par Sophie Delisle Médecine nucléaire Fiche n 11 : La gestion des déchets en médecine nucléaire Fiches de médecine nucléaire n 11-1-
|
|
- Adeline St-Jacques
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Fiches de médecine nucléaire n Médecine nucléaire par Sophie Delisle Fiche n 11 : La gestion des déchets en médecine nucléaire La gestion des déchets hospitaliers respecte une réglementation très stricte. Celle concernant le tri des déchets selon la classification DAOM : déchets assimilés aux ordures ménagères et DASRIA : déchets d activité de soins à risque infectieux et assimilés remonte aux années 70. Cependant à ce tri historique des déchets hospitaliers s ajoute la sélection selon la caractérisation de matières dangereuses, la possibilité de valorisation et de recyclage de certains matériaux Dans les services de Médecine Nucléaire, une attention particulière est portée aux déchets radioactifs en termes de gestion. En effet le risque d exposition et de contamination radiologique de l environnement et des travailleurs est prépondérant sur l ensemble des autres risques et nécessite une gestion spécifique de l ensemble des déchets contaminés ou susceptibles de l être issus de ces secteurs d activité. Une présentation de la réglementation, en vigueur actuellement et les attentes de la certification V2010 permettent de mieux appréhender la gestion spécifique des déchets radioactifs d une part et des autres déchets d autre part dans les services de Médecine Nucléaire. Règlementation La réglementation générale à la gestion des déchets hospitaliers : Définition : «Selon le code de l environnement, un déchet est le résidu d un processus de production, de transformation ou d utilisation ainsi que toute substance, matériau produit ou plus généralement tout bien meuble abandonné ou que son détenteur destine à l abandon.» 1 Tri et conditionnement des déchets : Depuis les années 90, la réglementation en matière de gestion des déchets d activité de soins évolue, elle précise et encadre la notion de risque à travers plusieurs textes 2 : - Décret du 4 mai 1994 relatif à la protection des travailleurs contre les risques résultant de leur exposition à des agents biologiques et modifiant le code du travail - Circulaire DGS/96/296 du 30 avril 1996 relative au conditionnement des déchets d activités de soins à risques infectieux et assimilés et à l application du règlement pour le transport des matières dangereuses par route. 1 La gestion des déchets dans les établissements de Santé, Guide de la MeaH 2 Direction générale de la Santé, Déchets d activité de soins à risques 2009 Comment les éliminer?, Guide DASRI 2009
2 n Décret n du 6 novembre 1997 relatif à l élimination des déchets d activités de soins à risques infectieux et assimilés et des pièces anatomiques - Circulaires DH/S12-DGS/V53 n 554 du 1 er septembre 1998 et n 34 du 11 janvier 2005 relatives à la collecte des objets piquants, tranchants, souillés et aux recommandations d utilisation des collecteurs - Arrêté du 7 septembre 1999 relatif aux modalités d entreposage des déchets d activités de soins à risques infectieux et assimilés et des pièces anatomiques - Arrêté du 24 novembre 2003 modifié relatif aux emballages des DASRI et assimilés et des pièces anatomiques d origines humaines - Circulaire DHOS/DGS/DRT n 34 du 11 janvier 2005 relative au conditionnement des déchets d activités de soins à risques infectieux et assimilés En termes de valorisation, la loi du 13 juillet 1992 prévoyait que dans les dix ans, «les déchets devraient être valorisés autant que faire se peut. Seuls les déchets ultimes seraient mis en décharges.» 3 S il reste encore des efforts à faire, les établissements de santé développent des politiques de recyclage. Les exigences de la certification : La référence 7 de la certification V2010, sur «la qualité et la sécurité de l environnement» concerne la gestion des déchets dans le critère 7.e : «gestion des déchets.» 4 Ce critère prévoit que : - la production de déchets et d effluents soit catégorisée et quantifiée - la politique en matière de déchets soit déterminée en concertation avec les instances - des procédures de gestion des déchets adaptées soient établies Les actions à mettre en oeuvre sont : - réaliser le tri des déchets - organiser la sensibilisation et/ ou la formation des professionnels - mettre en application des mesures de protection du personnel pour la collecte et l élimination des déchets L évaluation et l amélioration de ces actions portent sur : - l identification et l analyse des dysfonctionnements en matière d élimination des déchets - la conduite d action d évaluation et d amélioration relatives à la gestion des déchets - l identification des filières locales de valorisation des déchets Ce critère formalise la politique de tri et de valorisation des déchets dans les établissements de santé. Il rappelle la responsabilité du producteur vis à vis de ses déchets. «L objectif de cette démarche est de garantir le respect de la réglementation en vigueur et d optimiser le dispositif de gestion des déchets en intégrant l enjeu environnemental.» 