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1 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique اﻟﻤﺪﯾﺮﯾـﺔ اﻟﻌﺎﻣـﺔ ﻟﻠﺒﺤـﺚ اﻟﻌﻠﻤـﻲ و اﻟﺘﻄﻮﯾــﺮ اﻟﺘﻜﻨﻮﻟﻮﺟــﻲ Direction Générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique ﺗﻘﺮﯾﺮﻋﺎم ﻟﻤﺸﺮوع اﻟﺒﺤﺚ Rapport général du projet PNR اﻟﺘﻌﺮﯾﻒ ﺑﺎﻟﻤﺸﺮوع IIDentification du projet: PNR Organisme pilote 03 Ressources en Eau CRSTRA Domiciliation du projet : Ecole Nationale Supérieure d Hydraulique de Blida ﻋﻨﻮان اﻟﻤﺸﺮوع Intitulé du projet Recharge artificielle de la nappe de la Mitidja Rapport scientifique détaillé du projet Projet: Mettre le Titre du projet Recharge artificielle de la nappe de la Mitidja PNR : «Mettre l intitulé du PNR» 03 Ressources en Eau Membres de l Equipe : MEDDI mohamed; BOUFEKANE Abdelmadjid; MEDDI Hind; SAIDI Hayet; CHEBAH Mohamed; MOUMTAZ Rezack Partenaire socioéconomique : Agence Nationale des Ressources Hydraulique (direction régionale du Centre Blida), Direction des Ressources en eau de Blida Etablissement de domiciliation : Ecole nationale Supérieure d Hydraulique de Blida, Description du produit : (3 lignes max) On dispose à ce stade d un outil qui permet de prévoir les réponses de la nappe de la Mitidja (région sud Est) à différents schémas d exploitation. A échéance de quatre ans, avec quatre laps de temps d une année chacun, cinq scénarios d exploitation ont été développés et mis au point.

2 Sommaire Introduction générale ;; I. Changement climatique et prévision Dans la plaine de la Mitidja...03 I.1. Changement climatique I.. Etude de la sécheresse I..1. Introduction I... Processus de Markov d ordre II. Recharge artificielle de la nappe de la Mitidja II.1. Reconnaissance de la nappe alluviale de la Mitidja A Aquifère des alluvions de la Mitidja B Evolution temporelle de la piézométrie II.. Méthode de la recharge artificielle de la nappe de la Mitidja A Objectif du travail B Diagnostic quantitatif et qualitatif des eaux superficielles utilisées pour la recharge II.3. Modélisation de la zone pilote de la recharge artificielle de la nappe de La Mitidja II.3.1. Introduction II.3.. Présentation de la structure modélisée a. Aperçu sur le système existant de la recharge artificielle dans le projet pilote b. Délimitation de la zone modélisée.0 c. Outil d. Discrétisation spatiale..0 e. Les conditions aux limites...1 f. Calage du modèle g. Exploitation du modèle Conclusion générale et recommandation 34 Perspectives

3 Introduction générale La forte croissance démographique et l urbanisation ont engendré une concentration importante de la population aux alentours de la capitale et par conséquent des besoins importants en eau potable. La restructuration de l agriculture a permis un redéploiement de l activité agricole et a donné lieu à une augmentation des besoins en eaux d irrigation. Enfin, la libération de l activité commerciale a permis un développement important de la petite et moyenne industrie engendrant un besoin important en eau industrielle dont les grands consommateurs sont les unités transformatrices de produits agricoles. Tous ces besoins en eaux en évolution grandissante conjuguée à un phénomène de sécheresse qui s est déclaré durant une trentaine d années consécutives, a fait empirés les problèmes d approvisionnements de la population, des agriculteurs et des unités industrielles. Cette situation a permis, aujourd hui, de voir une surexploitation des eaux souterraines alors que la recharge naturelle est limitée. Devant ce problème et pour augmenter le volume d eau de la nappe, on a proposé une méthode de recharge dite la méthode de recharge artificielle. Cette technique est utilisée pour recharger artificiellement la nappe de la Mitidja à partir de l oued El Harrach dans sa partie amont. I. Changements climatiques et prévision dans la plaine de la Mitidja I.1. Changements climatiques La caractérisation d'éventuelles fluctuations d'ordre climatique repose, entre autre, sur l'étude de séries chronologiques de données de pluie et de débit à différents sites de mesures. Le but de cette approche est de caractériser d'éventuelles changements d'ordre climatique au niveau de la plaine de la Mitidja, pour ce faire une analyse statistique de longues séries chronologiques de données de pluies au pas de temps annuel, saisonnier ou de plusieurs mois des différentes stations ont été réalisées. L'analyse sera ponctuelle; "par site" avant d'envisager une approche régionale. La stationnarité ou la non stationnarité des séries pluviométriques intéresse beaucoup les utilisateurs dans les différentes applications (hydrologie, agronomie, gestion des ressources hydriques, etc.). La détection d une ou plusieurs ruptures renseigne sur l évolution pluviométrique dans une région donnée. Cette rupture peut être considérée comme étant due à un changement des paramètres de la loi des probabilités des variables aléatoires dont les réalisations successives constituent les séries chronologiques étudiées. En étudiant des séries pluviométriques longues représentatives de la Mitidja, nous avons constaté une diminution des totaux pluviométriques annuels. La réduction a touché principalement les pluies d hiver et du printemps qui constituent plus de 60 % de la pluviométrie annuelle (Meddi et al., 00). Sur ces chroniques des précipitations annuelles une rupture est identifiée à partir de la moitiée de ladécennie 70, par le test de Pettitt (Pettit, 1979), avec une tendance nette à la baisse de la pluviométrie. En hiver, la diminution des 3

