Partie I. Le manager et la qualité
|
|
- Angélique Émond
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Partie I Le manager et la qualité
2
3 1 La prophétie autoréalisatrice : une démarche qualité devient ce que le management voit en elle 1.1 Les démarches qualité sont porteuses d ambivalence Les démarches qualité décrivent rarement les freins envisageables et les mauvaises façons de s y prendre Il existe une littérature abondante sur la qualité et ses méthodes. Pour quiconque a le désir de s informer et de se former à la qualité ou à un outil en particulier, c est chose facile. D ailleurs, les ouvrages et autres classeurs sur le sujet sont en général bien conçus et pédagogiques. Mais à y regarder de plus près, les critiques, aspects négatifs et risques liés à ce type de démarche ne sont quasiment jamais abordés.
4 Manager vraiment par la qualité Par exemple, on ne trouve jamais de cas d échecs détaillés et étudiés. À première vue, il n y aurait donc pas de freins véritables à la mise en œuvre de la qualité. Il suffirait de se former et se renseigner pour réussir sa démarche. À titre d illustration, la littérature et les fiches techniques sur les indicateurs qualité foisonnent et informent précisément sur les méthodes à utiliser pour concevoir, valider et faire vivre un indicateur. Mais, à entendre en provenance des entreprises les problèmes multiples que peut poser la mise en place de ce type d indicateurs (temps supplémentaires, nombre trop important d indicateurs semant la confusion ), on peut s étonner de ne pas voir ces problèmes évoqués dans les ouvrages sur le sujet. Les démarches qualité décrivent rarement les moyens de la réussite De la même manière, à lire les conseils donnés pour la mise en place de la qualité, on trouve soit des développements sur les qualités intrinsèques de l outil ou la méthode, soit des conseils très basiques et incantatoires tels que la nécessité d implication du personnel ou de l engagement de la direction. Les véritables moyens d une appropriation réussie auprès des personnes concernées sont rarement abordés. Par exemple, on pourra trouver force détails sur les méthodes de modélisation des processus, mais les conditions de la mise en œuvre réussie seront soit passées sous silence, comme si la modélisation aboutirait de fait à sa réussite, soit évoquées sur le mode de la nécessité impérative de constituer des groupes projet. 4 La démarche qualité conduirait forcément à la réussite : pensée unique ou réalité? Après avoir lu plusieurs ouvrages d auteurs différents, le lecteur pouvant en faire l expérience directe, se dégage le sentiment qu il suffit de mettre en œuvre la démarche décrite, d appliquer la méthode ou d utiliser l outil pour que «cela marche». Les constituants divers de la démarche qualité, quelle qu elle soit, seraient intrinsèquement porteurs de réussite. Certains auteurs vont même jusqu à expliciter cette pensée, en affirmant que le «management moderne ne peut se concevoir que par l approche processus» ou que «la qualité totale favorise la créativité de chacun dans l entreprise». Sur les moyens concrets d y arriver, l ouvrage renvoie à l impératif d application stricte de la méthode développée.
5 La prophétie autoréalisatrice La démarche qualité est forcément porteuse d ambivalence En réalité, la qualité, à l instar d autres types de démarches, apportera progrès ou problèmes, suivant la façon dont on l aborde et l utilise. Peut-être à cause de sa dénomination qui en ferait une sorte d impératif de bien faire, on lui fait porter des attentes et des espoirs qui sont quelquefois déçus. Après avoir mis tant de promesses dans une démarche qualité, certains en reviennent et faute d analyse lucide de ce qui s est passé, font un rejet global de la qualité. On peut voir de nouveaux venus dans le domaine de la qualité mettre des espérances démesurées et irréalistes dans cette démarche. Souvent, ceuxci s imaginent que la qualité va régler les problèmes d organisation, de relations internes, voire de marché, sans qu ils aient finalement beaucoup d efforts à produire. Bien sûr, les démarches sont porteuses de potentialités pour les entreprises (cf. partie II). Encore faut-il construire une démarche élaborée, progressive et en connaissance de cause 1.2 La qualité alourdirait les fonctionnements? Cela devient réalité L obligation de mettre en place des procédures Probablement à cause des contraintes imposées dans un passé récent par des grands donneurs d ordre à leurs sous-traitants, beaucoup d entreprises ont pris ces démarches comme des obligations impératives, sous peine de perdre leurs clients. De plus, beaucoup de ces entreprises fonctionnaient sur le mode oral, et si des procédures s avéraient nécessaires à un moment de la démarche, celle-ci ne se résumait pas pour autant à l écriture de procé dures. C est pourtant cela que nombre de managers ont retenu : la qualité, c est l écriture de procédures. Toutes les autres potentialités occultées Dans le cas de figure, les potentialités de la qualité liées à l opportunité d améliorer son organisation ou de mieux satisfaire le client sont reléguées au second rang. Toute la démarche est concentrée sur l écriture de procédures. 5
