RAPPORT DE LA PREMIÈRE MISSION DE PROSPECTION ( OCTOBRE 2002)

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1 Programme des Nations Unies pour l environnement Plan d Action pour la Méditerranée Centre d Activités Régionales pour les Aires Spécialement Protégées (CAR/ASP) PROJET RÉGIONAL POUR LE DÉVELOPPEMENT D AIRES PROTÉGÉES MARINES ET CÔTIÈRES DANS LA REGION MÉDITERRANÉENNE (PROJET MedMPA) ACTIVITÉ MP3: ELABORATION DU PLAN DE GESTION DE LA PARTIE MARINE DU PARC NATIONAL DE ZEMBRA ET ZEMBRETTA RAPPORT DE LA PREMIÈRE MISSION DE PROSPECTION ( OCTOBRE 2002) Le Projet MedMPA est soutenu financièrement par la Commission européenne

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3 Programme Des Nations Unies Pour L environnement Plan d Action pour la Méditerranée Centre d Activités Régionales pour les Aires Spécialement Protégées (CAR/ASP) PROJET REGIONAL POUR LE DÉVELOPPEMENT D AIRES PROTÉGÉES MARINES ET CÔTIERES DANS LA RÉGION MÉDITERRANÉENNE (PROJET MEDMPA)) ACTIVITE MP1: ELABORATION DU PLAN DE GESTION DE LA PARTIE MARINE DU PARC NATIONAL DE ZEMBRA ET ZEMBRETTA RAPPORT DE LA PREMIÈRE MISSION DE PROSPECTION Les activités du Projet MedMPA en tunisie sont mises en oeuvre Grâce à la collaboration avec le partenaire suivant: Unidad de Biologia Marine (UBM) Instituto Universitario del Agua y de las Ciencias Ambientales (IUACA) - Universidad de Alicante Campus de Sant Vicent del Raspeig Ap. 99 E Alacant SPAIN Tel: Fax: iuaca@ua.es Le Projet MedMPA est soutenu financièrement par la Commission Européenne

4 Table des matières Pages 1. Avant-propos 1 2. Objectifs de la mission 2 3. Rapport d activité Stations Méthodologie Bionomie benthique et espèces remarquables Caractérisation de Patella ferruginea Comptage des poissons 7 4. Résultats préliminaires Bionomie benthique Substrats durs Biocénose des algues infralittorales Biocénose coralligène Biocénose des grottes semi-obscures Substrats meubles Les herbiers à Posidonia oceanica Biocénose des sables fins bien calibrés Biocénose des sables grossiers et des graviers fins Caractérisation des populations de Patella ferruginea Conque de Vénus (Nord-ouest de Zembra) Pointe du Blancier (Ouest de Zembra) Nord de la baie de la Cathédrale Sud de Zembretta Sud des Carrières (Sud-est de Zembra) Peuplements ichtyques Fonds infralittoraux Fonds circalittoraux Domaine pélagique 20

5 5. Conclusions générales Biocénoses benthiques Espèces remarquables Patelle géante (Patella ferruginea) Ichtyofaune Observations concernant la pêche Bibliographie Annexes 29

6 Rédaction et coordination: Bionomie benthique et espèces remarquables: Karim BEN MUSTAPHA 1, Adel BOUAJINA 2 Saba GUELLOUZ 3 et Pablo SANCHEZ-JEREZ 4. Caractérisation de Patella ferruginea: Atef LIMAM 2. Comptages visuels de poissons: Just T. BAYLE 4, et Carlos VALLE 4. Coordination et rédaction: Chedly RAIS 2 et Alfonso A. RAMOS-ESPLA 4. (1) Institut National des Sciences et Technologies de la Mer, 28 rue 2 mars 1934, 2025 Salammbô (Tunisie). (2) Centre d Activités Régionales pour les Aires Spécialement Protégées (CAR/ASP). Plan d Action pour la Méditerranée. CAR/ASP. Boulevard de l Environnement, B.P. 33/ Tunis Cedex (Tunisie). (3) Agence de Protection et d Aménagement du Littoral (APAL), 2 rue Mohamed Rachid Ridha, 1002 le Bèlvèdère. Tunis (Tunisie). (4) Unidad de Biología Marina, Universidad de Alicante, Alicante (Espagne).