4 volumes précipités varie de 6 à 35 %. Au printemps, la réduction de la pluviométrie oscille entre 4 et 36 %. I.. Etude de la sécheresse I..1. Introduction La sécheresse constitue un fléau redoutable pour l'économie, essentiellement sur la production agricole pluviale. L'analyse de la récurrence et de la persistance de ce phénomène par des méthodes scientifiques cherche à établir une estimation des probabilités qui pourrait contribuer à la planification de stratégies de mobilisation et de gestion des ressources en eau. L Algérie est l un des pays du Sud du bassin méditerranéen qui souffre de la pénurie d eau d une saison à une autre et d une année à une autre. Les écoulements en eau sont caractérisés par une irrégularité saisonnière et interannuelle importante, une violence et une rapidité des crues. Par ailleurs, le climat est caractérisé par de longues périodes de sécheresse et des précipitations irrégulières dans le temps et l espace. Une étude effectuée sur l évolution pluviométrique (Kadi, 1995) par rapport à l indice de normalité sur quelques régions méditerranéennes (Italie, Algérie, France, Grèce, Espagne, Maroc, Portugal et MoyenOrient) a montré que : a La récurrence du déficit en précipitations dans une très vaste zone durant les années 1944, 1945, 1970, 1973, 1980, 1981, 1989 et 1990, où au moins entre 4 et 6 des huit sousrégions traitées ont été touchées; b Certaines zones sont plus affectées que d autres : l Algérie et l Espagne dans la partie occidentale; La Grèce et le Moyenorient dans la partie orientale; c Généralement, la sécheresse est apparue sur la majorité des pays du bassin méditerranéen depuis le début des années 80. Pour décrire la persistance de la sécheresse, on va appliquer la méthode des chaînes de Markov aux séries de pluies annuelles. I... Processus de Markov d ordre 1 Le modèle des chaînes de Markov est un modèle stochastique, itératif. Ce processus exprime des probabilités conditionnelles de passage de l'état de la veille (année précédente) à l'état de l'année en cours. Ainsi l'état de l'année k ne dépend que de l'état k1 pour le processus de Markov d'ordre 1. Il dépend des états k1 et k pour le processus de Markov d'ordre (Arnaud M.1985 et Thirriot C.1983) Une année peut être caractérisée du point de vue pluviométrique par deux états : un état 0 : présence de la sécheresse (sèche ou très sèche) ; un état 1 : absence de la sécheresse (normale, humide, très humide). Les résultats obtenus montrent les situations prévisionnelles suivantes : 4

5 Si une année est sèche, la probabilité pour qu elle soit suivie d une année «sèche» est de l ordre de 47%. Si une année n est pas sèche, la probabilité d avoir une année sèche l année suivante est de 41%. La probabilité d avoir deux années successives non sèches est importante (elle de l ordre de 57 %) Si une année est sèche, la probabilité d avoir une année non sèche l année suivante est de 33%. I..3. Processus de Markov d ordre 1Processus de Markov d ordre On s intéresse essentiellement aux cas de figures suivantes : SSS (trois années sèches successives), SSNS (deux années sèches successives), NSSS (deux années sèches successives), NSSNS (une année sèche isolée). L application de l hypothèse des chaînes de Markov donne les probabilités suivantes : La probabilité d avoir une séquence composée de deux années sèches successives suivies d une année «sèche» est tés importante : La probabilité d avoir une séquence composée de SSS est importante avec 61%. La probabilité d avoir une séquence composée de SSNS est moins importante (33%). La séquence composée de NSSS, a une probabilité de l ordre de 41%. La séquence composée de NSSNS, a une probabilité relativement importante (59%). Cette partie a fait l objet d une communication internationale : Hind MEDDI, Mohamed MEDDI : Impact of climate change on groundwater (the Mitidja plain). Third Water Framework Directive international conference: climate change impacts on water security and safety. 4th6th November 013 at the Polytech'Lille, Lille, France II. Recharge artificielle de la nappe de la Mitidja II.1. Reconnaissance de la nappe alluviale de la Mitidja A Aquifère des alluvions de la Mitidja Les sédiments clastiques de la formation de la Mitidja et les sédiments fluviaux récents constituent l'aquifère le plus important de la plaine de la Mitidja. Cet aquifère, composé de graviers et de galets alternant avec des limons et argiles, occupe toute l'étendue la plaine. L épaisseur moyenne de ces alluvions est de l ordre de 100 à 00 m mais qui va diminuer vers le Sud pour atteindre l Atlas. Sa limite inférieure est constituée par les marnes de la formation d'elharrach et sa limite supérieure est libre sauf dans la zone du Mazafran où la nappe est captive sous les limons du Rharbien. La nappe alluviale de la Mitidja est alimentée par : 5

6 Infiltration des précipitations sur la plaine. Infiltration à partir des cours d'eau et du ruissellement sur les piémonts de l'atlas. Écoulement souterrain de l'atlas. Fuites des réseaux de distribution en eau. Infiltrations des eaux d'irrigation excédentaires. Les exhaures sont assurées par : Pompage dans les points et forages de la plaine. Drainage des Oueds dans leur cours aval. Fuites souterraines vers la mer. Écoulement vers les limons de la formation du Mazafran par drainance. B Evolution temporelle de la piézométrie Dans le but de déterminer l évolution des fluctuations de la surface piézométrique de l aquifère alluvial de la Mitidja, nous avons cherchés à comparer les niveaux d eaux relevés par l ANRH dans les anciennes études (1980) avec ceux mesurés récemment (jusqu à 01). La première lecture des données de l ANRH, depuis les années 1980, montre que la piézométrie de la Mitidja a beaucoup diminué. Un rabattement très important et remarquable dans la nappe, varient de 10 à 5 mètres sur une période de 30 ans. Cette baisse importante de la surface piézométrique est la conséquence de plusieurs facteurs à savoir : Longue période de sécheresses (quatre dernières décennies) combinée à une importante prolifération de forages. Le commencement précoce de l irrigation dû à cette sécheresse. Importance des surfaces irriguées. La déperdition des eaux par ruissellement favorisée par les extractions du toutvenant et de sable dans les lits des oueds. Au pompage continu au niveau des principaux champs de captage à cause de l augmentation de la demande de la ressource au niveau de l algérois. prolifération des forages agricoles et industriels illicites surtout au voisinage des périmètres de protection des champs de captage. B.1. Fluctuation de la surface piézométrique pour la période Le graphe (Fig. 1) montre l évolution de la piézométrie annuelle dans le forage (E Reghaia), de la nappe alluviale de la Mitidja pour la période Il nous incite à faire les explications suivantes : 6

