Dossier Cabri Géomètre
|
|
- Agathe Aubin
- il y a 4 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dossier Cabri Géomètre Quelques réflexions.., sur le logiciel CABRI-GEOMETRE 1 Introduction Roger Cuppens IREM de Toulouse On comprend bien mieux rmefigurt et on se La rappeue bi~n pl"s ladlem'iii q!4and 011 l'a vue p,"danlla période de constructlofj, Julius Pelersen, 1879 Dans un précédenl article [3 J, Michel CarraI el moi-même ayons montré tout l'intérêt du logiciel Cabri-Géomètre ' pour faire de 1. géométrie. Depuis l'écnture de cel article. j'ai trouvé dans plusieurs anicles concernant ou UlÎlis.ant le loglciel CabrÎ-ltéomètre de nombreuses inexactitudes. voire des contrevérités. Par exemple. dans [7]. J.L. GASSER signale _quelques limitatiml.! dans le cadre du probmme Traité,' impossibilité d'imprimer un lieu géomitn'qlle el impossibilité th r-eporrer une dis/an et simplement sur la figure (par exemple 1. cercle d. centre A et de rayon ICi. De même AG ALMoULOUD [1] prétend que Cabri-géomètre <Il, permet pas d' élaborer roules les con.nmcrirmr ch! la géométrie p/an~ ; (". est le cas 1 Cc Ioaldd lo'c.io1 torujqw1. appelé Cahri-t.co~UI!: dans ta ~~lon MacIDIOIoh. U ","1 d'abord IppdI!- ~ O~1l'e cwls,. vl!:ftloij PC. mw milldicll&fti.1i,'appc.llr: Il!J.ui Clbri-G!o~ ~ eme vtnloa. La Yc=r sion UtlliJ6e d:uts cc:t lii1,de esj la. V1:f(jQC'l 2.1 pour Macfllilosh, EUe OOIInen1 dh'me!o m;lh)'utus qw ne Sblill Pli lci\lelkmtnl ImplanJh:s dam 1. \'énaoo, PC vtndlle œ.cwellement; elles demue.dt l'~ore dms Itlle' JrDd!1ll' ne 'V1I!I'1l0D. BUiltIlfn APMEP ri' 402 ~vrl6r
2 des figur~s dans lesquelles if1terv~nnenl d~s relations mettant en jeu les notions d'angles ou de distance. Les tracés apparaissent à l'écran comme une juxtaposition de segments hamontaux ou verticaux, Ct qui augmente l'imprécision dts trac~s et peut mime, dans certains cas, nuire à la jususse du figures». Et, pl"" loin, «on ne peul pas virifitr l'aptitude d'un ilove à col1slruire des objets semi complexu COmme la médiatrice d'un segment puisque 1. logiciel trace automatiquement l'objtl disignl. D. plus, il ne comparu pas de module d. virification de l 'ad/quai ion de la figu,. con$lrutte par l'tlove au.r hypatho.. s fournies pour 1. probltm. Enfin, j'ai entendu beaucoup de gens se plaindse oralement de l'absence des nombres réels pour l'~tude des vecteurs ou des transfonmations. La première de ces critiques peut se résoudse en lisant la notice d'accompagnement : dans la version incriminte (celle implantée sur Macintosh). il suffit, quand un Ioeu est affiché il l'écran, de taper au clavier un.control-i» poul obtenir une impression de ce lieu. Mais les autres révèlent une méconnai.. anc. grave, soit de la philosophie du logiciel, soit des problèmes fonda mentaux posés par la construction des figures gtométriques. Nous nous proposons donc de reprendre un certain nombre de Dotions de base Qui fourniront une réfutation des allégations ci-dessus. Je remercie Colette LABORDE et Michel CARRAL pour avoir bien voulu lire le manuscrit et m'avoir fait des remarques judicieuses dont j'ai essayé de tenir compte dans 1. suite. 2 - Figures et constructions géométriques 2,1 - Figures géométriques On ln dans l'article de AG ALMOIJlOUD déja cité que KCohri-glomèrre est un logiciel d'aide à la construction de figures géomltriqu... On remarque que cette phrase conuent deux termes qui avaient autrefois un sens très pr6 CIS, mais qui onl peul-être moins connus aujourd 1 hui. à savoir la notion de ligure géométrique et cette de construction d' une telle figure. En langage moderne. on peut définir une ligure géométrique comme un ensemble fini d'objets élémentaires et de relations entre ces objets. En géné. rai. les objets élémentaires de la géométrie euclidienne plane sont, au moins au dtbut: le point, la droite, la demi-droite, le segment, le cercle ct l'arc de cercle. Si on regarde les objets de base de Cabri-Géom~tre. on trouve tous les objets précédents. sauf la demi-droite (pour laquelle nous proposerons une définition "potentielle" ci dessous) et l'arc de cercle qui est effectivement absent. Les relations entre objets sont des relations d',pponenance, d'inter- BuHéIin APMEp ft.f02 - F6vrier '996 6
