L'enseigr iement. su Dérieur. France, Pays-Bas. et Pologne. unesco. en Europe

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1 L'enseigr iement su Dérieur en Europe France, PaysBas et Pologne unesco

2 ED.63.Y1.49 F rripnnie dans les atelims rie 'ilnesco, place (le iontenoy, Pans7e /=rance C' UNESC 1964

3 . L enseignement supérieur en Europe France, PaysBas et Pologne Unesco

4 PREFACE Le nombre des jeunes gens désireux de faire des études supérieures augmente de plus en plus sous l'effet de la poussée démographique postérieure à 1945, et de la démocratisation de l'enseignement supérieur. A mesure que les connaissances humaines s'enrichissent et que la gamme des disciplines s'élargit, de nouveaux problèmes liés, pm exemple, à la nécessité de la diversification et d'une spécialisation plus poussée se posent à ce niveau, en particulier dans certains secteurs de la science et de la technologie. D e plus, la société manifeste certaines exigences à l'égard des universités ; car la prospérité nationale dépend de plus en plus de la mise en valeur et de l'utilisation des ressources humaines. Le progrès technique, le développement économique, la transformation rapide des structures sociales, 1 'élargissement de la culture, conditionnent les exigences de la société à l'égard des universités, dont l'ingéniosité et l'adaptabilité se trouvent ainsi mises à l'épreuve. La présente étude, rend compte, successivement, de la situation en France, aux PaysBas et en Pologne; elle montre comment, dans des circonstances différentes, ces trois pays font face aux difficultés et aux problèmes inhérents à tout changement. Les trois rapports exposent les objectifs nationaux de l'enseignement supérieur; ils traitent de son développement à long terme dans chacun des trois pays: facteurs en cause, méthodes d'approche, planification. Les opinions exprimées à ce sujet sont naturellement celles des auteurs, et ne concordent pas forcément avec celles de l'unesco. Dans sa série Etudes et documents d'éducation, 1 'Unesco a déjà publié trois études sur l'enseignement supérieur, intitulées : Programmes officiels de coopération internationale entre institutions universitaires (no 37), 1960; L'enseignement supérieur en URSS (no 39), 1962; et L'enseignement supérieur aux EtatsUnis (no 47), Des études de ce genre semblent devoir faciliter 1 'appréciation comparative des problèmes de l'enseignement supérieur. l convient de noter enfin que le quatrième volume de L'éducation dans le monde, consacré à 1 'enseignement supérieur, paraîtra en

5 TABLE DES MATERES PREMERE PARTE L'enseignement supérieur en France Les universités françaises : Situation actuelle et perspectives, par L. Capdecome Chapitre premier. Mission des universités La recherche dans les universités L'enseignement Le développement de la promotion supérieure et de l'éducation permanente Chapitre l. Structures actuelles des universités frangaises Chapitre. Evolution des effectifs d'étudiants Chapitre V. Structure des enseignements Chapitre V. La déconcentration universitaire Chapitre V. Promotion supérieure et éducation permanente Chapitre VL Conclusions Tableaux et diagrammes DEUXEME PARTE L'enseignement supérieur aux PaysBas, par A.J. Piekaar Chapitre premier. ntroduction But de l'enseignement supérieur L'enseignement supérieur public et privé Démocratisation de l'enseignement supérieur Enseignement supérieur et développement socioéconomique Chapitre. Expansion de l'enseignement supérieur et de la recherche Recherche scientifique Enseignement supérieur Chapitre. Dispositions législatives Autonomie et unité Niveau requis de l'enseignement rganisation in terne Chapitre V. Conclusion Annexes TRSEME PARTE L'enseignement supérieur en Pologne, par Z. Ratuszniak Chapitre premier. ntroduction Chapitre. Modes et méthodes de la planification Chapitre. rganisation de l'enseignement supérieur Chapitre V. Conclusion

6 PREMERE PARTE LES UNVERSTES FRANÇASES STUATN ACTUELLE ET PERSPECTVES Par L. Capdecome Ancien directeur générai de l'enseignement supérieur Ministère de 1'Education nationaie

7 CHAPTRE PREMER MSSNS DES UNVERSTES Les missions de l'enseignement supérieur français sont ainsi définies dans un texte officiel récent (Décret du 6 janvier 1959 relatif à la réforme de l'enseignement) : "L'enseignement supérieur public a pour mission : 1") de contribuer aux progrès de la science, à la formation des chercheurs et au développement de la recherche scientifique, littéraire et technique" ; 2") "de dispenser la haute culture scientifique, littéraire et artistique" ; 3") "de préparer aux professions exigeant à la fois une culture étendue et des connaissances approfondies. (l contribue notamment à la préparation des maftres en leur donnant une formation scientifique et en participant à leur formation pédagogique) ' ; 4" )"de prendre part, au niveau le plus élevé, à l'education culturelle et au perfectionnement prof e s s ionnei". "Ses structures et ses programmes doivent être constamment adaptés aux exigences du progrès scientifique et aux besoins de la Nation". Ainsi donc, trois objectifs essentiels et inséparables se dégagent, au niveau des études supérieures : recherche enseignement perfectionnement. n soulignera le rôle de premier plan dévolu à la recherche, et la volonté exprimée d'une permanente adaptation de l'activité universitaire aux besoins économiques et sociaux de la Nation comme aux progrès du savoir. LA RECHERCHE DANS LES UNVERSTES Le personnel des universités doit, normalement, consacrer une très large part de son temps à des activités de recherche. Cette caractéristique répond à la nécessité de conserver aux divers enseignements un haut niveau scientifique, chaque mal'tre demeurant, pendant toute sa carrière, lié directement à l'avancement de la discipline qu'il enseigne. Les universitaires bénéficient d'une entière liberté dans leurs activités de recherche. Par leur nombre, ils constituent un vaste secteur libre de la recherche où les idées peuvent éclore et les travaux se développer hors de toute préoccupation d'urgence ou de rentabilité immédiate. La diversité m ême des enseignements donnés dans les universités favorise les associations les plus diverses et les plus fructueuses entre chercheurs de disciplines différentes. Cette recherche se caractérise par son universalité qui s'ajoute à son entière liberté. Les recherches des universitaires peuvent s'orienter tout aussi bien dans un sens utilitaire que dans un sens théorique. Si les universités jouent le r6le essentiel dans la recherche fondamentale, elles ont aussi des activités de plus en plus importantes dans le domaine de la recherche appliquée et c'est dans leurs laboratoires que se forment la plupart des jeunes chercheurs destinés à l'industrie, à côté de ceux qui demeureront dans 1' enseignement. L'activité de recherche des universités françaises a connu une expansion importante au cours des récentes années. Un fait essentiel est la croissance considérable du Corps professoral, rendue nécessaire à la fois par l'élévation des effectifs d'étudiants et par la necessité d'améliorer leur encadrement. L'effectif des professeurs, maftres de conférences et assistants a presque doublé, entre 1956 et 1961, dans les sciences humaines (lettres et droit), entre 1957 et 1961, dans les sciences. Cet important développement des possibilités de direction et d'encadrement des équipes de recherche au sein des universités a naturellement favorisé l'accroissement des jeunes chercheurs. n verra dans la troisième colonne des tableaux no 6 et 6 bis l'évolution du nombre d'étudiantspoursuivant en faculté des études supérieures scientifiques et littéraires audelà de la licence, au cours de la période n constatera que, dans les disciplines scientifiques, l'expansion a été continue et qu'elle s'est accentuée depuis 1956, au point d'aboutir en dix ans à un doublement des effectifs de jeunes chercheurs. Dans les disciplines littéraires, après une sorte de ralentissement, de 1957 à 1959, un essor considérable s'est à nouveau manifesté. La multiplication des bourses à ce niveau des études supérieures, la création, dans les facultés des sciences d'abord (Décret du 20 juillet 1954), puis dans les facultés des lettres et des sciences humaines (Décret du 19 avril 1958), du "3e cycle d'enseignement'', ayant pour objet "de donner aux étudiants des connaissances approfondies dans une spécialité et de les initier à la recherche", la conjugaison des efforts de l'enseignement supérieur et 6

