Problème général : Comment expliquer les différences d altitude moyenne entre continents et océans?
|
|
- Agathe Simon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DISTRIBUTION DES TERRES ET DES MERS Observations : Les continents sont essentiellement en relief (altitude moyenne des terres de 840 m - de 0 à 9 km environ) Les océans sont essentiellement en profondeur (profondeur moyenne des océans de 3795 m - de 0 à 11 km environ) Problème général : Comment expliquer les différences d altitude moyenne entre continents et océans?
2
3 Hypothèses Acquis (1 ère S) : Même composition du manteau lithosphérique continental et océanique = péridotite Mais compositions différentes des croûtes : ogranite (+ gneiss) pour CC obasalte + gabbros pour CO BILAN : Les différences d altitude moyenne entre les continents et les océans s expliquent par des différences crustales (concernant la croûte terrestre).
4 Constat de départ La répartition bimodale des altitudes suggère des matériaux différents pour les océans et les continents. Le gabbro (roche magmatique plutonique) et le basalte (roche magmatique volcanique) sont les 2 principales roches de la croûte océanique. Leurs compositions chimique et minéralogique sont identiques car elles sont issues d un même magma. Le gabbro a cristallisé à la suite d un refroidissement lent, en profondeur et a une texture (structure) grenue. Le basalte a cristallisé à la suite d un refroidissement rapide, en surface et a une texture microlithique. Bien que la croûte continentale soit constituée de roches diverses, le granite est une roche représentative de cette enveloppe. C est une roche magmatique plutonique à structure grenue. Le manteau terrestre est constitué de péridotites. Cette enveloppe de la Terre est à l état solide. Source : TS-SVT Éditions BELIN Problème : En quoi la pétrographie de la croûte continentale peut-elle expliquer la différence d altitude entre continents et océans?
5 Géologie TP2 : CARACTÉRISATION PÉTROGRAPHIQUE DE LA LITHOSPHÈRE CONTINENTALE
6 RAPPELS 1 ÈRE S La texture des roches La texture grenue se dit d une roche entièrement cristallisée. Tous les minéraux sont visibles à l œil nu. Ils sont jointifs. La texture microgrenue : petits minéraux + micro-minéraux visibles uniquement au microscope. Ils sont jointifs. La texture microlitique : Minéraux + petits minéraux orientés nommés microlites, noyés dans un verre, pâte amorphe. Identification microscopique d un minéral Critères : la couleur en LPNA, la forme globale, le clivage, l altération, et la teinte de polarisation du minéral en LPA.
7 Identification des minéraux au microscope polarisant
8 RAPPELS 1 ÈRE S
9 Pyroxène Feldspath plagioclase Lame mince de gabbro observée au microscope polarisant en LPA Pyroxène Olivine Verre Feldspath plagioclase Lame mince de basalte observée au microscope polarisant en LPA
10 Après avoir déterminé quelles sont les roches constitutives de la croûte continentale, vous montrerez comment l existence de certaines d entre elles explique que les continents sont en altitude. La CC est composée : De roches sédimentaires (calcaires, grès, argiles ) De roches magmatiques (granites, laves ) De roches métamorphiques (gneiss, micaschistes )
11 Lame mince de granite observée au microscope polarisant en LPA (Lumière Polarisée Analysée) Feldspath plagioclase Mica noir (Biotite) Feldspath potassique (Orthose) Quartz Minéraux jointifs (et visibles à l œil nu) Structure grenue Le granite est une roche magmatique plutonique Cristallisation lente suite à refroidissement lent Cristallisation en profondeur Schéma d interprétation d une lame mince de granite observée au microscope polarisant (LPNA)
12 A l échelle macroscopique comme à l échelle microscopique, on observe : Des minéraux qui semblent aplatis Disposés en lits Distribués de façon non homogène et présentant des orientations préférentielles. Ce n est pas le cas dans un granite qui serait le protolithe (roche initiale avant déformation). Le gneiss est issu du granite et sa déformation, une réponse à l augmentation de la pression et de la température. C est une roche métamorphique
13 Le gneiss contient de la sillimanite, minéral absent dans le granite : l apparition de ce minéral est un indice supplémentaire d une modification de P et/ou de T en lien avec l épaississement de la croûte. Le gneiss est une roche métamorphique qui s est formée à plus de 20 km de profondeur.
