxyde d hydrogène 25
26 Stériliser = Valider Programme total Qualification de l installation conforme aux spécifications Qualification Opérationnelle Normes Critères Dossier de validation Re - Qualification ANNUELLE par tiers agrée Si modifications Si routine discordante Si performances inacceptables EN 554 Annexe A.3.6. Qualification Physique Pression,Température,temps Qualification Microbiologique
27 Stérilisation à la vapeur d eau saturée A chaque cycle Test journalier Test hebdomadaire Test périodique Test annuel et en cas de modification majeure Contrôles des paramètres physiques Diagramme de Regnault : P/T Temps de chaque phase Niveau de vide Virage des indicateurs physico-chimiques Siccité de la charge Intégrité des conditionnements Test de Bowie and Dick Indicateurs biologiques Test de fuite Sondes embarquées Revalidation
28 Sécurité = Facteur humain Lavage et désinfection optimisés si le personnel : Ouvre, démonte les instruments Evite la surcharge des paniers Absence «zones d ombres» : accès à l eau, au détergent Optimiser le séchage Tient compte des limites de la technique 28
29 Sécurité = Facteur humain Contrôles journaliers : Fonctionnement des bras rotatifs. Niveau des produits chimiques. Nettoyage des filtres des LD. Contrôle de la cuve : absence de dépôts minéraux Contrôle visuel soigneux loupe lumineuse 29
30 Sécurité = Facteur humain Stérilisation : Poids maximum/unité Tri en fonction : Mode de stérilisation Température Chargement optimum : Evacuation de l air Pénétration agent stérilisant Maintenance 30
31 Importance de l eau. Les laveurs désinfecteurs Lavage et rinçage intermédiaire : Eau potable ou adoucie si dureté importante : titre hydrotimétrique (TH) entre 4 et 8 F L eau dure inhibe l activité anti-microbienne des détergents désinfectants. Rinçage final : eau déminéralisée ou + osmosée Les stérilisateurs Pompe à vide : eau adoucie Générateur de vapeur : eau osmosée, - eau adoucie 31
32 Stériliser = Tracer et archiver TRACABILITE Retour en stérilisation Bloc opératoire Paramètres de stérilisation et Charge Validation des stérilisateurs Lavage automatique manuel Validation Lavage Constitution du plateau Stérilisation Etiquette Conditionnement 32
33 Tracer? Avantage juridique Preuve du respect des procédures en cas d'enquête juridique Avantage technique Points de repère nécessaires à la réalisation de son activité propre ainsi que des informations liées à l'ensemble de la production. Avantage économique Evaluation du coût production / Produit / Clients Etat du parc d instruments Ressources humaines / Production 33
34 Stériliser, c est compter avec discernement. Certaines économies s opposent à la sécurité du patient : Personnel sans expertise Laveur-désinfecteur et stérilisateur non validés Conteneurs non entretenus Durée de péremption démesurée Restériliser l interdit 34
35 Certaines économies s opposent à la sécurité du patient : Stockage dans les couloirs : Matières premières Produits finis Absence de maintenance préventive de l équipement. 35
36 La Stérilisation à l hôpital Une lutte contre les infections nosocomiales Une responsabilité pharmaceutique Une évolution des Techniques chirurgicales // Instrumentation Un système d Assurance de la Qualité Chaîne de processus fort différents Traçabilité patient Un contexte normatif et légal en constante évolution Normes EN 15883, EN, Recommandations 2006 A.R. sur la sous-traitance Pression sur les coûts / domaine de la santé 36
37 «L épaisseur d un rempart compte moins que la volonté de le défendre» Thucydide Historien grec, Vème av. J-C.
