L INDUSTRIE MANUFACTURIÈRE EN FRANCE EN 2010

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3 L INDUSTRIE MANUFACTURIÈRE EN FRANCE EN 2010 L industrie manufacturière en France métropolitaine employait 3,68 millions de salariés en Ils ne sont plus que 2,82 millions en La suppression de emplois en moins de 20 ans surestime toutefois le recul de l industrie manufacturière car certaines activités externalisées (maintenance, entretien, sécurité) ne sont plus comptées dans les entreprises industrielles mais dans des sociétés de services. En 2010, la région Ile-de-France et l aire urbaine de Paris ne supplantent pas les autres territoires en termes d emplois industriels comme ce peut être le cas dans d autres secteurs. L industrie y pèse moins de 10% des emplois salariés du secteur privé. L Ile-de-France et le sud du pays, de l Aquitaine à Provence-Alpes-Côte-D'azur, sont les régions où l industrie est proportionnellement la moins présente. 3

4 Carte 1 4

5 Carte 2 5

6 Carte 3 LA DÉSINDUSTRIALISATION PLUS FORTE ET PLUS PRECOCE EN FRANCE QU EN EUROPE DURANT LES ANNÉES 2000 Durant la phase d expansion économique , l emploi industriel 1 a décliné en Europe, notamment dans ses principaux pays, sauf en Italie. La France se distingue par une baisse plus forte. Le déclenchement de la crise en 2008 accentue le recul de l emploi sauf en Allemagne et aux Pays-Bas. Sur l ensemble de la période , la France accuse une baisse de l emploi industriel bien plus marquée qu ailleurs en Europe, à l exception de l Espagne. 1 Dans cette partie consacrée aux comparaisons en Europe, l industrie ne se limite pas à l industrie manufacturière mais inclut le secteur minier. 6

7 LA DÉSINDUSTRIALISATION PLUS FORTE ET PLUS PRÉCOCE EN FRANCE QU EN EUROPE DURANT LES ANNÉES 2000 Durant la phase d expansion économique , l emploi industriel 2 a décliné en Europe, notamment dans ses principaux pays, sauf en Italie. La France se distingue par une baisse plus forte. Le déclenchement de la crise en 2008 accentue le recul de l emploi sauf en Allemagne et aux Pays-Bas. Sur l ensemble de la période , la France accuse une baisse de l emploi industriel bien plus marquée qu ailleurs en Europe, à l exception de l Espagne. 5% Graphique 1 : Croissance de l'emploi dans l'industrie (source : Eurostat) 0% % -10% -15% -20% -25% Allemagne France Italie Espagne Pays-Bas UE (27 pays) 2 Dans cette partie consacrée aux comparaisons en Europe, l industrie ne se limite pas à l industrie manufacturière mais inclut le secteur minier. 7

8 20% 18% 16% Graphique 2 : Part de l'industrie dans l'emploi en 2010 (source : Eurostat) 18,5% 19,3% 15,9% 14% 12% 12,0% 12,9% 10,5% 10% 8% 6% 4% 2% 0% Allemagne France Italie Espagne Pays-Bas UE (27 pays) En 2010, la part de l industrie dans l emploi est nettement plus faible en France qu en Europe. L externalisation de certaines activités a pu connaître une ampleur variable selon les pays. En intégrant les services aux entreprises, même s ils ne sont pas tous destinés aux établissements industriels, l écart de la France avec les principaux pays européens se resserre. Graphique 3 : Part de l'industrie et des services aux entreprises dans l'emploi en 2010 (source : Eurostat) 35% 32,6% 32,0% 30% 26,8% 25,7% 27,8% 28,6% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Allemagne France Italie Espagne Pays-Bas UE (27 pays) 8

9 15% 10% Graphique 4 : Croissance de l'emploi dans l'industrie et les services aux entreprises (source : Eurostat) Allemagne France Italie Espagne Pays-Bas UE (27 pays) 5% 0% % -10% Mais la baisse de l emploi demeure plus importante en France sur l ensemble de la période en raison des pertes d effectifs durant les années

