GESTION DES CONDUITES ADDICTIVES. Nathalie HECQ, intervenante en éducation pour la santé, service de prévention en addictologie, ASSNC

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1 GESTION DES CONDUITES ADDICTIVES Nathalie HECQ, intervenante en éducation pour la santé, service de prévention en addictologie, ASSNC

2 PROGRAMME DE PREVENTION ET DE SOINS EN ADDICTOLOGIE SERVICE DE PREVENTION DECLIC (consultation pour les ans) CENTRE DE SOINS EN ADDICTOLOGIE ELSA Consultation délocalisée une fois par mois à Poindimié et Koné

3 Vos attentes ABCDaire

4 Introduction Pour les addictions comme dans la majorité des changements de comportements, le besoin d aide spécialisée concerne une minorité. Dans la majorité des cas, le changement est naturel et spontané. Une courte intervention peut provoquer de grands changements. Intégrer la notion de temps dans les changements de comportement. Il faut savoir accepter parfois l échec.

5 Les personnes changent Parce qu elles le veulent bien Parce qu il y a une bonne raison de le faire Parce qu elles ont confiance dans leur capacité de le faire Parce que l interaction avec une personne leur donne envie de changer.

6 Exercice N 1: Expérimenter les effets des différents types d entretiens

7 Notons les mécanismes qui favorisent le changement :

8 L environnement (la pression sociale, la loi, l image sociale, l accessibilité au produit ) L individu : réflexion personnelle, information, désir, confiance en soi Relations affectives, familiales, professionnelles, thérapeutiques etc

9 Comment situer la personne dans son désir de changement de comportement?

10 Le schéma de Prochaska et ses 6 étapes

11 La pré-intention La personne n envisage pas de changer son comportement dans les 6 mois. L intention La personne envisage de modifier ses habitudes dans un délai proche. La préparation La décision est prise et la personne se prépare au changement

12 L action C est une période d environ 6 mois au cours de laquelle la personne modifie ses habitudes. Cela lui demande beaucoup d attention et d énergie au quotidien. Elle doit être aidée et accompagnée. Le maintien Il s agit d éviter les rechutes. L effort à fournir est moins intense, la personne a davantage confiance en ses capacités de changement.

13 La résolution C est un moment où la personne n a plus jamais la tentation de revenir à son comportement antérieur, même quand elle est stressée, anxieuse, déprimée ou colère.

14 Ce processus n est bien sûr pas linéaire : il peut y avoir des retours à un stade précédent. En cas de rechute, l intéressé revient rarement au stade de la pré-intention, et envisage souvent rapidement une nouvelle tentative de changement Pour accompagner une personne dans son suivi de changement, il faut bien entendu tenir compte du stade auquel elle se trouve. A chaque stade correspondent des modes d interventions adaptées.

15 La prise en compte de l ambivalence Chez une personne qui veut modifier son comportement, coexistent souvent le désir et la peur du changement D un côté, la consommation actuelle pose ou risque de poser des problèmes. La personne est donc consciente qu il serait préférable de la modifier, D un autre côté, boire ou fumer lui apporte encore quelques bénéfices.

16 Pour agir sur cette ambivalence, il existe des techniques d entretien visant à accroître et à renforcer la motivation du patient à changer de comportement : c est l entretien de motivation. Cet entretien doit aider la personne à prendre la décision de modifier sa consommation.

17 LES OUTILS POUR BÂTIR LA MOTIVATION

18 Ecoute active et questions ouvertes Pas de réponse par OUI ou NON Encourage la personne à s exprimer, à créer un climat de confiance. Ex: comment? De quelle façon? Comment envisagez -vous? pour quelles raisons?... Est ce que?

19 VALORISER Valoriser la personne sous forme de compliments, de compréhension Souvent la personne a perdu toute confiance en son sentiment d efficacité personnelle Ex : c est bien d avoir pris rendez-vous, je vous félicite»

20 REFORMULATION Il s agit de reformuler les propos de la personne pour vérifier que l on a bien compris sa pensée et pour l aider à la préciser, à la clarifier et à l approfondir. Par exemple : «si je vous ai bien compris» «vous pensez que» ou «vous dites que». Ce que vous dites..» Ex: quand je dois rencontrer quelqu un que je ne connait pas, je suis très timide et le cannabis m aide à être plus détendu. vous ne rencontrez jamais quelqu un de nouveau sans avoir fumer du cannabis

21 Parfois votre interlocuteur s arrête de parler en cours de phrase car il a du mal à continuer pour des raisons diverses. On peut alors reprendre la fin de sa dernière phrase laissée en suspens pour lui indiquer que l on est à son écoute et l inciter à continuer.

22 LE RESUME La personne s entend dire ce qu elle dit Montre que l on est à l écoute

23 Du tac au tac!!!!

24 S entraîner à un entretien en utilisant l écoute active : Questions ouvertes Résumé Reformulation

25 Kévin 21 ans, vient vous voir car il projette de devenir conducteur de grue. Il a fait un effort en limitant sa quantité de bière. Cependant il continue à fumer un joint de temps en temps. Il vous dit «le cannabis c est naturel, je ne vois pas ce qu il y a de mal là-dedans» Thomas 35 ans, souhaite trouver un emploi. Lors de votre entretien il vous annonce qu il est suspendu de permis de conduire pendant 6 mois pour conduite en état d ivresse. Se dit furieux après les gendarmes car il n était pas saoul.il n a pas de formation et cherche un travail car son amie est enceinte. Jusqu alors il a fait des petits boulots qui ne durent jamais.

