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1 RECOMMANDATIONS AUX ÉCOLES ET AUX ÉTABLISSEMENTS DE GARDE D ENFANTS CONCERNANT LA PRÉVENTION DE L HÉPATITE B, DE L HÉPATITE C ET DE L INFECTION PAR LE VIRUS DE L IMMUNODÉFICIENCE HUMAINE (VIH) Also available in English Mars 2007

2 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION...1 I. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX...2 A. Description de l infection par le virus de l hépatite B, le virus de l hépatite C et le virus de l immunodéficience humaine (VIH)...2 Infection par le virus de l hépatite B...2 Infection par le virus de l hépatite C...2 Infection par d autres virus d hépatite...2 Infection par le VIH...2 B. Transmission du virus de l'hépatite B, du virus de l hépatite C et du virus de l immunodéficience humaine (VIH)...3 Virus de l hépatite B...3 Virus de l hépatite C...3 Virus de l immunodéficience humaine (VIH)...4 C. Situations sans risque de transmission du virus de l'hépatite B, du virus de l hépatite C ou du VIH...4 II. PRÉVENTION ET CONTRÔLE DE L INFECTION PAR LE VIH ET LES VIRUS DE L HÉPATITE B ET DE L HÉPATITE C EN MILIEU SCOLAIRE...5 A. Pratiques de base...5 B. Morsures...5 C. Lésions ou plaies vives ou qui saignent...5 D. Approche d'un porteur connu...5 E. Immunisation...6 F. Avant l'admission et avant l'embauche...7 G. Confidentialité...7 III. POLITIQUES EXPLICITES DE PRÉCAUTIONS UNIVERSELLES...8 A. Mesures préventives routinières Jouets Brosses à dents et autres articles personnels Procédures médicales Peau éraflée Gants...8

3 6. Méthodes de désinfection Autres méthodes de désinfection...10 B. Réaction aux incidents entraînant des saignements Matériel de premiers soins Procédures de premiers soins Autres enfants ou membres du personnel exposés Nettoyage du sang sur le matériel, sur les jouets et dans l'environnement...12 a) Sang sur les jouets d'intérieur et les surfaces de jeu fermes...12 b) Sang sur les jouets et le matériel de plein air...12 c) Sang dans les bacs à sable, sur les pistes cyclables et autres surfaces au sol...12 d) Sang dans les pataugeoires portatives et les bacs d'eau...12 e) Sang sur les carpettes ou tapis...13 f) Sang sur les planchers, les dessus de table et autres surfaces fermes...13

4 INTRODUCTION Les maladies virales du sang telles que l'hépatite B, l hépatite C et l infection par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) ne sont pas fréquentes chez les enfants et les adolescents de notre collectivité. La présence d'un enfant ou d'un membre du personnel ayant une infection du sang dépistée ou non soulèvera des questions sur le risque d'infection pour les autres. Le présent document porte sur des questions touchant notamment les politiques préalables à l'admission et à l'emploi, l'approche à prendre auprès d'un porteur connu dans une école, l'évaluation des enfants selon le risque, la divulgation des renseignements, les précautions, le rôle de l immunisation, la confidentialité et les mesures de premiers soins. Santé publique Ottawa recommande à toutes les écoles d'adopter ce document à titre de politique. Pour plus d'information, appelez le Programme des maladies transmissibles au , poste