6 Manager vraiment par la qualité On peut même voir des entreprises ayant beaucoup écrit et ne mettant en place des indicateurs ou des actions d amélioration que de façon superficielle et parce que l auditeur le demande. Dans la réalité, la démarche n est pas managée. Seules les procédures sont mises à jour régulièrement, par obligation. Dans ce cas de figure, il est même rare de trouver une réflexion sur l optimisation des procédures. On vit en général avec des procédures difficiles à gérer. La lourdeur des procédures confirme les hypothèses Que se passe-t-il lorsque l on dresse le bilan de ce type de démarche qualité? La lourdeur des procédures comporte beaucoup d inconvénients pour les fonctionnements de l entreprise. On évoque souvent l écart entre ce qui est écrit et les nécessités d adaptation permanente des pratiques. Les procédures ainsi conçues limiteraient l autonomie, la réactivité et, in fine, la productivité. Tout ceci confirme le manager dans la vision de départ qu il avait de la qualité. Il est probablement passé à côté de quelque chose La qualité serait facteur de progrès? On finit par y arriver Quand on valorise les mécanismes de l amélioration Pour certains managers, la qualité est forcément synonyme d amélioration. Cette vision de départ conduit à identifier tout ce qui dans les démarches peut contribuer à l amélioration. Ainsi, l écriture d une procédure ne sera envisagée que si elle améliore des pratiques. La mise en place d un indicateur permettra de suivre la progression d un produit, une réunion qualité sera utile pour renforcer les coopérations et la dynamique d amélioration. Le regard sur la démarche qualité se fait quête de sens pour l entreprise et ses clients. On se pose à chaque occasion les questions «à quoi cela va nous servir? Qu est-ce que cela va apporter?». Il est probable que cette attitude provient d un manager ou d un groupe ayant fait l expérience des potentialités de la qualité. En tout état de cause, la démarche qualité est vue comme facteur de progrès et devient facteur de progrès.
7 La prophétie autoréalisatrice Dans ce cas de figure, toutes les contributions à l amélioration sont mises en exergue, reconnues, valorisées. Chaque fois qu un acteur de l entreprise suggère une amélioration et que celle-ci est suivie de succès, la contribution est reconnue. Les risques de la vision unique «facteur de progrès» Bien entendu, voir la démarche qualité comme un facteur de progrès est a priori mieux que de la réduire à la contrainte de l écriture de procédure. Mais cette vision peut comporter des inconvénients, comme de ne pas voir les limites de ce type de vision. Dans ce cas, les problèmes majeurs sont occultés, puisque la qualité ne peut être que facteur de progrès. 1.4 La qualité n est pas porteuse «en soi» de stratégies de management La mise en place de procédures peut s opérer au travers de stratégies très diverses L erreur de perspective est dans les attentes que l on met dans un outil comme des procédures ou dans des méthodes diverses, comme si ceuxci pouvaient réfléchir, décider et choisir à la place du manager. Ainsi, il y a autant de façon de mettre en place des procédures que de stratégies de management. Des procédures peuvent être au centre d une construction collective de pratiques, ou bien permettre une intégration dans un contexte de rotation forte de personnels. Autrement dit, avant de penser à écrire des procédures, la définition de sa stratégie de management est nécessaire. Peut-être même que cette stratégie ne débouchera pas sur un besoin d écriture de procédures. À l occasion de la mise en œuvre d une démarche qualité au sein d une équipe de conseils juridiques, il est ressorti le besoin de construire une démarche de management des compétences internes pointue, alors qu il était inutile et impossible de décrire les pratiques de conseils. Par ailleurs les textes légaux étaient suffisamment détaillés pour ne pas nécessiter d écriture supplémentaire. 7
8 Manager vraiment par la qualité La stratégie du management imprime forcément sa coloration à la démarche Si le manager se dégage des démarches qualité uniformes et réduites à la stricte écriture de procédures, il n y a pas deux démarches qui se ressemblent. Dans telle démarche, on verra l accent mis sur le mode projet, dans telle autre, le tableau de bord des indicateurs qualité jouera un rôle majeur. Certains managers retiennent l importance des réunions qualité et du mode factuel selon lequel on y aborde les problèmes. En fait, une partie plus ou moins étendue des potentialités diverses et nombreuses d une démarche qualité sera mise en valeur par le manager suivant sa stratégie, son style, ses inclinations naturelles. La qualité reste un «outil» au service du management Bien sûr, une démarche qualité est sous-tendue par des valeurs (cf. partie IV) et une certaine vision de l entreprise. Mais, elle ne peut être porteuse en soi de stratégies de management. Le management ne peut faire l économie de la réflexion sur le sens qu il compte donner à cette démarche. Sous peine d être déçu, de décevoir son personnel, et surtout de passer à côté des bons côtés qu aurait pu apporter cette démarche à son entreprise. La qualité, même la plus «totale» ou «globale», reste un outil au service du management. Un outil parce que ne portant aucun sens en soi sur le contexte de telle ou telle entreprise 8
