Dossier de presse INAUGURATION DE L'EGLISE NOTRE-DAME DE ROCQUIGNY ( PAS-DE-CALAIS ) APRÈS TRAVAUX DE RESTAURATION MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Dossier de presse INAUGURATION DE L'EGLISE NOTRE-DAME DE ROCQUIGNY ( PAS-DE-CALAIS ) APRÈS TRAVAUX DE RESTAURATION MERCREDI 2 OCTOBRE 2013"

Transcription

1 Dossier de presse INAUGURATION DE L'EGLISE NOTRE-DAME DE ROCQUIGNY ( PAS-DE-CALAIS ) APRÈS TRAVAUX DE RESTAURATION MERCREDI 2 OCTOBRE 2013 Eric Dessaint - CRMH 1

2 SOMMAIRE Communiqué de presse...3 L'histoire d'une restauration...4 Introduction...5 Le projet et sa réalisation...5 Les dégradations...6 Analyse des causes...8 La déconstruction de la tour du clocher, la restaurations des toitures et façade...9 La poursuite de la restauration...11 Maître d'oeuvre et entreprises

3 le 02 octobre 2013 COMMUNIQUÉ DE PRESSE INAUGURATION DE L'EGLISE NOTRE-DAME DAME DE ROCQUIGNY APRÉS TRAVAUX DE RESTAURATION Mercredi 2 octobre 2013, l'église Notre-Dame de Rocquigny a été inaugurée après 16 mois de travaux de restauration. D'un montant de 3 millions d euros cette restauration a été financée par l'etat, le Conseil Général du Pas-de-Calais et la commune de Rocquigny. Les travaux réalisée sous maîtrîse d'oeuvre de Lionel Dubois, Architecte en chef des monuments historiques, ont consisté en la démolition puis reconstruction du clocher pour un coût de 1,8 millions d euros, et à la restauration des façades, toitures, dalles de verre et vitraux pour un coût de 1,2 millions d euros. Construite en 1930 par l architecte Jean-Louis Sourdeau, cette église en béton armé d une grande originalité témoigne de la vitalité de l architecture de la reconstruction dans la région Nord-Pas-de-Calais. Les dalles de verre ont été réalisées par Le Breton et Gaudin. Les vitraux des triplets sont de l atelier Mayeur et Tison à Arras. Le mobilier intérieur est décoré de mosaïques de Mauméjean. Le quatrième pignon sud est couronné par une sculpture de l Arrageois Parrain. 3

4 L'HISTOIRE D'UNE RESTAURATION 4

5 INTRODUCTION La ligne Hindenburg Rocquigny, village de 274 habitants, est situé au sud du département du Pas-de-Calais dans le canton de Bapaume, à proximité d une des plus importantes lignes de front de la Grande Guerre: la ligne Hindenburg. Cette situation explique que la quasi-totalité des villages de ce territoire ont été entièrement détruits lors des grandes offensives de Le village s est ainsi retrouvé au coeur du vaste dispositif de la Reconstruction mis en oeuvre dans les années 1920 par le ministère de la Reconstruction et le diocèse d Arras. Le conseil municipal du 7 février 1924 a donc décidé de reconstruire l église de Rocquigny ; LE PROJET ET SA REALISATION Jean-Louis Sourdeau En mars 1924, le projet de Jean-Louis Sourdeau a été retenu par le Conseil municipal suite à un concours organisé dans le cadre de la société coopérative de reconstruction des églises du diocèse d Arras. Jean-Louis Sourdeau ( ), natif de Ligny près de Cambrai dans le Nord, est alors architecte en chef du Pas-de-Calais et architecte en chef du ministère de la Reconstruction. Diplômé en 1922 de l École des Beaux-Arts de Paris, il s'installe à Marseille en Il construit de nombreux édifices publics et cultuels à Marseille comme l église Saint-Louis et les immeubles de Campagne Larousse, auxquels a été attribué le label «Patrimoine du XX eme» siècle et, à La Ciotat. Un projet original et audacieux Pour Rocquigny, le choix s'est porté sur un projet très différent qui se démarque des traditionnelles reconstructions mises en oeuvre alors dans les régions touchées par la Grande Guerre. Ainsi, l église est une construction en béton et brique. La hardiesse et l originalité de l édifice ont malheureusement été desservies par une réalisation peu soignée qui a posé dès l origine des problèmes d entretien. L architecte de Rocquigny s est inspiré des oeuvres de ses contemporains, avec toutefois une plus grande hardiesse dans la structure du clocher. L élancement du clocher de l église du Raincy (Seine-Saint-Denis) et son matériau de construction ont indubitablement inspiré Sourdeau : on retrouve à Rocquigny la même légèreté de la structure sommitale. D autres oeuvres contemporaines ont pu aussi inspirer l architecte : l église Sainte-Thérèse d Aubergenville (Yvelines), construite en 1927, avec ses piliers fasciculés et les étrésillons horizontaux qui évoquent les arcs-boutants gothiques mais également les travaux des peintres et architectes du constructivisme russe et du fonctionnalisme du Bauhaus. Sourdeau met toute l audace de son projet dans le clocher dont il dénude toute la structure en la réduisant à un simple jeu géométrique. Il joue dans cette partie de l édifice avec l implantation à 45 degrés qui dynamise l ensemble, un peu à la manière des peintres et architectes du constructivisme. Il tempère toutefois cet élan par l emploi de la brique pour tout le socle que forment la nef et le choeur de l église. Un monumental clocher L église est construite entre 1929 et 1930 et présente un plan assez traditionnel centré avec un clocher particulièrement présent et élevé. L intérieur reste simple avec quatre murs diaphragmes qui soutiennent le plafond en béton armé. Une tribune est installée à chaque angle de la nef. L ensemble est pourvu d un monumental clocher qui non seulement adopte un parti architectural des plus intéressants avec sa position dans l angle sud-est de l église et son accès oblique à la nef mais qui est aussi une sorte de signal fort dans cette plaine très plate de l Artois. Les vitraux sont particulièrement impressionnants : ils sont l oeuvre du maître verrier Jean Gaudin ( ), connu pour ses réalisations dans les cathédrales de Noyon, d Amiens et de Soissons. Il s agit d une «mosaïque» de verre représentant pour la «rosace» sud, le Christ en croix entre la Vierge et saint Jean et au nord, l Adoration des mages. (fig. n 1) 5

