AVIS DU SECTEUR AGRICULTURE DE L EFFAT SUR LA REFORME DU SECTEUR VITIVINICOLE DANS L UNION EUROPEENNE 1
|
|
- Rodolphe Métivier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 AVIS DU SECTEUR AGRICULTURE DE L EFFAT SUR LA REFORME DU SECTEUR VITIVINICOLE DANS L UNION EUROPEENNE 1 Les quelque 1,5 millions d exploitations viticoles et vinicoles de l Union européenne emploient plus de 2,5 millions de travailleurs. L avenir de la viticulture revêt par conséquent une importance significative pour l EFFAT. La réforme du secteur vitivinicole aborde cependant d autres questions importantes touchant à l avenir de l agriculture européenne. L EFFAT se soucie du développement d une véritable durabilité dans les secteurs de l agriculture. Ces objectifs doivent se mesurer aux autres politiques de l Union européenne. Toute réforme, qui n est pas cohérente avec les objectifs généraux de l Union européenne, doit être rejetée. Cela s applique en particulier aux aspects économiques, sociaux, environnementaux et liés aux consommateurs de la réforme. La réforme doit permettre de déterminer si elle est susceptible d améliorer la situation des travailleurs et des entreprises, de réduire l impact néfaste pour l environnement et de respecter les désirs des consommateurs. L EFFAT souligne la nécessité d une réforme du secteur vitivinicole qui présente un excédent structurel. L EFFAT attire cependant l attention sur le fait qu il s agit avant tout d une surproduction au niveau des vins en vrac et des vins de table. Cet excédent doit être réduit par l introduction de quotas à l hectare et d autres instruments d amélioration de la qualité du vin. On relève par ailleurs déjà, dans les Etats membres, des expériences étendues qui devraient être utilisées par la Commission. L EFFAT a demandé à maintes reprises à la Commission une évaluation de l impact social des propositions tout comme dans le cas des réformes mises en œuvre à ce jour sans que la Commission puisse fournir quelque conclusion que ce soit sur la question des suppressions d emplois. L EFFAT attire une nouvelle fois l attention sur le fait que les propositions actuelles de la Commission vont entraîner de nombreuses suppressions d emplois et qu elles doivent par conséquent être rejetées pour leur caractère antisocial. A PROPOS DES OBJECTIFS DE LA COMMISSION : 1. Diminution de la production Une diminution de la production s avère nécessaire. Mais cette diminution doit être réalisée à l aide des instruments de l amélioration de la qualité donc : au lieu de réduire le nombre d hectares, c est le rendement à l hectare qu il convient de réduire d environ 15% au total. 1 Adopté à l Assemblée générale de Porto le 2 mars
2 2. Diminution des subventions de la PAC L EFFAT ne reconnaît pas la nécessité de réduire la part des subventions de la PAC allouées au secteur vitivinicole. Au contraire, on ne peut conclure des arguments de la Commission de l UE que ces aides doivent permettre de réaliser des objectifs écologiques et sociaux plus exigeants. Cela inclut l amélioration des produits européens sur les marchés internationaux. 3. Une orientation nationale plus affirmée L EFFAT s oppose à une orientation plus affirmée sur la codécision nationale. Cela favoriserait une concurrence inégale entre les différentes régions vitivinicoles européennes aux dépens des exploitations et des salariés. Les producteurs extra-européens seraient les gagnants de cette course aux normes les plus permissives. 4. Simplification et débureaucratisation L EFFAT ne peut pas reconnaître un encroûtement bureaucratique de l OCM du vin. Les réformes proposées ci-après par l EFFAT contribuent à une simplification et à une débureaucratisation de l organisation du marché. Une simplification et une débureaucratisation plus poussées ne sont pas nécessaires. A PROPOS DES INSTRUMENTS DE LA COMMISSION : 1. Interdiction de nouvelles plantations L EFFAT est favorable à une production en volume dans l UE adaptée à la demande. C est pourquoi il conviendrait de parvenir à un consensus avec les Etats membres pour éviter une augmentation des volumes de production. Une interdiction de nouvelles plantations constitue à cet égard un instrument approprié. Par le passé, des projets similaires ont cependant démontré que des augmentations de la production étaient malgré tout intervenues. 2. Abandon définitif (arrachage) L EFFAT rejette tout abandon définitif. En particulier, l EFFAT se déclare favorable à ce que l on n emploie pas de fonds publics pour supprimer des surfaces et des emplois. Il conviendrait au contraire de transformer la production de vins de table en vins de qualité et de la favoriser au moyen de mesures d accompagnement. Des rendements maximum et d autres mesures appropriées visant à la réduction de la production permettraient de mettre un terme aux excédents sans entraîner la suppression d emplois et de producteurs. 2
