Mécanique des sols. Chapitre I Caractéristiques physiques et classification Chapitre II Eau dans le sol. Chapitre III Déformations des sols
|
|
- Yolande Dupuis
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Mécanique des sols Chapitre I Caractéristiques physiques et classification Chapitre II Eau dans le sol Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols
2 Introduction à la mécanique des sols 1- Définition d un sol 2- Définition de la mécanique des sols 3- Domaines d application de la mécanique des sols 3.1- Fondations d ouvrages 3.2- Ouvrages mixtes 3.3- Ouvrages en sol 3.4- Milieux naturels
3 1- Définition d un sol Qu appelle-t-on sol? - Les sols peuvent être définis comme des agrégats dans lesquels les particules sont faiblement liées et peuvent être séparées par une action mécanique légère - Un sol en place est constitué de grains solides baignant dans l eau, dans l air ou dans un mélange (eau + air) Le sol est un matériau à 3 phases : solide, liquide (eau) et gaz (air)
4 1- Définition d un sol 1.1- Formation des sols D où proviennent les sols? Tout simplement des roches, mais ils peuvent contenir aussi des matières organiques Les sols ont deux origines principales : - la désagrégation des roches par altération mécanique ou physicochimique sous l effet des agents naturels - la décomposition d organismes vivants : végétaux (tourbes) ou animaux (craies). Transformation de la roche en sol
5 1- Définition d un sol 1.1- Formation des sols Suivant les types d altération, les sols résultant auront des compositions différentes. Roche la désagrégation physique et mécanique des roches consolidées donne des fragments de roche de même composition que la roche mère : gravier, sable, limon Roche la décomposition physico-chimique de la roche en place ou des fragments de roche donne Des nouveaux composés : argiles
6 1- Définition d un sol 1.2- Conclusion un sol peut contenir des fragments de roche, des particules d argile et des matières organiques les vides entre ces différents éléments, généralement appelés pores ou interstices sont remplis d eau et d air si les vides ne contiennent pas d eau, le sol est sec si tous les vides sont remplis d eau, le sol est saturé (sol sous la nappe), si les vides sont remplis d eau et d air le sol est non saturé
7 2- Définition de la mécanique des sols Qu appelle-t-on la mécanique des sol? - La mécanique des sols est l étude des propriétés physiques, hydrauliques et mécaniques des sols en vue de leur application à la construction. - La mécanique des sols est donc une science appliquée, appelée aussi géotechnique, bien que la géotechnique soit une science beaucoup plus vaste, qui englobe quatre disciplines : la mécanique des sols, la mécanique des roches, la géologie de l ingénieur et l étude des matériaux locaux.
8 2- Définition de la mécanique des sols Le travail d un mécanicien de sol, ou d un géotechnicien, se joue en effet sur un ou plusieurs des trois volets: - Déformations des sols - Résistance au cisaillement des sols - Problèmes reliés à l eau La mécanique des sols puise souvent dans d autres disciples connexes. On citera: la mécanique des roches, la géologie, géomorphologie, tectonique, minéralogie, pédologie
9 2- Définition de la mécanique des sols Historique succinct de la mécanique des sols La mécanicien des sols est une science jeune. Les premiers fondements peuvent être attribués à COULOMB (1773), mais TERZAGHI ( ) a véritablement initié la mécanique des sols moderne
10 3- Domaines d application de la mécanique des sols Les domaines d application de la mécanique des sols sont nombreux et variés. Ils concernent la profession des travaux publics, ainsi que celle du bâtiment. - Fondations d ouvrages ou bâtiments (fondation superficielles et profondes) - Ouvrages mixtes (murs de soutènement, parois moulées, ) - Ouvrages en sol (routes, voies ferrés, barrages, digues de bassins en terre, ) - Milieux naturels (versants, berges de cours d eau ou de retenues, )
