LES DELAIS DE PAIEMENT LA SORTIE DES ACCORDS DEROGATOIRES. B. FABRE - DIRECCTE Rhône-Alpes Pôle C - Novembre

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES DELAIS DE PAIEMENT LA SORTIE DES ACCORDS DEROGATOIRES. B. FABRE - DIRECCTE Rhône-Alpes Pôle C - Novembre 2011 1"

Transcription

1 LES DELAIS DE PAIEMENT ET LA SORTIE DES ACCORDS DEROGATOIRES 1

2 Les Délais de Paiement Pourquoi réduire les Délais de paiement? La LME et la réduction des Délais de paiement Les différents Délais de paiement applicables Les Pénalités de retard Les Sanctions encourues La Directive 2011/7/UE du 16 février 2011 Le Renforcement de la réglementation le Maintien et les Ajustements du dispositif LME La Sortie des accords dérogatoires 2

3 Pourquoi réduire les délais de paiement? 1997 plan d action en faveur du marché unique de la Commission européenne puis la Directive 2000/35 du 29 juin 2000concernant la lutte contre les retards de paiement dans les transactions commerciales. transposée en France par la Loi Nouvelles Régulations Economiques dite NRE du 15 mai 2001(réduction des délais à30 jours et intérêts de retard obligatoires) Mais maintien des retards. Communication de la Commission européenne du 25 juin 2008rappelle l objectif «de faciliter l accès des PME au financement et de lutter contre la culture de paiement tardif qui règne en Europe». D oùloi de modernisation de l Economie dite LME du 04 août 2008qui modifie les conditions de règlement entre professionnels. Confortée par la Communication de la Commission Européenne au Conseil Européen sur le Plan de relance économique en Europe de la Commission européenneau Conseil Européen du 26 novembre 2008 qui insiste sur «le besoin d investissement pour les PME». 3

4 Pourquoi réduire les délais de paiement? Pour tendre vers l objectif communautaire de 30 jours Pour favoriser le développement des PME Situation des délais moyens de paiement avant la LME : Français : 66 jours Européen : 57 jours Allemand : 47 jours Norvégien : 26 jours D où: Impact sur la trésorerie des entreprises, plus particulièrement des PME 4

5 La LME et la réduction des Délais de Paiement Moyen de réduire les délais de paiement : Modification des conditions de règlement entre professionnels (articles 21 à 24 LME) Principale nouveauté: instauration d un plafond 60 jours nets/45jours fin de mois Double objectif : - Diminution progressive des délais de paiement : par la mise en place d une période de transition de janvier 2009 à janvier Assurer le respect des délais de paiement prévus : en alourdissant les sanctions par le doublement du taux minimum des pénalités de retard et en instaurant des procédures civiles Résultats obtenus : -Diminution des délais de 15 à40 jours en moyenne en 16 mois - Gain de trésorerie pour les PME d environ 3 milliards d euros /an 5

6 La LME et les Délais de Paiement Champ d application de la LME : tout produit ou servicefourni dans le cadre d une transaction commerciale entre entreprisesliées par un contrat conclu après le 1er janvier 2009, dès lors que le créancier est établi sur le territoire national. D où:exclusion des dispositions de la LME dans les relations avec le Consommateur 6

7 Les délais de paiement applicables Le principe : des délais de droit commun Un délai conventionnel ou convenu plafonné Un délai supplétif ou de carence Les cas particuliers : des délais dérogatoires Des dérogations provisoires Des exceptions permanentes 7

8 Le principe : les délais de paiement de droit commun 1/2 Un délai convenu plafonné => article L alinéa 9 Code de commerce Au choix des parties ou en application des CGV : Un délai maximum de 60 joursàcompter de la date d émission de la facture Ou de 45 jours àpartir de la fin du moisd émission de la facture (ou «fin de mois + 45 jours») Pour les DOM et COM: le point de départ du délai est la date de réception des marchandises venant d un territoire fiscal distinct Sanction: civile (article L Code de commerce) 8

9 Le principe : les délais de paiement de droit commun 2/2 Un délai de carence ou supplétif => article L alinéa 8 Code de commerce 30 joursàcompter de la réceptiondes marchandises ou de l exécution de la prestation de services. Sanction: article L Code de commerce : d amendepénale(moyen de faire respecter le délai et de lutter contre l abus de la libertécontractuelle par le débiteur au détriment du créancier) 9

10 Les délais de paiement applicables Le principe: des délais de droit commun Un délai conventionnel ou convenu plafonné Un délai supplétif ou de carence Les cas particuliers: des délais dérogatoires Des dérogations provisoires Des exceptions permanentes Pôle C- Novembre

11 Les cas particuliers : les délais de paiement dérogatoires 1/2 Des dérogations provisoires : Les délais dérogatoires homologués => article 21-III de la LME Moyen :Accord interprofessionnelhomologuépar Décretaprès avis de l ADLC(AutoritéDe La Concurrence) qui peut le cas échéant être étendu àl ensemble des professionnels du secteur dont relèvent les organisations professionnelles signataires 3 Conditions cumulatives : - l existence de raisons économiquesobjectives et spécifiques àun secteur(délais de paiement constatés en 2007 nettement supérieurs,rotation de stock ) - La prévision d une réduction progressive du délai dérogatoire pour arriver au délai légal au 1er janvier L application d intérêts de retard en cas de dépassement du délai prévu par l accord 11

12 1/2 Liste des accords dérogatoires homologués applicables au 1er janvier 2011 Activités manuelles artistiques Agroéquipements Agrofourniture Armes et munitions pour la chasse Articles de sport Bois ronds pour l approvisionnement des entreprises exploitation forestière et de première transformation du bois Bricolage Commerce des animaux de compagnie et accessoires pour ces animaux Deux/trois roues motorisés et quads Disque Edition de livres Filière des produits bio, matériaux et services pour la construction et la décoration dans le secteur du bâtiment et des travaux publics 12

13 2/2 Liste des accords dérogatoires homologués applicables au 1er janvier 2011 Horlogerie, bijouterie, joaillerie, orfèvrerie Jouet Nautisme Optique et lunetterie Outillage industriel Pêche de loisirs Pisciculture continentale et marine Pneumatiques Professionnels de la filière cuir Professionnels du jardin amateur Sanitaire, chauffage et matériel électrique Textile habillement Tonnellerie (produits bois) Véhicules de loisirs (fournisseurs et clients industriels) 13

