La responsabilite des professions comptables*
|
|
- Fernande Pépin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La responsabilite des professions comptables* Catherine ME LOTTE Avocate au barreau de Bruxelles (*) Ce livre est une compilation de trois volumes de l ouvrage de re fe rence publie par Kluwer: Responsabilite s Traite the orique et pratique. III
2 Editeur responsable: Hans Suijkerbuijk # 2008 Wolters Kluwer Belgium S.A. Waterloo Office Park Dre` ve Richelle 161 L B-1410 Waterloo Te l.: (appel gratuit) contact@kluwer.be Hormis les exceptions expresse ment fixe es par la loi, aucun extrait de cette publication ne peut eˆ tre reproduit, introduit dans un fichier de donne es automatise, ni diffuse, sous quelque forme que ce soit, sans l autorisation expresse, pre alable et écrite de l e diteur. Les auteurs, la re daction et l e diteur veillent a` la fiabilite des informations publie es, lesquelles ne pourraient toutefois engager leur responsabilite. D 2008/8868/216 ISBN BP/RESPCOM-BI8001 IV
3 Table des matie` res LA RESPONSABILITE DES PROFESSIONS COMPTABLES INTRODUCTION GÉNÉRALE 1 PREMIÈRE PARTIE. LA RESPONSABILITE DES RÉVISEURS D ENTREPRISES ET DES COMMISSAIRES RÉVISEURS 3 INTRODUCTION 3 CHAPITRE 1. GÉNÉRALITÉS 5 SECTION 1. LES MISSIONS DU RE VISEUR D ENTREPRISES 5 Sous-section 1. Principes 5 1. LE DROIT BELGE 5 2. LE DROIT INTERNATIONAL 6 Sous-section 2. Le controˆle des comptes annuels 7 1. LE COMMISSAIRE 7 2. MISSION 7 Sous-section 3. Le controˆle des comptes consolidés 8 1. COMMISSAIRE OU RÉVISEUR D ENTREPRISES 8 2. MISSIONS 9 Sous-section 4. Les autres missions reprises dans le Code des socie te s 10 Sous-section 5. Missions non e noncées par la loi 10 Sous-section 6. Conclusion 10 SECTION 2. INDE PENDANCE DU RE VISEUR D ENTREPRISES 11 Sous-section 1. Principes 11 Sous-section 2. Inde pendance: influence sur sa responsabilité vis-a` -vis des tiers 12 Sous-section 3. Inde pendance et information 12 Sous-section 4. Inde pendance et contrat 13 Sous-section 5. La loi du 2 août V
4 SECTION 3. DE ONTOLOGIE ET NORMES DE RE VISION 13 CHAPITRE 2. RESPONSABILITÉ CONTRACTUELLE ET/OU EXTRA CONTRACTUELLE 15 SECTION 1. PRINCIPES 15 SECTION 2. RESPONSABILITE CONTRACTUELLE 16 Sous-section 1. Contrat d entreprise ou contrat de mandat POSITION DE LA DOCTRINE INTE RÊT DE LA DISTINCTION ET CONCLUSION 17 Sous-section 2. Obligation de moyens et obligation de résultat OBLIGATION DE MOYENS 17 A. Principes 17 B. Illustrations OBLIGATION DE RÉSULTAT 19 Sous-section 3. Les personnes habilite es à mettre en cause la responsabilité contractuelle des réviseurs et commissaires 20 SECTION 3. RESPONSABILITE VIS-A`-VIS DES TIERS 20 Sous-section 1. Principes LA RELATION ENTRE LE RÉVISEUR D ENTREPRISES ET LE TIERS: PRINCIPES GÉNÉRAUX APPRÉCIATION DE LA FAUTE DU RÉVISEUR D ENTREPRISES EXONÉRATION DE RESPONSABILITE 22 Sous-section 2. Le controˆle des comptes annuels MISE EN CAUSE DE LA RESPONSABILITÉ DU COMMISSAIRE ARTICLE 140 DU CODE DES SOCIÉTE S 23 Sous-section 3. Le controˆle des comptes consolidés 23 Sous-section 4. Les autres missions dévolues aux réviseurs d entreprises 24 Sous-section 5. Missions purement contractuelles CAS DE FIGURE PRE VENTION 25 VI
5 3. ILLUSTRATION JURISPRUDENTIELLE 25 SECTION 4. RESPONSABILITE AQUILIENNE AUTRE QUE CELLE INVOQUE E PAR LES TIERS 26 Sous-section 1. Principes 26 Sous-section 2. Le cumul des responsabilités 26 Sous-section 3. La phase pre contractuelle DEVOIR D INFORMATION DEVOIR DE COMPE TENCE 28 Sous-section 4. La faute pe nale FAUTE PE NALE ARTICLE 171 DU CODE DES SOCIÉTE S 29 SECTION 5. LES NORMES PROFESSIONNELLES ET RE`GLES DE ONTOLOGIQUES 29 Sous-section 1. Ge néralite s 29 Sous-section 2. Les normes professionnelles LES NORMES PROFESSIONNELLES RENDUES OBLIGATOIRES PAR LA LOI LES NORMES PROFESSIONNELLES NON OBLIGATOIRES LÉGALEMENT LES NORMES DE RÉVISION 31 Sous-section 3. Les normes déontologiques 32 Sous-section 4. Institut des réviseurs d entreprises et proce dure judiciaire Sous-section 5. La responsabilité de l Institut des re viseurs d entreprises SECTION 6. CONCLUSION 33 CHAPITRE 3. VIOLATION DU CODE DES SOCIE TÉS ET DES STATUTS: ARTICLE 140 DU CODE DES SOCIÉTE S 35 SECTION 1. PRINCIPES 35 SECTION 2. LES CAS D APPLICATION DE L ARTICLE Sous-section 1. Quelques réflexions sur l article VII
6 Sous-section 2. Les professionnels soumis à l article Sous-section 3. Les missions vise es par l article SECTION 3. UNE RESPONSABILITE DE ROGATOIRE AU DROIT COMMUN 37 Sous-section 1. Article 140, 1 37 Sous-section 2. Article 140, PRINCIPES PRE SOMPTION DE RESPONSABILITÉ UNE RESPONSABILITE SOLIDAIRE 38 SECTION 4. RENVERSEMENT DE LA CHARGE DE LA PREUVE 39 Sous-section 1. Charge de la preuve et conséquence 39 Sous-section 2. La dénonciation des infractions au Conseil d administration et a` l Assemblée générale Sous-section 3. La preuve d avoir accompli les diligences normales de sa fonction SECTION 5. ARTICLE 140, 2: PLUSIEURS FAUTES DISTINCTES 41 Sous-section 1. Principes 41 Sous-section 2. Fautes sur la base de l article 140: Illustrations jurisprudentielles 41 SECTION 6. CONCLUSION 42 CHAPITRE 4. OBLIGATIONS D INFORMATION, DE DIVULGATION, DE DÉNONCIATION 43 SECTION 1. PRINCIPES 43 SECTION 2. OBLIGATION D INFORMATION LORS DU CONTROˆ LE DES COMPTES ANNUELS 43 Sous-section 1. Dispositions le gales 43 Sous-section 2. La réve lation des infractions au Code des socie te s et aux Statuts 45 1.GÉNÉRALITE S OBLIGATION DE RÉVE LATION AU CONSEIL D ADMINISTRATION 46 A. Obligation de re vélation en ge néral 46 VIII