11 3- Domaine d application de la mécanique des sols Les sols - supportent des ouvrages fondations superficielles, fondations profondes
12 3- Domaine d application de la mécanique des sols Les sols - supportent des ouvrages fondations superficielles, fondations profondes - sont supportés par des ouvrages murs de soutènement, rideaux de palplanches
13 3- Domaine d application de la mécanique des sols Les sols - supportent des ouvrages fondations superficielles, fondations profondes - sont supportés par des ouvrages murs de soutènement, rideaux de palplanches
14 Les sols - supportent des ouvrages fondations superficielles, fondations profondes - sont supportés par des ouvrages murs de soutènement, rideaux de palplanches - sont des ouvrages remblais (routes, digues, barrage, )
15 Les sols - supportent des ouvrages fondations superficielles, fondations profondes - sont supportés par des ouvrages murs de soutènement, rideaux de palplanches - sont des ouvrages remblais (routes, digues, barrage, )
16 Les sols - supportent des ouvrages fondations superficielles, fondations profondes - sont supportés par des ouvrages murs de soutènement, rideaux de palplanches - sont des ouvrages remblais (routes, digues, barrage, )
17 3- Domaine d application de la mécanique des sols
18 Essai d identification et de classification des sols Objectifs Terminologie de base et définitions Essais d identification des constituants des sols Classification des sols
19 1- Elément constitutifs d un sol squelette solide + eau + gaz effet de la taille libre, capillaire, adsorbée air + vapeur d'eau
20 1.1- Phase solide Roche la désagrégation physique et mécanique des roches consolidées donne des fragments de roche de même composition que la roche mère : gravier, sable, limon Roche la décomposition physico-chimique de la roche en place ou des fragments de roche donne Des nouveaux composés : argiles Dimension D des particules D > 80 μm 2 μm < D < 80 μm D < 2 μm Fractions du sol suivant la dimension des grains Fraction du sol grenue fine très fine ou argileuse Forme des grains régulière plaquette ou disque Nature des minéraux minéraux d origine minéraux d origine ou néoformés
21 1.2- Phase liquide On distingue quatre catégorie d eau: - Eau de constitution - Eau libre - Eau capillaire - Eau liée ou absorbée
22 1.3- Phase gazeuse Dans les sols non saturés, la phase gazeuse est présente dans tout ou partie des pores sous forme d un mélange d air, de vapeur d eau, de gaz carbonique et d autres gaz
23 2- Caractéristiques physiques des sols 2.1- Description Existence de trois phases définition de paramètres caractéristiques des sols Représentation schématique - volume élémentaire de sol - trois phases séparées - volumes et masses de chacune des phases
24 2- Caractéristiques physiques des sols 2.1- Description W : poids total du sol W s : poids des particules solides W w : poids de l'eau V : volume total (apparent) Vs : volume des particules solides V v V w V a : volume des vides entre les particules : volume de l'eau : volume de l'air W = W s + W w V v = V w + V a V = V s + V v = V s + V w + V a
25 2- Caractéristiques physiques des sols Paramètres dimensionnels poids volumiques Poids volumique - des grains solides : - de l eau : γ W = V Ws γ = s V w = w w s 10kN / m Wa - de l air : γ = 0 a V a 3 - du sol sec : - du sol saturé : - du sol déjaugé : γ = W s d V γ W = + γ w. V V s v = sat ' γ = γ sat γ w W V sat - total (du sol) : W γ = V
26 2- Caractéristiques physiques des sols Paramètres dimensionnels poids volumiques Ordre de grandeur -γ s = 26 à 27 kn/m 3 sable et argile -γ = 17 à 20 kn/m 3 sable 16 à 22 kn/m 3 argile -γ d = 14 à 18 kn/m3 sable 10 à 20 kn/m 3 argile -γ sat = 19 à 22 kn/m 3 sable et argile -γ = 9 à 12 kn/m 3 sable et argile
27 2- Caractéristiques physiques des sols Paramètres sans dimension caractérisation de l état du sol relations volumiques - porosité : n V = V v 0 < n <1 Ordre de grandeur de n - sable : 0,25 à 0,50 - argile : 0,20 à 0,80 - indice des vides : V e = V v s 0 < e << Ordre de grandeur de e - sable : 0,5 à 1,00 - argile : 0,3 à 1,00 - degré de saturation: - S r = 1 : sol saturé V S r = V - S r < 1 : sol non saturé - S r = 0 : sol sec w v