7 La période se caractérise par une remontée généralisée du niveau piézométrique due aux apports pluvieux importants qu a connu la région pendant cette période. Après une augmentation, suite à la saison pluvieuse de , le niveau du plan d eau s est stabilisé durant les deux années On note donc une stabilité du niveau de la nappe. En 1988, la piézométrie va entrer dans une nouvelle phase d abaissement continue jusqu à la fin de l année 1990, cette baisse était de 1 à m/an (voir une baisse total de 8 m). Elle est due à la diminution des précipitations pendant cette période et au pompage intensif. Fig. 1. Evolution du niveau piézométrique du forage (E Reghaia) (Période : ) B.. Fluctuation de la surface piézométrique pour la période La période déficitaire en Algérie ( ) est très bien marquée par une baisse très nette du niveau piézométrique (Fig. et Fig.3), près de 10 mètres sur 10 ans. Les graphes établis montrent que : la période est marquée par une baisse importante du niveau piézométrique (près de 5 mètres) dans le forage (E Rouiba). durant l année 006, on a enregistré une remontée rapide de la surface piézométrique dans le forage (E Rouiba). Cela est dû principalement à nature excédentaire en terme de pluie. le niveau du plan d eau a diminué durant le cycle de dans le forage (E Rouiba). La baisse du niveau piézométrique est de l ordre de 4 à 5 m. 7

8 Fig.. Evolution du niveau piézométrique du forage (E Rouiba) (Période : ) Fig. 3. Evolution du niveau piézométrique du piézomètre (E Rouiba) (Période : ) B.3. Fluctuation de la surface piézométrique pour la période Le graphe montrant l évolution du niveau piézométrique (Fig. 4) du forage (E Baraki) établi pour la période montre que les faibles rabattements enregistrés durant cette période sont le résultat de l accroissement des précipitations qui ont dépassé les 600 mm/an en plus de l installation des bassins infiltrations du projet pilote dans la partie amont de l oued El Harrach, par l ANRH et le DRE de Blida, pour la recharge de la nappe artificiellement à partir de l année

9 Fig. 4. Evolution du niveau piézométrique du forage E Baraki (Période : ) Discussion La baisse de la surface piézométrique entre 1980 et 000 est matérialisée par un rabattement important qui se manifeste au niveau des principaux champs de captages, la conséquence de plusieurs facteurs qui seront cités dans le chapitre II.. La stabilisation du niveau piézométrique après la fin de l année 000 est due à l augmentation des précipitations et à l installation d un projet de recharge artificielle de la nappe par des bassins d infiltration à partir de l oued El Harrach à partir de l année 005 par l ANRH et la DRE de Blida. II.. Méthode de la recharge artificielle de la nappe de la Mitidja A Objectif du travail L évolution de la piézométrie du système aquifère de la Mitidja montre une baisse continue depuis Au cours de la période , on a noté une baisse importante et continue du niveau de la nappe. Elle est de l ordre de 30 m dans certains endroits de la nappe. Alors que pour la période 000 à 01, on a inscrit une stabilisation du niveau de la nappe. La diminution du niveau piézométriques, pour la période , dans les ouvrages de captages sont dues à plusieurs phénomènes, citons : Longue période de sécheresse. Les fluctuations saisonnières et annuelles des précipitations. Les pompages intensifs dans les zones industrielles et agricoles. La stabilisation du niveau de la nappe pour la période est en relation direct avec : L augmentation des précipitations annuelles après l année

10 Le projet pilote de la recharge artificielle de la nappe au bord de l oued Hammam Melouane à partir de 005. Les chiffres de l ANRH (Fig.5) montrent l évolution du niveau piézométrique en aval des bassins d infiltration. Les niveaux statiques de la nappe mesurés en 005 (date de mise en service) au niveau de trois piézomètres implantés en aval des bassins, donnent des profondeurs entre 35 et 41 m mais après la suppression du canal d alimentation des bassins, les niveaux ont chutés pour atteindre des valeurs variant entre 54 et 68 m en 010. Fig. 5. Evolution du niveau piézométrique en aval des bassins d infiltration (Période 00501) En résumé Ce projet de recharge par bassins d infiltration a donné de bons résultats. Actuellement, ces bassins sont à l arrêt en raison de la déviation des eaux de l oued vers le nouveau barrage de Douéra. Cet état de fait risque d accroitre le rabattement de la nappe davantage. Pour cela, l objectif de notre projet et d améliorer l alimentation de la nappe pour compenser les pertes en utilisant cette technique, toutefois : 10

11 B Diagnostic quantitatif et qualitatif des eaux superficielles utilisées pour la recharge B.1. Diagnostic quantitatif En 1991, plus de 413 Hm3 de pertes vers la mer ont été enregistrées pour les deux oueds (Mazafran et El Harrach). En 1993, plus de 148 Hm3 de pertes vers la mer ont été enregistrées pour l oued El Harrach seulement (avant la réalisation de la déviation de l oued El Harrach vers le Barrage de Douéra), notant que les précipitations pour cette année n ont pas dépassé les 414 mm. Fig. 6. Précipitation interannuelle moyenne et apports liquides moyens enregistrés à la station de Baraki et de l oued Mazafran (période ) Ce volume apparaît en quantité suffisante pour assurer le bon fonctionnement du projet projeté (Recharge artificielle de la nappe) avec une efficacité certaine et sans perturbation de la distribution vers le barrage de Douéra. B.. Diagnostic qualitatif On a procédé durant les trois années successives (010, 011 et 01) à des échantillonnages mensuels des eaux de l oued El Harrach dans la zone où la recharge sera effectuée. Ce suivi a pour but de caractériser la qualité des eaux qui seront utilisées dans la recharge artificielle pour éviter le colmatage des bassins et l altération de la qualité des eaux souterraines. 11

12 Analyse de l eau de l oued Années 010 et 011 Les résultats des analyses physicochimiques de l eau superficielle (oued El Harrach) à la station du rocher des pigeons (Hammam Melouane) pour les deux années 010 et 011 sont reportés dans le tableau 1: Tableau. 1. Les résultats d analyse de l eau superficielle pour les deux années 010 et 011 à la station rocher des pigeons Ca Mg Na K 14/10/10 30/10/10 0/11/10 1/11/10 31/11/10 03/1/10 16/1/ mg/l /01/11 18/01/11 7/0/11 08/0/11 01/0/11 13/0/11 03/03/11 17/05/ Année 011 Année 010 Date /05/11 Cl SO4 HCO3 NO3 RS ph CE ,0 5,0 3,0 1,0 4, , ,0 8,3 8,1 8, 8,1 8,1 8,0 µ/cm ,0 6,0 6,0 5,0 3,0 7,0 6,0 8,0 6, ,7 7,8 7,8 7,9 7,5 7,8 8,0 8,4 8, Ces résultats montrent que les eaux sont similaires pour les deux années avec une augmentation des concentrations en périodes des crues. Cette augmentation est due aux fortes pluies, au régime d écoulement et à l augmentation du niveau de l oued. Années 01 Afin de confirmer les résultats précédents, on a procédé, durant l année 01, à des échantillonnages mensuels des eaux dans deux points de contrôle bien déterminés. Le premier point au niveau de la station du rocher des pigeons (oued principal). Le deuxième point à l entrée des bassins d infiltration (sur la dérivation). Les résultats obtenus sont résumés dans les tableaux et 3. 1

