Forum 3.0 de l industrie des médias interactifs
|
|
- Emmanuelle Morel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Rapprt des grupes de discussin: faits saillants Préparé par Harld Gendrn, Cnsultant Recherche et veille en médias interactifs et Jean-Pierre Faucher, Cnsultant jeux vidé et médias interactifs Juillet 2008 This dcument is als available in English.
2 TABLE DES MATIÈRES 1. CONTEXTE CONTENU DU DOCUMENT POINTS SAILLANTS GENERALITES ACCES AU FINANCEMENT ACCES A DES RESSOURCES QUALIFIEES INNOVATION, R&D ET PROPRIETE INTELLECTUELLE... 9 Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Faits saillants 2
3 1. CONTEXTE Ce dcument rend cmpte des cmmentaires exprimés par plus d une cinquantaine de représentants d entreprises de différents secteurs de l industrie canadienne des médias interactifs (jeu, animatin, prducteurs Web, etc.) qui nt participé à l une des cinq rencntres (Trnt, Mntréal, Vancuver, Saskatn et Charlttetwn) du Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs rganisé cnjintement par le ministère du Patrimine canadien et Téléfilm Canada. Ce dcument tient cmpte également des répnses des persnnes qui nt répndu au questinnaire rendu dispnible sur le Site de Téléfilm Canada. Rappelns qu à la suite d une évaluatin smmative du Fnds des nuveaux médias du Canada (FNMC), le ministère du Patrimine canadien avait été invité à prcéder à un examen des besins et de l évlutin de l industrie des médias interactifs en vue d identifier des myens et des actins qui favriseraient la créatin d œuvres numériques interactives de même que le dévelppement et la prmtin de l industrie canadienne au niveau natinal et internatinal. Patrimine canadien et Téléfilm Canada nt dnc cnfié à un cnsultant du milieu des médias interactifs le mandat d rganiser ces rencntres et d en faire le cmpte rendu. Tris thèmes en particulier nt été abrdés lrs de ces tables rndes u grupes de discussin. Il s agit de : l accès au financement; l accès à des prfessinnels qualifiés; et l innvatin, recherche et dévelppement (R&D), et créatin d une prpriété intellectuelle (PI). Chaque thème a été traité à partir de quelques questins générales visant à favriser la liberté des échanges et l expressin des cmmentaires. Les participants nt été invités à parler de leurs expériences et de leurs perceptins respectives face à chacun des thèmes, en prenant un pint de vue plus glbal tut en évitant de s attarder aux mdalités d applicatin et de gestin des différents vlets du FNMC u de tut autre mesure. Chacune des rencntres, d une durée myenne de 3,5 heures, a été animée par un animateur différent prvenant de la régin cncernée. Dans l ensemble, les animateurs nt bien respecté le dérulement prévu ; ce qui ne les a pas empêché d apprter leur tuche persnnelle au niveau de l animatin et des questins cmplémentaires. En raisn du nmbre limité de places dans les grupes de discussin, Téléfilm Canada a hébergé sur sn site web un prtail relatif au Frum 3.0 afin de recueillir d autres cmmentaires auprès de ceux qui n nt pas pu participer u être invités à ces rencntres. 2. CONTENU DU DOCUMENT Le dcument se divise en deux parties. La première présente, pur chacune des thématiques, les pints saillants des cmmentaires exprimés par les participants aux curs des rencntres u sur le site de Téléfilm Canada. En secnde partie, n retruve sus la frme d un tableau et pur chacun des tris thèmes un cmpte rendu résumé des prps exprimés par les participants de chacune des rencntres. Cette présentatin permettra aux représentants de Patrimine canadien et de Téléfilm Canada de prendre cnnaissance de l essentiel de ce qui a été dit dans chacune des rencntres et de distinguer plus facilement les pints cmmuns u les différences entre chacun des grupes. Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Faits saillants 3
4 3. POINTS SAILLANTS Ceux-ci snt présentés seln les tris thèmes discutés lrs des rencntres. De façn générale, ils fnt ressrtir les pints cmmuns entre les différents grupes. À l ccasin, des particularités réginales u sectrielles (ex.; jeu vs Web) snt signalées. 3.1 Généralités Au ttal, 54 participants snt venus discuter des tris thèmes à l agenda. Vici leur répartitin seln le lieu gégraphique des rencntres et leurs secteurs d activités. À nter que certains grupes cmprenaient des participants en prvenance de l extérieur de la ville désignée pur la rencntre (ex. : de Québec, de la Mauricie u de Winnipeg dans le cas de Mntréal pur les participants francphnes; d Edmntn, de Winnipeg, de Régina u de Calgary dans le cas de Saskatn, d Halifax et de Mnctn dans le cas de Charlttetwn). Répartitin des participants seln le secteur d activité et le lieu du grupe de discussin Jeu Animatin Web/télé Mbilité Internet Autres Ttal Trnt Mntréal Vancuver Saskatn Charlttetwn Ttal Des représentants de Téléfilm Canada et de Patrimine canadien nt aussi participé aux rencntres. De façn générale, les rencntres nt été bien appréciées par les participants. Ces derniers snt d avis que ce genre de rencntres devraient avir lieu plus suvent dans la mesure ù elles permettent aux participants de partager des cnnaissances et de mieux cmprendre les réalités de chacun des secteurs tut en leur dnnant l ccasin de faire le pint sur des sujets précis avec les représentants de Téléfilm Canada et de Patrimine canadien. Les entreprises partagent plusieurs pints cmmuns et vivent des situatins semblables, quelque sit leur situatin gégraphique u leur secteur d activité. Cependant, les secteurs se distinguent les uns des autres; ce qui est vécu dans le secteur du jeu vidé n a pas nécessairement d équivalent dans le dmaine du Web et de la mbilité. Ce cnstat se vérifie même à l intérieur d un secteur; le secteur du jeu pur cnsle ne vit pas les mêmes situatins que celui du jeu en ligne u des jeux pur mbile. Les grupes de Vancuver, de Trnt et de Mntréal manifestent davantage de préccupatins face aux questins relatives à la prpriété intellectuelle que les grupes de Saskatn et de Charlttetwn. Certains grupes nt su mieux que d autres se situer à un niveau macr et ne pas trp s attarder sur les besins spécifiques de leur secteur u de leur platefrme. La cmmercialisatin a fait l bjet de plusieurs cmmentaires même si ce sujet n était pas à l rdre du jur. Le succès de leurs prductins et la crissance de leur entreprise Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Faits saillants 4