8 du Centre national de la recherche scientifique, ont également contribué à l'expansion récente de la recherche universitaire et à la multiplication de jeunes chercheurs dans les laboratoires des universités. L ' EN SE GN ENEN T Les transformations actuelles des universités françaises sont commandées par trois types de données : 1. Données démographiques Les universités françaises devront faire face, dans un proche avenir, aux effets d'une croissance démographique sans précédent. Le tableau no 1 indique l'évolution du nombre des naissances depuis 1935 jusqu'à 1961, et les perspectives jusqu'en Le tableau no 2 et le diagramme no 2 bis font apparaître l'évolution et la répartition d'année en année, depuis jusqu'en , et de cette dernière date jusqu'en 1970, du nombre des jeunes Français âgés de 18 à 24 ans, c'estàdire de l'ensemble de la population parmi laquelle se recrute la plus grande partie des étudiants des universités (près de de ces étudiants sont, en effet, âgés de 18 à 24 ans). La diminution du nombre des naissances au cours de la deuxième guerre mondiale a entraîné une réduction correspondante des effectifs de jeunes gens âgés de 18 à 24 ans. Ces effectifs passent de en à actuellement pour descendre insensiblement à environ en Ainsi, la tranche de population qui alimente l'enseignement supérieur se trouve actuellement réduite à son minimum jusqu'en A partir de cette date, se produira une remontée considérable des effectifs correspondants qui dépasseront en Ce fait, à lui seul, entraberait une augmentation des effectifs d'étudiants de 5 à 6 70 environ chaque année pendant six ans, à partir de 1965, m@me si les taux de scolarisation dans les enseignements de second degré demeuraient stationnaires. 2. Progrès de la scolarisation dans les enseignements du second degré et l'enseignement supérieur luimeme Au cours des dernières années, les effectifs d'élèves dans les enseignements du niveau du second degré se sont considérablement accrus. Cette augmentation est due non seulement aux données démographiques analysées plus haut, mais aussi à l'évolution sociale qui pousse de plus en plus les familles à engager leurs enfants dans la voie d'études prolongées. Le tableau no 3 fait apparaïtre l'augmentation des effectifs d'élèves dans les établissements de l'enseignement du second degré, public ou privé, entre et Cette expansion des enseignements de second degré a pour conséquence directe un accroissement du nombre des élèves admis au baccalauréat, qui sanctionne la fin des études secondaires et ouvre l'accès à l'enseignement supérieur dont il constitue le premier grade, Le tableau no 4 montre l'évolution du nombre des bacheliers depuis 1948 jusqu'à 1961, ainsi que les perspectives de développement retenues jusqu'en 1970, au cours des études préparatoires du 4e Plan d'équipement scolaire et universitaire ( ). n constate que dans les dix dernières années, le nombre de bacheliers a approximativement doublé, et qu'au cours de la prochaine décennie, l'effectif actuel multiplié par 2, 5 environ. Parallèlement, les effectifs d'étudiants des universités se sont considérablement accrus au cours des quinze dernières années, passant de en 1945 à en 1950, pour atteindre en La dernière colonne du tableau annexe no 5 et le diagramme no 5 bis correspondant schématisent cette expansion. n notera que celleci résulte uniquement du développement de la scolarisation puisque les jeunes gens poursuivant actuellement des études supérieures sont nés, pour la plupart, dans une période de régression de la natalité française, correspondant à la deuxième guerre mondiale. Ainsi, les données du tableau na 5, pour les années récentes, montrent que seul le développement de la scolarisation est àl'origine de l'accroissement dans l'enseignement supérieur d'effectifs annuels variant de 5 à 10 7'0, d'année en année, et de 7 70 en moyenne pour les quatre dernières années. 3. Nécessité d'ouvrir largement l'éventail des débouchés Au moment où le nombre d'étudiants va s'élever dans des proportions considérables, force est de reconnaftre que les très larges débouchés offerts, depuis quelques années, par les carrières de l'enseignement ne sauraient se développer ou même se maintenir indéfiniment. Le passage de la vague démographique sur les enseignements de second degré entrahie, en effet, un recrutement massif qui rajeunit considérablement l'ensemble du corps enseignant. r, les postes ainsi pourvus aujourd'hui ne seront pas vacants avant longtemps, et les créations d'emplois nouveaux seront moins importantes lorsque l'expansion démographique aura cessé de produire ses effets au niveau des enseignements du second degré, et que, seule, la scolarisation continuera à progresser à un rythme qui, d'ailleurs, nécessairement se ralentira peu à peu. l est certain, d'autre part, que les professions libérales ellesmemes offriront, au cours des 7

