Avantages de l apprentissage mixte
|
|
- Denise Lamarche
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA COMMUNAUTÉ VIRTUELLE D'ONCOLOGIE Avantages de l apprentissage mixte Dr. Asumpta Company e-oncología Institut Catalan d Oncologie Barcelone - Espagne
2 Historique e-oncología débute en tant que projet de formation virtuelle spécialisée en cancérologie et donnée en langue espagnole. Le projet reçoit la bourse Alfa afin de développer un réseau international de centres oncologiques en Europe et en Amérique latine La Société Espagnole d Oncologie Médicale, SEOM, approuve e-oncología en tant que programme de support de la formation des internes en oncologie médicale en Espagne Lancement d un programme international de formation en prévention du cancer du col de l utérus. Vaste distribution à travers le monde. 2
3 Historique II e-oncología est un espace virtuel d information, de communication et de formation spécialisée en cancer. Caractéristiques et avantages de la formation en ligne Pas de restrictions spatiotemporelles; Accès universel aux meilleurs auteurs et tuteurs; Mise à jour et adaptation au site continue et immédiate des supports pédagogiques ; Suivi personnalisé des étudiants; Compatible avec l activité professionnelle habituelle; Facilite la collaboration entre différents équipes; Favorise la formation des recours locaux. 3
4 Historique III Inconvénients de la formation en ligne Dépend de conditions technologiques ; Diminution des rapports entre les participants, et entre les participants et les enseignantes. 4
5 Partenariats et accréditations au niveau international et régional Universités Sociétés scientifiques Institutions et organismes internationaux 5
6 Résultats étudiants spécialistes/corps professoral heures de formation virtuelle 30 cours en espagnol 5 cours traduits en anglais et en français 6
7 Programmes de formation Programme pour internes en oncologie médicale et oncologie radiothérapique. Certification SEOM. 18 cours : 330 heures Programmes en épidémiologie et recherche oncologique. 5 cours : 320 heures. Programme de formation continue en oncologie. 8 cours : 450 heures. Programme en prévention du cancer du col de l utérus: dépistage et vaccins contre le VPH. 5 cours : 75 heures. 7
8 1. Certification SEOM pour la formation d'internes en oncologie médicale (2) COURS (1/2) Cours généraux Statistique Épidémiologie et prévention Biologie moléculaire et nouvelles cibles thérapeutiques Compétences communicationnelles et sociales Urgences en oncologie Soins de support Pharmacologie oncologique 15 h 10 h 7,5 h 5 h 7,5 h 7,5 h 7,5 h Cours déjà réalisés 8
9 1. Certification SEOM pour la formation d'internes en oncologie médicale (3) COURS (2/2) Cours par type de cancer et localisation Cancer du sein Cancer gastro-intestinal Cancer de la prostate Tumeurs ORL/ tête et du cou Cancer du poumon Lymphomes et myélome Tumeurs de l appareil urogénital Tumeurs gynécologiques Tumeurs du SNC Mélanome Sarcomes 45 h 45 h 45 h 30 h 30 h 20 h 10 h 15 h 10 h 10 h 10 h 9
10 2. Programme de formation en épidémiologie et recherche oncologique Cours Statistique pour oncologues Principes méthodologiques de la recherche en oncologie Atelier virtuel de lecture critique d articles scientifiques Atelier virtuel de révisions systématiques. Méta-analyse Cours de prévention et de détection précoce du cancer 45 h 145 h 35 h 35 h 60 h Cours déjà réalisés 10
11 COURS : (1) médecins Cours Cours avancé d oncologie et d hématologie pédiatriques Cours avancé sur le cancer de la prostate Cours avancé sur le cancer du sein Évaluation et amélioration de la qualité de la prise en charge des patients souffrant d'une maladie avancée Douleur en oncologie Principes et pratiques de soins palliatifs 50 h 60 h 60 h 50 h 60 h 75 h 11
12 COURS : (2) professionnels de la santé Cours Introduction à la radiothérapie externe et à la brachythérapie Principes et pratiques de soins palliatifs Soins d infirmerie chez les patients cancéreux et hématologiques Manipulation et administration de cytostatiques 45 h 75 h 50 h 15 h 12
13 4. Programme en prévention du cancer du col de l utérus : dépistage et vaccins contre le VPH Cours Vaccins contre le VPH et dépistage en matière de prévention du cancer du col de l'utérus (espagnol) (anglais) Basé sur la monographie Vaccine 2006 Vaccins contre le VPH et dépistage en matière de prévention du cancer du col de l'utérus (anglais) Basé sur la monographie Vaccine 2008 Protocole pour le dépistage du cancer du col de l'utérus aux services de soins primaires, et vaccins contre le VPH en Catalogne (catalan) International en prévention du cancer du col de l utérus. (espagnol) (anglais) (français) 15 h 15 h 10 h 15 h 13
