Gonaïves : les moniteurs du projet JPO

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Gonaïves : les moniteurs du projet JPO"

Transcription

1 Newsletter Cp-Hïtien Fort-Liberté Hinche Port-de-Pix Gonïves Cyes Jérémie Jcmel Mirgone Edition # 4 / Juin 2009 Lorsqu ils voyient le jour, en mi 2007, les CMM vient pour voction d offrir ux Hïtiens un cdre privilégié pour les échnges d idées et le prtge d expériences, des éléments incontournbles pour le développement. Chemin fisnt, cet ppui des CMM s est mtérilisé sous divers formes: conférences-débts, séminires, teliers de formtion Pour les bénéficiires, prmi lesquels des ssocitions et des groupes professionnels, ils constituent églement une fenêtre sur le monde, notmment pr le biis des nouvelles Technologies de l Informtion et de l Communiction. Les CMM, c est ussi un cdre d pprentissge, de détente et de loisirs pour les jeunes. Aujourd hui plus que jmis, les CMM sont heureux de poursuivre leur noble mission. Bonne lecture à tous! Les CMM, deux ns près : un ppui incontournble en fveur du dilogue entre les Hïtiens Dvid Wimhurst Directeur du Bureu de l Communiction et de l Informtion Publique Les CMM, deux ns près... 1 Interview vec Mdme Netlnde Dérius Pierre... 3 Exposition utour de l problémtique de l eu... 4 Concours d épelltion... 5 Un modèle d intégrtion de genre u sein de l Mission... 6 Echnge Inter-Centre: Un début prometteur... 7 L mlri est endémique en Hïti... 8 Jwèt pou ou... 9 L Internet offre ux journlistes hïtiens Flsh Collge...12 Gonïves : les moniteurs du projet JPO Le projet des Centres Multimédi soufflé, en Mi 2009, s deuxième bougie. Depuis s crétion, les neuf centres situés à trvers le pys sont devenus des plteformes communutires solides où les Hïtiens ont l opportunité de mener un débt constructif sur des sujets d'importnce dns leurs collectivités. En soutennt le dilogue entre les Hïtiens, nous nous enggeons à renforcer leurs cpcités pr le biis des divers séminires, teliers et formtions qui y sont orgnisés. Aujourd'hui, grâce u soutien de nos collborteurs qulifiés, les CMM ont ccrédité 693 orgnistions de l société civile dont 93 ssocitions de femmes. Au cours des deux dernières nnées, les CMM ont orgnisé ctivités uxquelles plus de personnes ont prticipé en échngent sur des projets et des ctions visnt un pys plus stble. L populrité des Centres nous encourge à continuer notre enggement de prtge de connissnces et d méliortion des services que nous fournissons. Et ce dns le but de donner ux citoyens hitiens plus de possibilités de prticiper dns l recherche et le développement de solutions ux diverses difficultés uxquelles leurs communutés font fce. Dns cette édition, nous illustrons notre populire concours Epelle Moi, conçu pour Suite pge 2

2 2 Suite de l pge 1 motiver les jeunes à prticiper à des jeux compétitifs d épelltion qui se sont révélés très intructifs. Nous soulignons en outre notre projet Jwèt pou ou (A ton tour), qui vise à promouvoir une meilleure compréhension des enjeux environnementux u sein de l popultion, y compris s responsbilité de protéger l'environnement. L section des Droits de l homme de l MINUSTAH lncé en décembre 2008 une exposition de photos qui illustrit l problémtique de l'eu en Hïti. L'exposition est ctuellement en tournée dns tous les Centres Multimédi en vue de sensibiliser sur l'importnce de l préservtion de l'eu et sur le droit de l popultion d'voir ccès à l'eu potble. Nos collègues de l'unité Genre ont contribué à ce numéro à trvers un rticle qui souligne l pproche intégrée de l églité des chnces entre hommes et femmes et comment les CMM contribuent à l rélistion efficce de ce genre d ctivités grâce ux efforts conjoints et l vision prtgée des diverses composntes de l MINUSTAH. Les teliers sur l'internet u service des journlistes tenus ux CMM des Cyes, Jérémie, Mirgoâne et Jcmel, ont été une inititive conjointe du MMC et de l'unesco pour promouvoir un ccès libre, indépendnt et universel à l'informtion des journlistes hïtiens. Ces teliers ont porté sur l'pprentissge de techniques dns le domine de l technologie de l'informtion et de l communiction (TIC) fin de fciliter et d méliorer les performnces de ces journlistes. Nous imerions remercier nos orgnistions ccréditées et nos prtenires pour leur prticiption ctive et leur soutien u projet des Centres Multimédi durnt les deux dernières nnées. Nous sommes églement reconnissnts à l égrd des diverses sections et collègues de l MINUSTAH, des orgnismes des Ntions Unies, des utorités locles et des orgnistions non gouvernementles pour leur contribution significtive à l promotion du dilogue entre les Hïtiens. Irene Hoeglinger & Guillermo Forteu Coordonteurs de Projet des Centres Multimédis pour les régions Nord et Sud Sttistiques indiqunt le nombre de visiteurs et de prticipnts ux ctivités des Centres Multimédis De Mi 2007 à Mi 2009 REGIONS MEN %Men WOMEN % Women Jcmel: des membres de l Espce-Jeunes prticipnt à un séminire sur l écriture journlistique TOTAL GONAIVES PORT-DE-PAIX FORT-LIBERTE CAP-HAITIEN HINCHE MIRAGOANE JACMEL CAYES JEREMIE TOTAL Jcmel, Fort-Liberté: des membres de l Espce-Jeunes et rencontre de suivi vec les pirs éducteurs

3 Le CMM des Gonïves ouvert ses portes en mi 2007 pour ppuyer le dilogue entre les Hïtiens. Depuis, comment voyez-vous son trvil? Au niveu du déprtement de l'artibonite, prticulièrement le Hut de l'artibonite, l société civile étit confrontée à un problème mjeur. Les ssocitions n'vient ps de points de repère, c'est-àdire, un endroit où elles peuvent se rencontrer pour échnger. Bien sûr, ux Gonïves, on ne mnque ps de lieux de rencontre mis il n'existe ps un endroit où toutes les entités de l communuté peuvent se retrouver pour discuter. Or, de toutes les régions, l'artibonite est l'un des déprtements les plus riches en ssocitions. L'ouverture du Centre, de ce fit, mrqué l fin de cette quête dont certins n'étient même ps conscients. Le Centre joue donc un rôle de rssembleur qui fit renître l solidrité u sein de l communuté. Les ssocitions ne trvillent plus de fçon isolée. Elles pprennent, prtgent leurs connissnces et se découvrent. A ce titre, le CMM des Gonïves offre un service inestimble. L'impliction des gens dns les ctivités, que prfois j'nime u Centre, m' toujours interpellée. Pour moi, c'est vriment bien! Le centre multimédi joue un rôle de rssembleur, dit Mdme Netlnde Dérius Pierre Pr Tin Noster Gonïves : Mme Netlnde Dérius Pierre, Directrice déprtementle du Ministère à l Condition Féminine et ux Droits de l Femme Quelles sont vos recommndtions sur l qulité des services offerts? Je pense que déjà les services offerts vlent leur pesnt d'or. Le plus importnt, c'est de continuer à ccompgner les ssocitions, prticulièrement les femmes, surtout en ce qui trit à l'utilistion des postes informtiques et l'internet. Ce genre de service leur permet d'économiser du temps et de l'rgent, cr elles peuvent elles mêmes réliser le tritement de leur document; mis ussi, il leur donne l possibilité de s'ouvrir sur le monde. D'un utre côté, j'encourgeris églement le Centre à se doter d'une slle plus grnde pour les ctivités. Dévsté pr les inondtions de septembre 2008, le CMM repris le 6 mrs Comment percevez-vous cette réouverture? Après les inondtions, toute l ville étit en étt d'urgence. Dns l foulée, il n'y vit plus de temps pour l communiction, les réflexions. Mis, une fois les moments d'ffolement pssés, il fllit s'orgniser. C'est à ce moment que l'bsence du Centre s'est fit sentir. Il n'y vit plus de point de rssemblement lors que les gens vient un besoin crucil de communiction tnt à l'intérieur qu'à l'extérieur. Les ssocitions n'étient ps les seules à être ffectées. Les utorités, les ONGs églement étient en quête d'un lieu ou elles pourrient rencontrer l société civile. L fermeture du Centre de septembre à fin février donc ffecté toutes les entités évolunt dns l région. L reprise des ctivités mrqué l fin d'une longue ttente. Personnellement, j i slué cette réouverture. 3 En quoi le trvil du CMM est-il bénéfique à votre Ministère? A l direction déprtementle des Gonïves, nos moyens sont ssez limités. Nturellement, les services offerts nous sont très utiles même si, compte tenu de l loclistion du Centre pr rpport u Ministère, on n'rrive ps à en profiter pleinement. Mis, pr le fit même que le centre ccompgne les ssocitions de femmes, son trvil nous est bénéfique. Il vient en ppui u Ministère. De plus, le fit même que le Ministère peut églement bénéficier de ces services, c'est déjà un ppui inestimble vu les multiples obstcles uxquels on est confronté. Comment voyez-vous l'intégrtion des femmes dns les différents sphères de l vie ctive prticulièrement ux Gonïves? Dns un cdre générl, nous reconnissons qu'il y des progrès pr rpport ux nnées ntérieures. L lutte menée pr celles qui nous ont précédées n'est ps vine et porte fruit. Les femmes commencent à s'engger dvntge dns l vie ctive en fonction de leur cpcité. Elles commencent à reconnître l nécessité de s'impliquer dns les ffires de leur pys, pr exemple. Ici, ux Gonïves, cel fit déjà 4 ns que je trville u Ministère. Durnt cette période, j'i pu constter une certine émnciption des femmes. Elles ne se contentent plus d'être mère u foyer. Elles prticipent ux trvux d'infrstructures. Elles sont plus ctives et prticipent un peu plus ux ctivités de l vie socile. Evidemment, les récentes inondtions les ont dvntge poussées à sortir de leur mison. Elles s'investissent beucoup dns les ctivités visnt à protéger leur environnement et vont jusqu'à prendre des inititives, ce qui dns le temps étit rre. Toutefois, nous dmettons qu'il reste encore beucoup à fire pour fvoriser leur prticiption de mnière plus ctive dns les sphères de décisions. Quelles sont vos priorités pour ces derniers mois? A l direction déprtementle du Ministère à l Condition Féminine, on ne donne ps de service direct. On un rôle trnsversl. On vient en ppui ux utres directions déprtementles. Mis, vu l sitution environnementle de l ville des Gonïves et d'utres communes qui ont été églement touchées lors des intempéries de l'nnée dernière, l priorité est à l préprtion de l période cyclonique. Suite pge 4