9 prochaines années, des débouchés nouveaux très limités. La grande masse des étudiants venus dans les universités devra donc s'orienter vers d'autres carrières. A cüté de leur vocation traditionnelle former une élite aussi importante que possible, portée à un très haut niveau de culture les universités ont aussi, plus que jamais, celle de préparer les futurs cadres scientifiques, techniques, administratifs, du niveau moyen au niveau supérieur. l est donc nécessaire qu'elles se préoccupent foncièrement de préparer l'ensemble des étudiants à l'emploi, et qu'elles s'adaptent, pour cela, à la nécessité d'assurer des formations très diverses répondant aux besoins des grandes professions. LE DEVELPPEMENT DE LA PRMTN SUPEREURE ET DE L'EDUCATN PERMANENTE Nombre de techniciens qui n'ont pu bénéficier des avantages d'une scolarisation poussée se révèlent aptes, dans l'exercice de leur profession, à occuper des postes de responsabilité accrue. Les universités doivent leur etre ouvertes pour leur donner la formation complémentaire, scientifique ou technique indispensable. Elles ont, de plus en plus, à jouer leur r81e dans la promotion sociale. D'autre part, les sciences et les techniques évoluent si rapidement que la mise à jour fréquente des connaissances de chacun devient une nécessité générale. Les universités doivent offrir de larges possibilités de "recyclage'' des connaissances acquises, tout en facilitant les reconversions éventuelles de techniciens. 8

10 CHAPTRE STRUCTURES ACTUELLES DES UNVERSTES FRANCASES Les universités françaises sont, en principe, constituées par la réunion des établissements d'enseignement supérieur public d'un même ressort territorial appelé Académie, A la tête de chaque université, un Recteur préside le Conseil de l'université et exécute ses décisions. Ce conseil est constitué par les représentants des établissements d'enseignement supérieur et par des représentants des collectivités locales intéressées. Lacollationdes grades universitaires baccalau réat, licence, doctorat, en particulier appartient exclusivement aux facultés. Bien qu'elles dépendent de l'université, les facultés ont la personnalité juridique et financière et disposent de ce fait d' une très grande autonomie. Elles sont administrées par un Doyen qu'élisent les professeurs. Le Doyen préside le Conseil de la faculté formé par l'ensemble des professeurs titulaires et qui constitue le Conseil d'administration de l'établissement. l préside aussi l'assemblée de la faculté qui en est approximativement le Conseil de perfectionnement formé par les professeurs, les maftres de conférences ou agrégës et les chargés de cours docteurs. l existe en France cinq ordres de facultés : droit et sciences économiques, médecine, pharmacie, sciences, lettres et sciences humaines. Toutes les universités ne comptent pas cinq facultés. Dans certains cas, une ou plusieurs de ces facultés font défaut. Dans d'autres, les enseignements de médecine et de pharmacie peuvent etre dispensés par une faculté mixte de médecine et de pharmacie. Quelquefois, un des ordres d'enseignement est assuré par une école, un collège ou un institut, rattaché scientifiquement à une faculté qui relève d'une autre université. Le tableau (à la fin du chapitre) fait apparaftre la distribution géographique des établissements où se préparent en France les grades universitaires. Ainsi, à c8té des facultés, et sous leur tutelle, fonctionnent des établis Sem ent s, écoles, collè ge s ou instituts, centres, qui permettent la déconcent ration géographique des enseignements. En dehors des établissements publics existent des facultés, des écoles ou des centres municipaux ou privés dont les étudiants passent les exa mens devant les facultés de 1'Etat. En fait, c'est depuis 1920 que se sont multipliés régulièrement les instituts de faculté et d'université, organismes d'enseignement ou de recherche dotés d'une certaine autonomie et d'un Conseil d'administration particulier oh peuvent entrer des personnalités extérieures à l'université. Certains de ces établissements ont simplement pour mission de déconcentrer les enseignements traditionnels. ls ont reçu récemment l'appeiiation de collèges dans l'ordre des sciences et dans l'ordre des lettres et des sciences humaines. n les désigne sous le nom d'écoles en ce qui concerne la médecine et la pharmacie, et on les nomme encore instituts lorsqu'il s'agit du droit et des sciences économiques. Cene sont d'ailleurs là que des différences terminologiques. D'autres instituts sont orientés vers des enseignements spécialisés et peuvent alors délivrer des dipl8mes particuliers autres que les grades universitaires traditionnels, par exemple des diplômes d'ingénieurs. Certains instituts sont orientés soit exclusivement vers des recherches spécialisées, soit à la fois vers des recherches et vers des enseignements spécialisés. Enfin, dans certains cas, ils permettent à plusieurs facultés de s'associer en vue de recherches ou d'enseignements particuliers. ls sont alors rattachés àl'université. C'est le cas, notamment, des instituts d'études politiques ou des instituts de préparation aux affaires dans lesquels collaborent facultés de droit et des sciences économiques et facultés des lettres et des sciences humaines. Actuellement, les universités françaises groupent 484 instituts d'université ou de faculté, parmi lesquels 41 écoles d'ingénieurs, 7 instituts d'études politiques, 13 instituts de préparation aux affaires ou à l'administration des entreprises, 98 instituts de sciences médicales ou pharmaceutiques, 116 instituts littéraires et des sciences humaines, 115 instituts scientifiques (tableau na 7). L'autonomie des instituts donne à leurs enseignements une notable souplesse. En particulier, ils jouissent d'une très grande latitude dans le choix de leur personnel enseignant. Ainsi. des praticiens peuvent depuis longtemps collaborer avec les maftres de l'université à la formation spécialisée des étudiants. Par ailleurs, la création d'instituts d'université, qui permet à plusieurs facultés de coopérer au sein d'un même organisme, a joué un rôle très important pour réduire le cloisonnement qui aurait pu s'introduire entre facultés d'ordres différents au sein de la même université. 9

11 Tableau des établissements d enseignements supérieur public préparani aux grades universitaires Nature de l établissement Lieu d installa Academies Universités tion des Droit et Lettres et établissements sciences Médecine Pharmacie Sciences sciences économiques humaines Paris Aix Besançon Paris Aix Besançon Paris Aix hlarseille Nice Besançon nstitut mixte Ecole mixte * Collège Bordeaux Borde aux Borde aux Pau nstitut mixce Collège Collège Caeni Caen Caen P.ouen Le hlans nstitut Ecole mixte Ecole mixte Collège Collège Collège Collège Clermont Clermont Clermont mixte Dijon Grenoble Lille Lyon Montpellier Dijon Grenoble Lille Lyon Montpellier Dijon Grenoble Chambéry Lille Amiens Lyon StEtienne hlontpellier Perpignan Ecole mixte mixte mixte Ecole mixte mixte Collège Collège Collège Collège institut nstitut Nancy Nantes rléans Poitiers Reims Rennes Strasbourg Nancy Nantes Poitiers Rennes S tra s bourg Nancy Nantes Angers r1 é an s Tours Poitiers Limoges Reims Rennes Brest Strasbourg Metz Mulhouse Ecole mixte Ecole mixte mixte Ecole mixte Ecole mixte Ecole mixte mixte Collège Collège Collège Collège Collège Collège Collège Collège Collège Collège Centre Toulouse Toulouse Toulouse mixte * Facuité en voie d instaliation. 10

