Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr
|
|
- Paule Gravel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 AVERTISSEMENT Ce document est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l'ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de l'auteur. Cec mplque une oblgaton de ctaton et de référencement lors de l utlsaton de ce document. Toute contrefaçon, plagat, reproducton llcte encourt une poursute pénale. Contact SCD Nancy 1 : theses.scences@scd.uhp-nancy.fr LIENS Code de la Proprété Intellectuelle. artcles L Code de la Proprété Intellectuelle. artcles L L
2 Département de formaton doctorale en nformatque UFR STMIA École doctorale IAEM Lorrane Décentralsaton des procédés méters : qualté de servces et confdentalté THÈSE présentée et soutenue publquement le 8 septembre 2008 pour l obtenton du Doctorat de l unversté Henr Poncaré Nancy 1 (spécalté nformatque) par Ustun YILDIZ Composton du jury Rapporteurs : Chhab Hanach Professeur, Unversté Toulouse I, France Heko Ludwg Drecteur de Recherche, IBM Almaden Research Center, États-Uns Examnateurs : Isabelle Chrstment Professeur, Unversté de Nancy I, France Claude Godart Professeur, Unversté de Nancy I, France Thomas Tamser Chef de Projet, CRP Gabrel Lppmann, Luxembourg Laboratore Lorran de Recherche en Informatque et ses Applcatons UMR 7503
3 Ms en page avec la classe thlora.
4 Département de formaton doctorale en nformatque UFR STMIA École doctorale IAEM Lorrane Décentralsaton des procédés méters : qualté de servces et confdentalté THÈSE présentée et soutenue publquement le 8 septembre 2008 pour l obtenton du Doctorat de l unversté Henr Poncaré Nancy 1 (spécalté nformatque) par Ustun YILDIZ Composton du jury Rapporteurs : Chhab Hanach Professeur, Unversté Toulouse I, France Heko Ludwg Drecteur de Recherche, IBM Almaden Research Center, États-Uns Examnateurs : Isabelle Chrstment Professeur, Unversté de Nancy I, France Claude Godart Professeur, Unversté de Nancy I, France Thomas Tamser Chef de Projet, CRP Gabrel Lppmann, Luxembourg Laboratore Lorran de Recherche en Informatque et ses Applcatons UMR 7503
5 Ms en page avec la classe thlora.
6 Département de formaton doctorale en nformatque UFR STMIA École doctorale IAEM Lorrane Décentralsaton des procédés méters : qualté de servces et confdentalté THÈSE présentée et soutenue publquement le 8 septembre 2008 pour l obtenton du Doctorat de l unversté Henr Poncaré Nancy 1 (spécalté nformatque) par Ustun YILDIZ Composton du jury Rapporteurs : Chhab Hanach Professeur, Unversté Toulouse I, France Heko Ludwg Drecteur de Recherche, IBM Almaden Research Center, États-Uns Examnateurs : Isabelle Chrstment Professeur, Unversté de Nancy I, France Claude Godart Professeur, Unversté de Nancy I, France Thomas Tamser Chef de Projet, CRP Gabrel Lppmann, Luxembourg Laboratore Lorran de Recherche en Informatque et ses Applcatons UMR 7503
7 Ms en page avec la classe thlora.
8
9 Remercements Je remerce vvement les rapporteurs qu se sont ntéressés à mon traval, et qu me font l honneur de partcper à ce jury, malgré leurs lourdes tâches. Je remerce Monseur Heko Ludwg qu a accepté d être rapporteur de ma thèse. Sa longue expérence sur la geston des procédés méters le désgnat tout naturellement pour évaluer mon traval, et sa lecture crtque a contrbué à l améloraton du manuscrt. Je lu en sus très reconnassant. Je tens à remercer Monseur Chhab Hanach dont j a toujours apprécé la qualté de ses travaux. Il s est nvest sans retenue dans la relecture du manuscrt. Il a le meux ressent la dffculté qu l y a à présenter un traval de recherche de qualté et m a soutenu auss ben moralement que scentfquement. Je remerce Madame Isabelle Chrstment qu m a fat l honneur de présder ce jury. Je tens tout partculèrement exprmer ma grattude à Monseur Claude Godart, pour sa confance et son amté. Il s est nvest sans retenue dans la correcton de ce manuscrt. Une thèse est autant le résultat d un traval ndvduel que de l envronnement dans lequel elle s est effectuée. Pour cela, je tens à assocer à ces remercements, tous mes collègues du LORIA et du ECOO qu m ont encouragé et adé à fnr ce traval. Je pense partculèrement à Rém, Yannck, Laszlo, Sahb, Gérald, Clauda, Adnène, Khaled, Jesse et Wald. Je remerce le FNRS du Luxembourg pour le fnancement des 3 premères années de ce traval en relaton avec le CRPGL.
