CHANTIERS VERTS I. NUISANCES ET IMPACTS DES CHANTIERS. I.1. Les nuisances ressenties par les riverains
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- Flavie Gilbert
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1 CHANTIERS VERTS Les chantiers verts sont des chantiers de construction ou de réhabilitation réalisés de manière à ce que les impacts sur l'environnement et les nuisances perçues par les usagers et les riverains soient des plus réduits. Cette démarche répond à deux objectifs, selon deux échelles : celle du chantier et de sa proximité. Il s agit alors des nuisances ressenties par les usagers, extérieurs ou intérieurs au chantier : le personnel du chantier, les riverains, les occupants dans le cas de réhabilitation, les usagers de la voie publique. Ces nuisances sont par exemple le bruit, les salissures, les circulations, les stationnements. celle de l atteinte à l environnement et à la population en général. L objet est alors de préserver les ressources et richesses naturelles et de réduire l impact des chantiers sur l environnement. Cet objectif revêt une importance particulière au regard des nuisances provoquées par l ensemble des chantiers de bâtiment, surtout en termes de déchets produits et de pollutions induites. Elle ne conditionne pas une démarche Haute Qualité Environnementale, mais elle peut en constituer une action. Pour les opérations de démolition, on parle de démolition sélective ou de déconstruction mais pas de chantier vert. I. NUISANCES ET IMPACTS DES CHANTIERS I.1. Les nuisances ressenties par les riverains La présence d un chantier, surtout en site urbain, induit dans un quartier de multiples nuisances qu il convient de minimiser. Leur réduction permet en outre de limiter les problèmes de sécurité associés et les plaintes déposées par les riverains. 1. Les salissures et poussières En phase de terrassement et pendant les autres phases du chantier par temps de pluie, les sorties d engins et de camions sur la voie publique provoquent des dépôts de boue. En plus des nuisances visuelles dues à la saleté de la chaussée, se posent des problèmes de sécurité. La chaussée devient glissante et les risques d accident sont accrus. Les émissions de poussières, souvent importantes lors du remplissage des silos à ciment en phase gros œuvre et dans le cadre d une rénovation, sont en général mal perçues. 2. Les palissades Les palissades en bac acier habituellement utilisées pour clôturer les chantiers subissent des dégradations qui nuisent à leur aspect. Cela ne contribue pas à donner une image propre du chantier et constitue une nuisance visuelle pour les passants. Ces dégradations sont provoquées par des passants curieux, des collages d affiches, des graffitis. En outre, quand les palissades sont trop basses, des déchets encombrants sont souvent déposés par des particuliers dans les bennes du chantier. Toutes ces nuisances induisent des coûts supplémentaires de réparation des clôtures et de
2 gestion des déchets. 3. Les circulations La circulation d engins de chantier, de camions de livraison, de véhicules des différentes entreprises, accroît sensiblement le trafic aux environs du chantier. Les gros engins posent des problèmes d encombrement et de sécurité. Cette gêne est ressentie de façon plus aigüe en site urbain, dans les rues étroites, à proximité d une école, les heures et jours d affluence (entrée et sortie du travail, jours de marché...). L incommodité due à l augmentation de trafic s étend au-delà des abords immédiats du chantier. Les moyens pour canaliser ce trafic doivent être recherchés avec les administrations concernées. 4. Les stationnements Les véhicules privés des personnels, les fourgons et autres véhicules professionnels des entreprises, les camions de livraison en attente d entrer sur le chantier sont autant de véhicules supplémentaires à garer dans le quartier. Le stationnement de ces véhicules en bordure de chantier encombre les circulations et induit des risques d accidents. L occupation des places de stationnement habituellement utilisées par les riverains et autres usagers les gêne dans leur vie quotidienne. La raréfaction des possibilités de stationnement peut par ailleurs porter préjudice aux commerces voisins. 