7 B. La forme que doit revêtir l information 46 3.RE VE LATION DES INFRACTIONS A` L ASSEMBLE E GÉNÉRALE ET AUX TIERS 47 A. Obligation de re vélation a` l assemblée générale 47 B. La forme de la révélation de l infraction a` l assemblée générale 48 C. Révélation aux tiers ILLUSTRATIONS DE LA JURISPRUDENCE 49 A. Obligation de divulgation des fraudes: articles 143 et B. Responsabilite à l e gard des tiers 51 Sous-section 3. La détection d infractions étrangères au Code des sociétés et des statuts PRINCIPES 52 2.RE VE LATION DES INFRACTIONS ÉTRANGE` RES AU CODE DES SOCIE TÉS ET AUX STATUTS AU CONSEIL D ADMINISTRATION 52 3.RE VE LATION DES INFRACTIONS ÉTRANGE` RES AU CODE DES SOCIE TÉS ET AUX STATUTS A` L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ET AUX TIERS 53 A. Révélation a` l assemblée ge nérale 53 B. Révélation aux tiers 54 Sous-section 4. Le droit de convoquer l assemblée géne rale 55 Sous-section 5. L information au Président du tribunal de commerce 55 SECTION 3. OBLIGATION D INFORMATION DU RE VISEUR D ENTREPRISES OU DU COMMISSAIRE EN CE QUI CONCERNE LES MISSIONS AUTRES QUE LE CONTROˆ LE DES COMPTES ANNUELS 56 Sous-section 1. Obligation d information en ce qui concerne les autres missions légales 56 1.GÉNÉRALITE S DES INFORMATIONS A` DONNER AUX TRAVAILLEURS DES PROBLE` MES DE GESTION 57 Sous-section 2. Le controˆle des comptes consolidés PRINCIPES OBLIGATION DE TRAVAILLER AVEC D AUTRES RE VISEURS D ENTREPRISES 58 IX
8 Sous-section 3. Certains secteurs particuliers PRINCIPES LES E TABLISSEMENTS DE CRE DIT LES ENTREPRISES D ASSURANCES LES ENTREPRISES D INVESTISSEMENTS 61 Sous-section 4. Le blanchiment LA LOI DU 11 JANVIER LES PERSONNES VISÉES PAR L OBLIGATION DE RE VE LATION DANS L EXERCICE DE LEUR PROFESSION 61 3.LA RÉVÉLATION DU BLANCHIMENT AUX TIERS? 62 SECTION 4. OBLIGATION D INFORMATION ET SECRET PROFESSIONNEL 62 Sous-section 1. Les de rogations au secret professionnel: le devoir d information LE SECRET PROFESSIONNEL LE DEVOIR D INFORMATION 63 Sous-section 2. Obligation le gale de parler ARTICLES 140 ET SUIVANTS DU CODE DES SOCIE TE S ARTICLE 171 DU CODE DES SOCIÉTE S LES ENTREPRISES DE CRE DITS, D ASSURANCES ET D INVESTISSEMENTS DES AUTRES OBLIGATIONS LE GALES DE PARLER CONCLUSION 65 Sous-section 3. De couvertes d infractions étrangères au Code des socie te s PRINCIPES 65 2.LADÉMISSION 66 Sous-section 4. Les questions de l assemble e ge ne rale QUESTIONS POSE ES A` L ASSEMBLÉE GÉNE RALE QUESTIONS POSE ES EN DEHORS DE L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 67 X
9 Sous-section 5. Cas particulier 67 Sous-section 6. Devoir d information entre réviseurs d entreprises et secret professionnel 68 SECTION 5. CONCLUSION 68 CHAPITRE 6. LA DÉTECTION DES FRAUDES ET IRRÉGULARITÉS 70 SECTION 1. PRINCIPES: LE ROˆLE DU RE VISEUR DANS LA DE TECTION DES FRAUDES ET IRRE GULARITE S 70 Sous-section 1. De finitions 70 Sous-section 2. Principes relatifs a` la de tection des fraudes 70 Sous-section 3. Les attentes du public 71 SECTION 2. LE CONSEIL D ADMINISTRATION DANS LA DE TECTION ET LA PRE VENTION DES FRAUDES 72 Sous-section 1. Le rôle du Conseil d administration: le controˆle interne 72 Sous-section 2. Le roˆle du Conseil d administration lors de la re ve lation de fraude par le réviseur d entreprises ou le commissaire 73 SECTION 3. LE ROˆLE DU RE VISEUR D ENTREPRISES DANS LA DE TECTION DES FRAUDES 73 Sous-section 1. Le controˆle interne 73 Sous-section 2. La détection des fraudes LES OBLIGATIONS DU RÉVISEUR D ENTREPRISES 74 2.LA RÉVE LATION DES FRAUDES ET IRRÉGULARITÉS 75 Sous-section 3. Illustrations de jurisprudence LES FRAUDES LES PLUS SIGNIFICATIVES L ABSENCE DE CONTRÔLE 75 SECTION 4. CONCLUSION 76 CHAPITRE 7. AUTRES CAS DE RESPONSABILITÉ DES RE VISEURS D ENTREPRISES 77 SECTION 1. RESPONSABILITE LORS DU CONTROˆ LE DES COMPTES CONSOLIDE S 77 Sous-section 1. Responsabilite de droit commun 77 XI