7 AVANT-PROPOS 1 1. AVANT-PROPOS Dans le cadre du project : Regional Project for the Development of Marine and Coastal Protected Areas in the Mediterranean Region (MedMPA) (ref: ME8/AIDCO/ 2001/ 0132/SMAP), entre l Union Européenne (D.G. XII) et le Centre des Activités Régionales des Aires Spécialement Protégées (CAR/ASP) du Plan d Action des Nations Unies, il est prévu de fournir l assistance scientifique et technique aux autorités compétentes tunisiennes pour l élaboration d un plan de gestion de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta. Ce projet a été proposé par la Tunisie (par le biais de l ANPE en 2000), et il a été convenu aprés concertation entre les experts du CAR/ASP (responsable de la mise en oeuvre des activités du project MedMPA), les repésentants de l Agence de Protection et d Aménagement du Territoire (APAL), les autorités compétentes tunisiennes, et les experts de l Unité de Biologie Marine (UBM) de l Université d Alicante (Espagne), avec la collaboration de l Institut des Sciences et Technologies de la Mer (INSTM) de Salammbô (Tunisie). Aprés des réunions préliminaires (mars et juin 2002), il a été convenu en concertation avec tous les acteurs concernés par les travaux de prospection marine de mener deux missions de terrain. La première, object de ce rapport, a eu lieu du 13 au 19 octobre. Elle a été organisée pour effectuer des travaux de prospection en petites et moyennes profondeurs (max. 35m). Ont pris part à cette mission marine: Une représentante de l APAL, plongeur scientifique; un expert du CAR/ASP, plongeur scientifique; trois experts de l UBM, plongeurs scientifiques; deux consultants nationaux: un plongeur scientifique (INSTM) et un plongeur photographe (Asociation GEXS); un technicien de plongée (INSTM); un manouvrier; un représentant de la Direction Générale des Forêts.

8 OBJECTIFS DE LA MISSION 2 2. OBJECTIFS DE LA MISSION L action consiste à mener des campagnes de prospection marine ayant pour objectif d aider à l élaboration d un plan de gestion de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta. Ces campagnes de prospection ont pour objectif d élaborer un plan de zonage à partir des résultats émanant de l étude des principaux biotopes, biocénoses et espèces présentes dans la partie marine du Parc et ses environs. Une attention particulière doit être accordée aux espèces et habitats d importance méditerranéenne, particulièrement celles figurant dans les annexes du Protocole ASP. Cette première mission sur terrain a pour object d identifier et de localiser les biocénoses des fonds marins de l archipel de Zembra-Zembretta, ainsi que les espèces marines d intérêt à la conservation (rares, menacées, vulnérables ou espèces-clés) à petits et moyens fonds (entre 0 et 30m de profondeur). Le principal but est de prospecter des zones qui n ont pas été traitées par l étude entreprise par le CAR/ASP en 1986 (CAR/SPA, 1986) et de compléter l information relative: Aux habitats marins remarquables de l aire marine protégée de Zembra- Zembretta. Aux communautés et espèces végétales, d invertebrés et de poissons les plus vulnérables et représentatives.

9 RAPPORT D ACTIVITE 3 3. RAPPORT D ACTIVITE La première mission s est déroulée entre le 12 et le 19 octobre L organisation et la coordination des activités pendant la mission a été assurée conjointement par les représentants du CAR/ASP et de l APAL. Le transport de Sidi Daoued à Zembra a été assuré par une embarcation de pêche côtière en location, l hébergement dans les locaux de la Marine Nationale se trouvant sur l île et Photo 1 l intendance par un marin pêcheur engagé par le CAR/ASP. Outre le briefing général qui s est tenu le 14 octobre au siège de MedMPA pour expliciter les objectifs de la mission, le rôle du personnel impliqué et ses responsabilités ainsi que les tâches attendues, une réunion a eu lieu à Zembra même pour définir les zones de plongées auxquelles trois jours y ont été consacrés. Au cours de la période d investigations, la température de l eau a oscillée entre 19-20ºC (28-35m) et 21ºC (< 25m); la visibilité dans l eau a été très élevée (supérieure à 20m); les courants ont été faibles, à l exception de la partie SE de Zembra. De même, les conditions météorologiques ont été favorables avec une mer calme, sauf les deux premiers jours de la campagne. 3.1 Stations Les zones antérieures correspondent aux secteurs où l information était incertaine voir même inexistante (une partie des côtes N/NW, NE et SE de Zembra, ainsi que Zembretta). C est ainsi qu en tenant compte du nombre de plongeurs et de la durée de la mission, six sites ont été retenus: 5 à Zembra et 1 à Zembretta. Les sites prospectés pendant cette mission ont été choisis par l équipe de travail en fonction des besoins en information et des conditions météorologiques. Les stations (Nº = 12) ont été réparties entre les secteurs de Zembra et Zembretta comme suit (figure 1, tableau 1):