5 La réglementation spécifique à la gestion des déchets radioactifs : Dans un service de Médecine Nucléaire, la production de déchets et d effluents radioactifs implique le respect d une réglementation spécifique. Arrêté du 30 octobre 1981 relatif aux conditions d emploi des radioéléments à des fins médicales Il détermine les caractéristiques des locaux du service, y compris le local d entreposage des déchets contaminés. Il fixe aussi les limites réglementaires d activité des effluents liquides ou gazeux. 3 Eric CHARLES, La gestion des déchets hospitaliers, Revue de l infirmière n 54 Novembre 1999, p Manuel de certification des établissements de santé, HAS, juin 2009, p.31 5 Manuel de certification des établissements de santé, HAS, juin 2009, p.31
3 n L activité autorisée d un service de Médecine Nucléaire prend en compte l activité en cours d utilisation ou de stockage et l activité résiduelle sous forme de déchets et effluents contaminés. Circulaire n DGS/SD7D/DHOS/E4/2001/323 du 9 juillet 2001 relative à la gestion des effluents et des déchets d activités de soins contaminés par des radionucléides Elle fixe les valeurs guides auxquelles doivent satisfaire les résultats des mesures d'activité sur les prélèvements réalisés à l'émissaire de l'établissement. Arrêté du 23 juillet 2008 portant homologation de la décision n DC-0095 de l Autorité de Sûreté Nucléaire du 29 janvier 2008 fixant les règles techniques auxquelles doit satisfaire l élimination des effluents et des déchets contaminés par les radionucléides, ou susceptibles de l être du fait d une activité nucléaire, prise en application des dispositions de l article R du Code de la Santé Publique Les modalités réglementaires appliquées à la gestion des déchets contaminées doivent être formalisées dans le plan de gestion des déchets et effluents contaminés sur l établissement. L application de cette réglementation spécifique aux déchets et effluents contaminés nécessite la mise en oeuvre de procédures spécifiques aux services de Médecine Nucléaire pour séparer les déchets à risque radiologique et les identifier. Applications en médecine nucléaire Les services de Médecine Nucléaire gèrent leurs déchets jusqu à élimination, ils produisent différents types de déchets, dont des déchets d activité de soins à risque infectieux auxquels viennent s ajouter le risque radiologique qui lors de la production est le risque prioritaire. Gestion des déchets radioactifs Les radionucléides utilisés en Médecine Nucléaire ont des périodes courtes : < 100 jours, les déchets et effluents contaminés sont donc gérés en décroissance par le service producteur. Les professionnels des services sont formés à la gestion des déchets : tri, décroissance, contrôle de non contamination, traçabilité. Déchets solides La gestion des déchets radioactifs est formalisée dans le plan de gestion des effluents et déchets contaminés mais aussi dans les procédures du service qui reprennent les modalités de tris, de stockages et d élimination des déchets contaminés. Les modalités de tris effectuées dans le service mentionnent la nature et la période du radioélément. En effet, les déchets produits sont identifiés et stockés dans des poubelles plombées adaptées en fonction de l énergie et de la période du radionucléide utilisé. Les catégories couramment identifiées en Médecine Nucléaire sont : - période < 8 jours, basse et moyenne énergie, type : 99m Tc, 201 Tl, 123 I, 111 In... - période < 8 jours, haute énergie, type : 18 F - période > ou = 8 jours, haute énergie, type : 131 I Les déchets de soins contaminés sont identifiés et stockés dans un local de décroissance adapté avant de pouvoir être éliminés dans la filière des DASRIA après vérification de la non contamination radioactive par frottis ou comptage externe. L ensemble des déchets stockés en décroissance fait l objet d une traçabilité adéquate et un registre permet de signaler l entrée en décroissance et l évacuation après contrôle des déchets du service.
