Comprendre et accompagner les changements de comportement
|
|
- Jean-Pierre Bonneau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Comprendre et accompagner les changements de comportement
2 Décrypter le comportement humain La majorité des politiques mises en place par les gouvernements cherche à faire évoluer les comportements des citoyens. La plupart des objectifs des politiques publiques - notamment en matière d amélioration de la santé (lutte contre le tabagisme, l alcoolisme ), de respect des objectifs environnementaux, de sécurité routière ou d augmentation de l épargne pour les retraites, etc. - ne peuvent être atteints que si les comportements changent de manière durable. La compréhension des processus de changement du comportement humain doit donc se trouver au cœur de l élaboration de politiques publiques efficaces. Il est généralement admis qu il est extrêmement difficile de parvenir à un changement des comportements à l échelle d une population. Pour avoir la moindre chance de parvenir à modifier des comportements complexes, bien ancrés, nous devons comprendre, autant que possible, comment les individus font des choix et prennent des décisions. Fort heureusement, ces trente (et surtout quinze) dernières années, les sciences dites comportementales nous ont beaucoup appris sur le comportement humain : psychologie cognitive et psychologie sociale économie comportementale anthropologie et psychologie évolutionniste neurosciences 2
3 Les avancées les plus récentes 1 dans ces domaines s appuient sur la théorie du double processus selon laquelle le fonctionnement de notre cerveau autrement dit le comportement humain - repose essentiellement sur l interaction entre deux systèmes : 1. Le système automatique ou intuitif dans lequel nous ne connaissons pas (de manière consciente) les raisons qui sous-tendent notre comportement. Le système automatique est perceptuel, intuitif, impulsif. Des données récentes montrent que le processus automatique (dont les impulsions instinctives, les habitudes et certains comportements émotionnels) représenterait une bonne partie de notre comportement au quotidien et qu il constitue donc un élément essentiel à la compréhension globale du comportement humain. 2. Le système réfléchi ou délibéré dans lequel notre comportement est planifié ou logique. Nous sommes pleinement conscients du comportement que nous adoptons et des choix que nous faisons. Le système réfléchi est délibéré et analytique, il mène à un comportement qui reflète nos valeurs et convictions cognitives (ou internes). L achat d une voiture neuve est un bon exemple de comportement guidé par le système réfléchi. Pour la plupart des gens, ce type d achat implique un certain degré de réflexion et de planification et peut reflèter les valeurs et convictions individuelles à l égard des différentes marques de voitures, etc. Au contraire, fermer sa voiture à clef après l avoir garée sur un parking relève généralement de l automatisme : nous ne sommes pas vraiment pleinement conscients de notre acte c est un comportement habituel inconscient. D.Kahneman, psychologue et économiste américain, auteur de Thinking Fast and Slow 2, décrit le système réfléchi comme celui de la pensée lente et le système automatique la pensée rapide. Il évoque à ce titre le soi expérimentant (qu il appelle Système 1) par opposition au soi mémoriel (Système 2). La recherche actuelle s accorde à estimer que la compréhension des deux systèmes est essentielle pour expliquer le comportement humain. Toutefois, jusqu à une époque récente, l élaboration des politiques publiques faisait principalement appel aux influences réfléchies/cognitives (le savoir, les convictions, les valeurs) et sous-estimait l importance des aspects automatiques ou préconscients dans la prise de décisions. C est pourquoi les campagnes publiques en faveur d un changement des comportements étaient essentiellement à caractère informatif. Le postulat étant le suivant : si vous donnez les bonnes informations, les citoyens les traiteront de manière rationnelle, logique et prendront les bonnes décisions. La réalité est évidemment plus complexe : bien souvent, le comportement humain ne fonctionne pas ainsi et les campagnes à caractère informatif seules ne rencontrent pas le succès escompté et ne parviennent pas à générer une évolution durable des comportements. L émergence relativement récente de l économie comportementale a permis de corriger ce déséquilibre. 1 Behaviour Change. Report of Science and Technology Select Committee. Chambre des Lords. Royaume-Uni. Juillet Kahneman, D. (2011) Thinking, fast and slow Allen Lane (publié en France chez Flammarion sous le titre Système 1 / Système 2 : Les deux vitesses de la pensée 3
4 Contribution de l économie comportementale L économie comportementale a été essentielle à la mise en exergue des déterminants contextuels et automatiques du comportement qui est non seulement dicté de l intérieur mais qui est aussi influencé de manière significative par des signaux situationnels et par l environnement physique. En réalité, les principes de la discipline que nous connaissons maintenant sous le terme d économie comportementale ne sont pas nouveaux, puisqu ils sont tirés des recherches sur la prise de décision humaine menées par des psychologues dans les années 1970 et /4. Pour autant, l économie comportementale est un contributeur relativement nouveau à l établissement des politiques publiques, nombre de ses concepts ayant été popularisés à partir de 2008, avec la publication de l ouvrage de Thaler et Sunstein, Nudge 5. Ces deux auteurs, et d autres économistes du comportement, ont, avec beaucoup de succès, ouvert les yeux des décideurs politiques sur les bénéfices potentiels à aller au-delà des campagnes à caractère informatif et adopter des approches plus larges qui agissent sur l environnement dans lequel un individu dessine ses choix. L économie comportementale a influencé l action des décideurs en matière de politiques publiques dans plusieurs pays. Son attrait politique tient au fait qu elle est perçue comme une forme d intervention sociale qui revêt un rôle de facilitateur pour les pouvoirs publics plutôt qu une approche autoritaire ou coercitive caractérisée par le recours à la loi (parfois accompagné par des campagnes publicitaires. L économie comportementale a ainsi apporté deux contributions majeures au débat sur le changement des comportements : la première permettant de mieux comprendre les influences externes et la seconde, les moteurs internes. 