10 RAPPORT D ACTIVITE Légende Aire territoriale Isobathe(m) Echantillonnage Bionomie Patella ferruginea Comptage de poissons Figure 1 : Carte des sites prospectés

11 RAPPORT D ACTIVITE 5 Zembra Secteur Nord-Ouest: la Conque de Venus Secteur Est: Pointe du Balancier et Nord de la baie de la Cathédrale Secteur Nord-Est: Sud de Hjar-el-Maiel Secteur Sud-Est: Sud des Carrières Zembretta St Date Secteur Lat. 37ºN Long. 10ºE Prof. (m) Substrat Activités /10/02 NW Zembra r, b,p A,.B, E, Pf, V r, b, p B, E, Ph r M, Pf p,5s,80r CVP 2-1 W Zembra b, r, p, s A,.B, E, Pf, V b, r, p, s B, E, Ph r P % r CVP /10/02 W Zembra r, b, p. A,.B, E, Pf, V r, b, p B, E, Ph r M, Pf r,10p CVP 4-1 E Zembretta p, s, r, b A,.B, E, Pf, V p. s, r, b B, E, Ph r M, Pf % p CVP, Pp /10/02 NE Zembra s, b, p A,.B, E, Pf, V b,s,p B, E, Ph r,10p CVP 6-1 SE Zembra s.p,b A,.B, E, Pf, V s, p, b B, E, Ph r M, Pf p, s CVP, Pp Tableau 1. Stations dans la campagne Zembra 03. Substrat: (b) blocs; (p) Posidonia; (r) roche; (s) sable. Activités: (A) densité Astroides calycularis; (B) bionomie benthique; (CVP) comptages visuels des poissons; (E) espèces; (M) médiolittoral; (Pd) densité des faisceaux de Posidonia; (Pf) comptages de Patella ferruginea; (Ph) photographie sousmarine; (Pp) prises de Posidonia oceanica; (V) vidéo

12 RAPPORT D ACTIVITE Méthodologie L ensemble des participants à la campagne ont été divisés en quatre équipes, selon le degré de plongée: plongée en profondeur (fin à 50m), en surface (fin à 25m) et littorale (près de la côte): Equipe 1: 2 plongeurs avec SCUBA pour le comptage de poissons entre 5 et 20m Equipe 2: 2 plongeurs avec SCUBA dont un muni d une caméra vidéo pour la bionomie benthique (0-35m) Equipe 3: 2 plongeurs avec SCUBA dont un muni d une caméra de photographie pour la bionomie benthique Equipe 4: 1 plongeur en apnée pour les populations de Patella ferruginea. Au total, l équipe chargée des communautés benthiques a effectué 6 radiales perpendiculaires à la côte, leur travail consistait à réaliser un relevé filmé (vidéo) du transect (Photo2), à lister les espèces les plus caractéristiques et abondantes, et à quantifier les peuplements les plus significatifs. Photo Bionomie benthique et espèces remarquables Pour la caractérisation et la distribution des communautés benthiques, ainsi que l observation et le comptage des espèces d intérêt, la méthode qui a été adoptée est celle des trajets perpendiculaires à la côte, entre 0 et 35m de profondeur. Les trajets perpendiculaires à la côte ont été appliqués majoritairement par les équipes 2 et 3 chargées de la distribution des communautés. La mise en eau se fait dans la plupart des cas entre 25 et 35 m de profondeur. A cet effet, les deux équipes sont munies d un écho-sondeur portable, d un GPS pour localiser les points d observation (référentiel WGS84), et d un ordinateur de plongée (Aladin-Pro) pour les profondeurs in situ.

