Dette et portrait financier

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Dette et portrait financier"

Transcription

1

2 L ENDETTEMENT L administration municipale a principalement recours à l emprunt à long terme pour financer ses immobilisations. Pour l essentiel, le profil de l endettement est grandement influencé par la réalisation des projets inscrits aux programmes triennaux d immobilisations (PTI) passés et présents. Exceptionnellement, la Ville peut aussi recourir à l emprunt pour financer d autres types de dépenses afférentes à ses champs de compétence. Ce fut le cas notamment pour le dossier du refinancement de la dette actuarielle initiale de l ancienne Ville de Montréal entamé en Ainsi, au 31 décembre 2003, la dette brute émise par la Ville de Montréal atteignait 6,3 milliards de dollars. En excluant la dette émise aux fins du refinancement de la dette actuarielle de quatre régimes de retraite des employés de l ancienne Ville de Montréal, la dette à long terme oscillait autour de 5,4 milliards de dollars. Compte tenu des dépenses d investissement réalisées en 2004, du niveau du Programme triennal d immobilisations et de la stratégie de financement afférente au PTI, la dette devrait atteindre 5,5 milliards de dollars à la fin de 2007, soit en légère hausse par rapport à la dette de 2003 mais en baisse par rapport à la dette constatée au 1 er janvier 2002, lors du regroupement municipal, alors qu elle atteignait 5,9 milliards de dollars. Cette baisse depuis 2002 est principalement attribuable aux fortes échéances annuelles de la dette contractée antérieurement. Les dépenses d immobilisations affectent le niveau d endettement de la Ville. Elles influent également le budget de fonctionnement en ce qui a trait non seulement aux dépenses d exploitation, mais aussi au coût de la dette. Par conséquent, il est important de fixer le niveau des investissements avec le souci constant de contenir l ampleur de la dette obligataire et de restreindre la pression qu exerce le coût de la dette sur le budget de fonctionnement de la Ville. Le tableau de la page suivante permet de mieux saisir l impact de l endettement sur le budget de fonctionnement de la Ville en distinguant le coût brut de la dette du coût net. 1 À cet égard, mentionnons qu une nouvelle entente est intervenue entre le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal relativement au dossier du refinancement de la dette actuarielle initiale. D un commun accord, les parties confirment leur volonté de réduire de façon importante cette dette, sans les inconvénients liés au transfert de propriété de l Île Notre-Dame tel qu il était convenu au contrat de ville. Selon cette nouvelle entente, la Ville de Montréal a réalisé, en 2004, un emprunt obligataire de 240 M$ qui sera à la charge exclusive du gouvernement du Québec. 253

3 Budget de 2005 Au budget de 2005, le coût brut de la dette, soit 860,3 M$, représente 21,6 % de l ensemble des dépenses de fonctionnement. Toutefois, il faut considérer qu une partie importante de ce coût n est pas à la charge des contribuables, puisque la dette est en partie financée par plusieurs programmes de subventions du gouvernement du Québec, ainsi que par les tarifs commerciaux de la Commission des services électriques de Montréal et d Hydro Westmount. De plus, en fonction des montants réservés au fonds d amortissement pour pourvoir au remboursement futur des emprunts, des placements ont permis de générer des revenus d intérêts; ces revenus permettent une réduction du coût que doivent assumer les contribuables. Pour 2005, le coût net atteint 591,1 M$, soit 14,9 % de l ensemble des dépenses de fonctionnement. Il est à noter qu une partie du coût brut de la dette pour 2005, soit 83,1 M$, est attribuable au refinancement de la dette actuarielle initiale de quatre des six régimes de retraite de l ancienne Ville de Montréal, qui atteignait 1 192,2 M$ au 1 er juillet Ce montant remplace les contributions spéciales que la Ville devait verser aux divers régimes de retraite. En excluant les frais financiers associés au refinancement de la dette actuarielle initiale, les frais financiers bruts s élèvent à 777,2 M$, soit 19,5 % de l ensemble des dépenses. Quant au coût net, il atteint 529,1 M$, soit 13,3 % de l ensemble des dépenses. Tableau 63 Coût de la dette de 2005 ( en milliers de dollars) Refinancement Coût total Coût de la dette excluant la total actuarielle dette actuarielle Coût brut de la dette Intérêts et autres frais , , ,1 Remboursement de capital et contributions aux fonds d'amortissement , , , , , ,3 Moins : Revenus de placement des fonds d'amortissement ,5 144, ,1 Subventions à recevoir du gouvernement du Québec , , , , , ,5 Moins : Recouvrement sous la forme de redevances du fonds des conduits souterrains , ,9 Montant à la charge des contribuables , , ,9 Proportion du coût de la dette par rapport à l'ensemble des dépenses de fonctionnement et des autres activités financières Coût brut de la dette 21,6 % 2,1 % 19,5 % Coût net (montant à la charge des contribuables) 14,9 % 1,6 % 13,3 % 254