6 Figure 1 Vitrail, par Jean Gaudin : rosace sud le Christ en croix entre la Vierge et saint Jean et au nord, l Adoration des mages. Phot. Lionel Dubois, Lionel Dubois. Les sculptures extérieures en pierre (grès rouge de Saverne) représentant notamment le Christ en croix sont du sculpteur arrageois Parrain. (fig. n 2, n 3) Figure 2 Élévation sud : reconstruction de l église, étude préalable. Repro. Lionel Dubois, Lionel Dubois. Figure 3 Plan : reconstruction de l église, étude préalable. Repro. Lionel Dubois, Lionel Dubois. Le mobilier liturgique (autels, fonts baptismaux) est décoré par des mosaïques de Charles Mauméjean. Elles ornent aussi la nef. (fig. n 1) 6

7 LES DEGRADATIONS La protection d'office Dès octobre 1993, l église est fermée pour raisons de sécurité par arrêté municipal. Le 1er juillet 1994 le conseil municipal délibère et vote la démolition de l église. La direction régionale des Affaires culturelles du Nord-Pas-de-Calais (DRAC) informe dès le 28 juillet 1994 la mairie que la démolition de cet édifice serait une perte pour l architecture et le patrimoine du XX eme siècle et qu une procédure de protection d office (classement) pourrait être prise dans le cas de la confirmation de cette démolition. Un rapport établi à la demande de la DRAC par les architectes Benoît Grafteaux et Richard Klein permet de mieux cerner la justification de la demande de protection. Extrait des conclusions du rapport des architectes : «La sélection d oeuvres majeures de l architecture du XXeme siècle est relativement aisée quand elle se réfère principalement au mouvement moderne et à sa tendance la plus internationale. Les exclus de cette sélection si l on n y prend garde sont rapidement relégués au rang des anecdotes ou des curiosités. Pourtant une certaine relecture actuelle de la période moderne met en exergue les qualités intrinsèques des architectures hybrides et complexes,des «architectures modernes de province» qui ne trouvent que rarement leur place dans ses classifications usuelles. Depuis la décentralisation, nombre de discussions des COREPHAE portent sur ces questions : doit-on privilégier la protection d édifices construits en région et dont les liens avec les mouvements nationaux ou internationaux sont évidents, quitte à protéger quelques «dérivés» de ces modèles ou doit-on privilégier les édifices qui apparaissent comme des créations régionales originales. L église de Rocquigny se situe exactement entre ces deux extrêmes. Son auteur manifeste une conscience de l époque et de l architecture contemporaine mais c est grâce à une attention et des circonstances particulières au lieu que le projet échappe aux poncifs et à l imitation de ces modèles de références. L église de Rocquigny est donc un exemple de projet hybride qui a su composer avec les circonstances et l invention afin de produire une oeuvre originale qui peut tout à fait se passer de la référence à Auguste Perret pour être regardée comme un édifice à préserver. Les circonstances, l urgence des mesures à prendre et le débat avec les partisans d une démolition ne doivent pas faire oublier que, dans le cas d une campagne thématique à propos des édifices religieux, l église de Rocquigny aurait sans aucun doute fait partie des bâtiments sélectionnés. La quantité et la qualité des archives documentaires sont un gage des possibilités d action d accompagnement et de mise en valeur des travaux de restauration, exposition, publication, sensibilisation. À la suite du dépôt du permis de démolir en 1996 la Commission régionale du patrimoine historique, architectural et ethnologique (COREPHAE) propose la protection au titre de l inscription à l inventaire supplémentaire des monuments historiques de l église de Rocquigny. À nouveau en 1999, le Conseil municipal vote la démolition de l édifice à la suite de la poursuite des dégradations. La Commission supérieure des monuments historiques est alors saisie et le dossier est présenté le 22 novembre L église de Rocquigny est finalement classée en totalité au titre des monuments historiques par arrêté en date du 7 septembre On notera qu'à cette époque là l église de Rocquigny était toujours affectée au culte. (fig. N 4) 7

8 Figure 4 État existant avant démolition du clocher. Phot. Lionel Dubois, Lionel Dubois. Les dégradations se poursuivent, en 2001 un larmier en béton de près de 100 kg tombe et se fiche sur plusieurs dizaines de centimètres dans le sol. Il est évident qu une telle chute sur une personne ou un véhicule aurait eu des conséquences dramatiques. Après visite approfondie du bâtiment, il s avère que d autres morceaux sont en voie de détachement sur le clocher, qu un mur de brique menace de s effondrer et qu un des murs de la nef présente un dévers dangereux. Un périmètre de protection, déjà installé par la mairie, est renforcé et l arrêté de péril est réactivé en mettant de nouveaux panneaux signalant le danger autour de l église. ANALYSE DES CAUSES Des causes de dégradation multi-factorielles Cette construction, déjà très dégradée au moment de la proposition de classement, a subi une brusque accélération des désordres dont les causes, bien identifiées, ne permettent cependant pas d expliquer la dynamique et la rapidité des dégradations, à l'origine de la déconstruction de la tour du clocher dans son intégralité. Figure 5 Base du clocher : état existant des maçonneries avant travaux. Phot. Lionel Dubois, Lionel Dubois. Les causes des désordres, multi-factorielles, s'expliquent tout d abord par la qualité très médiocre des matériaux et des joints de ciment. Le béton est poreux, avec des agrégats hétérogènes, les joints (constat fait lors de la première phase des travaux) sont largement sous-dosés en ciment, les armatures métalliques des maçonneries et des éléments de barlotières des vitraux sont trop près des surfaces et la corrosion métallique a fait éclater le trop fin recouvrement de ciment. Des pluies abondantes au début du mois de novembre 2001 ont également accéléré les phénomènes de lessivage. (fig. n 5) 8