13 Tableau. Résultats des analyses des eaux superficielles pour l année 01 à la station du rocher des pigeons Date 08/0/1 13/0/1 1/0/1 6/0/1 07/03/1 11/03/1 0/03/1 6/03/1 01/04/1 08/04/1 16/04/1 4/04/1 30/04/1 08/05/1 0/05/1 1/06/1 04/07/1 0/09/1 Ca Mg Na K Date 08/0/1 13/0/1 1/0/1 6/0/1 07/03/1 11/03/1 0/03/1 6/03/1 01/04/1 08/04/1 16/04/1 4/04/1 30/04/1 08/05/1 0/05/1 1/06/1 04/07/1 0/09/1 Cl mg/l NO NH4 0,034 0,048 0,041 0,17 0,058 0,003 0,51 0,15 0,167 0,094 0,107 0,410 0,100 0,07 0,064 0,00 0,04 0,056 0,67 0, SO PO4 mg/l 0,78 0,34 0,34 0,08 0,39 0,309 0,88,86 0,6 0,159 0,36 0,181 0,116 0,16 0,141 HCO3 NO ,9,4 1,0 1,0 3,4,7 1, 3,1 0,8 1,5 1,7 1,4 0,5,8 1, 0,0 0,0 0,0 MES (105 C) RS ph ,7 7,8 7,6 7,4 7,8 7,5 7,8 8,0 8,0 7,9 7,9 8,1 8, 8,1 8, 8, 8,3 8, CE µ/cm

14 Tableau 3. Résultats des analyses des eaux superficielles pour l année 01 à l entrée des bassins d infiltration Date 08/0/1 13/0/1 1/0/1 6/0/1 07/03/1 11/03/1 0/03/1 6/03/1 01/04/1 08/04/1 16/04/1 30/04/1 08/05/1 0/05/1 1/06/1 04/07/1 0/09/1 Ca Mg Na K Date 08/0/1 13/0/1 1/0/1 6/0/1 07/03/1 11/03/1 0/03/1 6/03/1 01/04/1 08/04/1 16/04/1 4/04/1 30/04/1 08/05/1 0/05/1 1/06/1 04/07/1 0/09/1 Cl mg/l NO NH4 0,041 0,051 0,04 0,031 0,017 0,05 0,096 0,43 0,104 0,144 0,84 0,018 0,11 0,046 0,071 0,078 0,076 0,134 0,05 SO4 HCO3 NO PO4 mg/l 0,78 0,349 0,343 0,39 0,51 0,34 0,63 0,359 0,05 0,150 0,01 0,09 0,168 0,150 0, ,0 1,3 1,4 0,0 1,1 1,0 1,3,3 4,0 1,1 1,4 0,7 0,4 1,4 0,0 0,0 0,0 RS ph ,8 8,0 7,7 7,5 7,9 7,7 7,4 8,3 8,1 8,0 8, 8,1 8,1 8, 8, 8,3 8, CE µ/cm MES (105 C) Les résultats obtenus pour les deux points de contrôle montre que : Les valeurs des éléments chimiques sont pratiquement identiques. Les MES sont importantes à l entrée des bassins de décantation comparées à la station du rocher des pigeons. Elles sont remarquables en périodes des crues où l écoulement transporte une quantité importante de particules de sables, de terres et de sédiments suite à l érosion ou au lessivage des sols fragiles. 14

15 Transport solide L étude du transport solide se base sur un suivi mensuel de mesures continues à la station du rocher des pigeons pour les deux années 011 et 01. Année 011 La figure 7 résume les données concernant les apports solides mensuels mesurés durant l année 011. Nous constatons que les maxima ont été enregistrés entre janvier et juin. Fig. 7.Variation de la concentration (mg/l) en matière solide pour l année

16 Années 01 La figure 8 illustre montre la variation des apports solides mensuels de l année 01. Fig. 17.Variation de la concentration (mg/l) en matière solide pour l année 01 Discussion Les figures 7 et 8 montrent que les valeurs du transport solide sont importantes en période des crues où il y a une forte turbidité. Durant la période des crues, l eau est très chargée. Donc l utilisation de ces eaux risque de provoquer le colmatage des fonds des bassins d infiltrations. Alors, il faut prendre les mesures nécessaires pour éviter cette problématique. Remarque La série de données de transport solide pour l année 01 est incomplète à cause des travaux effectués dans la région du rocher des pigeons. Manque de valeurs de transport solide dans les bassins de décoration vu le manque d une station de mesures à cet endroit. Pour mener à bien ce projet, il est donc, nécessaire d installer une station de mesures en collaboration avec les services de l ANRH. 16

17 * En résume Les résultats de suivi de la qualité des eaux de l oued pour les trois années d étude (010,011 et 01) montrent que : La couleur, l odeur et la saveur de l eau sont acceptables pour faire la recharge de la nappe. La turbidité est faible. Les concentrations de Ca, Mg, et Na sont identiques, inferieures à 00 mg/l ce qui signifie que l eau est moins dure. Les concentrations du potassium sont égales à 3 mg/l (inférieure à 1 mg/l : normes). Les concentrations des chlorures varient entre mg/l (inférieures à 50 mg/l). Les concentrations des sulfates varient entre mg/l (inférieures à 50 mg/l). Les concentrations des bicarbonates varient entre (14 75) mg/l (inférieures à 00g/l). Les concentrations des nitrates varient entre 0 8 mg/l (inférieures à 50 mg/l). Les valeurs du ph obtenus varient entre 7,7 8,3. Les valeurs de la conductivité électrique varient entre ( ) µs/cm, alors que le résidu sec varie entre Les matières en suspension (MES) sont très riche en sable. Discussion Les résultats obtenus de ces analyses montrent : Une bonne qualité chimique de l eau qui sera utilisée pour la recharge de la nappe de la Mitidja. Les valeurs de la matière en suspension sont importantes. On a constaté que ces particules fines proviennent du broyage des calcaires de la sablière qui est située en amont de la zone du système de recharge proposée. Ce problème peut être réglé soit : par une amenée d eau à l amont de cette sablière. Cette solution est très coûteuse vu la longueur importante de la dérivation qui sera éventuellement réalisée. Cette partie a fait l objet de deux communications i: Abdelmadjid BOUFEKANE, Mohamed MEDDI : Study of surface water quality in the Wadi El Harrach for its use in the artificial groundwater recharge of the Mitidja (North Algeria). ème Colloque International sur la Gestion des Ressources en Eau Batna, le et 3 Octobre 013. Abdelmadjid BOUFEKANE, Mohamed MEDDI : Etude de la qualité des eaux souterraines et superficielles utilisées pour l irrigation et ses risques dans la Mitidja orientale. Séminaire National : Irrigation en Algérie, Enjeux et Perspectives, les 9 et 30 mai 01, Université de Chlef. 17