9 2 Une vue partielle ou faussée peut «plomber» une démarche qualité 2.1 Si qualité signifie «travail bien fait», pourquoi tant d outils et de méthodes? Pour chacun, la qualité c est d abord le travail bien fait À l occasion de démarrage de démarches qualité, il est de mise de demander à chacun des acteurs sa propre définition de la qualité. La réponse la plus courante est «le travail bien fait». C est cela, certes, mais cette définition est réductrice et pose la question des raisons de mettre en place des méthodes et outils, si chacun s applique à bien travailler. Faute de répondre précisément à ces interrogations, peut naître au sein de l entreprise une forme de défiance à l égard de ce type de démarche. Que veut-on faire avec cette démarche? Nous apprendre à mieux travailler? Formaliser notre savoir-faire pour nous rendre facilement remplaçable?
10 Manager vraiment par la qualité Des outils et méthodes pour une performance collective Chacun peut être un excellent professionnel dans son domaine et à titre individuel, cela ne donnera pas forcément de bons résultats dans les réalisations collectives. On n insiste pas souvent sur l utilité «collective» des démarches qualité. À la base, une démarche qualité va permettre à un collectif de mieux partager la vision des attentes de ses clients, de se doter de critères communs de qualité et de pratiques d organisation communes Cette dimension collective vient en complément des compétences individuelles. Si une démarche qualité ne servait qu à décrire ce que chacun sait déjà faire en bon professionnel, on passerait à côté de ce qui fait sa véritable valeur. 2.2 «Écrire ce que l on fait, faire ce que l on a écrit et le prouver», est-ce là toute la démarche qualité? 10 Quand l impératif généralisé d écrire ce que l on fait freine l entreprise Pris au pied de la lettre, cet impératif d écrire ce que l on fait revient à coucher sur papier toutes ses pratiques, pour chaque tâche réalisée, un mode opératoire, pour chaque action, une procédure. Chaque fois que l on écrit dans le détail des pratiques professionnelles, on s expose au risque de n écrire qu une des options de pratique pour mener à bien ces tâches. De plus, dès que l évolution du contexte impose des évolutions, ces écrits deviennent rapidement obsolètes. Lorsque c est écrit, il existe une propension naturelle de chacun à tâcher de suivre les consignes ainsi détaillées. Ceux qui ne les respecteront pas se sentiront hors-jeu. Insensiblement, les acteurs essaient de suivre les procédures, même s ils constatent qu elles s éloignent de la réalité. On pourra même s abriter derrière la procédure pour n appliquer que ce qui est écrit. Ainsi, une inertie naît de ces procédures qui décrivent ce que l on fait.
Sylvie Guessab Professeur à Supélec et responsable pédagogique du Mastère Spécialisé en Soutien Logistique Intégré des Systèmes Complexes
Préface Toute personne est un jour confrontée à devoir prendre une décision, qu il s agisse de l étudiant qui réfléchit à son orientation académique, du chercheur qui doit privilégier une option scientifique
Plus en détailInterprétation de la norme ISO 9001 au regard de la philosophie de Deming
Interprétation de la norme ISO 9001 au regard de la philosophie de Deming Conférence de Jean-Marie Gogue Le terme assurance de la qualité est apparu aux Etats-Unis après la seconde guerre mondiale. Il
Plus en détailObjectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres
Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la
Plus en détail8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace
Aller plus loin 8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace 8) Certification ISO 14 001 8 La norme ISO 14001 et la certification Cette norme internationale vise à établir dans l organisme
Plus en détailQuestionnaire sur la saisie sur comptes bancaires
Prof. Dr. Burkhard Hess Study JAI A3/02/2002 Questionnaire sur la saisie sur comptes bancaires 1. Compétence des organes d exécution 2. La procédure d obtention de l acte d exécution 3. La prise d effet
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailConcours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels»
Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Le présent rapport a pour objet de donner une appréciation générale
Plus en détail9.1- Sur les réseaux sociaux, j ai toujours le choix!