10 v
11 Table des matères Chaptre 1 Introducton Chaptre 2 Problématque générale et objectfs de la thèse Introducton Contexte de la thèse Problématque Un exemple de motvaton smple Objectfs de la thèse Idées centrales de la thèse Les grandes lgnes de la démarche Contrbutons de la thèse Synthèse Chaptre 3 Etat de l art Introducton L approche orentée servce et ses technologes : Le dogme Pourquo et comment employer l approche orentée servce? Technologes relatves basées sur XML La composton des servces Synthèse sur l approche orentée servce Systèmes d nformaton décentralsés et par-à-par Pourquo avor des systèmes décentralsés? Quels sont les défs et les lmtatons des systèmes décentralsés? Synthèse sur les systèmes décentralsés par-à-par Worflow La modélsaton des procédés méters v
12 Table des matères L ntatve Workflow Worklow centralsé versus décentralsé Autres travaux lées Synthèse sur le workflow décentralsé Synthèse et stuaton par rapport à d autres approches de la problématque Chaptre 4 La modélsaton d un procédé et sa décentralsaton par défaut Introducton Le modèle du procédé Éléments caractérstques du modèle proposé et hypothèses prélmnares Exemple llustratf Défnton formelle Prncpes de décentralsaton et l orgnalté de l approche La décentralsaton d un procédé centralsé Les algorthmes pour la producton des fragments coopérants Vue d ensemble et présentaton ntutve des algorthmes Notatons Interconnexon avec les actvtés de postset et de postset étue Interconnexon avec les actvtés de preset et de preset étue Synthèse Chaptre 5 Contrôle du flux d nformaton :Vers un modèle décentralsé effcace Introducton Contrôle du flux d nformaton Vue d ensemble et présentaton ntutve de la démarche adoptée Représentatons formelles Poltques du flux d nformaton d un servce Poltques du flux d nformaton d un concepteur Poltques du flux d nformaton contextuelles Tratement des poltques du flux d nformaton Vérfcaton des poltques Établssement des chemns fables entre les servces Producton des procédés coopérants Valdaton de la producton des procédés coopérants Synthèse v
13 Chaptre 6 L mplémentaton du chox dynamque et décentralsé des servces Introducton Chox dynamque et décentralsé de servces Exemple de motvaton et vue d ensemble Aspects formels du chox dynamque et décentralsé Chox concurrent de servces Chox dynamque par défaut Déploement des procédés coopérants à travers les dépances de chox Extenson de l approche par des consdératons d mplémentaton Chox dynamque et décentralsé retardé Synchronsaton explcte de servces Implémentaton du chox dynamque et décentralsé dans WS-BPEL Synthèse Chaptre 7 Mse en œuvre Introducton L mplémentaton de l échangeablté des procédés coopérants Implémentaton des servces La producton des procédés coopérants avec WS-BPEL Synthèse Chaptre 8 Conclusons et perspectves Rappel du contexte et des objectfs de la thèse Blan des contrbutons Perspectves Annexes Annexe A Le tratement des procédés WS-BPEL Annexe B La recherche de chemn par le tratement des poltques du flux d nformaton v
14 Table des matères Annexe C La preuve du théorème de l exacttude Bblographe 177 v
15 Table des fgures 2.1 Un exemple de motvaton La fgure(a) s agt de l utlsaton d un servce classque, l opératon du servce est évoquée par un message du clent. La fgure(b) llustre un servce qu mplémente notre approche, l est évoqué par un procédé qu sera exécuté par le servce L applcaton de l approche au procédé de l exemple de motvaton Les exemples de technologes et de standards des servces Web Exemple d orchestraton Evoluton des efforts de standardzaton Exemple de chorégraphe Les topologes des systèmes décentralsés P2P La comparason de l approche centralsée et décentralsée Le cycle de ve d un procédé [van der Aalst2005] Un exemple de workflow en BPMN La transformaton d un modèle de procédé arbtrare en un modèle structuré en deux étapes [Lu and Kumar2005] Un exemple de procédé L exemple de Global Soundness [van der Aalst1999] L élmnaton des chemns morts dans une exécuton centralsée Une dépance de contrôle entre deux actvtés qu évoquent des servces dfférents L exemple de dépance de donnée sur un chemn de contrôle Un exemple de fragment où deux actvtés sont relées par une dépance de donnée Un exemple de fragment où deux actvtés sont relées par une dépance de donnée Les exemples d actvtés nfluencées par le DPE Les dépances qu appartennent à a F,a Les dépances qu appartennent à a D,F,a Les dépances qu appartennent a F Les dépances qu appartennent à a D,F Les cas prncpaux qu dovent être consdérés en fournssant les fragments de procédés La structuraton des actvtés de connexons concernant les messages de contrôles à envoyer vers les procédés qu exécutent a 2 et a La structuraton des actvtés de connexons concernant les messages de contrôles pour satsfare l élmnaton des chemns morts x
16 Table des fgures 4.17 La structuraton des actvtés de connexons concernant les messages de contrôles pour nformer les procédés qu sont susceptbles d exécuter des actvtés de connexons pour recevor des données envoyées par les autres procédés La structuraton des actvtés de connexons concernant les messages de contrôles pour nformer les procédés qu ncluent les actvtés qu dovent utlser les sortes des actvtés que l élmnaton des chemns morts n nfluence pas La structuraton des actvtés de connexons concernant la récepton des messages de contrôles pour la suspenson ou l actvaton de l actvté a La structuraton des actvtés de la fgure4.19 par rapport à l actvé termnale du fragment ã La structuraton des actvtés de connexon qu reçovent les messages de suspensons des actvtés sources des dépances de données de l actvté a La structuraton des actvtés de connexon qu reçovent les messages d exécuton pour les actvtés sources des dépances de données de l actvté a 19 et les actvtés de connexon qu reçovent les données de procédés des actvtés a 12 et a Vue d ensemble de la méthodologe du contrôle du flux d nformaton