1. Reconnaissance du fait que le contexte, l environnement peuvent exercer une influence déterminante sur le comportement humain. L économie comportementale a permis de souligner l importance des signaux situationnels émis par l environnement externe dans le façonnement du comportement humain. Le rôle de ces derniers a été négligé ou sous-estimé dans bien des modèles traditionnels de changement du comportement, centrés sur des facteurs psychologiques internes et sociaux (convictions, motivations, valeurs, normes sociales, etc.). L économie comportementale a démontré que des changements apportés à l environnement extérieur, souvent relativement minimes, pouvaient avoir un effet considérable sur le comportement des individus. Cela a permis d élaborer la notion d architecture du choix qui consiste à reconfigurer l environnement physique de manière à ce qu un individu soit plus enclin à adopter un comportement meilleur pour lui et pour les autres... tout en préservant intégralement sa liberté de choisir un comportement alternatif. Le terme nudging (donner un coup de pouce) développé à cette occasion sert à décrire ce processus. 3 Tversky, A. et Kahneman, D Judgement under uncertainty: Heuristics and biases. Science Kahneman, D. et Tversky, A Prospect Theory: an analysis of decision under risk. Econometrica 47: Thaler, R. et Sunstein C. (2008) Nudge: Improving decisions about health, wealth and happiness. Penguin Books 4
5 2. Le rôle des heuristiques dans la prise de décision humaine. Les heuristiques sont des raccourcis, ou règles empiriques, que les individus utilisent pour faciliter leurs prises de décision et jugements. Très utiles au quotidien, elles peuvent pourtant mener à des biais systématiques. Le poids des heuristiques a été mis en évidence dans les premiers travaux de D. Kahneman et A. Tversky. Ces deux auteurs ont identifié plusieurs heuristiques fréquentes (par exemple l aversion à la perte, la disponibilité, l ancrage) susceptibles d avoir une influence puissante sur les prises de décision, dans des conditions de risque différentes. Ce faisant, ils ont remis en question le principe fondamental de la théorie de l économie rationnelle, selon laquelle les individus prennent toujours des décisions de façon logique et rationnelle. Depuis les premiers travaux de Kahneman et Tversky, de nombreuses recherches (et la découverte de nouvelles heuristiques) continuent de battre en brèche la validité de la perspective économique rationnelle du comportement humain. Cette avancée revêt une importance particulière car, jusqu à tout récemment, la formulation des politiques publiques, pour l essentiel, reposait et se fondait sur la théorie économique traditionnelle. Dans le cadre du modèle du double processus, présenté plus haut, ces deux contributions majeures de l économie comportementale le rôle des signaux situationnels et celui des règles heuristiques appartiennent au système automatique plutôt qu au système réfléchi. L économie comportementale a ainsi mis en lumière combien il importe de comprendre les comportements instinctifs et habituels, souvent dictés de manière préconsciente, et a permis de reconsidérer l importance très grande accordée jusque-là aux comportements planifiés et conscients. 6 Pour une vue d ensemble de la recherche sur les heuristiques communes, voir Samson, A et Wood, O (2010). Behavioural economics: a primer. LSE Enterprise, London School of Economics and Political Science, London, UK 5
6 SYSTEME REFLEXIF EFFICACITÉ COÛTS / BÉNÉFICES LÉGITIMITÉ MORALITÉ CHANGEMENT DE COMPORTEMENT HABITUDES? CONTEXTE A PRIORI SYSTEME AUTOMATIQUE Le modèle TNS Behaviour Change Le modèle des comportements élaboré par TNS (TNS Behaviour Change) est un cadre d analyse simplifié, mais complet qui synthétise les divers facteurs influençant le comportement humain. Ce modèle aux 8 dimensions correspond parfaitement au modèle du double processus du comportement présenté plus haut : les facteurs situés à gauche représentent les influences réfléchies ou conscientes ; les facteurs situés à droite sont davantage susceptibles d opérer au niveau automatique ou subconscient. NORMES 6
7 PSYCHOLOGIE EFFICACITÉ COÛTS / BÉNÉFICES LÉGITIMITÉ MORALITÉ CHANGEMENT DE COMPORTEMENT NORMES HABITUDES? CONTEXTE A PRIORI ECONOMIE COMPORTEMENTALE Ce modèle compte ainsi trois grandes catégories d influences comportementales : A. Facteurs psychologiques (cadre bleu) 1. Coûts et bénéfices perçus résultant de l adoption du comportement désiré. 2. Efficacité perçue résultant de l adoption du comportement désiré. 3. Légitimité perçue de la position des pouvoirs publics (politiques et législation) sur le comportement désiré. B. Facteurs anthropologiques (cadre vert) 1. Moralité ou valeurs morales perçues associées au comportement désiré. 2. Normes sociales et culturelles relatives au comportement désiré. C. Facteurs d économie comportementale (cadre rouge) 1. Habitudes empêchant ou facilitant le comportement désiré. 2. Heuristiques facilitant ou entravant l adoption du comportement désiré. 3. Environnement ou cadre physique les signaux situationnels qui encouragent ou gênent l adoption du comportement désiré. Le schéma de notre modèle présenté ici illustre ces influences à un niveau très général derrière chacune des huit dimensions, se cachent de très nombreux détails sur la façon dont elles sont définies sur le plan opérationnel et peuvent être explicitées, appréhendées et mesurées dans des études qualitatives et quantitatives. ANTHROPOLOGIE 7