5. Les bruits Les nuisances acoustiques concernent à la fois les riverains, les occupants et le personnel de chantier. Elles peuvent nuire au confort et à la santé, ainsi que troubler les activités du quartier (écoles, hôpitaux...). Elles sont aujourd hui à l origine de nombreuses plaintes auprès des services municipaux. Chaque chantier est spécifique en matière d émissions acoustiques selon les techniques constructives choisies et l environnement du chantier ; de plus celles-ci évoluent au fur et à mesure des travaux. Les nuisances acoustiques sont générées par des engins, matériels et travaux bruyants, ou sont dues à un mauvais positionnement de la source (vibrations, absence d écran...). I.2. Les nuisances perçues par le personnel du chantier 1. Les niveaux de bruit Les niveaux de bruit élevés sur un chantier peuvent altérer rapidement, et souvent irréversiblement, les capacités auditives des personnels. Il faut chercher à les réduire et inciter les personnels à porter des protections individuelles. 2. La nocivité des produits et techniques Sur les chantiers sont mis en œuvre des matériaux, des produits et des techniques pouvant parfois présenter des risques vis-à-vis de la santé des personnels, notamment quand ces mises en œuvre se répètent fréquemment pendant leur carrière. Les recenser avant le début des travaux permet de les remplacer par d éventuels substituts moins nocifs ou au minimum de mieux organiser la protection des personnels. Quelques exemples : remplacer les colles à base de solvants organiques par des colles à base de résines acryliques, d un coût plus élevé mais obtenant un résultat technique
3 équivalent ; remplacer les peintures glycérophtaliques, polluantes et dégageant une forte odeur par des peintures en phase aqueuse, mais leurs qualités techniques et leur durabilité doivent être encore étudiées ; remplacer les huiles minérales de décoffrage, à l odeur forte et tenace, par des huiles à base végétale. I.3. Les impacts sur l'environnement 1. La pollution des sols et des eaux Au cours d un chantier, en l absence de précautions particulières, diverses substances liquides sont susceptibles d être déversées sur le sol et d être entraînées vers les nappes phréatiques, générant des pollutions parfois difficiles à résorber. De même, le rejet, dans les réseaux de collecte et d évacuation des eaux pluviales et des eaux usées, de solvants et autres produits dangereux est susceptible de créer des pollutions importantes. Il peut aussi endommager les réseaux et les installations de traitement des eaux usées. En outre, ces substances peuvent nuire à la santé du personnel d exploitation. Aussi des systèmes de rétention et de collecte de ces produits sur le chantier, en vue de leur élimination conforme à la réglementation, doivent être prévus. 2. La biodiversité Les plantations situées sur ou à proximité des chantiers peuvent faire l'objet d'agressions visibles ou cachées. L'espérance de vie des arbres peut être réduite, s'ils sont utilisés comme support de lignes, de câbles, de matériaux de construction ou pour amarrer des échafaudages. Lors du creusement de tranchées, le système racinaire peut être endommagé. Il est possible de mettre des protections adaptées. La faune présente dans l'environnement immédiat du chantier peut être perturbée par le trafic des camions, les terrassements, le bruit généré par les engins ou tout simplement par la destruction des habitats. Par ailleurs, les déchets laissés à même le sol peuvent être ingérés par les animaux. Un site propre, des voies de circulation limitées aux seuls besoins, contribueront à la protection de la faune et de la flore. 3. Les déchets Comme les activités industrielles, l'activité bâtiment consomme des ressources naturelles et génère des quantités non négligeables de déchets. Le mode d approvisionnement des matériaux et produits sur un chantier influe sur les quantités de déchets générées du fait des quantités approvisionnées à chaque livraison, des dimensions des matériaux et produits proposés par le fabricant, de leur conditionnement. Par exemple, une quantité de matériaux et produits inadaptée aux moyens d entreposage disponibles sur le chantier induit des risques de dégradation et de casse, sources de déchets. Par ailleurs, une minimisation des casses et dégradations diverses repose, pour une grande part, sur le choix de moyens logistiques souvent simples auxquels il convient de réfléchir dès la phase de préparation de chantier. Des actions doivent également être menées au niveau de la conception des bâtiments. Le choix des techniques mises en œuvre et des produits et matériaux utilisés, influe sur les quantités et natures de déchets plus ou moins aisés à valoriser et plus ou moins nocifs : calepinage, précision des plans et des réservations,... Ces différents points doivent faire l objet d une réflexion entre le concepteur et les entreprises. Chaque corps de métier doit