28 2- Caractéristiques physiques des sols Paramètres sans dimension - teneur en eau : M M caractérisation de l état du sol w w = 2 pesées : avant et après étuve à 105 C Ordre de grandeur de w - sable : 1 à 15 % - argile : 10 à 20 % s - poids total - poids solide
29 2.2- Relations entre les paramètres Paramètres indépendants Les paramètres physiques définissent l'état d'un sol - état de compressibilité poids volumique γ s = constant (26,5 kn/m 3 ) - quantité d'eau w ou S r - quantité de vides e ou n La caractérisation d'un sol nécessite 3 paramètres indépendants - utilisation d'un diagramme de phases - utilisation d'un formulaire relations entre caractéristiques physiques n e = e = n 1 + e 1 n
30
31 2.3- Détermination des caractéristiques physiques Essais d'identification - connaissance du sol - paramètres nécessaires à leur classification Teneur en eau w M M s 3 paramètres indépendants - essais en laboratoire - dispersion des mesures (plusieurs essais) w w = 2 pesées : avant et après étuve à 105 C Poids volumique γ W γ = V - poids total - poids solide détermination de W et V 2 Méthodes
32 Détermination du volume total d échantillon de sol (V) Méthode par immersion dans l eau : (échantillon non remanié) - pesée 1 (m) poids d échantillon - échantillon recouvert d une couche de paraffine ( ρ paraffine = 0,88g/cm 3 ) - pesée 2 (m p ) masse de la couche de paraffine (et son volume) - pesée 3 (hydrostatique) (m p ) volume total (échantillon + paraffine) V = Vsol+ paraffine V parafine Méthode du moule : (échantillon remanié) - remplissage d un moule jusqu à débordement - arasage à la règle essai Proctor = m p m ρ w ' p m p ρ m p
33 Poids volumique des particules solides γ s γ s W = V s s pesée a mesurer de façon précise (a) pycnomètre (b) Pesée hydrostatique Pycnomètre - sol séché puis pesé (W s ) - sol dans le récipient contenant de l'eau distillée - enlever les buller d aire - volume d'eau déplacé par le sol
34 Poids volumique des particules solides γ s
35 3- Essais d identification 3.1- Essais d identification - Sols grenus 3.2- Essais d identification - Sols fins
36 Sol grenu Sol fin ou cohérent Sol organique d > 20 µm d < 20 µm forces de pesanteur effet de surface forces entre les particules Mauvaises propriétés géotechniques Sables Argiles Propriétés géotechniques très différentes Comportement des sables dépend de l état de compacité Comportement des argile dépend de la quantité d eau
37 3.1- Essais d identification Sols grenus Comportement des sols grenus dépend du squelette solide, peu importe l état d humidité importance de la dimension des grains et de leur état de compacité - Analyse granulométrique par tamisage - Essai d équivalent de sable - Indice de densité
38 Analyse granulométrique par tamisage Granulométrie distribution massique des grains suivant leur dimension passage d une quantité de sol au travers d une série de tamis d ouverture progressivement plus petite Sol pulvérulent : tamisage - jusqu'à 40 ou 80 µm - à sec pour les gros grains - utilisation de passoires et de tamis - sous eau pour les matériaux cohérents trous circulaires mailles carrées
39 Analyse granulométrique par tamisage Courbe granulométrique représentation graphique donnant : - la masse de tamisat cumulé (en %) échelle arithmétique - le diamètre des particules échelle logarithmique
40 Analyse granulométrique par tamisage Caractéristiques de la courbe granulométrique utilisation de coefficients - Coefficient d uniformité : C u = D 60 /D 10 C u > 2 granulométrie étalée C u < 2 granulométrie uniforme ou serrée Diamètre effectif D 10 = diamètre correspondant à 10 % de passage à travers le tamis - Coefficient de courbure : C c = (D 30 ) 2 /(D 10 D 60 ) sol bien calibré : 1 < C c < 3 matériaux plus denses
41 Analyse granulométrique par tamisage Forme de la courbe granulométrique La forme de la courbe granulométrique est liée au mode de formation (origine, transport et dépôt) du sol.