8 Système réflexif : côté gauche de notre modèle Moralité / valeurs Coûts et bénéfices Le TNS Behaviour Change Institute a mené une revue complète des modèles psychologiques de changement comportemental. Pour simplifier un paysage complexe, nous avons dégagé cinq dimensions représentatives de la grande majorité des constructions de modèle : 1. Moralité perçue du comportement désiré 2. Coûts et bénéfices perçus résultant de l adoption du comportement désiré 3. Efficacité perçue du comportement désiré 4. Légitimité perçue des politiques et de la législation 5. Normes sociales et culturelles relatives au comportement désiré Le degré d adhésion au comportement que l on cherche à faire adopter, considéré comme étant la meilleure chose à faire sur le plan moral ou selon un ensemble de valeurs personnelles, est un facteur important à mesurer dans certains cas. À l instar des convictions de légitimité, les convictions morales ont une influence sur certains comportements, mais pas sur tous. Les convictions morales sont évaluées via des questions telles que : globalement, pensez-vous que ce comportement est le bon? Est-il en accord ou en désaccord avec vos principes moraux? Fournit-il un bon exemple aux autres? Comprendre les convictions morales permet de trouver la façon la plus efficace de communiquer auprès de la population cible et de l impliquer. Ceux-ci incluent : L ensemble des bénéfices liés à l adoption du comportement désiré (y compris la gravité perçue d une menace que constituerait l adoption d un comportement non désiré) ; L ensemble des coûts liés à l adoption du comportement désiré (y compris ce dont une personne sera privée en ne suivant plus le comportement non désiré). L exploration des coûts et bénéfices permet de comprendre précisément ce qu un individu pense gagner ou perdre en adoptant un comportement, et d entendre comment il l exprime. L exploration de ce thème nous permet d appréhender non seulement la nature des coûts et bénéfices, mais aussi de comprendre à quel point ces évaluations sont enracinées et comment il est possible de les contourner ou les corriger. 8
9 Efficacité Légitimité Normes sociales / culturelles Ce facteur est fondamental pour comprendre si une personne pense qu elle peut changer ou non son comportement actuel et si elle y voit un intérêt. Nous considérons deux types d efficacité : Efficacité de la réponse : les individus ont besoin de croire que les changements de comportement prônés par les campagnes ou politiques publiques permettent réellement d atteindre les résultats annoncés au niveau collectif et individuel (le recyclage des déchets a un réel impact sur la réduction du changement climatique global; perdre du poids réduit effectivement le risque de souffrir de diabète, etc.) ; Auto-efficacité : chacun a aussi besoin de croire qu il est personnellement capable d adopter un comportement donné (entreprendre un programme d exercice physique, arrêter de fumer, etc.). Nous classons également dans cette grande catégorie les convictions relatives aux obstacles et leviers c est-à-dire tout ce qui complique l adoption du comportement désiré ou, au contraire, le facilite. Cette dimension fait référence à la légitimité perçue d une politique ou d une loi en la matière : les citoyens ont-ils le sentiment que l approche des pouvoirs publics sur la question donnée est fondée et juste? Contrairement aux convictions liées aux coûts et bénéfices, à l efficacité et aux normes sociales (voir ci-dessous) qui influencent quasiment tous les comportements la question de la légitimité ne s applique pas à tous les sujets, mais uniquement à ceux susceptibles de concerner l action publique. Les convictions en termes de légitimité se mesurent à l aune de questions telles que : la loi est-elle claire ou ambiguë? Les pénalités sont-elles appliquées de manière équitable et juste? Ce programme de changement de comportements cible-t-il ou discrimine-t-il certains groupes en particulier? Comprendre les convictions en termes de légitimité peut se révéler très important pour certains dossiers par exemple en matière de législation sur la sécurité routière et de sa mise en application ou de prévention de la consommation d alcool et de tabac, etc. Dans bien des cas, les normes sociales, c est-à-dire les opinions des proches et ceux dont les jugements comptent pour soi, sont susceptibles d avoir une incidence déterminante sur la probabilité d adopter de nouveaux comportements ou de changer ses comportements. La mesure de l influence qu exercent les normes sociales et culturelles est cruciale et le profilage de segments de population en fonction des influences sociales dont ils sont l objet permettra de mieux cibler les messages clés d une campagne. Système automatique : Côté droit de notre modèle Les éléments situés à droite de notre schéma représentent les apports de l économie comportementale à la compréhension des facteurs influençant le comportement humain. Comme indiqué précédemment, la compréhension du rôle des habitudes, des biais heuristiques et des signaux situationnels est cruciale dans l élaboration d interventions politiques efficaces et de stratégies de communication appropriées. 9
10 L approche 360 de TNS sur le changement des comportements TNS associe les dernières réflexions de la théorie comportementale et de l économie comportementale pour étayer une approche pragmatique et holistique des études sur le changement des comportements. Cette approche est en phase avec la réalité pour permettre à nos clients de développer et mettre en œuvre des programmes de changement des comportements qui réussissent sur le long terme. Le processus global peut être résumé ainsi : Le processus commence par une phase de recherche et d analyse, à l aide de notre modèle TNS Behaviour Change décrit plus haut. Les enseignements de cette phase permettent de mettre au point une stratégie efficace pour parvenir à un changement de comportement. Cette stratégie est généralement mise en place par une combinaison d actions réglementaires, de communication et d intervention pour modifier le contexte, l environnement. Le modèle ci-dessus restitue notre philosophie générale en termes de modus operandi mais notre approche dans tout projet est toujours personnalisée en fonction de la question, du comportement, du groupe cible concerné. CONTRÔLER CONCEVOIR EDUQUER PERSUADER 10