3 section, de parall6lisme ou de perpendicularité qui figurent toutes dans Cabri -Géom~tre. n faut bien se garder de confondre 1. ligure que je viens de d6finir avec ce qu'on trace sur une feuille de papier ou SUI un écran graphique et qui n'est qu'une instance approximative de ceue figure : un angle droit est un concept abstrait dont 00 peut avoir une id6e en dessinant sur une feuille ou sur un 6crnn d'ordinateur. Puisqu'un tel dessin D'est qu'approrimatif, le. propriét6s d'une figure que l'on peut y voir sont des propriétés stables : par e.emp!e, si on peut constater qu'un triangle dont les côt6s sont dans un rappon 3, 4, 5 est rectangle (et si un maçon peut utiliser ceue propriété pour vérifier l'aplomb d'un mur), c'est que l'on peut énoncer la propriété «Si un rriangk ABC est ~ rel que al est presque Igal à b2 + c 2 alon l'angle A est presque droit» '. On peut regrouer que ce fait essentiel soit rarement mis en évidence dans les livres de géométrie. Cabri Géomètre génère de mani~re automatique une représentation de la figure correspondant à ce qu'on voit à l'écran. On peut en obtenir une repré seotation externe en utilisant l'article Afficher du menu Divers. A partir de ceue repr6sentation, on peut espérer qu' un jour C.bri Géom~tre fournisse une analyse automatique de l'ad6quation de la figure uacée par 1'6lève avec une spécification (énonc6) fournie par l'enseignant. L'étude lhéorique d'un tel analyseur a é~ réalisée par P. NICOLAS [10] pour le système Mentoniezh ; les problèmes posés par son implantation dans Cabri Géomètre sont 6rudiés par C. DESMOULlNS [6J. 2.2 Constructions à 1.0. règle el au compas Passons à la notion de construction géométrique. Ces problèmes ont été abondamment érudi6s au début du siècle, en particulier par J. PlrrERSEN [II ] et E. LEMOINE [9]. Nous partirons des travaux de LEMOINE sur la géom6trographie. \1 y définissait lin cenain nombre d'actes de base pour obtenir une construction à la règle et au compas, à savoir: faire passer le bord d'une règle par un point placé,. faire passer le bord d'une règle par deux points placés, - tracer une ligne en suivan t le bord de la règle, - mettre une pointe du compas én un point placé, - prendre dans le compas la distance de deux points placés, - mettre une pointe de compas en un point indétenniné d'une ligne tracée, - ltacer le cercle, 2 Avex; le sens du mm "presque" b préciser, BufNIr/l1 APMEP ri' 4C2 - F~r
4 et calculait en décomposant une construction donn~e en ces actes élémentaires un coefficient de simplicité el un constat de précision) de celle construcuon; la construction géométrographique éljl1t alors la construction minimisant ces coefficients. Il ajoutait d'ailleurs «nous SUPpO$t!rons que IOult droite tracte el que tout cercle (racé dans le cours djune construction le SOnt.11 efll;u. Les notions de segment, de demi-droite et d'arc de cercle ne semblent donc pas essentielles dans le domrune des constructions géométriques. Si on cherche les actes élémentaires fournis par Cabri-Géomètre, on trouve, dans le menu Créa üon : - poi nt de base - droite de base - cercle de base - segment - droite passant par deux points - cercle défini par centre et point ct dans le menu Construction : - point sur un objet - intersection de deux objets. On voit facilement que les actes élémentaires de Cabri-Géomètre permettent de retrouver n priori tous les actes de LEMOtllE. sauf un: prendre dans le compas la distance de deux points placés, c'est-à-dire. en langage moderne. reponer une longueur qui est aussi le probl~me soulevé par J.