42 Essais d équivalent de sable Evaluer la proportion relative d éléments fins dans un sol Essai simple et rapide appareillage élémentaire géotechnique routière Principe fraction < 5 mm lavage énergique avec solution lavante repos de l ensemble Résultat floculat gonflé par la solution (particules fines) dépôt solide (sable) au fond de l éprouvette E.S. = h h Nature Argile pure Sol plastique Sol non plastique Sable pur et propre Equivalent de sable E.S. = 0 E.S. = 20 E.S. = 40 E.S. = 100
43 Indice de densité Etat de densité dans lequel se trouve un sol pulvérulent effet important sur le comportement mécanique I D = e e max max e e min - indice des vides : - e max et e min V e = V v s Indices des vides max et min sur le matériaux Sol lâche e e max I D 0 Sol serré e e min I D 1
44 3.2- Essais d identification Sols fins Comportement des sols fins - taille des grains forces de cohésion - présence d eau changement de consistance - Analyse granulométrique par sédimentométrie - Limites d Atterberg - Limite de liquidité w L - Limite de plasticité w p - Indice de plasticité I p - Indice de consistance I c - Activité - Valeur de bleu de méthylène
45 Analyse granulométrique par sédimentométrie v γ s γ w = 18. µ d 2 v vitesse de décantation d diamètre de la particule µ viscosité dynamique du liquide utilisé (eau + défloculant) γ poids volumique du liquide utilisé A une profondeur H donnée (H = v.t) on mesure la densité de la suspension en fonction du temps t
46 Limites d Atterberg état liquide - pas de capacité portante état plastique - fortes déformations - déformations plastiques état solide (avec retrait) - déformations élastiques état solide (sans retrait) - pas de changement de volume avec la baisse de w
47 Limites d Atterberg Limite de liquidité w L Méthode de Casagrande Teneur en eau pour laquelle une entaille est refermée sur 10 mm après 25 chocs Méthode du cône de pénétration
48 Détermination de w L Limites d Atterberg
49 Limites d Atterberg Limite de liquidité w L En pratique w L = w N 25 0,121
50 Limites d Atterberg Limite de plasticité w p Teneur en eau correspondant à une limite arbitraire entre les états plastique et semisolide de la consistance d'un sol. cylindre de 3mm de diamètre se brisant en tronçons de 10 à 20 mm
51 Limites d Atterberg Limite de retrait w s - plusieurs échantillons de sol de même volume initial V 0 et de même teneur en eau initiale w i - séchage pendant des durées différentes
52 Limites d Atterberg Indice de plasticité I p I p = w L w P étendue du domaine de plasticité - domaine de travail du sol Habituellement - le plus grand possible w p < teneur en eau des sols en place < w L 0 < I P < 5 5 < I P < 30 Degré de plasticité des sols Indice de plasticité Degré de plasticité Sol non plastique Sol peu plastique 30 < I P < 50 Sol plastique 50 < I P Sol très plastique
53 Limites d Atterberg Indice de consistance I c I c = w L w I P nat Sol en place par rapport à l état liquide
54 Limites d Atterberg Ordre de grandeur Nature w L (%) w p (%) I p (%) Limon Argile limoneuse peu plastique Argiles plastiques Argile de mexico Bentonite
55 Activité A c = I p teneur en argile Nature Kaolinite Illite Montmorillonite poids < 2µ m poids total sec ( < 0,4mm) Activité 0,38 inactive 0,90 normale 7,20 très active Activité A c 0 < A c < 0,5 0,5 < A c < 0,75 0,75 < A c < 1,25 Classes d activité Dénomination inactif peu actif normal 1,25 < A c < 2 actif 2 < A c très actif
56 Valeur de bleu de méthylène Argilosité d'un sol Quantité de bleu de méthylène pouvant s'adsorber sur les particules argileuses importance de la surface spécifique Tant que le bleu de méthylène est absorbé, il ne colore pas l'eau. On le vérifie en déposant une goutte sur un papier buvard : le centre de la tache est bleu vif (argile ayant absorbé le bleu) et l'auréole de la tache reste incolore. A partir d'une certaine dose de bleu, l'auréole se colore aussi : c'est le signe que toute l'argile a épuisé sa capacité d'absorption. La quantité de bleu consommée est donc une indication de la quantité d'argile. La valeur de bleu (VBS) s'exprime par la quantité de bleu en grammes consommée par 100 grammes de fines.