Vue d ensemble du tratement des poltques pour la vérfcaton de l adéquaton des poltques et des nteractons Exemple de motvaton pour le contrôle du flux d nformaton Les fragments coopérants qu permettent le routage de la sorte (PB1 1 et P B2 1 ) Les fragments coopérants PBanque2 et P Banque Les fragments coopérants des servces Hôptal et Inspecteur2, (PHôptal et P Inspecteur2 5.7 Les structures algèbrques et leur dépances Le chox dynamque centralsé (a) et décentralsé (b) Les dépances de chox dynamque et décentralsé Cas 1 : La sélecton du servce s 17 qu exécute a Cas 2 : La sélecton du servce s 3 qu exécute a Cas 3 : La sélecton du servce s 3 nvoqué par les actvtés a 9 et a La chox du servce s 19 nvoqué par l actvté a Le chox du servce s x qu exécute l actvté a La synchronsaton des servces pour le chox dynamque des servces La synchronsaton mutuelle des servces dynamquement choss Le chox retardé du servce s 12 nvoqué par l actvté a La synchronsaton des servces s 2 et s La synchronsaton des servces s 4, s 5 et s La synchronsaton des servces s 4, s 5 et s La synchronsaton des servces s 7, s 8 et s La synchronsaton des servces s 7, s 9 et s Implémentaton du chox dynamque dans WS-BPEL Vue d ensemble de l mplémentaton d un servce Vue d nsemble de l ActveBPEL et les modules que nous avons étus Vue d ensemble du module PPP Les classes prncpales du module PPP x
17 Chaptre 1 Introducton Ces 20 dernères années qu ont vu les scences et technologes de l nformaton et de la communcaton (STIC) révolutonner la socété, une des applcatons sgnfcatves en est le Web qu est un moyen de rre toutes les connassances humanes accessbles à tous. C est un des plus beaux challenges qu sot, qu modfe la ve de chacun de manère essentelle. A l époque, la vson orgnelle de Tm Berners-Lee, nventeur du Web et présdent du W3C (World Wde Web Consortum), état celle d une ressource qu permettrat la collaboraton. Aujourd hu, quand on pense au futur, on peut estmer que le Web sera partout, encore plus qu aujourd hu. Les systèmes échangeront smplement entre eux de l nformaton. Nous pourrons poser à notre table de nut des questons comme : Où a-je lassé mes lunettes? Ce yaourt est-l encore mangeable? Où ma flle se trouve-t-elle? Le Web a été l une des avancées les plus vsbles de l nformatque de ces dernères années. Avec l avènement des outls portables, communquant sans fl, et embarquant des ressources de calcul de plus en plus mportantes, ans que la généralsaton de la géolocalsaton, nous pouvons prédre que chaque apparel du quotden devra non seulement un récepteur potentel de l nformaton dsponble sur le Web mas également un émetteur. Avec une évoluton de l nformatque ubqutare, ans que la mse en place de grandes bases de données représentant l nformaton à l échelle du monde enter, nous pouvons auss prédre que chacun pourra contrbuer et enrchr en permanence cette représentaton vrtuelle du monde fourne par le Web. La recherche qu porte sur le Web est un domane de recherche à part entère qu suscte beaucoup d ntérêt de la part de chercheurs de communautés très varées depus plus d une dzane d années (la premère conférence World-Wde Web fut organsée en 1994). Après une phase de boullonnement un peu rrégulère due à un fort engouement, les fls rouges de cette nouvelle pste de l nformatque se sont rapdement structurés. Actuellement, un de ces fls rouges est clarement les Archtectures Orentées Servces (AOS). Les archtectures orentées servces, et en partculer les servces Web, permettent l accessblté, la découverte et l utlsaton unverselle de n mporte quel applcaton logcelle sur le Web en utlsant des normes ouvertes. Ans, les logcels codés dans dvers langages de programmaton et sur dverses plateformes d exécuton peuvent employer des servces Web pour échanger des données à travers le Web. Il est à noter que les servces Web portent sur la défnton unverselle des nterfaces des applcatons logcelles et le format des communcatons avec ces derners. En conséquence, les servces Web n ntrodusent pas de contrantes d mplémentaton pour les applcatons qu sont rues accessbles sur le Web. Une des rasons de l ntérêt porté aux AOS est le contexte actuel de l évoluton des entreprses qu est caractérsé par une concurrence économque planétare et un envronnement sauvage, souvent mprévsble en termes de besons et de demandes du marché. Pour survvre dans un tel 1
18 Chaptre 1. Introducton contexte, les entreprses dovent être flexble, réactve et dynamque et pour ce fare, le Web leur fournt un ntergcel sans précédent. Grâce aux servces Web, les entreprses peuvent encapsuler leurs procédés méters et les publer comme des servces, chercher et souscrre à d autres servces et échanger des nformatons au-delà des frontères des entreprses. L approche des servces Web promet d être la technologe clé pour automatser les nteractons Busness-2-Busness (B2B) ans que Busness-2-Consumer (B2C). La contreparte des avantages des AOS est l extrême complexté de concepton des applcatons orentées servces. Les premères applcatons orentées servces opératonnelles ont vu le jour l y a plus de 5 ans. Elles n étaent en fat que de smples applcatons répartes du style clent-serveur qu utlsaent des formats spécaux pour nvoquer des composants dstants. Ben que la valeur de la technologe des servces de Web at été démontrée dans la pratque à l ade des applcatons plotes, l y a un désr ntense d employer cette approche pour adresser des problèmes plus généraux. Les chercheurs recherchent les perfectonnements qu élèvent le nveau et la portée de l nteropérablté au delà de ce que permet l échange de base de messages, exgeant l appu pour l nteropérablté des servces de plus haut nveau d nfrastructure. Actuellement, les descrptons des servces Web de seconde génératon sont de plus en plus rches contrarement au Web tradtonnel que nous consdérons comme syntaxque pusque seule la structure, le contenu superfcel, et les proprétés élémentares de l nformaton y sont