14 Les cas particuliers : les délais de paiement dérogatoires 2/2 Des exceptions permanentes : Secteur du Transport de marchandises => article L alinéa 11 Code de commerce Délai maximum de 30 jours àcompter de la date d émission de la facture Aménagement : La facture récapitulative est admise sous conditions impératives. D où: la date d émission de la facture peut être reportée au plus tard au dernier jour du mois au cours duquel les prestations de transport ont été réalisées : l émission de la facture récapitulative doit être justifiée et ne doit ni constituer un moyen de contourner le plafond légal ni un abus àl égard d un partenaire commercial. Sanction : d amende pénale car secteur fortement concurrentiel et ayant connu les retards les plus importants. 14

15 Les cas particuliers : les délais de paiement dérogatoires 2/2 Des exceptions permanentes : Secteur des Produits alimentaires périssables => article L Code de commerce 20 jours après le jour de livraison pour les achats de bétail sur pied et viandes fraîches et dérivées 30 jours après la fin de décade de livraison pour les produits surgelés, plats cuisinés, conserves, sauf les produits saisonniers dans le cadre de contrats de culture, 30 jours après la fin du mois de livraison pour les alcools passibles des droits de consommation dits «alcools forts» 45 jours fin de mois ou 60 jours date de facture pour les autres alcools (sauf Champagne et accords interprofessionnels du Code rural) Sanction : d amende pénale car secteurs sensibles et rotation des stocks courte. 15

16 Les cas particuliers : les délais de paiement dérogatoires 2/2 Des exceptions permanentes : Marchés publics (hors champ d application de la LME) => article 98 Code des marchés publics - Marchés publics de l Etatet des Etablissements publics(autres que les Etablissements Publics Industriels et Commerciaux -EPIC), et Collectivités territoriales et établissements locaux Délai maximum de 30 joursàcompter de la date de réception de la demande de paiement par la personne publique(sauf exceptions) - Marchés publics des établissements de santéet établissements de service de santédes armées : délai maximum de 50 jours. Secteur du Livre =>article unique Loi n du 27 janvier 2010 Délai défini conventionnellement entre les parties 16

17 Les pénalités de retard Les pénalités de retardet leurs conditions d applicationsont obligatoirement prévues dans les conditions de règlement Sanction d amende et mentionnées sur la facture Sanction d amende Le taux plancher des pénalités de retard correspond à 3 fois le taux d intérêt légal soit pour 2011 un taux minimum de 1,14%. NB :A défaut, le taux des pénalités de retard est le taux d intérêt appliquépar la BCE àson opération de refinancement la plus récente majoréde 10 points. En matière de marchés publics les taux applicables sont le taux BCE + 7 points et BCE + 2 points dans le secteur des marchés publics consentis par les établissements de santé. Les pénalités de retard sont exigibles le jour suivant la date de règlement figurant sur la facture sans qu'un rappel soit nécessaire =>article L Code de commerce 17

18 Les sanctions Non-respect du délai supplétif Non-respect du délai Opération de transport Fixation Taux des pénalités de retard ou de Conditions d exigibilitédes pénalités non conformes Non-respect du délai Produits périssables Non-respect du délai Boissons alcooliques Non-respect des plafonds des délais pour les transactions relatives aux autres produits et services fixation/imposition de conditions de règlement abusives Ou transaction Ou transaction Sanctions Civiles 2 millions d euros + réparation du préjudice Publication, diffusion, affichage de la décision Exclusion des marchés publics Sanctions complémentaires 18

19 L Evolution des règles applicables et la sortie des accords dérogatoires L évolution des règles applicables et le renforcement de la réglementation La Directive 2011/7/UE du 16 février 2011 Le maintien et les ajustements du dispositif LME La sortie des accords dérogatoires La confirmation de la sortie des accords dérogatoires La pérennisation de certains accords dérogatoires? 19

20 L évolution des règles applicables et le renforcement de la réglementation La Directive 2011/7/UE La Directive 2011/7/UEdu 16 février 2011 du Parlement et du Conseil relative àla «lutte contre le retard de paiement dans les transactions commerciales»en date du 16 février 2011est issue de la refonte de la Directive 2000/35/CE. Son objectif, qui s inscritdans la continuitéde la Directive 2000/35/CE, est d «instaurer une culture du paiement rapide[et] d assurer le bon fonctionnement du Marchéintérieur, en améliorant la compétitivitédes entreprises et en particulier des PME». Champ d application : «toute transaction entre des entreprises ou entre des entreprises et les pouvoirs publicsqui conduit àla fourniture de marchandises ou à la prestation de services contre rémunération» (article 2). Délai de transposition: pour le 16 mars Les dispositions seront applicables aux contrats en cours et pour les créances dont le délai commencera àcourir àcompter du 16 mars

21 L évolution des règles applicables et le renforcement de la réglementation Le maintien du dispositif LME au regard de la Directive 2011/7/UE La Directive 2011/7/UE prévoit que : Les dispositions nationales plus favorables au créancierque celles nécessaires pour se conformer àla présente directive peuvent être maintenues ou adoptées(considérant 37 et article 12 3 ). La libertécontractuelle régissant les délais de paiement «privés»est limitée à60 jours, sauf convention contraire des parties et sous réserve d un abus manifeste (article 3) Ainsi: Sauf cas particuliers, les délais de paiementactuellement en vigueur en Francesont conformes aux dispositions de la Directive2011/7/UE et il n est donc pasnécessaire qu ils soient modifiés. D où:maintien du dispositif issu de la LMEqui sera complétéparcertains éléments de la Directive 2011/7/UE;s agissant plus particulièrement du renforcement des droits du créancier en cas de retard de paiement. 21

22 L évolution des règles applicables et le renforcement de la réglementation L automaticité du versement des intérêts de retard (article 3.1) Les ajustements du dispositif LME et le renforcement des droits du créancier La création d une indemnitéforfaitairede 40 minimum au bénéfice du créancier en cas de retard de paiementàtitre de compensation pour frais de recouvrement(article 6 1) etd un droit àréclamer des compensations pour tous les autres fraisde recouvrement(article 6 3 -avocat, sociétéde recouvrement de créances) dès lors qu ils sont raisonnables et justifiés. Ces sommes seront exigibles sans qu un rappel soit nécessaire (article 2). La modification du taux des pénalités de retard: calcul au taux du 1er janvier pour le premier semestre de l année et au 1er juillet pour le deuxième semestre de l année (article 2 6). La reconnaissance du caractère manifestement abusif de toute clause ou pratique contractuelle excluant le versement d intérêtspour retard de paiement et/ou de l indemnisation pour frais de recouvrement. La limitationde la durée des procédures de vérification et/ou d acceptation des marchandisesà30 jourscivils après réception des marchandises ou réalisation de la prestation de service(article 3.4) 22