38 Merci de votre attention Bedankt voor uw aandacht
CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE RECOMMANDATIONS EN MATIERE DE STERILISATION. <---- Cliquez. Table des matières
CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE RECOMMANDATIONS EN MATIERE DE STERILISATION Table des matières
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailI. Définitions et exigences
I. Définitions et exigences Classes d indicateurs chimiques [1] Stérilisation : synthèse des normes ayant trait Exigences générales : Chaque indicateur doit porter un marquage clair mentionnant le type
Plus en détail«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité»
«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité» SSO-Fribourg, jeudi 12 février 2015 Dr Christine Cunier Adjointe du médecin-dentiste
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailLA TRAÇABILITE DE A Z ET DE Z A AU CABINET DENTAIRE
LA TRAÇABILITE DE A Z ET DE Z A AU CABINET DENTAIRE 1 Introduction et définition de la traçabilité Les décès dus aux maladies nosocomiales, le scandale du sang contaminé ont rendu les patients anxieux
Plus en détailLA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012
LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 SOMMAIRE La norme RABC, qu est-ce que c est? Les grandes lignes La blanchisserie et la Fonction linge - incidences sur l application de la méthode Les
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailBOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes
1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailFICHES DE STÉRILISATION
FICHES DE STÉRILISATION Ces fiches sont parues sous forme d un numéro thématique de la revue HYGIENES, en 1996 «Fiches de stérilisation» GOULLET D., DEWEERDT C., VALENCE B., CALOP J. HEALTH & CO BP 14
Plus en détailGuide pour la validation et le contrôle de routine des procédés de stérilisation à la vapeur d eau dans les établissements de soins
Ingenieur Hospital Schweiz Ingénieur Hôpital Suisse Guide pour la validation et le contrôle de routine des procédés de stérilisation à la vapeur d eau dans les établissements de soins en référence aux
Plus en détailGETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE
GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE 2 Getinge Clean Management System GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM (CMS) UN PROCESSUS OPTIMISÉ, UNE SOLUTION UNIQUE Getinge peut vous
Plus en détailDésinfection du matériel médical et stérilisation Josée Savoie, Julie Moreau, Maroussia Groleau
La prévention des infections en cabinet privé Désinfection du matériel médical et stérilisation Josée Savoie, Julie Moreau, Maroussia Groleau 6 Vous recevez Martine à votre cabinet pour son examen annuel.
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailPREPARATION (NETTOYAGE, DESINFECTION ET STERILISATION) D AIGUILLES MEDICALES, DE RACCORDS, DE ROBINETS ET D AIGUILLES CHIRURGICALES A SUTURE UNIMED
U N I M E D S.A. CM/07.12.04 NETSTERIL.SPN Approuvé par/le: Claude Borgeaud / 08.10.13 PREPARATION (NETTOYAGE, DESINFECTION ET STERILISATION) D AIGUILLES MEDICALES, DE RACCORDS, DE ROBINETS ET D AIGUILLES
Plus en détailHygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009
Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage
Plus en détaillevenok.com Identification du lot sur le document four ni par le demandeur
levenok.com Architectes D.P.L.G. RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE des matériaux et produits contenant de l'amiante pour l'établissement du constat établi à l'occasion de la vente d'un immeuble bâti REFERENCES
Plus en détailLe premier dispositif 4 en 1.
TETHYS H10 Le premier dispositif 4 en 1. Décontamination, nettoyage, désinfection et séchage en un seul passage pour un flux de travail plus simple, plus rapide et plus efficace. Tethys H10 est le premier
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détail1 Introduction 2. 1.1 Description 2. 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2. 1.3 Caractéristiques 3. 1.4 Aspects réglementaires 3. 2 Mise en service 4
Table des matières 1 Introduction 2 1.1 Description 2 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2 1.3 Caractéristiques 3 1.4 Aspects réglementaires 3 2 Mise en service 4 2.1 Déballage et inspection 4 2.2 Batterie
Plus en détailProduits de contrôle de l efficacité de lavage et de garantie
Produits de contrôle de l efficacité de lavage et de garantie de stérilité GETINGE ssured anufacturer s protocol M Manufacturer s protocol 2 Getinge ssured Getinge vous comprend Chaque jour, vous retraitez
Plus en détailLES DIFFERENTS SYSTEMES DE MARQUAGE DES INSTRUMENTS. Atelier n 2
LES DIFFERENTS SYSTEMES DE MARQUAGE DES INSTRUMENTS Atelier n 2 UNITES DE SOINS MCJ PRE-DESINFECTION Transport UTILISATION Dossier médical informatisé du patient Logiciel de traçabilité du processus de
Plus en détailFICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL
LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations
Plus en détailAUDIT 2009 des UCPC de Lorraine
AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine Nom de l'établissement Date Nombre de préparations / an : Date d'installation: Personnes présentes Nom / Prénom Fonction Signature Réseau Oncolor 2010 1 SOMMAIRE Page I
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailA LIRE IMPERATIVEMENT AVANT TOUTE UTILISATION A REMETTRE A L UTILISATEUR ET A CONSERVER
4 Le Pas du Château 85670 SAINT PAUL MONT PENIT TEL : 02-51-98-55-64 FAX : 02-51-98-59-07 EMAIL : info@medicatlantic.fr Site Internet : http//: www.winncare.fr MANUEL D UTILISATION Des Systèmes d Aide
Plus en détailRegistres de fermentation lente. Critères d inspection
Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Registres de fermentation lente 1.15.0.3204 Registres de fermentation lente Registres Un échantillon
Plus en détailComment peut-il stériliser autant dans si peu d espace? Il cache bien son secret.