dsponble. Ben que la technologe des servces Web ne sot pas la seule manère pour réalser une AOS, elle est la technologe la plus consdérée par l ndustre. Avec les servces Web, l ndustre adresse encore une fos le déf fondamental de l nformatque réparte : comment fournr une manère unforme pour décrre des composants ou des servces dans un réseau, les localser, et y accéder. L ndustre aborde ce problème en utlsant des standards ouverts défns en assocaton avec de larges consortums tels que le W3C et l organsaton pour l avancement des normes structurées de l nformaton (OASIS) [Dumas and Fauvet2006]. Un des ponts forts de la culture du Web est d assurer une nteracton très fructueuse entre les éléments décentralsés. Les gros problèmes de l nteracton ne sont pas seulement technques mas ce sont auss des problèmes de socété : je dspose des servces Web nécessares pour termner mon procédé, est-ce que je peux utlser ces deux servces ensembles? Est-ce qu ls exgent une nteracton drecte entre eux ou ben je peux les coordonner mo-même? S je les lasse travaller entre eux pour mo, peut-l y avor des conséquences contre mes ntérêts? Est-ce qu ls peuvent fare des chox pour mo s je ne sus pas accessble? Dos-je surveller l nteracton de ces servces en permanence? Les nteractons sont souvent formalsées sous forme de procédés méters exécutés par une organsaton d une manère centralsée ou ben par un ensemble d organsaton d une manère décentralsée. Dans de nombreuses stuatons crtques, l est nécessare d assurer un certan degré de prépondérance entre ces deux modaltés d nteractons. Les crtères qu gouvernent les nteractons sont nombreux allant de la cohérence des nteractons mutuelles à l mplémentaton des nteractons en adéquaton avec les relatons de confance des organsatons. Les avancements dans les efforts de standardsaton coïncdent avec l émergence des nouvelles exgences en termes de contrôle des nteractons des servces autonomes. Notre traval se place à l ntersecton de ces deux contextes : les efforts de standardsaton et les besons de confguraton des servces composés qu sont régs par une multtude de besons à mesure de la maturaton de leur problématques. Dans ce cadre, le traval présenté dans cette thèse porte sur la défnton et la mse en œuvre d une méthodologe de geston de procédés méters destnés aux nouvelles exgences engrées par l AOS. Dans les grandes lgnes, l objectf vsé est de fournr un envronnement d exécuton de procédés méters orenté servces qu permet à un servce, non seulement d être composé au sen d un procédé méter, mas auss de pouvor établr des nteractons sophstquées égal-à-égal 2
19 restrentes par des crtères dvers. Cette motvaton est concrétsée par la producton et le déploement des procédés coopérants exécutés par les servces composés. Ces derners spécfent les nteractons que les servces dovent établr. Cette approche permet aux servces composés de se comporter dfféremment pour chaque composton qu ls font parte. En utlsant une approche délbérément formelle, la producton des procédés coopérants se fat à partr d une spécfcaton centralsée de la composton qu est consdérée comme une descrpton de workflow. Par la sute, la méthode de producton des procédés coopérants ntègre alors, sous formes d aspects non fonctonnels tels que les poltques du flux d nformaton, les restrctons qu gouvernent les nteractons des servces composés. L exécuton décentralsée du procédé avec les procédés coopérants produts après le tratement des poltques du flux d nformaton, montre la fasablté des compostons qu ne peuvent pas être exécutées par des conceptons centralsés tradtonnels. La dernère dmenson de la méthodologe de décentralsaton fournt un support pour le déploement dynamque et décentralsé des procédés coopérants. La réalsaton de l approche développée consste à mplémenter le déploement des procédés produts vers les servces composés. Cec consdère une mplémentaton de servce alternatve aux mplémentatons actuelles. L approche résde dans l utlsaton des standards pour la spécfcaton et l mplémentaton des compostons. Car les standards fournssent, non seulement un support pour l nteropérablté des applcatons, mas auss un envronnement pour l écheangéablté (la moblté) des spécfcatons codées en standards entre les servces. Organsaton du manuscrt Ce manuscrt se présente en 8 chaptres. Quelques annexes complètent le corps du texte avec notamment la prse en compte de détals de réalsatons logcelles. Chaque chaptre commence par une ntroducton qu présente le propos et l organsaton de son contenu. En outre, une secton de synthèse résume les contrbutons, l ntérêt, les dfférences par rapport aux travaux relatfs, et les lmtatons du traval présenté dans le chaptre. Les paradgmes, les concepts, les structures, et les algorthmes sont explqués sur des exemples typques pour mettre en évdence la dffculté des problèmes qu ls formalsent et les voes pour les résoudre. Le chaptre présent, Introducton, présente rapdement le contexte général. Le chaptre 2, Problématque générale et objectfs de la thèse, est consacré à une présentaton du contexte de notre traval et de la problématque générale de la thèse. Après une ntroducton au domane de l ngénere des procédés méters, les concepts approprés du domane de recherche sont brèvement explqués. Par la sute, les problèmes prncpaux de la thèse sont clarement posés : comment fournr les procédés qu dovent être exécutés par les servces composés afn d établr des nteractons égal-à-égal? quelles sont les restrctons qu gouvernent les nteractons des servces du pont de vue des flux d nformaton à respecter? quelles sont les restrctons archtecturales à respecter? Comment un procédé coopérant peut être déployé vers un servce? Un exemple llustratf est ntrodut pour faclter la compréhenson de la problématque. Le chaptre résume également les dées centrales, l approche et les contrbutons prncpales de la thèse. Le chaptre 3, État de l art, est dédé au parcours de la lttérature relatve à notre traval 3