4 Suite de l pge 3 Chque Ministère essie d'pporter à cette ctivité s contribution à prtir de son domine d'intervention. On constté qu'il y vit, près les inondtions, des cs flgrnts de violences sur les femmes et les enfnts. En conséquence, ils sont clssés prmi les groupes les plus vulnérbles. De ce fit, u lieu de les ccompgner près les violences comme on le fit souvent, on trville de fçon à prévenir ces violences. Nous trvillons vec d'utres prtenires sur l meilleure méthode à dopter en cs d'évcution. Prllèlement, nous poursuivons les ctivités d'ccompgnement qui visent à renforcer l cpcité des femmes sur le pln socil. Mis à prt les services offerts pr le CMM, souhiteriez-vous que le Centre offre d'utres services à l popultion? Je ne vous demnderis ps d'jouter d'utres services mis, de poursuivre votre trvil en offrnt une formtion en micro crédit ux ssocitions de femmes fin de renforcer leur cpcité de gestion. Une telle inititive leur serit bénéfique cr plusieurs de nos prtenires uprès desquels on intervient s'interrogent sur leur cpcité dns ce domine. A votre vis, le CMM -t-il un quelconque impct sur l communuté? L'impct est très fort sur l communuté. Je me rppelle, lors d'un concours orgnisé pr le Ministère, les ggnntes ont pu bénéficier d'une formtion en informtique et du service internet pendnt un mois. Pour ces femmes issues de qurtiers puvres qui n'ont ps eu l chnce d'utiliser un poste informtique, c'est une prime inestimble. Je donne cet exemple mis je pourris en citer d'utres. Le Centre un impct positif sur les ssocitions prticulièrement les femmes ux Gonïves. Je me réfère à leurs commentires pour en prler et ux résultts qu'on eus u Ministère sur l performnce et l'émnciption des femmes dns certins domines. Mis, le plus grnd impct est ce regin de solidrité entre les ssocitions. Celles qui ont déjà bénéficié des services du Centre invitent d'utres à les rejoindre. Elles étblissent un vri réseu d'échnges et on peut même observer un début de chngement de comportement. A cet effet, j'encourge le Centre à élrgir dvntge s sphère d'ction. Le déprtement de l'artibonite est divisé en Hut et Bs Artibonite, il serit intéressnt que vous soyez ussi ctif dns le Bs Artibonite. Exposition utour de l problémtique de l'eu en Hïti : les Centres multimédis sensibilisent Pr Myrline Mthieu Lucien et Krin Montero Mirgoâne: exposition de photos sur l problémtique de l'eu potble en HAITI Les Centres Multimédi, poursuivnt l'un de leurs objectifs qui est de créer un cdre permettnt des échnges et des réflexions sur l problémtique du développement durble, ont orgnisé une grnde exposition visnt à ttirer l'ttention sur l sitution de l eu dns le pys. Lncée à l FOKAL (Fondsyon Konesns k Libète) à Port-u-Prince, elle ggné les villes de province en pssnt pr les Cyes, Mirgoâne, Jérémie, Jcmel, Cp-Hïtien Ces ctivités se voulient surtout un éveil de conscience pr rpport à l muvise qulité et à l gestion qusi-inexistnte de l'eu qui entrîné une sitution snitire précire de l popultion en Hïti. Afin de bien situer les différentes démrches visnt à susciter cette prise de conscience, toutes les ressources disponibles et concernées ont été mises en brnle. Sous le thème «L'eu frgile et précieuse», le Centre Multimédi des Cyes sensibilisé l popultion à trvers une exposition de 25 photos, du 19 u 25 jnvier Elle visit à ttirer l'ttention sur le droit à l'eu potble et sur l problémtique de l'eu en éduqunt sur le développement durble. Divers sujets ont été trités vec plusieurs intervennts et pour chque jour, un public différent été sensibilisé pour un totl de 500 personnes. A Mirgoâne, du 2 u 7 février, différentes ctivités ont mrqué l'exposition. L pluprt des conférenciers ont fit ressortir u grnd jour le gspillge de l'eu se fisnt u centre urbin, lors que dns les loclités reculées, l'on prcourt des kilomètres à pied pour en trouver. 4 M. Sénopht Omel, Officier des Affires Humnitires et du Développement de l MINUSTAH expliqué que, dns les loclités de Montlbord et de Mmé, communes de Petit Trou des Nippes, trouver de l'eu reste un csse-tête. A Jérémie, il fllu permettre ux plus jeunes de sisir les dimensions et les enjeux de l'eu. Les principux intervennts ont fit ressortir l'importnce de l'eu et expliquer les liens existnt entre cette boisson et l'environnement. Aux plus petits, des conseils prtiques concernnt les comportements d'un éco citoyen ont été prodigués. L popultion jcmélienne ussi sisi l'opportunité d'pprendre à mieux se servir et protéger l plus précieuse des ressources nturelles. Durnt l semine du 2 u 8 mrs, des questions sensibles à l problémtique de l'eu et à l'environnement ont été bordées. A Fort Liberté, des questions reltives à l'inccessibilité de l'eu ont été soulevées. Selon les utorités locles responsbles, l cpcité des réseux est trop fible pour desservir l popultion. Intervennt sur l potbilité de l eu, Dr Yves Frédéric, coordonnteur du groupe snté intégrl et médecin à l'hôpitl de Fort Liberté informé les prticipnts sur les diverses mldies qu'ils peuvent ttrper en utilisnt une eu de muvise qulité. L cité du Roi Christophe, qunt à elle, vu défiler des centines de gens venus scruter les 25 photos, miroir reflétnt les conditions inslubres de l consommtion Suite pge 5

5 Suite de l pge Suite de l pge 4 d'eu. Elles portent ussi l'empreinte des efforts consentis en vue de réhbiliter et ménger des points d'eu potble pouvnt desservir une quntité considérble d'hbitnts dns certines zones sensibles. Les prticipnts se sont empressés, comme si les premiers incitient les utres à venir prendre conscience de l'étt de notre environnement suite ux dégâts cusés pr les dernières intempéries. A cette exposition, à trvers les six déprtements déjà visités, ont pris prt plusieurs utorités locles, des membres d ssocitions de l société civile, étudints, professionnels, élèves, orgnismes de droits humins insi que l presse. Divers sujets reltifs à l gestion et ux problèmes de l'eu reltifs u milieu hïtien ont été débttus. L'Officier ntionl de l section des droits de l'homme de l MINUSTAH, Serge Delille, dns son intervention sur le droit à l'eu potble souligné que: «L'eu n'est ps seulement une ressource nturelle limitée et un bien public, mis ussi un droit humin dont l'ett doit ssurer l responsbilité en utilisnt le mximum de ses ressources disponibles.» Pour l pluprt des prticipnts, les orgnistions de l société civile devront se mobiliser fin de pousser l'ett à gir. Elles devront ussi profiter de ces constts pour pprendre à renforcer leur cpcité de plidoyer. De son coté, Pierre Yves Jen-Chrles, Directeur du MAST ux Cyes, jouté qu' «il est urgent et impérieux de poser des ctions concrètes, comme une vste cmpgne de reboisement en mont impliqunt tous les ministères, les municiplités et l société civile.» Cette sensibilistion utour de l problémtique de l'eu réuni un totl de 1460 hommes et 854 femmes. Prtout, dns les Centres, cet événement pris fin, vec l lecture des textes déclmés pr des jeunes rtistes, peignnt un tbleu sombre, montrnt les dégâts que peut cuser l'eu et ppelnt les responsbles à gir vite u nom des trités interntionux signés pr Hïti et de l Constitution hïtienne de 1987 grntissnt le droit à l vie, cr eu est synonyme de vie. Les 25 photos géntes s'envoleront bientôt pour Hinche, Port-de-pix et les Gonives où nous espérons toucher u moins un millier de gens. Concours d'épelltion : L'excellence u service de l culture Pr Quetony Sint-Vil Jérémie et Jcmel: quelques ggnnts et finlistes du concours Epelle-moi Un concours d'épelltion s'est déroulé dns les 8 des 9 Centres multimédi de l MINUSTAH du vendredi 13 février u vendredi 6 mrs Deux mille cent soixnte cinq personnes dont 1233 hommes et 932 femmes ont ssisté ux différentes phses de ce concours jusqu'à l grnde finle lors de l célébrtion de l Journée Interntionle des droits de l femme, le 8 mrs dernier. L'objectif poursuivi pr l rélistion de cette première édition du concours «Épelle-moi» étit de motiver les jeunes hïtiens à prendre prt à des compétions sines en vue de développer leur potentilité intellectuelle. L projection du film «Les mots d'akeelh», du rélisteur méricin Doug Atchison donné le coup d'envoi à ces concours. Il relte l'histoire d'une jeune de 11 ns, Akeelh Anderson qui vit remporté vec brio le premier prix d'un concours d'épelltion ux Etts-Unis. Grâce u dynmisme dont font toujours montre les responsbles des Centres, cette première édition du concours d'épelltion été une expérience unique en son genre dns l'histoire des CMM depuis leur mise en œuvre en Mi Réunissnt une grnde prtie de l popultion juvénile u niveu des différents déprtements du pys, cette édition églement permis, non seulement d'évluer l cpcité intellectuelle des prticipnts, mis ussi d'voir une idée du niveu cdémique des jeunes scolrisés hïtiens. Plus de qutre cent cinqunte (450) élèves issus d'une soixntine d'étblis-sements scolires des plus prestigieux d'hïti ont pu juger leur niveu de svoir lors des différentes étpes élimintoires du concours qui étient de tille, selon l'vis des 5 membres des différents jurys, constitués notmment de professeurs d'écoles et d'universités insi que d hommes de loi du pys. L grnde stisfction de cette première édition étit prtgée tnt du coté des orgnisteurs que des bénéficiires. «C'est l première fois que les cndidts sélectionnés se sont embrqués dns une telle venture éductive», témoigné le responsble du centre multimédi de Hinche, Serge Michel. De son côté, Jen-Louis Rénld, le premier lurét du concours pour le Centre Multimédi de Hinche exhorté les prticipnts à penser à leur éduction, cr c'est l'unique voie honnête qui leur permettr de psser de l'obscurité à l lumière. De l'vis de Ptrick Mckintosh, responsble de l'informtion publique du Centre Multimédi de Mirgoâne, près seulement une édition, le concours Epelle-moi s'est révélé un succès sns précédent. Pr illeurs, le premier lurét du CMM de Mirgoâne, Réginld Poulrd, élève de l seconde précisé que cette opportunité lui permis de prouver à plus d'un combien il dns ses veines de l'mour pour le frnçis considéré comme l 2ème lngue en Hïti. Les ggnnts du concours d'epelle-moi du Cp-Hïtien n'ont ps cché leur grtitude envers les responsbles du centre. «Ce concours d'épelltion m' permis de comprendre que tout espoir n'est ps perdu et que de jeunes prodiges pourront sortir Hïti de ce bourbier dns lequel il Suite pge 6