10 LA DÉSINDUSTRIALISATION S ACCENTUE EN FRANCE DANS LA PLUPART DES BRANCHES DURANT LES ANNÉES 2000 Avant le déclenchement de la crise de 2008, la croissance de l emploi a fléchi, et les effectifs se sont réduits dans la plupart des branches. Dans certaines d entre elles, la baisse fut forte dès les années 1990 et elle s est maintenue par la suite. Ce sont les branches à moindre qualification de la main-d œuvre et concurrencées par les pays à faible coût du travail (habillement, cuir et chaussure). Dans celles à plus fort contenu technologique, le repli de l emploi fut plus progressif mais néanmoins très important. L industrie automobile et la fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques sont parmi les plus symptomatiques. De 2003 à 2007, seule la branche des autres transports (aéronautique, ferroviaire et naval) accroît ses effectifs salariés. Après le déclenchement de la crise, elle les stabilise, tout comme les industries alimentaires. Graphique : 5 Croissance de l'emploi salarié par branche de l'industrie manufacturière Réparation de machines 4% Autres industries 2% Meubles 0% -2% Autres matériels de transport -4% Automobiles -6% -8% Machines et équipements -10% Industries alimentaires Boissons Textiles Habillement Cuir chaussure Travail du bois, sauf meubles Papier et carton Equipements électriques Informatique électronique (source : Pôle emploi) Produits métalliques Métallurgie Produits minéraux Chimie Pharmacie Caoutchouc plastique Imprimerie Cokéfaction raffinage 10

11 Graphique 6 : Croissance de l'emploi salarié de 2007 à 2010 (source : Pôle emploi) -8,9% -7,4% -7,5% -2,9% -3,0% -3,0% -3,1% -3,4% -3,7% -3,7% -3,8% -3,9% -3,9% -4,1% -4,9% -5,2% -5,5% -5,8% -6,0% -1,6% -1,8% 0,1% -0,1% Fabrication d'autres matériels de transport Industries alimentaires Industrie pharmaceutique Fabrication de boissons Travail du bois et fabrication d'articles en bois et en liège, sauf meubles Industrie chimique Réparation et installation de machines et d'équipements Cokéfaction et raffinage Fabrication d'équipements électriques Fabrication d'autres produits minéraux non métalliques Autres industries manufacturières Industrie du cuir et de la chaussure Fabrication de produits métalliques, sauf machines et équipements Fabrication de produits en caoutchouc et en plastique Industrie du papier et du carton Métallurgie Fabrication de machines et équipements n.c.a. Fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques Industrie automobile Imprimerie et reproduction d'enregistrements Fabrication de meubles Fabrication de textiles Industrie de l'habillement -10% -8% -6% -4% -2% 0% 2% Durant la période , l emploi industriel ralentit ou diminue alors que le secteur est dans une phase de croissance économique. Pour la majorité des branches, la valeur ajoutée à prix constants progresse. Mais cette croissance est insuffisante pour dynamiser l emploi qui diminue dans la plupart des branches industrielles. S il existe bien une relation linéaire entre ces deux variables économiques comme le montre le graphique n 7 concernant cette période, le lien entre elles est cependant relativement ténu. Quand la croissance de la valeur ajoutée dans une branche est supérieure d un point à celle observée en moyenne dans l industrie manufacturière, la progression de l emploi y est plus soutenue de seulement 0,36 point. Déjà ténu, ce lien s annule sous l effet de la crise survenue en La relation linéaire entre les deux variables disparaît (Graphique n 8). Les écarts entre branches 11

12 de la croissance de la valeur ajoutée ne se répercutent plus, même partiellement, sur l emploi mais presque intégralement sur la productivité du travail (Graphique n 9). Quand la croissance de la valeur ajoutée dans une branche est supérieure de 1 point à la moyenne, ses gains de productivité sont plus élevés de 0,85 point 3. Ainsi les branches en phase de croissance, certes peu nombreuses durant cette période , ne se distinguent guère des branches en récession en termes d emploi. Prudentes, les premières réalisent des gains de productivité plus importants tandis que les secondes les limitent pour préserver l emploi. Graphique 7 : Croissance annuelle de la valeur ajoutée à prix constants et de l'emploi équivalent temps plein par secteur de 2003 à 2007 (source : Insee, comptes nationaux) 2% -2% Emploi Valeur ajoutée 0% -10% -5% 0% 5% 10% 15% -4% -6% -8% y = 0,27x - 0,0291 R² = 0,1822 si on enlève les 3 points aberrants y=0,36x-0,022 R² = 0, % 3 L effet sur l emploi n est pas le solde de 0,15 point, qui inclut aussi la partie non expliquée par la relation estimée. 12

