STRATÉGIE DE LA BANQUE MONDIALE EN MATIÈRE DE TRAVAIL ET DE PROTECTION SOCIALE
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- Maxence Corbeil
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1 STRATÉGIE DE LA BANQUE MONDIALE EN MATIÈRE DE TRAVAIL ET DE PROTECTION SOCIALE Résilience, équité et opportunités
2 Nous vivons aujourd hui dans un monde fait de risques et d opportunités. Le risque et la quête d opportunités occupent une place centrale dans notre monde interconnecté. On assiste à une multiplication des chocs économiques, qui se propagent d un pays à l autre. Et pourtant, le nombre de personnes vivant dans l extrême pauvreté soit avec moins de 1,25 dollar par jour n a jamais été aussi bas depuis plus de trente ans. La pauvreté dans le monde, même si elle recule, demeure très répandue. Des millions de personnes luttent pour échapper à la pauvreté et accéder à des emplois productifs. Les populations pauvres, hommes et femmes confondus, ont besoin d une protection sociale efficace et de débouchés sur le marché de l emploi. Dans le monde en développement, 3 personnes sur 5 seulement bénéficient d une forme de protection sociale Selon sa nouvelle stratégie en matière de travail et de protection sociale, la Banque mondiale promeut le principe d une collaboration : adaptée aux pays fondée sur des données probantes déployée de manière multisectorielle Un programme de protection sociale et de promotion du travail bien conçu doit : avoir un coût raisonnable aider les familles à subvenir à leurs besoins en temps de crise contribuer à la bonne santé, à l alimentation et à la scolarisation des enfants donner accès à des emplois de meilleure qualité favoriser l émancipation féminine promouvoir l équité et l égalité des chances
3 Résilience Assurer contre les effets d une dégradation des conditions de vie causée par divers chocs Les programmes d assurance sociale comprennent notamment : les assurances-chômage ou invalidité les pensions de vieillesse les programmes de travaux publics modulables En Inde, 100 millions de personnes avaient bénéficié du programme RSBY (programme national d assurancemaladie) en 2011 ; ils devraient être 300 millions d ici Le programme d allocations vieillesse mis en place en Thaïlande couvre 93 % des personnes âgées pauvres. La hausse du nombre de personnes âgées dans le monde s accompagne de l essor de la demande en faveur de systèmes de pensions vieillesse efficaces et pérennes Le nombre de personnes recevant l appui du programme national éthiopien de travaux publics a augmenté de 30 % durant la sécheresse frappant la Corne de l Afrique.
4 Équité Protéger contre le dénuement et les pertes catastrophiques et irréversibles de capital humain Les filets de sécurité que constituent les programmes d aide sociale comprennent notamment : les transferts monétaires les transferts en nature (alimentation scolaire, par ex.) les subventions alimentaires ciblées Au Bangladesh, filles sont toujours scolarisées grâce au versement d allocations conditionnées à l assiduité. 80 % des pays en développement disposent de plans destinés à renforcer les filets de sécurité pour mieux faire face aux crises futures Les transferts monétaires mis en place par les Philippines ont permis à 2 millions de ménages de faire face à la hausse des prix des denrées alimentaires. Près de 25 % de la population brésilienne reçoit aujourd hui des transferts monétaires pour la scolarisation des enfants et la poursuite de leurs études.
5 Opportunités Promouvoir l amélioration de la santé et de l éducation et le développement des compétences, tout en aidant les hommes et les femmes à obtenir de meilleurs emplois Programmes axés sur marché du travail (acquisition des compétences, recherche d emploi, etc.) Programmes destinés à accroître le capital humain et physique (transferts monétaires et travaux publics notamment) l emploi est indispensable aux ménages pour sortir de la pauvreté et améliorer leur niveau et conditions de vie L Afghanistan, la Jordanie, la RDP lao, le Rwanda, le Soudan du Sud et le Népal participent à un programme de 20 millions de dollars qui vise à faciliter l emploi des jeunes filles et leur accès aux services bancaires. Le Libéria a conçu un programme de travaux publics qui permet aux jeunes d être rémunérés en espèces et d acquérir des qualifications. Au Kenya, un programme de travail rémunéré en nourriture subvient aux besoins d emploi et d alimentation de la population tout au long de l année et a accru la production agricole de 52 %.
6 La stratégie de la Banque mondiale pour le travail et la protection sociale s articule autour de quatre axes : Inclusion La stratégie vise à étendre les dispositifs de protection sociale et de promotion du travail aux pays et populations les plus pauvres en faisant en sorte qu ils soient mieux adaptés et plus productifs, et qu ils couvrent aussi les enfants, les plus démunis, les handicapés, les travailleurs du secteur informel et les femmes. Systèmes La stratégie aide les pays à mettre en place des systèmes harmonisés dans le domaine de la protection sociale et de la promotion du travail en concevant des solutions adaptées aux besoins et destinées à remédier à la fragmentation des programmes tout en aidant les populations à faire face à une multiplicité de risques. Emplois La stratégie met en avant le rôle clé de l emploi comme porte d accès essentielle aux opportunités ; elle aide les pays à accroître la productivité et la qualité du travail, et les travailleurs à accéder à de meilleurs emplois et revenus, et à préserver et renforcer leurs compétences. connaissances La stratégie souligne l importance de disposer de connaissances et de données d expérience dans le domaine du travail et de la protection sociale, en mettant particulièrement l accent sur les échanges Sud-Sud et les pratiques qui ont fait la preuve de leur efficacité.
7 Résilience, équité et opportunités : Stratégie de la banque mondiale en matière de travail et de protection sociale S ils sont bien conçus, les programmes de protection sociale et de promotion du travail viennent soutenir les populations et contribuent à la croissance de l économie. Des systèmes intégrés de protection sociale et de promotion du travail sont en mesure de réduire la pauvreté et de générer une croissance solidaire en améliorant : la résilience : ils assurent contre les effets de chocs multiples et divers l équité : ils protègent contre le dénuement et les pertes de capital humain les opportunités : ils renforcent le capital humain et l accès à des emplois productifs Avec sa nouvelle stratégie en matière de travail et de protection sociale, la Banque mondiale se fixe pour la période un programme d action destiné à aider les pays à revenu faible ou intermédiaire à renforcer, améliorer et harmoniser leurs programmes de protection sociale et de promotion du travail ; à accroître les capacités dont ils disposent pour faire face aux crises et aux chocs ; à favoriser la réduction de la pauvreté et une croissance solidaire ; et à s inspirer des connaissances acquises au plan mondial sur les méthodes ayant fait la preuve de leur efficacité. Résilience Assurer contre les effets de chocs multiples et divers Opportunités Renforcer le capital humain et l accès à des emplois productifs Équité Protéger contre le dénuement et les pertes de capital humain
8 L un des objectifs fondamentaux de la nouvelle stratégie de la Banque mondiale en matière de travail et de protection sociale est d augmenter le nombre de personnes dans le monde qui bénéficient de programmes efficaces dans ce secteur. POURCENTAGE DE LA POPULATION DU QUINTILE LE PLUS PAUVRE COUVERT PAR UN SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE DONNÉES NON DISPONIBLES IBRD MARS 2012 Les frontières, les couleurs, les dénominations et toute autre information figurant sur cette carte n implique de la part du Groupe de la Banque mondiale aucun jugement quant au statut juridique d un territoire quelconque et ne signifient nullement que l institution reconnaît ou accepte ces frontières.
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