4 n En sortie d établissement, une balise de détection permet de vérifier l absence de contamination radiologique de l ensemble des déchets produits sur le site. En cas de contamination, le container incriminé est placé en décroissance dans un local dédié, il fait l objet d une identification du radionucléide et d une mesure du débit de dose. Après décroissance, il est de nouveau contrôlé avant d être évacué dans la filière appropriée. Effluents gazeux Les produits radioactifs sont manipulés dans des enceintes plombées dédiées, leur circuit de ventilation est relié à des filtres à charbon actif qui évitent la contamination atmosphérique. Le taux de renouvellement horaire de la ventilation des locaux doit permettre de limiter au niveau le plus faible possible les rejets d effluents gazeux contaminés dans les ambiances de travail. Effluents liquides Les services de Médecine Nucléaire sont dotés de système de cuves- tampons (photo 1) pour contenir les effluents liquides. Les éviers susceptibles d être contaminés par des radionucléides sont reliés à ces cuves qui fonctionnent en alternance : remplissage / décroissance. Photo 1: cuves- tampons pour la décroissance des effluents contaminés Les effluents en provenance des chambres d hospitalisation pour traitement à l iode 131 sont gérés en décroissance dans un système de cuves spécifique à cette activité. Elles contiennent les urines (WC séparateurs : photo 2), l eau des douches et lavabos. 60 à 80% de l activité ingérée par les patients hospitalisés est éliminée dans les 2 jours suivants dans les urines. Photo 2: WC séparateur à destination des chambres de thérapie à l 131 I
5 n Le temps de décroissance doit être au moins égal à dix fois la période du radioélément qui a la plus longue période. Un prélèvement lors de la fermeture de la cuve permet de connaître l activité volumique contenue et de déterminer le temps nécessaire à la décroissance, sachant que les valeurs guides sont de 10 Bq par litre pour l ensemble des radionucléides, et de 100 Bq par litre pour les effluents liquides issus des chambres de patients traités à l iode 131 à la sortie de la cuve lors de la remise à l égout. Les WC des services sont reliés à une fosse septique qui ralentit l écoulement vers le système général des eaux usées et permet une décroissance sur une période d au moins 24 h des urines des patients qui viennent réaliser leur examen. La réglementation impose à l établissement de réaliser un contrôle des eaux usées au niveau de l émissaire pour s assurer que les valeurs des effluents rejetés dans l environnement ne dépassent pas les limites réglementaires. Cas particuliers : les sources scellées Les sources scellées servent généralement au contrôle qualité des appareils. Elles sont autorisées pendant une période maximale de 10 ans. Au terme de leur utilisation, elles doivent être reprises par le fournisseur (article du Code de la Santé Publique R ). La gestion des déchets radioactifs fait l objet d une organisation spécifique dans les services de Médecine Nucléaire, les contrôles effectués sont conservés et font l objet de contrôles. Les personnels sont formés à cette gestion et utilisent les moyens de protection adaptés (gants, collecteurs adaptés) afin d éviter tout risque de contamination. Le stockage dans le local de décroissance limite l exposition. Les autres déchets Si la gestion des déchets radioactifs est spécifique des services de Médecine Nucléaire, ils produisent aussi d autres types de déchets. DAOM / DASRIA L activité diagnostique des services engendre le risque radiologique pour l ensemble des DASRIA qui seront traités en décroissance, considéré comme contaminés ou susceptibles de l être. Par contre les poubelles DAOM situées en zone réglementée reçoivent les emballages non contaminés, le papier... Ces déchets sont évacués vers la filière adaptée, après avoir bénéficié d un contrôle de non contamination avant évacuation. Valorisation du plomb Les radio pharmaceutiques sont transportés dans des pots plombés. Si les fournisseurs de produits marqués au 18 F consignent leur conditionnement, les autres produits génèrent des déchets que les services doivent gérer. Lorsque le stock de pots est conséquent, le service fait appel à une société externe qui sera en mesure d assurer le recyclage de ce matériau. Après un contrôle de non contamination, les emballages vides peuvent être évacués par la filière spécifique d enlèvement des déchets plombés. Les autres filières de tris Aujourd hui, au tri des déchets radiologiques s ajoute les tris spécifiques. Lors des contrôles de qualité des radio pharmaceutiques, des solvants sont utilisés. Ces produits, après utilisation, doivent intégrer la filière des déchets toxiques pour être éliminés. Les déchets recyclables, type : carton, papier, piles usagées... doivent faire l objet d un tri adapté afin de favoriser leur valorisation. L informatisation des services génère aussi des déchets informatiques qui font l objet d une collecte particulière au sein des établissements de santé.