12 CHAPTRE EVLUTN D ES EFFECTFS D'ETUDANTS Ainsi que nous l'avons déjà signalé, l'accroissement constant des effectifs d'étudiants va s'accélérer, surtout à partir de 1964, sous le double effet de l'essor de la seolarisation et d'une poussée démographique exceptionnelle. Les variations globales d'effectifs, de 1948 à 1961, sont données, pour chaque université française, et pour l'ensemble de ces universités, par le tableau no 5 et par les diagrammes correspondants no 5 bis, 5() et 5(V). De 1948 à 1961, l'ensemble des effectifs d'étudiants des universités françaises a augmenté d'environ 73 %. Les prévisions retenues par la Commission de l'équipement scolaire et universitaire, à l'occasion de l'élaboration du 4e Plan d'équipement, font apparanre les perspectives d'expansion prochaine dans le tableau 8 ter. Le nombre total d'étudiants dépassera en l doit plus que doubler en dix ans. La répartition des étudiants entre les divers ordres d'enseignement de 1948 à 1961 figure dans le tableau no 8 et est exprimée par le diagramme correspondant no 8 bis. De 1948 à 1961, les effectifs des facultés de droit et des sciences économiques, et ceux des facultés de médecine et de pharmacie, ont subi des variations relativement faibles, Une chute d'effectifs assez nette a même coïncidé, pour les facultés de droit, avec l'allongement des études de licence, décidé en 1954 et portant cellesci de trois à quatre années. Par contre, les effectifs des facultés des sciences et ceux des facultés des lettres et des sciences humaines sont en très forte expansiondepuis dix ans, et l'engouement pour les études scientifiques et techniques a provoqué un essor particulier des facultés des sciences à partir de l a été admis par la Commission de l'équipement scolaire et universitaire, compte tenu de l'ensemble des perspectives d'emploi, que les proportions actuelles d'étudiants entre les divers ordres de facultés évolueraient vraisemblablement au cours des prochaines années, jusqu'en 1970, dans le sens d'un renforcement encore plus sensible des effectifs des disciplines scientifiques. Ainsi, compte tenu des prévisions concernant le nombre des bacheliers formés, on a établi les perspectives définies par le diagramme no 9 : 2/5 des étudiants aspireraient aux études scientifiques, autant aux études littéraires, juridiques, administratives, économiques, et 1 /5 se tournerait vers les études médicales et pharmaceutiques. l résulte de ces hypothèses que les facultés des sciences, ainsi que les facultés de médecine et de pharmacie, doivent se préparer à un doublement d'effectifs en sept ans, de 1963 à L'expansion relative serait un peu moindre, de l'ordre de 90 '70, dans le même délai, pour les facultés des lettres et les facultés de droit. Ces chiffres expriment l'extraordinaire effort de construction, d'équipement, de recrutement, d'adaptation aux fins de placement des étudiants, que les universités françaises auront à réaliser avant Mention particulière doit Btre faite de la formation d'ingénieurs dans les universités. Ces enseignements ont été stimulés, dès 1947, par la transformation de certains instituts en écoles nationales supérieures d'ingénieurs (ENS) et, depuis, par la création d'autres instituts ou écoles nationales supérieures. Actuellement, sur les 41 écoles d'ingénieurs rattachées aux universités, 20 sont des écoles nationales supérieures. A ces écoles, il convient d'ajouter les instituts nationaux des sciences appliquées, dont le premier fonctionne à Lyon, depuis 1958, en liaison étroite avec l'université, tandis que trois autres sont en construction ou en projet à Toulouse, Rennes et Lille. Dans l'ensemble des universités et à 1'NSA de Lyon, les effectifs d'élèves ingénieurs atteignaient en 1961, et le nombre d'ingénieurs ayant obtenu le diplôme de ces établissements s'élevait, la année, à l y a lieu de souligner qu'en France, les in@ nieurs sont formés dans de multiples établissements : écoles d'ingénieurs relevant de ministères techniques, autres que celui de l'éducation nationale, écoles d'ingénieurs privées, écoles d'ingénieurs relevant du Ministère de l'éducation nationale. parmi lesquelles celles qui sont rattachées à l'ancienne direction de l'enseignement technique et celles qui dépendent de la Direction de l'enseignement supérieur. En 1961, ces dernières ont formé à peu près du nombre de dipl8més de l'année ( sur ). La Commission de l'équipement universitaire a prévu que les écoles relevant de la Direction de l'enseignement supérieur auraient à former, chaque année, dès 1970, ingénieurs, c'estàdire de plus environ qu'en 1961, ce qui représentera, selon la Commission, près de la moitié du nombre d'ingénieurs dipl8més formés en France, à cette date. 11

13 ci encore apparaft l'énorme tâche de préparation à laquelle doivent s'attaquer les universités. n notera que le développement des différentes universités est très inégal. En effet, les données démographiques, et surtout l'essor de la scolarisation au niveau des enseignements de second degré, sont variables d'une région à l'autre. Le tableau no 5 fait apparaître la diversité des progressions d'effectifs des universités entre 1949 et Les expansions les plus rapides traduisent essentiellement l'aboutissement d'un effort régional de scolarisation dans le second degré. Compte tenu de cette évolution, on peut penser que s'établira dans ce domaine, vers 1970, une situation d'équilibre relatif, caractérisée par un alignement progressif des académies les moins scolarisées aujourd'hui sur celles qui le sont le plus. l en résulte que l'expansion universitaire demeurera inégale au cours des prochaines années, et pourra etre particulièrement grande dans les académies où l'essor a été le plus faible jusqu'ici. Le diagramme no 10 traduit les prévisions de la Commission du plan d'équipement pour les académies autres que celle de Paris, l'université de Paris ellemême recevant, en 1970, un effectif global de l'ordre de étudiants (diagramme no il). Jamais, B aucun moment de leur histoirecomme le dit la Commission de l'équipement "les universités françaises n'auront connu de telles mutations". 12