20 Chaptre 1. Introducton dans l objectf de présenter un état de l art. Le rôle de ce chaptre, en permettant une ntroducton progressve des paradgmes, des concepts et des technologes par rapport aux défntons habtuelles dans le domane, est essentellement pédagogque. Une analyse crtque montre leur ntérêt et leur lmtes respectfs ans que leur caractère complémentare. Compte tenu du fosonnement actuel du domane, l est névtable que l état de l art ne trate pas de manère exhaustve l ensemble des travaux réalsés. Néanmons, l analyse fate couvre rasonnablement ben les prncpaux travaux pertnents, que ce sot en matère d archtectures et de technologes de servces, de paradgmes et de modèles décentralsés et de workflow. Plus précsément, l état de l art est présenté en tros sectons. Une premère secton présente les paradgmes de servce, pusque l utlsaton des spécfcatons standards pour les servces est consdérée comme centrale dans la thèse, examne la dversté de ces paradgmes et des approches prncpales à la problématque de composton des servces. La deuxème secton de ce chaptre porte sur l étude des paradgmes et à des systèmes décentralsés et égal-à-égal. Elle fat une comparason crtque des systèmes centralsés, des systèmes hybrdes et des systèmes totalement décentralsés. Elle examne auss les approches contradctores en mettant en avant les avantages et les lmtatons au nveau de la concepton et de la mse en œuvre, et en émettant les besons que dovent satsfare les procédés méters et les compostons de servces. Enfn, ce chaptre s ntéresse à l ntatve workflow qu est l émergence nformatque la plus générale du concept de procédé, et qu est auss à l orgne de l orchestraton des servces en commençant de façon un peu hstorque, et très rapdement, par la geston décentralsée de workflow. Nous termnons cette secton par un tableau qu synthétse les caractérstques de chacune des propostons de geston décentralsée de workflow. Le chaptre 4, La modélsaton d un procédé et sa décentralsaton par défaut, décrt le cœur du traval de thèse sous la forme d une technque de décentralsaton d une spécfcaton de procédé centralsé qu compose un ensemble de servces en un ensemble de procédés coopérants exécutés par les servces. Les procédés coopérants mettent en œuvre la sémantque centralsée comme nteractons d égal-à-égal entre les servces composés. Dans un contexte de workflow, une premère parte approfondt les types de stuatons et les dépances correspondantes que la technque de décentralsaton dot trater. Une seconde parte présente les algorthmes employés. D abord, les contours du modèle de procédé qu est utlsé dans ce chaptre et le reste de la thèse sont clarement dentfés. Les hypothèses concernant l nfrastructure de communcaton sousjacente et les procédés tratés sont présentées. Les structures de données et les algorthmes sont accompagnés des exemples de motvatons qu facltent leur compréhenson. Le chaptre dscute également la complexté et les lmtatons des technques présentées. L approche présentée est une soluton relatvement complète aux problèmes de la producton de procédés coopérants à partr d une spécfcaton centralsée. Elle consdère la décentralsaton des dépances de contrôles, de données, et conversatonnelles qu nécesste une consdératon plus profonde qu une approche ntutve. Par rapport aux travaux lés à l mplémentaton de la geston décentralsée de procédés méters qu portent sur la proposton des modules et de protocoles partculers employés par les servces, l approche présentée consdère le problème de décentralsaton du pont de vue de la producton de procédés coopérants. En conséquence, les résultats du chaptre, qu seront suvs par les consdératons archtecturales correspondantes dans le chaptre 7, sont la contrbuton postve à une geston décentralsée, unverselle et peu coûteuse des procédés. Le chaptre 5, Contrôle du flux d nformaton :Vers un modèle décentralsé effcace, met les contrbutons du chaptre précédent dans un contexte nter-organsatonnel plus applcatf. Le problème dont nous souhatons nous affranchr est essentellement l adaptaton de l approche orgnale aux restrctons secondares qu gouvernent les nteractons des servces 4
Remboursement d un emprunt par annuités constantes
Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)
Plus en détailContrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations
Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus
Plus en détailEditions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait
Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf
Plus en détailLes jeunes économistes
Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque
Plus en détailEn vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008
THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre
Plus en détailEH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes
EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare
Plus en détailDirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social
Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme
Plus en détailIntegral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation
Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement
Plus en détailPlan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks
Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare
Plus en détailLe Prêt Efficience Fioul
Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton
Plus en détailPourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE
L og c el s de D agnos t c s I mmob l er s Cont ac t eznous 32BddeS t r as bougcs3010875468 Par scedex10tel. 0253354064Fax0278084116 ma l : s er v c e. c l ent @l c el. f r Pourquo LICIEL? Implanté sur
Plus en détailTerminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33
Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue
Plus en détailFiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage
Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.