10 Sous-section 2. Responsabilite et rapport des confre` res 77 SECTION 2. TRANSFORMATION D UNE SOCIE TE 77 Sous-section 1. Formalite s a` respecter 77 Sous-section 2. Illustration 78 SECTION 3. AUTRES HYPOTHE`SES 79 Sous-section 1. Controˆle de la situation financie` re 79 Sous-section 2. Les apports en nature PRINCIPES ILLUSTRATIONS JURISPRUDENTIELLES 80 Sous-section 3. Perte de documents 81 Sous-section 4. Entreprise en difficulté 81 Sous-section 5. Augmentation du capital 82 Sous-section 6. La démission 82 CHAPITRE 8. LIEN DE CAUSALITÉ ET DOMMAGE 84 SECTION 1. INTRODUCTION 84 SECTION 2. LIEN DE CAUSALITE 84 Sous-section 1. Considérations ge nérales 84 Sous-section 2. Illustrations jurisprudentielles ABSENCE DE LIEN DE CAUSALITE LIEN DE CAUSALITÉ DÉMONTRÉ PAR LES TIERS 85 SECTION 3. LE DOMMAGE 85 Sous-section 1. Considérations ge nérales 85 Sous-section 2. Illustrations jurisprudentielles DOMMAGE ÉVALUÉ AVEC PRÉCISION DOMMAGE CORRESPONDANT AUX HONORAIRES DU RÉVISEUR D ENTREPRISES 87 CHAPITRE 9. EXONÉRATION DE RESPONSABILITE 88 SECTION 1. LES CLAUSES DE LIMITATION DE RESPONSABILITE 88 XII
11 SECTION 2. LA DE CHARGE 88 SECTION 3. LA PRESCRIPTION 90 SECTION 4. LA FAUTE D UNE PERSONNE AUTRE QUE LE RE VISEUR 91 Sous-section 1. Principes 91 Sous-section 2. Faute d un pre pose ou d un tiers FAUTE D UN PRE POSÉ: PRINCIPES ILLUSTRATIONS JURISPRUDENTIELLES 92 Sous-section 3. Faute des administrateurs ou des dirigeants PRINCIPES L ARTICLE 140 DU CODE DES SOCIE TÉS 93 Sous-section 4. Faute d un confre` re CAS DE FIGURE LE CONTROˆ LE DES COMPTES CONSOLIDÉS 94 SECTION 5. DE MISSION 94 BIBLIOGRAPHIE. RÉVISEURS D ENTREPRISES 96 DEUXIE` ME PARTIE. LA RESPONSABILITÉ DES EXPERTS- COMPTABLES ET COMPTABLES 101 INTRODUCTION 101 CHAPITRE 1. GÉNÉRALITÉS 102 SECTION 1. LE COMPTABLE 102 Sous-section 1. La profession de comptable 102 Sous-section 2. L Institut des professionnels des experts-comptables et des conseils fiscaux 102 Sous-section 3. Secret professionnel 102 SECTION 2. L EXPERT-COMPTABLE 103 Sous-section 1. La profession d expert-comptable 103 Sous-section 2. Inde pendance 103 XIII
12 Sous-section 3. L Institut professionnel des comptables et des conseils fiscaux 104 Sous-section 4. Le secret professionnel 104 CHAPITRE 2. RESPONSABILITÉ CONTRACTUELLE ET/OU AQUILIENNE 105 SECTION 1. PRINCIPES 105 SECTION 2. LE COMPTABLE 106 Sous-section 1. La qualification du contrat 106 Sous-section 2. Obligation de moyens et obligation de résultat LES OBLIGATIONS QUI PÈSENT SUR LE COMPTABLE 106 A. Obligation de moyens 106 B. Obligation de re sultat 107 C. Inte rêt de la distinction et synthe` se ILLUSTRATIONS JURISPRUDENTIELLES. OBLIGATIONS DE MOYENS ILLUSTRATIONS JURISPRUDENTIELLES. OBLIGATION DE RÉSULTAT 108 SECTION 3. L EXPERT-COMPTABLE 110 Sous-section 1. La qualification du contrat 110 Sous-section 2. Obligation de moyens et obligation de résultat PRINCIPES ILLUSTRATIONS JURISPRUDENTIELLES 112 A. Obligations de moyens 112 B. Obligations de re sultat 112 Sous-section 3. Le commissaire- réviseur et l expert-comptable 113 CHAPITRE 3. RESPONSABILITÉ AQUILIENNE 115 SECTION 1. LE COMPTABLE 115 Sous-section 1. La responsabilité vis-à-vis des tiers PRINCIPES ILLUSTRATIONS JURISPRUDENTIELLES 115 Sous-section 2. La responsabilité aquilienne vis-à-vis du client 116 XIV
13 SECTION 2. L EXPERT-COMPTABLE 116 Sous-section 1. Principes LES HYPOTHÈSES ENVISAGÉES L APPRÉCIATION DE LA FAUTE SUR LA BASE DE L ARTICLE 1382 DU CODE CIVIL 117 Sous-section 2. La responsabilité aquilienne dans les missions légales PRINCIPES LADÉCHARGE ILLUSTRATION JURISPRUDENTIELLE 118 Sous-section 3. La responsabilité aquilienne dans les missions purement contractuelles PRINCIPES ILLUSTRATIONS JURISPRUDENTIELLES 118 Sous-section 4. La faute pe nale 120 CHAPITRE 4. OBLIGATION D INFORMATION ET DE CONSEIL 121 SECTION 1. LE COMPTABLE 121 Sous-section 1. Principes 121 Sous-section 2. Quelques de cisions jurisprudentielles DÉPÔT DES DÉCLARATIONS FISCALES LES CONNAISSANCES DU CLIENT 122 SECTION 2. L EXPERT-COMPTABLE 122 SECTION 3. BLANCHIMENT 122 CHAPITRE 5. DOMMAGE ET LIEN DE CAUSALITE 124 SECTION 1. INTRODUCTION 124 SECTION 2. LIEN DE CAUSALITE 124 Sous-section 1. Principes 124 Sous-section 2. Illustrations jurisprudentielles ABSENCE DE LIEN DE CAUSALITE 124 XV
14 2. LE LIEN DE CAUSALITE EST DÉMONTRE 125 SECTION 3. LE DOMMAGE 125 Sous-section 1. Ge néralite s 125 Sous-section 2. Illustrations jurisprudentielles LE NON-PAIEMENT DES HONORAIRES DU PROFESSIONNEL DE LA COMPTABILITE LE DOMMAGE DÉTERMINÉ AVEC PRE CISION LA DÉSIGNATION D UN EXPERT ASTREINTE 126 CHAPITRE 6. EXONÉRATION DE RESPONSABILITE 128 SECTION 1. LES CLAUSES DE LIMITATION DE RESPONSABILITE 128 SECTION 2. L EXPERT-COMPTABLE: LA DE CHARGE 128 SECTION 3. LA PRESCRIPTION 128 SECTION 4. FAUTE D UN TIERS 129 Sous-section 1. Principes 129 Sous-section 2. Faute d un autre professionnel FAUTE DU RÉVISEUR D ENTREPRISES FAUTE DES ADMINISTRATEURS 130 BIBLIOGRAPHIE. EXPERTS-COMPTABLES ET COMPTABLES 131 INDEX 133 XVI
Code social - Sécurité sociale 2012
Code social - Sécurité sociale 2012 Ce Code est à jour au 15 janvier 2012. Editeur responsable: Hans Suijkerbuijk 2012 Wolters Kluwer Belgium SA Waterloo Office Park Drève Richelle 161 L B-1410 Waterloo
Plus en détailStock-options comparaison et questions pratiques
Stock-options comparaison et questions pratiques Christophe Delmarcelle Avocat Bird & Bird Kluwer Waterloo Office Park, Drève Richelle 161 L, B-1410 Waterloo tél. 0800 16 868 fax 0800 17 529 www.kluwer.be