6 Un modèle d'intégrtion de genre u sein de l mission (gender minstreming) pr Mrie Frncoise Vitl Metellus et Coty Beusejour, Chrgés des Progrmmes en Genre 6 Hinche et Jcmel: les femmes et les hommes se mobilisent pour l'équité de genre A trvers les Centres Multimédis, les différentes composntes de l MINUSTAH comme l'unité Genre, l section Électorle, l section des Droits Humins insi que les Affires Civiles font un exercice prtique du principe d'intégrtion de genre. Ainsi, ce projet du CPIO démontre une véritble sensibilistion u principe d'intégrtion de genre u sein de l mission. C'est un modèle importnt qu'il fudrit dupliquer et étendre à d'utres sections de l Mission et ussi ux gences onusiennes. C'est le fruit d'un long processus de recherche, de réflexion qui vise à trouver l'équilibre dns les rpports entre les genres. Ce principe été dopté en 1995 lors de l 4ème conférence Mondile des femmes orgnisée pr les Ntions Unies à Pékin. Il est reconnu et soutenu pr l'union Européenne depuis 1997, dte de l rtifiction du trité d'amsterdm. Il s'git de «prendre en compte systémtiquement les différences entre les conditions et situtions, les besoins et les intérêts des femmes et des hommes dns l'ensemble des politiques et des ctions communutires.» L'intégrtion de genre est donc un ensemble de principes, de systèmes et d'outils, c'est l combinison de ces éléments qui fit de l'intégrtion de genre un processus ctif et une strtégie efficce. Les Centres Multimédis depuis leur crétion ont dopté ce principe d'intégrtion de genre. Les responsbles des Centres orgnisent fréquemment des ctivités qui posent l problémtique des reltions hommes/femmes dns l société, comme dns le projet d'équité de genre (chmpionnt féminin; génie u féminin), où l problémtique des reltions hommes femmes est posée dns toute son cuité. Nous pouvons signler entre utres, le projet Femmes en ction exécuté dns le cournt du mois de novembre L'Unité Genre pporté son expertise dns les sujets de débt et surtout dns l'orgnistion et le déroulement des ctivités. Il est ussi à noter certines ctivités rélisées en prtenrit vec d'utres sections dns les Centres Multimédis telles que les débts sur les obstcles à l prticiption des femmes en politique, où les orgnistions de jeunes et de femmes ccréditées dns les Centres ont nlysé les obstcles et formulé des propositions clires sur les moyens à mettre en oeuvre fin de les surmonter. Récemment pour les ptuge ujourd'hui», déclré Adrien Pscl, le premier lurét de l ville. Tous les responsbles des Centres Multimédi du pys souhiterient l'orgnistion d'une telle ctivité à une fréquence plus régulière. Ce qui pourrit selon eux, encourger les jeunes à viser l'excellence et susciter chez eux un éln d'espoir pour Hïti. Suite de l pge 5 Après l grnde finle, les 24 luréts en rison de trois pr Centre ont reçu des primes lléchntes de l'unesco, du bureu de l'informtion publique de l MINUSTAH et du secteur des ffires et des professionnels libérux. Les trois ggnnts du Centre Multimédi du Cp ont bénéficié entre utres de trois bourses d'études à l'allince Frnçise de l ville. C'est ussi le cs des ggnnts des Centres de Port-de Pix et Mirgoâne qui ont décroché des élections séntoriles prtielles des débts ont eu lieu pour expliquer non seulement les enjeux de ces élections mis ussi pour procéder à l simultion d'une sénce de vote. Toutes les ctivités utour de l problémtique de genre ont montré l'intérêt des femmes et des hommes à cquérir des connissnces plus pprofondies sur l question. L'Unité Genre en collbortion vec les Centres Multimédi orgnisent ctuellement une formtion en genre et violence. Durnt cette formtion les femmes et les hommes cquièrent des outils leur permettnt d'être mieux écliré-es sur les questions de prévention, de prise en chrge de l violence fite ux femmes, de mieux intégrer une pproche genre dns les projets de leurs orgnistions. bourses d'études dns plusieurs disciplines dns des écoles clssiques et techniques de leurs régions. Suite pge 7 Les mots des luréts qui deviennent porte-prole des utres concurrents, font preuve de l'impct du concours sur l jeunesse hïtienne et sûrement sur l'venir du pys. Le concours redonné de l'espoir à beucoup plus de jeunes, tout en leur permettnt de comprendre l'importnce de l'méliortion de l'éduction en Hïti pour un venir plus prometteur. Jcmel: les finlistes du concours Epelle-moi

7 7 Suite de l pge 6 En doptnt le principe d'intégrtion de genre dns les projets des Centres Multi médi, les responsbles ont fvorisé une plus grnde prticiption des hommes et des femmes dns toutes les ctivités des Centres. Ils deviennent du coup, un véritble espce de dilogue pour l popultion hïtienne dns les régions, un espce idél pour les femmes et permettent le renforcement de leurs cpcités. Les Centres ussi offrent l'opportunité ux femmes de poser l problémtique de socilistion différenciée selon les sexes qui est à l bse de tous les problèmes d'inéglité entre les hommes et les femmes. Avec les Centres, les femmes ne se sentent plus seules dns leur combt, elles svent que se serrer les coudes, tendrent les brs ux hommes qui ont fit l rupture vec une éduction bsée sur l discrimintion et l'exclusion est un excellent ps dns le chngement souhité pour plus de l moitié de l'humnité. Les retombées de cette pproche d'intégrtion de genre (minstreming) sont nombreuses, les Centres Multimédis sont devenus vriment un lieu d'échnges, de dilogue, de débts et d'ctivités socioculturelles pour les jeunes et les femmes de tous les déprtements du pys. Cyes: session de formtion sur Genre et violence Mirgoâne: des jeunes filles prticipnt ux ctivités du centre / Journée Interntionle de l Femme Mettre en exergue l compétence et l esprit d'équipe été l'idée directrice du projet Echnge Inter-Centre, lncé formellement depuis jnvier Des journlistes et représentntes d'ssocitions de femmes ont bénéficié de l'expertise des collègues Jeffrey et Jodel, respectivement dns les domines de l'éthique journlistique et élbortion de projets communutires. Ces formtions ont eu lieu dns tous les Centres Multimédis. Vu le mnque d'intervennts dns plusieurs domines d'expertise, l'équipe d'ppui des Centres Multimédis s est portée volontire pour nimer des sessions de formtion dns leur chmp de compétence et d'expertise. Ceci, dns le cdre du projet Echnge Inter- Centre, qui se veut un élément pertinent cpble de remplir le fossé de mnque de ressources humines dns les régions. A cet effet, dns le cdre du projet «Femmes en Action», Jodel Pierre, responsble UNOPS du Centre Multimédi des Gonïves nimé des sessions de formtion en élbortion de projets communutires à l'endroit des représentnts d'ssocitions de femmes. 120 femmes représentntes d'ssocitions dns neuf déprtements du pys ont bénéficié de cette formtion, llnt du 3 novembre u 16 décembre Elles ont ppris les éléments méthodologiques nécessires à l rédction de microprojets, durnt deux jours. Echnge Inter-Centre : un début prometteur Pr Jeffrey Clrk Lochrd et Jodel Pierre Mirgoâne et Cp-Hitien: Formtion sur le Microcrédit u profit des ssocitions de femmes Pr une pproche prticiptive, Jodel Pierre exposé les principles étpes de l démrche méthodologique telles: nlyse de sitution, choix des priorités, choix des ctions destinées à tteindre les objectifs suivnt un clendrier préétbli, communiction utour du projet et évlution des résultts obtenus et des chngements qui en découlent. Mise à prt l découverte des outils théoriques, les femmes ont rélisé divers exercices et discussions en groupe pour compléter les cquis issus des exposés. Jeffrey Clrk Lochrd, responsble de l'informtion publique de Jcmel, pour s prt, formé plus d'une centine de journlistes en éthique journlistique dns 9 déprtements du pys, à l'exception des Gonïves. L formtion vit eu pour thème:«ethique en journlisme, une responsbilité socile» et s'étit déroulée sur une période d'un mois. L définition conceptuelle de l notion d'éthique; les principes de l'éthique journlistique, à svoir objectivité, imprtilité et intégrité; et les principles crctéristiques de l déontologie journlistique ont été les sujets trités u cours de cette tournée ntionle. Une étude sur 68 questions d'éthique portnt sur les droits et les devoirs des journlistes été le point fort de cette formtion. Ces questions prtient de l recherche de l'informtion jusqu'u respect de l vie privée. Aussi, les journlistes ont-ils rélisé un telier-débt utour de l loi sur l Presse de 1986 portnt sur ses touts, fiblesses et propositions concrètes. Tout u cours de l formtion, les journlistes se sont montrés réceptifs et prêts à s'efforcer chque jour pour le respect des règles éthiques du métier. Le début du projet Echnge Inter-Centre été une expérience productive pour les Centres Multimédis et dont on récolte encore le succès.