Le secret. 2 Comment peut-il stériliser autant dans si peu d espace? Il cache bien son secret. Le Getinge Quadro est un stérilisateur de table totalement révolutionnaire, conçu pour traiter davantage d
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailMODE D EMPLOI DES BAINS DE TABLE NUMÉRIQUES À ULTRASONS SONICLEAN SONICLEAN DIGITAL BENCHTOP ULTRASONIC CLEANERS
MODE D EMPLOI DES BAINS DE TABLE NUMÉRIQUES À ULTRASONS SONICLEAN SONICLEAN DIGITAL BENCHTOP ULTRASONIC CLEANERS MODÈLES: 80TD, 120TD, 160TD/HD, 250TD/HD, 500TD/HD, 750TD/HD, 800TD/HD, 1000TD/HD, 2000TD/HD,
Plus en détail4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES
PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage
Plus en détailMinistère des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale. Programme d appui au secteur de la santé- 8 ÈME FED
République du Mali Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale Programme d appui au secteur de la santé- 8 ÈME FED Mars 2006 Elaboration d un guide concernant les grossistes sur
Plus en détailLes besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire
Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge
Plus en détailPlateaux de bureau, bureaux
LOT 1 Siège central de Fedasil Plateaux de bureau, bureaux SOLS 2x par an Dépoussiérer tous les sols à l aide d un balai muni de voiles imprégnés Enlever les taches éventuelles sur les sols Aspirer à fond
Plus en détailDéfauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification
chapitre page 7 Index CHAPITRE 7 CATÉGORIES DES DÉFAUTS 7.1 Abrasion 7.2 Cloque 7.3 Canal de fuite 7.4 Joint comprimé (ou séparation des couches dans la zone de scellage) 7.5 Joint contaminé 7.6 Joint
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailPaquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires
Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Applicable au 1 er janvier 2006 Objectif : Etablit les règles générales en matière d hygiène, est directement applicable
Plus en détailLA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION
LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION
Plus en détailCONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX
CONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX Exécution de prestations de nettoyage de locaux administratifs situés : - site n 1 : 24 rue des Ingrains 36022 CHATEAUROUX - site n 2 : 10 rue d Olmor 36400 LA CHATRE Critères
Plus en détailde gestion des instruments et de documentation des données processus 7 èmes Journées nationales suisses sur la stérilisation de la SSSH,
Validation des logiciels i l à des fins de gestion des instruments et de documentation des données processus Présentation de Markus Geissmann à l occasion des 7 èmes Journées nationales suisses sur la
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détailAccueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA
Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA PLAN Introduction Réglementation Circuit du personnel Procédure de Formation Accueil
Plus en détailde propreté est-il garanti? des Hôpitaux Universitaires de Genève
Nettoyage des instruments creux: le niveau d assurance de propreté est-il garanti? Retour d expérience à la stérilisation centrale des Hôpitaux Universitaires de Genève Hervé Ney JNSS Fribourg 2010 1 Hervé
Plus en détailGUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires. Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale
GUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale La «marche en avant» consiste à éviter autant que possible le croisement
Plus en détailL ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE
LUTTE CONTRE L INFECTION EN PERIODE PERI-OPERATOIRE mars 2010 L ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE F. DUBOURDIEU Unité d Hygiène Hospitalière Hôpitaux Civils de Colmar Sommaire
Plus en détailMODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :
1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...
Plus en détailAutoclaves de laboratoire Systec. Systec Série V. Autoclaves sur pied verticaux. Systec Série D. Autoclaves de table horizontaux.