4 envisager de nouvelles méthodes permettant de produire moins de déchets. En tout état de cause, une politique de gestion des déchets de chantier doit, tout d abord, viser une réduction à la source en quantité et en toxicité, suivie d une valorisation des déchets quand des filières locales le permettent. De nombreux travaux ont été réalisés sur la gestion des déchets de chantier, notamment dans le cadre de l'élaboration des plans départementaux de gestion des déchets du BTP. Des opérations pilotes ont été réalisées tant au niveau national qu'au niveau local, à partir du milieu des années 90. Des modèles de documents contractuels intégrant des exigences de tri et de valorisation de déchets ont été édités et diffusés auprès des maîtres d'ouvrage et des maîtres d'oeuvre. Des guides de gestion des déchets ont été élaborés à des niveaux locaux afin d'informer les entreprises des filières d'élimination ou de valorisation de déchets. Tout ceci s'est fait à des niveaux très variés, selon les acteurs locaux : sensibilité de certaines collectivités, motivation des présidents d'organismes professionnels, implication des DDE (les DDE avaient la charge de l'élaboration des plans départementaux et doivent maintenant en assurer le suivi), soutien des délégations régionales de l'ademe... En tout état de cause, le problème principal était et reste encore la sensibilisation et la prise de conscience des maîtres d'ouvrage et des entreprises. I.4. Aspects réglementaires Il faut souligner que la plupart de ces impacts et nuisances font l'objet de réglementations, principalement au titre du règlement sanitaire départemental. Les textes applicables aux déchets, impact prépondérant, n'impose pas le tri. Seule la gestion conforme est obligatoire, à savoir le transport des déchets par des entreprises déclarées, l'élimination dans des installations autorisées, la valorisation des emballages dès que leur production dépasse m² par semaine. Cependant le tri est largement préconisé pour favoriser la valorisation matière en substitut de l'incinération ou de la mise en décharge. II. LES ACTEURS ET LEUR RÔLE La démarche «Chantiers verts» concerne tous les acteurs intervenant au cours de la vie d'un chantier, depuis la prise de décision jusqu'à la réalisation. Maîtrise d ouvrage Maîtrise d œuvre Entreprises Faisabilité X Programme X Choix du concepteur X Études conception X X
5 Choix des entreprises X X X Préparation de chantier (X) X X Chantier (X) X X Réception X X X Exploitation X X II.1. Le maître d'ouvrage Le maître d ouvrage est le point de départ de la maîtrise des impacts et nuisances environnementaux des opérations de construction ou de réhabilitation. Au stade de la programmation, il décide d'intégrer des objectifs environnementaux dans le processus de sélection de la maîtrise d'oeuvre et des entreprises. Il définit alors le niveau de ses exigences qu'il intègre dans les documents contractuels (marché de maîtrise d'oeuvre et dossier de consultation des entreprises). Il doit également intégrer le coût d'atteinte de ses objectifs dans l'enveloppe prévisionnelle. II.2. Le maître d'oeuvre Le maître d œuvre doit traduire la volonté du maître d ouvrage. Il rédige les cahiers des charges techniques, en introduisant les changements induits par une nouvelle façon de considérer le chantier. Les travaux menés dans le cadre de l'élaboration des plans départementaux de gestion des déchets de chantiers du BTP ont conduit dans beaucoup de départements à la réalisation de guides des prescriptions relatives aux déchets à insérer dans les marchés (CCAP et CCTP). Le maître d œuvre doit être un relais fort d information et de sensibilisation notamment auprès des entreprises encore "novices" sur les thèmes environnementaux. II.3. Les entreprises Responsables de la réalisation des travaux qui leur sont confiés, les entreprises doivent mettre en œuvre toutes les solutions techniques propres à réduire les impacts et nuisances sur l environnement. Cela implique, une réflexion de leur part sur l adaptation de leur méthodes et outils de travail et de leur organisation pour mieux répondre à ces demandes.
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