5 en dépendent. Les entreprises manquent de ressurces financières et d expertise à ce niveau. D autres sujets nt également été abrdés : la multiplicatin des platefrmes, la transfrmatin de la chaine de valeur, le passage d une lgique de l ffre (cntenus et réseaux de distributin limités) à une lgique de la demande (cntenus illimités dispnibles en tut temps), etc. Les PME des Prairies et des Prvinces de l Atlantique nt une cnnaissance limitée des prgrammes dispnibles (incluant le FNMC) pur sutenir le dévelppement de l industrie des cntenus interactifs dans leur prvince. Ces mêmes régins snt aussi mins bien purvues au niveau des infrastructures de sutien et de représentatin que ne le snt Mntréal, Vancuver u Trnt ù n retruve des assciatins industrielles et sectrielles qui infrment les entreprises. On suhaite qu il y ait une meilleure cmmunicatin entre les entreprises et les divers niveaux de guvernements. Les PME réalisent qu il y a de l éducatin et de la sensibilisatin à faire auprès des divers paliers guvernementaux et du secteur financier (banques, fnds privés et capitaux de risque) pur les aider à cmprendre les particularités et les besins de l industrie des médias interactifs. Seln plusieurs participants, Téléfilm et le FNMC nt jué un rôle essentiel dans la structuratin de l industrie des médias interactifs, ntamment pur ceux qui dévelppent des prduits qui ne snt pas rattachés au dmaine de la radidiffusin. Pur ces entreprises, le FNMC est le seul myen dispnible, utre les crédits d impôt dans certaines prvinces, pur financer des prjets. Les autres Fnds cmme ceux du Fnds Bell et de Quebecr snt de surces privées et snt rientés vers de la prductin de cnvergence. Parmi tus les thèmes, celui du financement a généré le plus de cmmentaires. 3.2 Accès au financement Tus les grupes nt à peu près tus abrdé les mêmes thèmes lrs de leurs rencntres respectives, chacun insistant sur des sujets plutôt que d autres. Les cmmentaires nt prté principalement sur : le manque de financement à divers pints de vue, les difficultés de mnter des structures de financement, le prcessus de gestin des demandes de fnds, le besin d adapter les fnds aux réalités industrielles des médias interactifs, les bjectifs visés par les fnds, le mde de fnctinnement par prjet, les rapprts entre les radidiffuseurs et les prducteurs Web, de l aversin au risque des financiers, du manque d infrmatin sur les fnds existants et de la cntributin suhaitée des furnisseurs d accès Internet (FAI) à la créatin de cntenus. Plusieurs suhaits nt aussi été exprimés par les PME. La plupart des PME suligne l insuffisance du financement dispnible pur sutenir la créatin de cntenu riginal (en particulier dans le secteur de la cnvergence, du «serius gaming»), le démarrage d entreprises, le fnctinnement, l exprtatin et la cmmercialisatin. Il y a aussi un déséquilibre imprtant entre les fnds allués au secteur des médias interactifs et ceux de la télévisin et du cinéma, en prprtin de la main-d œuvre et des revenus générés respectivement par ces secteurs. Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Faits saillants 5
6 Le secteur des médias interactifs, cntrairement à ceux de la télé et du cinéma, ne peuvent pas cmpter sur un crédit d impôt du guvernement fédéral. De plus, certaines prvinces (Alberta, Saskatchewan et Nuveau-Brunswick) n nt pas accès à des crédits d impôts spécifiques à l industrie des médias interactifs. Le manque de fnds et d utils de financement adaptés fait en srte qu il est plus difficile de mnter des structures de financement slides. Les prjets snt mdestes parce que le financement dispnible est mdeste. Les PME nt besin de capital patient à lng terme (3 à 5 ans) car les cycles de dévelppement de prduit snt lngs. L industrie du jeu pur cnsle est basée sur un seul mdèle de financement. Tut passe par les éditeurs qui nt les myens d investir des smmes imprtantes dans la prductin de jeu. Pur accéder à ce financement, les dévelppeurs indépendants snt bligés de céder le cntrôle sur la prpriété intellectuelle de leurs prductins. Le financement du cntenu francphne reste prblématique en raisn du marché restreint, une réalité que ne vit pas les prduits anglphnes. La grande majrité des PME tire des revenus du service qu elles rendent à des clients. Ces revenus servent à financer le dévelppement de cntenu u d une prpriété intellectuelle. Le temps d accès au financement («timing») et les délais snt des aspects fndamentaux pur les PME. Plus n tarde à faire l analyse des prjets et à rendre une décisin, mins le prjet cnserve sn caractère riginal u innvateur. On perd ainsi des pprtunités intéressantes pur les entreprises et l industrie. Les PME suhaitent que le prcessus de demande de financement sit simplifié afin qu elles y cnsacrent mins de temps et d énergies. On scrute davantage les prjets interactifs. On cnsidère travailler plus frts que les autres secteurs pur recevir mins d argent qu eux. Les PME suhaitent également que la terminlgie utilisée par les guvernements sit mise à jur. L accès au capital de risque est très limité. Peu de capitaux-risqueurs cmprennent l industrie des médias interactifs et sn fnctinnement. Ils cherchent davantage à investir dans des technlgies u des entreprises plutôt que dans des prjets. Ils snt aussi très exigeants. Le mdèle de fnctinnement par prjet ne satisfait pas les PME. La ntin de prjet fermé sur une péride annuelle ne reflète pas la réalité de l industrie ù les prjets snt en mde cntinu. De plus, l industrie des médias interactifs repse sur l empli de salariés cntrairement au cinéma qui est basé sur l empli de cntractuels. Ce mdèle est aussi difficile à gérer car n reçit le financement alrs que 75% du prjet est réalisé. Il faut aussi cmpter un certain temps avant que l n réclte des revenus. Si bien qu il est nécessaire d avir un bn fnd de rulement pur payer les emplyés et ne pas les perdre. Quels bjectifs le FNMC dit-il viser? Dit-il favriser des bjectifs culturels (créatin de cntenu riginal canadien, cntrôle de la prpriété intellectuelle), industriels (créatin d emplis, industrie durable) u cmmerciaux (revenus, audience)? Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Faits saillants 6
7 Des prducteurs de cntenus Web et de l animatin 3D nt suligné que leurs prjets ne cadrent pas dans les prgrammes actuels de financement car ils ne crrespndent pas aux définitins de nuveaux médias et d interactivité. Plusieurs PME nt besin d infrmatin sur les prgrammes d aide et de sutien à l industrie. Elles suhaitent avir accès à un répertire descriptif (critères d admissibilité, mntant dispnibles, mdes de fnctinnement) regrupant tus les prgrammes d aide et de sutien accessibles et utiles pur leur industrie. La plupart suhaite que les FAI et les pérateurs de téléphnie mbile cntribuent au financement de l industrie des médias interactifs au même titre que les câbldistributeurs dans le secteur de la télévisin. Dans le secteur des prduits de cnvergence, les radidiffuseurs exercent une influence démesurée sur le déclenchement et le financement des prjets. Parmi les suhaits exprimés par les PME : Davantage de fnds Sutien financier pur le fnd de rulement Accrissement de la part de Téléfilm dans les prjets Assuplissement de la ntin de prjet Révisin des définitins Incubateurs Bureau central d infrmatin sur les prgrammes d aide et de sutien Simplificatin et accélératin du prcessus de traitement des demandes de financement 3.2 Accès à des ressurces qualifiées Tutes les régins et tus les secteurs de l industrie (jeu, Web, animatin, mbilité) snt victimes, à divers degrés, d une pénurie de main-d œuvre qualifiée et expérimentée. Il y a un manque de plusieurs types d expertises et de cmpétences : cadres intermédiaires et senirs, spécialistes en marketing et en gestin de prjets, emplyés expérimentés (level designers et prgrammeur de haut niveau), spécialistes des questins légales et financières, administrateurs ayant un sens aigu des affaires et une cnnaissance des meilleures pratiques de l industrie, etc. Cette pénurie blige les entreprises à refuser des cntrats, ce qui freine leur crissance et le dévelppement de l industrie canadienne des médias interactifs. Les PME cherchent à garder leurs emplyés et leurs grands talents qui peuvent prfiter de la situatin de pénurie pur aller travailler dans une autre entreprise à de meilleures cnditins. Les PME ne peuvent cependant se permettre de perdre de tels emplyés car cela se traduit par une fuite de cnnaissances industrielles et stratégiques et un changement dans la dynamique de l équipe. Des entreprises, en particulier dans le secteur du jeu pur cnsle, prennent même le risque d embaucher des persnnes avant même d avir signé des ententes pur la prductin d un jeu. Certaines régins (Prairies et les Prvinces de l Atlantique) épruvent de la difficulté à retenir leurs meilleurs talents, sit par manque de ressurces financières sit parce que Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Faits saillants 7