14 Exemples Apprentissage mixte au Maroc Cours de prévention et de détection précoce du cancer Course International en prévention du cancer du col de l utérus. (espagnol) (anglais) (français) 14
15 Cours de prévention et de détection précoce des cancers Module 1: Importance du cancer dans un pays Généralités sur le problème des cancers dans le monde. Indices de mesure permettant de décrire le problème: incidence, mortalité, survie et prévalence des facteurs de risque. Le système de santé, et les données socioéconomiques. Les sources d'information Module 2: Prévention primaire La prévention primaire des cancers Les moyens d'intervention : Interventions sur les principaux facteurs de risque Méthodes d'évaluation des interventions Module 3: Les interventions de prévention secondaire La détection précoce du cancer: diagnostic précoce et dépistage Le diagnostic précoce: ressources nécessaires et organisation Résultats des principaux programmes de dépistage : sein, col de l utérus, colon et autres localisations Module 4: Planification et évaluation des programmes de dépistage Conditions pour l efficacité d un programme de dépistage Les ressources nécessaires à l organisation d un programme de dépistage Le suivi et l'évaluation d un programme de dépistage
16 Caractéristiques du cours Apprentissage mixte au Maroc Cours de prévention et de détection précoce du cancer Durée : 60 heures Public cible : Professionnels de santé médicaux et non médicaux appelés a exercer des fonctions de surveillance épidémiologique dans le système national de santé. Directeur: Pr. Hélène Sancho Garnier Directeur Scientifique - Epidaure - Département de Prévention - CRLC Val d'aurelle. 16
17 Cours de prévention et de détection précoce du cancer Filière de formation en épidémiologie et santé publique Implantation locale. Maroc Cours de prévention et de détection précoce du cancer Apprentissage mixte (Blended learning) Formation en ligne et d activités de groupe hors ligne. 20 heures de cours individuel en ligne + 10 hors ligne, en classe avec les tuteurs. 17
18 Cours de prévention et de détection précoce du cancer Filière de formation en épidémiologie et santé publique -II Implantation locale. Maroc Cours de prévention et de détection précoce du cancer Collaboration entre: France: Epidaure Espagne: e-oncologia Espagne: Fundació Clinic CRESIB Maroc: INAS Maroc: PNCC Participants: 31 médecins appelés a exercer des fonctions de surveillance épidémiologique dans le système national de santé du Maroc. 18
19 SALLE DE COURS Formation en ligne
20 SALLE DE COURS - Matériel Formation en ligne
21 Cours de prévention et de détection précoce du cancer Filière de formation en épidémiologie et santé publique Implantation locale. Maroc Cours de prévention et de détection précoce du cancer Formation hors ligne travail en groupe, en classe Travail sur le Plan National Cancer Présentation et discussion Préparation par groupe sur les protocoles de prévention pour les 4 cancers plus fréquents. Présentation et discussion des protocoles 21
22 Cours de prévention et de détection précoce du cancer Filière de formation en épidémiologie et santé publique Implantation locale. Maroc Cours de prévention et de détection précoce du cancer Evaluation des connaissances et compétences acquises Evaluation de groupe: Basé sur le protocole de présentation de prévention orale et écrite. Evaluation individuelle: Sur la base de questionnaires d'auto-évaluation inclus dans le cours en ligne. 22
23 Cours de prévention et de détection précoce du cancer Filière de formation en épidémiologie et santé publique Implantation locale. Maroc Cours de prévention et de détection précoce du cancer Evaluation des résultats Dans la formation «présentiel» le transfert d information se produit dans une seule direction, de professeur à élève. Dans l apprentissage en ligne, le processus d'apprentissage est centré sur l'élève, ce qui rend plus facile pour les participants à devenir des apprenants actifs et interactive. On voit aussi une meilleure interaction aussi dans les activités «presentiels» entre les participants et les tuteurs et entre les élèves eux-mêmes. 23