13 Graphique 8 Croissance annuelle de la valeur ajoutée à prix constants et de l'emploi équivalent temps plein par secteur de 2007 à 2011 (source : Insee, comptes nationaux) 1% -1% Emploi Valeur ajoutée 0% -16% -14% -12% -10% -8% -6% -4% -2% 0% 2% 4% 6% y = 0,1878x - 0,0311 R² = 0,1673-2% -3% -4% -5% -6% -7% -8% Graphique 9 Croissance annuelle de la valeur ajoutée à prix constants et de la productivité par secteur de 2007 à 2011 (source : Insee, comptes nationaux) 10% Productivité 8% TIC Métallurgie y = 0,8457x + 0,0324 R² = 0,7849 Textiles 6% Imprimerie 4% Caoutchouc plastique Papier carton Minéraux Meubles Autres Boissons Machines 0% Valeur ajoutée -16% -14% -12% -10% -8% -6% -4% -2% Industrie alimentaire 0% 2% 4% 6% -Habillement Produits métalliques -2% Cuir chaussure Automobile Equipements électriques -4% 2% -6% -8% Chimie Bois Autre matériel de transport Pharmacie Réparation installation Cokéfaction raffinage -10% -12% 13

14 LA DÉSINDUSTRIALISATION S ACCENTUE EN FRANCE DANS PRESQUE TOUS LES TERRITOIRES MAIS À DES RYTHMES DIFFERENTS De la récession de 1993 au ralentissement économique de 2003, bon nombre de régions métropolitaines perdent des emplois salariés industriels (carte n 4). La baisse la plus forte est en Ile-de-France où elle atteint -2,7 %, puis dans les régions du Nord et de l Est de la France (Alsace exceptée). En revanche, l arc Atlantique-Méditerranée qui s étend de la Bretagne à la Provence, bénéficie d une augmentation des effectifs salariés dans l industrie manufacturière. Durant la phase d expansion économique , cet arc complété de Rhône- Alpes continue d enregistrer une évolution de l emploi salarié industriel plus favorable que dans les autres régions. Même s'il s agit néanmoins d une baisse des effectifs. Seule la région Midi-Pyrénées enregistre une progression. Le recul le plus prononcé est observé en Lorraine et en Ile-de-France. Le déclenchement de la crise en 2008 entraîne une baisse de l emploi industriel dans toutes les régions métropolitaines (carte n 6). Elle est particulièrement prononcée dans le nord-est du pays (Picardie, Champagne-Ardenne et Lorraine). Elle est en revanche de moindre ampleur sur l arc Atlantique-Méditerranée. Il s ensuit donc un début de rééquilibrage géographique de l industrie vers cette partie du territoire national, où elle était initialement moins présente (carte n 7). De l Aquitaine à la Provence, la «résistance» de l industrie manufacturière à la crise se manifeste dans toutes les aires urbaines comptant plus de salariés dans ce secteur. Mais en Bretagne et dans les Pays de la Loire, elle préserve moins les aires urbaines de Nantes et de Rennes que celles de taille plus modeste. 14

15 Carte 4 15

16 Carte 5 16

17 Carte 6 17

18 Carte 7 18

19 Carte 8 19

20 Graphique 10 : Evolution annuelle de l'emploi salarié de l'industrie manufacturière par territoire (source : Pôle emploi) 2% 1% 0% -1% -2% -3% -4% -5% -6% -7% La désindustrialisation a davantage affecté les grands pôles urbains (au moins emplois) que les autres territoires (cf. annexe 2 pour la classification de ces territoires). La baisse de l emploi industriel y est plus marquée que dans le périurbain de province, dans les pôles petits et moyens et leurs couronnes, dans les autres communes multipolarisées ou isolées (graphique n 10). De ces grands pôles, le plus touché est celui de Paris. Son territoire périurbain subit aussi un important recul de l emploi industriel depuis A l inverse, les pôles des aires urbaines de plus de habitants sont ceux qui ont le mieux résisté à la désindustrialisation. Toutefois, ces disparités entre territoires disparaissent pour l essentiel depuis Seul le périurbain parisien enregistre une baisse de l emploi industriel nettement plus forte. 20