18 II.3. Modélisation de la zone pilote de la recharge artificielle de la nappe de la Mitidja II.3.1. Introduction Nous avons décrit dans la partie précédente (II.) la singularité des phénomènes responsables de la formation des dépressions piézométriques fermées dans la nappe libre de la Mitidja. Les objectifs de la modélisation sont le suivi et la surveillance de l état piézométrique dans la zone pilote avant et après l utilisation de la technique de la recharge artificielle ainsi que les risque pouvant être engendrés et de chercher une meilleure solution à travers des scénarios proposés. II.3.. Présentation de la structure modélisée a. Aperçu sur le système existant de la recharge artificielle dans le projet pilote Le projet pilote de la recharge de la nappe de la Mitidja comporte : 1ère expérience (de l ANRH) : au bord de l oued El Harrach amont, Il existe : Un (01) bassin de décantation des particules fines (50 m x 46 m x 3 m). Trois (03) bassins destinés à l infiltration des eaux (31 m x 15 m x 3 m). Ces bassins sont alimentés par un canal d amenée d eau à partir de l oued. Le projet comporte également des piézomètres qui ont été réalisés en aval pour suivre l impact de la recharge sur le niveau d eau souterrain. ème expérience (de la DRE de Blida) : située à 3Km au Nordouest du site de l ANRH. Ces bassins sont de grandes dimensions (50 à 100 m de long sur 30 à 50 m de largeur) qui sont alimentés par des canaux d irrigation datant de 187 acheminant les eaux d oued Hammam Melouane. Actuellement, cinq (05) bassins ont été réalisés dans la région comprise entre Bouinan et Bougara qui rechargent la nappe avec de grand débit : Bassin 1 : avec un débit d infiltration variant de 40 à 70 l/s, Bassin : avec un débit de 306 l/s (jaugeage du 14/03/005) les deux autres bassins reçoivent de 0 à 40 l/s Un grand bassin de décantation avant sa finalisation avait un débit entrant de 986 l/s. Remarque importante Ce projet a donné de bons résultats localement, étant donnés que les forages agricoles situés dans ce domaine exploitent les eaux souterraines à grand débit. Cette constatation est appuyée par un faible rabattement de la nappe malgré les grands pompages effectués dans la région. Actuellement, ces bassins sont à l arrêt. Donc, il est primordial de prendre en charge ce système en créant un nouveau moyen d alimentation. 18

19 Fig. 9. Les différents systèmes de recharge de la nappe de la Mitidja (ANRH, 01) Fig. 10. Situation du projet pilote pour la recharge de la nappe de la Mitidja (ANRH, 01) 19

20 b. Délimitation de la zone modélisée Le projet pilote de la recharge de la nappe est localisé au bord de l oued El Harrach qui représente l objet à modéliser. Ce dernier correspond à l étendue de la formation perméable de la région orientale de la Mitidja. Il est situé dans la région comprise entre les villes de Bouinan et de Bougara. c. Outil Ce projet pilote de la recharge artificielle représente l objet modélisé, appelé aussi "Système réel". Nous considérons l aquifère dans cette région "monocouche" avec écoulement à surface libre, bidimensionnel dans l ensemble du domaine et à faible pente hydraulique. Dans telles conditions, nous avons utilisé un modèle d écoulement bidimentionnel à savoir le modèle A.S.M (Aquifer Simulation Model) établi par W. Kinzelbach & R. Rausch (heidelberg/stuttgart) en 199, version 5.0 E. d. Discrétisation spatiale C est l étape permettant la "discrétisation" de la zone du projet dans les limites de l extension de ce dernier, c est à dire son découpages en "n" parties (ou mailles) d égales dimensions. Le programme du modèle va résoudre "n" équations, sous la forme d une matrice de "n" lignes et "n" colonnes. La zone étudiée a ainsi été subdivisée en un ensemble de mailles carrées, de 500 m de coté, réparties suivant une matrice de 17 lignes et 10 colonnes (Fig. 1), soit, 135 mailles actives, couvrant une superficie de 33,75 Km². Le fond de carte servant de référence pour le modèle est obtenu par numérisation de la carte piézométrique (Fig. 11) de la nappe de la Mitidja (compagne d octobre 01, établie par l ANRH). 0

21 Fig. 11. Carte piézométrique de la nappe de la Mitidja (ANRH, Campagne, octobre 01) e. Les conditions aux limites Les conditions aux limites sont définies comme toutes conditions hydrodynamiques, de flux ou de potentiels, permanents ou variables, imposées au sein d un système aquifère. Leurs définitions nécessitent la description quantitative du système. Limites géologiques : Les caractéristiques et la position des limites de la zone d étude, ont été élaborées à partir des informations recueillies lors de la synthèse hydrogéologique de la région. Le mur : l aquifère alluvionnaire de la Mitidja repose sur les marnes du Plaisancien imperméables. Le mur représente une limite à flux nul, sans échange par drainance avec l aquifère plus profond. Dans la zone du projet, la morphologie de cette surface a été interpolée afin d obtenir une altitude pour chaque maille du modèle. Le toit : à l échelle de la région d étude, la nappe alluviale modélisée est considérée comme libre, par conséquent, la limite du toit de l aquifère correspond à la surface du 1

22 sol, et n a pas d importance dans le modèle du moins tant que la piézométrie modélisée n atteint pas la surface du sol. Les limites à flux imposé : les conditions de flux imposé seront exprimées en termes de recharge nette : une recharge directe par infiltration des précipitations (une recharge homogénéisée au niveau de chaque maille), une recharge par l infiltration à partir de l oued El Harrach PZ PZ PZ 03 N Légende : Flux entrant par l'oued Limites à flux entrant Limites de potetiels PZ Piézomètre km Fig. 1. Maillage et conditions aux limites Remarque Pour simplifier le calage, l aquifère modélisé dans se site est considéré comme un milieu continu et isotrope au sein d une maille de calcul. Les paramètres hydrodynamiques sont la perméabilité et le coefficient d emmagasinement, caractérisant l état libre des alluvions quartenaires. Ces derniers sont identiques dans toutes les directions de l espace, donc : Kx = Ky = Kz.