5 I. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX A. Description de l infection par le virus de l'hépatite B, le virus de l hépatite C et le virus de l immunodéficience humaine (VIH). Infection par le virus de l hépatite B L'hépatite B est causée par un virus qui déclenche une infection du foie. Certaines personnes qui contractent l'hépatite B ne sont pas malades. Il arrive, quoique rarement, que la mort survienne par suite de graves dommages au foie. Les jeunes enfants ont moins souvent des symptômes de la maladie que les adultes. De toutes les personnes ayant l'hépatite B, qu elles soient malades ou non, de 5 % à 10 % des adultes et de 70 % à 90 % environ des enfants atteints très jeunes deviennent des porteurs chroniques (personnes qui ont le virus de l'hépatite B). Les porteurs chroniques et les personnes ayant une infection aiguë peuvent transmettre l'hépatite B. L'hépatite B n'est pas une infection fréquente, à cause de la façon dont elle se transmet (voir la partie B). Le vaccin qui protège les gens contre l'hépatite B est efficace à 95 % environ. Infection par le virus de l hépatite C L'hépatite C est causée par un virus qui déclenche une infection du foie. Ce type d infection se propage par contact sanguin direct avec du sang contaminé Il n'y a pas d'immunisation contre l'hépatite C. L hépatite C peut entraîner des infections aiguës et chroniques. Ce type d infection est beaucoup moins commun que l hépatite A ou l hépatite B Infection par le virus de l hépatite A L'hépatite A est causée par un autre virus qui provoque une infection du foie. Ce virus se propage très différemment de celui de l'hépatite B. Le virus de l'hépatite A se retrouve dans les selles des gens atteints et se propage par l'eau et les aliments contaminés ou par contact personnel. L'hépatite A n est pas une infection rare. Cependant, les jeunes enfants ne présentent souvent aucun symptôme. Elle est moins grave que l'hépatite B. Les gens exposés à ce virus peuvent recevoir un vaccin afin de diminuer le risque d'infection. Il est important de bien se laver les mains afin d'empêcher la propagation de cette maladie. Un vaccin est maintenant disponible contre le virus de l hépatite A. Bien se laver les mains est un moyen efficace d empêcher la propagation de cette maladie. Infection par le VIH Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) déclenche le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Le virus endommage et détruit éventuellement le système immunitaire de la personne atteinte, la rendant vulnérable à des infections menaçant la vie, ainsi qu au cancer. 2

6 L infection par le VIH est rare chez les enfants. Il n existe aucun vaccin contre le VIH et aucune façon de guérir le sida. B. Transmission du virus de l'hépatite B, du virus de l hépatite C et du virus de l immunodéficience humaine (VIH) Virus de l hépatite B Le virus de l'hépatite B est présent dans le sang, la salive, le sperme et les sécrétions vaginales d une personne infectée. Il y a transmission lorsque le virus entre dans le système d une personne par un des moyens suivants : Moyens de transmission les plus fréquents : contact sanguin (p. ex. partage des accessoires facilitant la consommation de drogue, d articles à usage personnel contaminés, piqûre accidentelle avec des aiguilles); sperme ou sécrétions vaginales infectées contact sexuel sans protection périnatal d une mère infectée à son enfant durant la grossesse ou l accouchement Moyens de transmission moins fréquents : Sang contaminé, en contact avec la peau éraflée; Sang contaminé, en contact avec les muqueuses (p. ex. yeux, bouche). * Le virus de l'hépatite B est présent dans la salive en quantité infime par rapport au sang. Le risque de transmission par la salive est extrêmement faible. Virus de l hépatite C Le virus de l'hépatite C est présent dans le sang d une personne infectée. Il y a transmission lorsque le virus entre dans le système d une personne par un des moyens suivants : Moyen de transmission fréquent : contact sanguin direct (p. ex., partage d accessoires facilitant la consommation de drogue). Moyens de transmission moins fréquents : contact sanguin lors du partage d articles à usage personnel tels que brosses à dent, rasoirs ou ciseaux ou lorsqu il y a piqûre accidentelle avec des aiguilles; tatouage et perçage effectués dans un milieu non stérile; contact sexuel sans protection; d une mère infectée à son bébé durant la grossesse ou l accouchement. Le sang et les autres produits sanguins destinés aux transfusions sont soumis à des tests 3