6 n Conclusion La Médecine Nucléaire est concernée à la fois par le tri des déchets et le risque d exposition et de contamination radiologique engendré par ses déchets, le risque ionisant prime sur les autres risques générés par les déchets d activité de soins : risque infectieux. La gestion des déchets radioactifs est formalisée par des procédures, l ensemble des déchets est soumis à un contrôle systématique de non contamination avant évacuation vers la filière appropriée afin d éviter de contaminer l environnement ou d exposer des personnes : travailleurs ou public. La réglementation en matière de gestion de déchets et les exigences de la certification s appliquent aux services de Médecine Nucléaire comme à l ensemble des secteurs d activités des établissements de santé. Si la politique de tri radiologique est parfaitement respectée et appliquée, la valorisation des autres déchets est un enjeu pour les services de médecine Nucléaires et les établissements de santé. Bibliographie Arrêté du 23 juillet 2008 portant homologation de la décision n 2008-DC-0095 de l'asn du 29 janvier 2008 fixant les règles techniques auxquelles doit satisfaire l'élimination des effluents et des déchets contaminés par les radionucléides, Déchets d activité de soins à risques 2009 Comment les éliminer?, Direction générale de la Santé, Guide DASRI 2009 La gestion des déchets dans les établissements de Santé, Panorama réglementaire et propositions pratiques de mise en oeuvre, Guide de la MeaH, mise à jour 2008 Manuel de certification des établissements de santé, HAS, juin 2009 Revue de l infirmière n 54 Novembre 1999
MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :
1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...
Plus en détail«Actualités réglementaires en radioprotection»
Contenu des informations à joindre aux D. ou demande d Autorisation Cyril THIEFFRY Sûreté Nucléaire et Radioprotection Arrêté du 29 janvier 2010 portant homologation de la décision n 2009-DC-0148 de l
Plus en détailCONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI)
3, rue Malakoff Immeuble le forum 38031 Grenoble cedex 01 : 04 76 59 59 59 Fax : 04 76 59 57 26 CONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI) Convention pour
Plus en détailN/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 6 mars 2015 N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS Objet : Réf : Inspection
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailL AUDIT DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES SUR LE TRI DES DECHETS AU CENTRE DE READAPTATION DE MULHOUSE ET LA DYNAMIQUE D AMÉLIORATION
L AUDIT DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES SUR LE TRI DES DECHETS AU CENTRE DE READAPTATION DE MULHOUSE ET LA DYNAMIQUE D AMÉLIORATION Martine HELL - Jean-Claude SCHREPFER 2ème rencontre RMS Strasbourg 25-26
Plus en détailRECOMMANDATIONS EN MATIÈRE DE GESTION DES DÉCHETS DE SOINS DE SANTÉ
Conseil Supérieur d Hygiène RECOMMANDATIONS EN MATIÈRE DE GESTION DES DÉCHETS DE SOINS DE SANTÉ ------> TABLE DES MATIERES Conseil Supérieur d Hygiène RECOMMANDATIONS EN MATIÈRE DE GESTION DES DÉCHETS
Plus en détailN/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF Paris, le 06 juillet 2010 Objet : Inspection
Plus en détailGrâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE
la Grâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE Filiale du Groupe Suez Environnement et Leader en France,
Plus en détailimplifiezletri vous Ville de Bondy GUIDE DU TRI Quelle poubelle choisir? Bouteilles et flacons en plastique Boîtes métalliques, briques, cartons
S ( implifiezletri vous GUIDE DU TRI Ville de Bondy Quelle poubelle choisir? Les autres déchets Vos équipements Bouteilles et flacons en plastique Boîtes métalliques, briques, cartons Journaux, magazines
Plus en détailMEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE
République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et
Plus en détailMédecine nucléaire Diagnostic in vivo
RADIOPROTECTION : SECTEUR MÉDICAL Médecine nucléaire Diagnostic in vivo hors TEP (1) Définition : acte à visée diagnostique utilisant des radionucléides artificiels administrés en sources non scellées
Plus en détailTOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00
TOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00 L entreprise Professionnel dans la collecte, le traitement et la valorisation de déchets industriels depuis plus de 80 ans
Plus en détailENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84
ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion
Plus en détailLe Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage
Le Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage Sommaire L Andra dans l Aube : un exploitant industriel exemplaire Le Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage
Plus en détailProcédure de tri et traitement des déchets Pro 032
Service de Sécurité Ferme de la Mouline Tél. 021 692 2570 / Fax 021 692 2575 Procédure Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Contenu 1. Objet... 1 2. Domaine d application... 1 3. Abréviations...
Plus en détailLe Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux?
Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Qu est-ce qu un Tout le monde produit des déchets dangereux via ses activités quotidiennes
Plus en détailGestion des déchets dangereux dans les entreprises
Actualités Gestion des déchets dangereux dans les entreprises Avril 2012 - Fiche n 1 Rédigée par Margot Liatard CCIR Champagne-Ardenne Qu est ce qu un déchet dangereux? Les déchets dangereux sont des déchets
Plus en détailEnvironnement. préservé CONTACT 03 88 40 05 96 LE SERVICE DE L ASSAINISSEMENT ET VOUS
Environnement préservé CONTACT 03 88 40 05 96 LE SERVICE DE L ASSAINISSEMENT ET VOUS 1 Le service de l assainissement de la CUS : Chaque jour, les agents du service public assurent la maîtrise d ouvrage
Plus en détailConséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection
Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection 9 juin 2010 / UIC Paris Présenté par E. COGEZ, IRSN Contexte
Plus en détailBENOIST BUSSON Cabinet d Avocats 250 bis, boulevard Saint-Germain 75007 PARIS
BENOIST BUSSON Cabinet d Avocats 250 bis, boulevard Saint-Germain 75007 PARIS MonsieurleProcureurdelaRépublique TribunaldeGrandeInstancedeMontauban Placeducoq 82000MONTAUBAN Paris,le20octobre2010 LR+AR
Plus en détailFormation des formateurs relais 3RB. Paris, 2 et 3 avril 2009
Formation des formateurs relais 3RB Paris, 2 et 3 avril 2009 Cadre juridique Formation 3RB -2 et 3 avril 2009 2 Sommaire 1. Introduction: prévention et textes juridiques 2. Hiérarchie des textes 3. Sélection
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailIntitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011
Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi
Plus en détailFénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons?
LYCEE FENELON : démarche Qualycée en cours Quels sont les efforts réalisés à Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons? 16/03/2015 tri sélectif à Fénelon
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailJ ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 5 juillet 2013 CODEP-LIL-2013-037759 AD/EL Monsieur le Dr W SCM des Docteurs V W X Y 23, Boulevard Victor Hugo 62100 CALAIS Objet : Inspection de la radioprotection
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailDéchets infectieux Élimination des DASRI et assimilés Prévention et réglementation
Déchets infectieux Élimination des DASRI et assimilés Prévention et réglementation L Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l
Plus en détailValorisation matière (réutilisation, récupération, recyclage, compostage, biométhanisation)
GUIDE JURIDIQUE : LES PRINCIPALES RÉGLEMENTATIONS RELATIVES AUX DÉCHETS Dernière révision du document : février 2013 Ce guide propose une approche simplifiée des textes de lois relatifs aux déchets en
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailGuide 2015. Ordures ménagères
Guide 2015 Ordures ménagères CDC de Podensac 12 rue du M al Leclerc-de-Hauteclocque Tel 05 56 76 38 00 environnement@cc-podensac.fr www.cc-podensac.fr EDITO Bernard Mateille Président de la CDC Maire de
Plus en détailDÉCHETS MÉNAGERS. Mode d emploi. Point info 01 46 12 75 20. www.ville-montrouge.fr
DÉCHETS MÉNAGERS Mode d emploi Point info 01 46 12 75 20 www.ville-montrouge.fr C ollecte sélective en porte à porte, ramassage des encombrants, déchetterie, etc., la Ville de Montrouge propose une palette
Plus en détailLes conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012
Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA RADIOPROTECTION DANS LES SERVICES DE MEDECINE NUCLEAIRE
ETAT DES LIEUX DE LA RADIOPROTECTION DANS LES SERVICES DE MEDECINE NUCLEAIRE PENDANT LA PERIODE 2009-2011 RESUME Le bilan national des inspections des services de médecine nucléaire a été établi sur la
Plus en détailRecycler mes lampes? Une idée lumineuse. En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent!
Recycler mes lampes? Une idée lumineuse En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent! Prévu par deux règlements européens relatifs à l éco-conception des lampes, le retrait progressif
Plus en détailSOCIETE SAMSIC ECO CONCEPTION D UN SERVICE DE NETTOYAGE INDUSTRIEL BILAN APPEL A PROJET RECHERCHE EN ECO CONCEPTION 2008.