Plus en détailLes professionnels du secteur de l assurance au Luxembourg
Les professionnels du secteur de l assurance au Luxembourg Les apports de la loi du 12 juillet 2013 Sous la direction de Christophe Verdure Aurélien Cheppe Virginie Courteil Vincent Derudder Carine Feipel
Plus en détailResponsabilité de l'expert-comptable
Litec Libraire de la Cnnr He rassation - 27. olace Dauohine - 75001 Paris Anne-Claire Maddoli-Restoux avocat á la Cour d'appel de París Responsabilité de l'expert-comptable Risques judiciaires et préventions
Plus en détailMÉMENTO DE LA CIRCULATION ROUTIÈRE 2012
MÉMENTO DE LA CIRCULATION ROUTIÈRE 2012 H. DE RODE Ancien Maître de conférences à l U.C.L., Chargée d enseignement à l U.C.L.-Mons, Avocat au barreau de Liège F. DEMBOUR Avocat au barreau de Liège, juge
Plus en détailLivre I. Le droit patrimonial luxembourgeois (civil et fiscal)... 7
TABLE DES MATIE` RES Pre sentation des auteurs.... Pre faces... V IX Introduction générale et avertissement.... 1 Livre I. Le droit patrimonial luxembourgeois (civil et fiscal).... 7 Partie I. Le droit
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION...1 NATURE JURIDIQUE ET CONDITIONS DE FORMATION DU CONTRAT DE COURTAGE IMMOBILIER... 5
TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION.......................................1 PARTIE I- NATURE JURIDIQUE ET CONDITIONS DE FORMATION DU CONTRAT DE COURTAGE IMMOBILIER................. 5 CHAPITRE I- NATURE JURIDIQUE
Plus en détailExtension de garantie Protection juridique
REFERENCE : 552 000 / HISCOX (à rappeler dans toute correspondance). Cette garantie, facultative, vous est acquise uniquement si la mention figure dans vos Conditions Particulières et si vous avez acquitté
Plus en détailTRAIT D AMSTERDAM MODIFIANT LE TRAIT SUR L UNION EUROP ENNE, LES TRAIT S INSTITUANT LES COMMUNAUT S EUROP ENNES ET CERTAINS ACTES CONNEXES
TRAIT D AMSTERDAM MODIFIANT LE TRAIT SUR L UNION EUROP ENNE, LES TRAIT S INSTITUANT LES COMMUNAUT S EUROP ENNES ET CERTAINS ACTES CONNEXES AVIS AU LECTEUR La pr sente publication reproduit le texte du
Plus en détailResponsabilité des dirigeants d entreprise en société
Responsabilité des dirigeants d entreprise en société François MOISES, avocat Un des objectifs de la constitution d une société est de mettre son patrimoine privé à l abri des poursuites des créanciers
Plus en détailREGLEMENT COMPLET «JEU BONS PLANS ETUDIANTS EN PARTENARIAT AVEC NRJ Mobile»
REGLEMENT COMPLET «JEU BONS PLANS ETUDIANTS EN PARTENARIAT AVEC NRJ Mobile» ARTICLE 1 : SOCIÉTÉ ORGANISATRICE La société France QUICK SAS, société par actions simplifiée, au capital de 92 225 000, immatriculée
Plus en détailDossier de Candidature Sélection des Agents
Dossier de Candidature Sélection des Agents Conditions Générales Conditions Générales Vous de sirez adhe rer a un important re seau de distribution expe rimente et vous avez un esprit d e quipe, le sens
Plus en détailDirectives sur les relations avec les gouvernements de fait
Directives sur les relations avec les gouvernements de fait Lors de sa 100ième session (septembre 2010), le Conseil d'administration, conformément à l'article 52 des Principes et critères en matière de
Plus en détailLa TVA et les taux réduits dans le secteur de la construction
La TVA et les taux réduits dans le secteur de la construction Tony LAMPARELLI * Conseiller-Inspecteur principal au SPF Finances Professeur à la CBC-Bruxelles Mise à jour au 1 er mai 2012 * Le présent ouvrage
Plus en détailGroupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5
Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Introduction.................................................. 1 Mesurer l efficacité des services informatiques................. 1 La réduction des coûts......................................
Plus en détailCours de Droit Commercial. Anné e 2000-2001 DROIT DES SOCIETES
Cours de Anné e 2000-2001 2 nde PARTIE : 4 Titre 1 : Thé orie Gé né rale des Socié té s 4 Chapitre 1 : Le contrat de socié té 4 Section 1 : Les règles gé né rales de validité du contrat 4 I- Le consentement
Plus en détailLa nouvelle législation relative aux volontaires
O Les dossiers d'asbl Actualités Co3 2007 - Dossier n 1 La nouvelle législation relative aux volontaires Sous la coordination de Michel DAVAGLE Michel DAVAGLE Daniel DUMONT Christian FISCHER Julie HENKINBRANT
Plus en détailLa responsabilité civile des experts comptables. Intervention du 05 Septembre
Intervention du 05 Septembre Expert comptable : une profession à risque Le constat : une recrudescence des mises en cause Les données : Augmentation du nombre : Doublement en 10 ans Augmentation du coût
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES 581. Chapitre I. La cause des femmes 9. Chapitre II. De la Cause au Sujet des femmes : le volcan et le fond 19
TABLE DES MATIÈRES 581 Table des matières Sommaire 5 Avant-propos 7 Chapitre I. La cause des femmes 9 Chapitre II. De la Cause au Sujet des femmes : le volcan et le fond 19 Section I. Eyjafjallajökull!!