13 RAPPORT D ACTIVITE 7 La méthode consiste à parcourir le secteur de la zone la plus profonde vers le littoral, les plongées se terminant dans la majorité des cas sur la côte. Au cours de ce trajet, les plongeurs identifient visuellement les espèces dominantes et remarquables des différents habitats, décrivent la topographie et le paysage sous-marin et relèvent tout type d information susceptible d apporter des éléments pertinents (Photo3). En parallèle, chaque équipe comprend un photographe (avec une caméra Nikonos VI) ou un caméraman sous-marin (avec Sony 700x digital Handycam dans boîte étanche). Des clichés et une video sont ainsi réalisés à chaque plongée et concernent aussi bien les espèces remarquables ou demandant un complément d identification que les paysages sous-marins. Photo 3 Ponctuellement, des comptages (Nº d individus observés par unité de surface) sont réalisés pour des espèces remarquables citées dans les annexes II et III du Protocole relatif aux aires spécialement protégées et à la diversité biologique en Méditerranée de la Convention de Barcelone (1995): Posidonia oceanica (nombre de faiceaux par unité de surface), Astroides calycularis (nombre d individus par unité de surface), Centrostephanus longispinus, Ophidiaster ophidianus, Pinna nobilis, P. rudis, grand crustacés (Palinurus spp., Scyllarides latus), Paracentrotus lividus, grands serranidés (Epinephelus marginatus, E. costae), Sciaena umbra, etc. Pour la caractérisation des communautés on s est référé à Péres et Picard (1964) et UNEP-MAP (1998). Pour les espèces et les habitats d intérêt à la conservation, on a consulté les annexes II (liste des espèces en danger ou ménacées) et III (liste des espèces dont l exploitation est réglementée) du Protocol relatif aux aires spécialement protégées et à la diversité biologique en Méditerranée de la Convention de Barcelone (1995); les suggestions pour considérer d autres ésoèces et peuplements comme prioritaires dans la mise en oeuvre du Plan d Action pour la Conservation de la Végétation Marine en Mer Méditerranée (CAR/ASP, 2000); et le Livre rouge des végétaux, peuplements et paysages marins menacés de Méditerranée (UNEP/IUCN/GIS Posidonie, 1990).

14 RAPPORT D ACTIVITE Caractérisation de Patella ferruginea Cette espèce, qui vit sur la roche médiolittorale, est une des plus vulnérables et rares en Méditerranée. La caractérisation des populations et des peuplements associés a consisté à: Signaler la présence ou absence de la Patelle géante et voir sa densité sur des tronçons de côtes rocheuses relativement homogènes (quadrats de 40 x 40 cm) (Photo4). Mesurer le plus grand diamètre de chaque individu à l aide d un pied à coulisse (Photo5). Dénombrer, parallèlement au comptage de P. ferruginea, les individus des autres Patella (P. rustica, P. ulyssiponensis) se trouvant dans le même quadrat. Estimer la proportion de cette espèce par rapport à d autres présentes sur le même site notamment Dendropoma petraeum et Chthamalus stellatus. Photo 4 Photo 5 Il importe de signaler qu une échelle semi-quantitative de présence a été établie pour les espèces Ch. Stellatus et D. Petraeum, basée sur de simples observations visuelles au niveau de 5 stations dans les secteurs NW, E et NE de Zembra et E de Zembretta (tableau 1). Cette échelle varie de 1 à 10 en passant respectivement du degré 1 de pésence minime au degré 10 de présence très remarquable Comptage des poissons Le comptage des poissons est un excellent bioindicateur pour valoriser l effet-reserve (Bayle et Ramos, 1993) selon une méthodologie standarisée (Harmelin-Vivien et al., 1985). La mise à l eau se fait à une profondeur donnée entre 4 et 20m, identifiée à partir de l embarcation par un sondeur portable, et localisée par GPS. Photo 6

15 RAPPORT D ACTIVITE 9 La méthode consiste à parcourir une distance de 100m suivant des trajets parallèles à la côte en notant les espèces de poissons rencontrés, le nombre d individus de chaque espèce, leur taille approximative et le type de fond (Photo6). Cette technique sert à estimer les peuplements et la dynamique des poissons autour des îles de Zembra et Zembretta à partir de 6 stations situées dans les secteurs NW, E, NE et SE de Zembra et E de Zembretta (tableau 1).