23 L évolution des règles applicables et le renforcement de la réglementation Les ajustements du dispositif LME s agissant des transactions incluant des pouvoirs publics Elargissement du champ d application àtoutes les transactions entre entreprises et pouvoirs publics au-delà des seuls marché publics. L harmonisation de la période de paiement des autorités publiques aux entreprises limitée à: -30 jours en principe (article 4 3) -60 jours par dérogation en cas de circonstances particulières dont la reconnaissance est soumise àl appréciation des Etats membres (article 4 6), pour les EPIC, les entreprises publiques (gestion de réseaux) et le secteur des soins de santé(article 4 4) Automaticité des intérêts de retard sans qu un rappel soit nécessaire (article 2 6) Calcul du taux des pénalités de retard sur la base du taux BCE + 8 points (article 4 1) Délai de vérification et/ou d acceptation supérieur à 30 jours sous conditions : que ce soit expressément prévu dans le contrat ou dans le dossier d appel d offres et sous réserve de l absence d abus manifeste à l égard du créancier (article 4 5). 23

24 L Evolution des règles applicables et la sortie des accords dérogatoires L évolution des règles applicables et le renforcement de la réglementation La Directive 2011/7/UE du 16 février 2011 Le maintien et les ajustements du dispositif LME La sortie des accords dérogatoires La confirmation de la sortie des accords dérogatoires La pérennisation de certains accords dérogatoires? 24

25 La sortie des accords dérogatoires La confirmation de la sortie des accords dérogatoires Dans son Rapport annuel 2010, l Observatoire des délais de paiement : Constate la réduction effective des délais de paiement pratiqués grâce à la LME Relève le fait que le basculement dans le régime de droit commun va s avérer complexe dans certains secteurs comme le bricolage et les secteurs soumis àune forte saisonnalité à l instar du jardinage ou du jouet. Préconise des mesures d accompagnement de professionnels de certains secteurs d activitépour faciliter le passage au droit commun des délais de paiement, notamment avec le Concours d OSEO. Souligne l avance de la LME sur la Directive 2011/7/UE et s interroge sur la pertinence d autoriser la poursuite des accords dérogatoires jusqu àla transposition de la Directive 2011/7/UE par le législateur français. Recommande que les accords dérogatoires prennent fin tout en envisageant des solutions adaptées à quelques situations spécifiques. 25

26 La sortie des accords dérogatoires La pérennisation de certains accords dérogatoires? Conformément aux recommandations de l Observatoire des délais de paiement Frédéric LEFEBVRE assure qu «une attention particulière est accordée àla sortie des accords dérogatoires dans les secteurs exposés à des tensions» (Communiqué de Presse du 5 mai 2011). D où: le critère des secteurs soumis à une saisonnalité marquée est retenu. Mais :tous les éléments ne sont pas encore tranchés Deux amendements àdes projets de loi en cours ont étédéposés : Amendement parlementaire au projet de loi «sur le renforcement des droits, la protection et l information du consommateur»adoptépar l Assemblée Nationale le 30 septembre Amendement de Catherine VAUTRINadoptéen première lecture le 11 octobre 2011 dans le cadre du projet de loi «relative àla simplification du droit et àl allègement des démarches administratives»(projet adoptéen première lecture àl Assemblée Nationale le 18 octobre 2011). 26

27 Sites internet utiles Site internet de la DGCCRF Site internet de la DIRECCTE Rhône-Alpes Site internet de la CEPC Questions du public Pôle C - Novembre

Loi de Modernisation de l Economie du 4 août 2008 (dite Loi «LME») Applicable au 1er janvier 2009.

Loi de Modernisation de l Economie du 4 août 2008 (dite Loi «LME») Applicable au 1er janvier 2009. Loi de Modernisation de l Economie du 4 août 2008 (dite Loi «LME») Applicable au 1er janvier 2009. 1 Remarques introductives (1) La Loi LME, une loi sur les délais de paiement Concernant les délais interentreprises

Plus en détail

Les Conditions Générales De Vente

Les Conditions Générales De Vente Les Conditions Générales De Vente Les CGV: visent à encadrer les relations entre cocontractants ; interviennent aussi bien dans les relations contractuelles entre professionnels (le plus souvent fournisseur-

Plus en détail

LES CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE ENTRE PROFESSIONNELS

LES CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE ENTRE PROFESSIONNELS Ressources pour les enseignants et les formateurs Activités pour la classe CE, EO, EE, terminologie, phraséologie, discours Crédit : Michel Soignet. LES CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE ENTRE PROFESSIONNELS

Plus en détail

FICHE «INTÉRÊTS LÉGAUX». Pour l année 2015 : 2,5% Avis publié au Moniteur belge du 30/01/2015.

FICHE «INTÉRÊTS LÉGAUX». Pour l année 2015 : 2,5% Avis publié au Moniteur belge du 30/01/2015. FICHE «INTÉRÊTS LÉGAUX». HAUTEUR BASE LÉGALE MODE DE CALCUL TAUX D INTÉRÊT LÉGAL Pour l année 2015 : 2,5% Avis publié au Moniteur belge du 30/01/2015. -Loi du 05/05/1865 relative au prêt à l intérêt. (M.B.

Plus en détail

Les nouvelles règles en matière de délais de paiement

Les nouvelles règles en matière de délais de paiement Les nouvelles règles en matière de délais de paiement par M e Marc THEWES Avocat à la Cour Chargé de Cours à l Université du Luxembourg Le 6 mai 2004 a eu lieu la publication au Mémorial de la loi du 18

Plus en détail

Relations verticales au sein de la chaîne d'approvisionnement alimentaire: Principes de bonnes pratiques

Relations verticales au sein de la chaîne d'approvisionnement alimentaire: Principes de bonnes pratiques Relations verticales au sein de la chaîne d'approvisionnement alimentaire: Principes de bonnes pratiques Proposés par les principaux membres de la plateforme interentreprises AIM CEJA CELCAA CLITRAVI Copa

Plus en détail

CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE

CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE ARTICLE PREMIER - Champ d'application Les présentes conditions générales de vente constituent le socle de la négociation commerciale et s'appliquent sans réserve et en priorité