9 Enfin, les vibrations provoquées par le passage des véhicules circulant le long de l église sur la route départementale ont aggravé la dégradation du bâtiment. Il s agit principalement de véhicules militaires, de poids lourds (semi-remorques chargés de betteraves). Pendant la campagne betteravière, ces véhicules chargés au maximum roulent vite. Les vibrations peuvent d ailleurs être ressenties devant l église au passage des véhicules, même de faible tonnage. Devant la persistance du danger de chutes de matériaux fin 2001, il est décidé de procéder le plus rapidement possible à la démolition de la tour du clocher. (fig. n 6) Figure 6 Élément du clocher : état des bétons avant démolition. Phot. Lionel Dubois, Lionel Dubois. LA DECONSTRUCTION DE LA TOUR DU CLOCHER LA RESTAURATION DES TOITURES ET FACADES Un plan de travaux modifié Les étapes et la nature des travaux initialement prévus par l étude préalable de l architecte en chef des monuments historiques, Lionel Dubois, ont été modifiées à cause de la déconstruction du clocher rendue nécessaire pour sécuriser le bâtiment et répondre aux inquiétudes grandissantes de la population. En 2001, les travaux de démolition du clocher ont été programmés pour un montant de , et une protection provisoire a été mise en place. Le projet a ainsi été rendu en décembre 2001 et la démolition a été réalisé en 2002 par l entreprise A.C.T.I.S après une mise en concurrence. En amont de la déconstruction, après consultation de sociétés spécialisées et afin de ne pas perdre les détails des dispositions du clocher et procéder dans les meilleures conditions à sa reconstruction, un relevé en 3D avec une précision au centimètre a été fait par la société Sintégra fin janvier (fig. n 7) Un rendez-vous sur site a lieu début décembre 2002 avec Lionel Dubois pour mettre au point le programme des autres travaux prioritaires à réaliser après la déconstruction du clocher.un projet concrétisant ce programme a été établi par l'architecte en avril Les travaux correspondants d'un montant de et réalisés de mai 2004 à mai 2005 ont consisté à reprendre les arases de maçonnerie défectueuses, à refaire à neuf les couvertures en tuiles, les chéneaux et gargouilles ont été habillés de plomb. Une deuxième phase de travaux entreprise d'avril à décembre 2008, sur la base des prescriptions de l'architecte, a porté sur la remise en état des façades, la réfection des portes et fenêtres en chêne et la mise en place d'un bardage en tôles à la base du clocher et sur la tourelle d'escalier.ces travaux ont représentés un investissement de (fig. n 8, n 9) 9

10 Figure 7 Escalier d accès au clocher : vue de la partie haute des maçonneries après démolition du clocher (détail). Phot. Lionel Dubois, Lionel Dubois.. Figure 8 Élévation sud : restauration des maçonneries. Phot. Lionel Dubois, Lionel Dubois. Figure 9 Élévation est : maçonneries restaurées. Phot. Éric Dessaint, CRMH Nord-Pas-de-Calais. 10

11 LA POURSUITE DE LA RESTAURATION Une volonté affirmée de l'etat de sauvegarder l'édifice À plusieurs reprises, la question déontologique de poursuivre la «restauration» qui incluait une reconstruction à l identique du clocher, s est posée et par conséquent, celle du maintien d une protection au titre des monuments historiques. La volonté de la population, manifestée à plusieurs reprises par les votes du Conseil municipal, était de démolir l église. Dans le cadre de la défense du patrimoine du XX eme siècle, la DRAC Nord-Pas-de-Calais a donc affirmé sa volonté de sauver l'édifice de la destruction. Cependant diverses circonstances et contraintes financières n'ont pas permis de lui rendre sa splendeur passée. Figure 10 Élévation sud : fenêtres après restauration, détail des maçonneries. Phot. Lionel Dubois. Lionel Dubois, Phot Éric Dessaint, CRMH Nord-Pas-de-Calais. La commune ne peut financer seule la restauration Il aurait été difficile pour une commune de 274 habitants de financer ne serait-ce que les 50% du coût des travaux habituellement non subventionnés pour un édifice classé. En effet, au-delà d'un premier investissement de , le coût de la reconstruction du clocher représentait à lui seul un montant de , auquel il fallait ajouter pour les vitraux et dalles de verre. (fig. n 10) (fig. n 11) Figure 11 Élévation sud : détail du portail après restauration. Phot. Éric Dessaint, CRMH Nord-Pas-de-Calais. 11

12 La DRAC conserve la maîtrise d'ouvrage à titre dérogatoire Par ailleur, la DRAC, maître d ouvrage de l opération, s est interrogée à plusieurs reprises, sur la conduite à tenir dans le cadre notamment de la demande d abandon de la maîtrise d ouvrage de l État. La commune ne pouvait manifestement pas assurer la maîtrise d ouvrage de l opération et la DRAC, en l assurant, n était pas en mesure de collecter les contributions financières des autres partenaires éventuels : Conseil général du Pas-de-Calais, Conseil régional etc. en raison des règles de subventionnement locales. Après l échec de la tentative de transfert de la maîtrise d ouvrage à la commune ou à une communauté d agglomération, la DRAC a finalement demandé à titre dérogatoire de reprendre la maîtrise d ouvrage afin d achever la restauration. (fig. n 12) Figure 12 Vue générale des façades après restauration. Phot. Éric Dessaint, CRMH Nord-Pas-de-Calais. LA RECONSTRUCTION DE LA TOUR DU COCHER, LA RESTAURATION DE DALLES DE VERRE ARESTURATION DES DALLES DE VERR E La restauration des dalles de verre et la reconstruction du clocher ont donc été réalisées sous la maîtrise d'ouvrage de la DRAC dans les conditions précisées ci- après : Les verrières en dalles de verre ont nécessité une intervention lourde L altération des supports métalliques n offrait plus la sécurité suffisante pour un maintien en place des dalles de verre et des panneaux de vitraux. Ceux-ci on fait l objet d un relevé, puis ont été déposés par un maître-verrier et mis en caisse à l intérieur de l édifice. Des clôtures provisoires en panneaux alvéolaires en matière plastique ont été posées en lieu et place des panneaux et dalles déposées ainsi qu en remplacement des vitrages cassés sur les autres baies. Il a été procédé à un calepinage des panneaux déposés avec numérotation des dalles de verre, et coupe des panneaux. Les dalles de verre ont été séparées du béton qui les sertit puis triées et séparées des pièces à conserver qui ont été nettoyées.des dalles de verre neuves à l'aspect et aux caractéristiques identiques à celles d origine ont remplacé les pièces qui n ont pas été conservées. Des échantillons et des assemblages ont été réalisés à titre d essai. Les dalles de verre colorées, constituées de petites pièces découpées, de 5 cm d épaisseur formant mosaïque, ont été insérées dans des dalles en béton à treillis, renforcées par un cadre plus épais en forme de talons, assemblées entre elles par un calfeutrement en béton fibré. 12