8 les gens préfèrent aller travailler dans des grands centres urbains canadiens u américains ù n retruve une masse critique d entreprises et de prjets intéressants. Elles nt encre plus de difficultés à attirer des grands talents de l extérieur qui ne snt pas naturellement prtés à aller travailler dans ces régins. Les PME des secteurs du Web, de la cnvergence u de la mbilité ne peuvent rivaliser avec cnditins ffertes dans le secteur du jeu. Les PME subissent également d imprtantes pressins salariales de la part de grandes multinatinales cmme Ubisft au Québec qui bénéficient de crédits d impôt pur ffrir des cnditins salariales plus avantageuses à des diplômés des autres prvinces canadiennes qui snt recrutés à la prte des écles. Le mdèle de financement et de fnctinnement par prjet ne favrise pas le maintien et la rétentin d emplyés. Il faut des ressurces (fnds de rulement) pur être en mesure de faire le pnt d un prjet à l autre. Les entreprises de chaque régin sentent le besin de cllabrer. Le démarchage traditinnel d emplyés cûte cher et ne dnne pas les résultats escmptés. Les PME dévelppent de nuvelles apprches et utilisent de plus en plus Internet (ex. : Gamasutra) pur recruter des candidats. On prfite également d événements cmme le Game Develpers Cnference (GDC) pur slliciter des candidatures. On tente aussi d attirer davantage de femmes dans le secteur du jeu, ntamment en créatin. L externalisatin (utsurcing) ne suscite pas un grand enthusiasme chez les PME. C est suvent par nécessité (manque de persnnel, réductin des cûts, impératifs de prductin, respect des délais serrés de livraisn) qu elles ptent pur cette façn de faire. Plusieurs entreprises préfèrent réaliser les prjets à l interne u recurir à des furnisseurs canadiens recnnus pur leurs grandes cmpétences plutôt que d aller du côté des entreprises étrangères dnt les méthdes de travail snt mins efficaces et la qualité de leur travail ne crrespnd pas aux standards de l industrie. Une nuvelle tendance en Clmbie-Britannique. On frme un bassin de talents de haut niveau qui travaillent d un prjet à l autre, et les emplis mins spécialisés snt externalisés. Cela permet de réduire les cûts car les entreprises n nt pas à assumer les salaires durant les pérides ù il n y a pas de prjets. On exprime le suhait que le guvernement ffre des incitatifs aux entreprises du Canada qui externalisent une partie de leurs activités à des entreprises canadiennes car elles aident à créer des entreprises et à cnserver l expertise ici. On suhaite également la créatin d une base de dnnées natinale sur les entreprises canadiennes afin de faciliter le repérage de furnisseurs. Les entreprises externalisent surtut des activités de prductin et cncentrent leurs énergies sur le dévelppement de prduits et leur cmmercialisatin. Le système d éducatin de la plupart des régins ne répnd pas aux besins et aux attentes de l industrie. Le nmbre de prgrammes est insuffisant et les frmatins ffertes actuellement dans les cllèges et les universités snt trp générales. Les diplômés ne snt pas suffisamment frmés et il y a un manque de cmpétences de base chez la majrité d entre eux (plyvalence et capacité de travailler au sein d une équipe multidisciplinaire). Les institutins d enseignement ne semblent pas cmprendre les besins des PME. Partut, des PME sulignent l imprtance de cllabrer avec le Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Faits saillants 8
9 milieu de l enseignement afin d élever les standards. Des entreprises cntactent les institutins d enseignement pur les aider à dévelpper des prgrammes adéquats. Les prgrammes dispnibles u en curs de dévelppement s adressent surtut à l industrie du jeu qui draine par la suite la plupart les diplômés. Cela laisse peu de chix aux entreprises des autres secteurs. Peu d initiatives nt été prises pur intéresser les jeunes aux prfessins de l industrie. Au Québec, le secteur du jeu s est pris en main et s est dté d utils d infrmatin et de prmtin (macarriereenjeu.cm). En Saskatchewan, le prgramme Jb Start aide les entreprises à embaucher des jeunes et à les frmer. Le ministère des Ressurces Humaines du Canada devrait être plus actif à cet égard. Pur pallier ce manque de frmatin, des emplyés expérimentés des PME divent cnsacrer beaucup de temps à faire du mentrat et du «caching». Des PME des prvinces de l Atlantique indiquent tutefis ne pas être en mesure de le faire en raisn du manque de ressurces humaines et financières. Le guvernement devrait recnnaître les effrts des entreprises qui frment leurs emplyés à l interne. Le mdèle des stages n est pas satisfaisant. La durée des stages est trp curte et les budgets snt trp serrés pur être en mesure d en faire. Des PME mentinnent que c est une dimensin ù les guvernements purraient intervenir. L industrie canadienne ne dispse pas encre d une classificatin et d une descriptin adéquate des différents emplis. La classificatin actuelle (Système de classificatin des industries de l Amérique du Nrd sus l ALENA) n est pas faite pur les industries en émergence et elle ne sera revue qu en Cela a des impacts écnmiques et administratifs. Parmi les suhaits exprimés par les PME : Cnstruire une base de dnnées natinale sur les entreprises canadiennes Sutenir les entreprises canadiennes qui externalisent des activités à d autres entreprises canadiennes Mettre en place des stages de frmatin en entreprises Recnnaître les effrts des entreprises en frmatin (par caching, mentrat, etc.) de leurs emplyés Prgrammes de frmatin adaptés aux besins de l industrie. 3.3 Innvatin, R&D et prpriété intellectuelle L ensemble des PME des diverses régins cnsidèrent imprtant d avir des activités de R&D; cela leur permet de rester à la fine pinte des dévelppements de leur secteur et de se dter d un avantage cmpétitif par rapprt aux entreprises cncurrentes du Canada u de l étranger. La R&D est perçu cmme un prcessus lng (entre 18 et 36 mis pur dévelpper un prttype) et très risqué au plan financier. Le «timing» est primrdial car une idée trp précce pur le marché u basée sur une technlgie en décrissance peut se slder par un échec. Le drit à l erreur n est pas encre bien intégré dans les pratiques industrielles ni accepté par le secteur financier. Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Faits saillants 9