Autoclaves de laboratoire Systec Systec Série V. Autoclaves sur pied verticaux. Systec Série D. Autoclaves de table horizontaux. Performance et compétence. La performance fruit de l expérience Nous ne
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailGamme CLINOX 3A LAVE-BASSINS
Gamme CLINOX 3A LAVE-BASSINS ARCANIA est la marque dédiée à la santé de la société SOFINOR, entreprise familiale créée en 1959, spécialiste de la fabrication d équipements INOX. Intégrant systématiquement
Plus en détailIncidence sur la siccité de différents types d emballages dans un conteneur
Incidence sur la siccité de différents types d emballages d dans un conteneur Frédy Cavin Responsable stérilisation - Hospices/CHUV Lausanne 1ères Journées Nationales Suisses sur la stérilisation Définition
Plus en détailDISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL
DISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL Ces dispositions s appliquent spécifiquement aux établissements fabriquant ou distribuant des
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailAVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise
Plus en détailIdentification et analyse des ruptures de flux en pratique
Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Benjamin GAREL Directeur Qualité CHU GRENOBLE Catherine GUIMIER Pharmacien praticien hospitalier CHU GRENOBLE Contexte Ouverture NSC en 2007 Activité
Plus en détaildirect serve EN DE NI ES PT CZ SK www.moulinex.com
FR direct serve EN DE NI ES PT CZ SK www.moulinex.com 4 3 2 1 71mm 5 6 7 1 2 3 4 5 6 OK Click NO 7 8 9 150ml 10 Nous vous remercions d avoir choisi un appareil de la gamme Moulinex. CONSIGNES DE SECURITE
Plus en détailMEDIACLAVE. La stérilisation rapide, reproductible et sûre des milieux
MEDIACLAVE La stérilisation rapide, reproductible et sûre des milieux MEDIACLAVE La stérilisation rapide, reproductible et sûre des milieux Les milieux de culture bactérienne sont très largement utilisé,
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe
Plus en détailAssurance de la qualité Initiation
Assurance de la qualité Initiation Définition et principe La qualité, c est : L aptitude d un ensemble de caractéristiques intrinsèques à satisfaire des exigences ISO 9000 2000 3.1.1 Série des normes ayant
Plus en détailGrâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE
la Grâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE Filiale du Groupe Suez Environnement et Leader en France,
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS
01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence
Plus en détailH A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.
H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailCARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES
CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES Le cœur du produit de pointe que nous avons étudié et réalisé pour le secteur médical est représenté par le nouveau thermostat électronique HACCP, de série
Plus en détailHACCP et sécurité sanitaire des aliments
HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailCODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999
CAC/RCP 46 Page 1 of 22 CODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION...2 1. OBJECTIFS...2
Plus en détailENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES
1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en
Plus en détailI. Etapes du service et procédés utilisés
I. Etapes du service et procédés utilisés Réception des vêtements Détachage des vêtements Nettoyage à sec des vêtements Lavage des vêtements Essorage des vêtements Séchage des vêtements Repassage des vêtements
Plus en détailFauteuil dentaire monté vers le haut, Modèle CARE-22
Fauteuil dentaire monté vers le haut, Modèle CARE-22 Fauteuil dentaire monté vers le haut, Modèle CARE-22 Réf. SOC-RYS-301017 Caractéristique : Système d exploitation à main monté vers le haut, design
Plus en détailULTRA-TRAIL DU MONT-BLANC
ULTRA-TRAIL DU MONT-BLANC Fiche d instructions ravitaillements MISSIONS Les bénévoles présents aux postes de ravitaillement doivent : - assurer une présence permanente de boissons et ou alimentation -
Plus en détailHygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires
Hygiène alimentaire Réglementation Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Sommaire Avant de s installer, les démarches à suivre p.3/4 Concevoir la cuisine p.5 Hygiène - Les bonnes pratiques
Plus en détailAblation de sutures. Module soins infirmiers
Ablation de sutures Module soins infirmiers Equipe enseignante de l IFSI du Centre Hospitalier de ROUBAIX Diaporama réalisé par : Stéphane Dubus, Formateur I. Définition Il s agit d ôter les sutures cutanées
Plus en détailFORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011)
FORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011) Interlocuteur Eurofins Biosciences : Lionel GROSJEAN Eurofins Biosciences Responsable Formation Conseil RHD
Plus en détailAvant de commencer à utiliser l oreillette, vous devez charger la pile entièrement.