BILAN APPEL A PROJET RECHERCHE EN ECO CONCEPTION 2008 SOCIETE SAMSIC ECO CONCEPTION D UN SERVICE DE NETTOYAGE INDUSTRIEL Pourquoi agir Pour les acheteurs publics et privés, les attentes en matière d hygiène
Plus en détailDISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL
DISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL Ces dispositions s appliquent spécifiquement aux établissements fabriquant ou distribuant des
Plus en détailLES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE
LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si
Plus en détailMédecine nucléaire Diagnostic in vivo
RADIOPROTECTION : SECTEUR MÉDICAL Médecine nucléaire Diagnostic in vivo TEP-TDM ou TEP (1) au fluor 18 et autres émetteurs de positons Définition : acte à visée diagnostique utilisant actuellement du fluor
Plus en détailMonsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR
DIRECTION RÉGIONALE DE L INDUSTRIE, DE LA RECHERCHE ET DE L ENVIRONNEMENT DE BOURGOGNE www.bourgogne.drire.gouv.fr Division de Dijon Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté
Plus en détailARTICLE 1 - Réglementation et rôle de la Collectivité
CCPG - 135 Rue de Genève BP 441 01174 GEX Cedex Tel : 04 50 42 26 41 / Fax : 04 50 42 65 01 - dechets@ccpg.fr CONTRAT DE COLLECTE DES DÉCHETS ASSIMILÉS «DIB-DAC» ARTICLES L.2224-14 ET L.2333-78 DU CGCT
Plus en détailTermes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires»
Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» 1 Contexte et justification du groupe de travail 1.1 Présentation de la Plateforme Re-Sources est une Plateforme pour la
Plus en détailRéférences et partenaires :
Eric RIPERT, 49 ans, Formateur - Consultant depuis 1995 dans les domaines HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT. (H.S.E) Formateur et coordinateur de pôle en 2010 dans un centre de formation de premier plan sur
Plus en détail2. Garantie En cas de problème ou de question technique, vous pouvez contacter notre hotline au numéro indigo ci-contre :
1. Important Prenez le temps de lire ce manuel utilisateur avant d utiliser votre antenne terrestre d intérieur. Ce manuel contient des informations importantes concernant le fonctionnement de votre antenne.
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B
REGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B Les déchetteries intercommunales de la CCVD s inscrivent dans le rôle des collectivités
Plus en détailBORDEREAU DE SUIVI DES DECHETS
BORDEREAU DE SUIVI DES DECHETS Pour une meilleure traçabilité Une nouvelle réglementation vient clarifier les règles de traçabilité du circuit des déchets dangereux Chambre de Métiers et de l'artisanat
Plus en détailRèglement de collecte des déchets ménagers et assimilés
Page 1 sur 9 Règlement de collecte des déchets ménagers et assimilés ARTICLE 1 : OBJET ET CHAMP D APPLICATION 1.1 : Objet Le présent règlement fixe, à l intérieur du périmètre de ramassage des déchets
Plus en détailN/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 30 septembre 2014 N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE Objet : Inspection sur le thème de la radioprotection
Plus en détailProtection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009
Protection de la ressource et Métiers de l Automobile Intervention du 12 octobre 2009 Intervention 1. Le CNPA et le Défi de l Environnement 2. Environnement et Métiers de l Automobile 3. Le parcours du
Plus en détaildéveloppe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin.
alliance - développement - valorisation N/Réf : LET.A000.00.SAG.106149 développe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin. Grâce à son expertise de l industrie nucléaire, le service
Plus en détailLA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E
LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES
Plus en détailAnnexe A : Tableau des exigences
E1 E1.1 E1.2 E1.3 E1.4 E1.5 E1.6 Exigences générales production Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent être cultivés au Québec. Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent
Plus en détailDIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 CODEP-DOA-2011-071487 SS/NL Centre Hospitalier de Roubaix 35, rue de Barbieux BP 359 59056 ROUBAIX CEDEX Objet : Inspection de la radioprotection
Plus en détailModule 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace carbonique
Module 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace Aperçu Page 2 de 28 Emballages appropriés Marquage et étiquetage Documentation exigée Exercice: emballage en présence de glace Page
Plus en détaileat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com
eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste De plus en plus, le traitement des biodéchets
Plus en détailLe petit livre. des toilettes. Les égouts ne sont pas des poubelles!