Plus en détailTABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1
TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 1. PROBLEMATIQUE 1 2. MISSION 1 3. ACTES D ENQUETE 2 4. ANALYSE
Plus en détailI. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»
Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton
Plus en détailSystème solaire combiné Estimation des besoins énergétiques
Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables
Plus en détailPrise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs
INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attrbué par la bblothèque THÈSE Pour obtenr le grade de DOCTEUR DE L I.N.P.G. Spécalté : Géne Industrel Préparée au Laboratore d Automatque de Grenoble Dans
Plus en détailLE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF
1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs
Plus en détailL enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir
L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de
Plus en détailMontage émetteur commun
tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.
Plus en détailChapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.
Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs
Plus en détailDES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS
DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent
Plus en détailMesure avec une règle
Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système
Plus en détailCREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?
CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43
Plus en détailEn vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009
THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par Insttut Natonal Polytechnque de Toulouse (INPT) Dscplne ou spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Elayeb Blel Le
Plus en détailINTERNET. Initiation à
Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton
Plus en détailDes solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com
Des solutons globales f ables et nnovantes www.calyon.com OPTIM Internet: un outl smple et performant Suv de vos comptes Tratement de vos opératons bancares Accès à un servce de reportng complet Une nterface
Plus en détailAssurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire
Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats
Plus en détailhal-00409942, version 1-14 Aug 2009
Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des
Plus en détailCOMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION
COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce
Plus en détailBTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES
MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec
Plus en détailRéseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.
Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du
Plus en détailVIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4
GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature
Plus en détailMÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES
MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de
Plus en détailPaquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11
Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr
Plus en détailInterface OneNote 2013
Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013
Plus en détailParlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros
Édton Pays de la Lore Parlons La lettre aux retratés du régme général de la Sécurté socale 2012 retrate L Assurance retrate en chffres* 12,88 mllons de retratés 17,58 mllons de cotsants 346 000 bénéfcares
Plus en détail1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.
A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par
Plus en détailProfessionnel de santé équipé de Médiclick!
Professonnel de santé équpé de Médclck! Dosser Médcal Partagé en Aqutane Ce gude vous présente les prncpales fonctonnaltés réservées aux professonnels de santé membres du réseau AquDMP. Sommare Connexon
Plus en détailUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER
Plus en détailIDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures
IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School
Plus en détailGUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES
GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES Gude destné au mleu muncpal québécos NOVEMBRE 2013 Coordnaton : Martn Cormer,
Plus en détailErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix.
ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Les solutons Vallant Pour dépasser la performance La satsfacton de fare le bon chox. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Eco-concepton et Etquetage
Plus en détailDriss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public.
Ver sunenouvel l ecul t ur emanagér al e:mét hodol og e dem seenpl aced unsyst èmedecont r ôl edegest on dansunét abl ssementpubl c Casd uneacadém er ég onal ed éducat onetde f or mat on. Aut eur s:dr
Plus en détailBe inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991
Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990
Plus en détailFaire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux :
Réformer en profondeur la protecton socale des TNS pour la rendre plus effcace Résumé de notre proposton : Fare des régmes TNS les laboratores de la protecton socale de deman appelle des évolutons à deux
Plus en détailMETHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES
METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES Ourda Boudghaghen(*),Mohand Boughanem(**) yugo_doudou@yahoo.fr, bougha@rt.fr
Plus en détailCorrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio
Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et
Plus en détailP R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D
P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon
Plus en détailLes prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe
Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton
Plus en détailUne analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit
Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt Sameh Borg To cte ths verson: Sameh Borg. Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt. Economes
Plus en détailPour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.
Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu
Plus en détailAnalyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web
SETIT 2009 5 th Internatonal Conference: Scences of Electronc, Technologes of Informaton and Telecommuncatons March 22-26, 2009 TUNISIA Analyse des Performances et Modélsaton d un Serveur Web Fontane RAFAMANTANANTSOA*,
Plus en détailTD 1. Statistiques à une variable.
Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane
Plus en détailSTATISTIQUE AVEC EXCEL
STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments
Plus en détailsanté Les arrêts de travail des séniors en emploi
soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d
Plus en détailCalculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.
1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle
Plus en détailChapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique
Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan
Plus en détailLes déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises
Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et
Plus en détailTHESE. Khalid LEKOUCH
N d ordre : /2012 THESE Présentée à la FACULTE DES SCIENCES D AGADIR En vue de l obtenton du GRADE DE DOCTEUR EN PHYSIQUE (Spécalté : Energétque, Thermque et Métrologe) Par Khald LEKOUCH MODELISATION ET
Plus en détailCATALOGUE EXCLUSIF TOUCH MEDIA CATALOGUE DE SITES FORMATS GLOSSAIRE. Notre sélection de supports en représentation exclusive au Maroc
CATALOGUE EXCLUSIF Notre sélecton de supports en représentaton exclusve au Maroc CATALOGUE DE SITES FORMATS A PROPOS DE NOUS Make ordnary, Extraordnary Phlosophe Équpe Réactvté est la rége publctare web
Plus en détailLes déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises
Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département
Plus en détailMots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle
Mots-clés : xgences système d'une nouvelle fonctonnalté dans l'habtat ndvduel : cas de la survellance Système multcapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervson, Domotque. des personnes âgées et
Plus en détailTable des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la
Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (empa) Maur t an a Mar s2011 LeeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt r aver sunensembl
Plus en détailEt pour vos clients, bénéficiez de services
P R O D U I T t s vous travallez aujourd hu avec les outls de deman? a eston lectron ue de ocuments s erts om ta les F I C H our les calement con ue les + produts our num rser rodure classer arta er rechercher
Plus en détailÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.
ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque
Plus en détailLa Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires
HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton
Plus en détailExercices d Électrocinétique
ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton
Plus en détail22 environnement technico-professionnel
22 envronnement technco-professonnel CYRIL SABATIÉ Drecteur du servce jurdque FNAIM Ouverture du ma IMMOBILIER, OÙ 1 Artcle paru également dans la Revue des Loyers, jullet à septembre 2007, n 879, p. 314
Plus en détailCréer ou reprendre une entreprise, Guide de la création et de la reprise d entreprise 1er semestre 2009
Créer ou reprendre une entreprse, Ou, mas comment? Gude de la créaton 1 er semestre 2009 et de la reprse d entreprse Futurs entrepreneurs, venez nous rencontrer! Chambre de Commerce et d Industre de Rennes
Plus en détailREPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MEMOIRE Présentée à L Unversté de Batna Faculté des Scences Département de Physque
Plus en détailmaster Objectif Université d Auvergne - Université Blaise Pascal Rentrée 2014 AUVERGNE
entrée 2014 Objectf master Unversté d Auvergne - Unversté Blase ascal Certans masters sont cohabltés avec d autres établssements d ensegnement supéreur mnstère de l éducaton natonale, de l ensegnement
Plus en détailPage 5 TABLE DES MATIÈRES
Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent
Plus en détailUNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS
BRUSSELS ECONOMIC REVIEW - CAHIERS ECONOMIQUES DE BRUXELLES VOL. 49 - N 2 SUMMER 2006 UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS DANS LE SECTEUR DE L ASSURANCE AUTOMOBILE* MARÍA DEL CARMEN MELGAR**
Plus en détailSurveillance temps-réel des systèmes Homme-Machine. Application à l assistance à la conduite automobile
Survellance temps-réel des systèmes Homme-Machne. Applcaton à l assstance à la condute automoble Mguel Gonzalez-Mendoza To cte ths verson: Mguel Gonzalez-Mendoza. Survellance temps-réel des systèmes Homme-Machne.
Plus en détailQ x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2
Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES SPECTRO- COLORIMETRIE
UNIVERSITE MONTPELLIER 2 Département de Physque TRAVAUX PRATIQUES DE SPECTRO- COLORIMETRIE F. GENIET 2 INTRODUCTION Cet ensegnement de travaux pratques de seconde année se propose de revor rapdement l'aspect
Plus en détailSTRATEGIE NATIONALE DES BANQUES CEREALIERES DU NIGER
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE L'AGRICULTURE ET DE L'ELEVAGE B-P, 12091 NIAMEY NIGER Té1 : 7320-58 Drecton de Promoton des Organsatons Rurales et de la Geston de l'espace Rural (DPOR/GER) NIAMEY Té1
Plus en détailEcole Polytechnique de Montréal C.P. 6079, succ. Centre-ville Montréal (QC), Canada H3C3A7 lucas.greze@polymtl.ca robert.pellerin@polymtl.