10 La grande majrité des PME nt recurs aux crédits d impôt R&D fferts par leur prvince u le fédéral. Relativement plus simples à btenir que les autres frmes d aide, ces crédits cnstituent dans bien des cas la principale surce de financement public. Grâce à ces crédits, des PME nt pu se dévelpper et devenir ce qu elles snt aujurd hui. Ils peuvent également faciliter la recherche de financement cmplémentaire. Une entreprise affirme que les entreprises canadiennes de l industrie des médias interactifs n investissent pas assez en R&D. Celles-ci cnsacreraient mins de 10% de leurs revenus à cette activité alrs qu elles devraient en mettre au mins 30%. Les entreprises qui n nt pas une ligne d activités technlgiques et qui ne peuvent pas se qualifier pur recevir des crédits R&D suhaitent qu il y ait un équivalent pur la R&D en créatin de cntenu u de marques frtes. Le guvernement dit s assurer que la R&D et l innvatin juissent d un envirnnement prpice pur que le Canada puisse maintenir un avantage cmpétitif sur la scène internatinal. La R&D et l innvatin ne divent pas être uniquement supprtées financièrement par les entreprises et les divers paliers guvernementaux. Le financement privé dit aussi cntribuer. Il y a de l éducatin à faire à ce niveau. Tus les participants saisissent bien l intérêt de dévelpper et de détenir une prpriété intellectuelle (PI); un succès peut être très prfitable et vus dnner les myens d en dévelpper d autres. Pur ce faire, elles divent avir la capacité d identifier les tendances du marché. La pssessin et l explitatin d une PI ne cnstituent pas une nécessité pur tus. Cela exige des investissements imprtants et une PI ne vaut rien si l entreprise n a pas les myens nécessaires d en juir. Il faut aussi des mécanismes pur être en mesure de la prtéger efficacement, ici et à l étranger. À cet égard, les PME manquent de cnnaissances techniques des marchés. Elles auraient aussi besin d une entité pur les aider à négcier de meilleures ententes. Les PME du Québec, en particulier celles du Web, snt plus intéressées par l idée de psséder une PI. Pur dévelpper une prpriété intellectuelle, les PME de tus les secteurs puisent dans les revenus qu elles tirent des activités de services. L idée de vulir dévelpper une prpriété intellectuelle et de la cnserver va surtut amener les éditeurs internatinaux à vulir acheter les dévelppeurs indépendants. Il n y a pas de réels éditeurs au Canada. Il est plus facile de cnserver la PI sur la technlgie que sur le cntenu. Tutefis la première a beaucup mins de valeur que la secnde. Il est plus facile de cntrôler la PI dans le dmaine du Web que dans les autres secteurs, ntamment celui du jeu vidé pur cnsle ù la plupart des prducteurs indépendants cèdent leur drits sur la prpriété intellectuelle de leurs prduits à des éditeurs internatinaux qui nt les myens d investir dans des prjets dnt le cût myen atteint les 10 millins de dllars. Les dévelppeurs indépendants cmptent sur la distributin en ligne pur s affranchir éventuellement de la relatin avec l éditeur. Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Faits saillants 10
11 La prpriété intellectuelle est une ntin difficile à cerner et à définir dans le secteur du Web2.0 ù n utilise des technlgies «pen surce» et ù n fait suvent intervenir les usagers dans la créatin de cntenu. Dans un cntexte d explitatin de diverses platefrmes, les PME canadiennes affirment qu elles devrnt revir leur plan d affaires et truver de meilleures façns de partager la prpriété intellectuelle. La cllabratin entre le milieu universitaire et l industrie semble meilleure dans certaines régins du Canada (Trnt, Vancuver) que dans d autres. Tutefis travailler avec les universités représente un défi car elles nt un agenda différent des PME quant à la cmmercialisatin et à la mnétisatin des prjets. Il faudrait davantage de partenariats du genre Mbile MUSE (Clmbie-Britannique) afin d ffrir aux chercheurs universitaires et aux talents des PME un terrain prpice aux activités d innvatin. Il y a un besin de rapprcher les PME et les institutins d enseignement dans plusieurs régins. Certains participants nt suligné que Téléfilm Canada dispse d une marge de manœuvre limitée quant au nmbre de prjets qu elle peut sutenir. Parmi les slutins prpsées par les PME pur favriser le dévelppement et le cntrôle de la PI au Canada, n retruve : Extensin du crédit R&D à la créatin de cntenu, Assuplissement des règles de dépôt de prjets ntamment pur les PME qui nt fait leur preuve et imiter le dmaine de la télévisin ù les chix se fnt sur la base d un pilte et d un dcument de présentatin; Accrissement du mntant accrdé au dévelppement de chacun des prjets retenus; Créatin d un éditeur pur les entreprises canadiennes a l image de ce qui a été fait pur le cinéma (Office Natinal du Film) et la télévisin (Sciété Radi- Canada); Investissement dans des prjets ayant un frt ptentiel cmmercial; et Dévelppement d incitatifs pur cnserver la PI au Canada. Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Faits saillants 11
Consultation : Soutien à la réalisation du plan de communication du Pôle PASS
Cnsultatin : Sutien à la réalisatin du plan de cmmunicatin du Pôle PASS Page 1 1 > INTRODUCTION 1.1 > PRESENTATION DES ACTEURS Le Pôle de cmpétitivité Parfums Arômes Senteurs Saveurs (PASS) représente
Plus en détailRecommandations de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain au gouvernement du Canada en vue du budget fédéral 2016
Recmmandatins de la Chambre de cmmerce du Mntréal métrplitain au guvernement du Canada en vue du budget fédéral 2016 Juillet 2015 1 Préambule La Chambre de cmmerce du Mntréal métrplitain (la Chambre) cmpte
Plus en détailFiche de projet pour les institutions publiques
Fiche de prjet pur les institutins publiques Infrmatins pratiques Nm de l institutin publique ayant intrduit le prjet: SPF Technlgie de l'infrmatin et de la Cmmunicatin (Fedict). Nm du prjet : egv Mnitr
Plus en détailGUIDE DU CANDIDAT REPRESENTANT EN ASSURANCE DE DOMMAGES DES PARTICULIERS. Préparation aux examens de l AMF. Pour : DESJARDINS ASSURANCES GENERALES
GUIDE DU CANDIDAT REPRESENTANT EN ASSURANCE DE DOMMAGES DES PARTICULIERS Préparatin aux examens de l AMF Pur : DESJARDINS ASSURANCES GENERALES Prfesseur : Jacques Bélanger 04-2012 TABLE DES MATIÈRES I.
Plus en détailCE QU IL FAUT RETENIR DE HITECHPROS UNE OPPORTUNITE POUR LES ACTEURS DU SECTEUR UN OBSERVATEUR PRIVILEGIE DU MARCHE
Décembre 2014 1 SOMMAIRE CE QU IL FAUT RETENIR DE HITECHPROS LE MARCHE UNE OPPORTUNITE POUR LES ACTEURS DU SECTEUR UN OBSERVATEUR PRIVILEGIE DU MARCHE UNE DEMARCHE STRATEGIQUE INSCRITE DANS LA DUREE LE
Plus en détailTerrain de jeu Analogie au sport professionnel
Terrain de jeu Analgie au sprt prfessinnel USO : US Oynnax Rugby : management dans le sprt Le 9 décembre 2009, Olivier Nier, entraîneur de l USO, Pr D2 de rugby, réalisait dans le cadre d une cnférence
Plus en détailPour répondre au besoin de sécurité juridique et de prévisibilité, la Loi type devrait traiter des questions suivantes:
Descriptin de la prpsitin du Canada cncernant l élabratin d une Li type sur les règles de cmpétence et de cnflits de lis en matière de cntrats de cnsmmatin dans le cadre de la CIDIP-VII Dans le cadre de
Plus en détailSociétés Non Financières - taux endettement - % PIB, valeur nominale
T1 1999 T4 1999 T3 2000 T2 2001 T1 2002 T4 2002 T3 2003 T2 2004 T1 2005 T4 2005 T3 2006 T2 2007 T1 2008 T4 2008 T3 2009 T2 2010 T1 2011 T4 2011 T3 2012 T2 2013 Accmpagner le muvement de désintermédiatin
Plus en détail- 07 - LE TABLEAU DE BORD REMONTEE DES COMPTES. Outils de gestion prévisionnelle, d'analyse financière et du contrôle de gestion. TABLE DES MATIERES
- 07 - LE TABLEAU DE BORD REMONTEE DES COMPTES Objectif(s) : Pré requis : Mdalités : Présentatin du tableau de brd, Principes de la remntée des cmptes. Outils de gestin prévisinnelle, d'analyse financière
Plus en détailPREPARATION DE VOTRE PFMP Réalisé et testé par Laurence Martin, enseignante au LP du Toulois et chargée de mission en économie et gestion option vente
PREPARATION DE VOTRE PFMP Réalisé et testé par Laurence Martin, enseignante au LP du Tulis et chargée de missin en écnmie et gestin ptin vente Sus le piltage de Christine Françis IEN Définir PFMP :.. Vus