Le petit livre des toilettes Les égouts ne sont pas des poubelles! Editeur responsable : B. ANTOINE AIVE Drève de l Arc-en-Ciel 98 6700 ARLON Tél. 063 23 18 11 www.aive.be infoligne@idelux-aive.be janvier
Plus en détailEN AMONT DE LA DÉLÉGATION ACCUEIL ET FORMATION GÉNÉRALE À LA SÉCURITÉ FORMATION AU POSTE DE TRAVAIL
EN AMONT DE LA DÉLÉGATION Elaborer un livret d'accueil Etablir la liste des postes à risques particuliers (annexe 1) Prendre en compte la liste des travaux interdits aux intérimaires (annexe 2) Désigner
Plus en détailTri et collecte du papier au collège de Fortschwihr
Tri et collecte du papier au collège de Fortschwihr La mise en œuvre du projet visites d entreprises dans le domaine du recyclage du papier La démarche en quelque mots mise en place du tri du papier au
Plus en détailDans le cadre de la Semaine du Développement Durable, SITA présente "LA FABULEUSE AVENTURE DES DECHETS"
Dossier de presse Dans le cadre de la Semaine du Développement Durable, SITA présente "LA FABULEUSE AVENTURE DES DECHETS" Un programme ludo-pédagogique pour tous, de 7 à 77 ans du 29 mai au 4 juin 2006
Plus en détailComme les précédentes,
dmt TC dossier médico-technique 106 Médecine et rayonnements ionisants: fiches d aide à l analyse des risques en médecine nucléaire Six nouvelles fiches d aide à l analyse des risques font suite à une
Plus en détailTri et réduction des déchets
Tri et réduction des déchets dans les locaux sociaux de son établissement # 1 - Organiser le tri dans les locaux sociaux # 2 - Valoriser les déchets en organisant la collecte des poubelles # 3 - Communiquer
Plus en détailÀ recycler ou pas? Guide pratique du tri
À recycler ou pas? Guide pratique du tri Pour trier, quels sont vos équipements? Pour les bouteilles et flacons en plastique, les emballages métalliques, les cartonnettes et les briques alimentaires Pour
Plus en détailSommaire ... PRESENTATION ... AGENCEMENT ... CLOISONS - PORTES ... ECLAIRAGE - DÉCORATION ... REVÊTEMENT ... RÉSINE DE SYNTHÈSE ...
d e n t a i r e e t m é d i c a l d e n t a i r e e t m é d i c a l Sommaire 4 5 6 7 8 9... PRESENTATION... AGENCEMENT... CLOISONS - PORTES 10 11... ECLAIRAGE - DÉCORATION 12 13... REVÊTEMENT 14 15...
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailParties communes et services
Parties communes et services Ergonomie pratique en 128 points CHECKPOINT 95 Mettre des vestiaires et des sanitaires à la disposition des employés pour garantir un bon niveau d'hygiène et de propreté. POURQUOI
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ SANTÉ SANTÉ PUBLIQUE. Santé environnementale. Direction générale de la prévention des risques
SANTÉ SANTÉ PUBLIQUE Santé environnementale MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Direction générale de la prévention des risques
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailAUDIT 2009 des UCPC de Lorraine
AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine Nom de l'établissement Date Nombre de préparations / an : Date d'installation: Personnes présentes Nom / Prénom Fonction Signature Réseau Oncolor 2010 1 SOMMAIRE Page I
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailÉdito. Le meilleur déchet reste celui que l on ne produit pas.
Édito Le meilleur déchet reste celui que l on ne produit pas. Depuis janvier 2011, le Syndicat Emeraude s est engagé résolument dans un programme local de prévention. Ne nous limitons pas à l objectif
Plus en détailEcoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets
Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval
Plus en détailLes droits syndicaux en matière d environnement
Les droits syndicaux en matière d environnement 1. Introduction Le CPPT dispose de compétences par rapport à l environnement. Le CE n a, quant à lui, pas de compétence propre par rapport à l environnement
Plus en détailPROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM
PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM Informations pour la population de Rhénanie-Palatinat Editeur: Aufsichts- und Dienstleistungsdirektion Willy- Brandt-
Plus en détailBOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes
1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon
Plus en détaileedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7
eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 I- ETUDE D UNE PHOTOGRAPHIE DE YANN ARTHUS-BERTRAND : Stockage d ordures dans la périphérie de Saint-Domingue en République dominicaine au cœur des Caraïbes Légende
Plus en détailLIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ. Agents réalisant la collecte des déchets
LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ Agents réalisant la collecte des déchets Sommaire 1- Enjeux et objectifs de ce livret... 3 2- Au départ (Avant la collecte)... 4 2.1 Les équipements de protection individuelle
Plus en détailMétallerie / Serrurerie
Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité
Plus en détailnotre système de consigne sur les boissons gazeuses est menacé d abolition?