8 8 L mlri est endémique en Hïti, mis chcun fit ussi prtie de s prévention Pr Soni Nolsco Heilborn Cyes: Commémortion de l Journée Mondile de l Mlri Toutes les 30 secondes, un enfnt meurt de mlri dns le monde. L sitution est reltivement moins préoccupnte en Hïti. En effet, en 2009, des 6,795 personnes testées, 2,261 portient le germe, selon les chiffres fournis pr le Ministère de l Snté Publique dns le Sud. L mlri est donc endémique en Hïti, les zones les plus touchées étnt les Cyes et les Gonïves. Aussi, à l occsion de l Journée Mondile de l Mlri (25 vril), le Centre Multimédi de l MINUSTAH ux Cyes - t-il initié, en prtenrit vec l Direction déprtementle du Ministère de l Snté Publique, une sénce de sensibilistion. Le thème de l ctivité étit «Vincre le pludisme: le compte à rebours est lncé». Il s git, à trvers cette ctivité, de souligner entre utres les ctions préventives contre l propgtion du moustique, gent vecteur de l mlri. A l ouverture de cette conférence-débt, qui vu l présence de 64 prticipnts (mjoritirement des femmes), le Chef du Bureu Régionl de l MINUSTAH, Amidou Ouedrogo, fit svoir que le Secrétire générle des Ntions Unies mène une cmpgne contre l mldie. Il s git d un ppel mondil pour que d ici à 2015 personne ne meurt de mlri. Toutefois, fit observer M. Ouedrogo, «L question ne concerne ps seulement les utorités. Vous êtes des prtenires. Chcun doit y pporter s contribution: éliminer les eux stgnntes, utiliser un moustiquire. L mlri débilite l force de trvil, pose un obstcle à l croissnce de l économie». Pour s prt, l Agronome Prenor Coudo, Directeur de l Environnement, conseillé : «On doit commencer pr freiner l multipliction du moustique. Si l on ne détruit ps les lrves, ils retournent et se multiplient. En plus d éliminer les eux usées, il fut fire de l fumigtion». Dns son exposé, Mme Rodnie Berthoumieux Neptune, infirmière OIC de l Section Mlri du Ministère de l Snté Publique ux Cyes, fit remrquer que 80% des cs sont enregistrés en Afrique, les plus vulnérbles étnt les femmes et les enfnts de moins de 5 ns. Une occsion pour elle églement de fire étt des moyens de prévention. Selon Mme Neptune, l exode rurl rend le problème plus complexe. En vue de mieux y fire fce, le MSPP créé une «ction plurisectorielle» «y compris dns chque mison». En effet, «le moustique vecteur, l nophèle, se nourrit durnt l nuit. Rison pour lquelle il importe de fermer les portes le soir et dormir sous un moustiquire». Pour Mme Neptune, «s mturtion se fit entre 16 et 36 C, une tempérture normle en Hïti. Il est ttiré pr l sueur et le sébum du corps humin. Associée à l puvreté, l mlri devient épidémique en Hïti». En effet, celui-ci se développe surtout dns certines zones défvorisées, où l on trouve des misons non ventilées, des mrécges et une ccumultion de ftrs. Dns ces zones, les égouts sont souvent trnsformés en dépotoir, et en sison pluvieuse, ils deviennent des berceux pour l nophèle. «Cyes est très exposée. Elle est plte, l pluie n est ps drinée, et dns l eu stgnnte les gîtes lrvires se forment», églement dit Mme Neptune A trvers le monde, 2.4 millirds de personnes sont exposées à cette mldie; l mortlité est de millions de personnes nnuellement. Cyes, Fort-Liberté: Commémortion de l Journée Mondile de l Mlri

9 9 Jwèt Pou Ou : un enggement citoyen pour une gestion sine de l'environnement Pr Johne Pulemon et Olivier Lmothe Cyes, Jcmel, Fort-Liberté: sessions théoriques et prtiques sur l Protection de l'environnement- Projet JPO En mrs vril 2009, les Centres Multimédis de l MINUSTAH ont orgnisé les premières séries de formtion sur l'environnement u profit de plus de 270 moniteurs issus de différentes ssocitions des régions dns le cdre du projet Jwèt Pou Ou (JPO). L'objectif étit de les pprendre à sensibiliser les membres de leur communuté qunt à leur responsbilité de protéger leur environnement physique immédit pr l'pproprition des compétences requises à cet effet. Les 11 et 12 Mrs 2009, les moniteurs, rbornt leur millot u slogn «Ann pote kole, chk ksyon konte» ont été formés sur l gestion de déchets dns tous les Centres. Le slogn retenu pour l première phse de ce projet est : «un enggement citoyen pour une gestion sine de l'environnement». Les intervennts à ces deux jours de séminire ont eu à inculquer ux prticipnts les différentes notions et strtégies d'ction liées à l'environnement et ux déchets. Une occsion églement pour leur expliquer les dngers qui plnent sur Hïti à cuse de l dégrdtion de son environnement. Abordnt le sujet u Centre Multimédi de Fort-Liberté, l'gronome Limge Ferrique exhorté les prticipnts à mettre en ppliction le principe des 3R (Réduire, Réutiliser, Recycler) en vue de diminuer l production d'ordures méngères nécessitnt un tritement collectif. «Vous devez cheter des produits de qulité et qui durent plus longtemps, rechrgebles, recyclbles et recyclés», -t-il souligné. Les prticipnts réunis en telier à l fin des différents exposés ont pu identifier les cuses et les conséquences de l muvise gestion des déchets, tout en proposnt des solutions spécifiques à leurs communutés. À noter que ces moniteurs formés ont rélisé, pendnt quinze (15) jours, des ctivités de plidoyer et de sensibilistion sur cette problémtique uprès de personnes. Ils sont issus des groupes orgnisés et utres secteurs de leurs loclités, qurtiers et communutés. Les problèmes cusés pr les déchets dns l'environnement et leur durée de vie, l chrte d'élimintion des déchets, les principes reltifs à leur élimintion ont été les principux thèmes bordés à trvers des présenttions et des débts rélisés, les 15 et 16 Avril 2009, lors de l deuxième sénce de formtion du Projet Jwèt Pou Ou dns les Centres Multimédis. A l'occsion, les formteurs ont fit ppel à une prise de conscience collective qunt à l'utilistion d'un certin nombre de ressources en vue d'une réduction de l quntité de déchets produits. Au cours des rencontres d'évlution tenues les 31 Mrs et 30 Avril 2009, les prticipnts ont relté les difficultés rencontrées sur le terrin lors de ces sénces de sensibilistion, mis ont toutefois ffirmé leur volonté de contribuer à l protection de leur environnement. A l question «qu'llez vous fire pour protéger l'environnement?». L'un des prticipnts u Centre Multimédi de Port-de-Pix, Mme Sturné Solnge Brve, coordonntrice du Mouvement des Femmes pour l'avncement de Port-dePix (MOFAP) répondu: «Je vis demnder à l mirie de mettre beucoup plus de poubelles dns les rues de Port de Pix et sensibiliser les gens sur les précutions à prendre lors des cyclones». Le projet Jwèt Pou Ou (JPO) se veut une série d'ctivités de sensibilistion et de plidoyer pour mettre en œuvre le potentiel des citoyens hïtiens à l'égrd de leurs droits et devoirs u sein de leur communuté. Les premières séries des ctivités du dit projet ont pris fin le jour de l célébrtion de l Journée interntionle de l'environnement, le 5 juin. Le projet s'étendr sur une période de 9 mois dns les neuf Centres Multimédi de l Mission des Ntions Unies en Hïti.