14 Dans un diagramme PT des états d une roche (ex déjà connu : celui de la péridotite) on voit que la présence d eau abaisse la température du solidus, c est-à-dire la T de fusion d une roche.
15 L eau apportée par les roches sédimentaires abaisse le solidus du gneiss. Lors de l enfouissement du gneiss les conditions de PT permettent une fusion partielle de celui-ci. La recristallisation de ce magma donnera du granite.
16 Recristallisation du Magma in situ donnant du granite. Gneiss «résiduel» très déformé non fondu : Restite + = Migmatite Les migmatites sont des roches qui se sont formées à environ 30 km de profondeur.
17 EN CONCLUSION Les roches métamorphiques comme le gneiss, trouvées dans les chaînes de montagnes, sont le résultat de transformations à l état solide liées à une augmentation de la pression et de la température d une roche initiale. Certaines roches comme les migmatites témoignent d une fusion partielle liée à cette augmentation de P et de T. C est l enfouissement des roches de surface et l empilement de nappes qui entraîne ces augmentations, d où des conditions favorables à l apparition de ces roches. Elles sont donc des témoins pétrologiques d un épaississement de la croûte continentale. Or, si la croûte continentale est épaissie par rapport à la croûte océanique, la conséquence est une différence d altitude moyenne entre continents et océans : les continents sont en altitude (au-dessus du niveau de la mer) alors que le plancher océanique est en profondeur (au-dessous du niveau de la mer.
18 BILAN : La croûte continentale est principalement formée de roches voisines du granite. Des indices pétrographiques (métamorphisme, traces de fusion partielle) mettent en évidence un épaississement de la croûte continentale par rapport à la croûte océanique.
Thème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailL E BILAN DES ACTIVITÉS
L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,
Plus en détailSéquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1.
Séquence 1 Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale Objectifs Cette séquence permettra de caractériser la croûte continentale du point de vue
Plus en détailPoser un carrelage mural
Thierry Gallauziaux - David Fedullo Poser un carrelage mural Deuxième édition 2012 Groupe Eyrolles, 2012, 978-2-212-13490-2 Poser un carrelage mural Le carrelage est un revêtement de sol ou mural indémodable.
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailPresque tout sur le Quartz
Presque tout sur le Quartz Jacques Deferne Gerbe de quartz imitant des chrysanthèmes, Bombay, Inde (Muséum de Genève) Jacques Deferne, 3 mai 2014 2 La vision que l'oeil enregistre est toujours pauvre et
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détail[24] Le chronomètre lutetium-hafnium. [1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang)
[1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang) [2] La quantité de mouvement et le moment angulaire [3] Calcul de l énergie de liaison des nucléons dans le noyau d un élément [4] Les
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailJOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S
JOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S 16 /01/2013 PROGRAMME DE LA JOURNEE Matinée à l ISTO : 9h-12 h, Accueil par Gaëlle Prouteau Maître de conférences et les IA- IPR, Michel Khairallah et Guy Lévêque Conférence
Plus en détailInterprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)
L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est
Plus en détailManuel. Tome 1 : Fondements. de Mécanique des Roches. par le Comité français de mécanique des roches Coordonné par Françoise Homand et Pierre Duffaut
Manuel de Mécanique des Roches Tome 1 : Fondements par le Comité français de mécanique des roches Coordonné par Françoise Homand et Pierre Duffaut!"#$%" '() +,$" #. /.01). Pierre BÉREST Pierre BÉREST Daniel
Plus en détailSéquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques
Séquence 5 Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Sommaire 1. Le recyclage de la lithosphère océanique 2. Le premier modèle de la tectonique des plaques
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailRallye Mathématiques de liaison 3 ème /2 nde et 3 ème /2 nde pro Epreuve finale Jeudi 21 mai 2015 Durée : 1h45
Rallye Mathématiques de liaison 3 ème /2 nde et 3 ème /2 nde pro Epreuve finale Jeudi 21 mai 2015 Durée : 1h45 Précisions pour les problèmes 1 et 2 : Pour ces problèmes, on attend une narration de recherche
Plus en détailIntroduction. Henri Poincaré
Introduction «On fait la science avec des faits comme une maison avec des pierres, mais une accumulation de faits n est pas plus une science qu un tas de pierres n est une maison.» Henri Poincaré Après
Plus en détailPRESCRIPTIONS D ENTRETIEN
PRESCRIPTIONS D ENTRETIEN Pour le choix des produits d entretien ou de nettoyage il est très important de savoir si la pierre naturelle contient de la calcite (marbre, pierre calcaire) ou si la pierre
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailMesurer les altitudes avec une carte
www.ign.fr > Espace éducatif > Les fiches thématiques > Lecture de la carte Mesurer les altitudes avec une carte Les cartes topographiques ne sont pas uniquement une représentation plane de la surface
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailbrgm Réseau de surveillance quantitative des eaux souterraines en Auvergne. ^ r Bilan 2007 is>--/- : S-. V /" ^*v»^.