11 La stratégie pour un programme dédié au changement des comportements Quatre leviers d action opérationnels sont à la disposition des décideurs publics ou privés pour changer le comportement des citoyens : Éduquer : informer, permettre une prise de conscience, déconstruire les idées fausses. Persuader : impliquer, motiver les acteurs à changer leurs croyances et attitudes. Convaincre la population que la question est une priorité (mettre à l agenda social ). Contrôler : mettre en oeuvre les mécanismes de contrôle dont disposent les pouvoirs publics : mesures fiscales (incitations ou pénalités) et non fiscales (législation, réglementation, obligations). Concevoir : agir sur le contexte ou l environnement de manière à amener aux changements désirés et mettre en oeuvre tous les outls de l approche Nudge. Les deux premiers outils l éducation et la persuasion relèvent des interventions ou actions de communication. Les deux autres renvoient aux interventions politiques et à la (re)structuration de l environnement. Bâtir une stratégie efficace nécessite de réfléchir au bénéfice de chaque outil pour créer un équilibre ou mix optimal entre eux, agir avec succès sur les comportements considérés et atteindre les populations cibles. 11
12 A propos de Behaviour Change Modèle d analyse des comportements qui permet une compréhension fine des mécanismes à l oeuvre, qu ils soient d ordre rationnel et réflexif ou émotionnel, intuitif et irrationnel, et dégage des recommandations opérationnelles sur les leviers à activer pour faire évoluer durablement les comportements. Pour plus d information : Contact Si vous souhaitez échanger avec nous sur ce que vous avez lu dans ce livre blanc, n hésitez pas à prendre contact avec nous. Emanuel Rivière Directeur de l unité Stratégies d opinion emmanuel.riviere@tns-sofres.com Emmanuel Rivière est directeur de l unité Stratégies d opinion. Travaillant depuis plus de 20 ans dans les études qualitatives et quantitatives il éclaire les décideurs publics et privés sur leurs enjeux d opinion et d image. A ce titre il est au quotidien en contact avec les entreprises et les institutions publiques (Gouvernement, collectivités locales...) pour répondre à leurs interrogations et besoins en matière de changements de comportements des citoyens consommateurs usagers. Guillaume Caline Directeur d études guillaume.caline@tns-sofres.com Guillaume Caline est responsable du déploiement du modèle Behaviour Change au sein de TNS Sofres. Directeur d études au département Stratégies d opinion, il a mené de nombreuses études, quantitatives et qualitatives, pour les Ministères et institutions publiques sur leurs problématiques de changements de comportements notamment en matière de santé afin de les aider à identifier les bons leviers d action. Laure Salvaing Directrice des pôles Dynamiques d opinion et Management laure.salvaing@tns-sofres.com Laure Salvaing est directrice des pôles Dynamiques d opinion et Management et travaille au quotidien sur des problématiques de compréhension de la société française, de transformation des entreprises et d accompagnement au changement. Depuis 14 ans, elle est en contact permanent avec des décideurs publics et privés sur ces enjeux et combine les méthodes qualitatives et quantitatives pour délivrer de véritables insights. 12
TNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS
Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental
Plus en détailEnjeux - Gestion de patrimoine CFA-Québec 4 février 2015. Denis Preston, CPA, CGA, FRM, Pl. fin.
Enjeux - Gestion de patrimoine CFA-Québec 4 février 2015 Denis Preston, CPA, CGA, FRM, Pl. fin. 2 Enjeux - Gestion de patrimoine 1.La planification financière personnelle 2.Finance personnelle versus finance
Plus en détailLes Français et le handicap visuel
Janvier 015 Enquête TNS Sofres pour la Fédération des Aveugles de France Rapport de résultats 48UA53 Rappel méthodologique Echantillon Enquête réalisée par téléphone auprès d un échantillon de 1005 personnes
Plus en détailLe marché du conseil : tendances et [facteurs déterminants
[ Le marché du conseil : tendances et [facteurs déterminants U N E É T U D E E N F R A N C E E T D A N S L E M O N D E U N E É T U D E E N F R A N C E E T D A N S L E M O N D E sommaire Page 2 3 3 3 4
Plus en détailMÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS
MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente
Plus en détailPartenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t
Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t Une approche interdisciplinaire et intégrative neuropsychologie psychologie neuroanatomie linguistique philosophie SCIENCES COGNITIVES logique/probas neurosciences
Plus en détailIntroduction à l analyse de concept. Cogmaster - Quinzaine de rentrée
Introduction à l analyse de concept Cogmaster - Quinzaine de rentrée L art de la distinction Une partie de la philosophie consiste à faire des distinctions pour éviter que soient confondues des entités
Plus en détailPOLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY
POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler
Plus en détailBenchmark de Prospection Digitale. Meilleures pratiques, efficacité commerciale
Benchmark de Prospection Digitale Meilleures pratiques, efficacité commerciale 1 Comment prospecter efficacement à l ère du digital? La nouvelle dynamique commerciale L acheteur BtoB utilise internet dans
Plus en détailChaque étape est à prendre en considération. Recommandation pour une meilleure approche de l'attribution
Chaque étape est à prendre en considération Recommandation pour une meilleure approche de l'attribution Vue d'ensemble Avec l avènement de la publicité en ligne vint la promesse d une nouvelle ère digitale,
Plus en détailEnseignement au cycle primaire (première partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de
Plus en détailTechniques d accueil clients
Techniques d accueil clients L accueil est une des phases capitales lors d un entretien de vente. On se rend tout à fait compte qu un mauvais accueil du client va automatiquement engendrer un état d esprit
Plus en détailGestion de projets et de portefeuilles pour l entreprise innovante
LIVRE BLANC Novembre 2010 Gestion de projets et de portefeuilles pour l entreprise innovante accélérer le taux de rendement de l innovation James Ramsay Consultant principal, Gouvernance de la zone Europe,
Plus en détailLES BASES DU COACHING SPORTIF
LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE
Plus en détailFAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)
FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST
Plus en détailUNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible!
UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee Arrêter, c est possible! Pour en finir avec la cigarette Un pari difficile L Université de Genève est déclarée territoire
Plus en détailObjectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres
Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la
Plus en détailCadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7
Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7 novembre 2012 Cadre de mieux-être en Le cadre de notre
Plus en détailCatherine Cudicio. La PNL. Communiquer autrement. Groupe Eyrolles, 2003, ISBN 2-7081-3522-8
Catherine Cudicio La PNL Communiquer autrement Groupe Eyrolles, 2003, ISBN 2-7081-3522-8 À lire avant de commencer! Une définition précise de la PNL Le sigle PNL est l abréviation de Programmation Neuro-Linguistique
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détailLigne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available
Plus en détailAPPROCHES AU CHANGEMENT DE COMPORTEMENT
APPROCHES AU CHANGEMENT DE COMPORTEMENT Approches au changement de comportement 1. Poussée, Claque, Accolade et Coup de pouce 2. Marketing social 3. Outils additionnels 2 Poussée, Claque, Accolade et Coup
Plus en détailComment Réussir sa vie par la PNL
1 Comment Réussir sa vie par la PNL Condensé de la conférence de Didier Pénissard 1 Ce compte-rendu à été réalisé par Françoise (membre du club) et au nom du groupe, je la remercie chaleureusement Nous
Plus en détailFinding Faster Growth
Finding Faster Growth Relation client : Il ne sert à rien d être le meilleur partout $$$ 40 50 60 30 70 20 80 10 90 00 De bonnes prestations seules ne suffisent pas pour cracker le code qui détermine la
Plus en détailQU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?
QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de
Plus en détailEst-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49
Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,
Plus en détailPERSPECTIVES. Hedge funds. Approche en matière d ESG
PERSPECTIVES Adoption des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance par les gérants de hedge funds et de private assets : une enquête d Unigestion Avril 2015 Il est de plus en plus admis que
Plus en détailPourquoi disposer d un site Internet mobile n est qu un début
Edition Spéciale 2 Intelligence Applied 1 Avoir un site «responsive design» ou adapté aux mobiles constitue un grand pas en avant. Il ne doit cependant pas être considéré comme le substitut à une véritable
Plus en détailStages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France
Stages de recherche dans les formations d'ingénieur Víctor Gómez Frías École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France victor.gomez-frias@enpc.fr Résumé Les méthodes de l ingénierie ont été généralement
Plus en détailLa planification de la retraite : Peut-on en reparler?
La planification de la retraite : Peut-on en reparler? L Institut Info-Patrimoine offre de l information et propose des stratégies relatives à la planification du patrimoine et aux décisions financières
Plus en détailIntérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe.
Cours 12 Le pouvoir au sein d une organisation Les liens entre pouvoir, autorité et obéissance Le leadership et les traits personnels Les théories du leadership situationnel Pouvoir Capacité d un individu
Plus en détailUtilisation de l automatisation du marketing pour augmenter le retour sur investissement du CRM
LIVRE BLANC Utilisation de l automatisation du marketing pour augmenter le retour sur investissement du CRM Introduction La technologie permet d améliorer de manière significative la productivité du service
Plus en détailConnected World. Débridez la voiture connectée. Opinion Leader. Partagez-le
Connected World Débridez la voiture connectée Si le nombre de bénéficiaires d une technologie définit la vitesse avec laquelle celle-ci sera adoptée alors le développement de la voiture connectée ne peut
Plus en détailTRIBUNE BRAINWAVE GOUVERNANCE ET SéCURITé. Shadow IT, la menace fantôme. Une tendance irréversible mais pas dénuée de risques.
TRIBUNE BRAINWAVE GOUVERNANCE ET SéCURITé Shadow IT, la menace fantôme Une tendance irréversible mais pas dénuée de risques. Par Sébastien Faivre Chief Marketing Officer de Brainwave Shadow IT, la menace
Plus en détailLe choix stratégique des canaux de communication
Le choix stratégique des canaux de communication Une analyse des attitudes des entreprises du domaine Business to Business (B2B) face à différentes combinaisons de médias Introduction La fragmentation
Plus en détailLes Principes et les Bonnes Pratiques Relatifs à la Sensibilisation et l Education Financières
DIRECTORATE FOR FINANCIAL AND ENTERPRISE AFFAIRS Les Principes et les Bonnes Pratiques Relatifs à la Sensibilisation et l Education Financières RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Principes et Bonnes Pratiques
Plus en détailCoaching et Team Building
recherché par les entreprises Ils représentent deux leviers ENTREPRISE Coaching et Team Building des outils de management au service de la personne, des entreprises et des organisations Serge LANTEAUME
Plus en détailPour les principaux résultats de cette étude, découvrez notre résumé. Tous les tableaux et les chiffres se trouvent dans le rapport complet.