10 10 L'Internet offre ux journlistes hïtiens l'ccès u monde de l'informtion et les ide à informer le monde sur Hïti. Pr Soni Nolsco Heilborn que lieu d échnges et d pprentissge, les CMM permettent ux bénéficiires de prtger des connissnces et/ou des solutions reltives à divers sujets d importnce dns leur régions. Svez-vous comment créer un blog en trois étpes? Non? Les 33 prticipnts u séminire de l UNESCO-MINUSTAH «L Internet u service des journlistes», qui eu lieu, du mrs, u Centre Multimédi de Cyes, l ont ppris en quelques heures. Ils l ont d illeurs bptisé «Le ptit coin des journlistes Cyens». L formtion sur «L Internet u service des journlistes hïtiens Outil de recherche, de formtion et d ccès universel à l informtion» entre dns l droite ligne de l mission intégrée MINUSTAH-UNCT. Elle intervient près l formtion conjointe CMM-UNESCO sur le «Journlisme sensible u conflit», initiée dns les trois déprtements du Nord, Nord-Est et Centre, en octobre - novembre Dns les semines qui ont suivi, cet telier eu un succès tout ussi retentissnt dns d utres déprtements, notmment à Jcmel, Jérémie et Mirgone. Comme précédemment, l inititive vit pour objectif de permettre ux journlistes ccrédités u Centre Multimédi de pouvoir utiliser Internet de mnière plus efficce dns l exercice de leur métier. Il s gir donc pour les bénéficiires d voir un meilleur ccès à l informtion et insi renforcer leurs cpcités. Avec l ssistnce des équipes des Centres Multimédi, les formteurs ont chcun dministré 3 jours de cours intensif à 93 journlistes (dont 11 femmes). Les journlistes des Cyes ont été formés pr le webmster de l MINUSTAH, Othniel Etienne. Ceux de Jcmel, Jérémie et Mirgoâne l ont été pr le responsble dministrtif du CMM de Jcmel, Benjmin Hoodritch. Outre l historique d Internet, les professionnels de l Informtion ont été renseignés sur ses moyens de connexion, les nvigteurs (IE, Firefox), les techniques de recherche pr mots-clefs, les moteurs de recherche les plus populires (Google, Yhoo, MSN), insi que des techniques de recherche vncée sur Google. Les journlistes ont ensuite eu l opportunité de mettre en prtique les connissnces cquises. «L Internet est comme une bibliothèque rempli de livres de tous les coins du monde, vec un concierge qui vous donne ccès à eux», comme le souligne M. Etienne à l ouverture de son cours, u CMM des Cyes. Au premier jour, les trente journlistes, venus de différents médis de l zone ont, chcun, reçu le «Guide prtique de l Internet pour journlistes en pys en voie de développement» de Mirgone et Cyes: Séminire de Formtion L'internet u service des Journlistes Hitiens" l UNESCO, un outil qui devit les ider à suivre le cours. Entre utres questions posées pr les 18 journlistes des Jérémie, celles reltives à l fibilité des informtions trouvées sur Internet: «Il fut toujours questionner l source, essyer de prouver si elle est digne de confince», dit M. Hoodritch. Pour lui, en effet, il importe de «consulter encore une ou deux utres sources bien connues. A votre tour, il vous fut fire preuve de responsbilité reltive à ce que vous publiez sur Internet, surtout sur Hïti, cr vos nouvelles seront ccessibles prtout dns le monde». De pr ses objectifs, le séminire est inscrit dns les priorités d ction de l UNESCO pour Pour les inititeurs, il s git de fvoriser une communiction libre, indépendnte et plurliste de même que l ccès universel à l informtion. Il convient en outre de continuer à promouvoir des pplictions novtrices des technologies d informtion et de communiction pour le développement durble du pys. Cette inititive de l UNESCO s ccorde prfitement vec des Centres Multimédi dns neuf (9) villes du pys, il y deux ns. Aujourd hui, les CMM sont devenus pour l communuté une référence. En effet, tnt Les 23 prticipnts de Mirgone ont déclré que l telier leurs permis de se fmiliriser vec les sites plus cournts pour leurs recherches d informtion, de fire bon usge du multimédi et des blogs. Prmi eux, l nimtrice d une sttion de rdio qui s est félicitée de l possibilité ujourd hui offerte à elle de pouvoir trduire utomtiquement des textes, mis églement de pouvoir psser u crible les informtions biisées sur le web. Un utre journliste de l soixntine indique qu il s git d une excellente occsion pour les jeunes d méliorer leur crrière vec les dernières vncées de l technologie. A l issue de l formtion, chcun vit trouvé son compte. Aussi bien les débutnts, dont l pluprt ne svient même ps ce qu étit un blog-, que ceux qui en svient quelque chose. Tous ont slué l inititive et exprimé leur stisfction reltive à cette ction qui leur permis d être mieux équipés pour s cquitter de leurs tâches. Se prononçnt, à Jérémie, sur l importnce d une telle formtion, qui consiste à pprofondir les connissnces des jeunes, Gilles Cvletto, de l UNESCO, fit observer que l pprentissge est un investissement dns le futur, une fçon de contribuer u développement du pys. Et plus qu un pprentissge, l formtion offre ux journlistes une rison supplémentire de mieux profiter de l ccès grtuit à Internet offert pr les Centres Multimédi.

11 11 Flsh Cmp d été dns les centres multimédis Les jeunes des régions uront l occsion de se «découvrir tout en s musnt» u cours de conférences-débts, séminires et concours qui seront orgnisés dns les centres multimédis, du 24 Juillet u 28 Août Ils pourront églement prticiper à des ctivités récrétives comme: concours, excursions et projections de films. Ces rencontres se feront deux fois pr semine, le mercredi et le vendredi, et les progrmmes d ctivités seront étblis selon les prticulrités de chque région. L technologie, l protection de l environnement et l éduction civique seront des sujets trités u cours des sénces de formtion. Bonne chnce et succès ux collègues des centres dns l implémenttion des ctivités du cmp d été Renforcement de l équipe du centre multimédi de Hinche Le poste de Responsble de l Informtion Publique u centre multimédi de Hinche est finlement comblé: Mdme Yolette Berndeu DANIEL est à ce poste depuis le lundi 20 Avril Elle sur profiter de l expérience de Serge dns l orgnistion des ctivités du centre et dns l implémenttion des projets à venir. Nous lui souhitons l bienvenue dns l grnde fmille des centres multimédis et nous lui disons «Bon trvil!!!». Réouverture du Centre Multimédi des Gonïves Les hbitnts de l ville des Gonïves peuvent encore une fois bénéficier des services du centre qui rouvert ses portes le 6 Mrs Tïn Noster et Jodel Pierre ont repris l Direction du centre près environ 6 mois d bsence suites ux dégâts cusés pr les inondtions de l ville des Gonïves. L reprise des ctivités permis de combler un grnd vide qui s étit créé dns l vie des différentes orgnistions locles et de l communuté en générl. Nous souhitons «Bon Retour» à Tïn et Jodel et bonne continution. Projet de prtenrit vec l Commission Ntionle de Lutte contre l Drogue (CONALD) Orgnistion prochine dns tous les centres multimédis de session de sensibilistion sur les méfits de l Drogue et de l Alcool pr l Commission Ntionle de Lutte contre l Drogue (CONALD). Les collègues des centres se sont mis d ccord sur l nécessité de reprendre l expérience du centre de Jcmel qui été un succès tnt dns son orgnistion que pr le niveu d expertise des conférenciers et l prticiption ctive des invités. Ces sessions seront reprises dns le cdre d un prtenrit entre les centres et l Commission; un document qui doit en définir les prmètres est en cours de rédction. Le début des ctivités est prévu pour le mois de Juin 2009.

12 12 Collge Centre Multimedi Newsletter est publiée pr le Bureu de l Communiction et de l Informtion Publique de l MINUSTAH / Vos réctions seront très ppréciées. Vous pouvez nous contcter sur: cmm@minusth.org

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais Sttuts ASF Assocition Suisse Feldenkris Contenu Pge I. Nom, siège, ojectif et missions 1 Nom et siège 2 2 Ojectif 2 3 Missions 2 II. Memres 4 Modes d ffilition 3 5 Droits et oligtions des memres 3 6 Adhésion

Plus en détail

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE L' Algère de BOOLE L'lgère de Boole est l prtie des mthémtiques, de l logique et de l'électronique qui s'intéresse ux opértions et ux fonctions sur les vriles logiques. Le nom provient de George Boole.

Plus en détail

Guide des bonnes pratiques

Guide des bonnes pratiques Livret 3 MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L'ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE 3 Guide des bonnes prtiques OUTILS DE LA GRH Guide des bonnes prtiques Tble des mtières 1. Introduction p.

Plus en détail

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2 Sommire 1. A propos de Sophos... 3 2. Comprtif des solutions Sophos NAC... 4 3. Sophos NAC pour Endpoint Security nd Control 8.0... 4 3.1. Administrtion et déploiement... 4 3.2. Gestion des politiques

Plus en détail

Meg Gawler Bréhima Béridogo. Mars 2002

Meg Gawler Bréhima Béridogo. Mars 2002 EVALUATION FINALE PROJET D APPUI A LA GESTION DES ZONES HUMIDES DANS LE DELTA INTERIEUR DU FLEUVE NIGER RAPPORT FINAL Meg Gwler Bréhim Béridogo ARTEMIS Services pour l conservtion de l nture et le développement

Plus en détail

Livret de l étudiant 2015-2016

Livret de l étudiant 2015-2016 Livret de l étudint 2015-2016 Le mot du directeur Soyez les bienvenus à l IUT Pris Descrtes. L'IUT ccueille chque nnée 3000 étudints, sur le site de l'venue de Versilles et, depuis cette nnée, sur le site

Plus en détail

Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail

Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail CAN/CSA-Z1003-13/BNQ 9700-803/2013 Norme ntionle du Cnd Snté et sécurité psychologiques en milieu de trvil Prévention, promotion et lignes directrices pour une mise en œuvre pr étpes Avilble in English

Plus en détail

Pour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Gestion Commercile Gérez le cycle complet des chts (demnde de prix, fcture fournisseur), des stocks (entrée, sortie mouvement, suivi) et des ventes (devis, fcture, règlement,

Plus en détail

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution Toyot Assurnces Toujours l meilleure solution De quelle ssurnce vez-vous besoin? Vous roulez déjà en Toyot ou vous ttendez s livrison. Votre voiture est neuve ou d occsion. Vous vlez les kilomètres ou

Plus en détail

Le vademecum de l apprentissage dans la fonction publique territoriale SERVICES À LA PERSONNE

Le vademecum de l apprentissage dans la fonction publique territoriale SERVICES À LA PERSONNE Le vdemecum de l pprentissge dns l fonction publique territorile SERVICES À LA PERSONNE 1 REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier pour leur disponibilité et l richesse de nos échnges toutes les personnes

Plus en détail

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver.2 Présenttion de Esy Interctive Tools 3 Crctéristiques Fonction de dessin Vous pouvez utiliser Esy Interctive

Plus en détail

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch MnSfe pour les Utilitiés L Protection ntichute pour les Industries de l'energie Frnçis TowerLtch LdderLtch Les questions de protection nti-chute Les chutes de huteur sont l cuse de mortlité l plus importnte

Plus en détail

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Compt Avec EBP Compt, vous ssurez le suivi de l ensemble de vos opértions et exploitez les données les plus complexes en toute sécurité. Toutes les fonctionnlités essentielles

Plus en détail

EnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015

EnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Enseignement supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Stnisls pour mbition de former les étudints à l réussite d exmens et de concours des grndes écoles de mngement ou d ingénieurs. Notre objectif est d ccompgner chque

Plus en détail

Réalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement.

Réalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement. Rélistion de sites Internet PME & Grndes entreprises Offre Premium Etude du projet Réunions de trvil et étude personnlisée de votre projet Définition d une strtégie de pré-référencement Webdesign Définition

Plus en détail

Transfert. Logistique. Stockage. Archivage

Transfert. Logistique. Stockage. Archivage Trnsfert Logistique Stockge Archivge Trnsfert, logistique, stockge Pour fire fce ux nouveux enjeux, il est importnt de pouvoir compter sur l'expertise d'un spéciliste impliqué à vos côtés, en toute confince.

Plus en détail

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX Améliortion des performnces des pplictions, protection des données critiques et réduction des coûts de stockge vec les logiciels complets d EMC POINTS FORTS VNX Softwre Essentils

Plus en détail

L EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke.

L EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke. L EUROPE ET L EAU L eu est indispensble à l vie. Elle soutient nos écosystèmes et régule le climt. Agriculture, limenttion, énergie, trnsports : l eu est u cœur de notre existence. Cependnt, elle est inéglement

Plus en détail

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états.

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états. ciences Industrielles ystèmes comintoires Ppnicol Roert Lycée Jcques Amyot I - YTEME COMBINATOIRE A. Algère de Boole. Vriles logiques: Un signl réel est une grndeur physique en générl continue, on ssocie

Plus en détail

La pratique institutionnelle «à plusieurs»

La pratique institutionnelle «à plusieurs» L prtique institutionnelle «à plusieurs» mury Cullrd Février 2013 Nicols, inquiet: «Qund je suis seul vec quelqu un, il se psse des choses» Vlentin, à propos de l institution : «Ici, y beucoup de gens,

Plus en détail

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle Clsseur courtier d ssurnce Comment orgniser son ctivité et se préprer à un contrôle 67, venue Pierre Grenier 92517 BOULOGNE-BILLANCOURT CEDEX Tél : 01.46.10.43.80 Fx : 01.47.61.14.85 www.streevocts.com

Plus en détail

NEWS PRO ACTIV. www.activexpertise.fr. [Juillet 2015] Ce mois-ci on vous parle de. L arrêté est applicable à compter du 1er Juillet 2015.

NEWS PRO ACTIV. www.activexpertise.fr. [Juillet 2015] Ce mois-ci on vous parle de. L arrêté est applicable à compter du 1er Juillet 2015. Ce mois-ci on vous prle de i Rpport de repérge minte : Trnsmission u Préfet obligtoire à compter du 1 er juillet 2015 Simplifiction des formlités : De bonnes nouvelles pour les entreprises de dignostic

Plus en détail

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I )

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I ) ENQUETE PRELIMINAIRE ANALYSE ET REFEREWCES : Phénoméne érosptil non identifié ( 0VNI ) B8E 25400 DEF/GEND/OE/DOlRENS du 28/9/1992 Nous soussigné : M D L chef J S, OPJ djoint u commndnt de l brigde en résidence

Plus en détail

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV /HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV I. Définition On ppelle système combintoire tout système numérique dont les sorties sont exclusivement définies à prtir des vribles d entrée (Figure ). = f(x, x 2,,, x n ) x x

Plus en détail

Interview p.10. Francis Delpérée. Dossier pédagogique des Equipes Populaires Bimestriel n 154 Janvier-Février 2013

Interview p.10. Francis Delpérée. Dossier pédagogique des Equipes Populaires Bimestriel n 154 Janvier-Février 2013 Dossier pédgogique des Equipes Populires Bimestriel n 154 Jnvier-Février 2013 Belgique - België P.P. - P.B. 5000 - Nmur 1 BC 4854 Interview p.10 Frncis Delpérée Bureu de dépôt : 5000 Nmur mil. N d grétion

Plus en détail

Chapitre 11 : L inductance

Chapitre 11 : L inductance Chpitre : inductnce Exercices E. On donne A πr 4π 4 metn N 8 spires/m. () Selon l exemple., µ n A 4π 7 (8) 4π 4 (,5) 5 µh (b) À prtir de l éqution.4, on trouve ξ ξ 4 3 5 6 6,3 A/s E. On donne A πr,5π 4

Plus en détail

www.oseades.com Du 12 au 23 novembre 2012 Les acteurs Oséades

www.oseades.com Du 12 au 23 novembre 2012 Les acteurs Oséades Les cteurs Osédes 70 intervennts, spécilistes de l crétion d entreprise, prtgent vec vous leur expertise et bonnes prtiques. Retrouvez les cteurs Osedes sur : www.osedes.com Du 12 u 23 novembre 2012 www.osedes.com

Plus en détail

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances Turbine hydrulique Girrd simplifiée pour fibles et très fibles puissnces Prof. Ing. Zoltàn Hosszuréty, DrSc. Professeur à l'université technique de Kosice Les sites hydruliques disposnt de fibles débits

Plus en détail

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) (

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) ( Correction de l épreuve CCP PSI Mths PREMIÈRE PARTIE I- Soit t u voisinge de, t Alors ϕt t s = ϕt ρt s ρs Pr hypothèse, l fonction ϕt ϕt est lorsque t, il en est donc de même de ρt s ρt s ρs cr ρ s est

Plus en détail

La réforme des soins de santé mentale en Belgique

La réforme des soins de santé mentale en Belgique 1 L réforme des soins de snté mentle en Belgique Isbel MOENS Cbinet de l Vice Première-Ministre Ministre des Affires sociles et de l Snté publique En prtenrit vec: Kristel KARLER Cbinet de l Ministre de

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mthémtiques nnée 2009-2010 Chpitre 2 Le prolème de l unicité des solutions 1 Le prolème et quelques réponses : 1.1 Un exemple Montrer que l éqution différentielle :

Plus en détail

Partie 4 : La monnaie et l'inflation

Partie 4 : La monnaie et l'inflation Prtie 4 : L monnie et l'infltion Enseignnt A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès Frnce Cours de mcroéconomie suite 4.1 Introduction Nous vons vu dns l prtie introductive que

Plus en détail

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation Influence du milieu d étude sur l ctivité (suite) Inhibition et ctivtion Influence de l tempérture Influence du ph 1 Influence de l tempérture Si on chuffe une préprtion enzymtique, l ctivité ugmente jusqu

Plus en détail

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann Chpitre 11 Théorème de Poincré - Formule de Green-Riemnn Ce chpitre s inscrit dns l continuité du précédent. On vu à l proposition 1.16 que les formes différentielles sont bien plus grébles à mnipuler

Plus en détail

FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE

FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE Règlement d ttriution de ourses et de prêts d études et de formtion du déemre 006 Artile premier Ojet et hmp d pplition Le présent règlement est étli en pplition

Plus en détail

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (

Plus en détail

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO Université Pris-Duphine DUMI2E UFR Mthémtiques de l décision Notes de cours Anlyse 2 Filippo SANTAMBROGIO Année 2008 2 Tble des mtières 1 Optimistion de fonctions continues et dérivbles 5 1.1 Continuité........................................

Plus en détail

TRam «Gestion de la Toxicité en zone Ramsar» Toxicity management in Ramsar area

TRam «Gestion de la Toxicité en zone Ramsar» Toxicity management in Ramsar area TRm «Gestion de l Toxicité en zone Rmsr» Toxicity mngement in Rmsr re Progrmme Evlution et réduction des risques liés à l utilistion des Pesticides Rpport finl- Juillet_2014 CIHEAM-IAMM 3191 Route de Mende

Plus en détail

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30 Conseils et stuces pour les structures de bse de l Ligne D30 Conseils et stuces pour l Ligne D30 Ligne D30 - l solution élégnte pour votre production. Rentbilité optimle et méliortion continue des séquences

Plus en détail

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique LITE-FLOOR Dlles de sol et mrches d esclier Informtion technique Recommndtions pour le clcul et l pose de LITE-FLOOR Générlités Cette rochure reprend les règles de se à respecter pour grntir l rélistion

Plus en détail

3- Les taux d'intérêt

3- Les taux d'intérêt 3- Les tux d'intérêt Mishkin (2007), Monnie, Bnque et mrchés finnciers, Person Eduction, ch. 4 et 6 Vernimmen (2005), Finnce d'entreprise, Dlloz, ch. 20 à 22 1- Mesurer les tux d'intérêt comprer les différents

Plus en détail

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES Mrie-Pule Muller Version du 14 juillet 2005 Ce cours présente et met en oeuvre quelques méthodes mthémtiques pour l informtique théorique. Ces notions de bse pourront

Plus en détail

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques Le cnl étroit du crédit : une nlyse critique des fondements théoriques Rfl Kierzenkowski 1 CREFED Université Pris Duphine Alloctire de Recherche Avril 2001 version provisoire Résumé A l suite des trvux

Plus en détail

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation.