3 3. Restructuration des vignobles Les vignobles de l Union européenne sont dans leur globalité des structures viables, dans lesquelles des améliorations de la qualité sont apportées de manière continue à des degrés divers. Il n y a pas de nécessité de procédure européenne pour la restructuration des vignobles. 4. Distillation des sous-produits, distillation multi-usage et distillation en alcool de consommation La distillation du moût de raisin et de marc en alcool de consommation (ou alcool de bouche) est une production traditionnelle en Europe et doit être réalisée sans aides publiques. 5. Distillation de crise La distillation de crise est un instrument qui doit être réduit et supprimé à moyen terme. Des quotas de production suivant la superficie et d autres mesures appropriées visant à la réduction de la production peuvent réduire la nécessité de ces instruments. Il conviendrait d élaborer, en concertation avec tous les groupes concernés, un calendrier fiable pour l application de ces instruments. 6. Stockage privé Le stockage privé ne doit plus être financé par des fonds publics. 7. Aides pour le jus de raisin et le moût (enrichissement) Les aides pour le jus de raisin et le mout doivent être réduites et supprimées à moyen terme. 8. Restitutions à l exportation Les restitutions à l exportation doivent être réduites et supprimées d ici Pratiques œnologiques Les pratiques œnologiques traditionnelles doivent en principe pouvoir être maintenues. L EFFAT reconnaît les multiples possibilités pouvant résulter des nouveaux procédés œnologiques. Tout en insistant simultanément sur les nombreux risques incontestablement liés à une application non réglementée de ces nouveaux procédés pour le marché vitivinicole traditionnel. C est pourquoi l EFFAT prône une liste positive des procédés œnologiques autorisés qui s appliquerait à tous les producteurs de l UE et qui serait contrôlée par la Commission de l UE. Les Etats membres doivent avoir le droit d exclure certains procédés pour certains produits. 3
4 L EFFAT refuse le non-étiquetage des nouveaux procédés œnologiques pour des raisons de protection des consommateurs. L EFFAT s oppose à la politique des institutions européennes qui ne devrait pas être sacrifiée sur l autel de la mondialisation. Les nouveaux procédés œnologiques doivent être analysés quant à leur impact économique, social, écologique et lié aux consommateurs. Les demandes d application des procédés œnologiques devraient être soumises à un office à créer par l UE, qui déciderait alors d une autorisation avec les Etats membres et les groupes concernés. De nouveaux procédés de vieillissement du vin comme l adjonction de copeaux de bois devraient à l avenir être interdits dans l UE pour les producteurs produisant dans l UE. Les vins d importation ayant été produits suivant ce procédé devraient être soumis à une obligation d étiquetage dès l importation dans l intérêt de la protection des consommateurs. L interdiction d importation de moût doit être maintenue pour des raisons de protection des consommateurs. Les mélanges de vins doivent exclusivement être réalisés avec des moûts de production européenne. Il devrait y avoir des liens plus affirmés entre les institutions et les offices compétents dans l UE et dans les Etats membres, d une part, et l OIV d autre part dans le but de parvenir à une meilleure coopération internationale. 