16 RESULTATS PRELIMINAIRES RESULTATS PRELIMINAIRES Les listes des espèces observées (macrophytes, invertebrés et poissons), les radiales bionomiques, et les donnés sur Patella ferruginea sont dans les annexes I-IV et les documents photographiques sont dans l annexe V. 4.1 Bionomie benthique Les zones les plus profondes autour de Zembra et Zembretta n ont pas été prospectées dans cette campagne, les profondeurs maximales des plongée ont varié entre -24 et -35m. Les principales informations relatives aux travaux de prospection, de délimitation et de quantification des communautés observées sont présentées dans le tableau 2. Les biocénoses et les associations/facies prospectés pendant cette mission autour de Zembra et à l Est de Zembretta, et en fonction des substrats (fonds durs ou meubles) se présentent généralement comme suit: Substrats durs Ce sont des fonds rocheux sous forme d éboulis ou de tombants qui vont de la surface jusqu au début de l herbier à Posidonia (entre -7 et -20m). Ils sont peuplés de différentes associations selon la profondeur et l exposition à la lumière et à l hydrodynamisme. On y a observé les associations suivantes:

17 RESULTATS PRELIMINAIRES 11 T P (m) Substrats & Communautés Spp. (voir annex II) Observations (1) 28-23m: HPs (2) 23-9m: Bg,m (AP, AS, HPr) + S (3) 0-9m: Rv (AP, AS, HPr) (3) C. elongata, F. petiolata, P. pavonica, Ch. lobata, E. singularis, A. calycularis, H. communis, Sp. officinalis, Balanophyllia sp., d/p.o. (26m): 86, 82, 96; d/a.c. : P. nobilis, P. rudis, E. marginatus Ancre (22m), palangre (1) m: B (AH, AS) +G+S+HPs : (2) 26-18m: B (C,GSO) + HPr: (3) 18-10m: Bg (AP, AH, AS) (4) 10-2m: Bm-g (AP, AS, C, GSO) + HPr (5) 0-2m: Galets nus (1) m: B (AH, AS) + Rv + S + HPr,s (2) 23-12m: HPs,r + Bg (AP, AH, AS, GSO) + R (3) 12-4m: Bg (AP, AH, AS) + G + HPr (1) 30-27: S + B (AH) (2) 27-18m: HPs,r + (3) 18-7m: B + HPr + S (4) 0-7m: Rv (AF, AS, C) (1) > 34.5m: G (DC) (2) m: HPs + B (AH) (3) 24-7m: B (AP, AH, AS) + HPr (4) 7-3m: B (AP, AS) + HPr (1) > 34.5: G (DC) (2) 33-19m: HPs (3) 19-17: S + Cn (4) 17-14m: S + HPs (5) 14-10m: HPs + Cn (6) 0-10m: B (AF, AS)+HPr (1) D. polypodioides, F. petiolata, E. singularis; (2) P. axinellae, M. truncata; (3) P. pavonica, D. dichotoma, D. fasciola, D. polypodioides, C. bursa, A. calycularis, P. lividus; (4) D. fasciola, H. scoparia, C. elongata, A. calycularis, E. singularis, Ircinia sp., A. damicornis, Agelas sp., P. axinellae, (1) D. polypodioides, C. bursa, F. petiolata, H. tuna; (2) F. petiolata, Z. flava, P. pavonica, D. fasciola, A. calycularis, P. axinellae; (3) P. rosa-marina, Z. flava, S. dubyi, A. calycularis, Balanophyllia sp. C. coespitosa, H. communis, P. lividus, M. truncata, (1) C. racemosa, E. singularis; (3,4) C. racemosa, B. asparagoides, F. petiolata, Z. flava, A. calycularis, E. singularis, A. damicornis, C. coespitosa, M. truncata (2) E. singularis; (3) P. pavonica, H. scoparia, C. bursa, D. polypodioides, F. petiolata, H.. filicina, H. tuna, Peyssonnelia spp., A. calycularis, Balanophyllia sp.; (4) Cystoseira spp. H. filicina, H. scoparia, B. asparagoides, A. calycularis, C. mollior, M. truncata, S. granularis. (5) C. racemosa; (6) C. racemosa, H. tuna, F. petiolata, Peyssonnelia spp., Z. flava, A. calycularis, C. mollior, P. dura, S. granularis, E. singularis. (22m) A. calycularis, S. latus d/p.o. (21m): 86, 90, 98 d/a.c. (10m): 230, 260, 300; d/dyct. 24, 30, 40 d/f. p.: 80, 65, 72 C. longispinus, P. nobilis, P. rudis, E. marginatus, E. costae, S. sphyraena Palangre (20, 16m), trémail (7m) d/ P.o. (27m): 29, 35, 25 d/ A.c. (8-18m): 250, 320, 226; d/ E.s.: 6 col. moyen A. calycularis, P. rudis, P. nobilis, E. marginatus d/p.o. (27m): 33, 48, 42; d/f.p. (8m): 27, 56, 64; d/m.t. (8m): 20, 14, 18; A. calycularis, E. marginatus palangre (à 12-14m) P.o. sur mattes hautes cm. d/p.o. (29m): 24, 22, 26; (20m): 70, 49, 59; (13m): 99, 115, 110 A. calycularis TABLEAU 2. Les radiales prospectées et leurs principales caractéristiques bionomiques. Substrat: (B) blocs rocheux (g: gros; m: moyens); (G) gravier; (R) Roche (v: vertical). Communautés: (AH) algues hemiphotophiles; (AP) Algues photophiles; (AS) Algues sciaphiles; (C) coralligène; (Cn) Cymodocea nodosa; (DC) détritique côtier; (GSO) grottes semi-obscures; (HP) herbier de Posidonie (r: sur roche; s: sur sable). Densité (d/): (A.c.) Astroides calycularis (colonies/(30x30cm); (Dyct.) Dyctiotales (thales/30x30cm); (E.s.) Eunicella singularis (colonies/40x40cm); (F.p.) Flabellia petiolata (thales/30x30cm); (M.t.) Myriapora truncata (colonies/40x40cm); (P.o.) Posidonia oceanica (faisceaux/40x40cm)