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation. Guide de référence rpide Commencer Avnt d utiliser l ppreil, lisez ce Guide de référence rpide pour connître l procédure de configurtion et d instlltion. NE rccordez PAS le câle d interfce mintennt. 1

Plus en détail

La paye. La comptabilité. Comparez et choisissez votre logiciel. Comparez et choisissez votre logiciel. Paye Bâtiment 2012. Paye Agricole 2013

La paye. La comptabilité. Comparez et choisissez votre logiciel. Comparez et choisissez votre logiciel. Paye Bâtiment 2012. Paye Agricole 2013 L comptbilité Comprez et choisissez votre logiciel L pye Comprez et choisissez votre logiciel TABLEAUX COMPARATIFS Compt Prtic Pour les créteurs et les entrepreneurs novice en Compt Compt Clssic Pour l

Plus en détail

1. 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. 2. 2.1.

1. 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. 2. 2.1. T/TR 01-01 Pge 3 r+ 1. EQUIPMENT CONCERNE L interconnexion numerique interntionl pour le service visiophonique et de visioconf&ence necessite l stndrdistion des principux prmttres num&iques tels que d~it,

Plus en détail

Bloc notes. a À faire tout de suite. Gardez secret votre code confidentiel. À conserver précieusement. Protégez votre carte

Bloc notes. a À faire tout de suite. Gardez secret votre code confidentiel. À conserver précieusement. Protégez votre carte Q U O T I D I E N Crte Mestro Comment voir tous les touts de votre crte bien en min Guide mémo + Notice d Assistnce Octobre 2010 Bloc notes À fire tout de suite Votre crte est strictement personnelle,

Plus en détail

Commencer DCP-7055W / DCP-7057W /

Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / Guide d instlltion rpide Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / DCP-7070DW Veuillez lire ttentivement le livret Sécurité et réglementtion vnt d'effectuer les réglges de votre ppreil. Consultez ensuite le Guide

Plus en détail

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005 MATHÉMATIQUES 3 semestre 3 des Licences MISM nnnée universitire 24-25 Driss BOULARAS 2 Tble des mtières Rppels 5. Ensembles et opértions sur les ensembles.................. 5.. Prties d un ensemble.........................

Plus en détail

Thèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure

Thèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure République Algérienne Démocrtique et Populire Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université Mentouri de Constntine Fculté des sciences et sciences de l ingénieur Déprtement

Plus en détail

Bilan pédagogique / Projet ipad Contexte

Bilan pédagogique / Projet ipad Contexte t e j n r i t P t n e m i r é d p x d e es ip e d s s l c en gie. l chn, p s e g iss rent p p es ur l s é r cent t e j n pr Bil g g éd n p l2 vri, e iqu U d ps égrtin m t L sch en in tin duc en De gique

Plus en détail

SYSTEME DE TELEPHONIE

SYSTEME DE TELEPHONIE YTEME DE TELEPHOIE LE OUVEUTE PTIE MOITEU COULEU Le système de téléphonie comporte un moniteur vec un écrn couleurs de intégré u téléphone. Cette prtie est disponile en lnc, nthrcite et Tech. TLE DE MTIEE

Plus en détail

Electrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11

Electrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11 Electrovnne double Dimension nominle 3/8 - DMV-D/11 DMV-DLE/11 7.30 M Edition 11.13 Nr. 223 926 1 6 Technique L électrovnne double DUNGS DMV intère deux électrovnnes dns un même bloc compct : - vnnes d

Plus en détail

Clients légers IGEL et bureaux virtuels : synergie idéale et coût minimal

Clients légers IGEL et bureaux virtuels : synergie idéale et coût minimal Clients légers IGEL et bureux virtuels : synergie idéle et coût miniml Infrstructure de bureux virtuels vec clients légers IGEL Universl Desktop : Une plus grnde liberté de conception pour vos postes de

Plus en détail

INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE

INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE POUR LES SERRURES D ENTRÉE À CLÉ EXTÉRIEURES VERROUILLABLES, À POIGNÉE DE BRINKS HOME SECURITY. POUR LES PORTES DE

Plus en détail

Module 2 : Déterminant d une matrice

Module 2 : Déterminant d une matrice L Mth Stt Module les déterminnts M Module : Déterminnt d une mtrice Unité : Déterminnt d une mtrice x Soit une mtrice lignes et colonnes (,) c b d Pr définition, son déterminnt est le nombre réel noté

Plus en détail

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire Séquence 8 Proilité : lois à densité Sommire. Prérequis 2. Lois de proilité à densité sur un intervlle 3. Lois uniformes 4. Lois exponentielles 5. Synthèse de l séquence Dns cette séquence, on introduit

Plus en détail

Casino : LES JEUX SONT FAITS! P. 6 & 7. > Page 4. > Pages 3

Casino : LES JEUX SONT FAITS! P. 6 & 7. > Page 4. > Pages 3 MERS-Les-Bins Mer et lumières JOURNAL MUNICIPAL - PRINTEMPS 2012 - N 40 S T A T I O N B A L N É A I R E E T D E T O U R I S M E S TA T I ON V ER TE D E VA C A NCE S Urbi &Orbi Architecture Csino : LES

Plus en détail

Plan de formation Employée/Employé de commerce CFC du 26 septembre 2011 pour la formation initiale en entreprise. Tables des matières

Plan de formation Employée/Employé de commerce CFC du 26 septembre 2011 pour la formation initiale en entreprise. Tables des matières Plan de formation Employée/ du 26 septembre 2011 pour la formation Tables des matières LISTE DES BRÉVITIONS... 3 INTRODUCTION... 4 1. IMPORTNCE DE L FORMTION COMMERCILE POUR L ÉCONOMIE ET L SOCIÉTÉ...

Plus en détail

COACHER VOS COLLABORATEURS

COACHER VOS COLLABORATEURS 59000 LILLE COCHER VOS COLLBORTEURS Pourquoi POUR coacher LE MONDE vos UTO collaborateurs? 1. Le coaching : de quoi s agit-il? 2. SOLUTIONS Quel RH déroulement pour une action de coaching? 3. Quels comportements

Plus en détail

MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS

MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS ÉTAT DURANT LES SEPT DERNIERS JOURS (SAUF AUTRE INDICATION) 1/9 SECTION A IDENTIFICATION ET

Plus en détail

Techniques d analyse de circuits

Techniques d analyse de circuits Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre

Plus en détail

Exprimer ses goûts, son opinion

Exprimer ses goûts, son opinion Exprimer ses goûts, son opinion O B J E C T I F S Svoir-fire linguistiques : Exprimer ses goûts. Exprimer une opinion. Énoncer un jugement de vleur. Nuncer l expression d une opinion, d un jugement. Comprer.

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE Université de Metz Licence de Mthémtiques - 3ème nnée 1er semestre ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE pr Rlph Chill Lbortoire de Mthémtiques et Applictions de Metz Année 010/11 1 Tble des mtières Chpitre

Plus en détail

Introduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8

Introduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8 Introduction à l modélistion et à l vériction Appliction ux systèmes temporisés Ptrici Bouyer LSV CNRS & ENS de Cchn Introduction à l modélistion et à l vériction p. 1/8 Modélistion & Vériction Introduction

Plus en détail

Theorie des mrches Dns ce chpitre, on etudie l'interction de l'ore et de l demnde sur un mrche d'un bien donne. On etudier, en prticulier, l'equilibre du mrche. Etnt donne qu'on s'interesse uniquement

Plus en détail

SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2

SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2 39 nnée N 6 Juin 197 0 BULLETIN MENSUE L DE LA SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2 RECONNUE D'UTILITE PUBLIQUE PAR DECRET DU 9 AOUT 193 7 des SOCIETES BOTANIQUE DE LYON, D'ANTHROPOLOGIE ET DE BIOLOGIE

Plus en détail

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4 Université Pris I, Pnthéon - Sorbonne Licence MASS Cours d Anlyse S4 Jen-Mrc Brdet (Université Pris 1, SAMM) UFR 27 et Equipe SAMM (Sttistique, Anlyse et Modélistion Multidisiplinire) Université Pnthéon-Sorbonne,

Plus en détail

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*)

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*) Revue d histoire des mthémtiques, 2 (1996), p. 1 66. AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES Bruno BELHOSTE (*) RÉSUMÉ. Dns cet rticle,

Plus en détail

bienvenue dans un environnement naturellement plus frais contact climespace OPÉRA PALAIS DE TOKYO LES HALLES 42 MW LA TOUR MAUBOURG 17 MW CANADA

bienvenue dans un environnement naturellement plus frais contact climespace OPÉRA PALAIS DE TOKYO LES HALLES 42 MW LA TOUR MAUBOURG 17 MW CANADA 16 contct 02 - centrle cnd p r i s 02 - iceberg n t r c t i q u e contct climespce CLIMESPACE &- b 185, rue de Bercy - 752 Pris Tél. : 44 74 89 40 - Fx : 44 73 92 93 www.climespce.fr &, b Y #GVee dj kv

Plus en détail

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel COURS D ANALYSE Licence d Informtique, première nnée Lurent Michel Printemps 2010 2 Tble des mtières 1 Éléments de logique 5 1.1 Fbriquer des énoncés........................ 5 1.1.1 Enoncés élémentires.....................