7 de dépistage de l hépatite C depuis Le risque de transmission du virus par la transfusion de ces produits est donc très minime. La transmission de l hépatite C en milieu scolaire est improbable, mais possible si le sang d une personne infectée pénètre dans le système d une autre personne par une plaie ou par contact avec les muqueuses. Virus de l immunodéficience humaine (VIH) Le VIH présent dans le sang, le sperme, les sécrétions vaginales et le lait maternel peut être transmis. Le VIH ne se transmet pas par la salive. Il y a transmission lorsque le virus pénètre dans la circulation sanguine d'une autre personne par un des moyens suivants : Piqûres d aiguilles contaminées (p. ex., par le partage d aiguilles); Sang contaminé, en contact avec la peau éraflée; Sang contaminé, en contact avec les muqueuses. L'infection se produit habituellement par voie sexuelle, percutanée, c est-à-dire à travers la peau, (p. ex., partage d aiguilles contaminées, transfusions, blessures de piqûres d'aiguilles au travail) et périnatale (p. ex., de la mère à l'enfant avant et pendant la naissance). La transmission du VIH n'a jamais été documentée en milieu scolaire. Il n'y a eu transmission du VIH aux membres d une même famille qu'en présence d'un des risques énumérés ci-dessus. Le VIH est très fragile à l extérieur de l organisme et n'est pas transmissible au cours des activités normales dans les écoles. C. Situations sans risque de transmission du virus de l'hépatite B, du virus de l hépatite C ou du VIH Il n'y a pas de risque de transmission du virus de l'hépatite B, du virus de l hépatite C ou du VIH lorsqu'on : change les couches; change les vêtements des enfants; aide les enfants à leur hygiène personnelle, lorsqu ils doivent aller à la toilette; mouche le nez des enfants; fait manger les enfants; lave les mains et le visage des enfants. 4

8 II. PRÉVENTION ET CONTRÔLE DE L INFECTION PAR LE VIH ET LES VIRUS DE L HÉPATITE B ET DE L HÉPATITE C EN MILIEU SCOLAIRE A. Pratiques de base Il y a un léger risque de transmission de l'hépatite B en cas d'accident avec blessure qui saigne. L'expression «pratiques de base» est utilisée afin de décrire les procédures particulières à appliquer en tout temps afin d'empêcher la propagation de maladies transmissibles, y compris les infections transmissibles par le sang. Voir la partie III. B. Morsures La prévalence de l hépatite B chez les enfants est très faible. Le risque théorique qu un jeune enfant morde un enfant porteur de l hépatite B ou soit mordu par lui est également très faible. Par conséquent, les recommandations à ce sujet sont désormais les suivantes : Les écoles et EGE n ont plus à signaler les cas de morsures, sauf si on sait que l un des enfants est infecté par l hépatite B, l hépatite C ou le VIH; Les écoles et EGE doivent continuer d aviser immédiatement les parents et les tuteurs lorsqu une morsure transperce la peau; Les écoles et EGE sont invités à remettre une copie de la fiche de renseignements cijointe, intitulée «Quand les enfants mordent», aux parents ou aux tuteurs des enfants qui mordent ou qui ont été mordus; Les écoles et EGE doivent inciter les parents à informer les directeurs d école et d EGE du statut de leur enfant à l égard de l hépatite B, de l hépatite C et du VIH; Les écoles et EGE doivent continuer à communiquer avec le Programme des maladies transmissibles lorsqu ils ont des questions concernant une maladie transmissible ou une morsure. C. Lésions ou plaies vives ou qui saignent Il faut couvrir d'un pansement ou d un vêtement les plaies et les lésions cutanées qui suintent ou qui saignent chez les enfants, les bénévoles et les membres du personnel afin d'éviter que d'autres enfants ou membres du personnel entrent en contact avec le sang. En couvrant les plaies et les lésions cutanées, ceci prévient ces dernières de s infecter par des microorganismes. D. Approche d'un porteur connu Un porteur connu du VIH, du virus de l'hépatite B ou du virus de l'hépatite C peut être un membre du personnel, un enfant ou un bénévole présent dans l'établissement d'enseignement. Le directeur ou la directrice de l'école doit communiquer avec le Programme des maladies transmissibles au , poste afin de déterminer s'il faut prendre des précautions supplémentaires en vue d'empêcher la transmission de ces virus. Il n'est pas nécessaire de prendre des précautions supplémentaires autres que les pratiques de base afin de protéger les membres du personnel, les bénévoles ou les autres 5