24 Cours de prévention et de détection précoce du cancer Filière de formation en épidémiologie et santé publique Implantation locale. Maroc Cours de prévention et de détection précoce du cancer Avantages de cette approche Cette approche méthodologique permet l'utilisation de l'elearning dans les environnements avec peu de développement technologique. Nous permet de reproduire le même cours à différents endroits, en assurant le même niveau de qualité sans les coûts associés aux voyages. 24
25 Cours International de prévention du cancer du col de l utérus (I) Course International en prévention du cancer du col de l utérus. (espagnol) (anglais) (français) Objectifs: Fournir des informations sur les dernières avancées en matière de prévention du cancer du col de l utérus. Public cible: médecins spécialistes participant à la prévention du cancer du col de l utérus. Autres professionnels prenant part à la prévention (infirmiers, santé publique, vaccins)
26 Cours International de prévention du cancer du col de l utérus II FIGO - e-oncología Project Core Basic Course: 15 Hours on 6 modules VUCCnet Project Core Basic Course: 15 Hours on 6 modules VIA module: 3 Hours National Cancer Plan Morocco Project Core Basic Course: 15 Hours on 6 modules VIA + protocol module: 6 Hours
27 Activités de Formation pour le déploiement du Plan Cancer du Maroc Approche globale: Formation en cascade: formation des futurs formateurs qui par la suite seront les responsables pour former les professionnels qui travaillent dans les différents niveaux de soins. Formation virtuelle en réseaux: On profite des avantages de la technologie pour faciliter le travail en groupe ainsi que l accès aux meilleurs experts mondiaux.
28 Développement Objectif final: préparer de 300 a 500 professionnelles de centres de santé de niveau 1, de centres de détection précoce et de centres régionaux et de spécialités au cours de 1 année. Profil de Participants: Médecins généralistes, gynécologues, sages-femmes, infirmières, oncologues y d autres professionnelles impliqués dans le programme national de prévention. Phases de déploiement: Phase I: Production et impartition de la première édition. Coordination: e-oncología Participants: 50 sélectionnées par le PNCC qui deviendront les futurs tuteurs-formateurs. Phase II: Impartition de 5 éditions au cours de 12 mois suivants Coordination INAS Participants: 50 sélectionnées par le PNCC Tuteurs: sélectionnées parmi les participants de la première édition. Suivi et évaluation des tuteurs: e-oncología
29 Cours International de prévention du cancer du col de l utérus Edition de contenus: Equipe du programme d Infections et Cancer de l Institut Catalan d Oncologie. Révision externe des contenus: International Federation of Gynecology and Obstetrics World Health Organization International Atomic Energy Agency Union for International Contre le Cancer International Agency for research on cancer Experts PNCC du Maroc
30 Cours International de prévention du cancer du col de l utérus INTRODUCTION NATURAL HISTORY OF HPV AND CERVICAL CANCER BURDEN OF DISEASE AND HPV TYPES HPV AND OTHER DISEASES 5 6 CONTROL & PREVENTION OF CERVICAL CANCER HPV IN SPECIAL POPULATIONS
31 Cours International de prévention du cancer du col de l utérus III La structure du cours permet d ajouter de nouveaux contenus et ressources. Programme élémentaire (15 h) Programme avancé (25 h) Contenus Forums Connaissances élémentaires en matière de prévention du cancer du col de l utérus Forums pour étudiants Ressources Contenus Modules additionnels Questions fréquentes Monographies (*) Atelier virtuel. Centres d informations WHO/ICO Autres: UICC Curriculum, (*): Basé sur les publications de Elsevier (monographies Vaccine)
32 Méthodologie Le cours comprend 6 thèmes structurés en 3 niveaux d information : informations générales (avec exercices et exemples), informations régionales et exemples au niveau local. 32
33 Méthodologie
34 Merci de votre attention
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailProgramme DPC des infirmiers
Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailSpeexx Basic Anglais, Français, Allemand, Italien, Espagnol,
Pour une démo, ctrl +clic pour suivre le lien : http://www.speexx.com/portal/media/softwaredemo/fr/demostart.htm http://www.speexx.com/onlinedemo/english/ Speexx Basic Anglais, Français, Allemand, Italien,
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détail2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.