21 GAINS ET PERTES D ATTRACTIVITÉ DES TERRITOIRES Ces évolutions de l emploi industriel, différentes selon les périodes et les territoires, résultent-elles d effets sectoriels ou géographiques? Un territoire peut pâtir des difficultés d une branche industrielle, qui dépassent le cadre local. Il s agit alors d un effet sectoriel. A l inverse, un territoire peut être le lieu de créations ou de suppressions d emplois dans une branche, qui se démarquent de la tendance observée dans cette même branche au niveau national. C est alors un effet géographique propre au territoire étudié. Ces deux effets peuvent être mesurés et testés au niveau de tous les territoires, puis de chacun d eux (cf. annexe 1 pour la méthode et les résultats détaillés). EFFET SECTORIEL Des estimations réalisées, il ressort que l effet sectoriel est significatif 4 sur le plan statistique, quel que soit le type de territoire étudié (région, aire urbaine, urbain/périurbain) et la période considérée. Dans tous les cas de figure, l évolution de l emploi industriel s écarte de la tendance nationale selon les spécificités sectorielles du territoire. Cette correction est le plus souvent d une ampleur relativement limitée. Il peut toutefois, ponctuellement, se révéler important. Les tableaux ci-après résument les effets sectoriels les plus conséquents, favorables ou non, parmi ceux qui sont significatifs sur le plan statistique. Effet sectoriel par région sur la croissance annuelle de l emploi salarié dans l industrie manufacturière Franche-Comté : 0,33 Midi-Pyrénées : 0,64 Midi-Pyrénées : 0,81 Auvergne : 0,25 Aquitaine : 0,43 Bretagne : 0,79 PACA : 0,29 Aquitaine : 0,60 PACA : 0,42 Languedoc-Roussillon : 0,37 Nord-Pas-de-Calais : -0,30 Rhône-Alpes : -0,33 Franche-Comté : -0,53 Champagne-Ardenne : -0,26 Lorraine : -0,39 Rhône-Alpes : -0,38 4 La probabilité que l effet sectoriel soit significatif, c est-à-dire non nul, est supérieure ou égale à 90%. 21

22 Lecture : durant la période , la région Nord-Pas-de-Calais pâtit d un effet sectoriel qui réduit l évolution de l emploi industriel de 0,30 point de croissance par an tandis que la région Franche-Comté bénéficie d un effet sectoriel de 0,33 point par an. Effet sectoriel par aire urbaine 5 sur la croissance annuelle de l emploi salarié dans l industrie manufacturière Bordeaux : 0,30 Bordeaux : 0,67 Toulouse : 1,66 Marseille Aix : 0,50 Bordeaux : 0,56 Marseille-Aix : 0,41 Lille : -0,52 Lille : -0,95 Grenoble : -1,21 Grenoble : -0,40 Grenoble : -0,47 Nancy : -0,29 Lyon : -0,42 Nancy : -0,33 En revanche, toutes les catégories de pôles urbains et de territoires périurbains ainsi que les autres communes multipolarisées ont un effet sectoriel certes significatif mais faible, inférieur en valeur absolue à 0,30 point de croissance par an. EFFET GÉOGRAPHIQUE A la différence de l effet sectoriel, l effet géographique 6 n est pas systématiquement significatif sur le plan statistique. Durant les trois périodes évoquées, le facteur régional influe globalement sur l évolution de l emploi industriel mais il n en est pas de même dans chacune des régions prises isolément. Les cartes ci-après présentent uniquement les effets géographiques significatifs, qui infléchissent assurément, à la hausse ou à la baisse, l évolution nationale de l emploi industriel et les effets sectoriels locaux. 5 Pour une même période, l effet sectoriel ou géographique d une aire urbaine ne peut pas être comparé à celui d une région. La mesure est relative à un ensemble qui dans le premier cas est le territoire des 25 premières aires urbaines en population et en emploi, et qui dans le second est le territoire métropolitain. 6 L effet géographique sur lequel insiste l étude n est pas synthétisé dans des tableaux mais illustré sur les cartes ci-après. Les résultats précis et détaillés figurent de surcroît en annexe. 22