4 Gestion de la dette Le comité exécutif de Montréal, à titre d administrateur de fonds publics, doit accorder une place prépondérante à la saine gestion financière des affaires de la Ville. L un des éléments importants d une telle gestion concerne évidemment la dette. Il s agit de gérer de telle sorte que l endettement public soit raisonnable, c est-à-dire à la mesure de la capacité de payer des contribuables (coût de la dette nette), tout en offrant des services de qualité aux citoyens et citoyennes. À cet égard, mentionnons que la firme Moody s, en 2003, a revu à la hausse la perspective associée à la cote de crédit de la Ville, celle-ci étant fixée à «A2 positive». Cette cote a été maintenue en Pour sa part, la firme Standard and Poor s a donné la cote de crédit «A+ stable» à la Ville de Montréal pour les années 2003 et Il a déjà été mentionné que la Ville de Montréal a recours à l emprunt pour financer la majeure partie de ses investissements. Or, il est généralement reconnu que les investissements requis sont élevés et qu ils dépassent nettement la capacité de payer des contribuables. Cela implique que la Ville fasse des choix, parce qu elle ne peut pas s endetter outre mesure, bien qu il n y ait pas de limite légale à son niveau d emprunt. La Ville a donc élaboré une stratégie financière qui tient compte notamment de son endettement. C est dans cet esprit qu elle a présenté au budget de 2004 sa politique de gestion de la dette. Rappelons que cette politique vise à : définir les objectifs de la gestion de la dette; rendre plus systématique le processus de prise de décision; assurer la cohérence des décisions en matière d endettement, en introduisant discipline et continuité dans le processus de décision; se doter d un encadrement visant à assurer le maintien, voire l amélioration de la situation financière de Montréal. Par la politique de gestion de la dette, la Ville entend poursuivre les objectifs suivants : gérer de façon responsable et prudente la dette de la Ville, ce qui implique de se donner un cadre formel balisant le recours à l endettement; se donner des pratiques qui permettent de corriger la situation d endettement élevé de la Ville; s assurer un accès stable aux marchés des capitaux et surtout à un coût avantageux; s assurer d une amélioration de la situation financière et ainsi maintenir la cote de crédit de la Ville ou encore, l améliorer si possible. Les pratiques adoptées dans le contexte de la politique de gestion de la dette publique de Montréal sont regroupées sous cinq énoncés généraux. Toute dérogation à cette politique devra faire l objet d une autorisation du conseil municipal. 255

5 Budget de 2005 Plusieurs mesures de la politique de gestion de la dette ont été intégrées au budget de Profitant d une bonne conjoncture qui a permis de refinancer des emprunts à des taux moins élevés et de contributions volontaires dédiées au remboursement accéléré de la dette, la Ville utilisera 11,2 M$ pour réduire la dette municipale. Une première tranche de 2,5 M$ provient des gains liés aux emprunts effectués antérieurement, la seconde tranche de 8,7 M$ sera produite par des contributions volontaires et des économies associées aux emprunts pour Il ne faut pas perdre de vue que le niveau d endettement de la Ville est élevé par rapport aux autres grandes villes nord-américaines. La mise en œuvre de la politique de gestion de la dette devrait permettre d améliorer cette situation et, le cas échéant, d améliorer la cote de crédit de la Ville. La politique de gestion de la dette stipule aussi certaines balises relatives à l endettement et au poids du service de la dette. La prochaine section brosse un portrait financier de la Ville qui permet notamment de faire le point sur la situation de l endettement. 256

6 LE PORTRAIT FINANCIER Depuis sa création, l actuelle Ville de Montréal a adopté un cadre de gestion. Elle a également implanté des politiques et des encadrements de nature financière et budgétaire dans le but d améliorer sa situation financière. Le présent texte démontre que ces outils permettent aux gestionnaires d exercer une saine gestion des fonds publics municipaux. Diminution du poids de la dette directe et indirecte 1 nette par rapport aux revenus La politique de gestion de la dette, annoncée au budget de 2004, a fixé un certain nombre de paramètres afin de guider les actions de la municipalité relativement à sa dette. Un de ces paramètres a pour but de limiter le niveau de la dette directe et indirecte nette à un maximum de 100 % des revenus de la Ville, une fois le refinancement de la dette actuarielle initiale (D.A.I.) exclus. L analyse des données permet de constater que cet indicateur est effectivement inférieur à 100 %. De plus, le poids de la dette directe et indirecte nette diminue progressivement par rapport aux revenus de la Ville, passant de 95 % au 31 décembre 2001 à 90 % en Graphique 15 Dette directe et indirecte nette (excluant la dette actuarielle initiale) en pourcentage des revenus (données en pourcentage au 31 décembre de chacune des années) 100 % Politique de gestion de la dette : ratio maximal de 100 % 80 % 60 % 40 % 95 % 91 % 92 % 90 % 90 % 20 % 0 % La dette indirecte représente la dette des organismes compris dans le périmètre comptable. Ces organismes sont les suivants : Société de transport de Montréal, Société d habitation et de développement de Montréal, Société de développement de Montréal et Anjou

7 Budget de 2005 Une diminution du poids relatif du service de la dette Le graphique suivant présente le coût net du service de la dette 1 par rapport à l ensemble des dépenses. La politique de gestion de la dette fixe le poids relatif du service de la dette à un maximum de 16 % de l ensemble des dépenses de la Ville. En 2001, le service de la dette représentait 16,2 % de l ensemble des dépenses de fonctionnement et des autres activités financières. Au budget de 2005, ce ratio est de 14,9 %, et ce, malgré le fait que le coût du service de la dette prend en compte les frais financiers associés au refinancement de la dette actuarielle initiale (D.A.I.). Graphique 16 Coût net du service de la dette en pourcentage des dépenses de fonctionnement et autres activités financières (données budgétaires en pourcentage) 18 % 16 % 14 % 1,5 % 1,5 % 1,4 % 0,6 % 1,6 % Politique de gestion de la dette : seuil de 16 % 0,6 % 1,6 % 12 % 10 % 8 % 6 % 16,2 % 15,8 % 15,2 % 13,9 % 13,3 % 14,9 % 4 % 2 % 0 % Dette directe nette usuelle Dette directe nette : refinancement (D.A.I.) Solde (D.A.I.) 1 Dans cette section, à moins d avis contraire, la dette totale nette comprend : 1) la dette directe nette usuelle, composée essentiellement des emprunts réalisés afin de financer les dépenses d immobilisations, 2) la dette directe nette découlant de l opération de refinancement de la dette actuarielle initiale des régimes de retraite de l ancienne Ville de Montréal qui ont accepté la proposition de la Ville et 3) la dette actuarielle initiale des deux autres régimes que nous désignons comme le solde de la dette actuarielle initiale. 258