Merci d avoir acheté un produit Hip Street. Nous espérons que vous aimerez utiliser cet appareil. Veuillez visiter notre site Web à www.hipstreetonline.com. Préface Veuillez lire attentivement le présent
Plus en détailCOLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles
COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles Rappel : Organisation de la collecte des déchets sur le secteur de SAINT-BRIEUC
Plus en détailContent. Steriking Multi Seal Test Kit. Nettoyage et désinfection de haut niveau des dispositifs médicaux, endoscopes et matériel thermosensible.
HOSPITHERA NEWSFLASH n 2 Sterilization & Hygiene 09/2013 Content Steriking Multi Seal Test Kit Combine les tests qualitatifs de votre soudeuse. p2 Aniosept Activ 2% Nettoyage et désinfection de haut niveau
Plus en détailCATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS
(1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE
Plus en détailContexte de la chimiothérapie à domicile
Marie LAFFETAS / Stéphanie COUDERT Toulouse Le 05 octobre 2012 Contexte de la chimiothérapie à domicile Problématique et objectifs Méthode et résultats de l étude Discussion et conclusion 2 1 Développement
Plus en détailLave-bassins à thermo-désinfection pour hôpitaux et cliniques
Lave-bassins à thermo-désinfection pour hôpitaux et cliniques For the Environmentally conscious Lave-bassins à thermo-désinfection pour hôpitaux et cliniques Steelco continue à accroître sa réputation
Plus en détailEMBALLAGE ALIMENTAIRE
EMBALLAGE ALIMENTAIRE QUALITÉ SANS COMPROMIS EMBALLEUSES SOUS VIDE DE TABLE MODÈLES 250 300 300D 350 350D 380 380T P2 OPERCULEUSES MODÈLES TS-15 TS-30 TS-70-2 TS-70-3 P16 EMBALLEUSES SOUS VIDE Simple chambre
Plus en détailCOLLOQUE «SOLAIRE THERMIQUE et HABITAT COLLECTIF»
COLLOQUE «SOLAIRE THERMIQUE et HABITAT COLLECTIF» LE MONITORING AU SERVICE DE LA MAINTENANCE Michel BOURLOUX 06/03/2013) LE MONITORING AU SERVICE DE LA MAINTENANCE Sommaire 1. Préambule 1.1 Les Besoins
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.
Plus en détailEBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect
Virus Ebola Transmission : de personne à personne lors de contact avec liquides biologiques du malade (sang, excréments, vomissures, urine, salive, sperme). Incubation : de quatre à dix jours, au max 21
Plus en détailL hygiène en restauration
L hygiène en restauration Remise directe au consommateur Avertissement : les fiches présentées dans cette rubrique ont valeur de première information synthétique et ne tiennent pas compte des spécificités
Plus en détailFRANÇAIS. Les monde des units dentaires de référence
FRANÇAIS Les monde des units dentaires de référence Table des matières Planmeca Sovereign 4 Planmeca Compact i 10 DECOUVREZ LE MONDE FASCINANT DES UNITS DENTAIRES DE PLANMECA Planmeca Romexis 18 Planmeca
Plus en détailBACTÉRIE PARTICULE D ARGENT
Tissu High-tech BACTÉRIE FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE PARTICULE D ARGENT FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE La partie interne des tissus Medical Style contient des particules d argent à l action biocide
Plus en détailCaractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire
Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire DANGERS Cette fiche ne prétend pas être exhaustive. Elle vise à enrichir (et non limiter) la réflexion des professionnels sur le sujet des
Plus en détailPOUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES
RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont
Plus en détailManuel d utilisation du Défibrillateur automatisé externe (DAE)
Manuel d utilisation du Défibrillateur automatisé externe (DAE) IMPORTANT Lisez attentivement et intégralement le présent manuel d utilisation avant d utiliser l appareil pour la première fois. Les informations
Plus en détailN O U V E L français
N O U V E L français TABLE DES MATIÈRES Né pour se faire admirer et pour durer longtemps 04 VALVES BLOCK 16 STRUCTURE MODULAIRE 16 SYSTÈME DE REFROIDISSEMENT 16 Simple et intuitif au premier toucher 06
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailFICHE DE POSE FILMS AUTOMOBILES FPP.7.3.2.Auto A 07.07 SOMMAIRE
FICHE DE POSE FILMS AUTOMOBILES FPP.7.3.2.Auto A 07.07 METHODE DE POSE ET DE DEPOSE Film de Protection Solaire FILM AUTOMOBILE MATERIEL NECESSAIRE Un PULVITRE (pulvérisateur (11 litres) Une raclette MARJO
Plus en détail