13 Toute l'ossature métallique a été remplacée Les verrières à vitrerie au plomb ont nécessité une remise en plomb de tous les panneaux et un changement de toute l ossature avec remplacement des cornières par des barlotières munies de feuillards; l ajout de vergettes s est avéré indispensable en raison de la taille et de la mauvaise tenue de tous les panneaux. Les vitreries colorées en verre imprimé ont été remplacées par des modèles de verre identique Toute l ossature métallique a été remplacée par une serrurerie en acier galvanisé de même profil. Les fers apparents ont été peints. La restitution du clocher dans son état d origine, un véritable défi technique Le défi technique était déjà maîtrisé au stade de l étude. Des moules pour l ensemble des éléments coulés en béton ont été préfabriquées en atelier, la mise en oeuvre de barres métalliques scellées a été faite sur place. La mise en place du coffrage par planches de largeur inégale a permis la restitution des plans de claustras si caractéristiques de cette construction. Par ailleurs, il a été restitué l'état de surface d'origine du béton. Les travaux se sont déroulés dans les conditions ci-après : une grue a été installée et mise à disposition de l ensemble des corps d état intervenant pendant la durée du chantier des étaiements provisoires au droit des démolitions susceptibles de causer des désordres structurels, ont été ensuite installés au pourtour de la tour carré tant en repos au sol qu en repos sur couverture et au droit de la tourelle d accès à la terrasse haute de la tour carrée. la démolition de la dalle haute et sa réfection à neuf s imposait aussi, un parapluie à l aplomb de la démolition de la dalle haute de la tour carrée a été installé afin d éviter toutes infiltrations intérieures. Les ouvrages suivants ont été refaits en béton à neuf sur cinq niveaux : les quatre tourelles fasciculées hautes à prisme circulaire avec nervures et basses à prisme à quatre côtés à chaque angle de la tour centrale, la tour centrale à ajours décoratifs à prisme circulaire, les claustras et étrésillons. l escalier à vis de la tour centrale, les tourelles d accès, les balustrades et gargouilles. La méthodologie de la reconstruction a comporté différentes phases : recherche et formulation des bétons, établissement des plans d exécution, préfabrication en atelier des différents éléments constitutifs du clocher, traçage des épures, conception et réalisation des coffrages bois et acier, assemblage des armatures et positionnement dans les coffrages, coulage des éléments béton préfabriqués, pose des éléments préfabriqués sur site. Ces travaux ont été complétés par la mise en place d une étanchéité en plomb sur la coque de la tourelle d accès, l intérieur de la tour centrale et sur la terrasse haute de la tour carrée. Les cloches ont été ré-installées après restauration et remises en fonctionnement. Les verrières à vitrage ont été refaites Un paratonnerre a été mis en place. Un éclairage spécifique met en valeur le clocher. Cette reconstruction à l'identique du clocher a ainsi achevé la restauration de cette église rurale sans laquelle ce bâtiment ne serait plus devant nos yeux. 13

14 Maître d'oeuvre et entreprises Maitre d'oeuvre : Lionel DUBOIS, Architecte en chef des monuments historiques Juvisy sur Orge Vérificateur: Pascal DUPUIS - Vérificateur des monuments historiques La Ville du Bois Bureau de contrôle - Préventec Roubaix Coordonnateur SPS - Ouest coordination Villeneuve d'ascq Corps d'état étendus - Entreprise Sotrasen Cappellebrouck Vitraux : Atelier Brouard Ronchin 14

15 CONTACT PRESSE Direction Régionale des Affaires Culturelles Nord-Pas-de-Calais 1-3, rue du Lombard CS LILLE 15

Grisaille décorative (baie 25)

Grisaille décorative (baie 25) Grisaille décorative (baie 25) Cathédrale Saint-Gervais-Saint-Protais place Cardinal-Binet Soissons Dossier IM02005331 réalisé en 2004 Copyrights Copyrights Auteurs (c) Région Picardie - Inventaire général

Plus en détail

Eglise paroissiale Saint-Martin

Eglise paroissiale Saint-Martin Eglise paroissiale Saint-Martin place de la Mairie Armbouts-Cappel Dossier IA59002570 réalisé en 2005 Copyrights Copyrights Auteurs (c) Région Nord - Pas de Calais - Inventaire général Frémaux Céline Rédacteur

Plus en détail

Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné :

Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : l'assemblage de parpaings le moulage dans un coffrage donnant une forme circulaire

Plus en détail

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN I - Données Générales INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN Rivalités entre réhabilitation, restauration et rénovation Au cours des dernières années, d'importantes études ont été entreprises dans les quartiers

Plus en détail

Le Château de Kerjean est classé monument historique

Le Château de Kerjean est classé monument historique restauration du château 7/06/06 18:13 Page 1 restauration du château 7/06/06 18:14 Page 2 Le Château de Kerjean est classé monument historique Ce classement a été effectué en 1911, lorsque le château a

Plus en détail

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation

Plus en détail

2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts

2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts 2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts DESCRIPTION ET PLAN L église paroissiale de Cernay- La- Ville inscrite à l inventaire des Monuments

Plus en détail

La Chapelle de la Ferme d Ithe

La Chapelle de la Ferme d Ithe La Chapelle de la Ferme d Ithe Le Tremblay-sur-Mauldre / Jouars-Pontchartrain (78 Yvelines) Une dizaine de jeunes, âgés de 17 à 20 ans, ont inauguré, durant les deux dernières semaines de juillet, une

Plus en détail

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement

Plus en détail

Normes de subventionnement pour travaux de conservation et restauration des bâtiments mis sous protection

Normes de subventionnement pour travaux de conservation et restauration des bâtiments mis sous protection Normes de subventionnement pour travaux de conservation et restauration des bâtiments mis sous protection CFC GENRE DE TRAVAIL SUVBENTIONNALBE 0 TERRAIN 04 Financement avant le début des travaux 05 Conduites

Plus en détail

CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE

CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE S O M M A I R E CHAPITRE 1 - PRÉSENTATION GÉNÉRALE... 2 CHAPITRE 2 - SÉCURITÉ DES PERSONNES VIS A VIS

Plus en détail

CONNAISSANCE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL ET URBAIN RAPPORT DE PRÉSENTATION

CONNAISSANCE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL ET URBAIN RAPPORT DE PRÉSENTATION ARCHITECTURAL ET URBAIN ZPPAUP Montpellier Gambetta Clemenceau Figuerolles Rapport de présentation Juillet 2006 Page 73 Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager SECTEUR GAMBETTA

Plus en détail

Ossature - Poteaux-poutres

Ossature - Poteaux-poutres Construction Bois Ossature - Poteaux-poutres 2015 Construction de clos-couverts isolés en ossature bois ou système poteaux-poutres Pionnier de la construction bois dans l Ain, ELCC intègre toutes les compétences

Plus en détail

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE 1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de

Plus en détail

LE GÉNIE PARASISMIQUE

LE GÉNIE PARASISMIQUE LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège

Plus en détail

Grand Palais, Champs-Elysées Paris

Grand Palais, Champs-Elysées Paris Grand Palais, Champs-Elysées Paris Depuis mai 2007: Etablissement Public du grand Palais des Champs Elysées Travaux de confortation (phase 1) - Bureau de contrôle: SOCOTEC - Coordination sécurité et protection