23 f. Calage du modèle f.1. Piézométrie Le calage du modèle de simulation doit permettre la synthèse de toutes les données introduites, la reconstitution de celles manquantes et surtout l établissement d un accord entre l état de la nappe observé à une période donnée (Fig. 13) et celui calculé par le modèle. Il est effectué en régime permanent. Le procédé du calage consiste à ajuster l état calculé à l état réel, par modification des valeurs introduites aussi bien celles des paramètres hydrodynamiques que celles des hypothèses faites. PZ 01 N Domaine Mansour Domaine Serkadji Bougara PZ h rrac Ha l E RN N 9 Domaine Alouache ed Domaine El Bey 70 PZ 03 Ou Bouinan Projet pilote pour la recharge de la nappe Légende : PZ Piézomètre Oued Courbe isopièze Sens d'écoulement Localité Limite de la zone sud km Route Fig. 13. Piézométrie initiale utilisée pour le calage du modèle dans la région de la recharge (Octobre 01) Rappelons que l état de la piézométrie calculée, dépend des paramètres suivants : La charge piézométrique initiale ; Les perméabilités (k) ; Le coefficient d emmagasinement ; La recharge par les précipitations (infiltration efficace) attribuée à chaque maille dans le domaine d extension de la nappe étudiée ; Les flux entrants "+", correspondant au débit d inféroflux à l amont estimé par l expression de Darcy en régime permanent ; Les flux sortants "", correspondant au débit déplacé vers l aval estimé aussi par l expression de Darcy ; Les débits d exhaure (pompages) dans la région d étude. 3

24 f.. Bilan de la nappe issu du calage La phase du calage en régime permanent a permis d établir un histogramme (Fig. 14) et un organigramme (Fig. 15) représentent le bilan de la nappe modélisée en régime permanent dans la région pilote de la recharge de la Mitidja au mois d Octobre 01.. Fig. 14. Bilan en eau de la nappe modélisée en régime permanent dans la région pilote de la recharge de la Mitidja (Octobre 01) Entrées à la nappe (+) : Entrées à la nappe (+) : Recharge par l oued = Recharge par précipitation = 0,5 m3/s soit m3/j 1,69 m3/s soit m3/j Région pilote de la recharge Reste dans la nappe = 0,39 m3/s soit m3/j Sorties de la nappe () : Drainage par l oued = 0,0 m3/s soit m3/j Sorties de la nappe () : Pompage des puits + évaporation = 1,0 m3/s soit m3/j Sorties de la nappe () : Fuite vers l aval = 0,4 m3/s soit m3/j Fig. 15. Calcul détaillé du bilan en eau de la nappe modélisée en régime permanent (Octobre 01) 4

25 Discussion On peut conclure que le bilan hydrologique de la nappe calculé (mois d Octobre 01), dans la zone du projet pilote, par le modèle en régime permanent est équilibré. Le modèle est élaboré dans le cas où les bassins d infiltration sont à l arrêt (état actuel). Cependant, il faut signaler que le débit restant dans la nappe est insuffisant pour assurer son équilibre à court et moyen terme. A titre d exemple : Supposant que la région sera touchée par une sécheresse, cela obligera les utilisateurs d augmenter le débit de pompage dans les puits et les forages. Si le taux augmenté atteint une valeur de 35 % (voir un pompage de 1,6 m3/s au lieu de 1,0 m3/s), un rabattement remarquable au niveau de la nappe sera provoqué. g. Exploitation du modèle On passe à la phase d exploitation qui représente les états futurs de la nappe dans le site pilote. On dispose à ce stade d un outil permetant de prévoir les réponses de la nappe à différents schémas d exploitation. Dans cette optique et à échéance de quatre (04) ans, avec quatre (04) laps de temps d une (01) année chacun, cinq scénarios d exploitation ont été envisagés. Le contrôle de la piézométrie sera effectué au niveau de trois piézomètres, deux implantés dans la partie aval de la région d étude et le troisième en amont. Néanmoins, Ce dernier garde toujours une position aval par rapport à la zone des bassins d infiltration. Tableau. 4. Localisation des piézomètres d observation dans les mailles Piézomètre d observation PZ 01 PZ 0 PZ 03 5 Maille (x,y) (11,10) (9,8) (11,4)

26 g.1. Premier scénario Avec les ouvrages de captages existants et leurs débits actuels sans apport des bassins d infiltration, on a fait une simulation sur une période de 4 ans. Sur la base des valeurs des entrées et sorties actuel, l histogramme (Fig. 16) représentant le bilan de la nappe au bout de 4 ans d exploitation, montre que la nappe garde sensiblement les mêmes valeurs actuels. Le risque de la sécheresse toujours existe. Fig. 16. Bilan de la nappe dans le cas du premier scénario La représentation graphique de l évolution piézométrique au cours du temps (Fig. 17) montre un léger rabattement (0,35 à 0,76 m) dans les deux piézomètres de la partie aval (PZ 01 et PZ 0) et un rabattement important (1.80 m) dans la partie amont (PZ 03) durant les quatre années. 6

27 Fig. 17. Piézométrie en fonction du temps dans le cas du premier scénario g.. Deuxième scénario Dans ce cas, on suppose que la région est soumise à une sécheresse. Cette situation nous oblige à augmenter le débit d exploitation de la nappe de 35 % (passant de 1,0 m3/s à 1,6 m3/s) et réduire les apports entrant dans la nappe de 15 % (passant de,1 m3/s à 1,88 m3/s). Les bassins d infiltration sont toujours à l arrêt. Pour ce deuxième scénario, sur 4 ans d exploitation à une telle situation, le bilan de la nappe établi sera déficitaire avec "un excédent" négatif de : 0,34 m3/s. En effet, le rabattement est indiqué par une baisse très importante des profondeurs hydrostatiques aux trois piézomètres d observation. Ainsi, une importante dépression de la nappe (allant de 6,54 m à 16,43 m en 0 ans, selon le lieu) est enregistrée pour les trois piézomètres d observation. 7

28 Fig. 18. Bilan de la nappe dans le cas du deuxième scénario Fig. 19. Piézométrie en fonction du temps dans le cas du deuxième scénario 8