10. Protection de la qualité L amélioration de la qualité, la création de systèmes de qualité plus transparents et compréhensibles par le plus grand nombre ainsi que l application de labels de qualité revêtent une importance déterminante pour le développement durable du secteur vitivinicole européen. Pour cela, il ne faut pas de systèmes européens harmonisés éloignés des consommateurs, mais un rapprochement volontaire des structures nationales. La Commission devrait cependant procéder à des comparaisons à l échelle européenne des qualités qui pourraient constituer la base d une telle coopération. Les institutions européennes en particulier le Conseil de l Europe doivent garantir que les cépages et les procédés régionaux soient protégés et utilisés. Ils représentent un segment important de la production vinicole européenne. 11. Etiquetage Les étiquettes de vin doivent comporter des informations essentielles pour le consommateur, et notamment : Millésime ou millésimes mélangés Nom du vin 4
5 Cépage employé (vins de cépage ou mélanges avec indication des cépages employés) Pays de production Région de production (il convient à cet égard de poursuivre les discussions en raison des différentes définitions dans l UE) Mention de la qualité Le cas échéant : procédés œnologiques particuliers (pour les vins bio avec indication de l office de certification) Teneur alcoolique Indication de la quantité Producteur (nom et localité) Ces données doivent être applicables à tous les producteurs de l UE. D autres indications doivent être volontaires et laissées à l appréciation du producteur, car les structures de commercialisation sont déterminantes pour d autres indications volontaires. Un transfert de compétences en faveur de la Commission n est pas nécessaire. AUTRES ASPECTS D UNE REFORME GLOBALE 1. Pas de découplement Un découplement du marché réglementé du vin est actuellement rejeté par l EFFAT. Il s adresse principalement à la production vinicole axée sur l exportation et déboucherait dans les conditions cadres actuelles à la suppression de la viticulture dans de nombreuses régions viticoles traditionnelles. L EFFAT va également s engager à l avenir pour cette production traditionnelle. 2. Utilisation de bouchons naturels La production et l utilisation de bouchons naturels représentent dans quelques Etats membres une véritable ressource naturelle traditionnelle et particulièrement importante pour les espaces naturels concernés. L emploi dans ces régions représente une contribution importante à l emploi total en Europe. C est pourquoi l utilisation de bouchons naturels de haute qualité pour la production vinicole doit être soutenue à l aide des instruments appropriés. Il conviendrait en particulier pour cela de mettre à disposition des fonds provenant du deuxième pilier de la PAC. 5
6 3. Promotion des bureaux d exportation L EFFAT soutient une promotion ciblée des bureaux d exportation existants, mais rappelle la nécessité d une meilleure coordination entre ces bureaux par les institutions européennes. C est seulement de cette manière qu il est possible de réagir rapidement aux nouvelles exigences du marché dans les pays tiers. 4. Promotion du vin à faible teneur alcoolique Les consommateurs en particulier les plus jeunes ont modifié leurs habitudes de consommation au cours des dernières décennies. C est pourquoi il est nécessaire de produire, pour ces nouvelles exigences, de nouveaux vins qui répondent à cette évolution. La production de vins à faible teneur alcoolique doit par conséquent être promue par des programmes de promotion européens. 5. Promotion des groupements de producteurs L EFFAT voit dans la promotion des groupements de producteurs une mission centrale pour promouvoir la qualité et une production adaptée au marché. Les groupements de producteurs doivent collaborer globalement avec des acteurs régionaux comme des gouvernements, des institutions scientifiques, des partenaires sociaux et autres groupes intéressés. De cette manière, les changements du marché et les nouveautés peuvent rapidement être intégrés au niveau de la production. 6. Promotion de la viticulture dans les régions défavorisées et de montagne La production de vin dans les régions vitivinicoles défavorisées comme les vallées fluviales, les régions montagneuses, etc., doit bénéficier d une promotion particulière. La mise en jachère partiellement dramatique dans ces régions contribue dans une large mesure à la diminution des excédents de vin produisent cependant des effets négatifs sur l équilibre naturel, les structures régionales de l emploi ainsi que sur des aspects importants pour d autres comme la conservation du paysage, le maintien des paysages de culture Il convient par conséquent de créer une promotion spécifique à ces productions dans le cadre du deuxième pilier. 7. Promotion d une exploitation vitivinicole proche de la nature Les vins biologiques sont moins nocifs pour l environnement que les vins produits suivant les méthodes classiques. Les exploitations appliquant ces principes requièrent en outre une main-d œuvre plus importante. Leur production nécessite de ce fait une promotion particulière. 6