Plus en détail

LE CHAMP D APPLICATION

LE CHAMP D APPLICATION LES TEXTES Loi n 2001-420 du 15 mai 2001 relative aux nouvelles régulations économiques (art. 54 et 55) Décret n 2002-231 du 21 février 2002 modifiant le décret du 7 mars 2001 portant code des marchés

Plus en détail

bilan d étape après 6 mois de mise en œuvre

bilan d étape après 6 mois de mise en œuvre l auto entrepreneur bilan d étape après 6 mois de mise en œuvre Hervé NOVELLI Secrétaire d Etat chargé du Commerce, de l Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services et de

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES DE VENTE ET D UTILISATION A DISTANCE

CONDITIONS GENERALES DE VENTE ET D UTILISATION A DISTANCE CONDITIONS GENERALES DE VENTE ET D UTILISATION A DISTANCE ARTICLE 1 Champ d application En préliminaire, il est stipulé que la réglementation de la vente et d utilisation à distance s applique «à toute

Plus en détail

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Septembre 2012 Table des matières : 1. Facts and figures :...2 1.1. Lien entre retards de paiement et faillites :... 2 1.2. Délais de paiement...

Plus en détail

Vendre à l international : comment sécuriser vos contrats. 30/05/2013 Aéroport - Aulnat

Vendre à l international : comment sécuriser vos contrats. 30/05/2013 Aéroport - Aulnat Vendre à l international : comment sécuriser vos contrats 30/05/2013 Aéroport - Aulnat Intervenants : - Stéphane PELLENARD, juriste, Laboratoires THEA - David PONCHON, Directeur Délégué aux opérations

Plus en détail

ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE

ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE Préambule Considérant la situation économique et, notamment, l impact de celle ci sur le marché de l emploi et le

Plus en détail

Baromètre Affiliation

Baromètre Affiliation Collectif des Plateformes d Affiliation Baromètre Affiliation Bilan S1 2012 6 ème édition Présentation - Qui sommes-nous? - Notre rôle - Méthodologie Evolution du marché de l affiliation Evolution par

Plus en détail

LA FAUTE MEDICALE : L assurance de responsabilité civile UIA SOFIA 2014

LA FAUTE MEDICALE : L assurance de responsabilité civile UIA SOFIA 2014 LA FAUTE MEDICALE : L assurance de responsabilité civile UIA SOFIA 2014 Assurance des praticiens Un praticien peut être amené à répondre de ses actes (ou omissions) à un triple niveau selon l objectif

Plus en détail

CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE

CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE 1. Champs d application. Toutes les fournitures de biens matériels et de prestations de services (telles que, sans caractère limitatif : réalisation de site internet, réalisation

Plus en détail

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Mars 2013 RÉSUMÉ :... 2 NOTE INTÉGRALE :... 3 1. LIEN ENTRE RETARDS DE PAIEMENT ET FAILLITES :... 3 2. DÉLAIS DE PAIEMENT... 4 3. RETARDS

Plus en détail

Lettre Entreprise Info. N 14 / Février 2014. Lettre Entreprise Info

Lettre Entreprise Info. N 14 / Février 2014. Lettre Entreprise Info N 14 / Février 2014 Lettre Entreprise Info N 14 / Février 2014 Sommaire Social AGIRC-ARCCO : la clé de répartition des hausses de cotisations 2014-2015 est fixée : L objectif de la loi du 20 janvier 2014

Plus en détail

2015/16. Autoentrepreneur. Bénédicte Deleporte

2015/16. Autoentrepreneur. Bénédicte Deleporte Autoentrepreneur 2015/16 Bénédicte Deleporte Avocat au Barreau de Paris Chargée d enseignement à l Univeristé Paris Est Créteil (UPEC, ex Paris 12) Deleporte Wentz Avocat www.deleporte-wentz-avocat.com

Plus en détail

CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE ET DE LIVRAISON

CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE ET DE LIVRAISON CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE ET DE LIVRAISON de la société KULLEN GmbH & Co KG, Reutlingen 1. Conditions générales 1.1 Nous n assumons les commandes et livraisons en tout genre que conformément aux clauses

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE. Les obligations des entreprises en faveur de l emploi vis-à-vis des salariés âgés : plan senior/contrat de génération

FICHE TECHNIQUE. Les obligations des entreprises en faveur de l emploi vis-à-vis des salariés âgés : plan senior/contrat de génération FICHE TECHNIQUE Les obligations des entreprises en faveur de l emploi vis-à-vis des salariés âgés : plan senior/contrat de génération SOMMAIRE : I) LES ACCORDS ET PLANS D ACTION EN FAVEUR DES SALARIES

Plus en détail

Guide pour e-commerçants

Guide pour e-commerçants Guide pour e-commerçants Explications claires des obligations légales des e-commerçants Conseils pratiques pour mettre votre site en conformité Modèles de textes faciles à adapter Mars 2015 Glynnis Makoundou

Plus en détail

DOCUMENT DE CONSULTATION

DOCUMENT DE CONSULTATION COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation

Plus en détail

Guide pour la qualité des relations contractuelles clients-fournisseurs

Guide pour la qualité des relations contractuelles clients-fournisseurs Guide pour la qualité des relations contractuelles clients-fournisseurs Au cours des États généraux de l industrie (EGI), de nombreux représentants des entreprises ont souligné le déséquilibre des relations

Plus en détail

Le contingent d heures supplémentaires et les contreparties

Le contingent d heures supplémentaires et les contreparties Le contingent d heures supplémentaires et les contreparties La loi n 2008-789 du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps de travail rénove les règles en matière de

Plus en détail

CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME

CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME La Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises (CGPME) est une organisation

Plus en détail

Quelles sont les informations légales à faire figurer sur un site Internet?

Quelles sont les informations légales à faire figurer sur un site Internet? > Accueil > Le Droit en pratique > Fiches pratiques Quelles sont les informations légales à faire figurer sur un site Internet? Le site Internet est un vecteur d informations. Mais il en collecte également,

Plus en détail

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : FCPT1412044R Intitulé des textes : projet d ordonnance relative à la réforme du taux d intérêt légal et projet d arrêté fixant les catégories de prêts

Plus en détail

ORDONNANCE. relative au portage salarial. NOR : ETST1503259R/Bleue-1 ------ RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

ORDONNANCE. relative au portage salarial. NOR : ETST1503259R/Bleue-1 ------ RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social TEXTE SOUMIS A LA DELIBERATION DU CONSEIL DES MINISTRES ORDONNANCE relative au portage salarial

Plus en détail

FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE

FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE BAREME TRAITEMENTS ET SALAIRES PEA Fin du gel du barème : Revalorisation de 0,8% de l ensemble des tranches applicables aux revenus de 2013. Plafonnement du

Plus en détail

LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun)

LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun) LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun) Afin de faciliter l application du tarif extérieur commun (application des mêmes droits de douane quelque soit le point d entrée de la marchandise sur

Plus en détail

ACTIVITES REGLEMENTEES

ACTIVITES REGLEMENTEES ACTIVITES REGLEMENTEES Par le décret N 98-246 du 02 Avril 1998, quels que soient le statut juridique et les caractéristiques de l entreprise, un certain nombre d activités, dites réglementées ne peuvent

Plus en détail

> Pourquoi s assurer?