9 enfants contre l'infection par le VIH, l hépatite B ou l hépatite C. Cependant, l enfant séropositif risque de contracter des infections des autres enfants, des membres du personnel ou des bénévoles. On encourage les parents à informer le directeur ou la directrice de l'école si leur enfant est séropositif. Si l'enfant séropositif a été exposé à des maladies comme la varicelle, la rougeole ou la tuberculose à l école, le directeur ou la directrice doit informer les parents immédiatement. Si une famille fournit de l'information à l'école sur la séropositivité ou infection par le virus de l hépatite B ou l hépatite C d'un enfant ou d'un membre de la famille, l'information doit rester confidentielle. Voir la section intitulée Confidentialité. Il est important de noter qu il se peut que vous ne soyez pas au courant de tous les porteurs connus de votre école et devez donc considérer tous les enfants comme porteurs potentiels et ainsi appliquer les pratiques de base. E. Immunisation Il existe un vaccin efficace contre l'hépatite B. En Ontario, tous les enfants de 7 e année seront vaccinés dans le cadre du programme provincial en cours. La plupart des gens, y compris les membres du personnel et les élèves, n'ont pas besoin d'être vaccinés, étant donné le faible risque de transmission en milieu scolaire. Santé publique Ottawa recommande toutefois d'administrer le vaccin à tous les adolescents et adolescentes et les jeunes adultes, à cause des risques accrus d'exposition à l'hépatite B liés aux comportements à l'extérieur de l'école. Les enfants de moins de 7 ans issus d une famille immigrante originaire d un pays avec une prévalence élevée d hépatite B devraient être immunisés dès maintenant contre l hépatite B au lieu de recevoir ce vaccin uniquement en 7 e année (à l âge de 12 ans), comme le prévoit Santé publique Ottawa. Cette mesure est recommandée à cause du risque possible de transmission intrafamiliale du virus par un porteur dans la famille. Le Programme d immunisation au , poste déterminera si une famille vient d un pays ayant une prévalence élevée d hépatite B. Veuillez noter que l immunisation contre l hépatite B n est pas obligatoire pour l entrée en milieu de garde d enfants ou à l école, mais devrait être fortement recommandée pour les enfants à risque. Les contacts familiaux et les partenaires sexuels de toute personne infectée par le virus de l hépatite B peuvent aussi être vaccinés gratuitement contre l hépatite B et devraient être encouragés à recevoir le vaccin. F. Avant l'admission et avant l'embauche Le dépistage routinier de l infection par le virus de l hépatite B, le virus de l hépatite C ou le VIH chez les enfants n est pas nécessaire avant l admission à l école. Le dépistage routinier de l infection par le virus de l hépatite B, le virus de l hépatite C ou le VIH chez le personnel de l école ou chez les bénévoles n est pas nécessaire avant l embauche. 6

10 G. Confidentialité Il est primordial de respecter et de protéger la confidentialité de l'information médicale. Cette exigence est une responsabilité non seulement professionnelle et éthique, mais aussi juridique. La divulgation inappropriée d'une maladie transmissible est interdite en vertu de la loi de l'ontario (Loi de 1983 sur la protection et la promotion de la santé, article 38). Lorsqu un directeur ou une directrice possède de l information concernant l'état de santé d'un membre du personnel, d un ou d une bénévole ou d un enfant en ce qui a trait au VIH, à l'hépatite B ou à l hépatite C, celui-ci ou celle-ci doit en assurer la confidentialité. Il est inapproprié de fournir cette information au personnel, aux bénévoles ou aux parents des autres enfants admis, à moins que les parents ou la personne infectée ne consentent à la divulgation des renseignements. Si les parents veulent savoir s il y a un membre du personnel, un bénévole ou un enfant qui est infecté par le virus de l hépatite B, le virus de l hépatite C ou le VIH, il est possible de discuter des politiques et des procédures adoptées par l'école afin de prévenir la transmission de ces virus. Il y a exception à la confidentialité lorsqu une discussion avec les membres du personnel en santé publique pertinents est nécessaire afin d'évaluer l'état de santé d'un enfant. Si un membre du personnel est reconnu séropositif ou porteur du virus de l'hépatite B ou de l hépatite C, le directeur ou la directrice doit protéger cette information et la divulguer uniquement après avoir obtenu le consentement explicite de la personne infectée. 7