23 Carte 9 23

24 Carte 10 24

25 Carte 11 25

26 Pour la région Lorraine par exemple, l effet géographique n est pas significatif durant la période mais il le devient lors de la phase ascendante du cycle économique Négatif, il accentue alors de 1,85 point par an la baisse de l emploi industriel dans la région, laquelle ne se réduit pas à un effet sectoriel défavorable. L effet géographique négatif traduit une perte d attractivité industrielle de la Lorraine. Elle perdure dans la phase de crise , à un degré moindre toutefois (-1 point par an). L Ile-de-France et la Picardie sont les deux autres régions également affectées d une perte d attractivité. A l inverse, l arc Atlantique-Méditerranée où l évolution de l emploi industriel est la plus favorable, bénéficie d un gain d attractivité durant la période , à l exception de la région PACA. Toutefois, cet effet géographique s épuise pour certaines de ces régions. Pendant les années , il est seulement significatif en Bretagne, dans les Pays de la Loire, en Rhône-Alpes et surtout en Midi-Pyrénées où il dynamise la croissance de l emploi industriel de 2 points par an. Durant la période de crise, l attractivité industrielle demeure forte en Midi- Pyrénées (1,5 point), et dans les deux régions limitrophes que sont l Aquitaine et le Languedoc-Roussillon. Cette géographie de l attractivité industrielle se retrouve peu ou prou au niveau des principales aires urbaines qui, au nombre de 25, avaient chacune plus de emplois au recensement de

27 Carte 12 27

28 Carte 13 28

29 Carte 14 29

30 Tout d abord, le facteur géographique influe globalement sur l évolution de l emploi industriel des principales aires urbaines durant la période Il est bien significatif sur le plan statistique quand elles sont considérées dans leur ensemble. Mais prises séparément, seulement 14 aires urbaines sur 25 présentent un effet géographique significatif. Paris, Lille et Nancy perdent alors en attractivité industrielle. A l exception de Strasbourg, les aires urbaines gagnant en attractivité sont situées sur l arc Atlantique-Méditerranée et en Rhône-Alpes. Dans celles de Toulouse et de Grenoble, l effet géographique apporte un peu plus de 2 points par an à la croissance des effectifs salariés de l industrie manufacturière. A partir de 2003, le facteur géographique n est plus aussi discriminant. Il n est plus significatif pour les aires urbaines prises dans leur globalité mais il le demeure pour le regroupement des plus importantes d entre elles, qu elles comptent plus de emplois ou plus de habitants. Tandis que Paris continue de perdre en attractivité industrielle, les gains se concentrent autour de Nantes, Lyon, Marseille-Aix et surtout de Toulouse durant les années d expansion , avant de se limiter aux aires urbaines de Toulouse et de Bordeaux pendant la période de crise. 1,0 Graphique 10 : Effet géographique par territoire sur la croissance annuelle de l'emploi salarié de l'industrie manufacturière 0,5 0,0-0,5-1,0-1,5-2,0-2, ,0 30

31 D après l analyse par type de territoire (urbain, périurbain), la taille des pôles urbains et des espaces périurbains correspondants est de nature à modifier l évolution de l emploi industriel, toutes choses égales par ailleurs. Le facteur géographique associé à cette classification du territoire est significatif sur le plan statistique pour les trois périodes étudiées. L analyse confirme notamment la perte d attractivité industrielle de la métropole parisienne mais aussi de son territoire périurbain, tout particulièrement depuis En revanche, les métropoles régionales considérons ici qu il s agit des pôles des aires urbaines comptant de à 10 millions d habitants ont une attractivité croissante jusqu au déclenchement de la crise. Depuis 2008, seuls les pôles des aires urbaines de à habitants sont attractifs en termes d emplois industriels. Leur espace périurbain était le seul territoire de ce type à bénéficier d un effet géographique positif durant la période En résumé, la géographie de l attractivité industrielle épouse assez largement celle de l évolution de l emploi salarié dans ce secteur. Le début de rééquilibrage de la présence industrielle vers l arc Atlantique-Méditerranée au détriment de l Ile-de- France, de la Picardie, de la Lorraine et de l aire urbaine lilloise, ne se réduit pas à une explication sectorielle selon laquelle les branches industrielles en déclin se situeraient au Nord et à l Est quand les plus dynamiques d entre elles seraient concentrées à l Ouest et au Sud. Les gains d attractivité des territoires ont aussi contribué, voire avec plus d intensité, à ces évolutions géographiques. 31