> Pourquoi s assurer? E 145 Centre de documentation et d information de l assurance Mai 2009 L assurance des pertes d exploitation Si la plupart des entreprises assurent leurs biens, encore trop peu d entre elles pensent à

Plus en détail

Plus-values immobilières des particuliers

Plus-values immobilières des particuliers > Fiscalité patrimoniale Fiscalité personnelle Plus-values immobilières des particuliers Abattement pour durée de détention Abattement identique pour tous les biens >> Abattement pour durée de détention

Plus en détail

Prévoir des pénalités de retard

Prévoir des pénalités de retard Prévoir des pénalités de retard Conditions générales de vente Relations interentreprises... 10 Facturation... 10 Point de départ des pénalités... 11 Montant des pénalités... 12 Arrêt des pénalités... 13

Plus en détail

NOTE D INFORMATION. Approbation du Conseil Communautaire du 27 septembre 2012

NOTE D INFORMATION. Approbation du Conseil Communautaire du 27 septembre 2012 NOTE D INFORMATION Approbation du Conseil Communautaire du 27 septembre 2012 Instauration du Compte Epargne Temps (C.E.T.) en faveur des agents de la C. C. du Pays Glazik, à compter du 1 er janvier 2013

Plus en détail

réparation ou fabrication, transports, etc. Dans des cas semblables, vous pouvez souvent cocher également la case 29.

réparation ou fabrication, transports, etc. Dans des cas semblables, vous pouvez souvent cocher également la case 29. GUIDE RELATIF A LA TYPOLOGIE DE PROBLEMES ET DE DEMANDES DU CONSOMMATEUR Le présent guide fournit des explications concernant les différentes catégories de problèmes et de demandes du consommateur, ainsi

Plus en détail

Conférence de l Arson club du 16 avril 2008 sur la répétibilité des honoraires de l avocat (loi du 21/4/2007).

Conférence de l Arson club du 16 avril 2008 sur la répétibilité des honoraires de l avocat (loi du 21/4/2007). Conférence de l Arson club du 16 avril 2008 sur la répétibilité des honoraires de l avocat (loi du 21/4/2007). 1. Le contexte historique Notre Cour de Cassation a longuement considéré que les frais et

Plus en détail

Guide juridique de l'e-commerce et de l'e-marketing

Guide juridique de l'e-commerce et de l'e-marketing Choisir un nom de domaine et une marque 1. Introduction 13 2. Définitions et notions juridiques 14 2.1 Le nom de domaine 14 2.1.1 Qu est-ce qu un nom de domaine? 14 2.1.2 Un nom de domaine, pour quoi faire?

Plus en détail

Réunion du 22 janvier 2014

Réunion du 22 janvier 2014 Actualité fiscale et sociale Comprendre les enjeux et anticiper les risques Réunion du 22 janvier 2014 A. 1, bis avenue Foch - BP 209-94102 Saint-Maur-des-Fossés Cedex T. +33 (0)1 55 12 07 00 F. +33 (0)1

Plus en détail

Avec la collaboration des Instituts du C.S.N LA REVISION DU LOYER COMMERCIAL. Textes. Articles L. 145-33 à 145-39 du code de commerce

Avec la collaboration des Instituts du C.S.N LA REVISION DU LOYER COMMERCIAL. Textes. Articles L. 145-33 à 145-39 du code de commerce Avec la collaboration des Instituts du C.S.N LA REVISION DU LOYER COMMERCIAL Textes Loi LME du 4 août 2008 Loi MURCEF du 11 décembre 2001 Article L. 145-3 du code de commerce Article L. 145-5 du code de

Plus en détail

DISPOSITIF 123 B : AIDE A L EQUIPEMENT DES ENTREPRISES DE MOBILISATION DES PRODUITS FORESTIERS

DISPOSITIF 123 B : AIDE A L EQUIPEMENT DES ENTREPRISES DE MOBILISATION DES PRODUITS FORESTIERS AXE 1. AMELIORER LA COMPETITIVITE DES SECTEURS AGRICOLES ET SYLVICOLES Objectif : Mesures visant à restructurer et à développer le capital physique ainsi qu à promouvoir l innovation DISPOSITIF 123 B :

Plus en détail

Conditions d entreprise

Conditions d entreprise 1. Contenu du contrat 1.1. Tout entrepreneur qui exécute des travaux pour le compte de (nommé ci-après BASF) accepte l application de ces conditions générales à l exclusion de ses propres conditions standards.

Plus en détail

OFFRE DE FINANCEMENT

OFFRE DE FINANCEMENT OFFRE DE FINANCEMENT ENTREPRISES EN DEVELOPPEMENT P.3 Financement de la Balance Clients (en TTC) P.3 Financement en Invoice Discounting (en TTC) P.4 Financement des Créances Commerciales (en TTC) P.5 Financement

Plus en détail

Programme des Nations Unies pour l'environnement

Programme des Nations Unies pour l'environnement NATIONS UNIES EP Programme des Nations Unies pour l'environnement Distr. Restreinte UNEP/OzL.Pro/ExCom/40/5 19 juin 2003 FRANÇAIS ORIGINAL: ANGLAIS COMITÉ EXÉCUTIF DU FONDS MULTILATÉRAL AUX FINS D APPLICATION

Plus en détail

ASSEMBLÉE NATIONALE 3 novembre 2014 AMENDEMENT

ASSEMBLÉE NATIONALE 3 novembre 2014 AMENDEMENT ASSEMBLÉE NATIONALE 3 novembre 2014 PLF POUR 2015 - (N 2234) Commission Gouvernement Adopté AMENDEMENT présenté par le Gouvernement ---------- ARTICLE ADDITIONNEL N o II-464 (2ème Rect) APRÈS L'ARTICLE

Plus en détail

COMMISSION DES CLAUSES ABUSIVES AVIS SUR LES CONDITIONS GENERALES DES CONTRATS DE LOCATION DE VEHICULES AUTOMOBILES

COMMISSION DES CLAUSES ABUSIVES AVIS SUR LES CONDITIONS GENERALES DES CONTRATS DE LOCATION DE VEHICULES AUTOMOBILES C.C.A. 17 COMMISSION DES CLAUSES ABUSIVES AVIS SUR LES CONDITIONS GENERALES DES CONTRATS DE LOCATION DE VEHICULES AUTOMOBILES Bruxelles, le 1 juin 2005 2 Avis sur les conditions générales des contrats

Plus en détail

LA TAXE SUR LA VALEUR AJOUTEE - T. V. A. et Traitements comptables. Découvrir les principes des traitements comptables de la TVA.