Plus en détail

LOT N 2 - MENUISERIES EXTERIEURES INTERIEURES et FAUX PLAFONDS

LOT N 2 - MENUISERIES EXTERIEURES INTERIEURES et FAUX PLAFONDS LOT N 2 - MENUISERIES EXTERIEURES INTERIEURES et FAUX PLAFONDS 4.A. OBJET DES TRAVAUX Les travaux prévus au présent lot concernent tous les ouvrages de Menuiseries extérieures, intérieures et de faux plafonds,

Plus en détail

Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)

Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers

Plus en détail

Histoire de charpente

Histoire de charpente Histoire de charpente Le 15 juin 2012 la restauration de la toiture de l église de Murtin a débuté. Malgré sa hauteur honorable, la grue installée sur la place s est retrouvée bloquée par le coq dominant

Plus en détail

1. F e r d i n a n d F i l l o d, q u i é t a i t - i l?

1. F e r d i n a n d F i l l o d, q u i é t a i t - i l? 1. F e r d i n a n d F i l l o d, q u i é t a i t - i l? Ferdinand Fillod est né à la fin du XIXème siècle, en 1891 à Saint-Amour dans le Jura. Après avoir suivi une formation de chaudronnier, Fillod s

Plus en détail

VILLE DE BAYONNE RESTAURATION DES IMMEUBLES EN CENTRE ANCIEN Secteur Sauvegardé, Zone patrimoniale de St Esprit

VILLE DE BAYONNE RESTAURATION DES IMMEUBLES EN CENTRE ANCIEN Secteur Sauvegardé, Zone patrimoniale de St Esprit VILLE DE BAYONNE RESTAURATION DES IMMEUBLES EN CENTRE ANCIEN Secteur Sauvegardé, Zone patrimoniale de St Esprit REGLEMENT D ATTRIBUTION DE SUBVENTIONS COMMUNALES Afin de préserver et mettre en valeur le

Plus en détail

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du

Plus en détail

Les étapes d un dossier MOB dans l entreprise

Les étapes d un dossier MOB dans l entreprise Les étapes d un dossier MOB dans l entreprise 1 Les étapes d un dossier MOB au bureau d études: 1. La réalisation du devis 2. Passage en commande du dossier 3. La demande d éléments 4. Le plan d implantation

Plus en détail

Le financement du projet

Le financement du projet Le financement du projet Comment financer mon projet? 14 Votre budget doit faire l objet d une étude approfondie. Pour vous aider à établir votre plan de financement, faites appel à l Association Départementale

Plus en détail

LATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO

LATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO LATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO NERGALTO, NERLAT, GALTO Facilité d emploi, Adaptabilité, Performance Les lattis métalliques nervurés NERLAT et NERGALTO sont la solution LATTIS adoptée par les

Plus en détail

CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE. Destinataires : AREA M. SIRON

CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE. Destinataires : AREA M. SIRON AGENCE DE MARSEILLE CONTROLE TECHNIQUE DE CONSTRUCTION 8 RUE JEAN JACQUES VERNAZZA BP 193 13322 MARSEILLE CEDEX 16 04.96.15.22.60 04.96.15.23.96 CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE Destinataires

Plus en détail

MARNE REIMS PALAIS DU TAU

MARNE REIMS PALAIS DU TAU CENTRE DES MONUMENTS NATIONAUX DIRECTION REGIONALE DES AFFAIRES CULTURELLES DE CHAMPAGNE-ARDENNE, Maître d'ouvrage délégué CONSERVATION REGIONALE DES MONUMENTS HISTORIQUES 3, FAUBOURG SAINT-ANTOINE 51

Plus en détail

église paroissiale ; cimetière Saint-Pierre de Poulainville, devenus cimetière communal (détruit)

église paroissiale ; cimetière Saint-Pierre de Poulainville, devenus cimetière communal (détruit) Ancienne église paroissiale et cimetière Saint-Pierre de Poulainville, devenus cimetière communal (détruit) place de l' Eglise Poulainville Dossier IA80003711 réalisé en 2002 Copyrights Copyrights Auteurs

Plus en détail

Garde-corps. bfu bpa upi. Base: norme sia 358. Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité.

Garde-corps. bfu bpa upi. Base: norme sia 358. Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité. bfu bpa upi Mb 9401 Garde-corps Base: norme sia 358 Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité. Habitations, magasins, bâtiments administratifs, écoles

Plus en détail

Lexique. -- Lycée GABRIEL -- Architecture et habitat - Argentan - Orne - L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE

Lexique. -- Lycée GABRIEL -- Architecture et habitat - Argentan - Orne - L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE ACADÉMIE DE CAEN L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN Lexique Abside Extrémité d'une église, en demi-cercle ou polygonale, entourant le chœur, où se plaçait le clergé.

Plus en détail

Linstallation d un escalier dans la. un escalier de béton à double quart tournant en kit. Construire soi-même LABEL. Label. Label D E I S O N L A

Linstallation d un escalier dans la. un escalier de béton à double quart tournant en kit. Construire soi-même LABEL. Label. Label D E I S O N L A maçonnerie Construire soi-même un escalier de béton à double quart tournant en kit Bricoler du Côté d e la M ais o n Label BRICOLER DU CÔTÉ DQUALITÉ E LA MAISON LABEL BRICOLER DU CÔTÉ DE LA MAISON Label

Plus en détail

Le maçon à son poste de travail

Le maçon à son poste de travail Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

MACONNERIE/GROS OEUVRE

MACONNERIE/GROS OEUVRE GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage

Plus en détail

Présentation renouveau école Georges Pamart

Présentation renouveau école Georges Pamart MAIRIE DE QUERENAING DEPARTEMENT DU NORD REPUBLIQUE FRANCAISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE Arrondissement de Valenciennes - Canton de Valenciennes Sud www.querenaing.fr Présentation renouveau école Georges

Plus en détail

Menuiseries du bâtiment

Menuiseries du bâtiment D. Mugniery C. Pruvost Menuiseries du bâtiment Portes et fenêtres Volets Parquets Escaliers Revêtements muraux Agencement Graphisme de couverture : Maud Warg Maquette intérieure : Maud Warg Mise en pages

Plus en détail

>I Maçonnerie I ESCALIERS MAISON INDIVIDUELLE

>I Maçonnerie I ESCALIERS MAISON INDIVIDUELLE ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières Terminologie Ouvrage de circulation verticale

Plus en détail

Mario Botta (1943) Le Musée d'art moderne de San Francisco

Mario Botta (1943) Le Musée d'art moderne de San Francisco Mario Botta (1943) Architecte suisse. De 1961 à 1964, il étudie au Liceo Artistico à Milan puis, jusqu'en 1969 à l'istituto Universitario di Architettura à Venise où il est l élève de Carlo Scarpa. En