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33 ANNEXE 1 ANALYSE STRUCTURELLE GEOGRAPHIQUE Méthode de l analyse de la variance à deux facteurs Principes Méthode : estimation d une relation économétrique où l évolution de l emploi d un secteur dans un territoire durant une période donnée dépend de variables binaires d appartenance à chacun des territoires et à chacun des secteurs (ou variables indicatrices) de manière à mesurer leurs effets spécifiques respectifs Exemples : 21 variables binaires d appartenance à chacune des régions métropolitaines (sans la Corse où l industrie est très peu présente) 23 secteurs de l industrie manufacturière (hors industrie du tabac absente de nombreuses régions). - Estimation des coefficients associés à chacune des variables binaires d appartenance à partir des observations. - Une observation est le taux de croissance des effectifs salariés d un secteur dans un territoire (région, aire urbaine, etc.). Avantages : L effet géographique ou territorial n est pas obtenu par solde (tout ce qui n est pas expliqué par l effet structurel ou sectoriel) mais mesuré Un test statistique mesure si le facteur géographique et le facteur structurel obtenus sur l ensemble des observations sont significatifs, en d autres termes si la probabilité est très forte que les effets des régions ou des secteurs ne soient pas nuls Les effets géographiques et sectoriels sont calculés pour chaque région et testés : la probabilité est-elle très forte que ces effets ne soient pas nuls? 33

34 Calculs 7 Le taux d évolution de l emploi du secteur j dans le territoire i e ij se décompose ainsi : = a i coefficient associé à la région R i : effet spécifique à la région R i b j coefficient associé au secteur S j : effet spécifique au secteur S j c : constante non associée à une région ou à un secteur ij : résidu de l équation Du fait de la relation linéaire entre la constante et la somme des variables binaires, les coefficients ne sont pas identifiables et ne peuvent être mesurés. Deux relations supplémentaires sont nécessaires : = =0 = =0 E : emploi tous territoires, tous secteurs, à la date initiale E i : emploi du territoire i, tous secteurs, à la date initiale E j : emploi du secteur j, tous territoires, à la date initiale E ij : emploi du secteur j dans le territoire i à la date initiale 7 Cette présentation de la méthode s inspire de celle faite par Carl Gaigné, Virginie Piguet et Bertrand Schmitt (INRA Dijon) dans leur étude «Evolution récente de l emploi industriel dans les territoires ruraux et urbains : une analyse structurelle-géographique sur données françaises», Revue d Economie Régionale et Urbaine, 2005, n 1. Je remercie chaleureusement Virginie Piguet pour toutes les précisions apportées concernant cette méthode. 34

35 p ij : poids du secteur j du territoire i dans l emploi total = Ces deux relations stipulent que la somme pondérée des effets spécifiques aux territoires ou aux secteurs est nulle. La mesure de ces effets n est donc pas absolue mais normée et relative à la couverture géographique et sectorielle qui est retenue. De l ensemble de ces relations, on déduit une nouvelle équation qui peut être estimée avec la méthode économétrique des moindres carrés ordinaires. Les coefficients et b j recherchés sont fonction respectivement des et mesurables et estimés. On teste ensuite si les facteurs géographiques et sectoriels sont significatifs ou non. Test sur la significativité du facteur géographique (test de Fisher) : Hypothèse nulle (non significativité) : = = = = = 0 Test sur la significativité du facteur structurel (test de Fisher) : Hypothèse nulle (non significativité) : = = = = = 0 Enfin, pour un territoire donné (région, aire urbaine, etc.), on calcule les effets géographique et structurel et on teste leur significativité. Effet géographique : Effet structurel : La significativité de ces effets est mesurée à partir du test de Student. 35

36 Données L étude porte sur les effectifs salariés par branche (nomenclature A88) et par commune de Pôle emploi, qui sont disponibles de 1993 à Les régions insulaires ne sont pas prises en compte en raison de leur très faible nombre d emplois industriels et précisément de leur insularité qui peut induire un effet géographique trop spécifique. Dans la nomenclature A88 de l Insee, l industrie manufacturière compte 24 branches. Celle de la fabrication de tabac est exclue de l analyse du fait d effectifs inexistants dans la plupart des territoires. Résultats Les effets sectoriels et géographiques dans les tableaux ci-après ne sont présentés que s ils sont significatifs au seuil de 10 % au moins. * : significatif au seuil de 10 % ** : 5 % *** : 1 % 36