11 III. POLITIQUES EXPLICITES DE PRATIQUES DE BASE A. Mesures préventives routinières 1. Jouets Éviter les objets en peluche puisqu ils sont difficiles à nettoyer une fois saturés de salive, de sécrétions nasales ou de sang; Enlever et ranger à l écart tous les jouets qu un enfant s est mis dans la bouche; Désinfecter ces jouets avant de les donner à un autre enfant (consulter la rubrique intitulée Méthodes de désinfection); Désinfecter chaque jour tous les jouets que les enfants se sont mis dans la bouche; Éliminer les jouets fêlés et brisés. 2. Brosses à dents et autres articles personnels Il ne faut pas partager les brosses à dents et les autres articles à usage personnel parce que le sang peut les contaminer; Le personnel doit surveiller les programmes de brossage des dents; Il faut désinfecter les coupe-ongles après chaque utilisation. 3. Procédures médicales Éloigner les enfants des endroits où l'on donne des soins médicaux, comme l'application de pansements, afin de minimiser leur exposition au sang. 4. Peau éraflée Il faut protéger, à l'aide d'un pansement ou des vêtements, la peau éraflée (coupures, écorchures, eczéma) du personnel, des bénévoles et des enfants, afin d'éviter le contact avec le sang ou la salive. 5. L hygiène des mains L hygiène des mains consiste à se laver les mains à l eau et au savon pour une durée de 15 secondes et/ou à les nettoyer à l aide d un désinfectant à base d alcool pour les mains. L hygiène des mains est vastement reconnue comme le meilleur moyen de prévenir la propagation des infections. Le lavage des mains consiste à éliminer la saleté, les matières organiques et les microorganismes qui se trouvent sur les mains en les savonnant vigoureusement, puis en les rinçant à l eau courante tiède. On devrait toujours utiliser du savon liquide pour se laver les mains. La désinfection des mains consiste à utiliser un désinfectant sous forme de produit à frictionner, de gel ou de produit de rinçage contenant 60 % de propanol ou 70 % d éthanol. Les désinfectants pour les mains sont utilisés couramment dans les aires où les lavabos ne sont pas facilement accessibles. 8