Plus en détailMISSIONS COMMERCIALES
DEVELOPPEMENT ET OBJECTIFS MISSIONS COMMERCIALES Prcédure et bjectifs Le but d'une missin cmmerciale est de distribuer et prmuvir les prduits u services d'une entreprise. Les démarches à suivre snt les
Plus en détailChap I : Economie d'entreprises
Chap I : Ecnmie d'entreprises Au sens large, le terme entreprise s'utilise pur des prjets uniques mais d'apparence risquée u difficile (par exemple, un grand vyage u une recherche scientifique), car il
Plus en détailCoefficient 4. L ACRC est validé par le contrôle des compétences suivantes :
BTS MUC CCF Finalités et bjectifs E5 ANALYSE ET CONDUITE DE LA RELATION COMMERCIALE Cefficient 4 Cette épreuve permet d évaluer les aptitudes du candidat à prendre en respnsabilité des activités curantes
Plus en détailIDENTIFICATION DU POSTE. N de l emploi : Contractuel. Intitulé du poste : Chargé de mission FC
DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES 34, Avenue Carnt - B.P. 185-63006 CLERMONT-FERRAND CEDEX 1 FICHE DE POSTE IDENTIFICATION DU POSTE N de l empli : Cntractuel Intitulé du pste : Chargé de missin FC FILIERE
Plus en détailLE RVER EN UN COUP D ŒIL
LE RVER EN UN COUP D ŒIL Le terme RVER est l acrnyme pur Régime Vlntaire d Epargne-Retraite. C est un nuveau régime de retraite régi par la Li sur les régimes vlntaires d'épargneretraite (Li sur les RVER)
Plus en détailChap 10 : L évaluation et la valorisation du potentiel de l équipe commerciale
Chap 10 : L évaluatin et la valrisatin du ptentiel de l équipe cmmerciale I. L évaluatin du ptentiel de l équipe A. Les enjeux de l évaluatin Les enjeux : Pur l évaluateur : Faire le bilan de l année :
Plus en détailRÈGLEMENT DE PARTICIPATION DES BOURSES "COOPÉRATIVES CITOYENNES"
RÈGLEMENT DE PARTICIPATION DES BOURSES "COOPÉRATIVES CITOYENNES" L'Agence pur l'entreprise et l'innvatin (AEI) met en œuvre un nuveau dispsitif de sutien aux prjets de cpératives cityennes. Dès septembre
Plus en détailCoalition énergie et construction durable
RÉALISATION D UN CONCEPT D EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE DANS UN CADRE DE DÉVELOPPEMENT DURABLE POUR LE BÂTIMENT DE MOISSON MONTRÉAL CONCEPT PRÉPARÉ PAR L ENSEMBLE DES PROFESSIONNELS MEMBRES DU COMITÉ EXPERTS
Plus en détailSAP Financial Innovation Day 18 Mars 2014 Genève Amélioration du Planning financier : un processus simplifié pour une meilleure qualité de données
SAP Financial Innvatin Day 18 Mars 2014 Genève Améliratin du Planning financier : un prcessus simplifié pur une meilleure qualité de dnnées Orange Cmmunicatins SA Smmaire Présentatin des sciétés Prblématique
Plus en détailCONSOLIDATION DES COMPTES - PRINCIPES. Exposés des principes liés aux participations et aux contrôles des sociétés, Exercices corrigés, Synthèse.
CONSOLIDATION DES COMPTES - PRINCIPES Objectif(s) : Présentatin des principes écnmiques et juridiques relatifs à la cnslidatin des cmptes dans les grupes de sciétés, Ntins : périmètre de cnslidatin, purcentage
Plus en détailProposition de Veille Internet Campagnes Electorales 2012
Prpsitin de Veille Internet Campagnes Electrales 2012 Pur tut savir sur ce que les respnsables plitiques, candidats à l électin Présidentielle, candidats aux électins législatives disent de vus et sur
Plus en détail«Enrichir l Organisation par les Hommes» CYCLE «LE MANAGEMENT DE PROJET ; SAVOIRS FAIRE ET SAVOIR ETRE»
«Enrichir l Organisatin par les Hmmes» CYCLE CYCLE : Le management de prjet «LE MANAGEMENT DE PROJET ; SAVOIRS FAIRE ET SAVOIR ETRE» METHODOLOGIE ET OUTILS PRATIQUES EN GESTION DE PROJET Du 27 juin au
Plus en détailDSP compétences professionnelles région NPC Groupe de travail n 1
DSP cmpétences prfessinnelles régin NPC Grupe de travail n 1 Identificatin des mdalités de mise en œuvre pératinnelle par les pérateurs futurs délégataires Questin : Eléments de répnse Exemples : 2 Faciliter
Plus en détailDossier de Presse. 1 ier guide Interactif pour créateurs et entrepreneurs
Dssier de Presse 1 ier guide Interactif pur créateurs et entrepreneurs «Une applicatin innvante accmpagnée par les leaders du marché» www.e-parcurs.fr (Micrsft, Gan Assurances, Cegid, Accr Services France,
Plus en détailALL Arts, Lettres, Langues. Information Communication Culture
Niveau : MASTER année Dmaine : Mentin : ALL Arts, Lettres, Langues Infrmatin Cmmunicatin Culture M2 Spécialité : Master 2 Recherche, «Cmmunicatin et médiatins» 120 ES Vlume hraire étudiant : 100 h 38 h
Plus en détailDémarche d'observation de la société de l'information en région Provence Alpes Côte d'azur. Atelier thématique n 1 :
Observatire Réginal de la sciété de l infrmatin Démarche d'bservatin de la sciété de l'infrmatin en régin Prvence Alpes Côte d'azur Atelier thématique n 1 : Les PME de la Régin Prvence-Alpes-Côte d'azur
Plus en détailProgramme Eau, Climat et Développement pour l'afrique. Termes de référence pour le recrutement d un Expert Socio/agro-économiste
Prgramme Eau, Climat et Dévelppement pur l'afrique Termes de référence pur le recrutement d un Expert Sci/agr-écnmiste Dans le cadre de l élabratin de l étude sur l intégratin des impacts du changement
Plus en détailPHASE 1 : choix et définition du sujet du TM.
PHASE 1 : chix et définitin du sujet du TM. Le chix du sujet est une partie imprtante du TM. Ce chix se fait durant la 1 ère phase. La prblématique du thème cncerne le rapprt entre la chimie et la vie
Plus en détailSessions préparation à la retraite Formule Express 1 journée
OFFRE DE SERVICES Sessins préparatin à la retraite Frmule Express 1 jurnée SÉMINAIRES Par Cégep Marie-Victrin, Centre de services aux entreprises Mnsieur Jean Perrn, cnseiller en frmatin 767, rue Bélanger
Plus en détailBourse Étienne-Beauclair Banque Nationale
La Burse Étienne-Beauclair Banque Natinale Burse d' excellence destinée aux persnnes ayant une déficience visuelle pur la réalisatin de prjets nvateurs 15 000 $ Dépsez vs candidatures entre Le 15 décembre
Plus en détailCharte de l Association Suisse de Portage des Bébés (ASPB)
Charte de l Assciatin Suisse de Prtage des Bébés (ASPB) 1. Rôle et missin L ASPB est une assciatin à but nn lucratif et indépendante de tutes marques,qui suhaite prmuvir un prtage respectueux du dévelppement
Plus en détailFiche programme Bureau Aquitaine Europe. Le programme Jeunesse en action 2007 2013. Jeunesse
Fiche prgramme Bureau Aquitaine Eurpe Le prgramme Jeunesse en actin 2007 2013 Jeunesse Le prgramme eurpéen Jeunesse en Actin sutient des prjets à but nn lucratif à l intentin de jeunes âgés de 15 à 28
Plus en détailPOLITIQUE DE REMUNERATION
ASSET MANAGEMENT POLITIQUE DE REMUNERATION (UCITS ET AIF) INTRODUCTION En applicatin avec les textes suivants : En tant que sciété de gestin de fnds UCITS Règlement CSSF 10-4 prtant transpsitin de la directive
Plus en détailGUIDE D ENTRETIEN POUR LA PHASE 1
GUIDE D ENTRETIEN POUR LA PHASE 1 DE DESCRIPTION DE L EXISTANT Avant-prps : Le terme «infrastructure» cuvre les vlets suivants : 1. Vlet applicatif, bases de dnnées, plates-frmes infrmatiques 2. Vlets
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Consultation expert en investissement participatif
CAHIER DES CHARGES Cnsultatin expert en investissement participatif Date de publicatin : 06/04/2014 Date de reprt des candidatures : 10/01/2014 à 13h00 Le présent cahier des charges a pur bjet une missin
Plus en détailL'ANALYSE DU BILAN PATRIMONIAL EN VALEURS NETTES. Approfondir l'analyse du bilan financier : retraitements du bilan comptable.