8 Une diminution du recours aux affectations de surplus Le graphique suivant montre le recours aux affectations de surplus à des fins d équilibre budgétaire annuel. Celui-ci est passé de 77,4 M$ en 2001 à 35,3 M$ en La Ville de Montréal s emploie à réduire le recours à l affectation de surplus afin de financer entièrement ses dépenses dans l année où celles-ci sont entreprises. Graphique 17 Affectation des surplus 1 (données budgétaires - en millions de dollars) 100,0 80,0 77,4 75,3 60,0 55,2 40,0 42,3 35,3 20,0 0, Pour 2004 et 2005, une somme annuelle de 15 M$ qui provient de l'ancienne Ville de Montréal est utilisée afin d'atténuer l'impact fiscal de la dette initiale pour les contribuables de l'ancienne Ville de Montréal. 259

9 Budget de 2005 Amélioration du bilan financier en raison du refinancement de la dette actuarielle initiale Au 31 décembre 2001, la dette directe nette de la Ville de Montréal atteignait 3,0 milliards de dollars. L ancienne Ville de Montréal avait aussi une obligation (la dette actuarielle initiale) à l égard de ses régimes de retraite de 1,6 milliard, pour un total de 4,6 milliards. La dette actuarielle initiale avait la particularité d augmenter au fil des ans, jusqu en 2011, puisque les cotisations spéciales prévues aux actes notariés étaient insuffisantes pour payer les intérêts sur cette dette. Ainsi, la dette actuarielle initiale devait atteindre 1,8 milliard de dollars en 2005, ce qui aurait porté la dette directe totale à 4,8 milliards (voir graphique ci-après). La mise en œuvre de la stratégie de refinancement de la dette actuarielle a permis de corriger en grande partie cette situation et d améliorer le bilan financier de la Ville de 402 M$, notamment par : la réduction de 240 M$ de la dette actuarielle initiale à la charge des contribuables de l ancienne Ville de Montréal, grâce au contrat de ville où le gouvernement du Québec prend à sa charge cette composante; le gain de 162 M$ résultant de plusieurs éléments de la stratégie, notamment : - la cristallisation de la dette actuarielle initiale qui a permis d éviter, en bonne partie, la croissance future de cette dette; - les modifications apportées à la structure de remboursement, permettant d amorcer dès 2004 le remboursement de cette dette; - la structure de financement qui profite de la faiblesse des taux d intérêt. Graphique 18 Évolution de la dette directe nette et de la dette actuarielle initiale (D.A.I.) avec et sans la stratégie de refinancement (données au 31 décembre de chacune des années - en millions de dollars) M$ Dette directe nette sans le refinancement de la dette actuarielle initiale (D.A.I.) M$ Dette directe nette avec le refinancement de la dette actuarielle initiale (D.A.I.)

10 Endettement sous contrôle La dette directe nette émise, c est-à-dire qui a fait l objet d emprunts et qui est à la charge des contribuables, atteignait 3,8 milliards de dollars 1 selon les états financiers de Rappelons que depuis 2003, les emprunts réalisés dans le cadre du refinancement de la dette actuarielle initiale (D.A.I.) de certains régimes de retraite de l ancienne Ville de Montréal (868 M$) se sont ajoutés à la dette usuelle de la Ville de Montréal (2 944 M$). Comme l indique le graphique suivant, depuis 2003, la dette directe nette, qui est de l ordre de 3,8 milliards de dollars, affiche une relative stabilité. Graphique 19 Évolution de la dette directe nette et de la dette actuarielle initiale (D.A.I.) (données au 31 décembre de chacune des années - en millions de dollars) M$ , ,2 536,5 548,1 559,0 867,8 861, , , , , , ,1 855, , ,0 Solde (D.A.I.) Dette directe nette : refinancement (D.A.I.) Dette directe nette usuelle Des dépenses d investissement ou d activités financières à financer à long terme ne sont pas considérées dans cette section. Au 31 décembre 2003, ces dépenses étaient de l ordre de 470 M$. Depuis cette date, un financement de plus de 240 M$ a été réalisé pour le refinancement de la dette actuarielle initiale. En vertu de la convention de subvention découlant du contrat de ville, cet emprunt est à la charge exclusive du gouvernement du Québec, de sorte que la dette nette de la Ville n est pas modifiée par ce nouvel emprunt. Le solde des dépenses à financer à long terme se situera autour de 300 M$ à la fin de

11 Budget de 2005 Réduction du poids de la dette directe par rapport à la valeur foncière Le graphique ci-dessous présente l évolution, en pourcentage, de la dette directe nette par rapport à l évaluation imposable équivalente uniformisée. On y observe que le poids de la dette directe nette diminue depuis 2001, et ce, même en tenant compte du refinancement de la dette actuarielle initiale (D.A.I.) de certains régimes. En effet, le poids de la dette directe nette est passé de 3,3 %, en 2001, à 2,6 % en Cette réduction est attribuable à trois facteurs principaux : une dette directe nette, excluant le refinancement, relativement stable sur la période; l appréciation de la valeur des immeubles sur le territoire de la Ville de Montréal; la stratégie de refinancement de la dette actuarielle initiale de Montréal. Graphique 20 Dette directe nette et dette actuarielle initiale en pourcentage de l évaluation imposable équivalente uniformisée (données en pourcentage au 31 décembre de chacune des années) 5 % 4 % 3 % 2 % 1 % 1,8 % 3,3 % 1,7 % 0,5 % 0,8 % 2,8 % 2,8 % 3,6 % 0,5 % 0,7 % 2,4 % 3,1 % 0,4 % 0,6 % 2,0 % 2,6 % 0 % Dette directe nette usuelle Dette directe nette : refinancement (D.A.I.) Solde (D.A.I.) 262