Thème 3 - Participer, protéger, partager : des choix de société? Séquence 9 Nos actions sur les réseaux sociaux 9.1- Sur les réseaux sociaux, j ai toujours le choix! à partir de la 5 e comprendre créer
Plus en détailCONDITIONS DE REUSSITE, DISPENSES, REPORTS ET CREDITS DANS L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
CONDITIONS DE REUSSITE, DISPENSES, REPORTS ET CREDITS DANS L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR Position de la Fédération des Étudiant(e)s Francophones (F.E.F.) discutée puis adoptée lors des Conseils du 25 septembre
Plus en détailBien architecturer une application REST
Olivier Gutknecht Bien architecturer une application REST Avec la contribution de Jean Zundel Ce livre traite exactement du sujet suivant : comment faire pour que les services web et les programmes qui
Plus en détailLes «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques
Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailCONSTRUIRE UNE QUESTION ET ELABORER UN QUESTIONNAIRE?
Déchets : outils et exemples pour agir Fiche méthode n 3 www.optigede.ademe.fr CONSTRUIRE UNE ET ELABORER UN NAIRE? Origine et objectif de la fiche : Les retours d expérience des collectivités locales
Plus en détailLES CROYANCES LIMITANTES
1998 Séminaire de Robert DILTS LES CROYANCES LIMITANTES Les 3 domaines les plus courants de croyances limitantes sont ceux qui concernent le manque d espoir (ce n est pas possible), le manque de confiance
Plus en détailEst-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49
Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,
Plus en détailLean management et conditions de travail!
Lean management et conditions de travail! Conférence APIRAF! IUT Lumière 18 février 2014! www.aravis.aract.fr! 18/02/14! N 1! Au delà du seul lean " Quels liens entre «#évolution des organisations#» et
Plus en détailConcept totale. parfaitement compatibles permettant de jeter un «nouveau regard sur le marketing & les ventes».
Concept totale Le logiciel CRM peut être acheté partout. Tout comme les adresses de vos publipostages. Il existe également de nombreux logiciels pour le marketing par courrier électronique. Mais vous ne
Plus en détailGranulés anti-limaces : pas sans risques!
Granulés anti-limaces : pas sans risques! Conseils pratiques pour une utilisation et un stockage corrects et sans danger pour vos animaux domestiques Comment utiliser et stocker sans danger les granulés
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailRéforme de la formation professionnelle
MEDEF Social mars 2015 Réforme de la formation professionnelle Compétitivité Mobilité Employabilité Edito En 2030, près de 30 % de nos métiers auront évolué. Pour relever ce défi, la formation des femmes
Plus en détailLe scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit?
Retour au sommaire Le scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit? BIM n 32-01 octobre 2002 Frédéric DE SOUSA-SANTOS Le BIM de cette semaine se propose de vous présenter un ouvrage de Mark Schreiner
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailCours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP»
«LEADERSHIP» Est-il possible de DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DE LEADERSHIP? PROGRAMME DU COURS 1. Introduction 2. Les fondamentaux du Leadership 3. Valeurs, attitudes et comportements 4. Les 10 devoirs du
Plus en détailAnimer une association
FICHE PRATIQUE N 7 www.animafac.net gestion de projet Animer une association Une association vit mieux si elle est composée de plusieurs membres partageant un projet collectif. Si la loi 1901 est une loi
Plus en détailLe tableau de bord de la DSI : un outil pour mieux piloter son informatique.