57 Autres essais Analyse minéralogique Diffraction des rayons X composition minéralogique Teneur en matière organique rétention d'eau, compressibilité Teneur en carbonate de calcium
58 4- Classification des sols Classification : rattachement à un groupe de sols de caractéristiques semblables Nombreuses classifications dans différents pays - USCS - AASHTO - LPC - GTR (remblais et couches de forme)
59 4.1- Classification LCP/USCS Classification LPC à partir des résultats fournis par - la granulométrie - les caractéristiques de plasticité de la fraction fine (Atterberg)
60 4.1- Classification LCP/USCS Sols à granulométrie uniforme Classification reposant sur le diamètre moyen des grains
61 4.1- Classification LCP/USCS Sols à granulométrie non uniforme Majorité des cas Trois types de sols : - sols grenus 50 % > 80 µm - sols fins 50 % < 80 µm - sols organiques > 10 %
62 4.1- Classification LCP/USCS Sols grenus Granulométrie et limites d Atterberg
63 4.1- Classification LCP/USCS Sable Classification des sols grenus en laboratoire (plus de 50% d éléments >0,08mm) Définitions Plus de 50% des éléments > Graves 0,08 mm ont un diamètre > 2mm Plus de 50% des éléments > 0,08 mm ont un diamètre < 2mm moins de 5% d éléments < 0,08 mm Plus de 12% d éléments < 0,08 mm moins de 5% d éléments < 0,08 mm Plus de 12% d éléments < 0,08 mm Symbole LPC Gb Gm GL GA Sb Sm SL SA Conditions C u = D 60 /D 10 > 4 et 1< C Z = (D 30 ) 2 /D 10 D 60 < 3 Une des conditions de Gb n est pas satisfaite Limites d Atterberg au-dessous de la ligne A (fig.15) Limites d Atterberg au-dessus de la ligne A (fig. 15) C u = D 60 /D 10 > 6 et 1< C Z = (D 30 ) 2 /D 10 D 60 < 3 Une des conditions de Sb n est pas satisfaite Limites d Atterberg au-dessous de la ligne A (fig.15) Limites d Atterberg au-dessus Appellations Grave propre bien graduée Grave propre mal graduée Grave limoneuse Grave argileuse Sable propre bien gradué Sable propre mal gradué Sable limoneux Sable argileux de la ligne A (fig. 15) Lorsque la teneur en particules fines (<0,08 mm) est comprise entre 5 et 12%, on utilise un double symbole. Par exemple : Sb-SL.
64 4.1- Classification LCP/USCS Sols fins Limites d Atterberg critère de plasticité
65 4.1- Classification LCP/USCS Sols organiques Exemple: Von Post Teneur en matière organique (%) Désignation géotechnique 0 3 Sol inorganique 3 10 Sol faiblement organique fo Vase Sol moyenne organique mo Sol tourbeux >30 Sol très organique to Tourbe
66 5- Compactage des sols Le compactage = augmentation de la densité du sol par des opérations mécanique 1. Echantillon mis à l étuve (105 C) pendant 24 h 2. On lui ajoute un volume connu d eau 3. On compacte l échantillon dans un moule, avec une dame tombant d une hauteur connue 4. On pèse le moule et on détermine w et γ d ; on obtient un point de la courbe de compactage 5. On va au point 2 et on recommence
67 5- Compactage Influence de la teneur en eau
68 5- Compactage Influence de la nature du sol
69 5- Compactage Influence de l énergie de compactage
Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols
Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations
Plus en détailLes sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?
Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la
Plus en détailÉtude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux
Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux Belkacem MOUSSAI Docteur Laboratoire de géotechnique Gérard DIDIER Docteur-Ingénieur Maître de conférences
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailConsolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER
Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur
Plus en détail5 STATIQUE. 5.1 Généralités
5.1 Généralités 5.1.1 Introduction Pour remplir sa mission en tant que conduite d'évacuation il faut qu'une conduite réponde également aux exigences de statique. La statique possède une influence sur le
Plus en détailDéformabilité des sols. Tassements. Consolidation
Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de
Plus en détailRÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT
RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT ROLES OF MICROSTRUCTURE AND MINERALOGICAL COMPOSITION OF CLAY
Plus en détailMatériel de laboratoire
Matériel de laboratoire MATERIAUX UTILISE... 1 L'APPAREILLAGE DE LABORATOIRE... 1 a) Les récipients à réaction... 2 b) La verrerie Graduée... 2 MATERIEL DE FILTRATION... 6 FILTRATION SOUS VIDE AVEC UN
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailEssais de charge sur plaque
Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant
Plus en détailL'apport du logiciel ANGELINE aux études géotechniques de tracés
L'apport du logiciel ANGELINE aux études géotechniques de tracés Hervé HAVARD Directeur adjoint Laboratoire Régional des Ponts et Chaussées d'angers Gilles SINOIR Technicien supérieur Division Informatique
Plus en détailSUITES DONNÉES AUX DEMANDES DE DÉROGATIONS AUX NORMES ET MÉTHODES D ESSAIS DANS LE CADRE DE L AGRÉMENT LABOROUTE.