Plus en détail

FICHE PRATIQUE 05 TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS LES AUTORISATIONS DE TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS QUESTIONS / RÉPONSES

FICHE PRATIQUE 05 TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS LES AUTORISATIONS DE TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS QUESTIONS / RÉPONSES LES AUTORISATIONS DE TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS QUESTIONS / RÉPONSES FICHE PRATIQUE 05 TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS COMMENT PRÉPARER LES DEMANDES? QUELLES SONT LES RÈGLES A RESPECTER? MINISTÈRE DE LA CULTURE

Plus en détail

Dossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon

Dossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 20 L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 21 Besançon : des défenses façonnées par un méandre dominé > 21 27 La citadelle Historique La position stratégique

Plus en détail

COMMUNE DE SELLES SAINT DENIS REHABILITATION ET REMISE AUX NORMES D UNE BOUCHERIE- CHARCUTERIE 41 300 SELLES SAINT DENIS

COMMUNE DE SELLES SAINT DENIS REHABILITATION ET REMISE AUX NORMES D UNE BOUCHERIE- CHARCUTERIE 41 300 SELLES SAINT DENIS COMMUNE DE SELLES SAINT DENIS REHABILITATION ET REMISE AUX NORMES D UNE BOUCHERIE- CHARCUTERIE 41 300 SELLES SAINT DENIS Lot n 03 Menuiseries Aluminium - Serrurerie Sté d ARCHITECTURE BOITTE Agence de

Plus en détail

>I Maçonnerie I Escaliers

>I Maçonnerie I Escaliers ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières g Terminologie n Ouvrage de circulation verticale

Plus en détail

PAROISSE NOTRE-DAME DE LOURDES 1427 avenue Roger Salengro 92370 CHAVILLE

PAROISSE NOTRE-DAME DE LOURDES 1427 avenue Roger Salengro 92370 CHAVILLE PAROISSE NOTRE-DAME DE LOURDES 1427 avenue Roger Salengro 92370 CHAVILLE C. R. n 11 REPARATION STRUCTURE BETON DU CLOCHER COUVERTURE ZINC DU CLOCHER RAVALEMENT BRIQUE DE LA TOUR DU CLOCHER ETANCHEITE RESINE

Plus en détail

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE

Plus en détail

Immeuble, Le Square Duvernay

Immeuble, Le Square Duvernay Immeuble, Le Square Duvernay rue Duvernay rue Comte-de-Loche Quartier de la gare Aix-les-Bains Dossier IA73002041 réalisé en 2012 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du

Plus en détail

C.C.T.P CONSTRUCTION DE SANITAIRES POUR LE CAMPING DES BERGES DU GERS

C.C.T.P CONSTRUCTION DE SANITAIRES POUR LE CAMPING DES BERGES DU GERS SCI CAMOZZI MOULIOT C.C.T.P CONSTRUCTION DE SANITAIRES POUR LE CAMPING DES BERGES DU GERS LOT N 04 MENUISERIE INTERIEURE / CABINES LOT 04 MENUISERIE INTERIEURE / CABINES 1 04 MENUISERIE BOIS Sommaire 04

Plus en détail

Villa dite Saint-Cloud

Villa dite Saint-Cloud Villa dite Saint-Cloud 54 boulevard Frédéric-Garnier Royan Dossier IA17046390 réalisé en 2014 Copyrights Copyrights Auteurs (c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel Enquêteur : Suire

Plus en détail

ETAT DES LIEUX RAPPEL DE L ETAT DES LIEUX EFFECTUE EN JANVIER 1993

ETAT DES LIEUX RAPPEL DE L ETAT DES LIEUX EFFECTUE EN JANVIER 1993 ETAT DES LIEUX RAPPEL DE L ETAT DES LIEUX EFFECTUE EN JANVIER 1993 1 ETAT DES LIEUX AU PRINTEMPS 2010 Végétation Souche effondrée Végétation Parties hautes des murs effondrées Cheminées effondrées Ouverture

Plus en détail

usine de petit matériel électrique

usine de petit matériel électrique Usine de petit matériel électrique dite Lampes Visseaux, puis Claude, Paz et Visseaux, puis I.T.T. puis G.T.E., actuellement Sylvania Lighting International France (S.L.I. France) 22 rue Berjon Lyon 9e

Plus en détail

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature

Plus en détail

Ce guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :

Ce guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment : INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points

Plus en détail

PROGRAMME DE TRAVAUX SUR LA MACONNERIE

PROGRAMME DE TRAVAUX SUR LA MACONNERIE PROGRAMME DE TRAVAUX SUR LA MACONNERIE Une grande partie des désordres constatés sur les murs est due à la charpente, conjuguée à quelques problèmes de tassements différentiels (angle nord-est). De façon

Plus en détail

C0nstruire une mais0n. Sommaire

C0nstruire une mais0n. Sommaire Sommaire Page 2 : Le terrain Page 3 : Les raccordements Page 4 : Les fondations Page 5 : La chape Page 6 : Les murs Page 8 : Les planchers Page 9 : Le toit Page 10 : La charpente Page 12 : Les tuiles C0nstruire

Plus en détail

Présentation : Notre équipe se compose :

Présentation : Notre équipe se compose : SUEUR CONSTRUCTION BOIS 6, route de Haute-Avesnes 62 144 ACQ Téléphone : 03 21 59 05 40 Fax : 03 21 59 17 01 www.sueur-construction-bois.fr sueurconstructionbois@wanadoo.fr Présentation : La Société SUEUR

Plus en détail

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique

Plus en détail

«RÉFECTION DES PLOTS Salle MATISSE» C.C.T.P. (Cahier des Clauses Techniques Particulières) Lot n 1 Maçonnerie

«RÉFECTION DES PLOTS Salle MATISSE» C.C.T.P. (Cahier des Clauses Techniques Particulières) Lot n 1 Maçonnerie «RÉFECTION DES PLOTS Salle MATISSE» C.C.T.P. (Cahier des Clauses Techniques Particulières) Lot n 1 Maçonnerie Maître d ouvrage : Maître d œuvre : Marché : Objet : Mode de consultation : Personnes à contacter

Plus en détail

Maison, actuellement bureaux

Maison, actuellement bureaux Maison, actuellement bureaux 95 avenue du Grand-Port Chourdy-Pont Rouge Aix-les-Bains Dossier IA73002139 réalisé en 2013 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine

Plus en détail

RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES. Ecole de MIRANGO I

RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES. Ecole de MIRANGO I RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES Ecole de MIRANGO I Vincent DAVID Le 21 décembre 2010 Table des matières 1- Les outils d accessibilité principalement utilisés 1-1 Les rampes d accès

Plus en détail

Références : Loi n 79-1150 du 29 décembre 1979 modifiée par la loi n 95-101 du 2 février 1996 (article 53).