2 Saviez-vous que notre système de consigne sur les boissons gazeuses est menacé d abolition? L avenir de la consigne au Québec est présentement incertain. Au printemps 2015, le Ministère du Développement
Plus en détailESII. Une entreprise éco-citoyenne
ESII Une entreprise éco-citoyenne ESII s inscrit dans une politique de développement durable garantissant la mise en œuvre de pratiques sans danger pour l environnement ainsi que le respect des normes
Plus en détailEpreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE
SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014
Plus en détailSoyez. Pour un logement
Soyez Pour un logement Sommaire LE CHAUFFAGE 2 LA VENTILATION 2 LES EQUIPEMENTS MENAGES 3 L ECLAIRAGE ET L ELECTRICITE 4 L EAU 4 TRIE DES DECHETS 5 LA CONSOMMATION DURABLE 6 LE TRANSPORT 7 Ce guide va
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.
SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ Organisation MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détail19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS
19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des
Plus en détail3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux
3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central
Plus en détailDossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.
Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...
Plus en détailAgent d entretien des locaux
Agent d entretien des locaux L entretien des locaux (bureaux, écoles, salles polyvalentes, structures sanitaires, gymnases ) nécessite l emploi de techniques, de produits et de matériels spécifiques qui
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailFiche 22 Emballage et aliment
Fiche 22 Emballage et aliment Aujourd hui, quasiment tous les produits que nous achetons sont emballés, très peu sont vendus en vrac. Pourtant, un emballage n est pas neutre : c est un objet publicitaire
Plus en détailCRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation?
CRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation? Sommaire page 2 > A { Qu est ce qu une Installation Classée pour la Protection de l Environnement (ICPE)?
Plus en détailPROCEDURE ENREGISTREMENT
Page 1 sur 7 ANNULE ET REMPLACE LES DOCUMENTS SUIVANTS référence 04/PR/001/02/V01 04/PR/001/02/V02 04/PR/001/02/V03 04/PR/001/02/V04 04/PR/001/02/V05 04/PR/001/02/V06 04/PR/001/02/V07 04/PR/001/02/V08
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailMaximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal
MYT Business Unit Zweckverband Abfallbehandlung Kahlenberg (ZAK) Bergwerkstraße 1 D-77975 Ringsheim Téléphone : +49 (0)7822 8946-0 Télécopie : +49 (0)7822 8946-46 E-mail : info@zak-ringsheim.de www.zak-ringsheim.de
Plus en détaildes lignes de défenses fortes lors des arrêts de tranches nucléaires
Thésame Le 6, 7 juin 2012 un petit Composant pour des lignes de défenses fortes lors des arrêts de tranches nucléaires piscine REX EDF Maurer / SPR / CNPE Tricastin 1 De l expression du besoin au Nanopral
Plus en détailBILAN 2014 ET PERSPECTIVES
CNPE de Cattenom BILAN 2014 ET PERSPECTIVES Commission Locale d Information 19 mai 2015 BILAN 2014 Ce document est la propriété d EDF. Toute diffusion externe du présent document ou des informations qu
Plus en détailL IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES
Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES SAMEDI 15 SEPTEMBRE 2012 ENTRÉE LIBRE DE 10H30 À 17H SUR PRÉSENTATION D UNE CARTE D IDENTITÉ 31, AVENUE DE LA DIVISION
Plus en détailLE DEVENIR DES EMBALLAGES TRIÉS
UN DOUTE? UNE QUESTION? LE DEVENIR DES EMBALLAGES TRIÉS LA COLLECTE DES SACS ET DES BACS JAUNES : Les agents de collecte ramassent une fois par semaine les sacs et bacs jaunes. Seuls les emballages et
Plus en détailPlan individuel de prévention et de gestion des déchets pour les déchets d équipements électriques et électroniques
Plan individuel de prévention et de gestion des déchets pour les déchets d équipements électriques et électroniques Le plan doit être introduit en langue française ou néerlandaise. Les données sont reprises
Plus en détailLes verres, bocaux et bouteilles en verre
Guide pratique du tri Les poubelles R pour protéger l et vos éc Trier ses déchets, ce n est pas seulement un geste citoyen bénéfique à l environnement, c est aussi un moyen de faire des économies en réduisant
Plus en détail