29 g.3. Troisième scénario L objectif de se scénario est de voir l effet des bassins d infiltration sur le rabattement de la nappe dans ce projet pilote. Pour cela, on garde le même débit d exploitation actuel (1,0 m3/s) et en relance l activité des bassins d infiltration avec un débit d infiltration de 0, m3/s. La simulation, pour ce scénario sur une période de 4 ans, conduit à des résultats intéressants. Dans ce cas, le bilan de la nappe montre une tendance vers un régime équilibré, avec un excédent de : 0,61 m3/s. Fig. 0. Bilan de la nappe dans le cas du troisième scénario Les résultats du tel scénario sur le plan de la piézométrie montrent : 9

30 Dans la partie sud, le piézomètre PZ 03 montre un relèvement piézométrique durant la première année de 3,15 m, puis une diminution ne dépassant pas 0,65 m en quatre ans. En revanche au nord, les fluctuations piézométriques sont plus prononcées (variant entre,10 m au PZ 011 et 1.05 m PZ 0). Ce scénario améliore la situation de la nappe, mais il ne répond pas aux exigences croissantes de la population de la région. Fig. 1. Piézométrie en fonction du temps dans le cas du troisième scénario Ce scénario améliore la situation de la nappe, mais il ne répond pas aux exigences croissantes de la population de la région. 30

31 g.4. Quatrième scénario Dans ce cas, nous augmentons de 1,0 m3/s à 1,50 m3/s le débit d exploitation de la nappe du fait de la demande croissante sur les ressources en eau. Les 0,30 m3/s supplémentaires sont repartis sur les puits et les forages de la région d étude. Les bassins d infiltration sont en service (0, m3/s) pour ce scénario. Ce quatrième scénario, montre que, sur 4 ans d exploitation, le régime de la nappe n est pas déficitaire mais enregistre une réserve d eau souterraine moins importante : 0,11 m3/s (Fig. ). Fig.. Bilan de la nappe dans le cas du quatrième scénario Ce quatrième scénario, montre que, sur 4 ans d exploitation, le régime de la nappe n est pas déficitaire mais enregistre une réserve d eau souterraine moins importante : 0,11 m3/s (Fig. ). Suite aux variations hydrostatiques enregistrées au cours des quatre années dans les points d observations de la région d étude (Fig. 3). On observe : Dans la partie nord, une petite remontée piézométrique (première année de simulation) après une stabilisation du niveau de la nappe. La remontée dans les deux piézomètres est de l ordre de 1.13 m dans le PZ 01 et 0.71 m dans le PZ 0. Dans la partie sud, le piézomètre PZ 03 montre une stabilité piézométrique ensuite un rabattement de l ordre de 0,45 m sur quatre années. 31

32 Fig. 3. Piézométrie en fonction du temps dans le cas du quatrième scénario g.5. Cinquième scénario Pour ce scénario, nous proposons la solution suivante : 1. de garder le même dispositif de la recharge par bassins d infiltration actuel (0, m3/s).. d ajouter un nouveau site (des bassins d infiltration dans la partie médiane de la zone d étude) avec un débit de 0,5 m3/s. 3. d utiliser trois forages déjà existants dans la partie aval avec un débit de 0,15 m3/s. Ces forages sont utilisés pour un usage double : alimentation et extraction. Le diagramme qui en découle (Fig. 4) montre un meilleur résultat que précédemment, Pour ce scénario, une tendance vers un régime très équilibré (l excédent est de : 1,01 m3/s), Les valeurs piézométriques, dans les trois piézomètres d observation, donnent des résultats satisfaisants en ce qui concerne la remontée du niveau piézométrique. Cette remontée varie entre 14,70 et 9,50 m. 3

33 Fig. 4. Bilan de la nappe dans le cas du cinquième scénario Les valeurs piézométriques dans les trois piézomètres d observation (Fig. 5), donnent les résultats satisfaisants sur la remontée du niveau piézométrique au niveau de la région d étude. Cette remontée varie entre 14,70 et 9,50 m. 33

34 Fig. 5. Piézométrie en fonction du temps dans le cas du cinquième scénario Remarque On peut donc considéré ce cinquième scénario comme étant la meilleure solution. Un projet de communication internationale, concernant cette partie, a été proposé au 41th International Congress of the IAH"Groundwater: challenges and strategies. September 1519, 014 in Marrakech (Morocco). Conclusion et recommandations Résultats obtenus et impacts des résultats du projet sur le secteur socio économique Les résultats obtenus sont énumérés ci dessous: Etude des facteurs climatiques (pluies et températures) à travers lesquels, nous avons montré le degré d impact du modification du régime pluviométrique sur les ressources en eau souterraines. La nappe a baissé d environ de 40 m par endroit du fait de la diminution des apports atmosphériques depuis 1975 et la surexploitation des eaux souterraines pour l AEP et l irrigation. A travers cette partie, nous avons montré l impact des changements climatiques sur les ressources en eau. Cet effet, montre la nécessité de la recharge artificielle pour faire augmenter la ressource en dehors de l alimentation naturelle. réalisation des modèles de prévision de la sécheresse en utilisant les chaines de Markov Nous avons fait un suivi de la qualité des eaux superficielles qui seront destinées à la recharge artificielle de la nappe. Les résultats sont positifs et les eaux peuvent être utilisées pour la recharge. Le colmatage des bassins d infiltration sera minime vu la nature des eaux (non chargées). Les caractéristiques physicochimiques des eaux n altèrent en aucun cas la qualité des eaux souterraines de la nappe de la Mitidja. Les objectifs de l étude de la qualité des eaux est atteinte. Inventaires des données nécessaires pour caler le model (Aquifer Simulation Model) pour envisager les différents scénarios de recharge de la nappe en voie de finalisation Exécution du modèle pour la simulation du niveau piézométrique de la nappe sou l effet de la recharge. Pour ce faire, cinq scénarios ont été proposés. On dispose à ce stade d un outil qui permet de prévoir les réponses de la nappe à différents schémas d exploitation. A échéance de quatre (04) ans, avec quatre (04) laps de temps d une (01) année chacun, cinq scénarios d exploitation ont été envisagés. 34