Références : Loi n 79-1150 du 29 décembre 1979 modifiée par la loi n 95-101 du 2 février 1996 (article 53). Objet : Publicité, enseignes et pré-enseignes. Références : Loi n 79-1150 du 29 décembre 1979 modifiée par la loi n 95-101 du 2 février 1996 (article 53). Le décret n 96-946 du 24 octobre 1996 pris en

Plus en détail

8 LES AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS ET LA SERRURERIE

8 LES AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS ET LA SERRURERIE 8 LES AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS ET LA SERRURERIE De nombreux produits en acier (plats, tubes, barres, tiges, câbles, cornières ) sont utilisés pour les aménagements intérieurs et dans les éléments annexes

Plus en détail

Murs poutres & planchers

Murs poutres & planchers Murs poutres & planchers Henri RENAUD Deuxième édition Groupe Eyrolles, 2002, 2005, ISBN 2-212-11661-6 8. Structure porteuse : murs, planchers, charpente Eléments porteurs ou de liaisons qui contribuent

Plus en détail

Poseuse de systèmes intérieurs

Poseuse de systèmes intérieurs Poseuse de systèmes intérieurs Le plan de formation des apprentissages (poseuse de systèmes intérieurs) Les tâches du métier de poseuse de systèmes intérieurs Tâche 1 : Tâche 2 : Tâche 3 : Tâche 4 :

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

Chantier de restauration. du clocher de l église de la Madeleine

Chantier de restauration. du clocher de l église de la Madeleine Chantier de restauration du clocher de l église de la Madeleine Histoire L érosion du temps Quelques dates 1474 Fondation de l église Sainte Marie-Madeleine par le Comte Jean VIII de Vendôme 1487 Création

Plus en détail

Vocabulaire maisons Maisons Paysannes de Charente

Vocabulaire maisons Maisons Paysannes de Charente Vocabulaire maisons Maisons Paysannes de Charente Définition de la maison C est l abri qui permet aux humains de vivre décemment. Elle se compose de 4 murs et d un toit qui nous apparaissent ainsi : -

Plus en détail

LE MICX, NOUVEAU CENTRE DE CONGRÈS À MONS

LE MICX, NOUVEAU CENTRE DE CONGRÈS À MONS Regard sur le béton LE MICX, NOUVEAU CENTRE DE CONGRÈS À MONS Depuis février 2015, Mons jouit de la présence d un nouvel édifice imposant, situé à deux pas de la future gare de Santiago Calatrava. Dans

Plus en détail

Aménagement d'un point Multi-services

Aménagement d'un point Multi-services 1 MAITRE D'OUVRAGE VILLE DE FEYZIN Aménagement d'un point Multi-services (marché n 10.054 T) CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUE PARTICULIERES (C.C.T.P) LOT N 2 SERRURERIE 2 SOMMAIRE 1 OBJET DU MARCHE... 3 1.1

Plus en détail

90 rue Jean-Jaurès Creil Dossier IA60001641 réalisé en 2006

90 rue Jean-Jaurès Creil Dossier IA60001641 réalisé en 2006 Ancienne fonderie de zinc Allary, puis usine de serrurerie (usine de coffres-forts) Fichet, puis garage de réparation automobile, puis dépôt d'autobus, puis entrepôt commercial 90 rue Jean-Jaurès Creil

Plus en détail

26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale.

26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale. Pièces constitutives d une charpente Charpente traditionnelle Structure principale Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire 2 1 5 4 3 1 - Panne 2 - Panne faitière 3 - Sablière 4 - Chevron

Plus en détail

De La Terre Au Soleil

De La Terre Au Soleil De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,

Plus en détail

Produits préfabriqués lourds

Produits préfabriqués lourds Fiche Prévention - E4 F 13 14 Produits préfabriqués lourds Manutention, stockage et transport Les produits préfabriqués lourds sont nombreux et communément utilisés sur les chantiers de gros œuvre. Parmi

Plus en détail

Urbanisme 07-002. Introduction. (du 23 février 2007) Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs,

Urbanisme 07-002. Introduction. (du 23 février 2007) Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Urbanisme 07-002 Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit pour des travaux d entretien des annexes est et ouest du Musée d art et d histoire et pour des travaux de

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014

«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014 «RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux Ce document présente : Date d édition : 1 septembre 2014 Les qualifications et certifications «RGE»

Plus en détail

Guide des autorisations d urbanisme

Guide des autorisations d urbanisme Guide des autorisations d urbanisme de Service Urbanisme Villenoy 2014 TABLE DES MATIERES QUEL DOSSIER DEPOSER POUR MON PROJET?... 2 QUELQUES NOTIONS POUR BIEN DEMARRER.... 2 MON PROJET EST-IL SOUMIS A

Plus en détail

Formation Bâtiment Durable :

Formation Bâtiment Durable : Formation Bâtiment Durable : Menuiseries extérieures : comment choisir? Bruxelles Environnement EN RÉNOVATION, CONSERVATION, RESTAURATION ET AMÉLIORATION DES CHÂSSIS Dispositifs et éléments du choix durable

Plus en détail

800_Pajol Cpt au 31-01-2011 inclus. Complexe Sportif PAJOL SOLUTION RADIER. Finitions Scellements et calfeutrements Coulage plancher.

800_Pajol Cpt au 31-01-2011 inclus. Complexe Sportif PAJOL SOLUTION RADIER. Finitions Scellements et calfeutrements Coulage plancher. 800_Pajol Cpt au 31-01-2011 inclus Complexe Sportif PAJOL SOLUTION RADIER BILAN MAIN D' ŒUVRE RECAP COD DESIGNATIONS Bud AVANCMT CREDIT DEPENSE ECART ACT 14 817,00 106,00 14 817,00 3,65% 541,45 570,00-28,55

Plus en détail

MAISONS MODULAIRES ESPAGNOLES Qualité Européenne

MAISONS MODULAIRES ESPAGNOLES Qualité Européenne MAISONS MODULAIRES ESPAGNOLES Qualité Européenne Les MAISONS PRÉFABRIQUÉES ADOSABLES sont basées sur une structure résistante qui intègre un forgé métallique à double pente et des piliers; fermeture à

Plus en détail

Ensemble d habitations

Ensemble d habitations Ensemble d habitations C o l l i n e S a i n t - D e n i s à L a g n y s u r M a r n e Une démarche architecturale à l épreuve du temps Ces maisons furent construites au début de la seconde moitié du XX