LA TAXE SUR LA VALEUR AJOUTEE - T. V. A. et Traitements comptables. Découvrir les principes des traitements comptables de la TVA. LA TAXE SUR LA VALEUR AJOUTEE - T. V. A. et Traitements comptables Objectif(s) : o Pré-requis : o Modalités : o o Découvrir les principes des traitements comptables de la TVA. Connaissances de base en

Plus en détail

Dossier de presse. SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises 2010-2011

Dossier de presse. SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises 2010-2011 19 octobre 2010 Dossier de presse SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises 2010-2011 «Les bilans des entreprises gardent les stigmates de la crise»

Plus en détail

Restauration d entreprise

Restauration d entreprise A s s o c i a t i o n d e s R e s p o n s a b l e s d e S e r v i c e s G é n é r a u x F a c i l i t i e s M a n a g e r s A s s o c i a t i o n Restauration d entreprise L article R. 4228-19 du Code

Plus en détail

ANNEXE 3: Demande d émission et/ou de modification d un crédit documentaire à l'importation

ANNEXE 3: Demande d émission et/ou de modification d un crédit documentaire à l'importation ANNEXE 3: Demande d émission et/ou de modification d un crédit documentaire à l'importation La présente version annule et remplace toute version précédente. Elle a été enregistrée à Bruxelles le 28 septembre

Plus en détail

D1402 - Relation commerciale grands comptes et entreprises

D1402 - Relation commerciale grands comptes et entreprises Appellations (IT (nouvelles technologies, TIC) - Gestion commerciale / Vente) Commercial / Commerciale en services auprès des entreprises Commercial vendeur / Commerciale vendeuse d'espaces publicitaires

Plus en détail

Portage salarial : effets de l ordonnance n 2015-380 du 2 avril 2015

Portage salarial : effets de l ordonnance n 2015-380 du 2 avril 2015 CIRCULAIRE N 2015-10 DU 11 JUIN 2015 Direction des Affaires Juridiques INSX011-ACE Titre Portage salarial : effets de l ordonnance n 2015-380 du 2 avril 2015 Objet Suppression de l attestation spécifique

Plus en détail

Acheter sur internet: réglementation et contrôle, pièges à éviter, conseils utiles

Acheter sur internet: réglementation et contrôle, pièges à éviter, conseils utiles Acheter sur internet: réglementation et contrôle, pièges à éviter, conseils utiles Journée de formation Clés pour consommer intelligemment Fraud Prevention Month 14 mars 2014 PROGRAMME Réglementation et

Plus en détail

Site portail des Urssaf www.urssaf.fr Employeurs > Comité d'entreprise > Vous - Vos Cotisations > Les prestations

Site portail des Urssaf www.urssaf.fr Employeurs > Comité d'entreprise > Vous - Vos Cotisations > Les prestations Les prestations Aide financière finançant des activités de services à la personne et de garde d enfant Régime social de l aide destinée à financer des activités de services à la personne et de garde d

Plus en détail

Sommaire. L entrée en vigueur de l avenant n 21 sur les salaires minima au 1 er novembre 2013

Sommaire. L entrée en vigueur de l avenant n 21 sur les salaires minima au 1 er novembre 2013 informations sociales octobre novembre décembre 2013 Dans le cadre du mandat qu elle reçoit du FNCIP-HT, la Fédération Nationale de l Habillement informe chaque trimestre les entreprises à jour de paiement

Plus en détail

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014 Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS 1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître

Plus en détail

CRÉDIT D IMPÔT RELATIF À L INTÉGRATION DES TI DANS LES PME DES SECTEURS MANUFACTURIER ET PRIMAIRE INVESTISSEMENT QUÉBEC

CRÉDIT D IMPÔT RELATIF À L INTÉGRATION DES TI DANS LES PME DES SECTEURS MANUFACTURIER ET PRIMAIRE INVESTISSEMENT QUÉBEC CRÉDIT D IMPÔT RELATIF À L INTÉGRATION DES TI DANS LES PME DES SECTEURS MANUFACTURIER ET PRIMAIRE INVESTISSEMENT QUÉBEC Direction des mesures fiscales Table des matières Société admissible... 3 Société

Plus en détail

ASSEMBLÉE NATIONALE AMENDEMENT

ASSEMBLÉE NATIONALE AMENDEMENT ASSEMBLÉE NATIONALE N I - 532 (3 ème rect.) 14 octobre 2010 LOI DE FINANCES POUR 2011 - (n 2824) (Première partie) Commission Gouvernement AMENDEMENT présenté par M. Mallié, M. Debré et Mme Branget ----------

Plus en détail

Cahier des Clauses Particulières

Cahier des Clauses Particulières MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES Centre Hospitalier du Bois Petit Direction des services économiques, logistique, technique et informatique Services économiques 8 avenue de la Libération

Plus en détail

Logos: Administration fédérale / EPF Zurich / EPF Lausanne / CFF SA

Logos: Administration fédérale / EPF Zurich / EPF Lausanne / CFF SA Logos: Administration fédérale / EPF Zurich / EPF Lausanne / CFF SA Conditions générales pour l achat et la maintenance de matériel informatique (Remarque : Seule la version allemande de ces CG fait foi

Plus en détail

CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016

CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 Département Administration Paris, le 3 mars 2014 et Gestion Communales VP/AH/Note 11 Affaire suivie par Véronique PICARD CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 La continuité - maintien du montant

Plus en détail

A s s o c i a t i o n d é c l a r é e Créée le 07/04/2010

A s s o c i a t i o n d é c l a r é e Créée le 07/04/2010 A s s o c i a t i o n d é c l a r é e Créée le 07/04/2010 Philippe Adnot président d honneur Sénateur non-inscrit, Secrétaire de la commission des finances du Sénat, Président du conseil général de l Aube

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES DE MAINTENANCE DES LOGICIELS

CONDITIONS GENERALES DE MAINTENANCE DES LOGICIELS CONDITIONS GENERALES DE MAINTENANCE DES LOGICIELS Article 1 Objet Les présentes Conditions Générales ont pour objet de définir les conditions et le contenu des prestations de maintenance fournies par la

Plus en détail

Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012

Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Introduction Le Groupe Co-operators limitée est détenu et dirigé par 45 membres-propriétaires de tout le Canada, issus

Plus en détail

Crédit à la consommation et crédit hypothécaire Surveillance et sanctions. Tom Van Dyck et Bart Garré. Brussels London - www.liedekerke.