7 8. Composants L EFFAT estime en outre que le vin doit être produit à partir de raisin et de moût. Les autres composants, qui dépassent les règles de l art, devraient obligatoirement être mentionnés par le producteur à la demande du client. 9. Observatoire de la viticulture et de la commercialisation du vin Enfin, l EFFAT se déclare favorable à la création d un Observatoire européen de la Viticulture et de la commercialisation du vin, qui devrait être intégré à la Commission de l UE en tant qu institution européenne et chargé de compiler des données économiques, sociales et écologiques sur le marché du vin en vue de les mettre à la disposition du secteur. Les représentants des travailleurs doivent être impliqués dans les travaux de cet observatoire. 10. Promotion d une exploitation vitivinicole socialement responsable Le secteur vitivinicole emploie plus de 1,5 millions de travailleurs. Nombre d entre eux sont des saisonniers, dont environ 10% travaillent dans l industrie de la transformation du vin. Des centaines de milliers d emplois dépendent également de ce secteur dans les domaines situés en amont et en aval. Il n existe pas d alternative fondamentale pour le secteur, principalement en raison de la concentration régionale. Si la production vinicole est stoppée localement, il ne reste qu un désert économique et social, avec les conséquences négatives que l on connaît pour les entreprises de ces zones rurales. L EFFAT souligne par conséquent la nécessité urgente de procéder à une identification et à une évaluation globale des conséquences de la réforme. Sans cette base d informations, les institutions européennes ne devraient pas permettre la mise en œuvre d une réforme. La Commission européenne devrait plancher sur cette problématique et, si elle ne dispose pas d informations propres, s informer auprès des offices qui disposent de tels renseignements. 7
Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020
Brief: Les perspectives de la politique agricole N 5 / Décembre 2013 Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION 2. DÉFIS ET OBJECTIFS 3. BUDGET DE LA PAC 4. ÉVOLUTION DE LA
Plus en détailLes facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux
Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle
Plus en détailFinance et performance des jeunes viticulteurs : les conséquences pour l installation
Finance et performance des jeunes viticulteurs : Julien Cadot, ISG Paris 1 Introduction A un moment ou un autre, le candidat à l installation en viticulture doit se poser la question du revenu qu il va
Plus en détailPlan stratégique sur les perspectives de la filière vitivinicole à l horizon 2025
Plan stratégique sur les perspectives de la filière vitivinicole à l horizon 2025 16 juillet 2014 Mesure n 1 : Mettre effectivement en œuvre le plan stratégique et en effectuer un suivi Page 2 sur 32 Préambule
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailConsidérations sur la crise et le marché intérieur 1
Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.
Plus en détailDocument d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale
Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures
Plus en détailPrincipales aides financières au Développement Export
Principales aides financières au Développement Export Retrouver en page 5 " L appui régional aux Projets Stratégiques d Entreprises" > Régionales Programme ASTREE / Aide Stratégique Régionale à l Entreprise
Plus en détailENTREPRISES FAMILIALES VITICOLES DE COGNAC (FRANCE, 1997-2005)
BNDES, Rio de Janeiro, 23 octobre 2009. Colloque Sécurité alimentaire et sécurité énergétique : stratégies d expansion de la production d aliments et d agrocarburants en Europe et au Brésil. SESSION n
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailQu est-ce que le commerce équitable?