Signaux de vente... En 2010, les commerciaux continuent de batailler sur tous les fronts. En suivant cette idée, Krauthammer, avec l'aide du Groupe ESC Clermont, a réalisé trois rapports d étude de «l'état
Plus en détailMarketing social. PPA Mars 2007
Marketing social PPA Mars 2007 Objectifs Survol des principes du marketing social. VOUS en tant que spécialiste du marketing social. Qu est-ce que le marketing social? Le marketing social est «l utilisation
Plus en détailLutter contre la flambée des coûts des régimes d assurance-médicaments
Lutter contre la flambée des coûts des régimes d assurance-médicaments Des solutions de gestion des régimes d assurance-médicaments moins difficiles à avaler pour les employés Un autre Dossier de réflexion
Plus en détailLE MARKETING SOCIAL ET
LE MARKETING SOCIAL ET LA PRÉVENTION DE LA MALTRAITANCE MARIE-HÉLÈNE GAGNÉ 6ème Colloque québécois sur la maltraitance envers les enfants et les adolescents Montréal, 29 octobre 2013 LE FARDEAU DE LA MALTRAITANCE
Plus en détailtransformer en avantage compétitif en temps réel vos données Your business technologists. Powering progress
transformer en temps réel vos données en avantage compétitif Your business technologists. Powering progress Transformer les données en savoir Les données sont au cœur de toute activité, mais seules elles
Plus en détailBaromètre : Le bien être psychologique au travail
Contacts Ifop : Rudy BOURLES/Isabelle MANDERON 6-8, rue Eugène Oudiné 75013 Paris tél 01 45 84 14 44 fax 01 45 85 59 39 Etude 23384 Baromètre : Le bien être psychologique au travail Septembre 2008 vague
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailPourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques?
Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Rencontre professionnelle 4 Ont participé à cet atelier : David ALCAUD,
Plus en détailLIVRE BLANC. Migration de Magento Community Edition MD à Magento Enterprise Edition MD
LIVRE BLANC Migration de Magento Community Edition MD à Magento Enterprise Edition MD INTRODUCTION La plateforme de commerce électronique Magento MD offre aux commerçants une solution complète, souple
Plus en détailMASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS
MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours
Plus en détailLes ressources numériques
Les ressources numériques Les ressources numériques sont diverses et regroupent entre autres, les applications, les bases de données et les infrastructures informatiques. C est un ensemble de ressources
Plus en détailGuide de référence pour l achat de Business Analytics
Guide de référence pour l achat de Business Analytics Comment évaluer une solution de décisionnel pour votre petite ou moyenne entreprise : Quelles sont les questions à se poser et que faut-il rechercher?
Plus en détailETRE OBSEDE PAR LA PSYCHOLOGIE DE L ACHETEUR
ETRE OBSEDE PAR LA PSYCHOLOGIE DE L ACHETEUR Évolution du comportement de l acheteur Ces dix dernières années, la pression concurrentielle et (surtout) l omniscience de Google, a changé radicalement le
Plus en détail2004 2014 : un risque a chassé l autre
2004 2014 : un risque a chassé l autre En 10 ans, le profil des conducteurs français a évolué, leur rapport à la conduite aussi. Pour autant le poids des bons et mauvais conducteurs est resté stable, de
Plus en détailLes stéréotypes sont aussi vieux que l'humanité et reflètent l'idée que nous nous faisons de ceux qui sont différents de nous.
Qu'est-ce qu'un stéréotype? (by Krystyna Szymankiewic) Stéréotype : idée ou image populaire et caricaturale que l'on se fait d'une personne ou d'un groupe, en se basant sur une simplification abusive de
Plus en détailRetenir les meilleurs talents
Adecco Finance Focus Retenir les meilleurs talents Lundi matin, 9 h Vous vous réjouissez de commencer une nouvelle semaine de travail productif. Vous êtes en pleine forme. Alors que vous entamez votre
Plus en détailAtelier Campagne Marketing social
Atelier Campagne Marketing social Vous devez mettre sur pied, au cours de ce bref atelier, une campagne de marketing social. Vous devrez aussi justifier vos activités de communication. Le nom d une organisation
Plus en détailComparaison européenne du social media et de l email Dialogue interactif avec Facebook, Twitter, email & co. (Volet 3 Enquête Décisionnaires
Comparaison européenne du social media et de l email Dialogue interactif avec Facebook, Twitter, email & co. (Volet 3 Enquête Décisionnaires Marketing) Prologue : Contexte et méthodologie Chapitre 1 :
Plus en détailTransformez votre relation au monde!
Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années
Plus en détailComment réussir son projet de Master Data Management?
Comment réussir son projet MDM? Table des matières Comment réussir son projet de Master Data Management?...... 2 Un marché en croissance..... 2 Les démarches qui réussissent... 2 A quels projets métiers
Plus en détailCe que les parents devraient savoir
Renvoi : Ce que les parents devraient savoir Un climat positif à l école et un milieu d apprentissage et d enseignement sécuritaire sont indispensables à la réussite scolaire des élèves. Un climat positif
Plus en détailLe scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit?