Crédit à la consommation et crédit hypothécaire Surveillance et sanctions. Tom Van Dyck et Bart Garré. Brussels London - www.liedekerke. Crédit à la consommation et crédit hypothécaire Surveillance et sanctions Tom Van Dyck et Bart Garré Structure Partage de compétences Statut du prêteur Statut de l intermédiaire Sanctions Interaction avec

Plus en détail

Cahier des Clauses Administratives Particulières

Cahier des Clauses Administratives Particulières MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES Communauté de Communes du Volvestre Direction Générale des Services Service des Marchés Publics 34 avenue de Toulouse BP 9 31390 CARBONNE Tél: 05 61

Plus en détail

Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011

Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011 Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011 Texte adopté par la Commission du droit international à sa soixante-troisième session, en 2011, et soumis à l Assemblée générale dans le cadre de

Plus en détail

MARCHE DE PRESTATION DE SERVICES DE NETTOYAGE DES AUTORAILS CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES

MARCHE DE PRESTATION DE SERVICES DE NETTOYAGE DES AUTORAILS CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES Société Anonyme d Economie Mixte Locale BP 237 20294 BASTIA : 04.95.32.80.55 : 04.95.34.01.14 MARCHE DE PRESTATION DE SERVICES DE NETTOYAGE DES AUTORAILS CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES

Plus en détail

Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020

Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 Brief: Les perspectives de la politique agricole N 5 / Décembre 2013 Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION 2. DÉFIS ET OBJECTIFS 3. BUDGET DE LA PAC 4. ÉVOLUTION DE LA

Plus en détail

LOI DU 18 JUIN 2014 RELATIVE A L ARTISANAT, AU COMMERCE ET AUX TRES PETITES ENTREPRISES SOMMAIRE

LOI DU 18 JUIN 2014 RELATIVE A L ARTISANAT, AU COMMERCE ET AUX TRES PETITES ENTREPRISES SOMMAIRE LES PRINCIPALES ÉVOLUTIONS LOI DU 18 JUIN 2014 RELATIVE A L ARTISANAT, AU COMMERCE ET AUX TRES PETITES ENTREPRISES SOMMAIRE BAUX COMMERCIAUX... p. 02 DROIT DE PREEMPTION COMMERCIAL DES COMMUNES... p. 05

Plus en détail

Contrat d assurance dommage et tous risques chantiers pour les travaux de construction d une salle de restauration scolaire à Troarn

Contrat d assurance dommage et tous risques chantiers pour les travaux de construction d une salle de restauration scolaire à Troarn Marché passé en application de l article 28 du Code des Marchés publics MARCHES PUBLICS DE SERVICES COMMUNAUTE DE COMMUNES ENTRE BOIS ET MARAIS Mairie de Troarn Place Paul Quellec 14 670 TROARN Contrat

Plus en détail

le syndicat CGT représenté par [à compléter] en sa qualité de délégué syndical,

le syndicat CGT représenté par [à compléter] en sa qualité de délégué syndical, Projet d accord collectif mettant en place un régime de remboursement de «frais de santé» au bénéfice du personnel de l EPIC SNCF relevant du régime général de ENTRE LES SOUSSIGNEES : SOCIETE NATIONALE

Plus en détail

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes

Plus en détail

LICENCE D UTILISATION DE LA DO NOT CALL ME LIST : CONDITIONS GENERALES

LICENCE D UTILISATION DE LA DO NOT CALL ME LIST : CONDITIONS GENERALES LICENCE D UTILISATION DE LA DO NOT CALL ME LIST : CONDITIONS GENERALES Introduction Dans les présentes conditions, l'on entend par : - Abonné : toute personne physique ou morale qui utilise un service

Plus en détail

A la suite de ce sinistre, l activité n a pas été interrompue, la SAS ayant pu poursuivre son activité sur un autre site.

A la suite de ce sinistre, l activité n a pas été interrompue, la SAS ayant pu poursuivre son activité sur un autre site. COMPTES ANNUELS - Date de comptabilisation des indemnités d'assurance suite à un incendie - Provision pour charges liées à la reconstruction du bâtiment appartenant à une SCI - EC 2010-28 Mots clés Comptes

Plus en détail

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation

Plus en détail

Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base

Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base Les 10 Principes de Base Introduction Tout d abord, une bonne nouvelle: vendre en Russie n exige en général pas plus de préparation ni d informations

Plus en détail

On vous doit de l argent en Europe... Deux procédures judiciaires simplifiées à portée de main!

On vous doit de l argent en Europe... Deux procédures judiciaires simplifiées à portée de main! Finances Achats e-commerce Santé Tourisme Véhicules Shutterstock Immobilier énergie Justice On vous doit de l argent en Europe... Deux procédures judiciaires simplifiées à portée de main! brochure réalisée

Plus en détail

ATELEX BONUS BUSINESS

ATELEX BONUS BUSINESS ATELEX BONUS BUSINESS Pertes d'exploitation Dispositions spécifiques L'introduction et la présentation du plan d assurances Entreprises Les dispositions communes Le lexique sont également d'application

Plus en détail

V o ir la v ie e n Ble ue. Plan Hypothécaire. Un plan d assurance hypothécaire sécurisant pour votre prêt et votre marge de crédit...

V o ir la v ie e n Ble ue. Plan Hypothécaire. Un plan d assurance hypothécaire sécurisant pour votre prêt et votre marge de crédit... V o ir la v ie e n Ble ue Plan Hypothécaire Un plan d assurance hypothécaire sécurisant pour votre prêt et votre marge de crédit... PlanHypothécaire Croix Bleue est heureuse de vous présenter un plan d

Plus en détail

Conditions d achat. 2. Commandes et confirmations de commande. 3. Délais et dates de livraison. Pour l entreprise: Schunk Electrographite S.A.S.