Plus en détailConditions d usage du service. «MS Dynamics CRM On Demand» V1.4
Conditions d usage du service «MS Dynamics CRM On Demand» V1.4 I. PREAMBULE La société PRODWARE est spécialisée dans l installation, l'évolution et la maintenance de solutions informatiques. Dans ce cadre,
Plus en détailMarketing Efficiency Cloud : All-in-One, End-to-End
Marketing Resource Management avec Marketing Efficiency Cloud de BrandMaker Davantage de transparence Le marketing repose sur des process. BrandMaker Marketing Efficiency Cloud contrôle ces process et
Plus en détailRAPPORT QUINQUENNAL D APPLICATION DE LA LOI SUR LE COURTAGE IMMOBILIER
RAPPORT QUINQUENNAL D APPLICATION DE LA LOI SUR LE COURTAGE IMMOBILIER Mémoire présenté au Ministre des Finances du Québec Mai 2015 Conseil québécois de l ACCHA L Association Canadienne des Conseillers
Plus en détailCoordonné par Jean-Michel GUÉRIN, avec la collaboration de Marthe GALLOIS. Quatrième édition
Coordonné par Jean-Michel GUÉRIN, avec la collaboration de Marthe GALLOIS LA COPROPRIÉTÉ Quatrième édition Groupe Eyrolles, 1998, 2000, 2002, 2006 De Particulier à Particulier, 1998, 2000, 2002, 2006 ISBN
Plus en détail2011 [GÉNÉRALITÉ SUR LES. DJIMBI TCHITEMBO Ariel STRUCTURES DES SOCIÉTÉS]
2011 [GÉNÉRALITÉ SUR LES DJIMBI TCHITEMBO Ariel STRUCTURES DES SOCIÉTÉS] Généralité sur les structures des sociétés En France, il existe différentes forment qui ont pour but de s adapter à leur environnement
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES Volume I TABLES LOI SUR LA FAILLITE ET L INSOLVABILITÉ (PARTIES I À V) NOTIONS GÉNÉRALES
Volume I Introduction................................................................... iii Remerciements................................................................ v TABLES Table de la jurisprudence........................................................
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION...1 NATURE JURIDIQUE ET CONDITIONS DE FORMATION DU CONTRAT DE COURTAGE IMMOBILIER... 5
TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION.......................................1 PARTIE I- NATURE JURIDIQUE ET CONDITIONS DE FORMATION DU CONTRAT DE COURTAGE IMMOBILIER................. 5 CHAPITRE I- NATURE JURIDIQUE
Plus en détailCONDITIONS GENERALES D'UTILISATION CONDITIONS GENERALES D'UTILISATION DE L'APPLICATION CRYSTAL Z (Android et ios)
CONDITIONS GENERALES D'UTILISATION CONDITIONS GENERALES D'UTILISATION DE L'APPLICATION CRYSTAL Z (Android et ios) L utilisation de l application mobile Crystal Z vaut acceptation sans re serve des pre
Plus en détailLes Estivales Juillet 2009. Alain Maurey
Responsabilité civile il : comment éviter la mise en cause? Les Estivales Juillet 2009 Alain Maurey Sommaire Les fondements de la responsabilité Quelques obligations de l expert-comptable Les grandes caractéristiques
Plus en détailLa responsabilité de l évaluateur
La responsabilité de l évaluateur MARIE-MANUELE SAMION / AVOCATE DIDIER FAURY / CNECJ THIERRY SAINT-BONNET / CNEJFD 1 Plan de l intervention Typologie des missions d évaluation Les fondements de la responsabilité
Plus en détailCharles-Eric CLESSE. Rapport d activités. Année académique 2008-2009. Faculté de Droit
Université Libre de Bruxelles Av. F. D. Roosevelt, 50 CP 137 1050 Bruxelles Charles-Eric CLESSE Rapport d activités Année académique 2008-2009 Faculté de Droit I. ACTIVITE SCIENTIFIQUE a. Liste des publications
Plus en détailRESPONSABILITE ET ASSURANCES
RESPONSABILITE ET ASSURANCES 1 CHAPITRES Pages 1 RESPONSABILITE CIVILE 3 2 RESPONSABILITE PENALE 4 3 DIRIGEANTS D ASSOCIATION ET RESPONSABILITE 4 4 OBLIGATION D INFORMATION DES ASSOCIATIONS SUR LES ASSURANCES
Plus en détailFICHE N 8 - LES ACTIONS EN RECOUVREMENT DES CHARGES DE COPROPRIETE
FICHE N 8 - LES ACTIONS EN RECOUVREMENT DES CHARGES DE COPROPRIETE A QUI INCOMBE LE RECOUVREMENT DES CHARGES? Le rôle du syndic : Le non-paiement des charges par un ou plusieurs copropriétaires oblige
Plus en détailNormes professionnelles des experts-comptables : Et vous, où en êtes-vous?
Normes professionnelles des experts-comptables : Et vous, où en êtes-vous? Intervenantes : Florence Hauducœur Expert-comptable et commissaire aux comptes, Présidente de la commission Déontologie et Etudes
Plus en détailSTATUTS DE LA SECTION DE LANCY DU PARTI SOCIALISTE SUISSE
STATUTS DE LA SECTION DE LANCY DU PARTI SOCIALISTE SUISSE Statuts adoptés par l Assemblée générale de la section de Lancy le 1 er juin 2015 PARTI SOCIALISTE DE LANCY, Route du Grand-Lancy 56, 1212 Grand-Lancy
Plus en détailJura Miniguide Conseils pour mieux utiliser Jura
vite à pied d œuvre fonctionnalités pratiques Jura Zone Video Jurisquare conseils & astuces suggestions de recherche intelligence intégrée formations gratuites personnaliser Jura compléter des modèles
Plus en détail(Enregistré sous le n 20960 à la préfecture de Paris en date du 3 juillet 2012)
Union Nationale pour l Avenir de la podologie Syndicat National des Pédicures-podologues (Enregistré sous le n 20960 à la préfecture de Paris en date du 3 juillet 2012) REGLEMENT INTERIEUR Le Conseil d'administration
Plus en détailITIL. optimal. pour un service informatique. 2 e édition C H R I S T I A N D U M O N T. Préface de Patrick Abad
C H R I S T I A N D U M O N T Préface de Patrick Abad ITIL pour un service informatique optimal 2 e édition Groupe Eyrolles, 2006, 2007, ISBN : 978-2-212-12102-5 Introduction..................................................