Le tableau de bord de la DSI : un outil pour mieux piloter son informatique. Introduction Face à l évolution constante des besoins fonctionnels et des outils informatiques, il est devenu essentiel pour
Plus en détailLes nouveaux tableaux de bord des managers
Alain Fernandez Les nouveaux tableaux de bord des managers Le projet Business Intelligence clés en main Sixième édition Tableaux bord NE.indd 3 26/03/13 15:22 Introduction Piloter la performance, un travail
Plus en détail2.1. AVANT LA FORMATION 2.1.1. ANALYSER COLLECTIVEMENT LE BESOIN
AVANT LA FORMATION 2.1. AVANT LA FORMATION L avant-formation est l étape initiale du processus de formation et son importance est cruciale pour la réussite du programme. C est en effet lors de ce moment
Plus en détailGRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE
GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE 1 - LA DEFINITION DES OBJECTIFS DE LA SEQUENCE : - Ai-je bien identifié l objectif de la séquence? - Est-il clairement situé dans la progression générale
Plus en détailChapitre 2 LE CAS PRATIQUE
Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE Demande de conseil. Le cas pratique est un exercice juridique qui, à l instar d une personne se trouvant en situation de litige avec autrui, demande conseil. C est un exercice
Plus en détailRédiger et administrer un questionnaire
Rédiger et administrer un questionnaire Ce document constitue une adaptation, en traduction libre, de deux brochures distinctes : l une produite par l American Statistical Association (Designing a Questionnaire),
Plus en détailAppliquez-vous ces 4 éléments pour travailler plus efficacement?
Appliquez-vous ces 4 éléments pour travailler plus efficacement? Ce livret vous a été remis en complément de la vidéo «4 éléments pour travailler plus efficacement». Visitez http://methode-prepa.com pour
Plus en détailChoisir son logiciel de caisse
GUIDE PRATIQUE Choisir son logiciel de caisse Qu est-ce qu un logiciel de caisse? Un logiciel de caisse, aussi appelé caisse enregistreuse ou caisse tactile est un programme informatique qui vous permet
Plus en détailLa mise en commun. (D après Michel Barlow, Le travail en groupes des élèves, Paris, A. Colin, 1993, pp. 38-44)
La mise en commun (D après Michel Barlow, Le travail en groupes des élèves, Paris, A. Colin, 1993, pp. 38-44) 1. Définition et buts. Après le travail en groupe d élèves, la mise en commun permet de «reconstituer
Plus en détailEVALUATION 360 MODE D EMPLOI
EVALUATION 60 MODE D EMPLOI NARRATIF EVALUATION 60 Définition L entretien annuel d appréciation est la méthode la plus répandue actuellement. Or, une autre pratique se développe, il s agit de l évaluation
Plus en détailI. OUVERTURE D UNE PROCEDURE COLLECTIVE SUR ASSIGNATION DU CREANCIER
DROITS DES CREANCIERS 23/07/2012 Lorsqu une entreprise éprouve des difficultés financières telles qu elle se trouve en état de cessation des paiements, il y a lieu d ouvrir une procédure judiciaire. Cette
Plus en détailIngénieur en prévention des risques
Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour
Plus en détailGuide d Intégration PPM et ERP:
LIVRE BLANC Guide d Intégration PPM et ERP: Stratégies d intégration de logiciels dans les entreprises organisées par projet De: Neil Stolovitsky E-mail: sales@geniusinside.com Website: www.geniusinside.com
Plus en détailCes formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente
FORMATIONS COMMERCIALES MANAGEMENT Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter I - Techniques de vente «Basic» - 6 modules II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon
Plus en détailREUNION D INFORMATION, PARCOURS CONSULTANT ATELIERS MISSIONEO
Jean-Luc MONSEMPES Président Institut REPERE Jl.monsempes@institut-repre.com 01 43 46 89 26 L ACCOMPAGNEMENT D ITG : REUNION D INFORMATION, PARCOURS CONSULTANT ATELIERS MISSIONEO I LES REUNIONS D INFORMATION
Plus en détailLES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE
Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»
Plus en détailUnité 2.2.a Qu est-ce que l écoute active? Pourquoi la qualité d écoute du tuteur est-elle importante?
Unité 2.2.a Qu est-ce que l écoute active? Pourquoi la qualité d écoute du tuteur est-elle importante? Durée Compétence A l'issue de la formation, les tuteurs: 45-75 minutes Compétence 10 : Capacité à
Plus en détailDes quiz en toute mobilité 3. Des quiz en toute mobilité
Des quiz en toute mobilité 3 Des quiz en toute mobilité 4 Des quiz en toute mobilité Pour une pédagogie différenciée L objectif ici était de proposer un outil d évaluation accessible aux élèves en dehors
Plus en détailLa boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins
La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins Durée : Minimum 14h Maximum 182h (Ce choix permet de valider 10% du Titre de niveau II «chef d entreprise développeur
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailModulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1
Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...