35 PZ 01 N Domaine Mansour 40 Domaine Serkadji Bougara PZ 0 50 h rrac Ha l E RN N 9 Domaine Alouache Domaine El Bey 70 PZ 03 ed Ou Bouinan Projet pilote pour la recharge de la nappe Légende : PZ Piézomètre Oued Courbe isopièze Sens d'écoulement Localité Limite de la zone sud km Route Piézométrie initiale utilisée pour le calage du modèle dans 1 scénario n 1 Le contrôle de la piézométrie sera effectué au niveau de trois piézomètres, deux implantés dans la partie aval de la région d étude et le troisième en amont. Néanmoins, Ce dernier garde toujours une position aval par rapport à la zone des bassins d infiltration. Un léger rabattement (0,35 à 0,76 m) dans les deux piézomètres de la partie aval (PZ 01 et PZ 0) et un rabattement important (1.80 m) dans la partie amont (PZ 03) durant les quatre années à venir. scénario n Dans ce cas, on suppose que la région est soumise à une sécheresse. Cette situation nous oblige à augmenter le débit d exploitation de la nappe de 35 % (passant de 1,0 m3/s à 1,6 m3/s) et réduire les apports entrant dans la nappe de 15 % (passant de,1 m3/s à 1,88 m3/s). Les bassins d infiltration sont toujours à l arrêt. Pour ce deuxième scénario, sur 4 ans d exploitation à une telle situation, le bilan de la nappe établi sera déficitaire avec "un excédent" négatif de : 0,34 m3/s. En effet, le rabattement est indiqué par une baisse très importante des profondeurs hydrostatiques aux trois piézomètres d observation. Ainsi, une importante dépression de la nappe (allant de 6,54 m à 16,43 m en 0 ans, selon le lieu) est enregistrée pour les trois piézomètres d observation. 3 scénario n 3 35

36 L objectif de se scénario est de voir l effet des bassins d infiltration sur le rabattement de la nappe dans ce projet pilote. Pour cela, on garde le même débit d exploitation actuel (1,0 m3/s) et en relance l activité des bassins d infiltration avec un débit d infiltration de 0, m3/s. La simulation, pour ce scénario sur une période de 4 ans, conduit à des résultats intéressants. Dans ce cas, le bilan de la nappe montre une tendance vers un régime équilibré, avec un excédent de : 0,61 m3/s. Les résultats du tel scénario sur le plan de la piézométrie montrent : Dans la partie sud, le piézomètre PZ 03 montre un relèvement piézométrique durant la première année de 3,15 m, puis une diminution ne dépassant pas 0,65 m en quatre ans. En revanche au nord, les fluctuations piézométriques sont plus prononcées (variant entre,10 m au PZ 011 et 1.05 m PZ 0). Ce scénario améliore la situation de la nappe, mais il ne répond pas aux exigences croissantes de la population de la région. 4 scénario n 4 Dans ce cas, nous augmentons de 1,0 m3/s à 1,50 m3/s le débit d exploitation de la nappe du fait de la demande croissante sur les ressources en eau. Les 0,30 m3/s supplémentaires sont repartis sur les puits et les forages de la région d étude. Les bassins d infiltration sont en service (0, m3/s) pour ce scénario. Ce quatrième scénario, montre que, sur 4 ans d exploitation, le régime de la nappe n est pas déficitaire mais enregistre une réserve d eau souterraine moins importante : 0,11 m3/s (Fig. ). Suite aux variations hydrostatiques enregistrées au cours des quatre années dans les points d observations de la région d étude. On observe : Dans la partie nord, une petite remontée piézométrique (première année de simulation) après une stabilisation du niveau de la nappe. La remontée dans les deux piézomètres est de l ordre de 1.13 m dans le PZ 01 et 0.71 m dans le PZ 0. Dans la partie sud, le piézomètre PZ 03 montre une stabilité piézométrique ensuite un rabattement de l ordre de 0,45 m sur quatre années. 5 scénario n 5 Pour ce scénario, nous proposons la solution suivante : 4. de garder le même dispositif de la recharge par bassins d infiltration actuel (0, m3/s). 5. d ajouter un nouveau site (des bassins d infiltration dans la partie médiane de la zone d étude) avec un débit de 0,5 m3/s. 6. d utiliser trois forages déjà existants dans la partie aval avec un débit de 0,15 m3/s. Ces forages sont utilisés pour un usage double : alimentation et extraction. 7. Pour ce scénario, une tendance vers un régime très équilibré (l excédent est de : 1,01 m3/s), Les valeurs piézométriques, dans les trois piézomètres d observation, donnent des résultats satisfaisants en ce qui concerne la remontée du niveau piézométrique. Cette remontée varie entre 14,70 et 9,50 m. Nous allons, dans la suite du projet, travailler sur ce scénario pour essayer de réaliser le dispositif 36

37 sur terrain. III. Conclusion et recommandations Le système de recharge artificielle a montré son efficacité dans le développement de la ressource en eau. Pour cela, on a proposé le système de recharge suivant qui permettra : d augmenter les réserves en ressources en eau exploitables. à relever le niveau d eau dans les puits et forages. réduire les pertes vers la mer. contribuer à l instauration du développement durable puisqu il assure la disponibilité des ressources en eau. Dans notre secteur d étude, la simulation du site pilote de la recharge artificielle de la nappe de la Mitidja (situé entre Bougara et Bouinan) montre que : Sous les conditions d exploitations actuelles un rabattement notable. Il est indispensable de réactiver le dispositif de ce site pilote qui est à l arrêt depuis 005, vu son intérêt primordial. Il est obligatoire de réaliser d autres bassins d infiltration en vue de recharger artificiellement la nappe en période des crues dans d autres sites (pied de l Atlas Blidéen, oued Chiffa, oued Djemaa, ). Perspectives L impact des ces résultats est d ordre économique et social. Nus avons montré la nécessité d une recharge de la nappe pour accroitre les volumes d eau emmagasiné. Cette opération est pratiquée dans de nombreux pays du monde même dans les régions humides. Les premiers résultats sont très encourageants. Ils seront complétés pour trouver le meilleur moyen de gestion de cette opération lorsque la doctorante engagée dans ce projet finalisera ces travaux de thèses. Elle travaille sur les différents scénarios ainsi que sur les différents modes de recharge pour faire sortir le meilleur. Aussi, vu la positivité de ces résultats, nous allons engager un travail avec l ANRH d Alger sur la dynamique de l intrusion des eaux salées dans la nappe de la côte Est d Alger. Egalement, il sera question de l impact de la recharge de la nappe, dans cette région, par les eaux traitées par la future station de BARAKI rentrant dans le cadre de l aménagement et la réhabilitation d Oued El Harrach. Cette deuxième partie complètera la première. Nous souhaitons continuer ce travail dans le cadre des projets stratégiques du pays. 37

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