12 Dette directe nette par citoyen relativement stable Le prochain graphique indique que la dette directe nette par citoyen, en excluant le refinancement de la dette actuarielle initiale, a légèrement diminué depuis Elle est passée de $ en 2001 à environ $ en Pour les années 2004 et 2005, cette dette devrait demeurer relativement stable. Par ailleurs, le coût de la dette actuarielle initiale par citoyen est passé de 919 $ en 2002 à près de 760 $ en 2005 qui se partage ainsi : 459 $ en frais de financement et 300 $ en cotisations spéciales. Graphique 21 Dette directe nette et dette actuarielle initiale par citoyen (en dollars au 31 décembre de chacune des années) $ $ $ $ $ $ $ $ 888 $ 919 $ 288 $ 294 $ 300 $ 466 $ 463 $ 459 $ $ $ $ $ $ $ $ 500 $ 0 $ Dette directe nette usuelle Dette directe nette : refinancement (D.A.I.) Solde (D.A.I.) Une hausse de la valeur foncière Le graphique suivant montre l évolution de l assiette montréalaise de l impôt foncier. Comme les revenus des municipalités proviennent essentiellement de l impôt foncier, la valeur foncière imposable est donc un indicateur important. Entre 2001 et 2003, soit au cours du précédent rôle triennal, les valeurs foncières imposables ont augmenté de 3 545,1 M$, passant de ,2 M$ en 2001 à ,2 M$ en Selon les valeurs consignées dans le nouveau rôle, déposé le 13 septembre 2003, les valeurs totales atteignent 129,3 milliards de dollars, soit une croissance de 24,8 % par rapport au précédent rôle d évaluation. En 2005, les valeurs totales du rôle sont en progression et totalisent 131,4 milliards de dollars, dont 111,8 milliards sont imposables. 263

13 Budget de 2005 Graphique 22 Évaluation imposable et non imposable (en millions de dollars) Imposable Non imposable Conclusion Au cours des années 2001 à 2005, plusieurs éléments ont favorablement influencé la situation financière de la Ville de Montréal. Les principaux éléments sont les suivants : le contrôle du niveau d endettement, tout en augmentant les investissements pour maintenir les infrastructures en bon état; le refinancement de la dette actuarielle initiale et l apport financier du gouvernement du Québec découlant du contrat de ville; la conjoncture économique qui a permis de profiter de la faiblesse des taux d intérêt; la croissance significative de l assiette de l impôt foncier, qui découle principalement du dépôt du rôle triennal d évaluation ; l implantation de la politique de gestion de la dette qui permet d accélérer le remboursement de la dette; l utilisation minimum des surplus aux fins de l atteinte de l équilibre budgétaire. 264

La dette. du gouvernement du Québec

La dette. du gouvernement du Québec La dette du gouvernement du Québec La dette du gouvernement du Québec Dépôt légal - Bibliothèque et Archives nationales du Québec Décembre 2007 ISBN 978-2-550-51547-0 (Imprimé) ISBN 978-2-550-51548-7 (PDF)

Plus en détail

6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux

6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux 6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux En 2013, on prévoit que les dépenses de santé des gouvernements provinciaux et territoriaux atteindront 138,3

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du

Plus en détail

RÉSUMÉ DES BAISSES D IMPÔTS ET DES CHANGEMENTS FISCAUX

RÉSUMÉ DES BAISSES D IMPÔTS ET DES CHANGEMENTS FISCAUX PRB 06-40F RÉSUMÉ DES BAISSES D IMPÔTS ET DES CHANGEMENTS FISCAUX FÉDÉRAUX INTRODUITS ENTRE 1998 ET 2005 Alexandre Laurin Alexandre Martin Division de l économie Le 28 août 2006 PARLIAMENTARY INFORMATION

Plus en détail

PETRO-CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS

PETRO-CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS PETRO-CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS LE 31 MARS, 2009 PETRO-CANADA - 2 - RÉSULTATS CONSOLIDÉS (non vérifié) Pour les périodes terminées le 31 mars (en millions de dollars canadiens, sauf les montants

Plus en détail

Demande R-3549-2004 RÉGIME DE RETRAITE. Original : 2004-09-27 HQT-7, Document 2.1 Page 1 de 7

Demande R-3549-2004 RÉGIME DE RETRAITE. Original : 2004-09-27 HQT-7, Document 2.1 Page 1 de 7 RÉGIME DE RETRAITE Page de 0 0 Le Régime de retraite d Hydro-Québec est un régime de retraite contributif à prestations déterminées, de type fin de carrière. Ce régime est enregistré auprès de la Régie

Plus en détail

Caractéristiques et Règlement du Régime

Caractéristiques et Règlement du Régime Caractéristiques et Règlement du Régime En tout temps, les dispositions du Régime ainsi que celles de la Loi ont préséance sur toute information contenue dans le présent document. Il vous est possible

Plus en détail

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires

Plus en détail

Situation financière des ménages au Québec et en Ontario

Situation financière des ménages au Québec et en Ontario avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur

Plus en détail

Résultats semestriels 2014

Résultats semestriels 2014 COMMUNIQUE DE PRESSE 30 JUILLET 2014 Résultats semestriels 2014 PARIS, le 30 JUILLET 2014 - Le Directoire de Foncière de Paris s est réuni le 30 juillet 2014 et a arrêté les comptes semestriels de la société

Plus en détail

Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart

Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales

Plus en détail

I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT

I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT Communication de M. Philippe Marini Rapporteur général I. LES DERNIERES DONNEES SUR LES DELOCALISATIONS

Plus en détail

La retraite. n est pas un privilège! Avant-propos. Qu est-ce que le RREGOP? En savoir plus sur le RREGOP pour mettre fin aux malentendus