Plus en détailL alourdissement récent de la responsabilité des dirigeants
DROIT FISCAL L alourdissement récent de la responsabilité des dirigeants Jean-Marie Cougnon Expert-comptable Conseil fiscal A lire l exposé des motifs de la loi-programme du 20 juillet 2006, la nouvelle
Plus en détailContrat de Prestation De Service
8, Rue des Goncourt - 75011 PARIS Tél: 01 48 07 19 83 - Fax: 01 48 07 00 22 Contrat de Prestation De Service La Société DOMI, au capital de 15245, ayant son siège social au 8, Rue des Goncourt à Paris
Plus en détailErreur médicale au cabinet
Plan Erreur médicale au cabinet Prof. Philippe Ducor Médecine communautaire 13 avril 2011 1. Evolution récente en Suisse dérive à l américaine? 2. Aspects juridiques 3. Aspects psychologiques 4. Apects
Plus en détailNous constatons de nos jours
LA RESPONSABILITE DES DIRIGEANTS DE SOCIETES par Me Jean Brucher Nous constatons de nos jours que l internationalisation et la globalisation des problèmes relatifs à l activité des entreprises ainsi que
Plus en détailCRCC LA RESPONSABILITE DU COMMISSAIRE AUX COMPTES. ,Îi. Conférence 4 DE GRENOBLE. 4 la tre OUVII t
A A CRCC 4 DE GRENOBLE I I) LA RESPONSABILITE DU COMMISSAIRE AUX COMPTES Conférence GRENOBLE mardi 16 février 2010 GAP mercredi 24 février 2010 VALENCE mardi 2 mars 2010 4 la tre OUVII t [ t Benedict OTIL
Plus en détailMAîTRISER SES RISQUES ET RESPONSABILITés
MAîTRISER SES RISQUES ET RESPONSABILITés en travail social La prise en charge des publics vulnérables par les professionnels des établissements ou services sociaux et médico-sociaux est une mission qui
Plus en détailStatuts. Article I Désignation
Statuts Article I Désignation Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1 er Juillet 1901 et le décret du 16 Août 1901, ayant pour titre : Association des
Plus en détailResponsabilité pénale de l association
Responsabilité pénale de l association Infractions limitativement définies : Le code pénal prévoit la responsabilité pénale des personnes morales à raison des infractions réalisées pour leur compte et
Plus en détailDiligences professionnelles du réviseur d entreprises qui agit comme domiciliataire de sociétés INDEX
Diligences professionnelles du réviseur d entreprises qui agit comme domiciliataire de sociétés Cette recommandation professionnelle a été adoptée lors de l'assemblée générale de l'institut des Réviseurs
Plus en détailCONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES
CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES Le prêt de main d œuvre est pratiqué de longue date dans le secteur du Bâtiment. Il consiste, de la part d un entrepreneur,
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES TITRE I L AUTEUR DE L INFRACTION PÉNALE
TABLE DES MATIÈRES PLAN................................................................ 5 LISTE DES PRINCIPALES ABRÉVIATIONS...................................... 7 LES TITULAIRES DE LA CHAIRE DE DROIT
Plus en détailGMS-Santé 2008 La Responsabilité du médecin du travail
1 La responsabilité du médecin du travail Les conséquences juridiques d un statut particulier 2 Intervenante Jocelyne CAYRON Docteur en Droit Maitre de Conférence en Droit Privé Responsable de Master Professionnel
Plus en détailYves Delessert Etre bénévole et responsable
Yves Delessert Etre bénévole et responsable La responsabilité des membres de comité des IPE associatives du fait des activités déployées conformément aux buts de l association FIPEGS 9 juin 2015 Principales
Plus en détailNOTICE D INFORMATION
2015 NOTICE D INFORMATION Chirurgien dentiste Rachat d années d études supérieures et d années civiles validées Informations pratiques Depuis la loi Fillon du 21 aou t 2003, deux nouvelles possibilite
Plus en détailACTUALITÉS ASSURANCES & RISQUES FINANCIERS
Le pôle Assurances du cabinet Lefèvre Pelletier & associés vous souhaite une très bonne année 2009 ainsi qu une agréable lecture de cette troisième Newsletter. Assurances Assurance en général Assurance
Plus en détailREGLEMENT DE STAGE DE COMMISSARIAT AUX COMPTES
REGLEMENT DE STAGE DE COMMISSARIAT AUX COMPTES Version approuvée par le Conseil national du 05 décembre 2013 SOMMAIRE Contenu I. OBJECTIFS DU REGLEMENT DE STAGE DE COMMISSARIAT AUX COMPTES... 6 1. Réglementation...
Plus en détailSECTION 1 re. LISTE DES INFRACTIONS ET PEINES A DATER DU 31 MARS 2006... 3
VATRIPO_VB_8010.book Page IX Thursday, February 19, 2009 3:38 PM Table des matières REMERCIEMENTS... PREFACE... V VII CHAPITRE I er.infractions... 1 SECTION 1 re. LISTE DES INFRACTIONS ET PEINES A DATER
Plus en détailTable des matières. Champ d application 25 Section 1 Portée 25 Section 2 Commercialité 29
Table des matières Sommaire 5 Préface 7 Liste des abréviations 11 Titre introductif 13 Importance de l intermédiation en assurances 13 Le cadre légal 16 Section 1 La situation avant 1995 16 Section 2 La
Plus en détailLOI N 013-2013/AN BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- PORTANT REGLEMENTATION DE LA PROFESSION DE COMMERÇANT AU BURKINA FASO
BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- UNITE-PROGRES-JUSTICE CINQUIEME LEGISLATURE ----------- ASSEMBLEE NATIONALE LOI N 013-2013/AN PORTANT REGLEMENTATION DE LA PROFESSION DE COMMERÇANT
Plus en détailTable des matières. 1 Le droit de la responsabilité : le domaine de la voirie... 7
Table des matières 1 Le droit de la responsabilité : le domaine de la voirie........................ 7 Ann-Lawrence DURVIAUX professeur à l U.Lg., avocate Benoît KOHL professeur à l U.Lg., avocat Damien
Plus en détailLe non-paiement répété par la société de la dette d impôt en matière de TVA, est, sauf preuve du contraire, présumé résulter d une faute.