FAIR TRADE RULES! Position du mouvement international du commerce équitable en vue de la VI e Conférence Ministérielle de l OMC à Hong Kong Octobre 2005 «Nous, les membres du mouvement international du
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détailSommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs
Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Lors du Sommet pleines voiles en janvier 2007, la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick a publié
Plus en détail«So Fair, So good!» *
Vitry-sur-Seine avril 2012 Artisans du Monde lance 3 nouvelles boissons rafraîchissantes Bios et Equitables! «So Fair, So good!» * *Si juste, si bon! PRESENTATION DES PRODUITS Nouvelle gamme de boissons
Plus en détailLe Pacte de responsabilité et de solidarité
Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage
Plus en détailLICENCE PRO RESPONSABLE COMMERCIAL VINS ET RESEAUX DE DISTRIBUTION
LICENCE PRO RESPONSABLE COMMERCIAL VINS ET RESEAUX DE DISTRIBUTION RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Licence professionnelle Domaine ministériel : Droit, Economie, Gestion Présentation La licence
Plus en détailFORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE
FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE La fracture agricole mondiale : «Ouvrir des perspectives pour les espaces en développement» 4 et 5 février 2005 Rapport - ATELIER 2A Thème : Les modèles économiques
Plus en détailAugust 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailTravailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale
ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr
Plus en détailFormulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015
MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture
Plus en détailPlan d action du PDC concernant le franc fort
Plan d action du PDC concernant le franc fort Vendredi 20 février 2015, à 16 h 45 Renseignements : Filippo Lombardi, président du groupe et conseiller aux Etats (TI), mobile : 079 620 64 65 Pirmin Bischof,
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailNégociation ministérielle pour un prêt de la Banque mondiale
PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour
Plus en détailPourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?
Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle
Plus en détailFiche descriptive d activités
Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires
Plus en détailLes réformes de la PAC
www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées
Plus en détailLA PRODUCTION DE MES VIGNES EST-ELLE COUVERTE EN CAS D INTEMPERIES?
LA PRODUCTION DE MES VIGNES EST-ELLE COUVERTE EN CAS D INTEMPERIES? Il existe plusieurs dispositifs publics et privés pour indemniser voire réduire l impact financier d un aléa climatique qui détruit en
Plus en détailMichel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011
Présentation par Michel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011 STANDARD DE GESTION FORESTIÈRE FSC FOREST STANDARD SHIP COUNCIL Historique du FSC Créé en 1993 suite au Sommet de la terre de Rio
Plus en détailDocument explicatif Introduction à Fairtrade
Document explicatif Introduction à Fairtrade Explication de quelques mots et expressions clés utilisés à Fairtrade. Coopérative de Café Cocla, Peru. Photo: Henrik Kastenskov Document: Document explicatif
Plus en détail10 ème Forum IES 2010 Enjeux et Perspectives de l Intelligence Economique Au carrefour des Pratiques REIMS 6-8 octobre 2010
10 ème Forum IES 2010 Enjeux et Perspectives de l Intelligence Economique Au carrefour des Pratiques REIMS 6-8 octobre 2010 Mission Chanvre pour le Cluster Beaujolais Numéro de la communication : IES-2010-28
Plus en détailSTRATEGIE VITIVINICOLE VALAISANNE A L HORIZON
VITI 2015 STRATEGIE VITIVINICOLE VALAISANNE A L HORIZON 2015 Partie I : L analyse économique de la filière EXECUTIVE SUMMARY Février 2009 Pr. Bernard Catry, 2008-2009 Partie I : L analyse économique de
Plus en détailMobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle
Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT 2014-2020 EN FRANCE CONNAÎTRE LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS
LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT 2014-2020 EN FRANCE CONNAÎTRE les programmes européens LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT AU SERVICE DE LA STRATÉGIE EUROPE 2020 Stratégie
Plus en détailAVEC NOUS, SOUTENEZ L ENTREPRENEURIAT SOCIAL. Découvrez notre nouveau fonds. socialement responsable et solidaire
AVEC NOUS, SOUTENEZ L ENTREPRENEURIAT SOCIAL Découvrez notre nouveau fonds socialement responsable et solidaire Déjà présents auprès d un entrepreneur sur quatre, nous avons décidé d accélérer notre soutien
Plus en détailQuels sont les intérêts de cette démarche environnementale collective?