La retraite. n est pas un privilège! Avant-propos. Qu est-ce que le RREGOP? En savoir plus sur le RREGOP pour mettre fin aux malentendus En savoir plus sur le RREGOP pour mettre fin aux malentendus La retraite n est pas un privilège! Fascicule 1 Avantpropos Depuis plusieurs mois déjà, de grands médias tirent à boulets rouges sur les régimes

Plus en détail

Les prêts hypothécaires. Habiter chez soi. www.bcn.ch

Les prêts hypothécaires. Habiter chez soi. www.bcn.ch Les prêts hypothécaires Habiter chez soi www.bcn.ch Les financements hypothécaires Vu la valeur généralement élevée des biens immobiliers, il est usuel de faire appel à une banque, afin de participer au

Plus en détail

L ASSURANCE PRÊT HYPOTHÉCAIRE POUR FACILITER LA PRODUCTION D ENSEMBLES DE LOGEMENTS LOCATIFS À COÛT ABORDABLE

L ASSURANCE PRÊT HYPOTHÉCAIRE POUR FACILITER LA PRODUCTION D ENSEMBLES DE LOGEMENTS LOCATIFS À COÛT ABORDABLE L ASSURANCE PRÊT HYPOTHÉCAIRE POUR FACILITER LA PRODUCTION D ENSEMBLES DE LOGEMENTS LOCATIFS À COÛT ABORDABLE Ligne de conduite de la SCHL en matière d assurance prêt hypothécaire pour les ensembles de

Plus en détail

DCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER

DCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER DCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires

Plus en détail

Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite

Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le 19 avril 2013 Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le comité d experts a été formé vers la fin de 2011, et on lui a donné le mandat de formuler des

Plus en détail

049-2009 OUVERTURE DE LA SÉANCE ET CONSTAT DU QUORUM ADOPTÉ

049-2009 OUVERTURE DE LA SÉANCE ET CONSTAT DU QUORUM ADOPTÉ PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE CRABTREE Procès-verbal de la séance extraordinaire du Conseil de la municipalité de Crabtree, pour, tenue le 10 février au lieu ordinaire des séances de ce Conseil, au

Plus en détail

CPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France

CPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France CPOM 2013-2018 Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France FICHE D AIDE AU DIAGNOSTIC ET A LA NEGOCIATION Annexe 2 Moyens Volet 3

Plus en détail

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses

Plus en détail

RESULTATS ANNUELS 2013. IMMOBEL annonce un résultat en léger bénéfice, malgré le report début 2014 de la vente du projet Belair 1

RESULTATS ANNUELS 2013. IMMOBEL annonce un résultat en léger bénéfice, malgré le report début 2014 de la vente du projet Belair 1 Bruxelles, 27 mars 2014 17h40 Information réglementée COMMUNIQUÉ DE PRESSE RESULTATS ANNUELS 2013 IMMOBEL annonce un résultat en léger bénéfice, malgré le report début 2014 de la vente du projet Belair

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

C e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications

C e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications Paris, le 14 février 2014 8h Information réglementée C e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications Indicateurs clés : Loyers IFRS à 43,3 M (+12,1%)

Plus en détail

FONDS DE L AVENIR DE LA SANB INC. RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE

FONDS DE L AVENIR DE LA SANB INC. RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE FONDS DE L AVENIR DE LA SANB INC. RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE PLACEMENT ET DE GESTION Adopté le 26 septembre 2009 1 RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE PLACEMENT

Plus en détail

Le 15 décembre 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ FINANCIÈRE ET LA SUIVEZ RETRAITESAI SUR. Numéro 14-22

Le 15 décembre 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ FINANCIÈRE ET LA SUIVEZ RETRAITESAI SUR. Numéro 14-22 SOMMAIRE Restructuration obligatoire pour tous les régimes Processus de restructuration Autres dispositions Tableau des principaux amendements depuis le 12 juin 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

Prêts hypothécaires. Des financements sur mesure

Prêts hypothécaires. Des financements sur mesure Prêts hypothécaires Des financements sur mesure Vous projetez d acheter un logement? Si vous rêvez de devenir propriétaire, vous allez commencer par rechercher le bien immobilier approprié. L analyse détaillée

Plus en détail

Préavis No 22-2006 au Conseil communal

Préavis No 22-2006 au Conseil communal VILLE DE PULLY Municipalité Direction Administration générale, finances et affaires culturelles Préavis No 22-2006 au Conseil communal Fixation du plafond d endettement et du plafond pour les cautionnements

Plus en détail

Tendances de l insolvabilité au Canada

Tendances de l insolvabilité au Canada Tendances de l insolvabilité au Canada Ginette Trahan Directeur général, Services des relations externes Bureau du surintendant des faillites Le 16 novembre 2011 Association canadienne de la gestion de

Plus en détail

FAITS MARQUANTS DU 1 er TRIMESTRE 2008

FAITS MARQUANTS DU 1 er TRIMESTRE 2008 SOMMAIRE Faits marquants du 1 er trimestre 2008 2 Analyse de la production Locindus au 31 mars 2008 3 Analyse des activités 4 Analyse des comptes de résultats 5 Finance et trésorerie 7 Comptes consolidés

Plus en détail

Annexe A : Tableau des SOLDES INTERMÉDIAIRES DE GESTION

Annexe A : Tableau des SOLDES INTERMÉDIAIRES DE GESTION FINANCE D ENTREPRISE DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires

Plus en détail

Analyse par la direction des résultats d exploitation et de la situation financière

Analyse par la direction des résultats d exploitation et de la situation financière Analyse par la direction des résultats d exploitation et de la situation financière Cette section du Rapport annuel présente l analyse par la direction des résultats d exploitation et de la situation financière

Plus en détail

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté 18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté

Plus en détail

PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES

PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment

Plus en détail

Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier

Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier N o 63-238-X au catalogue. Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier 2012. Faits saillants Le revenu

Plus en détail

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT? Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique

Plus en détail

Communiqué de presse. Paris, le 15 février 2012

Communiqué de presse. Paris, le 15 février 2012 Communiqué de presse RESULTATS ANNUELS 2011 Solides résultats 2011 et accroissement du patrimoine Paris, le 15 février 2012 Résultats 2011 o Progression de +14% du cash-flow courant par action à 2,14 o

Plus en détail

RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE

RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 13 mars 2012 RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE Bonne résistance du PNB et du RBE en 2011, solidité financière confirmée, poursuite de la dynamique de développement

Plus en détail

En fonction de sa proposition, Hydro-Québec s attend à ce que la nouvelle tarification soit effective au début de l année 2007.