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

RAPPORT D INTERVENTION

RAPPORT D INTERVENTION R PRESTATAIRE DE SERVICES RAPPORT D INTERVENTION N 7445 Rédigé par Eric TANGUY Céline LETORT Intervention du 23/07/2010 Affaire Nature de l intervention Toiture contrôlée Intervention à la demande de Résidence

Plus en détail

AUDIT DES PLANCHERS EXISTANTS

AUDIT DES PLANCHERS EXISTANTS Nice la Plaine 1 - Bt A3 RN 202 - Iscles des Arboras 06200 NICE Téléphone : 04 92 29 60 60 Télécopie : 04 93 83 83 36 Réf. client : NCA : /07 FT/FT MAIRIE DE NICE Direction des Bâtiments Communaux Service

Plus en détail

Etude technique et historique. Association Culturelle Pierre Abélard -2006 LE PALLET

Etude technique et historique. Association Culturelle Pierre Abélard -2006 LE PALLET Le Pallet Comprendre la chapelle Sainte-Anne Etude technique et historique Association Culturelle Pierre Abélard -2006 LE PALLET SOMMAIRE - Page 2 - La chapelle aujourd hui. Introduction Rappel historique

Plus en détail

LES MURS EN STRUCTURE BOIS

LES MURS EN STRUCTURE BOIS LES MURS FICHE TECHNIQUE / 03 LES TECHNIQUES CONSTRUCTIVES TRADITIONNELLES Le mur en structure bois est toujours posé sur une base en pierre ou maçonnerie afin de le protéger de l'humidité (voir fiche

Plus en détail

Restaurant les Covagnes

Restaurant les Covagnes Restaurant les Covagnes Flaine Front de neige Magland Dossier IA74000962 réalisé en 2006 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel ; Ecole d'architecture

Plus en détail

COMMUNE D HAUTERIVE CONSEIL GENERAL

COMMUNE D HAUTERIVE CONSEIL GENERAL COMMUNE D HAUTERIVE CONSEIL GENERAL Rapport du Conseil Communal au Conseil Général à l appui d une demande de crédit pour l exécution de travaux de réfection des toitures de la Maison des Arcades et Galerie

Plus en détail

Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense

Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense 5 ème Forum International Bois Construction FBC 2015 Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense P. Gontier 1 Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense Pascal Gontier Architecte

Plus en détail

DISPOSITIONS GÉNÉRALES

DISPOSITIONS GÉNÉRALES DISPOSITIONS GÉNÉRALES ÉTAIEMENT 2 MANUTENTION La manutention manuelle est aisée en raison de la légèreté des poutrelles FILIGRANE. Toutefois, en cas de manutention par grue avec élingues ou palonnier,

Plus en détail

Regard sur le béton. Maison «Mannaz» à Wasseiges

Regard sur le béton. Maison «Mannaz» à Wasseiges Regard sur le béton Maison «Mannaz» à Wasseiges La maison «Mannaz» s implante dans la campagne de la Hesbaye, ouverte sur son paysage et ancrée dans son patrimoine bâti. L architecte Yves Delincé traduit

Plus en détail

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi

Plus en détail

Coffrage MBA pour ceintures et linteaux

Coffrage MBA pour ceintures et linteaux Coffrage MBA pour ceintures et linteaux Une console d armature d un nouveau genre et un système d éléments à insérer les uns dans les autres pour fixer les barres d armature Le premier système de A à Z!

Plus en détail

Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage»

Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité des constructions. Il a été rédigé

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014 «RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux Date d édition : Janvier 2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications«rge» classées par domaine

Plus en détail

Nota : le présent procès-verbal sera considéré comme accepté de tous s'il n'est fait aucune objection écrite pour le rendez-vous suivant.

Nota : le présent procès-verbal sera considéré comme accepté de tous s'il n'est fait aucune objection écrite pour le rendez-vous suivant. Nota : le présent procès-verbal sera considéré comme accepté de tous s'il n'est fait aucune objection écrite pour le rendez-vous suivant. 2/ 7 I GENERALITES CHANTIER 1. PLANNING PREVISIONNEL POUR le 10

Plus en détail

Ywood Les Docks Libres à Marseille

Ywood Les Docks Libres à Marseille Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 1 Ywood Les Docks Libres à Marseille Stéphane Bouquet NEXITY / YWOOD FR-Paris, Marseille 2 Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 5 ème Forum International

Plus en détail

Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.

Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté,

Plus en détail

Toitures et charpentes

Toitures et charpentes Toitures et charpentes 1/7 Toiture-terrasse Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des toitures-terrasses, accessibles ou non. Les ouvrages considérés sont

Plus en détail

NOTICE D ACCESSIBILITE AUX PERSONNES HANDICAPEES

NOTICE D ACCESSIBILITE AUX PERSONNES HANDICAPEES NOTICE D ACCESSIBILITE AUX PERSONNES HANDICAPEES ETABLISSEMENT RECEVANT DU PUBLIC RENSEIGNEMENTS GENERAUX COMMUNE DE MONSEGUR (33) DESIGNATION PRECISE DU PROJET MAITRE D OUVRAGE EQUIPE DE MAITRISE D OEUVRE

Plus en détail

RÈGLEMENT CO-2013-803 CONSTITUANT LE CONSEIL LOCAL DU PATRIMOINE CHAPITRE I CONSTITUTION DU CONSEIL LOCAL DU PATRIMOINE

RÈGLEMENT CO-2013-803 CONSTITUANT LE CONSEIL LOCAL DU PATRIMOINE CHAPITRE I CONSTITUTION DU CONSEIL LOCAL DU PATRIMOINE RÈGLEMENT CO-2013-803 CONSTITUANT LE CONSEIL LOCAL DU PATRIMOINE LE CONSEIL DÉCRÈTE CE QUI SUIT : CHAPITRE I CONSTITUTION DU CONSEIL LOCAL DU PATRIMOINE 1. Le conseil local du patrimoine est constitué.

Plus en détail

Brochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents

Brochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents Brochure technique Garde-corps bpa Bureau de prévention des accidents Eviter les chutes dans les bâtiments Les garde-corps remplissent une fonction importante dans les bâtiments: ils protègent des chutes

Plus en détail

"Construction d'un Laboratoire sec sur la mezzanine de l' UR IRMO"

Construction d'un Laboratoire sec sur la mezzanine de l' UR IRMO Département de l'hérault commune de Montpellier CEMAGEF Groupement de Montpellier Domaine de Lavalette 361 rue jean François Breton 34196 Montpellier C.C.T.P. "Construction d'un Laboratoire sec sur la

Plus en détail