Après le bilan carbone, établi en 2008, et le Plan Climat «Vins de Bordeaux 2020», en 2009, le CIVB a initié début 2010 un chantier innovant permettant à l ensemble des professionnels du vignoble bordelais
Plus en détailRéformes socio-économiques
Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme
Plus en détail72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix!
Communiqué de presse 21 novembre 2011 Une étude CEDRE/Ifop 1 propose le regard croisé des consommateurs et des chefs d entreprises français sur le «Made in France» 72% des Français prêts à payer plus cher
Plus en détailRéforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSÉE LE MERCREDI 22 AVRIL 2009 A L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE A DIFFUSÉ LE
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailF RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur
F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet
Plus en détailN abandonnons pas notre héritage commun.
N abandonnons pas notre héritage commun. Chaque semaine, 200 fermes disparaissent en France. Disparition des surfaces agricoles, spéculation foncière : nous pouvons agir. Grâce à vous, Terre de liens acquiert
Plus en détailControverse documentée à propos de quelques idées reçues sur l agriculture, l alimentation et la forêt
Mission n 13083 Controverse documentée à propos de quelques idées reçues sur l agriculture, l alimentation et la forêt Europe Direct en PACA Centre d information et d animation officiel de l Union européenne
Plus en détailNote de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines
Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines La législation minière actuellement en vigueur au Maroc est consacrée par le dahir du 9 rejeb 1370 (16 avril 1951) portant règlement minier.
Plus en détailPlan d action de développement durable 2009-2013. Société du Parc industriel et portuaire de Bécancour
Société du Parc industriel et portuaire de Bécancour Plan d action de développement durable 2009-2013 Favoriser une meilleure concertation des industries du territoire Octobre 2009 Avant propos La Société
Plus en détailFiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export
Fiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export ACTION : - Nature (nationale/régionale) ; - Descriptif du contenu (éventuelles sous-actions ou phases
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détailCONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE
CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE ET RTE Entre L Association des Maires de France, sise 41 quai d Orsay, 75343 Paris cedex
Plus en détailFLEGT Note d Information
Série 20 Note FLEGT Note APPLICATION DES REGLEMENTATIONS FORESTIERES, GOUVERNANCE ET ECHANGES COMMERCIAUX Directives sur le Contrôle Indépendant INTRODUCTION Le Plan d action de l UE pour l application
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailETUDE DES NORMES ET SAUVEGARDES SOCIALES DE LA REDD-PLUS
ETUDE DES NORMES ET SAUVEGARDES SOCIALES DE LA REDD-PLUS SYNTHESE INTRODUCTION La présente étude documentaire a été réalisée par le Programme Carbone forestier, Marchés et Communautés (FCMC). Ce programme
Plus en détailTABLE RONDE SUR L HUILE DE PALME DURABLE
TABLE RONDE SUR L HUILE DE PALME DURABLE Qu est-ce que la RSPO? La RSPO est une association à but non lucratif qui rassemble des parties prenantes issues de sept secteurs de l industrie de l huile de palme
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détailCharte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable
Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités
Plus en détailEn fonction de sa proposition, Hydro-Québec s attend à ce que la nouvelle tarification soit effective au début de l année 2007.
NOTE AU LECTEUR Fondée en 1961, l Association provinciale des constructeurs d habitations du Québec (APCHQ) est une référence en matière de construction et de rénovation résidentielles. Regroupant quelque
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailconseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat.
conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. Les enfants des écoles vont régulièrement rencontrer les résidents des logements-foyers. PoitiersMag page
Plus en détailAtelier Payer pour l environnement? Le mécanisme REDD+ et les PSE permettront-ils de s attaquer aux causes sous-jacentes de la déforestation?