18 RESULTATS PRELIMINAIRES Biocènose des algues infralittorales Les peuplements d algues infralittorales dans l archipel de Zembra sont riches et variés, représentés suivant un étagement lié à la pénétration de la lumière par des algues photophiles, sciaphiles et hemiphotophiles. Ces différents peuplements se trouvent entre 0 et -31m sur les éboulis et la roche infralittorale. Association des algues photophiles (Photos 7, 8) : Avec la prédominance des phaeophytes: Padina pavonica, Halopteris scoparia, Dictyota fasciola, D. dichotoma et Cystoseira spp., et les rhodophytes Corallina elongata, Amphiroa rigida et Bonnemaisonia aspargoides. Ces espèces se localisent sur les surfaces horizontales et subhorizontales entre 0 et 16m; et sur les verticales exposition Sud, près de la surface (entre 0 et 10m). Dans cette association, il faut noter la présence des madreporaires Cladocora coespitosa et Balanophyllia europaea (photos 9, 10). Photo 8 Photo 7 Photo 9 Cladocora coespitosa (un des rares coraux hermatypiques de la Méditerranée) Photo 10 Balanophyllia europaea commun à Zembra et très sensible à la pollution

19 RESULTATS PRELIMINAIRES 13 Photo 13 Association des algues hemiphotophiles (Photos 11, 12): Avec les phaeophytes Dictyopteris polypodioides, Halopteris filicina et Zonaria flava, et la chlorophyte Codium bursa. Ces espèces colonisent les surfaces verticales des éboulis et les surfaces horizontales à partir de -15m jusqu à -31m. La gorgone Eunicella singularis (Photo 13) est abondante dans l association à partir de -18m avec la densité maximale de 30 colonies/m 2 observée au transect nº 6. Photo 12 Photo 11 Association des algues sciaphiles (Photos 11, 14, 15) : Avec les chlorophytes Flabellia petiolata et Halimeda tuna, et les rhodophytes Peyssonnelia spp., qui colonisent les surfaces ombragées des éboulis et les parois verticales et tombants de la roche entre 0 et -31m. La densité de F. petiolata semble élevée avec 755 thalles/m 2. La nacre de roche Pinna rudis (Photo 16) a été observée dans cette association. Photo 15 Photo 14 Différentes associations d algues sciaphiles Photo 16 La nacre de roche Pinna rudis, protégée par la convention de Barcelone (1995) dans l annexe II, comme espèce en danger ou menacée. Photo 17 Photo 18