-L. GASSER. Nous monlrerons ci-dessous que la notion de macro-construclion pennet facilement de résoudre ce probl~mc. On peut alors conclure que ce logiciel permet de réaliser toutes les constructions à la règle el au compas. PeUl-on foire plus') Les construction supplémentalres de Cabri-G&>mètre On COnstate que Cabri-Géomtrre fournil dans le menu Création un objet de base supplémentaire. le triangle. el. dans le menu Constructi on. quelques construcuons supplémentaires : - milieu. m&batnce - droite parallèle - droile perpendicuhure. centre d'un cercle - symétrique d'un point - bissectrice. 3 En réahté. un coefficient de cornplexlté el un coefficient d'impn!:clslon. 8 Bu'O/ItI Al'MEP.". '02 FI'hIor ' 99tJ
5 Puisqu'on sait qu'un triangle peut se construire à la règle seule et que les constructions précédente. sont rtahsables il la règle et au compas, la donnée de ces objets n'augmente pas la puissance de construction, mais modifie, comme nous Je \'errons ci--dessous. la nolion de I.:onstruction géométrograpluque, Par contre, comme on peut uppnmer facilement des anicles d' un menu, l'objection de AG ALMOULOUD qu'un élève ne peut pas apprendre 11 construire la médiatrice tombe d'clle-même ; il suffit de le faire travaoller sur un menu réduit. C'est d'atlleurs peut-etre la meilleure manière de prendre en main le logiciel' : on suppnrne les sept articles ci-ilessus et on demande il l'apprenant de 1"" réécrire, Les constructions par glissement Le fait d'avoir plusieurs COn truct10ns supplémenllllj'es n'ajoute donc pas de possibilité nouvelle. Mais a-'-on dans Cabn-Oéomètre plus que les cons Iructions il la règle el au compas? Pour répondre il cette question, il faul regarder avec plus de préei.ion 1. notion de reialion entre objets d'une figure. On constate alors qu'ii y a dans une figure obtenue avec Cabri-Géomètre deux sortes d'objels : - les objets libres qui peuvent être déplacés par manipulation directe (on peul les saisir nvec le curseur qui prend. lors 1. fonne d' une main et les déplacer en manipulanlla SOUri5) i - les objets qui sont complètement dlltrmlnis par leurs relations avec les objets lib,.. et ne peuvent être déplacés qu 'indirectement par le déplacement d'un objet libre. Les objcls Iobres de Cabri-Géomèlre sont. les poincs de base quj 001 deux degrés de liberté : ils peuvent se déplacer dans toulle plan, - le poin ls sur objet qui n'ont qu'un degré de liberté : ils ne peuvent se déplacer que sur l'objet en question, - les droites de base qui peuvenl se déplacer en gardanl la direction fillée lors de leur création, - les cercles de base dont on peut déplacer le centre, mais qui gardent le rayon fixé lors de leur création. Si on respecte les règles du jeu proposées par les auteurs du logiciel, à savoir ne tracer que des figun:.s donc les relations seront conservées pour tout dtplacement des objets libres de la figure, on cffeclivement les figures constructibles 11 la règle et au compas, pour ajouler une ou plusieurs relations qui ne seront vérifiées que pour une posllion parucutière de l'objet. ous.. C'est en lout cas celle que j'emploie dans mes stages de formation. &M8tIllI4PMEP ff 402 FtvrlBr