LABOROUTE 5 avril 2002 SUITES DONNÉES AUX DEMANDES DE DÉROGATIONS AUX NORMES ET MÉTHODES D ESSAIS DANS LE CADRE DE L AGRÉMENT LABOROUTE. I Présentation Dans le cadre des audits de certification Laboroute,
Plus en détail50.01 DETERMINATION DES COEFFICIENTS DE COMPRESSIBILITE M 1 et M 2.
50. Terrassements 50.01 DETERMINATION DES COEFFICIENTS DE COMPRESSIBILITE M 1 et M 2. 50.02 REGULARITE DE SURFACE RELEVEE A LA REGLE DE TROIS METRES OU A L AIDE D UN GABARIT APPROPRIE. 50.03 ESSAI DE PENETRATION
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailIMPACT DU TRAITEMENT DE SOL SUR L EROSION INTERNE DES SOLS FINS COMPACTES
IMPACT DU TRAITEMENT DE SOL SUR L EROSION INTERNE DES SOLS FINS COMPACTES IMPACT OF SOIL TREATMENT ON INTERNAL EROSION OF FINE COMPACTED SOILS Abdelwadoud MEHENNI 1,2, Olivier CUISINIER 1, Farimah MASROURI
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailCHAPITRE 2 : DESCRIPTION ET CLASSIFICATION DES SOLS ET DU ROC
CHAPITRE 2 : DESCRIPTION ET CLASSIFICATION DES SOLS ET DU ROC 21 2.1 Description des sols (Extrait de Manuel de SEBJ) 2.2 Système de classification des sols Comme il existe un grand nombre de types de
Plus en détailL énergie grâce à l eau ça coule de source!
Bacheliers en Electromécanique Implantation de Seraing L énergie grâce à l eau ça coule de source! Mars 2013 - Quai Van Beneden Par B. Jansen, A. Hay, F. Laureiro, V. Rosso, E. Simon et F. Simonis Contact:
Plus en détailTechnologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost
Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de
Plus en détailAvant d aller à la recherche d un terrain
Choisir un terrain Bien choisir un terrain pour construire une maison solide Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité de la construction.
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailAccessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.*
Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* *Application de l arrêté du 21 mars 2007, de l arrêté du 1er août 2006 et de
Plus en détailPrincipe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds
Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne
Plus en détailBaccalauréat STI2D et STL spécialité SPCL Épreuve de physique chimie Corrigé Session de juin 2014 en Polynésie. 15/06/2014 http://www.udppc.asso.
Baccalauréat STI2D et STL spécialité SPCL Épreuve de physique chimie Corrigé Session de juin 2014 en Polynésie 15/06/2014 http://www.udppc.asso.fr Une entreprise de BTP (Bâtiment et Travaux Publics) déménage
Plus en détailTRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES. Joseph ABDO
TRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES Joseph ABDO LE CONTEXTE LA ROUTE, UNE NÉCESSITN CESSITÉ La route : moyen de communication nécessaire au développement. - Mais, sa construction et son
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailCODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012)
SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) 1. OBJET, ORIGINE ET DOMAINE D APPLICATION Le sucre de raisin est obtenu exclusivement à partir du
Plus en détailCHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE
CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE I - PRINCIPE La chromatographie est une méthode physique de séparation de mélanges en leurs constituants; elle est basée sur les différences d affinité des substances à
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailConSolidation de talus en béton
données techniques ConSolidation de talus en béton SolutionS par passion 4 Consolidation de talus en béton 4 Introduction 5 Sols meubles et sols rocheux 5 Types de sols 5 Talus naturels / Glissements
Plus en détailInstallez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif
Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Lors de l installation de la clôture Zenturo ou Zenturo Super en tant que mur décoratif, vous devez tenir compte de quelques
Plus en détailLES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES
LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES THE SILTS FROM THE LOIRE RIVER: MODELLING OF CONSOLIDATION EFFECTS ON EXISTING INFRASTRUCTURE Sébastien
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailPROPRIÉTÉS TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB
TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB Propriétés techniques Neoweb V 2.5 SYSTÈME DE CONFINEMENT CELLULAIRE 3D CLASSIFICATION POLYMÈRE TYPE Neoloy Technologie de pointe nano-composite MÉCANIQUES DU SYSTÈME Module
Plus en détailTraitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables
Traitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables d à la prise Thèse Tangi Le Borgne Directeur de thèse : F. Masrouri (LAEGO) Conseillers d étude : O. Cuisinier
Plus en détailSTOCKAGE SOUTERRAIN. Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients
STOCKAGE SOUTERRAIN Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients Prestations de service complètes à l échelle européenne Gestion
Plus en détailLE chantier de terrassements de l'autoroute A 35, section Habsheim-Bartenheim, a nécessité la