14 CHAPTRE V STRUCTURE DES ENSEGNEM ENT S DUREE DES ETUDES Le progrès rapide des connaissances conduit, dans chaque pays, à un accroissement de la durée de préparation aux diplames traditionnels. Cephénomènen'apas manqué de se produire en France, soit officiellement (la durée des études de licence en droit, par exemple, a été portée de trois à quatreannées en 1954, etil enaétédemêmedeladurée des études dans nombre d'écoles d'ingénieurs), soit, en fait, par suite d'une sorte d'expansion à peu près inévitable des programmes d'enseignement. C'est ainsi qu'en sciences ou en lettres, la plupart des étudiants mettent au moins quatre années pour parvenir au titre de licencié, tandis qu'autrefois ce titre était le plus généralement acquis en trois années. Cette évolution n'a rien d'anormal. Elle est m@me sans doute nécessaire pour acquérir une haute culture ou une haute spécialisation à l'échelle di1 savoir moderne. Mais l'essor des enseignements de second degré ouvre les portes de l'enseignement supérieur à une proportion de jeunes gens bien plus considérable qu'autrefois. Si chaque étudiant demande à l'université de développer sa formation, bon nombre aspirent à accéder à un emploi sans consacrer plus de deux à trois années aux études après leur baccalauréat. L'enseignement supérieur devenant de plus en plus un enseignement de masse, on ne peut plus se contenter de former l'étudiant aussi parfaitement que possible, sans tenir compte du temps nécessaire. Dans les degrés successifs de la formation supérieure, il faut prévoir des paliers ; et il est devenu nécessaire que des diplômes nouveaux consacrent, pour ceux qui veulent et qui doivent accéder plus tat à l'emploi, des formations plus courtes d'un type nouveau ou non. Dans la mesure où ces formations plus courtes sont des étapes dans une formation supérieure continue, toutes les chances de promotion des étudiants sont préservées. Ainsi, l'on peut fournir au problème de l'organisation des études supérieures, et en particulier de leur durée, des solutions correspondant aux réalités actuelles. RENTATN ET ADAPTATN DES ETUDES L'accroissement considérable de la proportion des jeunes gens qui accèdent aux études universitaires conduit à réviser et à adapter ces études, en vue d'une meilleure insertion des étudiants dans les divers secteurs de l'activité nationale. Certes, et depuis longtemps, les étudiants sor tant de l'université ne s'orientent pas uniquement vers les carrières de l'enseignement et vers les professions libérales. Mais il est certain que le problème des débouchés et celui de leur préparation à l'emploi impliquent des solutions nouvelles. S'il en était besoin, les travaux de la Commission de l'équipement universitaire, pour l'élaboration du 4e plan, mettraient en évidence les différences qui existeront à partir de 1964 entre les débouchés offerts par les carrières de l'enseignement et les promotions prévisibles de nouveaux licenciés. Les diagrammes no 12 et 13 traduisent l'évolution parallèle prévue des promotions de licenciés et des débouchés dans l'enseignement scientifique et dans l'enseignement littéraire. l apparaft nettement que si la France comme tous les autres pays est actuellement très fortement déficitaire du point de vue de la formation de son personnel enseignant, au niveau de la licence, cette situation tendra à se renverser vers 1965 dans les disciplines scientifiques, et vers 1967 dans les disciplines littéraires. De larges débouchés extérieurs à l'enseignement seront alors absolument nec es s air es. C'est dans ces perspectives que les programmes et la nature mcme des enseignements donnés dans les universités françaises ont subi, sur certains points, des modifications considérables, en particulier par la création de licences spécialisées à orientation technique, dans lesquelles a été prévue une étape intermédiaire couronnée par un diplame particulier. C'est aussi suivant ces perspectives qu'a été ouverte la possibilité de combiner dans ces licences des enseignements donnés parfois dans des facultés difforentes, mais dont l'association correspond à une formation reconnue utile pour l'exercice de certaines professions. Toutes ces formules nouvelles ont non seulement pour but de faciliter l'orientation et la préparation des étudiants à l'emploi, aux divers niveaux de sortie des universités, mais encore de donner à cellesci, grâce à l'ensemble des enseignements dont elles disposent, la possibilité de satisfaire très rapidement les besoins les plus variés exprimés par les grandes professions pour la formation deleurs cadres. nne doit pas oublier qu'en cette matière la rapidité d'adaptation de l'université peut être essentielle en raison de 13

15 l'évolution accélérée de la technique et de l'économie. Des changements qualitatifs et quantitatifs très brusques peuvent en effet intervenir dansles besoins en personnel de qualification supérieure. Le tableau no 14 décrit, sous forme synoptique sommaire, le régime des études universitaires dans les diverses facultés. FACULTES DE DRT ET DES SCENCES ECNMQUES Les enseignements des facultés de droit et des sciences économiques ont fait l'objet de réformes très importantes dont les plus récentes ont abouti, en 1959, à la création d'une licence ès sciences économiques, et en 1962 à l'établissement d'une nouvelle structure de la licence en droit, qui est, en réalité, une adaptation de la structure déjà instaurée par une réforme de La première caractéristique des études juridiques et économiques est qu'elles durent quatre années, ce qui correspond à un allongement par rapport au régime antérieur à 1954 de la licence, alors préparée en trois ans. L'autre caractéristique est la séparation des études juridiques et économiques, évidemment Justifiée par l'essor des sciences économiques et par les exigences de la spécialisation. Des enseignements communs et des possibilités de passage de l'une à l'autre ont été cependant ménagés dans les deux licences, et notamment la première année d'études est à peu près commune. L'allongement de la durée des études de licence juridique, nécessaire pour une formation moderne suffisante a, en quelque sorte, été compensé par une révision des programmes des deux premières années qui aboutissent au diplôme d'études juridiques générales (appelé antérieurement "baccalauréat en droit"). Ce titre peut ainsi constituer une fin d'études en vue de l'orientation vers certains emplois. La troisième année se prete déjà à l'amorce d'une spécialisation grke à des possibilités d'option laissées à l'étudiant. Enfin, la quatrième année, dont les enseignements sont répartis en certificats, est normalement destinée à la spécialisation. Elle se prête à de larges options, admettant en équivalence de certains certificats les titres délivrés par des instituts spécialisés, instituts d'études politiques, d'études juridiques, de préparation aux affaires, etc, ou par d'autres facultés que les facultés de droit et des sciences économiques. Ainsi a été réalisée, en 1962, une structure d'études bien adaptée, B la fois aux exigences de la préparation à la haute culture et à celles de la préparation à des emplois très divers, à deux niveaux. Les réformes récentes n'ont pas transformé la structure des doctorats délivrés par les facultés de droit et des sciences économiques. Ces trois doctorats en droit, sciences politiques, sciences économiques consacrent une formation au travail personnel après le complément d'études spécialisées donné par les enseignements de deux diplômes d'études supérieures. La structure de la préparation à la capacité en droit est aussi demeurée sans changement. Cet examen, réservé à des jeunes gens qui ont à s'initier aux connaissances juridiques, sans avoir obtenu préalablement le baccalauréat est, par luimeme, un bon instrument de promotion sociale. Depuis 1961, des facilités ont d'ailleurs été accordées aux capacitaires en droit en vue de l'accès aux études de licence. FACULTES DE MEDECNE ET DE PHARMACE Les facultés de médecine et de pharmacie ont des objectifs spéciaux qui impliquent simultanément l'existence d'excellents enseignements scientifiques de base et la préparation à des professions dont l'exercice est délicat. D'où des organisations particulières par rapport à celles des autres facultés. Médecine Une réforme des études médicales est en cours d'application depuis La durée minimum des études permettant l'accès au diplôme du doctorat en médecine a été ramenée de 7 à 6 ans. Cela n'empeche pas, évidemment, bien des étudiants de prolonger leurs études volontairement audelà de ce minimum, en vue de se perfectionner ou de se spécialiser. Le grand objectif de la réforme est de fondre en une seule institution, appelée Centre hospitalier universitaire (CHU), la faculté où était donné 'enseignement théorique et scientifique, et l'hôpital où les étudiants recevaient l'enseignement médical pratique. Ainsi, les promoteurs de la réforme ont voulu faire du CHU un établissement où pourront s'épanouir l'enseignement et la recherche médicale, autour d'un personnel enseignant à plein temps, dégagé des soucis de clientèle, et bien placé pour constituer des équipes d'enseignement et de recherche oh collaboreront naturellement, et de façon permanente, les spécialistes des sciences cliniques et les spécialistes des sciences fond am ent ale s, C'est la généralisation d'un systéme qui a fait ses preuves aussi bien dans certaines universités françaises oh il existait déjà pratiquement, que dans nombre d'universités étrangères. En fait, l'application de la réforme en est à ses débuts, Son avenir est lié à un immense effort de recrutement de maîtres et à la réalisation d'importantes constructions dont les projets sont en bonne voie, La structure même des six années d'enseignement a été établie de la façon suivante : la première est consacrée à une formation 14