12 6. Gants Il faut pratiquer l hygiène des mains : Avant de manger et de préparer des aliments; Après avoir utilisé les toilettes; Après avoir éternué, toussé ou mouché son nez; Chaque fois que les mains ont pu être souillées. Types de gants Les gants de caoutchouc ou tout usage sont des gants réutilisables et à usages multiples. Les gants jetables sont à usage unique. Latex : Gants jetables qui offrent une protection optimale contre la transmission possible de virus présents dans le sang ou dans les liquides organiques. Vinyle : Solution de rechange acceptable aux gants de latex jetables. Renseignez-vous auprès du fabricant pour vous assurer que la qualité de ces gants est comparable à celle des gants de latex jetables. Port de gants Toujours utiliser des gants (tout usage ou jetables) pour nettoyer le sang et les liquides organiques dans le milieu et pour procéder au nettoyage avec la solution désinfectante (p. ex., jouets, planchers, dessus de table, etc.); Utiliser une solution contenant 10 % d eau de Javel (5 % d hypochlorite de sodium) ou 0,5 % de peroxyde d hydrogène accéléré pour désinfecter les gants réutilisables après chaque usage; Désinfecter les gants tout usage après le nettoyage du sang et des liquides organiques, et avant de procéder au nettoyage avec la solution désinfectante; Porter des gants jetables pour nettoyer du sang sur un enfant; Se débarrasser des gants jetables après chaque utilisation; Conserver des gants sur soi en tout temps. 7. Méthodes de désinfection Pour nettoyer le sang et les liquides corporels, il faut d abord laver avec du savon et de l eau chaude et ensuite désinfecter avec une solution contenant 10 % d eau de Javel (5 % d hypochlorite de sodium) ou 0,5 % de peroxyde d hydrogène accéléré. Une concentration de ppm de l un ou de l autre de ces produits sera efficace. Procédure de préparation Préparer une solution désinfectante quotidiennement; Diluer une partie d eau de Javel dans 10 parties d eau (100 ml d eau de Javel dans 1 litre d eau); Apposer sur le contenant une étiquette indiquant le nom et la concentration de la solution, ainsi que la date de préparation (p. ex., Solution désinfectante contenant 10 % d eau de Javel); 9

13 Garder la solution dans un contenant fermé; Ranger la solution en lieu sûr, hors de la portée des enfants; Jeter la solution désinfectante à la fin de la journée. Procédure de désinfection Il est important de nettoyer la surface ou l objet contaminé avec de l eau savonneuse avant de désinfecter avec une solution d eau de Javel à 10 %; Opter pour des serviettes ou des chiffons jetables pour nettoyer le sang et les liquides organiques; Désinfecter la surface ou l objet de l une ou l autre des façons suivantes : Utiliser un flacon pulvérisateur contenant de la solution désinfectante; Se servir d une serviette jetable imbibée de désinfectant; Immerger l objet dans un contenant rempli de solution désinfectante; Laver avec une vadrouille trempée dans une solution désinfectante à 10 %. Pour que le désinfectant agisse, le laisser sur la surface ou l objet pendant au moins dix minutes s il contient de l eau de Javel, ou pendant cinq minutes s il renferme du peroxyde d hydrogène accéléré; Il est nécessaire de rincer la surface ou l objet; Jeter tout le matériel de nettoyage souillé, comme les serviettes de papier, dans un sac en plastique double; Après usage, jeter la solution désinfectante souillée dans le système de drainage. 8. Les vadrouilles Nettoyer les vadrouilles avec de l eau savonneuse; Les désinfecter dans une solution désinfectante à 10 %; Tordre les vadrouilles de manière à en enlever le plus d eau possible; Les suspendre pour les faire sécher; Après usage, jeter la solution utilisée pour désinfecter les vadrouilles dans le système de drainage. N.B. Même s il est conseillé de prendre de l eau de Javel pour la solution désinfectante, d autres substances peuvent être utilisées, telles que les quaternaires. Si vous utilisez un produit substitut, veuillez communiquer avec les membres du personnel de la Division de la protection de la santé et de l'environnement de Santé publique Ottawa, au , poste Vérifiez auprès d eux si le pouvoir de désinfection du produit est suffisant. Quand vous utilisez un produit de remplacement, veuillez suivre les directives fournies par le fabricant. B. Réaction face aux incidents entraînant des saignements Voici des exemples d incidents où le sang coule : Saignement de nez; Saignement à la suite d'une chicane; Saignement à la suite d'une blessure avec un objet pointu ou tranchant; Saignement à la suite d'une coupure et d'une écorchure; Saignement de la peau à la suite d'une morsure. 10