Plus en détail

Guide de l'utilisateur

Guide de l'utilisateur Guide de l'utilisteur Symboles Utilisés Dns ce Guide Indictions de sécurité L documenttion et le projecteur utilisent des symboles grphiques qui indiquent comment utiliser l ppreil en toute sécurité. Veillez

Plus en détail

essais dossier Oser s équi Prothèses auditives

essais dossier Oser s équi Prothèses auditives essis dossier u LES AUDIOPROTHÉSISTES AU BANC D ESSAI p. 46 u UN APPAREIL ADAPTÉ À VOS BESOINS p. 50 u FAIRE BAISSER LA FACTURE? PAS SI SIMPLE p. 52 Prothèses uditives Oser s équi AUDIOPROTHÉSISTES Fe

Plus en détail

Notes de révision : Automates et langages

Notes de révision : Automates et langages Préprtion à l grégtion de mthémtiques 2011 2012 Notes de révision : Automtes et lngges Benjmin MONMEGE et Sylvin SCHMITZ LSV, ENS Cchn & CNRS Version du 24 octore 2011 (r66m) CC Cretive Commons y-nc-s

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir en math

Tout ce qu il faut savoir en math Tout ce qu il fut svoir en mth 1 Pourcentge Prendre un pourcentge t % d un quntité : t Clculer le pourcentge d une quntité pr rpport à une quntité b : Le coefficient multiplicteur CM pour une ugmenttion

Plus en détail

Algorithmes sur les mots (séquences)

Algorithmes sur les mots (séquences) Introduction Algorithmes sur les mots (séquences) Algorithmes sur les mots (textes, séquences, chines de crctères) Nomreuses pplictions : ses de données iliogrphiques ioinformtique (séquences de iomolécules)

Plus en détail

FIG. 1 Module de stockage en position horizontale ; positionnement des jauges de déformation.

FIG. 1 Module de stockage en position horizontale ; positionnement des jauges de déformation. Anlyse thermo-mécnique dun prototype de stockge hybride (solide-gzeux) dhydrogène D. CHAPELLE, O. GILLIA b, M. FELDIC. Institut FEMTO ST, UMR 6174, Déprt. Mécnique Appliquée, 24 rue de l Epitphe, 25000

Plus en détail

Modification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages

Modification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages Modifiction simultnée de plusieurs crctéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de clcul de l vrition de bien-être des ménges Trvers Muriel * Version provisoire Résumé : De nombreuses situtions

Plus en détail

Chapitre VI Contraintes holonomiques

Chapitre VI Contraintes holonomiques 55 Chpitre VI Contrintes holonomiques Les contrintes isopérimétriques vues u chpitre précéent ne sont qu un eemple prticulier e contrintes sur les fonctions y e notre espce e fonctions missibles. Dns ce

Plus en détail

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions Université Clude Bernrd, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Snté 43, boulevrd 11 novembre 1918 Spécilité Mthémtiques 69622 Villeurbnne cedex, Frnce L. Pujo-Menjouet pujo@mth.univ-lyon1.fr Cours d

Plus en détail

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE Unité d enseignement LCMA 4U ANALYSE 3 Frnçoise GEANDIER Université Henri Poincré Nncy I Déprtement de Mthémtiques . Tble des mtières I Séries numériques. Séries

Plus en détail

dans Supply Chain sortir ERP commencent à de leur carcan prise de décision en temps réel au niveau des ateliers. La nouvelle génération de solutions

dans Supply Chain sortir ERP commencent à de leur carcan prise de décision en temps réel au niveau des ateliers. La nouvelle génération de solutions dvntge informtique Suppl commct Suppl tit sortir s i Ces N dte prution : 27-01/09/2008 Périodicité : Msuel Pge : 56 SupplCh3_27_57_337pdf T : 95 % Site Web : wwwsupplchinmgzinefr Le dns invite Suppl Chin

Plus en détail

LIVRET de la RESTAURATION SCOLAIRE

LIVRET de la RESTAURATION SCOLAIRE INSCRIPTIONS, RÉSERVTIONS & PIEMENTS D Clic Maison des Enfants Chemin de Bentenac 34130 MUGUIO 04 67 06 01 57 www.paysdelor.fr POUR TOUTE UTRE QUESTION Cuisine Centrale de l Etang de l Or avenue de la

Plus en détail

Demande de logement social Article R. 441-2-2 du code de la construction et de l habitation

Demande de logement social Article R. 441-2-2 du code de la construction et de l habitation Ministère chargé du logement Cadre réservé au service Demande de logement social rticle R. 44-2-2 du code de la construction et de l habitation Numéro de dossier : N 4069*0 demande de logement locatif

Plus en détail

Weekly epidemiological record Relevé épidémiologique hebdomadaire

Weekly epidemiological record Relevé épidémiologique hebdomadaire 2014, 89, 389-400 No. 36 Weekly epidemiologicl record Relevé épidémiologique hebdomdire 5 SEPTEMBER 2014, 89th yer / 5 SEPTEMBRE 2014, 89 e nnée No. 36, 2014, 89, 389-400 http://www.who.int/wer Contents

Plus en détail

INSTALLATION DE DETECTION INCENDIE

INSTALLATION DE DETECTION INCENDIE reglement > > instlltion E ETECTON NCENE NSTALLATON E ETECTON NCENE Une instlltion de détection incendie pour objectif de déceler et signler, le plus tôt possible, d une mnière fible, l nissnce d un incendie,

Plus en détail

Directives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage...

Directives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage... Directives COV et lterntive lipochimique : peintures, encres, nettoyge, dégrissge... Alin LEMOR Recherche & Développement, Novnce, BP 20609, Venette, 60206 Compiègne Cedex, Frnce, Fx. +33 (0)3 44 90 70

Plus en détail

Réglementation de l'epa (agence américaine de protection de l'environnement) relative aux émissions

Réglementation de l'epa (agence américaine de protection de l'environnement) relative aux émissions Merci d'voir choisi l'un des meilleurs moteurs hors-bord disponibles sur le mrché. C'est un investissement judicieux dns l nvigtion de plisnce. Votre moteur hors-bord été fbriqué pr Mercury Mrine, l'un

Plus en détail

Magister en : Génie Mécanique

Magister en : Génie Mécanique الجمهورية الجزاي رية الديمقراطية الشعبية République Algérienne Démocrtique et Populire وزارة التعليم العالي و البحث العلمي Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université

Plus en détail

Licences professionnelles social-santé Document réalisé par le SIOU Campus Croix-Rouge de Reims siou.campuscroixrouge@univ-reims.

Licences professionnelles social-santé Document réalisé par le SIOU Campus Croix-Rouge de Reims siou.campuscroixrouge@univ-reims. Page 1 septembre 2013 Licences professionnelles social-santé Document réalisé par le SIOU Campus Croix-Rouge de siou.campuscroixrouge@univ-reims.fr Les licences professionnelles se préparent en un an,

Plus en détail

INFORMATIONS TECHNIQUES

INFORMATIONS TECHNIQUES 0 INFORMATIONS TECHNIQUES tle des mtieres 06 Alimenttions et ccessoires 08 Postes extérieurs Sfer Postes extérieurs minisfer 9 Postes internes Accessoires d instlltion Centrux téléphoniques PABX Cmérs

Plus en détail

Solutions IHM. Gammes Graphite et G3 Outils pour l'usine connectée

Solutions IHM. Gammes Graphite et G3 Outils pour l'usine connectée Solutions IHM Gmmes Grphite et G3 Outils pour l'usine connectée Des IHM ux fonctions étendues : > Conversion de plus de 250 protocoles > Serveur Web intégré > Enregistreur de données sécurisées > Modules

Plus en détail

Convention for the Protection of Human Rights and Fundamental Freedoms, Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertes fondamentales,

Convention for the Protection of Human Rights and Fundamental Freedoms, Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertes fondamentales, Europen Trety Series No. 5 Série des trités européens - n o 5 Convention for the Protection of Humn Rights nd Fundmentl Freedoms, Convention de suvegrde des Droits de l'homme et des Liertes fondmentles,

Plus en détail

Inclure la vidéo comme levier de sa stratégie marketing

Inclure la vidéo comme levier de sa stratégie marketing Inclur l vidéo comm lvir d s strtégi mrkting 2motion.com Stphni Prot, Dirctric Adjoint, 2motion sprot@2motion.com Strtégi mrkting Un strtégi mrkting s définit comm un pln d ctions coordonnés miss n ouvr

Plus en détail

La plateforme Next Generation Mini guide

La plateforme Next Generation Mini guide L plteforme Next Genertion Mini guie Ce guie onis été réé pour vous permettre e vous fmiliriser rpiement ve les nomreuses fontionnlités et outils isponiles sur l plteforme Next Genertion. Apprenez où trouver

Plus en détail

Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa

Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,

Plus en détail

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Distribution limitée IFAP-2008/COUNCIL.V/3 4 février 2008 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Conseil intergouvernemental du Programme Information

Plus en détail

CARDIOLOGIE. Conférences scientifiques

CARDIOLOGIE. Conférences scientifiques www.crdiologieconferences.c 0 4 v o l u m e X V, n u m é r o CARDIOLOGIE MD Conférences scientifiques Guide prtique sur l usge des nouveux nticogulnts pour prévenir l ccident vsculire cérébrl dns l fibrilltion

Plus en détail

Compte rendu de la validation d'un observateur cascade pour la MAS sans capteurs mécaniques sur la plate-forme d'essai de l'irccyn

Compte rendu de la validation d'un observateur cascade pour la MAS sans capteurs mécaniques sur la plate-forme d'essai de l'irccyn Compte rendu de l vlidtion d'un oservteur cscde pour l MAS sns cpteurs mécniques sur l plte-forme d'essi de l'irccyn Mlek GHANES, Alin GLUMINEAU et Roert BOISLIVEAU Le 1 vril IRCCyN: Institut de Recherche

Plus en détail