En fonction de sa proposition, Hydro-Québec s attend à ce que la nouvelle tarification soit effective au début de l année 2007. NOTE AU LECTEUR Fondée en 1961, l Association provinciale des constructeurs d habitations du Québec (APCHQ) est une référence en matière de construction et de rénovation résidentielles. Regroupant quelque

Plus en détail

DEPARTEMENT DES INSTITUTIONS ET DES RELATIONS EXTERIEURES

DEPARTEMENT DES INSTITUTIONS ET DES RELATIONS EXTERIEURES DEPARTEMENT DES INSTITUTIONS ET DES RELATIONS EXTERIEURES Service des communes et des relations institutionnelles Autorité cantonale de surveillance des finances communales (ASFICO) RECOMMANDATIONS EN

Plus en détail

Fonds de revenu Colabor

Fonds de revenu Colabor États financiers consolidés intermédiaires au et 8 septembre 2007 3 ième trimestre (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie

Plus en détail

Vérification des procédures en fin d exercice

Vérification des procédures en fin d exercice Vérification des procédures en fin d exercice DIVERSIFICATION DE L ÉCONOMIE DE L OUEST CANADA Direction générale de la vérification et de l évaluation Décembre 2011 Table des matières 1.0 Résumé 1 2.0

Plus en détail

Cegedim : Le retour à une croissance solide se confirme

Cegedim : Le retour à une croissance solide se confirme SA au capital de 13 336 506,43 euros R. C. S. Nanterre B 350 422 622 www.cegedim.com COMMUNIQUE DE PRESSE Page 1 Information Financière Trimestrielle au 31 décembre 2014 IFRS - Information Réglementée

Plus en détail

Trébeurden Synthèse financière

Trébeurden Synthèse financière Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,

Plus en détail

COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007

COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007 COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007 relatif au traitement comptable des opérations en devises des entreprises régies par le code des assurances, des mutuelles

Plus en détail

Rédaction d un Plan d affaires

Rédaction d un Plan d affaires Rédaction d un Plan d affaires Catherine Raymond 2001 INTRODUCTION Raisons qui ont motivé la rédaction du plan d affaires Personnes ou organismes qui ont collaboré à l élaboration du plan d affaires Sommaire

Plus en détail

Fonds de revenu Colabor

Fonds de revenu Colabor États financiers consolidés intermédiaires au et 24 mars 2007 (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie consolidés 4 Bilans

Plus en détail

Ma banque. Les prêts hypothécaires BCJ

Ma banque. Les prêts hypothécaires BCJ Les prêts hypothécaires BCJ Ma banque Simple et avantageux, les prêts hypothécaires BCJ. Vous pensez qu il est plus avantageux d acheter son logement que de continuer à payer un loyer à fonds perdus?

Plus en détail

HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS

HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS de l exercice terminé le 31 mars 2002 19 TABLE DES MATIÈRES Rapport de la direction 21 Rapport du vérificateur 22 États financiers Résultats 23 Excédent 23 Bilan 24 Flux de

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

QUATRIÈME TRIMESTRE 2003 PUBLICATION IMMÉDIATE SEMAFO PRÉSENTE SES RÉSULTATS FINANCIERS POUR L ANNÉE SE TERMINANT LE 31 DÉCEMBRE 2003

QUATRIÈME TRIMESTRE 2003 PUBLICATION IMMÉDIATE SEMAFO PRÉSENTE SES RÉSULTATS FINANCIERS POUR L ANNÉE SE TERMINANT LE 31 DÉCEMBRE 2003 COMMUNIQUÉ QUATRIÈME TRIMESTRE 2003 TSX-SMF PUBLICATION IMMÉDIATE SEMAFO PRÉSENTE SES RÉSULTATS FINANCIERS POUR L ANNÉE SE TERMINANT LE 31 DÉCEMBRE 2003 Montréal, Québec, le 21 avril 2004 SEMAFO (TSX SMF)

Plus en détail

9 Le passif à long terme

9 Le passif à long terme 9 Le passif à long terme Les sujets abordés dans chacun des travaux suggérés Problèmes de Sujets abordés Exercices compréhension Les éléments qui composent le passif à long terme 1 Les emprunts obligataires

Plus en détail

Les dépenses et la dette des ménages

Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages

Plus en détail

L heure juste sur la dette du gouvernement du Québec. Auteurs Jonathan Deslauriers Robert Gagné Jonathan Paré

L heure juste sur la dette du gouvernement du Québec. Auteurs Jonathan Deslauriers Robert Gagné Jonathan Paré Créé en 2009, le Centre sur la productivité et la prospérité de HEC Montréal mène une double mission. Il se consacre d abord à la recherche sur la productivité et la prospérité en ayant comme principaux

Plus en détail

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES AU 30 JUIN 2014 1 SOMMAIRE ÉTATS DE SYNTHESE 1. Etat résumé de la situation financière consolidée 2. Etats résumés du résultat net et des gains et pertes

Plus en détail

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS FÉVRIER 2002 DOSSIER 02-02 La dette publique du Québec et le fardeau fiscal des particuliers Le premier ministre du Québec se plaisait

Plus en détail

GUIDE D EMPRUNT DE CAPITAUX PAR LES MUNICIPALITÉS :

GUIDE D EMPRUNT DE CAPITAUX PAR LES MUNICIPALITÉS : GUIDE D EMPRUNT DE CAPITAUX PAR LES MUNICIPALITÉS : demande à la Commission des emprunts de capitaux et préparation d un plan municipal d immobilisations Environnement et Gouvernements locaux Secrétaire

Plus en détail

Présentation des termes et ratios financiers utilisés

Présentation des termes et ratios financiers utilisés [ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.