16 scientifique générale, en physique, chimie, biologie ; la deuxième et la troisième année poursuivent la formation scientifique, tout en amorçant l'initiation sémiologique auprès des malades ; les trois dernières années sont essentiellement appliquées à la formation médicale de l'étudiant, en contact étroit avec les disciplines scientifiques fondamentales. La culture scientifique de base reçue au cours des trois premières années est considérable, et il serait légitime qu'elle ouvre à bref délai des possibilités normales d'accès dans les facultés des sciences, au niveau du diplôme d'études scientifiques générales, par exemple. L'ensemble des six années d'études, couronné par le doctorat d'mat de médecine. ouvre les voies, dans les facultés, à la préparation des certificats d'études spéciales, c'estàdire à la spécialisation et à la recherche, Pharmacie Après avoir achevé leurs études de pharmacie, les étudiants s'orientent, actuellement, vers des carrières assez diverses allant de l'exercice de la pharmacie d'officine jusqu'à la recherche biologique ou chimique ou à la fabrication chimique, Une révision des études pharmaceutiques qui paraissait nécessaire depuis plusieurs années, a eu lieu en Les décisions prises viendront prochainement adapter les enseignements pharmaceutiques à la diversité de leurs missions. La durée des études sera maintenue à cinq années, mais la première année, qui était autrefois consacrée à un stage dans une officine, sera désormais une année d'études scientifiques générales équivalant à celles du certificat préparatoire de la licence ès sciences (SPCN). Les stages seront désormais échelonnés sur l'ensemble des cinq années d'études. Les deux années suivantes seront des années de formation scientifique de base et d'initiation aux études pharmaceutiques, La quatrième année sera une année d'études pharmaceutiques commune à l'ensemble des é tudiant s. La cinquième année, par le jeu de larges options, se prctera à la spécialisation. Les enseignements seront répartis en certificats. La spécialisation encore facilitée par l'équivalence à des certificats accordée à des enseignements dispensés dans d'autres facultés ou dans des instituts. Nous retrouvons pour l'étudiant en pharmacie, comme pour l'étudiant en droit, le m@me souci de formation générale au cours des premières années, et, en dernière année, des possibilités considérables d'adaptation à des emplois divers, facilitées par les ouvertures créées entreles différentes facultés, n notera en outre le rapprochement réalisé avec les facultés des sciences par l'équivalence établie entre la première année de pharmacie et le certificat SPCN des facultés des sciences. n ajoutera, dans la même perspective, que la culture scientifique de base donnée au cours des trois premières années d'études pharmaceutiques est suffisante pour ouvrir, à bref délai, des possibilités d'accès dans les facultés des sciences, au niveau du diplôme d'études scientifiques générales. La réforme récente n'a pas modifié les voies de la recherche ou de la haute spécialisation ouvertes par le doctorat ou la préparation de certificats d'études spéciales après les études classiques mieux aménagées. FACULTES DES SCENCES ET FACULTES DES LETTRES ET DES SCENCES HUMANES C'est vers les facultés des sciences et vers les facultés des lettres et des sciences humaines que prochainement l'afflux d'étudiants le plus massif, Ces facultés formaient traditionnellement de futurs professeurs et des chercheurs, et, c'est grâce à la culture reçue dans la préparation de licences classiques que bon nombre d'étudiants pouvaient s'orienter avec succès vers des professions différant de l'enseignement ou de la recherche fond am ent al e. Sans doute les écoles d'ingénieurs liées aux facultés des sciences, ainsi que certains instituts spécialisés, préparentils depuis longtemps à certaines carrières industrielles ; mais le nombre des bacheliers qui viendront désormais à l'enseignem nt supérieur implique un effort beaucoup plus large d'orientation et d'initiation à des carrières variées correspondant aux besoins de l'économie, à divers niveaux. C'est ainsi que, dans les facultés des sciences, ont été créées en 1961 les licences ès sciences appliquées et les diplames d'études supérieures techniques (DEST), et, en 1962, les diplômes d'études scientifiques générales (DESG), qui s'insèrent dans les licences ès sciences classiques, tandis que, dans les facultés des lettres et des sciences humaines, étaient institués des diplames d'études littéraires pratiques (DESLP) qui doivent s'insérer dans des licences spécialisées prévues simultanément. s des sciences (a) Diplôme d'études scientifiques générales et licences ès sciences classiques La création du diplame d'btudes scientifiques générales répond à la nécessité d'établir dans le cours des études de licence d'enseignement ou de doctorat un palier à partir duquel certains étudiants peuvent aller vers l'emploi, munis d'un diplgme de niveau clairement défini, Ce niveau est d'autant mieux défini que les certificats d'études supérieures admis dans la 15