20 RESULTATS PRELIMINAIRES 14 Facies à Astroides calycularis (Photos 17, 18) Ce facies est très développé dans la zone, dû à l intense hydrodynamisme autour de Zembra et Zembretta, avec des densités de 2935 colonies/m 2. Elle favorive des surfaces verticales et subverticales entre 0 et -21m. Photo 19 Dans la faune vagile invertebré, il faut noter la rareté des oursins noir (Arbacia lixula) et commun (Paracentrotus lividus), contrairement à l oursin violet Sphaerechinus granularis (Photo 19). Les étoiles de mer rouge Echinaster sepositus (Photo 20) et pourpre Ophidiaster ophidianus (Photo 21) sont abondantes. Photo 20 Photo 21 Echinaster sepositus est une espèce commune à Zembra dans l infralittoral et le circalittoral supérieur. Ophidiaster ophidianus est protégée par la Convention de Barcelone comme une espèce menacée ou en danger Photo Biocénose coralligène Photo 22 La biocénose coralligène se trouve dans les profondeurs étudiées (0-35m) sur les tombants et surplombs, et les surfaces plus ombragées des éboulis. Les espèces qui dominent sont les animaux filtreurs sessiles, comme les éponges (Photos 22, 23) (Agelas, Aplysilla, Clathrina Chondrosia, Dysidea, Hemimycale, Ircinia, Oscarella, Petrosia) et les bryozoaires (surtout Myriapora truncata), alors que les ascidies ne semblent pas trop Photo 23 Association des algues Valonia utricularis (vert), Halopteris filicina (marron) et des éponges Anchinoe tenacior (bleu) et Spirastrella cunctatrix (rouge). Photo 24

21 RESULTATS PRELIMINAIRES 15 nombreuses (Aplidium, Pseudodistoma). A (-35m) de profondeur, la gorgone jaune Eunicella cavolini et l éponge Axinella cannabina ont été observées. Parmis les algues, les rhodophytes Lithophyllum expansum, Peyssonnelia rosa-marina (Photo 24) et Osmundaria volubilis dominent. Les bryozoaires, même s ils n ont pas particulièrement retenu notre attention, colonisent l espace disponible au point de couvrir les parois verticales des surplombs rocheux. L espèce Myriapora truncata a présenté une densité de 162 colonies/m 2. Photo 25 Dans la faune vagile invertebré, il faut signaler l oursin diadème Centrostephanus longispinus (Photo 25) et les étoiles de mer Echinaster sepositus (Photo 20) et Ophidiaster ophidianus (Photo 21). Il faut noter la rareté des grands crustacés, comme la grande cigale (Scyllarides latus) Biocénose des grottes semi-obscures Cette biocénose (Photos 26, 27, 28) se trouve dans les surplombs et les fentes rocheuses, et sous les éboulis entre 0 et -31m. Les espèces dominantes sont animales sessiles, surtout les éponges (Axinella damicornis, Aplysilla sulfurea, Chondrosia reniformis, Clathrina clathrus, Dysidea spp., Ircinia spp., Oscarella lobularis, Petrosia dura, Spirastrella) et les anthozoaires (Parazoanthus axinellae, Leptopsammia pruvoti, Caryophyllia spp., Cladopsammia ronaldii). Photo 27 Photo 26 Photo 28