-;/.or- I Vi v. 1! -,. W. 1 la l! Réseau de surveillance quantitative des eaux souterraines en Auvergne. ^ r Bilan 2007 is>--/- : S-. V /" ^*v»^., t RaDDort final ;.**'. V, i^ tó //%\ BRGM/RP-56154-FR
Plus en détailVu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;
Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailLa pierre Cette pierre extraite de la carrière n'est qu'un caillou. L'homme, avec ses outils, va la façonner, la modeler, lui donner vie.
La pierre Cette pierre extraite de la carrière n'est qu'un caillou. L'homme, avec ses outils, va la façonner, la modeler, lui donner vie. Carrière souterraine de Thénac exploitée depuis l'antiquité - cr1974
Plus en détailDécrète : Ce règlement est applicable aux zones définies à l'article premier. Fait à Rabat, le 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964). Ahmed Bahnini.
Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d'habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones.( BO n 2739 du 28 Avril 1965)
Plus en détail(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE,
DECRET N 2-64-445 DU 21 CHAABANE 1384 (26 DECEMBRE 1964) DEFINISSANT LES ZONES D HABITAT ECONOMIQUE ET APPROUVANT LE REGLEMENT GENERAL DE CONSTRUCTION APPLIABLE A CES ZONES (B.O. n 2739 du 28-4-1965, page
Plus en détailDocuments sur la patrie tectonique de Madagascar Clé USB avec logiciel Audacity et base de données sismiques en ligne : Sismos à l Ecole
Laboratoire de Sciences de la Vie et de la Terre Mise à l épreuve de l idée d une dérive des continents Première S Au début du XXe siècle, les premières idées évoquant une mobilité horizontale des continents
Plus en détailRÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT
RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT ROLES OF MICROSTRUCTURE AND MINERALOGICAL COMPOSITION OF CLAY
Plus en détailAnnexe 2: Région des Savanes Caractéristiques et bas fonds identifiés
Annexe 2: Région des Savanes Caractéristiques et bas fonds identifiés La mise en valeur des bas fonds en saison des pluies est intense et est l œuvre des femmes qui y pratiquent essentiellement la culture
Plus en détailMEMOIRE DE MAITRISE DES SCIENCES DE L ENVIRONNEMENT (Module 3M86SEM)
Année 2005-2006 UNIVERSITE PAUL-SABATIER TOULOUSE MEMOIRE DE MAITRISE DES SCIENCES DE L ENVIRONNEMENT (Module 3M86SEM) Etude géochimiques des matières en suspensions (MES) des deux affluents principaux
Plus en détailGéodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1
Géodynamique 2014 Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Pré-requis: Bases en cinématique des plaques, géophysique, géologie sédimentaire,
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailPÉTROLOGIE ET METALLOGÉNIE D INDICES DE NI-CU DE LA SUITE PLUTONIQUE DE «DE LA BLACHE», PROVINCE DE GRENVILLE, QUÉBEC
MATHIEU LAPORTE-SAUMURE PÉTROLOGIE ET METALLOGÉNIE D INDICES DE NI-CU DE LA SUITE PLUTONIQUE DE «DE LA BLACHE», PROVINCE DE GRENVILLE, QUÉBEC Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures de l'université
Plus en détailProcessus de rupture dans les roches fragiles : déformations, variations de perméabilité et émission acoustique
Processus de rupture dans les roches fragiles : déformations, variations de perméabilité et émission acoustique Mokhfi Takarli Laboratoire de Génie Civil et Génie Mécanique - INSA de Rennes - 20 Avenue
Plus en détailACADEMIE DE MONTPELLIER UNIVERSITE MONTPELLIER II THESE
ACADEMIE DE MONTPELLIER UNIVERSITE MONTPELLIER II - SCIENCES ET TECHNIQUES DU LANGUEDOC - THESE Présentée à l Université Montpellier II Sciences et Techniques du Languedoc pour obtenir le diplôme de DOCTORAT
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailUTILISATION D'UN RADIOCHRONOMETRE POUR DATER DES GRANITES
Fiche sujet-candidat Les géologues s interrogent sur la chronologie de mise en place de deux granites du Massif Central. On cherche à savoir si une méthode de radiochronologie permettrait de déterminer
Plus en détailActivité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique
1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,
Plus en détailUn volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013.
Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013. 1 Localisation géographique. C est là! 2 Sommaire. 1 Le contexte géologique. 11 Les Canaries, volcanisme
Plus en détailLe gaz de schistes : son exploitation
Le gaz de schistes : son exploitation Résumé de l exploitation du gaz de schiste Après la lecture de cet article, ce schéma synthétique vous apparaîtra très simple et clair. Déjà, il sera plus grand. Le
Plus en détailAtlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre
Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007 Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007
Plus en détailLa Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous
La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de
Plus en détailQue savons-nous de notre planète?
Que savons-nous de notre planète? par Jacques Deferne et Nora Engel Née en même temps que le Soleil de la contraction d'un immense nuage d'hydrogène, d'hélium et de poussière, la Terre est la seule planète
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailVisite de la cité des Sciences et de l industrie.
Nom :. Prénom :. Classe :. Visite de la cité des Sciences et de l industrie. Organisation de la journée. Heure Groupe 1 Groupe 2 Groupe 3 Groupe 4 Groupe 5 Groupe 6 8h30 Départ de la gare Arrivée à la
Plus en détailSTOCKAGE SOUTERRAIN. Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients
STOCKAGE SOUTERRAIN Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients Prestations de service complètes à l échelle européenne Gestion
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailAVEC ARDEX, vous MORTIERS DE JOINTOIEMENT ARDEX
AVEC ARDEX, vous pouvez regarder de pres! MORTIERS DE JOINTOIEMENT ARDEX ARDEX EG 8 Joint hybride Protection longue durée contre les agents agressifs. Nous sommes fiers de vous présenter ARDEX EG 8, le
Plus en détailL océan, un Eldorado pour les ressources du futur?
Les ressources minérales du futur sont-elles au fond des mers? «Il existe au fond des mers des mines de zinc, de fer, d argent, d or, dont l exploitation serait très certainement praticable.» Jules Verne
Plus en détailTechniques et matériaux Bois - Brique - Pierre - Pisé
DOSSIER PÉDAGOGIQUE 2011-2012 Patrimoine 03 Junior Techniques et matériaux Bois - Brique - Pierre - Pisé Techniques et matériaux.indd 1 18/02/15 11:23 Le bois Le savais-tu? L Homme utilise le bois pour
Plus en détailC'est quoi un sol? par Jean Paul Legros. Directeur de Recherche INRA (h), président de l A.F.E.S (2009 2010)
C'est quoi un sol? par Jean Paul Legros Directeur de Recherche INRA (h), président de l A.F.E.S (2009 2010) Ce texte, mis en ligne en avril 201 2, s adresse prioritairement à des personnes sans connaissances
Plus en détailRAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE
Bureau Alpes Contrôles bac.bourg@alpes-controles.fr - RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE REFERENCE: BT120018 indice 0 NOM DU PROCEDE: MODULES PHOTOVOLTAIQUES ASSOCIES EN POSE PORTRAIT OU PAYSAGE:
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détail' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska,
J. Phys. IVFrance 11 (2001) O EDP Sciences, Les Ulis Limites des solutions solides dans le système binaire CdBr2-AgBr A. Wojakowska, A. Gorniak and W. ~awel' Laboratoire d'analyse Thermique, Département
Plus en détailLes moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détailAccessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.*
Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* *Application de l arrêté du 21 mars 2007, de l arrêté du 1er août 2006 et de
Plus en détailAPPLICATION DE LA PROSPECTION ÉLECTRIQUE A L'ÉTUDE DES NIVEAUX D'ALTÉRATION
APPLICATION DE LA PROSPECTION ÉLECTRIQUE A L'ÉTUDE DES NIVEAUX D'ALTÉRATION Yves ALBOUY Section Géophysique du Ce&e 0 RSTOM de M Bow JeanClaude PION Section Géologie du Ceiztse ORSTOM de DakarHum JeanMarie