17 composition des dipl6mes sont strictement des certificats de base, tels que mécanique générale, électricité, optique, géologie générale, botanique, zoologie, etc. à l'exclusion des autres certificats très variés qui peuvent entrer dans la licence ellemême. Ainsi, l'attrait du DESG doitil avoir pour effet, sans porter atteinte au libre choix des enseignements suivis en vue de la licence dans une faculté, d'inciter les étudiants à suivre dans leurs études une progression rationnelle. (b) Dipl6me d'études supérieures techniques (DEST) et licences ès sciences appliquées La création du DEST et des licences appliquées correspondantes est aussi une innovation récente, puisqu'elle date seulement de Elle en est donc encore à la phase expérimentale. La fin visée est d'assurer directement des débouchés aux étudiants en les orientant vers des carrières définies et en les y initiant tout en leur donnant une culture scientifique comparable à celle qu'ils pourraient recevoir par la voie des licences traditionnelles. ci encore, la formation donnée se situe à deux niveaux et la licence appliquée englobe les enseignements dispensés en vue du DEST correspondant. En vue du dipl8me d'études supérieures techniques, les exigences concernant le certificat préparatoire de la licence ont été assouplies, de façon à permettre au candidat, s'il le désire, de concentrer davantage son travail sur les matières de son choix. Sans renoncer à la formation générale de base, on a pensé qu'il était raisonnable, pour nombre des étudiants orientés vers les carrières techniques, d'admettre, dès le départ, une certaine spécialisation qui ne peut que favoriser le maintien du niveau dans les spécialités choisies. L'orientation et l'initiation technologiques sont réalisées par la création dans les facultés des sciences de certificats de technologie dont les programmes doivent etre établis en accord avec les professions intéres Sées. A ce certificat de technologie l'étudiant doit ajouter pour la préparation du DEST un certificat d'études supérieures bien déterminé, choisi parmi les certificats de base de la licence. L'obtention effective du DEST suppose ensuite une année de pratique professionnelle. Les institutions originales rencontrent rarement une compréhension immédiate, et l'on a parfois opposé, aupoint de vue des services qu'elles peuvent rendre dans l'industrie, les aptitudes des dipl6més d'études supérieures techniques et celles des techniciens supérieurs formés par les voies traditionnelles de l'enseignement technique. l s'agit, en réalité, de deux types de collaborateurs de l'ingénieur, aussi indispensables l'un que l'autre, et, en fait, complémentaires. Le technicien supérieur possède une bonne formation secondaire et une préparation très poussée à la pratique de l'atelier ; il est immédiatement préparé à des fonctions de mafirise. Le diplbmé d'études supérieures techniques a reçu une formation scientifique de base plus poussée ; il est, par là, apte à aider directement l'ingénieur dans ses taches de conception et d'exécution. l est certain, par ailleurs, que la pratique ne doit cesser de réduire, au cours de leur carrière, ces différences entre le technicien supérieur et le dipl6mé d'études supérieures, le premier développant sa formation générale, tandis que le second améliore, au contact des réalités quotidiennes, sa formation technique. L'expérience montre, d'ailleurs, qu'une bonne formation générale permet de s'initier très rapidement à la technique, parce qu'elle accroïï considérablement les facultés de compréhension. L'addition de quatre certificats d'études supérieures B ceux qui constituent le DEST correspondant permet d'accéder à la licence ès sciences appliquées. Le choix de ces certificats, dont certains ont un caractère purement scientifique et d'autres un caractère hautement technologique, résulte d'une entente entre la faculté et les professions intéressées. Les universités s'adaptent ainsi aux besoins exprimés par ceux qui fournissent l'emploi àleurs étudiants. Le découpage des enseignements scientifiques en certificats, qui donnent lieu chacun à un enseignement annuel, confère de larges possibilités d'adaptation et de conversion, encore accrues par le fait que deux des quatre certificats scientifiques exigés peuvent etre remplacés par des certificats délivrés par d'autres facultés. (c) Doctorats scientifiques La formation à la recherche est traditionnellement liée à la préparation des doctorats. Aux doctorats traditionnels délivrés par les universités, le doctorat ès sciences d'mat et le doctorat d'université, s'est ajouté en 1954 le doctorat de 3e cycle, qui est moins ambitieux que le doctorat d'etat, mais permet d'initier un plus grand nombre de jeunes chercheurs et de les orienter efficacement vers un travail personnel spécialisé. Le diplôme d'ingénieurdocteur, créé dès 1925, était destiné à favoriser la préparation à la recherche appliquée. En 1961, a été prévu un doctorat ès sciences appliquées du niveau du doctorat ès sciences d'etat, destiné essentiellement aux licenciés ès sciences appliquées. Ainsi, la formation scientifique orientée vers les applications donnetelle désormais accès aux grades universitaires de tous les niveaux, FACULTES DES LETTRES ET D ES SCENCES HUMANES (a) Licences ès lettres Les licences ès lettres orientées vers l'enseignement et constituées par un certificat d'études 16