D..I1 l :^\cnn I ikrt D nt f~l-. Cl fca,-,. û,,^li IÛT1 D Ai OQÚ Utilisation comparée des essais de plaques et de densités en contrôle de terrassement Laboratoire des Ponts et Chaussées de Colmar -a*m*\vmmm**»»>
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailNouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT
COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailä ãéåíë=åä ë=çé=äû~ëëìê~ååé=èì~äáí =ÇÉë= ÅçìÅÜÉë=ÇÉ=ÑçêãÉ=íê~áí Éë=
= Note d'information ^ìíéìêë=w=p íê~= o ëé~ì=`bqb= à~åîáéê=ommv= = ä ãéåíë=åä ë=çé=äû~ëëìê~ååé=èì~äáí =ÇÉë= ÅçìÅÜÉë=ÇÉ=ÑçêãÉ=íê~áí Éë= `Ü~ìëë Éë= a ééåç~ååéë= NNU= Les différents guides techniques et autres
Plus en détailPrimaire à 2 composants à base de résines acryliques réactives
Fiche technique Edition 1, 2012 Identification no. 02 08 01 05 001 0 000003 Version no. 23042012 Sikafloor -13 Pronto Sikafloor -13 Pronto Primaire à 2 composants à base de résines acryliques réactives
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2011 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel(s)
Plus en détailComposants de menuiserie Escaliers Définition : Escalier : Types d escaliers : Rôle d un escalier :
Composants de menuiserie Escaliers Definition Caractéristiques Références normatives Spécifications Marquage C.E Acquis environnementaux Définition : Escalier : Ouvrage de menuiserie constitué de gradins
Plus en détailETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE
1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de
Plus en détail33-Dosage des composés phénoliques
33-Dosage des composés phénoliques Attention : cette manip a été utilisée et mise au point pour un diplôme (Kayumba A., 2001) et n a plus été utilisée depuis au sein du labo. I. Principes Les composés
Plus en détailSOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM
SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation
Plus en détailMISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE
Les informations techniques PROMOTELEC MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE La sécurité des personnes contre un défaut d isolement survenant dans un matériel doit être assurée. En effet, un défaut
Plus en détailSTANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE
, ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.
Plus en détailMESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation
COMITÉ FRANÇAIS DE MÉCANIQUE DES SOLS Journée «HYDRAULIQUE» du 23-01-2002 MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure,
Plus en détailElectrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document
Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document présenté à la Conférence sur la sécurité et la fiabilité
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailPROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES
PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES Destinés essentiellement à protéger contre les salissures, les vêtements de travail permettent également de valoriser l image des entreprises (personnalisation
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détailPRESCRIPTIONS TECHNIQUES POUR MORTIERS DE CALAGE, DE BOURRAGE ET DE SCELLEMENT A BASE DE LIANTS HYDRAULIQUES
BELGIAN CONSTRUCTION CERTIFICATION ASSOCIATION asbl BCCA Etabli par SECO et le CSTC PRESCRIPTIONS TECHNIQUES POUR MORTIERS DE CALAGE, DE BOURRAGE ET DE SCELLEMENT A BASE DE LIANTS HYDRAULIQUES Système
Plus en détailChapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383
Chapitre Contenu Page 14 383 14 Principes De par ses propriétés particulières, le béton s est installé comme matériau dans tous les domaines de la construction. Partenaire important et fiable, il est
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détailDécharges. La meilleure protection des couches étanches à l eau. Décharges
Décharges La meilleure protection des couches étanches à l eau Décharges Décharges LA MEILLEURE PROTECTION DES COUCHES ÉTANCHES À L EAU Les produits minéraux de drainage comme le gravier et le sable de
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailEstimer le poids spécifique du maïs bien mûri après le séchage... 17-4. Classement... 17-15
17. Maïs Détermination du taux d impuretés... 17-2 Définitions... 17-2 Impuretés non déclarées... 17-2 Procédure normale de nettoyage... 17-2 Composition des impuretés... 17-3 Estimer le poids spécifique
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailDéfauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification
4 1 CHAPITRE 4 MÉTHODES D EXAMEN ET D ÉVALUATION Il existe un certain nombre d essais d intégrité du contenant qui peuvent être effectués sur les sachets stérilisables en autoclave. Il convient de demander
Plus en détailGrilles acoustiques. Type NL 6/6/F/2
Grilles acoustiques Type NL //F/ Sommaire Description Description Exécutions Dimensions et poids Constructions modulaires Options Installation 5 Données techniques, type NL Données techniques type, NL
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailLiquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions
Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des
Plus en détailLes hydrocarbures non conventionnels : évolution ou révolution?