L'ANALYSE DU BILAN PATRIMONIAL EN VALEURS NETTES Objectif(s) : Pré-requis : Apprfndir l'analyse du bilan financier : retraitements du bilan cmptable. Principes d'analyse du bilan financier : Mdalités :
Plus en détailPROCESSUS DE CERTIFICATION DES MONITEURS JE NAGE INFORMATIONS POUR LES MAITRE ÉVALUATEURS
PROCESSUS DE CERTIFICATION DES MONITEURS JE NAGE INFORMATIONS POUR LES MAITRE ÉVALUATEURS NOTE: Les mniteurs qui suivent la frmatin de mise à niveau et de mise à niveau à distance ne snt pas tenus de remplir
Plus en détailLOGICIELS ET BASES DE DONNÉES PROTECTION ET VALORISATION
LOGICIELS ET BASES DE DONNÉES PROTECTION ET VALORISATION LA PROTECTION DES LOGICIELS CADRE LÉGISLATIF Li du 3 juillet 1985 : recnnaissance du lgiciel cmme œuvre de l esprit Directive cmmunautaire du 14
Plus en détailAmandine CUER INDUSTRIELS! GAGNEZ DU TEMPS DANS VOS ECHANGES AVEC VOS INFORMATIQUE - INTERNET - TELECOMMUNICATIONS LA LETTRE D INFORMATION - MAI 2011
Amandine CUER À: Amandine CUER Objet: Cyb@rdèche - Osez les nuvelles technlgies... Pièces jintes: image001.jpg; image001.jpg; image001.jpg; image001.jpg; image001.jpg; image001.jpg Imprtance: Haute Si
Plus en détailCONSEIL NATIONAL D ÉVALUATIONS DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE APPEL D OFFRES
Cnseil Natinal d Évaluatins de la Frmatin Prfessinnelle CONSEIL NATIONAL D ÉVALUATIONS DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE APPEL D OFFRES ÉVALUATION DES PRATIQUES D INGENIERIE DE FORMATION EN ENTREPRISE ET
Plus en détail"TSPM" «TENSTEP PROJECT MANAGER» ( * ) ACADEMIE TENSTEP USA GEORGIA FORMATEUR : Pr. Rodolfo CASABONNE D.G TENSTEP FRANCE
& ORGANISENT DU 29 NOVEMBRE AU 3 DECEMBRE 2010 UNE FORMATION EN GESTION DE PROJET ET UNE CERTIFICATION INTERNATIONALE : "TSPM" «TENSTEP PROJECT MANAGER» ( * ) ACADEMIE TENSTEP USA GEORGIA FORMATEUR : Pr.
Plus en détailService de mobilité interbancaire - Règlement
versin 1.0-28/10/2009 Service de mbilité interbancaire - Règlement Ce règlement cnstitue le cadre général dans lequel les banques participantes ffrent en Belgique au cnsmmateur un service de mbilité interbancaire
Plus en détailExpertises juridiques et entreprises dans la Région Nord - Pas de Calais : quels besoins? Quelles réponses? Quelle adéquation?
Expertises juridiques et entreprises dans la Régin Nrd - Pas de Calais : quels besins? Quelles répnses? Quelle adéquatin? EDHEC Survey Etude réalisée par Sarah CUNY, Charltte GARD, Mandana LATIFI, Camille
Plus en détailCYBERLEARN COURS MOODLE. SUPPORT DE TRAVAIL Pour professeur-es et assistant-es d'enseignement
CENTRE e-learning HES-SO CYBERLEARN COURS MOODLE SUPPORT DE TRAVAIL Pur prfesseur-es et assistant-es d'enseignement Sndages et tests : rendez vs curs Mdle interactifs! HES-SO 2010 Team Cyberlearn Table
Plus en détailL'avenir de l'internet : vers une nouvelle ère?
L'avenir de l'internet : vers une nuvelle ère? Opprtuni6es and challenges f the future Internet The future f Web Mbile Alex Crenthin, Chair ISOC Senegal Chapter W3C, Senegal Bureau Explsin du Téléphne
Plus en détailApproche générale de l OCRCVM pour l évaluation des risques de crédit liés aux contreparties
Avis sur les règles Appel à cmmentaires Règles des curtiers membres Persnne-ressurce : Richard J. Crner Vice-président à la plitique de réglementatin des membres 416 943-6908 rcrner@iirc.ca Destinataires
Plus en détailDossier Spécial. Les 5 étapes pour vendre ACT! Apprendre à détecter un besoin en Gestion de Contacts
Dssier Spécial Les 5 étapes pur vendre ACT! Apprendre à détecter un besin en Gestin de Cntacts Ce dssier à pur bjectif de vus aider à cmmercialiser ACT! auprès de vs clients et prspects. Nus allns vus
Plus en détailLe dispositif de qualification OPQIBI pour les audits énergétiques (réglementaires)
Le dispsitif de qualificatin OPQIBI pur les audits énergétiques (réglementaires) (01/12/14) 1. Rappel du cntexte réglementaire Depuis le 1 er juillet 2014, cnfrmément à la Li n 2013-619 du 16 juillet 2013
Plus en détailLes intentions 2008 des PME françaises sur le CRM
EXECUTIVE BRIEF IDC France : 124, Bureaux de la Clline, 92213 Saint-Clud Cedex. Téléphne : 33.1.55.39.61.00 Fax : 33.1.55.39.61.01 Les intentins 2008 des PME françaises sur le CRM En partenariat avec Janvier
Plus en détailFIN-INTER-04 LA GESTION DES RISQUES INTERNATIONAUX
FIN-INTER-04 LA GESTION DES RISQUES INTERNATIONAUX Public cncerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 6 à 8 heures. Objectifs : Pré requis : Mdalités : Identifier les utils permettant de gérer
Plus en détailA toutes les Directrices et à tous les Directeurs des établissements scolaires de l enseignement secondaire et secondaire technique
SERVICE INFORMATIQUE Luxemburg, le 20 ctbre 2010 Référence: SI/DW/101020 A tutes les Directrices et à tus les Directeurs des établissements sclaires de l enseignement secndaire et secndaire technique Cncerne:
Plus en détailINITIATION À LA TENUE DE LIVRE
INITIATION À LA TENUE DE LIVRE POURQUOI TENIR DES REGISTRES COMPTABLES? Une bnne tenue des livres vus renseigne sur la situatin financière passée et actuelle de vtre entreprise. Une bnne tenue des livres
Plus en détailCommuniqué de lancement : Sage 100 Scanfact Version V15.50
Cmmuniqué de lancement : Sage 100 Scanfact Versin V15.50 Smmaire 1. Cntexte marché P2 2. Evlutin du mde de fnctinnement des entreprises P2 3. Principe & fnctins P3 4. Bénéfices P6 5. Date de dispnibilité
Plus en détailITIL V3. Les principes de la conception des services
ITIL V3 Les principes de la cnceptin des services Créatin : janvier 2008 Mise à jur : janvier 2010 A prps A prps du dcument Ce dcument de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé en se basant
Plus en détailGUIDE pour la CONDUITE D ENTRETIEN
GUIDE pur la CONDUITE D ENTRETIEN - 1 - 1. La situatin d entretien L entretien s éligne des échanges spntanés que l n rencntre qutidiennement en situatin de travail. Une situatin finalisée à durée limitée
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATION «EXPERTS COMPTABLES ET AVOCATS»