18 littéraires, générales, complété par quatre certificats d'études supérieures, ont une structure qui n'a pas subi de modifications récentes. Signalons toutefois que l'importance prise par certaines disciplines, comme la psychologie ou la sociologie, ont conduit à la création de licences spécialisées en ces matières. La licence de psychologie, créée en 1947, a fourni le premier exemple d'une collaboration des facultés des lettres et des sciences humaines avec les facultés des sciences dans le cadre d'une même formation, puisqu'elle fait appel aux certificats de psychophysiologie délivrés par ces dernières facultés, et que la licence de sociologie a établi une collaboration de même genre avec les facultés de droit et des sciences économiques, puisqu'elle fait appel à leur certificat d'économie politique et sociale. Ainsi, sont amorcées dans les faculté6 des lettres et des sciences humaines des ouvertures vers les autres facultés, dans le cadre même des enseignements de type classique. (b) Dipl8mes d'études littéraires pratiques et licences spécialisées Des diplômes d'études littéraires pratiques (DELP) ont été prévus en L'enseignement qui y prépare, tout en donnant aux étudiants une formation générale indispensable, les initie à des techniques de nature à leur assurer des débouchés hors des voies traditionnelles de l'enseignement et de la recherche. Le DELP est ainsi l'homologue, dans les facultés des lettres et des sciences humaines, du DEST dans les facultés des sciences. l est accordé, comme lui, aux étudiants qui justifient d'un certificat propédeutique et d'un cer tificat d'études supérieures littéraires de base, ainsi que d'un certificat technologique nettement spécialisé (documentation, secrétariat, journalisme, par exemple). Les licences spécialisées correspondantes seront acquises par l'addition de deux certificats d'études supérieures définis conformément aux besoins de la profession à laquelle l'étudiant se prépare. l faut souligner, ici encore, qu'un de ces certificats peut, éventuellement, être passé dans une autre faculté que la faculté des lettres et des sciences humaines. Nous retrouvons les mêmes idées directrices que dans la composition des licences ès sciences appliqué es. (c) Doctorats littéraires Comme dans les facultés des sciences, aux doctorats traditionnels, d'etat et d'université, s'est ajouté récemment (1 958) un doctorat de 3e cycle, qui a élargi considérablement les possibilités de spécialisation et d'initiation profondes en matière de recherche personnelle. ECLES D'NGENEURS Les énormes besoins d'ingénieurs qui caractérisent tous les pays industriels, conduisent à accrortre considérablement les promotions recrutées au concours des écoles existant dans les universités ; mais il a paru bon, au cours des dernières années, d'élargir l'ouverture de ces écoles par un recrutement sur titres, tout particulièrement à partir de candidats issus de la promotion du travail. Le recrutement sur titres n'exclut pas une sélection sévère ; il est de règle dans les instituts nationaux des sciences appliquées, dont le premier a été créé à Lyon, en

19 CHAPTRE V LA DECNCENTRATN UNVERSTARE Les données du tableau no 5 et les diagrammes 5 () et 5 (V) montrent que les effectifs d'étudiants dans les diverses universités françaises sont actuellement très inégaux et que les perspectives d'expansion au cours des prochaines années sont très différentes. n notera tout particulièrement l'énorme concentration réalisée par l'université de Paris qui comprend dès maintenant près de étudiants et le fait que huit autres universités en comptent déjà plus de Dans chacune de ces grandes universités, les facultés ellesmemes seraient frappées de gigantisme et deviendraient difficilement administrables si un effort considérable d'organisation interne et de déconcentration, par création d'annexes et de nouveaux établissements plus ou moins autonomes, n'était systématiquement poursuivi. La déconcentration du système universitaire français a été entrepris par des voies diverses : (1) création immédiate ou progressive de nouvelles universités dans le cadre territorial de nouvelies académies formées par réduction des académies les plus peuplées : (2) déconcentration des universités existantes par la création de nouveaux établissements (collèges, instituts, écoles) dans des zones de population concentrée, jusqu'ici démunies d'enseignement supérieur. Ainsi est limitée l'expansion des établissements existant tandis que croi't la proportion de jeunes gens qui peuvent poursuivre leurs études sans se séparer du milieu familial. Pratiquement, les établissements ainsi créés sont destinés à recevoir des étudiants débutant dans les études supérieures. C'est, en effet, à ce niveau d'études que le maintien du contact avec le milieu familial est le plus utile. C'est aussi à ce niveau que les locaux et les équipements sont les plus simples et peuvent etre le plus aisément normalisés, ce qui limite le coût de l'opération et permet d'en accroftre la rapidité. Ces établissements nouveaux ne seraient pas en mesure de dispenser un véritable enseignement supérieur si leur personnel ne remplissait, comme celui des facultés, la double mission d'enseignement et de recherche. ls sont ainsi, nécessairement, dotés non seulement des moyens d'enseignement, salles de cours et de travaux pratiques, mais aussi des laboratoires et bibliothèques indispensables pour le travail personnel des mai'tres. Cependant, les possibilités raisonnables de recherche fondamentale ainsi ouvertes ne sauraient aller à l'encontre d'une nécessaire concentration des moyens très coûteux de la recherche hautement spécialisée. Ceuxci demeurent dans les grands établissements, qui sont même conduits, sur ce plan, à réaliser des ententes, de façon à éviter les doubles emplois d'équipements spéciaux onéreux. Le personnel des établissements satellites nouveaux a évidemment accès, si besoin est, aux gros équipements des établissements principaux. C'est dans ces conditions qu'en 1961, deux académies, destinées à devenir plus tard sièges d'université, ont été créées à Reims et à rléans en vue d'assurer la déconcentration de l'université de Paris. Simultanément, une autre académie était créée à Nantes et cette ville, qui disposait déjà de grands établissements d'enseignement dignes d'etre transformés en facultés, est devenue le siège d'une nouvelle université. Quatre facultés des sciences ont été créées depuis 1958 à Nantes, Nice, rsay et Reims, ainsi que trois facultés mixtes de médecine et pharmacie à ClermontFerrand, Nantes et Reims. Actuellement, quatre grands instituts ou écoles sont en voie de devenir facultés : ce sont les écoles de médecine et pharmacie de Grenoble et de Tours, l'nstitut juridique de Nice et le Collège scientifique de Rouen. Mais de telles transformations sont l'aboutissement d'une très longue période de mise en place et de développement progressif. En fait, la déconcentration des universités françaises repose essentiellement sur la mise en place de collèges scientifiques et de collèges littéraires, puisque l'afflux d'étudiants intéresse les disciplines scientifiques et littéraires. C'est ainsi que, depuis quatre ans, 14 collèges scientifiques et 7 collèges littéraires ont été créés. Les études réalisées permettent de prévoir l'implantation de ces établissements selon un ordre correspondant, pour les agglomérations concer nées, au nombre de bacheliers formés sur place. Afin de ne pas détourner de vocations scientifiques ou techniques, il est de règle de fonder d'abord le Collège scientifique, et, quelques années plus tard seulement, le Collége littéraire. Toutes ces créations se font ainsi selon un plan. établi sur les bases démographiques et d'après les données concernant les effectifs prévisibles d'étudiants : elles doivent aboutir normalement à dégager toutes les grandes facultés. La plupart des collèges doivent se limiter aux enseignements propédeutiques. Certains donnent cependant des enseignements de licence. Mais on 18

20 peut estimer que, s'ils débordent l'année préparatoire de la licence, leur activité sera en général limitée à la préparation des diplames de cycle court opportunément créés (DESG, DEST, DELP). Au total, depuis quelques années, le nombre d'établissements universitaires scientifiques a presque doublé et celui des établissements littéraires augmenté de moitié environ, 19

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