6 dirons alors que la figure est définie par A7 glissement L'.. emple de la construction des polygones réguliers Il n côtés ' proposé dans le numéro 2 de la revue Cabriole 14J est de ce type, Pour construire un tel polygone, On prend deu" points Ao et At Al sur un cercle et on trace (n - 1) points A 2 _ ",. Ali tels que AOt A Il... A,. soient équidistants sur le cercle', puis on dépla- A4 A3 ce A 1 jusqu'à ce que A. coïncide avec Aa- Si la coïncidence est parfaite, le polygone A,..,;\, est alors régulier. Si la coïncidence n'est qu'approcbée, on obtient une représentation approximative un polygone régulier.ur laqueue on peut quand mame faire un certain nombre d'observations lelles que mesurer les angles, etc, Sur la figure cides us, on a une représentation approchée de l'heptagone el on peul vénfier que 51.4 x 7 = 360,29 et que 128,53 x 7 = 899,71, c'est-à-dire pratiquement 2 el 5 angles plats. Construire des figures par glissemenl revient à s,mu 1er les syst~mes articulés étudiés en particulier par H. LEBESGUE [8] : on peul ainsi construire tous les points du plan Il coordonnées algébriques. 3 - Les macro-constructions 3,1 - DéDnlüon Nous avons rappelé ci-dessus que l'on peut toujours supprimer un article d'un menu de Cabri-Géomètre. On peut aussi ajouler des macro-constructions, Qu'esl ce qu'une macro-construction? Nous commençons par une approche sommaire : si on a Il faire une même construction plusieurs fois, on peut faire la construction une fois pour toutes, la stocker sous forme de macro-construction et uuliser cene dernière pour faire directement les autres constructions. Prenons J'exemple particulièrement simple de la construction d'un carré ABCD connaissant la diagonale [AC]. On va prendre le point 0 milieu de,on sait, depuis Gauss qu'un tel polynllme D'est constructible à la ftgle et au compas que pour des valeurs tn.s particulims de Il lil!tes aux nombres de Fermat premiers. Pour ce r",re, il est Il mon av" J'drérable d'utiliser les symeaies par '"ppon aux droites passanl par le centre du cercle et l'un des sommets plulôt que les ",,,,tions préconis&:s dans Cabriole. BvNerin APMEp ft F~1I1fM
7 [AC], tracer la médiatrice d de [AC], prendre le cercle c de centre 0 et passant par A : l'iole"cc- Uon de d et de c se compose des deux points B et d D. Tous les actes se font directement à partir des A ~--+o--~c menus de Cabri-Géomètte. ceci pennel de définir tint macro-construclîon c~ dont, - les objcts initiaux sont deux points A ct C, - les obj ets intennédiaires sont le polot 0, Je droite d et le cercle c,. les objets finaux sont Jes deux points B ct D (ou, SI 'l'on veut, les quatre segments [ABJ, [BC],ICD] et [DA]). La création de cette macro-construction ajoute l'article correspondant au menu Conscruccion et on peut alo" l'uti liser: en désignant il l'écran deux points correspondant aux objets initiaux, le carré correspondant sem automatiquement tracé à l'écmn (mais pas les objets intemoédiaires). Une macro-construction est dons une construction d'une figure composée de trois types d'objets : - les objets initiaux, - le, objets intennédiaire', - les objets finaux. Si on se contente de cette approche. il arnvera souvent que le logiciel refuse de créer une macro-construcuon parce que la d6finiuon proposée est incohérente. Pour avoir une macro-constructlon cohérente, il fau l ajouter que les objets initiaux sont les seuls objets libres de la figure ' : tous les objets finaux, m.. s aussi les objels intermédiaires doivent être des objets liés. 3,2 - Les demi-droites Nous fou rnissons maintenant quelques macro-constructions simples et fondamentales. Commençons par les demi-droites. Si on veut simuler une demi-droite, il sumt de partir de deux points ~ el A 1 el de définir un ensemble fini de potots lotermédiaires Aj qw sonl définis. pour j 2: 2, comme le symétrique de Ao par rappon à Ar l ' SI les deux points initiaux SOnltrès rapprochés el si n est assez grand (j'ai pris n = 8), la macre>construcuon qui aura pour objets iniuaux les points Ao et A, et pour objet final le segment [A.,A, ] fournira une représentntion sausfaisante des demidroites sunoullorsqu'on l'appliquera à des points assez éloignés. '1 On peut lransgresser cette ~gle comme nous le verrons plus loin. BuNfltJnAPMEp ri' 4C2 FtlW1er 199ti 11