37 REGIONS Effets géographiques par région (gain (+) ou perte (-) d attractivité) sur la croissance annuelle (en %) de l emploi salarié de l industrie manufacturière Ile-de-France -1,82*** -0,89*** -1,52*** Champagne-Ardenne Picardie -0,84*** -1,10** -1,26*** Haute-Normandie Centre Basse-Normandie -1,44*** Bourgogne Nord-Pas-de-Calais Lorraine -1,08*** -1,85*** -0,98* Alsace Franche-Comté -0,68* Pays-de-la-Loire 1,72*** 0,71* Bretagne 0,61** 0,63** 1,03** Poitou-Charentes 0,81*** Aquitaine 0,36*** 1,10** Midi-Pyrénées 0,99*** 1,53** 1,98** 1,47*** Limousin 0,89** Rhône-Alpes 0,77*** 0,55*** 0,96*** Auvergne 0,53* Languedoc-Roussillon 0,58** 0,69** 1,12** Provence-Alpes-Côted Azur Effets sectoriels par région sur la croissance annuelle (en %) de l emploi salarié de l industrie manufacturière Ile-de-France 0,10*** -0,17*** Champagne-Ardenne -0,26*** -0,20*** -0,22*** -0,27*** Picardie 0,04*** Haute-Normandie 0,12*** 0,08*** 0,14*** 0,09*** Centre 0,08*** -0,03*** -0,04*** 37

38 Basse-Normandie 0,07*** Bourgogne -0,07*** -0,08*** -0,09*** -0,17*** Nord-Pas-de-Calais -0,30*** -0,20*** -0,23*** -0,18*** Lorraine -0,11*** -0,22*** -0,17*** -0,39*** Alsace -0,15*** -0,14*** -0,27*** Franche-Comté 0,33*** -0,14** 0,14** -0,53*** Pays-de-la-Loire -0,12*** 0,15*** 0,13*** 0,19*** Bretagne 0,23*** 0,35** 0,20*** 0,79*** Poitou-Charentes -0,21*** -0,02* -0,08*** Aquitaine 0,13*** 0,45*** 0,43*** 0,60*** Midi-Pyrénées 0,52*** 0,64*** 0,81*** Limousin -0,23*** -0,14*** -0,27*** -0,09*** Rhône-Alpes -0,09*** -0,28*** -0,33*** -0,38*** Auvergne 0,25*** 0,08** 0,06* 0,09*** Languedoc-Roussillon -0,23*** 0,11*** -0,05*** 0,37*** Provence-Alpes-Côted Azur 0,10*** 0,35*** 0,29*** 0,42*** AIRES URBAINES Effets géographiques par aire urbaine (gain (+) ou perte (-) d attractivité) sur la croissance annuelle (en %) de l emploi salarié de l industrie manufacturière Paris -1,18*** -0,86*** -1,29*** -0,77** Lyon 0,73*** 0,95*** 1,72*** Marseille Aix 1,52** 1,10** 1,67** Toulouse 2,13*** 2,69** 3,52* 1,75** Lille -0,92*** -1,01** -1,52* Bordeaux 1,07*** 1,55** Nice 1,68*** 1,49*** Nantes 1,60*** 1,73** Strasbourg 0,82** Grenoble 2,04*** Rennes Rouen Toulon Douai Lens Montpellier Avignon 1,40*** 38

39 Saint-Etienne 1,10*** Tours Clermont-Ferrand 1,32*** Nancy -0,78** Orléans Caen Angers Metz Dijon Effets sectoriels par aire urbaine sur la croissance annuelle (en %) de l emploi salarié de l industrie manufacturière Paris 0,08*** 0,02** 0,09*** -0,05*** Lyon -0,14*** -0,33*** -0,42*** -0,34*** Marseille Aix 0,40** 0,50* 0,41*** Toulouse 1,66** Lille -0,52*** -0,59*** -0,95*** -0,26** Bordeaux 0,30* 0,57*** 0,67*** 0,56*** Nice 0,36*** 0,37*** Nantes -0,13* Strasbourg -0,10*** 0,08* 0,22*** Grenoble -0,40*** -0,54*** -0,47* -1,20*** Rennes Rouen -0,25* Toulon Douai Lens Montpellier -0,31** Avignon Saint-Etienne Tours Clermont-Ferrand Nancy -0,29*** -0,15* -0,33** Orléans Caen Angers -0,18*** -0,18** -0,25*** Metz Dijon 0,10** 39