2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailUn outil de communication et de Formation Agricole au service des jeunes ruraux
Un outil de communication et de Formation Agricole au service des jeunes ruraux Tablette Verte Plan Contexte Présentation de la Tablette Verte Objectifs Consistance Avantages Contexte Une forte affluence
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailVocera Thierry Géraud Didier Chicheportiche. Résultats critiques et évolutions réglementaires 14-16 mai 2013
Vocera Thierry Géraud Didier Chicheportiche Résultats critiques et évolutions réglementaires 14-16 mai 2013 1 Mauvaise communication source de décès Une étude de la Joint Commission a conclu que le manque
Plus en détailUn centre de simulation : pourquoi et comment? Conférence Management, CHU Toulouse Anne-Claude Allin 9 avril 2014
Un centre de simulation : pourquoi et comment? Conférence Management, CHU Toulouse Anne-Claude Allin 9 avril 2014 Plan de présentation 2 Vous avez dit simulation? La simulation est une technique d enseignement
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détailEDHEC EXECUTIVE EDUCATION La formation sur mesure du Groupe EDHEC
EDHEC EXECUTIVE EDUCATION La formation sur mesure du Groupe EDHEC Jeux sérieux, nouvelle façon d étudier? STÉFAN CRISAN DIRECTEUR DÉLÉGUÉ EDHEC EXECUTIVE EDUCATION CAMPUS DE NICE stefan.crisan@edhec.edu
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailL intégration des TIC chez les futurs enseignants : votre point de vue
L intégration des TIC chez les futurs enseignants : votre point de vue Réservé à l administration Associés Questionnaire - Enseignants associés 1 QUESTIONNAIRE ENSEIGNANTS ASSOCIÉS Ce questionnaire permettra
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailEspaces numériques de formation Tableau de présentation synthétique des usages pédagogiques
Espaces numériques de formation Tableau de présentation synthétique des usages pédagogiques Le dispositif Présentiel «animé» utilise l'espace numérique pour projeter un support de cours, de la même manière
Plus en détailMANUEL DU BLENDED LEARNING
MANUEL DU BLENDED LEARNING ÉDITION 2014 www.360learning.com SOMMAIRE Définition... 4 Pourquoi proposer du Blended Learning à ses clients... 5 Les phases du Blended Learning... 7 9 arguments pour vendre
Plus en détailLe défi numérique et les enjeux du e-learning Comment renforcer la compétitivité?