Efficacité de REDD+ et le rôle des PSE Atelier Payer pour l environnement? Le mécanisme REDD+ et les PSE permettront-ils de s attaquer aux causes sous-jacentes de la déforestation? Thomas Sembres, Facilité
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailQuestionnaire Entreprises et droits humains
Membres du Avec & Asset Management Questionnaire Entreprises et droits humains 1 2 Présentation des organisations Le CCFD-Terre Solidaire est la première association française de développement. Elle a
Plus en détailProgramme Formations Vivelys
Programme Formations Vivelys Année 2011 FORMATION DUREE BORDEAUX NÎMES TAIN L HERMITAGE AIX EN PROVENCE TARIF HT (par pers. avec repas) PILOTAGE DE LA MICRO-OXYGÉNATION 1 journée 10/03/2011 Sur demande
Plus en détailRéseau Forêts et Commerce d Afrique Centrale (CAFTN) pour la Foresterie Responsable
Réseau Forêts et Commerce d Afrique Centrale (CAFTN) pour la Foresterie Responsable En quoi consiste le CAFTN? Cadre de partenariat avec les entreprises forestières dans le but de promouvoir la foresterie
Plus en détailLa transition énergétique L Energiewende allemande. 7 Conclusions clés. Une initiative de la Fondation Heinrich Böll Publié le 28 novembre 2012
7 Conclusions clés La transition énergétique L Energiewende allemande Par Craig Morris et Martin Pehnt Une initiative de la Fondation Heinrich Böll Publié le 28 novembre 2012 www. 7 Conclusions clés La
Plus en détaille coupage de vins en Valais
Grand Conseil Commission de gestion Grosser Rat COMMISSION DE GESTION DU GRAND CONSEIL Rapport sur le coupage de vins en Valais Session de juin 2014 Commission de gestion 2/11 SOMMAIRE Page 1. INTRODUCTION...
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détailLe point de vue de l UNSA
Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise
Plus en détailDéclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée
Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée Introduction Dans l Union européenne, le secteur de la sécurité
Plus en détailÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE
ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE 2 1 LE CONTEXTE LES OBJECTIFS DES DIRECTIVES ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE Protéger l environnement (1), sécuriser l approvisionnement énergétique (2)
Plus en détailTransaction proposée entre Groupe TMX inc. et London Stock Exchange Group plc
Transaction proposée entre Groupe TMX inc. et London Stock Exchange Group plc Position de la FCCQ dans le cadre de la consultation publique tenue par l Autorité des marchés financiers 29 juin 2011 555,
Plus en détailAtelier : Numérique et Œnotourisme en Aquitaine. Document de cadrage pour la réunion du 7 mars 2012
Atelier : Numérique et Œnotourisme en Aquitaine Document de cadrage pour la réunion du 7 mars 2012 Ce document de travail rassemble quelques chiffres-clés et éléments de cadrage pour les participants aux
Plus en détailUniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Le réseau des épiceries solidaires A.N.D.E.S. Uniterres Assurer la sécurité alimentaire des plus démunis et soutenir une agriculture durable et locale Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Plus en détaill entrepreneuriat social
L Initiative pour l entrepreneuriat social de la Commission européenne Marché intérieur et services La version électronique de la présente brochure est disponible à l adresse : http://ec.europa.eu/internal_market/publications/docs/sbi-brochure/sbi-brochure-web_fr.pdf
Plus en détailPOUR UNE NOUVELLE POLITIQUE DE SOUTIEN A L INSERTION PAR L ACTIVITE L ECONOMIQUE. Rapport Cadre n CR 41-09 du 06 Mai 2009
POUR UNE NOUVELLE POLITIQUE DE SOUTIEN A L INSERTION PAR L ACTIVITE L ECONOMIQUE Rapport Cadre n CR 41-09 du 06 Mai 2009 1 Une politique régionale concertée Le 20 Mai 2008, le CRIF organise une large concertation
Plus en détailPROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET
PROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET ID Projet : P106982 IDA H589 ZR TF010744 Pour le recrutement d un Consultant International
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailRéunion correspondants Europe 26 juin 2012
Réunion correspondants Europe 26 juin 2012 1 Groupe de travail fonds structurels 2 Les fonds structurels Les ressources humaines financées par les fonds structurels : une contribution au développement
Plus en détailMarketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique
Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique Dossier 2 : Approches et modèles d analyse stratégique Ce dossier présente, en particulier sur un plan méthodologique, des approches
Plus en détailLogistique et stratégies d innovations des acteurs de la filière viticole bourguignonne 1
Logistique et stratégies d innovations des acteurs de la filière viticole bourguignonne 1 Version provisoire Tarek BEN HASSEN, Michel MARTIN, Corinne TANGUY Tarek.BenHassen@dijon.inra.fr, michel.martin@dijon.inra.fr,
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE
ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE 1. Les investissements doivent contribuer à et être compatibles avec la réalisation progressive du droit à une alimentation suffisante et nutritive
Plus en détailCommunication. Mardi 4 novembre 2014 16 h 30. Commission des affaires européennes. X I V e L É G I S L A T U R E
X I V e L É G I S L A T U R E Communication Commission des affaires européennes Mardi 4 novembre 2014 16 h 30 Communication de M. Philippe Armand Martin sur l attribution des noms de domaine «.wine» et
Plus en détailProjet filière viticulture 2014-2018. Axe A : Pérenniser la filière viticole régionale. Action A1: Anticiper les volumes sur le plan structurel
Projet filière viticulture 2014-2018 Axe A : Pérenniser la filière viticole régionale Action A1: Anticiper les volumes sur le plan structurel Problématique Les volumes de vins produits dans la région ne
Plus en détailFiche d information 3 OÙ IRA L ARGENT?
Fiche d information 3 OÙ IRA L ARGENT? Le plan d investissement pour l Europe sera constitué d un ensemble de mesures visant à libérer au moins 315 milliards d euros d investissements publics et privés
Plus en détailCommuniqué de presse. Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014. Pour le semestre clos au 31 mars 2012.
Communiqué de presse Lille, le 29 juin 2012 Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014 Pour le semestre clos au 31 mars 2012. L Entreprise organise une conférence téléphonique
Plus en détailLa Commission européenne
La Commission européenne Représentation en France Conférence - débat «Le Partenariat pour le Commerce et l Investissement entre les Etats-Unis et l'europe» Olivier Coppens, Attaché économique Représentation
Plus en détailFICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE
FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : FCPB1511507D Intitulé du texte : Décret modifiant les décrets n 2010-509 et n 2010-518 Ministère à l origine de la mesure : Finances et comptes publics
Plus en détailFEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION
FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION Commentaires de la FEFAC sur la proposition de Règlement du
Plus en détailCompétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe
Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction
Plus en détailConseil économique et social
NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/MP.PP/2005/2/Add.4 8 juin 2005 Original: ANGLAIS, FRANÇAIS, RUSSE COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE Réunion des Parties à la Convention
Plus en détailCoûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées
Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées 10 Damien décembre Ameline 2010 (CER France Toulouse Midi-Pyrénées) Compétitivité
Plus en détailCrédit d impôt en faveur de l agriculture biologique
Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique Note d information et d analyse FNAB Paris, le 10 avril 2014 Mode d emploi du dispositif CI-Bio pour les exercices 2011 à 2014 (pour les déclarations
Plus en détailLa mondialisation des tâches informatiques
Chapitre 1 La mondialisation des tâches informatiques Quel que soit le domaine que l on observe, les économies engendrées par l outsourcing, aussi appelé offshore ou délocalisation, sont considérables.
Plus en détailSynthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC
Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un
Plus en détailCompte-rendu de la rencontre politique tenue à la Maison du commerce de la Chambre de commerce du Saguenay, lundi le 1er décembre 2008.
Compterendu de la rencontre politique tenue à la Maison du commerce de la Chambre de commerce du Saguenay, lundi le 1er décembre 2008. Animateurs de la rencontre : Madame Nadine Daoud, présidente de la
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détail