22 RESULTATS PRELIMINAIRES Substrats meubles Les fonds meubles autour de Zembra et Zembretta commencent entre -14m et -21m (sauf des secteurs en surface avec caillous, galets et sable). Les biocénoses les plus caractéristiques de ce facies (entre 0 et 35m) sont les herbiers de Posidonia oceanica et Cymodocea nodosa Les herbiers à Posidonia oceanica Posidonia oceanica a été observée dans tous les transects, aussi bien Photo 29 f/m 2 à la limite inferieure (-34m). sur le sable que sur la roche (Photos 29, 30). Dans le sable, elle forme des herbiers très denses, entre -21 et -34m (limite inférieure franche, Photo 31). Mais elle colonise aussi les substrats durs (éboulis, roche) en forme de tâches dont la limite supérieure est entre -7 et - 18m. Les densités des faisceaux sont élevées, entre 700 f/m 2 (à -15m) et 150 Photo 30 Photo 31 Photo 32 Le polychète spirographe Sabella spallanzani dans l herbier à Posidonia (Photo 32) Photo 33 Il faut noter la présence de quelques exemplaires de Pinna nobilis (Photos 33, 34) (1 ou 2 individues par transect) de taille moyenne et petite (max. 60 cm de longueur). Photo 34 La nacre Pinna nobilis colonisée par des algues; des éponges rouges et jaunes, des bryozoaires (tâches orangé pâle) et le bivalve Arca noae

23 RESULTATS PRELIMINAIRES Biocénose des sables fins bien calibrés Dans cette biocénose, on trouve essentiellement l association de Cymodocea nodosa en forme de tâches entre -14 et -18.5m (Photos 35, 36) dans le secteur SE de Zembra où le poisson rason (Xyrichtys novacula) paraît fréquent. Par ailleurs, l algue verte Caulerpa racemosa a été observée sur une petite tâche de Cymodocea à -14m, ainsi que des tâches brunâtres de cyanobactéries sur la sable à 18-19m (Photo 37). Photo 36 Photo 37 Photo 35 Photo 38 Le gastéropode Phalium undulatum dans le substrat sablonneux avec Cymodocea d Biocènose des sables grossiers et des graviers fins Cette biocènose est constituée principalement d élements organogènes (test calcaires brisés et plus ou moins émoussés d organismes) sous la forme de sables grossiers et de fins graviers non vaseux et soumise à l influence des courants de fond. Elle est présente à partir de -21m dans l herbier à Posidonia oceanica ou bien sous forme de tâches sans végetation érecte. Caulerpa racemosa est également présente sur ce substrat à Zembretta (-32m). A partir de -35m, elle est remplacée par la biocènose du détritique côtier avec la rhodophyte calcaire Lithothamnion corallioides et les gorgones jaunes Eunicella cavolini (Photo 39). Photo 39

24 RESULTATS PRELIMINAIRES Caractérisation des populations de Patella ferruginea Il apparaît, à partir des résultats des cinq sites prospectés lors de cette première mission, qu une population importante de Patella ferruginea (Photo 40) s est maintenue autour des îles de Zembra et de Zembretta. La localisation altitudinale des individus est relativement étroite, ils se situent dans l horizon moyen du médiolittoral. Leur présence est couplée à celle de P. rustica et P. Ulyssiponensis (Photo 41). Elle est marquée aussi pour la plupart des sites prospectés par la présence de Chtamalus stellatus (Photo 42), plus ou moins abondante, et de Dendropoma petraeum (Photo 43). Les tableaux récapitulatifs des stations sont présentés dans l annexe II. Les résultats des différents sites prospectées se résument comme suit: Photo 41 Photo 43 Photo 40 Photo Conque de Venus (Nord-Ouest de Zembra) Au total, 41 individus de P. ferruginea et 79 individus de P. rustica ont été respectivement dénombrés. Le plus grand diamètre des individus de P. ferruginea a varié, dans ce site, entre 2.02 cm et 5.55 cm. Outre la présence remarquable de P. rustica où le rapport P. f / P. r (P. ferruginea / P. rustica) était de 1/1.9, l espèce Chtamalus stellatus présentait des niveaux d abandonce variant d un quadrat à l autre (voir tab.1 de l annexe III) avec parfois des portions des côtes rocheuses où un degré de présence important, de 8, a été attribué à Chtamalus. Quelques quadrats ont marqué la présence, parfois remarquable, de Dendropoma petraeum, espèce figurant sur la liste des espèces en danger ou menacées de l annexe II du Protocole ASP.

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