CATALOGUE DE FORMATION «EXPERTS COMPTABLES ET AVOCATS» APS Frmatin 15 Rue de Ngent 51100 REIMS Tel : 03.26.82.84.84 / Fax : 03.26.82.58.23 www.apscnsult.fr CONTEXTE Dans l Entreprise, le rôle de l Expert-Cmptable
Plus en détailOBTENEZ LES SERVICES DONT VOUS AVEZ BESOIN OÙ QUE VOUS SOYEZ
OBTENEZ LES SERVICES DONT VOUS AVEZ BESOIN OÙ QUE VOUS SOYEZ Grâce à la directive «services», les cnsmmateurs purrnt accéder plus facilement à une gamme de services plus large et de meilleure qualité à
Plus en détailÉCONOMIE SOCIALE ET POLITIQUES PUBLIQUES : LE CAS DU QUÉBEC
ÉCONOMIE SOCIALE ET POLITIQUES PUBLIQUES : LE CAS DU QUÉBEC Marguerite Mendell, Université Cncrdia Nancy Neamtan, Chantier de l écnmie sciale Intrductin Au Québec, au curs de la dernière décennie, le muvement
Plus en détailCertificat. Financement du Négoce International. Orientation "matières premières"
Certificat Financement du Négce Internatinal Orientatin "matières premières" Certificat Financement du Négce Internatinal (CFNI) Orientatin Matières premières Enjeu et cntexte : Avec une part de marché
Plus en détailProjet «Pour une Europe sociale, apprenons la MOC»
Prjet «Pur une Eurpe sciale, apprenns la MOC» Synthèse des échanges du cllectif cityen Plusieurs réunins nt eu lieu, entre juillet 2009 et juin 2010 en régin Nrd Pas de Calais, autur du prjet «Pur une
Plus en détailCatalogue de formation des meilleures pratiques de la gestion des services informatiques
SPÉCIALISTE DE LA PRODUCTION INFORMATIQUE CONSULTING FORMATION SOFTWARE INFOGÉRANCE ITIL au cœur de ns méthdes Frt de sn expertise de la prductin et de la gestin des services infrmatiques depuis plus de
Plus en détaila) Financement par des tiers : emprunts, crédits bancaires, leasing, crédit spontané (lors d un achat à crédit) ;
Chapitre 3 : Analyse de la trésrerie 1 Intrductin La gestin de la trésrerie est indispensable à tute entreprise puisqu elle lui permet d assurer sa slvabilité. Le rôle du gestinnaire de trésrerie demande
Plus en détailObligations des employeurs par seuils d effectifs de l entreprise. Toutes entreprises confondues
Obligatins des emplyeurs par seuils d effectifs de l entreprise Tutes entreprises cnfndues Affichages bligatires Déclaratin et cmmunicatin à caractère péridique : Déclaratins et cmmunicatins à caractère
Plus en détailRésumé du module 6 : Coût et structure du capital
Résumé du mdule 6 : Cût et structure du capital Ce mdule explique tut d abrd cmment une sciété établit sn cût du capital. Vus apprenez cmment calculer la pndératin des cmpsantes et les cûts du capital
Plus en détailFOCUS: LA PARTICIPATION A LA PERMANENCE DES SOINS EST- ELLE TOUJOURS VOLONTAIRE?
FOCUS: LA PARTICIPATION A LA PERMANENCE DES SOINS EST- ELLE TOUJOURS VOLONTAIRE? Plusieurs d entre vus se snt plaints du fait que, malgré le fait qu ils sient nn vlntaires pur participer à la permanence
Plus en détailColloque 07-05-2015 Rapport de l'atelier 1
Cllque 07-05-2015 Rapprt de l'atelier 1 P.1 MON PLAN D'URGENCE COMMUNAL: À QUEL NIVEAU EN EST-IL ET COMMENT CONCRÈTEMENT LE FAIRE AVANCER? QUESTION 1: COMMENT ÉTABLIR UN ÉTAT DES LIEUX DE MON PLAN D URGENCE
Plus en détailService de mobilité interbancaire - Règlement
versin 3-1/7/2011 Service de mbilité interbancaire - Règlement Ce règlement cnstitue le cadre général dans lequel les banques participantes ffrent en Belgique au cnsmmateur un service de mbilité interbancaire
Plus en détailFOCUS : LES SYSTÈMES D INFORMATION
Une autre apprche pur un enjeu stratégique Les systèmes d infrmatin, qui innervent l entreprise et qui impactent de manière sensible sn fnctinnement, cnstituent encre suvent un dmaine «réservé aux experts»,
Plus en détailOO : Développer le secteur de la transformation alimentaire durable
Enjeux OO : Dévelpper le secteur de la transfrmatin alimentaire Envirnnementaux - Prpser des aliments s transfrmés aux cnsmmateurs : augmenter l ffre pur diminuer l impact envirnnemental de la cnsmmatin
Plus en détailGUIDE INSTALLATION IAS
Guide d installatin IAS 1 IMPACT TECHNOLOGIES se réserve le drit de mdifier à tut mment le cntenu de ce dcument. Bien que l exactitude des renseignements qu il cntient sit cntrôlée avec sin, IMPACT TECHNOLOGIES
Plus en détailDemande d Information : Solution de messagerie et outils collaboratifs pour l État
La Directin Interministérielle des Systèmes d Infrmatin et de Cmmunicatin en cllabratin avec le Service des Achats de l État Demande d Infrmatin : Slutin de messagerie et utils cllabratifs pur l État 1
Plus en détailCORRIGE DES MISSIONS
SCÉNARIO 1 1 CORRIGE DES MISSIONS MISSION 1 Il existe de nmbreux furnisseurs de tablettes tactiles référencés sur le net. Il faut réduire sa recherche sur Lyn et sa régin et privilégier des furnisseurs
Plus en détailTitre II / Chapitre 1I : Faciliter l accès au soins de premier recours
Titre II / Chapitre 1I : Faciliter l accès au sins de premier recurs Article 18 : Généralisatin du tiers-payant Cmmuniqué du Ministère Purqui le Guvernement prend-il cette mesure? De nmbreux Français renncent
Plus en détailDévelopper les PME & ETI françaises grâce au Numérique Syntec informatique s engage
Nvembre 2009 Etats Généraux de l Industrie Dévelpper les PME & ETI françaises grâce au Numérique Syntec infrmatique s engage Les Technlgies de l Infrmatin et de la Cmmunicatin (TIC) et l Ecnmie Numérique
Plus en détailProjet de renouvellement de l infrastructure informatique de la Mairie de Châtel-Guyon. Cahier des charges
Prjet de renuvellement de l infrastructure infrmatique de la Mairie de Châtel-Guyn Cahier des charges SOMMAIRE Chapitre I : Présentatin du prjet 02 Chapitre II : Infrastructure existante 03 Chapitre III
Plus en détailChangement de régime fiscal des Mutuelles et des IP : remarques d ordre actuariel
Changement de régime fiscal des Mutuelles et des IP : remarques d rdre actuariel Jurnées d études du SACEI et de l IA Deauville, jeudi 20 septembre 2012 Nrbert Gautrn ngautrn@galea-asscies.eu Smmaire 1.