Depuis maintenant quelques années, les hydrocarbures non conventionnels prennent une place grandissante dans l'approvisionnement mondial en hydrocarbures. Est-ce une révolution ou une évolution normale?
Plus en détailPanneau grand format Schilliger GFP
Panneau grand format Schilliger GFP Fiche technique ETA: Agrément Technique Européen Composition: Multiplis, épaisseur des plis au choix Qualité: A/B qualité sélection sur demande B/B pour constructions
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailLES ESCALIERS. Les mots de l escalier
Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement
Plus en détailChapitre 1: Facteurs d'échelle
Chapitre 1: Facteurs d'échelle Des considérations générales sur la taille des objets ou des êtres vivants et leur influence sur différents paramètres, permettent d'établir simplement quelques lois ou tendances,
Plus en détailPlate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailFormation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION
mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailP M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte
Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm
Plus en détail1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer)
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE ASSURANCE TOUS RISQUES MONTAGE - ESSAI 1. Titre du contrat (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à
Plus en détailSALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile
SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement L Epoxy facile DOMAINES D EMPLOI Recommandé pour salle de bain, douche, plan de travail cuisine, piscine, bassins thermaux,
Plus en détail«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.
Plus en détailLES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.
les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans
Plus en détailSommaire. Séquence 2. La pression des gaz. Séance 1. Séance 2. Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2
Sommaire La pression des gaz Séance 1 Comprimer de l air Séance 2 Mesurer la pression d un gaz Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2 24 Cned, Physique - Chimie
Plus en détailExemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détailChapitre 10 : Mécanique des fluides
Chapitre 10 : Mécanique des fluides 1. Pression hydrostatique Les fluides regroupent gaz et liquides. En général, on considère des fluides incompressibles. Ce n est plus le cas en thermodynamique. Un objet
Plus en détaild'une EXTRACTION AVEC RABATTEMENT DE NAPPE
ENTREPRISE CHAPELLE S.A. ROUTE DE RIOTTER - LIMAS 69400 - VILLEFRANCHE SUR SAONE /DOCUMENT NON PUBLIC/ PROJET D'IfPLAmTION D'UE GRAVIERE A CRECHES SUR SAOE (71) EXA^EN DE L INCIDENCE SUR DES OUVRAGES DE
Plus en détailPrésentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE. Journée technique du Cedre. Brest 14 novembre 2013
Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE Journée technique du Cedre Brest 14 novembre 2013 1 Déroulement Fiches techniques Contexte Description technique Démonstration Questions 2 Fiches
Plus en détailPROCESSUS VALMONT CONCERNANT L APPLICATION DE LA TEINTE
En ce qui concerne le calcul, les mâts bois sont comparables à tous les autres mâts acier ou aluminium. Conformément à la directive européenne de 1985 ils sont calculés et dimensionnés avec le même référentiel
Plus en détailStatistiques Descriptives à une dimension
I. Introduction et Définitions 1. Introduction La statistique est une science qui a pour objectif de recueillir et de traiter les informations, souvent en très grand nombre. Elle regroupe l ensemble des
Plus en détailMasse volumique et densité relative à 20 C
Méthode OIV-MA-AS2-01A Méthodes Type I Masse volumique et densité relative à 20 C 1. Définition La masse volumique est le quotient de la masse d'un certain volume de vin ou de moût à 20 C par ce volume.
Plus en détailles escaliers La pose Guide d installation pour bricoleurs Préparation des outils Prêt à installer Moulé à votre style de vie
les escaliers La pose Guide d installation pour bricoleurs Préparation des outils Prêt à installer Moulé à votre style de vie Guide d installation d un escalier pour bricoleurs L escalier représente souvent
Plus en détailAnnexe K Devis d assurance qualité
Annexe K Devis d assurance qualité 1. Généralités 1.1 Portée des travaux Les travaux décrits dans la présente section comprennent : La fourniture; La livraison; Le déchargement et l entreposage; La certification;
Plus en détail