Plus en détailUnité de formation No 1 : la description d un processus de travail accompli par l apprenti au sein de l entreprise d apprentissage
Unité de formation No 1 : la description d un processus de travail accompli par l apprenti au sein de l entreprise d apprentissage Dossier relié de 6-10 pages, annexes non comprises. Page de garde détaillée
Plus en détailAbsence ou présence erronée d un mot ou d un groupe syntaxique
D UN SYNTAXE MOT OU D UN GROUPE SYNTAXIQUE 1 Problèmes fréquents Absence ou présence erronée d un mot ou d un groupe syntaxique Les erreurs d ordre syntaxique contenues dans cet exercice sont multiples
Plus en détailConstruire un tableau de bord par Marc Maisonneuve
Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Le tableau de bord On peut le définir comme la présentation synoptique d indicateurs relatifs au suivi d une bibliothèque, d un projet, d un service.
Plus en détailReprésentation des Nombres
Chapitre 5 Représentation des Nombres 5. Representation des entiers 5.. Principe des représentations en base b Base L entier écrit 344 correspond a 3 mille + 4 cent + dix + 4. Plus généralement a n a n...
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR DE LA COMMANDE PUBLIQUE
RÈGLEMENT INTÉRIEUR DE LA COMMANDE PUBLIQUE Article 1 Lorsque les marchés publics de fournitures, services et travaux sont d un montant inférieur au seuil de 230 000 euros HT, l autorité adjudicatrice
Plus en détailLa mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation
La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation (Synthèse) Enquête réalisée dans le cadre du projet Concert Action Septembre 2011 La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires
Plus en détailDignité de la personne au travail BEI - 12/03 - FR
Dignité de la personne au travail BEI - 12/03 - FR Politique en matière de respect de la dignité de la personne au travail La BEI vise à offrir un environnement de travail favorable, qui aide et encourage
Plus en détailQuestions typiques d entrevue
Questions typiques d entrevue 1- Parlez-moi de vous? Question la plus importante de l entrevue; pourrait être la seule. Soyez bref. Ne tombez pas dans le piège de donner tout en détail. Ne dépassez pas
Plus en détailIntroduction à l informatique en BCPST
Introduction à l informatique en BCPST Alexandre Benoit BCPST L informatique en BCPST «L enseignement de l informatique en classes préparatoires de la filière BCPST a pour objectif d introduire puis de
Plus en détailOrganiser des groupes de travail en autonomie
Organiser des groupes de travail en autonomie Frédérique MIRGALET Conseillère pédagogique L enseignant travaille avec un groupe de niveau de classe et le reste des élèves travaille en autonomie. Il s agira
Plus en détailRègles d élaboration d une évaluation par Questions à Choix Multiple Joël LECHEVALLIER 1
Règles d élaboration d une évaluation par Questions à Choix Multiple Joël LECHEVALLIER 1 Préambule Les questions à choix multiple (QCM) sont une méthode à la fois fiable, objective, valide et rentable
Plus en détailOptimiser la maintenance des applications informatiques nouvelles technologies. Les 11 facteurs clés de succès qui génèrent des économies
Application Services France the way we do it Optimiser la maintenance des applications informatiques nouvelles technologies Les 11 facteurs clés de succès qui génèrent des économies Chaque direction informatique
Plus en détailGuide méthodologique de mise en place d une enquête de satisfaction
Guide méthodologique de mise en place d une enquête de satisfaction Dans ce guide, vous trouverez 4 étapes qui vous permettront de réaliser, pas à pas, votre enquête de satisfaction. Ce guide : Contient
Plus en détailUn écrivain dans la classe : pour quoi faire?
Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas
Plus en détailIntroduction NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015
NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015 Introduction La fabrique citoyenne initiée par la Ville de Rennes va conduire à la rédaction d une charte de la démocratie locale.
Plus en détailNEXTEEM. Préparation à l Entretien Client. Phase I - L avant entretien :
NEXTEEM Préparation à l Entretien Client!! L entretien client est un exercice qui rappelle clairement que NOTRE métier, que VOTRE métier est un métier de services. Vous avez donc cette responsabilité,
Plus en détail«Petites assurances (assurances moyens de paiement/fuites d eau) : grosses dépenses» Questions/Réponses
«Petites assurances (assurances moyens de paiement/fuites d eau) : grosses dépenses» Questions/Réponses 1 Pourquoi l UFC-Que Choisir organise-t-elle une campagne sur les assurances accessoires? Le marché
Plus en détailLe déroulement de l animation
10020_GererAnimer_p076p087 Page 83 Vendredi, 12. août 2005 9:00 09 Le déroulement de l animation DOSSIER 15 Correspondance référentiel Dossier Page livre élève Compétences professionnelles Savoirs associés
Plus en détailSynthèse «Le Plus Grand Produit»
Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique
Plus en détailNotice concernant le droit d être entendu à l intention des autorités de décision
Erziehungsdirektion des Kantons Bern Mittelschul- und Berufsbildungsamt Direction de l'instruction publique du canton de Berne Office de l enseignement secondaire du 2 e degré et de la formation professionnelle
Plus en détailRéférencement et visibilité sur Internet Comment améliorer la visibilité de son site internet sur les principaux moteurs de recherche?