Retour au sommaire Le scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit? BIM n 32-01 octobre 2002 Frédéric DE SOUSA-SANTOS Le BIM de cette semaine se propose de vous présenter un ouvrage de Mark Schreiner
Plus en détailMonitorage sur le tabac en Suisse : notoriété, utilisation et acceptation
Hans Krebs Kommunikation und Publikumsforschung Monitorage sur le tabac en Suisse : notoriété, utilisation et acceptation Résultats de l enquête menée sur les organisations partenaires de l Office fédéral
Plus en détailIdentifier et comprendre vos clients
Identifier et comprendre vos clients Questionnaire Allain Lagadic, Stratège marketing senior Juillet 2013 Identifier et comprendre vos clients Le but de ce questionnaire est de vous permettre de créer
Plus en détailFood & Allied GROUP. L éthique au sein du groupe Food & Allied
Food & Allied GROUP L éthique au sein du groupe Food & Allied QUI SOMMES-NOUS? Porté par un élan d entrepreneur et une volonté réelle de contribuer au développement du pays à la hauteur de ses moyens,
Plus en détailLes Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008
Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 1 Sommaire Enquête sur les représentations, les attitudes, les connaissances et les pratiques du sommeil des jeunes adultes en France...3 Les durées
Plus en détailSOLUTIONS DE PLACEMENT
COMPRENDRE VOS BESOINS LA PIERRE ANGULAIRE D UNE GESTION PATRIMONIALE PÉRENNE RÉCONCILIER VOS OBJECTIFS ET VOTRE TOLÉRANCE AUX RISQUES Dans la vie, chaque individu possède une combinaison unique de besoins
Plus en détailalimentation et médias audiovisuels : représentations et consommation en questions
alimentation et médias audiovisuels : représentations et consommation en questions enjeux et présentation exemples historiques production langages représentations publics Pierre-André Léchot web : http://www.arcinfo.ch/videos/les-magazines-de-canal/la-fourchette-verte.html
Plus en détailIntroduction à l infonuagique
Introduction à l infonuagique Lorsque vous stockez vos photos en ligne au lieu d utiliser votre ordinateur domestique, ou que vous utilisez le courriel Web ou un site de réseautage social, vous utilisez
Plus en détailGestion de la Relation Client (GRC)
Techniques de DM pour la GRC dans les banques Page 2 I.1 Introduction La gestion de la relation client est devenue un processus essentiel dans les institutions bancaires. Ils essaient toujours d améliorer
Plus en détailConsultation de la CNIL. Relative au droit à l oubli numérique. Contribution du MEDEF
Consultation de la CNIL Relative au droit à l oubli numérique Contribution du MEDEF 2 Réflexions de la CNIL sur le droit à l oubli numérique Les origines du droit à l oubli numérique Réaffirmée par les
Plus en détailIFT 6261: L Analytique Web. Fares Aldik, Consultant principal, Analytique Web et optimisation Bell Marchés Affaires services d expérience client
IFT 6261: L Analytique Web Fares Aldik, Consultant principal, Analytique Web et optimisation Bell Marchés Affaires services d expérience client 2012 01 04 Analytique Web : une pratique multidisciplinaire
Plus en détailLes français et les jeunes conducteurs
DOSSIER DE PRESSE Paris, 4 mai 2015 www.jeune-conducteur-assur.com Les français et les jeunes conducteurs Révélation de l étude Jeune Conducteur Assur / Ifop Enquête menée auprès d un échantillon de 1000
Plus en détail1. Culture nationale ( motivation intrinsèque enfants US & Chinois)
1. Culture nationale ( motivation intrinsèque enfants US & Chinois) activités centrales pour une organisation atteindre les objectifs maintenir les systèmes organisationnels s adapter à l environnement
Plus en détailCHAPITRE II : QUELQUES ILLUSTRATIONS DE GESTION DU RISQUE ET DE L INCERTITUDE. I. Les marchés financiers et le choix de portefeuille
CHAPITRE II : QUELQUES ILLUSTRATIONS DE GESTION DU RISQUE ET DE L INCERTITUDE Les marchés financiers et les marchés agricoles sont sujets à une certaine volatilité des prix, des crises financières et l
Plus en détailQUELLE VISION ONT LES TPE-PME DE L ECONOMIE CIRCULAIRE?
QUELLE VISION ONT LES TPE-PME DE L ECONOMIE CIRCULAIRE? Découvrez les résultats de l enquête de l observatoire FUSION! L Observatoire FUSION, au service de l économie circulaire Le projet FUSION regroupe
Plus en détailComment toucher les décideurs
Comment toucher les décideurs Étude commanditée par Pitney Bowes sur l évolution du rôle du courrier dans le marketing mix des entreprises du domaine Business to Business (B2B) en Europe et aux États-Unis
Plus en détailVos données sont-elles adaptées à l informatique en nuage?