Conditions d achat. 2. Commandes et confirmations de commande. 3. Délais et dates de livraison. Pour l entreprise: Schunk Electrographite S.A.S. Conditions d achat Pour l entreprise: Schunk Electrographite S.A.S. Les conditions suivantes pour la conclusion de contrats d achats ne s appliquent que vis à vis de personnes agissant en leur qualité

Plus en détail

Les pièges de la TVA intracommunautaire

Les pièges de la TVA intracommunautaire Les pièges de la TVA intracommunautaire Ordre des Experts-comptables Paris Ile de France Commission Europe 28 novembre 2006 Olivier BOURDEAU Avocat à la Cour Hervé KRUGER Expert-comptable PRESENTATION

Plus en détail

Guide du vendeur e-commerce

Guide du vendeur e-commerce Guide du vendeur e-commerce 2 Édition 2015 Le présent guide a vocation à s adresser principalement aux artisans et professions libérales dans leurs relations avec les prestataires de services de plus en

Plus en détail

Votre intervention se situe dans un cadre défini préalablement à votre venue avec le conseiller formation en charge de l action.

Votre intervention se situe dans un cadre défini préalablement à votre venue avec le conseiller formation en charge de l action. VOTRE PRESTATION : Votre intervention se situe dans un cadre défini préalablement à votre venue avec le conseiller formation en charge de l action. Dans le cadre de cette intervention, vous devez faire

Plus en détail

Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013

Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013 INVENTONS ENSEMBLE LA SANTÉ DE DEMAIN Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013 Quels impacts anticiper sur le marché de l assurance de personnes? 21 février 2013 ANI 2013 Quels impacts prévisibles

Plus en détail

SÉNAT PROPOSITION DE LOI

SÉNAT PROPOSITION DE LOI N 711 SÉNAT SECONDE SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2009-2010 Enregistré à la Présidence du Sénat le 15 septembre 2010 PROPOSITION DE LOI visant à limiter la production de viande provenant d animaux abattus

Plus en détail

ACTUALITES FISCALES. Loi de finances 2014 : les censures du Conseil Constitutionnel

ACTUALITES FISCALES. Loi de finances 2014 : les censures du Conseil Constitutionnel ACTUALITES FISCALES Loi de finances 2014 : les censures du Conseil Constitutionnel Dans sa décision n 2013-685 DC du 29 décembre 2013, le Conseil Constitutionnel a censuré plusieurs mesures fiscales prévues

Plus en détail

LOI ALUR ET GESTION LOCATIVE. 28 mars 2014 commission gestion locative Emmanuelle Benhamou

LOI ALUR ET GESTION LOCATIVE. 28 mars 2014 commission gestion locative Emmanuelle Benhamou LOI ALUR ET GESTION LOCATIVE 28 mars 2014 commission gestion locative Emmanuelle Benhamou LOI n 2014-366 en date 24 mars 2014 POUR L ACCES AU LOGEMENT ET UN URBANISME RENOVE PUBLIEE AU JO LE 26 MARS 2014

Plus en détail

1 A noter que le Règlement 864/2007 du 11 juillet 2007 sur la loi applicable aux obligations non contractuelle

1 A noter que le Règlement 864/2007 du 11 juillet 2007 sur la loi applicable aux obligations non contractuelle Union des Entreprises Luxembourgeoises (UEL) 7, rue Alcide de Gasperi Boite Postale 3024 L-1030 Luxembourg Numéro d'identification au registre des représentants d intérêts : 82936193787-44 Livre vert de

Plus en détail

CCNT Hôtellerie & Restauration

CCNT Hôtellerie & Restauration CCNT Hôtellerie & Restauration Expertise succincte concernant l application de la CCNT Hôtellerie & Restauration dans les institutions membres d INSOS Suisse Cette expertise a été réalisée et mise à disposition

Plus en détail

La TVA intracommunautaire : où en sommes-nous? Atelier de la Profession

La TVA intracommunautaire : où en sommes-nous? Atelier de la Profession La TVA intracommunautaire : où en sommes-nous? Atelier de la Profession INTERVENANTS Stephen DALE associé Président du groupe de travail impôts indirects à la FEE Vice président International VAT Association

Plus en détail

LES SOLUTIONS ASSURANCES DES PROFESSIONNELS. Assurances dommages. Protégez vos biens professionnels et privés

LES SOLUTIONS ASSURANCES DES PROFESSIONNELS. Assurances dommages. Protégez vos biens professionnels et privés LES SOLUTIONS ASSURANCES DES PROFESSIONNELS Assurances dommages Protégez vos biens professionnels et privés Faire vivre votre contrat En choisissant de vous assurer au Crédit Agricole, vous bénéficiez

Plus en détail

Engagé à nouveau pour un an?

Engagé à nouveau pour un an? Engagé à nouveau pour un an? Engagé à nouveau pour un an? 2 Service public fédéral Economie, P.M.E., Classes moyennes et Energie Rue du Progrès, 50 B - 1210 BRUXELLES N d entreprise : 0314.595.348 http://economie.fgov.be

Plus en détail

Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères

Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères Crawford & Compagnie et toutes ses filiales à travers le monde sont soumises à certaines

Plus en détail

Présentation de la loi de finances pour 2013 et rappels des dispositifs des lois de finances rectificatives pour 2012

Présentation de la loi de finances pour 2013 et rappels des dispositifs des lois de finances rectificatives pour 2012 Présentation de la loi de finances pour 2013 et rappels des dispositifs des lois de finances rectificatives pour 2012 Présentation par l Ordre des avocats de Narbonne 1 Partie 1 : La fiscalité des particuliers

Plus en détail

Éléments de contexte. L univers des jardineries et graineteries

Éléments de contexte. L univers des jardineries et graineteries Éléments de contexte L univers des jardineries et graineteries L univers étudié est constitué des établissements spécialisés dont l activité se caractérise par la distribution de végétaux, de fleurs, de

Plus en détail

Le guide. juridique. www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN!

Le guide. juridique. www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN! Le guide juridique www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN! sommaire Contexte de l évolution de la «Loi Fillon»... 3 Comment bénéficier des avantages de la «Loi Fillon»?... La participation de

Plus en détail

HSBC Global Asset Management (France) Politique de vote - Mars 2015

HSBC Global Asset Management (France) Politique de vote - Mars 2015 HSBC Global Asset Management (France) Politique de vote - Mars 2015 Ce document présente les conditions dans lesquelles la société de gestion HSBC Global Asset Management (France) entend exercer les droits

Plus en détail