23. Je suis dirigeant d une société. Existe-t-il des cas dans lesquels je peux être tenu des dettes de ma société vis-à-vis de la TVA ou du précompte professionnel? Cette situation peut effectivement se
Plus en détailPARTIE 1. Phénoménologie
TABLE DES MATIÈRES Du même auteur........................................ Table des matières....................................... Abréviations........................................... Sigles.................................................
Plus en détailContinuité d activité. Enjeux juridiques et responsabilités
Continuité d activité Enjeux juridiques et responsabilités Introduction Pourquoi le droit? - Contrainte - Outil de gestion Droit et management de la continuité d activité : 3 niveaux d intervention Dans
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DE L ESPACE DE VIE ENFANTINE LES MOUSSAILLONS
STATUTS DE L ASSOCIATION DE L ESPACE DE VIE ENFANTINE LES MOUSSAILLONS Chapitre 1 : DISPOSITIONS GENERALES Article I. CONSTITUTION Sous la dénomination Les Moussaillons, il est constitué, conformément
Plus en détailCours n 3 Valeurs informatiques et propriété (2)
Cours n 3 Valeurs informatiques et propriété (2) - Les Bases De Données - Le multimédia - Les puces et topographies - La création générée par ordinateur 1 LES BASES DE DONNEES Depuis 1998, les Bases De
Plus en détailTable des matières. Questions particulières en rapport avec l évaluation du préjudice matériel résultant d une blessure ou d un décès
Table des matières Questions particulières en rapport avec l évaluation du préjudice matériel résultant d une blessure ou d un décès Daniel de Callataÿ Chapitre 1 La perte d un travail antérieurement non
Plus en détailIntroduction 5. larcier 347
TABLE DES MATIÈRES Introduction 5 Chapitre I L accès à la profession : l autorisation d établissement 7 Section 1. Le champ d application de la loi d établissement 8 A. Les personnes nécessitant une autorisation
Plus en détailLa Responsabilité Médicale de l Hépatogastroentérologue
Fiche d information juridique La Responsabilité Médicale de l Hépatogastroentérologue Mars 2011 Isabelle Joly, Lionel Parois, Patrice Pienkowski, Bruno Richard-Molard, René Laugier et la Commission Juridique
Plus en détailLa société privée à responsabilité limitée
La société privée à responsabilité limitée Avril 2008 La société privée à responsabilité limitée Avril 2008 2 Service public fédéral Economie, P.M.E., Classes moyennes et Energie Rue du Progrès 50 B-1210
Plus en détailLa responsabilité des présidents d A.C.C.A.
La responsabilité des présidents d A.C.C.A. Bernard MERAUD : Avocat au Barreau de Bourgoin-Jallieu (Assemblée générale FDCI du 26 avril 2014) ---------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailFEDERATION DES GEOMETRES FRANCOPHONES Ouagadougou, Octobre 2012. Assurance Responsabilité Civile des Géomètres-Experts
FEDERATION DES GEOMETRES FRANCOPHONES Ouagadougou, Octobre 2012 Assurance Responsabilité Civile des Géomètres-Experts Sommaire L obligation d assurance des Géomètres-Experts Français Une obligation légale
Plus en détailFORMATIONS 2012. De ploiement des PKI dans les entreprises Technologie VPN IPSEC Se curiser un syste me Unix ou Linux
De ploiement des PKI dans les entreprises Technologie VPN IPSEC Se curiser un syste me Unix ou Linux Activite de formation enregistre sous le nume ro : 11 75 45967 75 aupre s du pre fet de la re gion d
Plus en détailAtelier : Le budget de fonctionnement des CE : anticiper les réformes
Atelier : Le budget de fonctionnement des CE : anticiper les réformes Transparence financière et nouvelles prérogatives économiques 28 MAI 2013 PALAIS DES CONGRÈS DU FUTUROSCOPE POITIERS - 5 E ÉDITION
Plus en détailLAR Police IZEO pour mandataires sociaux
Protection juridique DES MANDATAIRES SOCIAUX CONDITIONS SPECIALES Définition 1. Membre IZEO : Indépendant société qui o a payé pour la 1ère fois la cotisation annuelle au profit d IZEO en vue de faire
Plus en détailOrdonnance sur les services de certification électronique
Ordonnance sur les services de certification électronique (OSCert) 784.103 du 12 avril 2000 (Etat le 23 mai 2000) Le Conseil fédéral suisse, vu les art. 28, 62 et 64 de la loi du 30 avril 1997 sur les
Plus en détailConcours d assurances (RC-TRC)
Concours d assurances (RC-TRC) 21 avril 2015 Hugo Keulers 1. Concours d assurances: quel contexte? La personne qui a subi un dommage peut se retourner potentiellement contre plusieurs assureurs en vertu
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES Ordonnance n o 2014-158 du 20 février 2014 portant diverses dispositions d adaptation de la législation au droit de
Plus en détailDroit de rencontres. «La responsabilité du dirigeant d entreprise» Lionel ORBAN Firket, Brandenberg, Crahay, Pichault & Associés.
Droit de rencontres «La responsabilité du dirigeant d entreprise» Mai 2011 Lionel ORBAN Firket, Brandenberg, Crahay, Pichault & Associés I.- Introduction & rappels II.- La Loi-programme du 20 juillet 2006
Plus en détailRèglement : Compétition du Film d Entreprise du Festival des Étoiles & des Ailes.
Des Étoiles et des Ailes 2015 1 Table des matières Article 1 Nature du Festival 2 Article 2 Catégories de film en compétition 2 Article 3 Qui peut participer? 3 Article 4 Modalite s d inscription a la
Plus en détailRECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT ET CONTRE LE FINANCEMENT DU TERRORISME
MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 2765 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 183 19 novembre 2004 S o m m a i r e LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT ET
Plus en détailSYNERGIE. Société Anonyme Capital social : 121.810.000 Siège : 11 avenue du Colonel Bonnet 75016 PARIS RCS 329.925.010 PARIS S T A T U T S
SYNERGIE Société Anonyme Capital social : 121.810.000 Siège : 11 avenue du Colonel Bonnet 75016 PARIS RCS 329.925.010 PARIS S T A T U T S Statuts mis à jour suite à l Assemblée Générale Mixte du 17 juin
Plus en détailCamping-car Park est un concept novateur de gestion d aires d étapes de camping-cars en France et à l Etranger, ouvertes 24 H/24, toute l année.