40 TERRITOIRES URBAINS, PERIURBAINS Effets géographiques par territoire (gain (+) ou perte (-) d attractivité) sur la croissance annuelle (en %) de l emploi salarié de l industrie manufacturière Pôle aire parisienne -1,84*** -0,78** -1,59*** Pôle aire Mhab 0,27* 0,46** 0,46* Pôle aire Mhab Pôle aire Mhab 0,83* Pôle aire Mhab Pôle aire < 50 Mhab 0,98*** Périurbain aire parisienne -1,04* -1,68*** -1,04** -2,66*** Périurbain aire Mhab Périurbain aire Mhab 0,59** -0,66* Périurbain aire Mhab 0,71* Périurbain aire Mhab Périurbain aire < 50 Mhab Autre aire 0,74*** Autre commune multipolarisée 0,35* Commune isolée 40

41 Effets sectoriels par territoire sur la croissance annuelle (en %) de l emploi salarié de l industrie manufacturière Pôle aire parisienne 0,12*** -0,06** -0,23*** Pôle aire Mhab 0,06*** -0,06*** 0,08*** 0,06*** Pôle aire Mhab 0,15*** 0,14*** 0,26*** 0,02** Pôle aire Mhab -0,07*** -0,14*** -0,10*** -0,25*** Pôle aire Mhab -0,05*** -0,08*** -0,08*** -0,05*** Pôle aire < 50 Mhab 0,02*** -0,06*** 0,06*** 0,08*** Périurbain aire parisienne 0,10*** 0,18*** Périurbain aire Mhab Périurbain aire Mhab Périurbain aire Mhab -0,13*** -0,08*** -0,18*** 0,18*** 0,07*** -0,08*** 0,19*** 0,21*** 0,28*** Périurbain aire Mhab -0,13*** -0,05*** -0,17*** 0,04** Périurbain aire < 50 Mhab 0,14*** 0,07*** 0,08*** Autres aires -0,16*** -0,06*** -0,14*** 0,05*** Autre commune multipolarisée -0,22*** -0,10*** 0,14*** Commune isolée -0,06*** 0,05** -0,11*** 0,33*** 41

42 ANNEXE 2 CLASSIFICATION DES TERRITOIRES URBAIN / PERIURBAIN Parmi les grands pôles urbains (au moins emplois), l Insee ne fait pas de distinction. Supposant que cette catégorie d espace recouvre vraisemblablement des évolutions d emplois industriels très contrastées selon la taille du pôle, la classification du territoire retenue dans l étude croise deux classifications de l Insee, l une par catégorie de commune dans le zonage en aires urbaines de 2010, l autre par tranche d aire urbaine en 2010 selon le nombre d habitants. Ainsi dans l étude le territoire est subdivisé ainsi : Grands pôles (au moins emplois) - de l aire urbaine de Paris - d une aire urbaine de à 10 millions d habitants - d une aire urbaine de à habitants - d une aire urbaine de à habitants - d une aire urbaine de à habitants - d une aire urbaine de moins de habitants Périurbain des grands pôles : - couronne : communes de l aire urbaine, qui entourent le pôle et sont sous son influence (au moins 40% de leur population résidente ayant un emploi travaille dans le pôle ou dans des communes attirées par celui-ci). - communes «multipolarisées» : sous l influence de plusieurs grands pôles. Le périurbain est ventilé avec les mêmes tranches d aires urbaines par nombre d habitants. Autres aires : pôles petits ou moyens (moins de emplois) et sa couronne. Autres communes multipolarisées : sous l influence de plusieurs pôles petits ou moyens. Communes isolées hors influence des pôles. 42

43 Directeur de la publication : Pascal TATON Rédaction : John BAUDE Mise en page : Valérie DUMESNIL Coordination générale : Priscilla PIERRE Achevé d imprimer : septembre

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