14 1. Matériel de premiers soins Trousse de premiers soins; Solution désinfectante (consulter la rubrique intitulée Méthodes de désinfection); Gants (consulter la rubrique intitulée Gants); Articles de nettoyage (p. ex., essuie-tout et sacs en plastique). 2. Procédures de premiers soins Minimiser le nombre de membres du personnel et d'enfants exposés au sang; Porter des gants, mais NE PAS HÉSITER à administrer les premiers soins même si les gants ne sont pas à portée de la main. Il faut immédiatement prendre soin de l'enfant blessé; Encourager l'enfant, dans la mesure du possible, à se donner lui-même la plus grande partie des soins; Nettoyer l'enfant et contrôler le saignement à l'aide de serviettes jetables (c.-à-d. des essuie-tout); Nettoyer la bouche, le nez ou les yeux avec de l'eau seulement; Nettoyer les coupures ou écorchures à l'eau et au savon. L'application d'un antiseptique est facultative; Laver à l'eau chaude savonneuse toute trace de sang sur la peau des autres; Enlever les vêtements souillés de sang de l'enfant, les déposer dans un sac en plastique double et les remettre aux parents pour le nettoyage; Jeter les gants et les articles de nettoyage souillés de sang dans une poubelle doublée de deux sacs en plastique. 3. Autres enfants ou membres du personnel exposés Communiquer avec le Programme des maladies transmissibles au , poste dans les cas suivants : Un enfant en mord un autre et le fait saigner; Le sang d'une personne se répand sur une lésion cutanée d'une autre personne; Le sang d'une personne touche les muqueuses (c.-à-d. l'intérieur de la bouche, du nez ou des yeux) d'une autre personne. Si on soupçonne une exposition au VIH ou au virus de l hépatite B ou de l hépatite C, communiquer immédiatement avec le Programme des maladies transmissibles de la Ville d Ottawa en vue d un dépistage, et pour connaître les mesures supplémentaires qui doivent être prises. 4. Nettoyage du sang sur le matériel, sur les jouets et dans l'environnement a) Sang sur les jouets d'intérieur et les surfaces de jeu fermes Porter des gants (consulter la rubrique intitulée Gants). Laver à l'aide d'une solution désinfectante les jouets et les surfaces fermes 11

15 souillés de sang (consulter la rubrique intitulée Méthodes de désinfection). Éliminer la solution désinfectante dans le système de drainage. b) Sang sur les jouets et le matériel de plein air p. ex., pelles, seaux, modules de jeu et balançoires Porter des gants (consulter la rubrique intitulée Gants). Un boyau d arrosage peut être utilisé pour éliminer le surplus de sang. Vaporiser une solution désinfectante ou immerger dans la solution (consulter la rubrique intitulée Méthodes de désinfection). Éliminer la solution désinfectante dans le système de drainage. c) Sang dans les bacs à sable, sur les pistes cyclables et sur les autres surfaces au sol À l'aide d'une pelle, enlever la terre ou le sable trempé de sang, et l éliminer loin de l aire de jeu des enfants. Arroser d'eau les surfaces fermes jusqu'à l'élimination des traces visibles de sang. Nettoyer avec de l'eau savonneuse ou une solution désinfectante les surfaces fermes, comme le béton ou la chaussée. d) Sang dans les pataugeoires portatives et les bacs d'eau Éliminer l'eau loin de l'aire de jeu des enfants. Nettoyer l intérieur en y vaporisant ou en y versant une solution désinfectante (consulter la rubrique intitulée Méthodes de désinfection). e) Sang sur les carpettes ou tapis Porter des gants (consulter la rubrique intitulée Gants). Il faut rouler et envoyer au nettoyage, après que le sang a séché, les carpettes qu'on ne peut pas laver à l'eau de Javel dans une machine à laver réglée au cycle à l'eau chaude. Il faut nettoyer au savon et à l'eau et rincer généreusement à l'eau la moquette, ou nettoyer à la vapeur. f) Sang sur les planchers, les dessus de table et autres surfaces fermes Porter des gants (consulter la rubrique intitulée Gants). Suivre les procédures de désinfection (consulter la rubrique intitulée Méthodes de désinfection). Désinfecter les vadrouilles (consulter la rubrique intitulée Méthodes de désinfection). Après usage, éliminer la solution désinfectante dans le système de drainage. 12

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