9 Référencement et visibilité sur Internet Comment améliorer la visibilité de son site internet sur les principaux moteurs de recherche? Le trafic d un site internet Le référencement naturel Les freins
Plus en détailBâtir un système intégré
Florence GILLET-GOINARD Bâtir un système intégré Qualité/Sécurité/Environnement De la qualité au QSE Groupe Eyrolles, 2006 ISBN : 2-7081-3651-8 CHAPITRE 1 Un système intégré, quels enjeux? 1. QU EST-CE
Plus en détail«POUR NOUS IL L A FAIT PÉCHÉ» Sur II Corinthiens V, 20 - VI, 2
«POUR NOUS IL L A FAIT PÉCHÉ» Sur II Corinthiens V, 20 - VI, 2 (V, 20) C est pour Christ que nous sommes en ambassade, puisque c est Dieu qui appelle par nous. Nous vous (le) demandons pour Christ, réconciliez-vous
Plus en détailVILLE DE FREDERICTON
JANVIER 2015 RAPPORT D ENQUÊTE VILLE DE FREDERICTON TRANSMIS : AU PREMIER MINISTRE AU DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA VILLE À LA PLAIGNANTE DANS L AFFAIRE DE LA LOI SUR LES LANGUES OFFICIELLES DU NOUVEAU-BRUNSWICK,
Plus en détailRACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT
RACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT Faites le bon choix et appréciez le bonheur d une vie sans dette C est plus simple qu il n y parait Avertissement : Toute reproduction, intégrale ou partielle, ou toute
Plus en détailProjet d école 2014-2018. Guide méthodologique
Projet d école 2014-2018 Guide méthodologique 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 LES TEXTES DE REFERENCES... 4 LES ETAPES D ELABORATION DU PROJET D ECOLE... 4 ETAPE 1 : BILAN DU PROJET, DIAGNOSTIC... 5 1. LE
Plus en détailPartie I Le Management des Systèmes d Information : un défi pour les PME
Partie I Le Management des Systèmes d Information : un défi pour les PME Les PME n ont généralement pas de Direction SI ou de service informatique. Chaque fonction est donc responsable de ses propres matériels
Plus en détailPréparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais
Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais Dans les écoles de maturité des gymnases du canton de Vaud Edition 2014 Département de la formation, de la jeunesse
Plus en détailVingt-cinq questions posées lors d une entrevue
Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Cette section vous propose une synthèse des questions les plus susceptibles d être posées en entrevue de sélection. Cette section peut vous aider lors de
Plus en détailL ACCOMPAGNEMENT DES EQUIPES où le temps de «l entreprise en transition»?
L ACCOMPAGNEMENT DES EQUIPES où le temps de «l entreprise en transition»? Nous vivons tous et toutes au sein des organisations et une grande partie de notre vie, nous conduit à agir et vivre au cœur même
Plus en détailFrançais langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches
Niveau C1 Descripteur global Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches La personne peut : comprendre en détail de longs discours et des échanges complexes
Plus en détailDocument destiné aux Présidents des associations et dirigeants bénévoles des associations de solidarité
Document destiné aux Présidents des associations et dirigeants bénévoles des associations de solidarité Catalogue de formation des bénévoles associatifs lorrains 2008 Les formations présentées dans ce
Plus en détailLorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants
Lorsqu une personne chère vit avec la SLA Guide à l intention des enfants 2 SLA Société canadienne de la SLA 3000, avenue Steeles Est, bureau 200, Markham, Ontario L3R 4T9 Sans frais : 1-800-267-4257 Téléphone
Plus en détailSéquence rédigée de manière provisoire : Document de travail FAIRE ROULER - "Petites Voitures" CYCLE II
Séquence rédigée de manière provisoire : Document de travail FAIRE ROULER - "Petites Voitures" CYCLE II Point du programme Choisir un outil en fonction de son usage et mener à bien une construction simple.