Le défi numérique et les enjeux du e-learning Comment renforcer la compétitivité? Rhena TIC DAYS Mulhouse 2011 Le défi numérique : Le développement des téléphones mobiles, d Internet et des technologies
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailEnseignement au cycle primaire (première partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de
Plus en détailMerci beaucoup de votre collaboration
QUESTIONNAIRE ENSEIGNANTS ASSOCIÉS Ce questionnaire permettra de recueillir des informations sur l intégration des technologies de l information et de la communication (TIC) chez les futurs enseignants
Plus en détailPHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes
PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes But Les professionnels de la santé publique suivent de plus en plus une approche fondée sur des données probantes lorsqu il s agit de planifier,
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailProduire des contenus elearning en toute transparence. Bernard Curzi Professeur Directeur du Programme Espeme Responsable elearning
Produire des contenus elearning en toute transparence Bernard Curzi Professeur Directeur du Programme Espeme Responsable elearning Un groupe international 5.000 étudiants dont 1.500 étrangers 2.500 managers
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailSTAGE, VOLONTARIAT, BÉNÉVOLAT, TRAVAIL À L ÉTRANGER APPRENTISSAGE ET ENSEIGNEMENT D UNE LANGUE
STAGE, VOLONTARIAT, BÉNÉVOLAT, TRAVAIL À L ÉTRANGER APPRENTISSAGE ET ENSEIGNEMENT D UNE LANGUE Stage, bénévolat, volontariat à l étranger Stages Québec Sans-Frontière (QSF) http://www.mrif.gouv.qc.ca/qsf/index.asp
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailInstitut de FORMATION
Institut de FORMATION plaquette.indd 1 28/11/2012 20:52:47 edito L INSTITUT DE FORMATION J.LEPERCQ Fondé en 1946, l institut de formation est un établissement situé dans le centre ville, à taille humaine
Plus en détailDTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE
DTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE Formation sous contrat d association avec l Etat Dossier d intégration en 1 ère année ÉCOLE MASO 7, avenue des Palmiers 66000 Perpignan tél. 04 68 35 76
Plus en détailLES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES
COMMUNIQUE DE PRESSE N 213 12 Juin 2012 LES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES A l issue d une réunion d une semaine regroupant des spécialistes internationaux, le Centre international de
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailLe parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique
Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire
Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller
Plus en détailPANORAMA NORD AMÉRICAIN ET EUROPÉEN DES COMPÉTENCES DES INFIRMIERS DES URGENCES
PANORAMA NORD AMÉRICAIN ET EUROPÉEN DES COMPÉTENCES DES INFIRMIERS DES URGENCES C.PIEL T.CHERFAOUI CARHAIX 18 MARS 2008 INTRODUCTION La médecine d urgence est reconnue comme spécialité depuis 2004 Les
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailVue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies
Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,
Plus en détailService d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages
Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49
Plus en détailRESPONS. Info Mail 3 Janvier 2015 RESPONS SHURP ENSEMBLE. Lettre d information de l étude RESPONS
RESPONS RESPONS RESidents Perspectives Of Living in Nursing Homes in Switzerland est un projet du Domaine santé de la Haute école spécialisée bernoise. RESPONS étudie la qualité des soins du point de vue
Plus en détailDOULEUR et SOINS INFIRMIERS
DOULEUR et SOINS INFIRMIERS Certificate of Advanced Studies (CAS) - 2015 Agir en tant que professionnel ressource dans le domaine de la prise en charge de la personne souffrant de douleur aiguë ou chronique,
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailA l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.
OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière
Plus en détailPlan de la présentation
De «pair patient» à «pair aidant» : vers de nouvelles fonctions des destinataires de l action médico-sociale? Présentation Association Trait d Union 07.02.2014 Esther Hartmann, Pro Mente Sana Florence
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailCertificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Guide Reconnaissance par la SSO du statut de praticien généraliste Le certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Plus en détailaujourd hui et demain TRAINING RECRUITMENT RESEARCH www.cegos.com
TRAINING La formation OPERATIONAL professionnelle CONSULTING aujourd hui et demain RECRUITMENT Points de vue comparés des salariés en Allemagne, Espagne, Italie, France et Grande Bretagne RESEARCH www.cegos.com
Plus en détailUSAGE DES RESEAUX SOCIAUX PAR LES APPRENANTS EN COTE D IVOIRE
USAGE DES RESEAUX SOCIAUX PAR LES APPRENANTS EN COTE D IVOIRE Dr CLAUDE N. KOUTOU Enseignant/Chercheur (Université de Cocody, Abidjan) Chercheur PANAF - ROCARE CI nkoutou1@yahoo.fr PLAN DE PRESENTATION
Plus en détailDeborah Arnold, Chef de projet Vidéoscop-Université Nancy 2, France
Premiers résultats de l expérimentation européenne de la démarche et de l outil SEVAQ+ visant notamment à mesurer l efficacité des formations qui utilisent partiellement ou totalement les TICE. Deborah
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailLA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE
Dans ce document, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent les femmes et les hommes, et vice-versa, si le contexte s y prête. LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE POSITION DE L AIIC
Plus en détailAUDIT BLOC OPERATOIRE
AUDIT BLOC OPERATOIRE Forum Octobre 2006 G.Bossuat, inf, HPCI, CHUV 1 Rappel théorique Audit vient du mot latin «audire», écouter. L audit, est un processus méthodique, indépendant et documenté permettant
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailAssociation pour le soutien des personnes touchées par les GIST en Suisse
GIST Groupe Suisse Association pour le soutien des personnes touchées par les GIST en Suisse Statuts 1. Nom et siège Le nom «Association pour le soutien des personnes touchées par les GIST en Suisse» désigne
Plus en détailSemaine Européenne de la réduction des déchets (21-29 novembre 2009)
Semaine Européenne de la réduction des déchets (21-29 novembre 2009) Objectifs de la Semaine Réduire la quantité de déchets générés en Europe en impliquant tous les acteurs concernés par des programmes
Plus en détailLigne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available
Plus en détailOffrez un avenir international à vos enfants
E I B : UNE ECOLE INTERNATIONALE BILINGUE MATERNELLE PRIMAIRE u COLLÈGE Dans la lignée de l Ecole Internationale Bilingue d Angers, le Collège accueille vos enfants dès la 6ème dans un environnement sain
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailAnimer des séances pratiques et/ou des laboratoires
Évaluation par un professeur superviseur Nom de l évaluateur évaluatrice Date de l évaluation 1. Choisir le niveau approprié. L assistante assistant d enseignement est : débutant (1 re expérience à titre
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES. Développement professionnel continu. Simulation en santé. Fiche technique méthode
ÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES Développement professionnel continu Simulation en santé Fiche technique méthode Cette fiche technique décrit la participation des professionnels à une session de
Plus en détailInstructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude
Programme de bourses de recherche Amy Mahan pour évaluer l impact de l accès public aux TIC Instructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude Table des matières À propos la Question
Plus en détailDOSSIER INFORMATIF ADMISSION AUX ÉTUDES CREDENCIAL PRIX DES LICENCES MODES DE PAIEMENT ASSURANCES HÉBERGEMENT CONTACT VERSION EN FRANÇAIS
DOSSIER INFORMATIF ADMISSION AUX ÉTUDES CREDENCIAL PRIX DES LICENCES MODES DE PAIEMENT ASSURANCES HÉBERGEMENT CONTACT VERSION EN FRANÇAIS ADMISSION AUX ÉTUDES DE GRAU (LICENCE) DE LA UVIC Admission à l
Plus en détailJour 1 : Les concepts Les forces du système de santé québécois Comparaisons internationales. 22 octobre 2013. Pause réseautage et visite des exposants
8 : 00 am 9 : 00 am 9 : 00 am 10 : 00 am Jour 1 : Les concepts Les forces du système de santé québécois Comparaisons internationales 22 octobre 2013 8 : 00 Inscription et accueil 8 : 30 Ouverture Président
Plus en détailSupport technique logiciel HP
Support technique logiciel HP Services technologiques HP Services contractuels Données techniques Le Support technique logiciel HP fournit des services de support logiciel complets à distance pour les
Plus en détailLe Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa.