CIGI 2011 Processus d accélératon de proets sous contrantes de ressources avec odes de chevaucheent LUCAS GREZE 1, ROBERT PELLERIN 1, PATRICE LECLAIRE 2 1 CHAIRE DE RECHERCHE JARISLOWSKY/SNC-LAVALIN EN
Plus en détailPro2030 GUIDE D UTILISATION. Français
Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.
Plus en détailImpôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD
Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du
Plus en détailMINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES
Un Peuple - Un But Une Fo MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Document de traval N 03 GESTION DU RISQUE DE CREDIT ET FINANCEMENT DES ECONOMIES DE
Plus en détailAVERTISSEMENT. Contact SCD INPL: mailto:scdinpl@inpl-nancy.fr LIENS
AVERTISSEMENT Ce document est le frut d un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de
Plus en détailPrécision de rigueur
08_ AJUSTEUR Matheu Mossec, en tran de monter une structure chez ASTF à Mérgnac Esprt carré J a découvert le méter et trouvé ma vocaton. À 36 ans, Matheu a eu un premer méter mécancen mas avec une partcularté
Plus en détailRAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD
UFR SCIENCES ET TECHNOLOGIES DEPARTEMENT DE MATHEMATIQUES ET INFORMATIQUE 63 177 AUBIERE CEDEX Année 2008-2009 Master II : SIAD RAPPORT DE STAGE Sujet : Approcher la frontère d'une sous-parte de l'espace
Plus en détailPrêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine
Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de
Plus en détailTABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU LOCAL. Choisir une commune
Servce de la recherche en éducaton / DIP, Genève - Prévsons localsées d effectfs de l ensegnement prmare TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU
Plus en détailRÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1
Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (DeMPA) Républ quedu Sénégal Ma2010 LeDeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt
Plus en détailQualité de service 7. Ordonnanceurs de paquets. Contexte. Intégration de services. Plan. Multiplexage. FIFO/DropTail. Priorités
NE52 éseaux avancés Qualté de servce hrstophe Deleuze ESISA/INPG LIS 7 déc 24/3 jan 25 ontexte commutaton de crcuts partage statque solaton complète ex : vox gaspllage de la bande passante commutaton de
Plus en détailAfflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb
Global Journal of Management and Busness Research Volume Issue Verson.0 November 20 Type: Double Blnd Peer Revewed Internatonal Research Journal Publsher: Global Journals Inc. (USA) Onlne ISSN: 2249-4588
Plus en détailPour avoir les idées plus claires...
ARNET PRATIQUE Pour avor les dées plus clares...... lorsque vous développez un projet d ntérêt général. Outl produt avec le souten du rédt Mutuel accuel SOMMaRe «Je ne connas pas d entrepreneur qu n at
Plus en détailEURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique.
Cahers de recherche EURIsCO Caher n 2008-05 L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomque et mcroéconomque Rapport d étude Najat El Mekkaou de Fretas (coordnateur) Eursco Unversté Pars Dauphne
Plus en détailStéganographie Adaptative par Oracle (ASO)
Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech To cte ths verson: Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech. Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO. CORESA 12: COmpresson
Plus en détailProjet de fin d études
Unversté Franços Rabelas Tours Ecole Polytechnque Unverstare de Tours Département Informatque Projet de fn d études Ordonnancement Juste à Temps avec geston des stocks Chopn Antone Mrault Arnaud 3ème année
Plus en détailLeanConcept. La solution déploiement du Lean Manufacturing. Stockage Logistique Ergonomie Environnement Aménagement Services
Stockage Logstque Ergonome Envronnement Aménagement Servces La soluton déploement du Lean Manufacturng SIRE 4808480004 - NAF 4669C - VA ntracommunautare FR 9480848 www.sma.fr - contact@sma.fr - Fax 05
Plus en détailCalcul de tableaux d amortissement
Calcul de tableaux d amortssement 1 Tableau d amortssement Un emprunt est caractérsé par : une somme empruntée notée ; un taux annuel, en %, noté ; une pérodcté qu correspond à la fréquence de remboursement,
Plus en détailACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE
- 1 - ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE 5453F QC FR-2010/01 Taux fxe Le. Devant M e, notare soussgné pour la provnce de Québec, exerçant à. ONT COMPARU : ET : (C-après parfos appelé dans le présent Acte l «emprunteur»
Plus en détailLA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION?
LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? Anne PERRAUD (CRÉDOC) Phlppe MOATI (CRÉDOC Unversté Pars) Nadège COUVERT (ENSAE) INTRODUCTION Au cours des dernères années, de nombreux
Plus en détailMEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences
REPUBLIQUE LERIEN DEMOCRTIQUE ET POPULIRE Mnstère de l ensegnement supéreur et de la recherche scentfque Unversté El-Hadj Lakhdar-BTN- MEMOIRE Présenté au département des scences de la matère Faculté des
Plus en détailCHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE
CHPITRE DEUX FORMLISME GEOMETRIQUE. CHPITRE DEUX : FORMLISME GEOMETRIQUE verson.3, -8 I. GEOMETRIE DNS L ESPCE-TEMPS ) Prncpe de relatvté Le prncpe de relatvté peut s exprmer ans : toutes les los physques
Plus en détail