ÉTUDE TECHNIQUE Vos données sont-elles adaptées à l informatique en nuage? De toutes les questions à se poser avant de migrer vers le nuage, la suivante est la plus pertinente : mes données sont-elles
Plus en détailFocus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"
Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de
Plus en détailPortrait statistique de la population de représentant en épargne collective au Québec
Portrait statistique de la population de représentant en épargne collective au Québec Par Alexandre Moïse 1 Marie Hélène Noiseux 2 1-Alexandre Moïse, B.Gest., M.Sc.A., Chercheur à l'université du Québec
Plus en détailL analyse de la gestion de la clientèle
chapitre 1 - La connaissance du client * Techniques utilisées : observation, recherche documentaire, études de cas, études qualitatives (entretiens de groupes ou individuels, tests projectifs, analyses
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailEfficience des marchés et finance comportementale
Efficience des marchés et finance comportementale Martin Vlcek, Quantitative Investment Manager (BCV) 06.12.2013 Contenu 1. Introduction 2. Théorie de l efficience du marché 3. Finance comportementale
Plus en détailProjet éducatif vacances enfants et adolescents
Projet éducatif vacances enfants et adolescents SOMMAIRE 1- Présentation du mouvement 2- Valeurs et finalités 3- Nos objectifs 4- Nos orientations éducatives 5- L équipe d encadrement 6- Les activités
Plus en détailCOMMENT RECONNAITRE SON STYLE DE MANAGEMENT PREFERENTIEL?
COMMENT RECONNAITRE SON MANAGEMENT PREFERENTIEL? Les différents contextes professionnels et le caractère souvent hétérogène des individualités au sein d une même équipe supposent, pour le dirigeant ou
Plus en détailLe processus du développement économique
DOUGLASS C. NORTH Prix Nobel d économie Le processus du développement économique Présentation de Claude Ménard Traduit de l anglais par Michel Le Séac h, 2005 ISBN : 2-7081-3397-7 13 Où allons-nous? Le
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailCONGRES MONDIAL 2010 PARIS. Thème proposé par le groupe français. L assurance obligatoire Mythes et réalités juridiques et économiques
CONGRES MONDIAL 2010 PARIS Thème proposé par le groupe français L assurance obligatoire Mythes et réalités juridiques et économiques Jérôme Kullmann Président de l AIDA-France Vice-Président de l AIDA
Plus en détailPanorama 2004 du véhicule d entreprise et de la mobilité automobile professionnelle
Avec la collaboration de vous présente Panorama 2004 du véhicule d entreprise et de la mobilité automobile professionnelle 25 mars 2004 1 Contexte 2ème vague du baromètre Observatoire du Véhicule d'entreprise/tns
Plus en détailLA GESTION DE PORTEFEUILLE SPÉCIALISÉE OU DE TYPE BOUTIQUE. Benoit Brillon, CFA Chef des placements et gestionnaire de portefeuille
LA GESTION DE PORTEFEUILLE SPÉCIALISÉE OU DE TYPE BOUTIQUE Benoit Brillon, CFA Chef des placements et gestionnaire de portefeuille 22 mai 2015 SURVOL DE LA PRÉSENTATION Qu est-ce qu une firme de gestion
Plus en détailRegards de Français sur les objets connectés dans le domaine de l assurance
Regards de Français sur les objets connectés dans le domaine de l assurance Sondage Ifop pour AILANCY 4 juin 2015 N 113049 Contacts Ifop : Frédéric Dabi - Directeur Général Adjoint Alexandre Bourgine Chargé
Plus en détailCNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification
Appel à commentaires Missions d examen préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Date limite de réception des commentaires : le 11 avril 2011 CNAC APPEL À COMMENTAIRES MISSIONS D EXAMEN
Plus en détailL expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska
Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Écrit par Jocelyn Théoret, directeur en gestion de l expérience client, Groupe-conseil en stratégie et performance de Raymond Chabot Grant Thornton, en collaboration avec
Plus en détailEVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT INTERMEDIAIRE
OFFICE FEDERAL DES MIGRATIONS (ODM) MESURES D ENCOURAGEMENT DE L INTEGRATION PRISES PAR LA CONFEDERATION : PROGRAMME DES POINTS FORTS 2008-2011 EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT
Plus en détailPOUR. Contact Generix Group : Mike Hadjadj Directeur Marketing & Communication Tél. : 01 77 45 43 41 mhadjadj@generixgroup.com
FM/BS N 110461 Contact Ifop : Frédéric Micheau Département Opinion et Stratégies d'entreprise frederic.micheau@ifop.com 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 Contact Generix
Plus en détailTirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur
La force de l engagement MD ÉTUDE TECHNIQUE Tirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur Les entreprises de commerce
Plus en détailAPPROCHE PHILOSOPHIQUE DE LA CONFIANCE. Ce qu elle est Pourquoi nous en manquons En quoi elle est vitale
APPROCHE PHILOSOPHIQUE DE LA CONFIANCE Ce qu elle est Pourquoi nous en manquons En quoi elle est vitale DES PHILOSOPHES POUR BIEN VIVRE La confiance? La confiance est le sentiment qui me porte à me fier
Plus en détailModulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1
Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...
Plus en détailFrance métropolitaine, juin 2008 SUJET 7. Série ES, France métropolitaine, juin 2008
France métropolitaine, juin 2008 SUJET 7 7 SUJET Dissertation Série ES, France métropolitaine, juin 2008 Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même? LE SUJET COUP de POUCE ANALYSE
Plus en détailSi on parlait de culture
Si on parlait de culture «... les humains ne sont pas seulement eux-mêmes ; ils sont aussi le milieu où ils sont nés, le foyer dans la ville ou la ferme où ils ont appris à faire leurs premiers pas, les
Plus en détailL OUTIL COLLABORATIF AU SERVICE DE
L OUTIL COLLABORATIF AU SERVICE DE LA TRANSFORMATION DES ENTREPRISES De l idée simple de mettre en relation les différents acteurs du progrès est née une plateforme de travail collaboratif proche du métier
Plus en détail