CONDITIONS GENERALES DE VENTES CAMPING-CAR PARK Camping-car Park est un concept novateur de gestion d aires d étapes de camping-cars en France et à l Etranger, ouvertes 24 H/24, toute l année. PRÉAMBULE
Plus en détailCONDITIONS GENERALES DE VENTE DE PRODUITS ET SERVICES
CONDITIONS GENERALES DE VENTE DE PRODUITS ET SERVICES Les présentes conditions de vente s appliquent à la vente par OPTIMAS OE SOLUTIONS SAS de tous produits, matériels et autres équipements (ci-après
Plus en détailPremière partie IMMUNITÉ ET JUSTICE : LES CONTRADICTIONS... 31. Titre 1 Contradiction des fondements et divergence des sources...
TABLE DES MATIÈRES Remerciements......................................................................... 7 Préface.................................................................................... 9
Plus en détailprocédure aspects pratiques moteur de recherche intelligent jurisprudence du Conseil d État base de données juridiques
procédure aspects pratiques critères d attribution évaluation des offres Miniguide Mercatus Conseils pour une meilleure utilisation de Mercatus base de données juridiques devoir de motivation moteur de
Plus en détailMutuelle du Centre Culturel Islamique Luxembourg
Mutuelle du Centre Culturel Islamique Luxembourg (Extrait Mémorial B - Nº22 du 2 avril 2001) REMARQUE : Ce texte contient les modifications apportées en 2006 et 2007 Arrêté ministériel du 14 mars 2001
Plus en détailCHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE
CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE I. Organisation de la profession comptable Profession comptable Comptable s salariés Comptable s libéraux Comptable s publics A. Comptables salariés 1. La profession
Plus en détailRESPONSABILITE DES DIRIGEANTS D ASSOCIATION
GENERALI assurances Société Anonyme d Assurances Au capital de 53 193 775 EUR Entièrement versé. Entreprise régie par le code des Assurances Siège social : 7, boulevard Haussmann 75456 Paris Cedex 09 552
Plus en détailL a gamme légale en Belgique
L a gamme légale en Belgique Des outils pour la gestion efficace de vos risques légaux. Tout entrepreneur prend des risques. Respecter les délais de publication, renouveler son conseil d administration
Plus en détailLes assureurs vie devront. renseigner certaines données aux administrations fiscales étrangères
LNBF.NN/Lnbfnn/KL-NN01 juin 2015 Numéro 06 Année 19 Mensuel Ne paraît pas en juillet & août Bureau de dépôt Bruxelles X P309269 échange international d informations Les assureurs vie devront renseigner
Plus en détailStatuts. Mutuelle de France
Statuts Mutuelle de France Mutuelle soumise aux dispositions du Livre II du Code de la Mutualité Inscrite au Registre National des Mutuelles sous le n 784 410 763 Sous convention de substitution au Groupe
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. Page. Avant-propos... TITRE I PRÉSENTATION GÉNÉRALE DU DROIT DE LA FAILLITE ET DE L INSOLVABILITÉ... 1
TABLE DES MATIÈRES Avant-propos... Préface... iii v TITRE I PRÉSENTATION GÉNÉRALE DU DROIT DE LA FAILLITE ET DE L INSOLVABILITÉ... 1 Chapitre 1 L histoire législative anglaise... 3 Chapitre 2 L histoire
Plus en détailPASCAL DENOS. Diplome d'expertise<omptable DESS en Banques et Finances
PASCAL DENOS Diplome d'expertise
Plus en détailRISQUE SPORTIF ET ASSURANCE
RISQUE SPORTIF ET ASSURANCE 1 SOMMAIRE I. NOTION DE RESPONSABILITES A. La responsabilité civile 1. La responsabilité civile délictuelle 2. La responsabilité civile contractuelle B. La responsabilité pénale
Plus en détailNuméro du rôle : 4767 et 4788. Arrêt n 53/2010 du 6 mai 2010 A R R E T
Numéro du rôle : 4767 et 4788 Arrêt n 53/2010 du 6 mai 2010 A R R E T En cause : les questions préjudicielles concernant l'article 162bis du Code d'instruction criminelle, tel qu'il a été inséré par l'article
Plus en détailLa dissolution et la liquidation en un seul acte
La dissolution et la liquidation en un seul acte La loi du 25 avril 2014 portant des dispositions diverses en matière de Justice a apporté de nouvelles modifications à l'article 184, 5 du Code des sociétés
Plus en détailQuestionnaire sur l assurance responsabilité professionnelle des avocats demandant leur inscription en vertu de la directive Etablissement (98/5/CE)
Représentant les avocats d Europe Representing Europe s lawyers Questionnaire sur l assurance responsabilité professionnelle des avocats demandant leur inscription en vertu de la directive Etablissement
Plus en détailARTICLE 90 DU DECRET 91-1266 DU 19 DECEMBRE 1991 MODIFIE
ARTICLE 90 DU DECRET 91-1266 DU 19 DECEMBRE 1991 MODIFIE Réf. Art.90 du 20/01/2001 au 31/12/2001 01/01/2002 S DES MISSIONS DE BASE D2012-349 D2001-52 D2001-512 D2003-853 D2004-1406 D2007-1151 D2008-1486
Plus en détailLICENCE D UTILISATION DE LA DO NOT CALL ME LIST : CONDITIONS GENERALES
LICENCE D UTILISATION DE LA DO NOT CALL ME LIST : CONDITIONS GENERALES Introduction Dans les présentes conditions, l'on entend par : - Abonné : toute personne physique ou morale qui utilise un service
Plus en détailLA VIOLATION DU SECRET : LE RÔLE DU BÂTONNIER
LA VIOLATION DU SECRET : LE RÔLE DU BÂTONNIER La violation du secret par l avocat : faute déontologique, faute pénale :. le conflit d intérêts. la levée du secret professionnel par le client. le secret
Plus en détailComité des Fêtes d Oulins
Comité des Fêtes d Oulins Association loi 1901- Statuts du COMITE DES FETES D OULINS ARTICLE 1 : CONSTITUTION Création Il est fondé, entre les adhérents aux présents statuts, une association régie par
Plus en détailLa Justice et vous. Les acteurs de la Justice. Les institutions. S informer. Justice pratique. Vous êtes victime. Ministère de la Justice
La Justice et vous Les acteurs de la Justice Les institutions S informer Justice pratique Ministère de la Justice Vous êtes victime Vous pouvez, en tant que victime d une infraction, déposer une plainte
Plus en détailPROFESSION COMPTABLE ET FINANCEMENT EXPORT
PROFESSION COMPTABLE ET FINANCEMENT EXPORT Rôle de certificateur Jean SAPHORES C.S.O.E.C. 1 Handicaps des PME La chaîne de l information financière des PME est moins sécurisée que pour les entreprises
Plus en détail