Plus en détailIntroduction à l analyse de concept. Cogmaster - Quinzaine de rentrée
Introduction à l analyse de concept Cogmaster - Quinzaine de rentrée L art de la distinction Une partie de la philosophie consiste à faire des distinctions pour éviter que soient confondues des entités
Plus en détailREPUBLIQUE TUNISIENNE. Ecole Supérieure d Agriculture de Mograne
REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L AGRICULTURE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE Institution de la Recherche et de l Enseignement Supérieur Agricoles Université Carthage
Plus en détailAgile Learning Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse
Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse Introduction Le monde du travail est plus que familier avec la notion de changement. Synonyme d innovation
Plus en détailChapitre 7 Gestion des locations
Chapitre 7 Gestion des locations 1 Pourquoi? Le projet de modification de la gestion des locations doit permettre d introduire dans notre mode de travail trois notions. Notion de transmission de l information
Plus en détailREDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE
FICHE MEDIAS N 1 REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE A l'attention des enseignants des cycles II et III Initiative de sensibilisation au handicap mental l'écolensemble Objectifs pédagogiques
Plus en détailIntervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation et qualification
Reconnaissance de la professionnalité de stagiaires en enseignement au secondaire et rôles des superviseurs Intervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation
Plus en détailQu est-ce qu une tâche?
Qu est-ce qu une tâche? «Tâches», «Perspective actionnelle», «activités centrées sur le sens» Ce sont des concepts dont on entend beaucoup parler dans notre profession, mais que signifient-ils exactement?
Plus en détailPolitique des stages. Direction des études
Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai
Plus en détailDes consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant
Des consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant Ce document a comme objectif de présenter le contenu d'un cycle d ateliers de formations à la création d entreprise, spécifique
Plus en détailOrganiser des séquences pédagogiques différenciées. Exemples produits en stage Besançon, Juillet 2002.
Cycle 3 3 ème année PRODUCTION D'ECRIT Compétence : Ecrire un compte rendu Faire le compte rendu d'une visite (par exemple pour l'intégrer au journal de l'école ) - Production individuelle Précédée d'un
Plus en détailAugmenter votre Chiffre d Affaires.
Augmenter votre Chiffre d Affaires. Notre histoire 1993 : création de CEV en Normandie : Programme de fidélité sur carte à puce pour les commerçants de proximité 2005 : CEV crée Alios, pour répondre aux
Plus en détailEléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes
Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,
Plus en détailUniversité de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015
Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou
Plus en détailIl/Elle assiste le chef d entreprise dans la gestion au quotidien de l entreprise.
FICHE MÉTIER ASSISTANT(E) ADMINISTRATIF(VE) POLYVALENTE CHARCUTIER-TRAITEUR Il/Elle assiste le chef d entreprise dans la gestion au quotidien de l entreprise. Que doit-il savoir-faire? Réaliser le secrétariat
Plus en détailLa Business Intelligence, un projet stratégique
La Business Intelligence, un projet stratégique Le projet décisionnel est étroitement lié au déploiement de la stratégie Lors de la réalisation du projet d informatique décisionnelle, les préoccupations
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention
REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention Les transformations sociales, la territorialisation et la complexité croissante des dispositifs liés aux
Plus en détailTD n o 8 - Domain Name System (DNS)
IUT Montpellier - Architecture (DU) V. Poupet TD n o 8 - Domain Name System (DNS) Dans ce TD nous allons nous intéresser au fonctionnement du Domain Name System (DNS), puis pour illustrer son fonctionnement,
Plus en détailKonica Minolta, un leader aux standards de sécurité les plus élevés du marché
SéCURITé Konica Minolta, un leader aux standards de sécurité les plus élevés du marché A l ère du numérique, les communications mondiales connaissent une croissance sans précédent, et les risques de failles
Plus en détailIntroduction 1. Bibliographie 317 Remerciements 323 Index 325. 2011 Pearson Education France Investisseurs de légende Glen Arnold
S o m m a i r e Introduction 1 1. Benjamin Graham 7 2. Philip Fisher 53 3. Warren Buffett et Charles Munger 81 4. John Templeton 133 5. George Soros 169 6. Peter Lynch 221 7. John Neff 255 8. Anthony Bolton
Plus en détailEtat des lieux de la nullité pour fausse déclaration intentionnelle de risques S. Abravanel-Jolly
ACTUASSURANCE LA REVUE NUMERIQUE EN DROIT DES ASSURANCES Publication n 19 JANV-FEV 2011 Etat des lieux de la nullité pour fausse déclaration intentionnelle de risques S. Abravanel-Jolly Mots clés : C.
Plus en détail