Le Centre de documentation du C.H.T Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa Horaires : Ouvert du lundi au Jeudi : 8h00-16h00 et le vendredi : 8h00-15h00 Pour
Plus en détailPrésentation de notre solution de formation en ligne
English for your future http://english.newhorizons.com English Language Program Synonyme de flexibilité, efficacité, choix et réussite. Présentation de notre solution de formation en ligne L approche individuelle
Plus en détailUEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.
UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES
Plus en détailPLEINS FEUX SUR LE RC EXAMENS SYSTEMATIQUES ET PREVENTION
PLEINS FEUX SUR LE RC SFMG - 2009 EXAMENS SYSTEMATIQUE ET PREVENTION est le résultat de consultation le plus fréquemment relevé par les médecins généralistes de l OMG. Voir là. Pour mieux vous familiariser
Plus en détailGuide d accréditation. Syllabus Niveau Fondation Testeur Agile
Syllabus Niveau Fondation Version 2014 Comité Français des Tests Logiciels Note de Copyright Ce document peut être copié dans son intégralité ou en partie si la source est autorisée. Copyright (appelé
Plus en détailScénarios des activités pédagogiques en ligne. Christiane Mathy / Izida Khamidoullina
Scénarios des activités pédagogiques en ligne Christiane Mathy / Izida Khamidoullina Intervenants Équipe e-learning Christiane Mathy, collaboratrice mais aussi: Enseignante en informatique de gestion Maître
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailFICHE DE POSTE. Date de rédaction : 20/02/15. Argumentaire général
UNIVERSITE LYON 2 (LUMIERE) Référence GALAXIE : 4217 Numéro dans le SI local : Référence GESUP : F002 Corps : Maître de conférences Article : 26-I-1 Chaire : Non Section 1 : 71-Sciences de l'information
Plus en détailRapport de recommandations
Comment s assurer que les personnes souffrant d ostéo-arthrite et d arthrite rhumatoïde reçoivent des soins optimaux de par l Europe: recommandations EUMUSC.NET En partenariat avec EULAR et 22 centres
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailNiveau d'avancement et d'atteinte des cibles d'impact des projets, par objectif stratégique Planification stratégique 2012-2017
et d'atteinte des cibles d'impact des 1. Formaliser l'offre de services pour l'ensemble des programmes-services et des programmes de soutien. Définir et promouvoir l'offre de services en Dépendances (2013-12-
Plus en détailLA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE. C Assouline
LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE C Assouline Principes «Human error is the price we pay for intelligence» 3 buts principaux de la simulation : détecter les erreurs éviter les erreurs
Plus en détailAssistance-voyage mondiale et service de conseils-santé
Assistance-voyage mondiale et service de conseils-santé ManuAssistance Assistance-voyage mondiale Votre couverture collective vous suit partout Lorsque vous voyagez au Canada ou dans un autre pays, vous
Plus en détailDirection des bibliothèques. Sondage Ithaka S+R. Questionnaire français Université de Montréal
Direction des bibliothèques Sondage Ithaka S+R Questionnaire français Université de Montréal Décembre 2014 Modules retenus Découverte Activités de recherche numérique Compétences informationnelles des
Plus en détailLEARNING EVERYWHERE 1
1 LEARNING EVERYWHERE Un contexte de travail qui évolue La mondialisation et la technologie ont augmenté la quantité et la rapidité des flux d informations personnelles & professionnelles que nous devons
Plus en détailLa qualité pour et par la pédagogie : exemple d animation du SMQ du Master QHSE de Valenciennes (France)
La qualité pour et par la pédagogie : exemple d animation du SMQ du Master QHSE de Valenciennes (France) Jean-Luc Menet (ENSIAME-UVHC) Responsable Pédagogique Master QHSE Éric Winter (ENSIAME-UVHC) Responsable
Plus en détailUne vie saine à TELUS
Une vie saine à TELUS Colloque du Conseil du patronat 17 septembre 2013 François Cliche Membre de l équipe TELUS 1 Introduction La santé mentale TELUS Stratégie d entreprise Stratégie santé et mieux-être
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détail