Plus en détail

Évaluation certificative Courtage hypothécaire

Évaluation certificative Courtage hypothécaire Exemple de réponses IMPORTANT Ce que vous trouverez ci-joint n est qu un exemple d un examen complété en courtage hypothécaire qui démontre la maîtrise de l ensemble des compétences. Ainsi, plus d une

Plus en détail

Incluant l analyse du patrimoine. Description du rapport (Couple seulement)

Incluant l analyse du patrimoine. Description du rapport (Couple seulement) Incluant l analyse du patrimoine Description du rapport (Couple seulement) Révisé le 25 mai 2011 Table des matières 1. Introduction... 3 1.1 Le rapport PRO et Patrimoine : outil privilégié de communication

Plus en détail

Caisse populaire Desjardins de Brome-Missisquoi

Caisse populaire Desjardins de Brome-Missisquoi Caisse populaire Desjardins de Brome-Missisquoi Numéro de transit : 90027 Au 31 décembre 2010 Service de vérification Table des matières Rapport de l auditeur indépendant États financiers Bilan... 1 États

Plus en détail

MÉMOIRE DE LA SOCIÉTÉ DE TRANSPORT DE MONTRÉAL

MÉMOIRE DE LA SOCIÉTÉ DE TRANSPORT DE MONTRÉAL MÉMOIRE DE LA SOCIÉTÉ DE TRANSPORT DE MONTRÉAL COMMISSION DES FINANCES PUBLIQUES CONSULTATIONS PARTICULIÈRES SUR LE RAPPORT INNOVER POUR PÉRENNISER LE SYSTÈME DE RETRAITE (COMITÉ D AMOURS) AOÛT 2013 Table

Plus en détail

Comparaisons internationales de la dette

Comparaisons internationales de la dette Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement

Plus en détail

Le financement de l entreprise

Le financement de l entreprise Le financement de l entreprise Lors de sa création, puis au cours de son développement, l entreprise au moment opportun, doit détenir les ressources financières nécessaires pour faire face à ses échéances,

Plus en détail

DIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES

DIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES EYSINES FÉVRIER 214 POPULATION Population 1999 (sans double compte) Population 26 (municipale) Population 211 (municipale) Classement en fonction de la population (211) Rangs

Plus en détail

Annexe aux comptes annuels de l exercice clos le. 31.08.2013 Montants exprimés en Euros. Ce rapport contient 12 pages

Annexe aux comptes annuels de l exercice clos le. 31.08.2013 Montants exprimés en Euros. Ce rapport contient 12 pages ABCD Avenir Agricole et Rural Annexe aux comptes annuels de l exercice clos le 31.08.2013 Montants exprimés en Euros Avenir Agricole et Rural Ce rapport contient 12 pages 2014 KPMG S.A., société anonyme

Plus en détail

MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC

MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC Le 2 décembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Introduction Mesures de relance économique Mesures visant l atteinte et le maintien de l équilibre budgétaire

Plus en détail

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne

Plus en détail

RÉGIME DE RETRAITE DES EMPLOYÉS DE LA VILLE DE LAVAL

RÉGIME DE RETRAITE DES EMPLOYÉS DE LA VILLE DE LAVAL Séance publique RÉGIME DE RETRAITE DES EMPLOYÉS DE LA VILLE DE LAVAL Loi 3 - Loi favorisant la santé financière et la pérennité des régimes de retraite à prestations déterminées du secteur municipal 19

Plus en détail

RAPPORT INTERMÉDIAIRE DEUXIÈME TRIMESTRE 2015. Propulsés par l expérience client

RAPPORT INTERMÉDIAIRE DEUXIÈME TRIMESTRE 2015. Propulsés par l expérience client RAPPORT INTERMÉDIAIRE DEUXIÈME TRIMESTRE 2015 Propulsés par l expérience client Rapport de gestion intermédiaire Au 30 juin 2015 Faits saillants trimestriels 3 Commentaires préalables au rapport de gestion

Plus en détail

Guide pour remplir la fiche de règlement d emprunt

Guide pour remplir la fiche de règlement d emprunt Guide pour remplir la fiche de règlement d emprunt Section 1 RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX Section 2 IDENTIFICATION DU MONTANT D EMPRUNT À APPROUVER ET DU MONTANT DU FINANCEMENT PERMANENT Total des dépenses

Plus en détail

PROSPECTUS. PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010

PROSPECTUS. PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010 20 PROSPECTUS PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010 Article 47 2 de la loi du 4 août 1992 relative aux Crédits Hypothécaires et l article 4 de l Arrêté royal du 5 février 1993 portant diverses

Plus en détail

La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs. Les revenus de l État sont à la baisse

La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs. Les revenus de l État sont à la baisse La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs En moyenne, chaque personne au Québec reçoit (de tous les paliers gouvernementaux) l équivalent de près

Plus en détail

Mises de fonds et documentation requise

Mises de fonds et documentation requise Mises de fonds et documentation requise VÉRIFICATION DE L AVOIR PROPRE L avoir propre est le montant que l emprunteur verse à titre de mise de fonds à l achat de cette propriété. Les exigences relatives

Plus en détail

DOSSIER DE GESTION. Sommaire

DOSSIER DE GESTION. Sommaire 102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation

Plus en détail

ASSOUPLISSEMENTS RELATIFS AUX LOGEMENTS ABORDABLES Assurance prêt hypothécaire pour propriétaires-occupants

ASSOUPLISSEMENTS RELATIFS AUX LOGEMENTS ABORDABLES Assurance prêt hypothécaire pour propriétaires-occupants SOCIÉTÉ CANADIENNE D HYPOTHÈQUES ET DE LOGEMENT ASSOUPLISSEMENTS RELATIFS AUX LOGEMENTS ABORDABLES Assurance prêt hypothécaire pour propriétaires-occupants À titre d organisme national responsable de l

Plus en détail

REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES

REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Une réforme pour réduire le coût des crédits renouvelables et

Plus en détail

Territoires et Finances

Territoires et Finances Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent

Plus en détail

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015 Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014 Débat d Orientation Budgétaire 2015 Le budget 2015 sera le premier de ce nouveau mandat 2014-2020 Il est construit sur le Plan de mandat financier en

Plus en détail

Introduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement.

Introduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement. le 23 mars 2004 «tout au long de notre histoire, les Canadiens ont été animés par une idée bien simple : que nous avons la responsabilité de faire en sorte que nos enfants et nos petits-enfants aient une

Plus en détail

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales 1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction

Plus en détail

Le compte administratif 2011

Le compte administratif 2011 Le compte administratif 2011 Le compte administratif 2011 de MIONS en quelques chiffres Budget principal. 16 590 970 de recettes réalisées, dont :. 13 003 158 en fonctionnement dont 165 000 de rattachements.

Plus en détail

Audit financier rétro-prospectif 2009-2018

Audit financier rétro-prospectif 2009-2018 Audit financier rétro-prospectif 2009-2018 Commune de Pierre-Olivier Hofer Directeur associé Ludivine Louette Consultante Toulouse, le 20 mai 2014 E14-0514 EXFILO Tél : 01.83.62.86.35 Fax : 01.83.62.86.34

Plus en détail

Société d intervention Maritime, Est du Canada, Limitée

Société d intervention Maritime, Est du Canada, Limitée Société d intervention Maritime, Est du Canada, Limitée Calcul des droits prélevés sur les chargements de produits pétroliers en vrac Régions des Grands Lacs, des Maritimes / de Québec et de Terre-Neuve

Plus en détail

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est

Plus en détail

Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES

Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2014 s inscrit dans un contexte économique et social encore difficile. Aussi, avec

Plus en détail

SCPI Fructipierre EN BREF

SCPI Fructipierre EN BREF SCPI Fructipierre Investissez indirectement dans l immobilier d entreprise et diversifiez votre patrimoine EN BREF FRUCTIPIERRE est une SCPI de taille importante détenant des actifs immobiliers représentant

Plus en détail

relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances

relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2003-03 du 2 octobre 2003 relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances (Avis n 2003-09 du 24 juin 2003 du compte rendu CNC)

Plus en détail

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) -

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - - Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE)

Plus en détail

PRODUITS D EXPLOITATION

PRODUITS D EXPLOITATION RESULTATS FINANCIERS Les principaux résultats financiers de l exercice 2012 ont enregistré une nette augmentation par rapport à l année 2011 due essentiellement à la hausse du prix de vente moyen du brut

Plus en détail

Revue du marché hypothécaire canadien les risques sont faibles et maîtrisés

Revue du marché hypothécaire canadien les risques sont faibles et maîtrisés Revue du marché hypothécaire canadien les risques sont faibles et maîtrisés Janvier 2010 Préparé pour : Association canadienne des conseillers hypothécaires accrédités Par : Will Dunning Économiste en

Plus en détail

THÈME. Imposition des produits. Exercice 1. Produits d exploitation

THÈME. Imposition des produits. Exercice 1. Produits d exploitation Imposition des produits THÈME 1 Exercice 1 Produits d exploitation L entreprise Pan est spécialisée dans la vente de panneaux solaires. Elle a vendu des panneaux courant novembre N à divers clients. Les

Plus en détail

Fiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic

Fiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Consultations prébudgétaires 2011-2012

Consultations prébudgétaires 2011-2012 Présenté au Comité permanent des finances de la Chambre des communes 12 août 2011 Sommaire Dans le cadre des consultations prébudgétaires du Comité permanent des finances de la Chambre des communes, le

Plus en détail

QUÉBEC PUBLIE UN NOUVEAU PROJET DE RÈGLEMENT SUR DES MESURES D ALLÉGEMENT DE LA CAPITALISATION DES RÉGIMES DE RETRAITE

QUÉBEC PUBLIE UN NOUVEAU PROJET DE RÈGLEMENT SUR DES MESURES D ALLÉGEMENT DE LA CAPITALISATION DES RÉGIMES DE RETRAITE Le 22 juillet 2013 QUÉBEC PUBLIE UN NOUVEAU PROJET DE RÈGLEMENT SUR DES MESURES D ALLÉGEMENT DE LA CAPITALISATION DES RÉGIMES DE RETRAITE Québec a publié un projet de règlement prévoyant des mesures d

Plus en détail

COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS

COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS Principaux enseignements de l audit financier réalisé en octobre 2014 26 JANVIER 2015 4 rue Galilée 75782 PARIS cedex 16 Tél. : 01 43 06 08 10 Web : www.cabinetmichelklopfer.fr

Plus en détail

FISCALITÉ DES REVENUS DE PLACEMENT

FISCALITÉ DES REVENUS DE PLACEMENT FISCALITÉ DES REVENUS DE PLACEMENT LA LECTURE DE CE DOCUMENT VOUS PERMETTRA : De connaître les différentes sources de revenus de placement et leur imposition; De connaître des stratégies afin de réduire

Plus en détail

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s

Plus en détail