26 Mieux comprendre pour mieux gérer

27 Alcool SUBSTANCE INDIVIDU CONTEXTE

28 Avec l alcool Non usage primaire Usage Usage à risque Usage nocif Usage avec dépendance Non usage secondaire

29 Non usage primaire N a jamais consommé d alcool

30 Usage Respect des normes O.M.S pour une consommation à moindre risque

31 La taille du verre, ça compte aussi!

32 LES VERRES STANDARDS UN VERRE STANDARD = 10 gr d alcool pur Une bière Un verre Un verre Un verre de de vin de cognac de whisky 25 cl 10 cl 3 cl 3cl IL Y A AUTANT D ALCOOL DANS CHACUN DE CES VERRES

33 = 23 VERRES STANDARDS = 19 BOITES DE BIERE DE 33 cl = 10 VERRES STANDARDS = 7 BOITES DE BIERE DE 33 cl

34 Normes de consommation à moindre risque fixées par l O.M.S Pour le buveur régulier 3 verres standards par jour pour un homme (21 verres /semaine) 2 verres standards par jour pour une femme (14 verres/semaine) Recommandations : un jour par semaine sans alcool et ne pas boire tous les verres en même temps Pendant la grossesse et l allaitement : 0 alcool

35 Normes de consommation à moindre risque fixées par l O.M.S Pour le buveur occasionnel 4 verres standards par occasion pour un homme 3 verres standards par occasion pour une femme Pas d alcool pendant la grossesse

36 Dans quels cas éviter de boire de l alcool : Quand on conduit Quand on est un enfant Quand on travaille Quand on est malade Quand on prend des médicaments

37 Usage à risque Dépasse les normes O.M.S sans avoir de complications

38 Usage nocif Consommation entraînant des dommages sanitaires, sociaux sans qu'il y ait dépendance.

39 Usage nocif / milieu du travail Effets résiduels faisant suite à la consommation de substances et qui perturbent la qualité du travail(gueule de bois le lundi matin ) Absentéisme, maladies, baisse de productivité Possibilité de mauvaise ambiance professionnelle due à l abus de substance par un collègue de travail.

40 Usage avec dépendance Perte de la gestion de la consommation (Dépendance psycho-comportementale) Syndrome de manque en l absence de consommation (Dépendance physique)

41 Usage dépendance/ milieu du travail Etat de manque. Maladies, baisse de la productivité. Obsession à vouloir obtenir et consommer des substances au travail qui peuvent nuire à la concentration et à la vigilance Possibilité de mauvaise ambiance professionnelle due à l alcoolo-dépendance d un collègue.

42 ALCOOL Non usage Usage Usage à risque Usage nocif Usage avec dépendance

43 BAD TRIP Anxiété, panique CANNABIS Modification de l humeur: Humeur dépressive Indifférence affective Isolement Entourage en souffrance DEMOTIVATION Recherche de plaisir, de sensations (planer, rigoler) Difficultés à dire Non au groupe Troubles de la mémoire immédiate Baisse de la capacité à apprendre Réflexes ralentis Le temps vécu est modifié Troubles de la personnalité : Sentiment de persécution Hallucinations visuelles agressivité Santé : Bronchites chroniques Troubles cardiaques Complications sociales : -Police, justice -Couple famille -Augmentation du risque d accident (route, travail, ) -problèmes scolaires

44 Le dépendant éprouve des difficultés à se dire «non» et à dire «non» aux autres, L estime qu il a de lui-même est faible, Il est souvent immature et a besoin de l amitié virile du groupe pour exister et pour être rassuré,

45 Le langage du dépendant Il a de grandes difficultés d'expression qui ne sont à proprement parler ni un déni ni une mauvaise foi, Il a des problèmes de communication et son langage est souvent à l envers (prétérition) Son langage devra être remis dans le bon sens pour en comprendre la signification.

46 Il utilise en effet des expressions inverses de ce qu'il veut exprimer (Je me suis arrêté déjà de nombreuses fois pour dire qu il rechute souvent), Ou encore parle du passé pour ne pas parler du présent ( quand on lui demande s il pense boire trop il répond: si vous m aviez connu à 20 ans.je buvais beaucoup ),

47 Ou parle d un autre au lieu de parler de lui (si vous saviez ce que boit le vieux d à côté ), Ou fait parler un autre à sa place (ma femme dit que je bois ), Ou parle d un organe et non de lui (mon foie est malade), Ou parle d un problème administratif et non de lui ( «ces fumiers» on m ont retiré le permis de conduire, je n ai plus de boulot ),

48 Ou quand on lui demande ce qu il boit il va nous dire ce qu il ne boit pas( je ne bois jamais de whisky, je ne bois jamais de bière.), Ou se place en victime (mon patron me cherche des poux dans la tête, ma femme «gueule tout le temps» ), Plus sa dépendance lui pose des problèmes plus son discours sera «à l envers»

49 Je fume parce que ma femme est partie, Je bois parce que je viens d être licencié, Je bois parce que j ai des dettes, Je bois parce que je suis dépressif,

50 En conclusion : pour mémoire. Changer est difficile L ambivalence est normale Le changement ne se prescrit pas sur une ordonnance Le regard des intervenants influe directement sur les capacités de changement du patient (prouvé).

51 «Pour perdre une habitude il ne suffit pas de la jeter par la fenêtre, mais il faut lui faire descendre les escaliers marche après marche» Mark Twaïn

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