Plus en détailGUIDE DU PROGRAMME DE VÉRIFICATION DE LA CONFORMITÉ ET DE L UTILISATION DES DONNÉES DU FICHIER CENTRAL DES SINISTRES AUTOMOBILES
GUIDE DU PROGRAMME DE VÉRIFICATION DE LA CONFORMITÉ ET DE L UTILISATION DES DONNÉES DU FICHIER CENTRAL DES SINISTRES AUTOMOBILES Nvembre 2009 Table des matières Intrductin...1 1. Règles de cnfrmité...3
Plus en détail- culture - tourisme - sport - actions sociales
NOTICE de demande de subventin - culture - turisme - sprt - actins sciales Le dssier de demande de subventin a été créé dans le but d harmniser les subventins accrdées par la COMPA (Cmmunauté de Cmmunes
Plus en détailDocument 10. Leadership du 21e siècle dans le Scoutisme
Dcument 10 Leadership du 21e siècle dans le Scutisme Table des matières LEADERSHIP DU 21 e SIECLE DANS LE SCOUTISME 1 Résumé des activités du triennat 1 Dcument de réflexin (descriptin cmplète en page
Plus en détailGuide d aide à la rédaction d un essai
Guide d aide à la rédactin d un essai Un essai peut avir plusieurs bjectifs, mais la structure de base reste la même quel qu en sit le sujet. Vus puvez l écrire afin de discuter d un pint de vue particulier
Plus en détailSommaire RESUME... 3 SYNTHESE... 4 INTRODUCTION... 7 1. LA PROBLEMATIQUE ET LES FINALITES DU DOCUMENT... 9
2013 Infirmière clinicienne spécialisée : éléments de cadrage pur les missins, la frmatin et l empli [Tapez le cntenu encadré. Un encadré est un supplément autnme dans le dcument principal. Il est suvent
Plus en détail- Le service aux tables. - Le service rapide & commande pour emporter. - Le service à l auto. - La livraison. o Voir le feuillet Livraison.
Pint De Vente Lgiciel de gestin Les Lgiciels Velce, Vtre gestinnaire La versatilité, la simplicité et la rapidité de ntre pint de vente, ne fnt pas qu amélirer vtre service à la clientèle, elles permettent
Plus en détailGroupe ERAMET. MODIFICATION CGT - Rajouter avenant 1 et 2 Paris le 18 octobre 2012. Préambule. 1. Salariés bénéficiaires
Grupe ERAMET Accrd Cmpte Epargne Temps Grupe MODIFICATION CGT - Rajuter avenant 1 et 2 Paris le 18 ctbre 2012 Préambule La Directin du Grupe ERAMET et les Organisatins Syndicales nt suhaité cmpléter les
Plus en détailDons des entreprises. Objet. Forme. Conditions
Dns des entreprises Vus êtes une entreprise, relevant de l IS (impôt sur les sciétés) u de l IR (impôt sur le revenu)? Vus puvez apprter un sutien matériel à une assciatin u une fndatin à travers des pératins
Plus en détailPRIMONIAL SÉRÉNIPIERRE CONTRAT D ASSURANCE VIE
PRIMONIAL SÉRÉNIPIERRE CONTRAT D ASSURANCE VIE AVEC LE FONDS SÉCURITÉ PIERRE EURO : >> un investissement en immbilier avec une garantie permanente en capital, assrtie d une perspective de rendement particulièrement
Plus en détailCOMPTE RENDU DE LA COMMISSION COMMUNICATION
COMPTE RENDU DE LA COMMISSION COMMUNICATION La cmmissin s est bien tenue le 3 mars 2010 à la brasserie Fl située dans la Gare de l Est. La cmmissin a cmmencé avec 10 minutes d avance, tus les membres de
Plus en détailRéforme de la politique de la ville «quartiers, engageons le changement»
Réfrme de la plitique de la ville «quartiers, engagens le changement» Prpsitins pur une plitique glbale et ambitieuse de slidarité territriale - Janvier 2013 - Page 1 Analyse cntextuelle C est dans les
Plus en détailEnquête Sectorielle 2010 ANALYSE DU PRET INDIVIDUEL ET DE L ENDETTEMENT CROISE
Enquête Sectrielle 2010 ANALYSE DU PRET INDIVIDUEL ET DE L ENDETTEMENT CROISE Janvier 2011 SOMMAIRE SYNTHESE... 3 METHODOLOGIE... 4 A. SITUATION DU SECTEUR DE LA MICROFINANCE A L INTERNATIONAL... 5 B.
Plus en détailVille de Pierrefitte-sur-Seine Centre Technique Municipal
Ville de Pierrefitte-sur-Seine Centre Technique Municipal MARCHE de Service REGLEMENT PARTICULIER DE LA CONSULTATION R. P. C. n 074 B 037/05 Mde de cnsultatin : marché passé en la frme d une prcédure adaptée
Plus en détail«NAVIGUER SUR INTERNET v 2» Support de formation tutoré «Réponses aux remarques les plus souvent posées»
Avec l expérimentatin de NSIv2, nus avns reçu beaucup de remarques cncernant le dcument initial. Beaucup nt été prises en cmpte et intégrées. Pur les autres remarques, nus avns pris le parti d en faire
Plus en détailPROTECTION DES VARIÉTÉS VÉGÉTALES EN ARGENTINE
PROTECTION DES VARIÉTÉS VÉGÉTALES EN ARGENTINE QUESTIONS POSÉES SUR CETTE FICHE D INFORMATION Qu est-ce que le Drit d Obtenteur en Argentine? Le Drit d Obtenteur : tut ce que vus devez savir Quelle est
Plus en détailAPPEL A PROJETS. «Soutien aux structures d aide à la maturation de projets innovants en vue de la création d entreprises»
APPEL A PROJETS «Sutien aux structures d aide à la maturatin de prjets innvants en vue de la créatin d entreprises» Date d uverture : 7 mars 2014 Date limite de dépôt : 12 mai 2014 16h00 Validatin des
Plus en détailArchivage et valeur probatoire. Livre blanc
Archivage et valeur prbatire Livre blanc Les nms, lieux u événements cités dans cette publicatin ne visent aucune persnne, assemblée u assciatin existante u ayant existé. Tute similitude u ressemblance
Plus en détailLes prix de l électricité en France : évolutions passées et perspectives
Les prix de l électricité en France : évlutins passées et perspectives A l heure ù la Cmmissin Eurpéenne vient de publier un rapprt cmplet sur les prix de l énergie en Eurpe, présentant leur évlutin sur
Plus en détailPROPOSITION DE CREATION DE SITE INTERNET
PROPOSITION DE CREATION DE SITE INTERNET OBJET : La fédératin départementale Sarthe Nature Envirnnement (SNE) suhaite dévelpper un site Internet. Celui-ci ayant pur but de diffuser du cntenu rganisé. Ce
Plus en détailLocallife Leader de l édition d annuaires locaux en ligne, Présent en France depuis octobre 2008
Paris, Nvembre 2008 Lcallife Leader de l éditin d annuaires lcaux en ligne, Présent en France depuis ctbre 2008 Dssier de Presse Lcallife en bref La recherche d infrmatins lcales et le référencement naturel
Plus en détailDOSSIER DE CANDIDATURE. Programme Executive MBA
Pht d identité NOM : Prénm : DOSSIER DE CANDIDATURE Prgramme Executive MBA Nta Bene : vus devez remplir signeusement ce dssier (le jury s appuiera dessus lrs de vtre entretien ral) et y jindre les pièces
Plus en détailÉTAPES CLÉS DE LA RÉPONSE AUX VIOLATIONS DU RESPECT DE LA
AVIS DE PRATIQUE DE L OMBUDSMAN DU MANITOBA Les avis de pratique snt préparés par l Ombudsman du Manitba afin d aider les persnnes qui utilisent la législatin. Leur bjet en est un de cnseil seulement et
Plus en détail