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailLES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES
CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement
Plus en détailDominique Chapellier & Jean-Luc Mari
PRINCIPE DE BASE Professeurs Dominique Chapellier & Jean-Luc Mari Cours online de géophysique de l Université de Lausanne Principes de base - D. Chapellier Table des matières Chapitre 1 3 LA RESISTIVITE
Plus en détailDictionnaire de la banque de données des Eaux Souterraines (Bd-ES)
i 1 Ministère de I'Economie, des Finances et l'industrie Dictionnaire de la banque de données des Eaux Souterraines (Bd-ES) Etude réalisée dans le cadre des actions de Service public du BRGM 98-B-205 juillet
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL Session 2013 SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE Série S Durée de l épreuve : 3 heures 30 coefficient : 8 ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ L usage de la calculatrice n est pas autorisé. Dès
Plus en détailNotre réseau en France 4. Pierre naturelle d intérieur 5 Sols 6 Murs 24 Plan cuisine sur mesure 30
CATALOGUE 2015 COLLECTION GÉNÉRALE CUPA STONE 3 Notre réseau en France 4 Pierre naturelle d intérieur 5 Sols 6 Murs 24 Plan cuisine sur mesure 30 Pierre naturelle d extérieur 32 Murs et façades STONEPANEL
Plus en détailArmand Kagou Dongmo, Pierre Wandji, André Pouclet, Jean-Paul Vicat, Alain Cheilletz, David Guimolaire Nkouathio, Pavel Alexandrov, Félix M.
Évolution volcanologique du mont Manengouba (Ligne du Cameroun) ; nouvelles données pétrographiques, géochimiques et géochronologiques Volcanological evolution of the mount Manengouba (Cameroon line),
Plus en détailLes Cartes et leur Valeur
RÈGLES CANASTA Règle du Jeu de la Canasta Canasta est le nom d une combinaison de 7 cartes qui donne son nom à cette variante de Rami. Le but du Jeu: Le gagnant est le joueur qui est le premier à atteindre
Plus en détailL EFFET PARALLAXE N EST
50 3 Objets L EFFET PARALLAXE N EST PAS SPÉCIFIQUEMENT UN TRUCAGE D AFTER EFFECTS. C est un principe que vous devriez avoir à l esprit quand vous travaillez en 3D. En raison de la nature de la 3D dans
Plus en détailLa pierre. se met en scène
DOSSIER Pour donner de l authenticité à cette villa provençale, le choix s est porté sur de la pierre de Bourgogne avec un calepinage fait pierre à pierre, à partir de plusieurs lots de matériaux anciens.
Plus en détailDISS. ETH NO. 17198 LINKING SERPENTINIZATION, FLUID FLUXES, MASS TRANSFER AND MICROBIAL ACTIVITY AT LOST CITY: GEOCHEMICALAND ISOTOPIC CONSTRAINTS
DISS. ETH NO. 17198 LINKING SERPENTINIZATION, FLUID FLUXES, MASS TRANSFER AND MICROBIAL ACTIVITY AT LOST CITY: GEOCHEMICALAND ISOTOPIC CONSTRAINTS A dissertation submitted to ETH ZÜRICH for the degree
Plus en détailTutorial pour colorier les cheveux avec Photoshop
Tutorial pour colorier les cheveux avec Photoshop Ce tutorial est issu du site http:// et a été écrit par Camille Le Roux. On part de ça : Pour arriver à ça : 1. Assurez-vous d'avoir assez d'espace blanc
Plus en détailREPUBLIQUE DE LA COTE D IVOIRE ETUDE DE FAISABILITE DES FORAGES MANUELS IDENTIFICATION DES ZONES POTENTIELLEMENT FAVORABLES
REPUBLIQUE DE LA COTE D IVOIRE ETUDE DE FAISABILITE DES FORAGES MANUELS IDENTIFICATION DES ZONES POTENTIELLEMENT FAVORABLES Etude réalisée avec la coordination de la UFR-STRM Laboratoire de Télédétection
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailDéfi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK
Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»
Plus en détailParcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer
Complétez le schéma de gestion des déchets nucléaires en vous aidant du panneau, les surfaces des cercles sont proportionnelles à leur importance Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ
Plus en détailLecture graphique. Table des matières
Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................
Plus en détailFORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE)
FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE) Pierre Chastenay astronome Planétarium de Montréal Source : nia.ecsu.edu/onr/ocean/teampages/rs/daynight.jpg
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailFORD FOCUS 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 17 19 20 21 9 3 1 1 6 4 2 5 7 8 10 23 25
Plus en détailL PRESENTATION GENERALE SCPIO
L PRESENTATION GENERALE SCPIO Nom : DEPARTEMENT PLATEFORME TECHNOLOGIQUE Sigle: CEA / DRT / LETI / DPTS SILICUIM Etablissement : CEA Grenoble Adresse : 7 rue des Martyrs Site Web : 804 GRENOBLE Cedex 9
Plus en détailL Allemagne championne des énergies propres?
L Allemagne championne des énergies propres? La chancelière allemande a tranché, l Allemagne sera la première grande puissance industrielle européenne à sortir du nucléaire. Et ceci rapidement puisque
Plus en détailQUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION?
QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS LE MATCH µm VS 62,5 µm Dans les années 70, les premières fibres optiques de télécommunications avaient un coeur de µm : ces dernières ont été remplacées
Plus en détailAnalyse technique: Sélectionnez les actions sur base de la force relative.
Analyse technique: Sélectionnez les actions sur base de la force relative. Le feuilleton du oui et du non qui a opposé les Démocrates et les Républicains aux USA a été source de volatilité. L indicateur
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailDes molécules hydrophobes dans l eau
Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.
Plus en détailComment les Alpes se sont-elles formées? Jacques Deferne et Nora Engel
Comment les Alpes se sont-elles formées? Jacques Deferne et Nora Engel Jacques Deferne & Nora Engel, 7 mai 2014 2 Avant-propos Ce petit ouvrage sur les événements géologiques qui ont modelé les paysages
Plus en détailUtilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements
Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges
Plus en détailPROFILS DES 13 STARTUPS ITALIENNES
Swiss Italian Innovation Workshop Rencontres BtoB avec les entreprises italiennes du secteur Green Economy et Cleantech Le 15-16 Octobre, 2013, au TecOrbe -Technopôle de l'environnement d'orbe, Vaud PROFILS
Plus en détailIFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0
IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0 La fusion gourmande... ou comment fondre de plaisir! Quitterions-nous le domaine des sciences pour une nouvelle rubrique culinaire? Ce serait, pour le moins,
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailSeconde Sciences Physiques et Chimiques Activité 1.3 1 ère Partie : L Univers Chapitre 1 Correction. Où sommes-nous?
Où sommes-nous? Savoir où nous sommes dans l Univers est une question fondamentale à laquelle les scientifiques de toutes les époques ont apporté des réponses, grâce aux moyens qui étaient les leurs. Pour
Plus en détailUNIVERSITE DU QUEBEC THESE PRÉSENTÉE À L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À CHICOUTIMI COMME EXIGENCE PARTIELLE DU DOCTORAT EN RESSOURCES MINÉRALES
UNIVERSITE DU QUEBEC THESE PRÉSENTÉE À L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À CHICOUTIMI COMME EXIGENCE PARTIELLE DU DOCTORAT EN RESSOURCES MINÉRALES PAR ASSAOULÉ BENJAMIN ALLOU M.Sc. FACTEURS, PARAMÈTRES, DYNAMIQUE
Plus en détailCONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP)
Repère à reporter sur la copie SESSION DE 28 CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP) Section : SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE COMPOSITION
Plus en détail