8 3.3 - L. report de. loogueurs Le problème général peut s'énoncer sous la forme suivante : se donnaot quatre points A, B, 0 et D, détenniner Je point P de 1. demi-droite [OD) tel que OP = AB. Nous commençons par le cas particulier ot. la demi-droite [OD) a même direction ct même sens que la demi-droite [AB). On conslnte alors que le problème se ramène à : se donnant ITOis points 0, A, B, construire le point P tel que OABP soit un parallélogramme. Ce problème qui est déjà compliqué s. on n' uti lise que la règle et le compas, devient très sim ple avec les constructions supplémentaires de Cabri B 0 Géomètre. Puisque le cas particulier ot. les demi-droites [A B) ct 10D) sont portées par une même droite (c'est-à-d. re où le parallélogramme est aplati) ne doit pas être écarté, On uti li sera la caractérisation d'un parallélo A gramme par la propriété de ses diagonales : on prend le mibeu M de [OBI et le symétrique P de A par rappoo 11 M. Nous aurons donc la macro-construction parallélo ayant : - ltols objets initiaux, les points 0, A el H, - un objet intermédiaire, le point M - un objet fin. I, le point P, et nous noterons P = parnllélo (0, A, 8). Avec ceue macro-construction, le problème de J, L, GASSER devient évident : se donnant trois points 0, A el B. pour construire Je cercle de cen lre 0 el de rayon AB, on prend le point P = parallélo (0, A, B) t on trace le œrcle C de centre 0 et passant par P. Un deux..ième: cao;; particulier intéressant esl celui où C = A. Ceci revient à, se donnant trois points A, B ct A D, déterminer le point P de la demi-droite [AD) tel que ABP soit un triangle isocèle en A, On utilisera évidemment la symétrie par rapport à la bissectrice de l'angle A : on trace 1. bissectrice d de l' an gle BA D et on prend le symétrique P de B par rappon à d. Nous avons donc la macro--construclion i soc~lc ayant :. trois objets initiaux, les points A, B et D, - un objet intcrmédhure, la droite d, - un objet final. le point P 12 Bulletl(l APMEP ff 402 F~vrl8r 1996
9 e' nous no'erons P = isocèle (A, B. D), Le cas général sc rédui, Il la "composi'ion" de ces deux cas particuliers : se donnan, les quatre polnls A. H, 0 e' D, on prend le point Q = parallélo(o, A. H) et le poln' P = isocèle (0, Q, D). 3,4 - Le report des angles Le problème es' Je suivant : se donnan, cinq points A, B.. C, 0 el P, crou- ver un poinl Q tel que l'angle BA C soit égal à l'angle POQ. Nous commencerons à nou,'eau par le cas particulier où 0 = A. On peul évidemment considérer Q comme le Iron,fonné de P dans la rotation d'angle -BA C, problème pour lequel deux solutions sont fournies dans le numéro 2 de Cabriole. L. première u,i1ise le fait qu'une rotation peut s'exprimer comme le produit de deux symérries axiales : on trace la bissecrrice d de - l'angle BA C et on prend le symécrique M de P par rapport à la droite (ABJ, puis le symérrique Q de M par rappert à d. La dcujt.ième consiste à cracer le cercle ( de cenlre A pass.1nl par p, à déterminer les intersections M,N des dcmi-<lroites IAB) et [AC) avec c et à prendre le symérrique Q de M par rapport à la médiarrice de lpnj. c ~ Dtuxième // Q/B / ~i ~ ilf '.' V P",,,,',, 1 V solution h ~ ~olulio" c A - C. 1 / 1 N / d 0 En simplifi ant cette dernière idée, on arrive à la construcùon suivante qui est sans aucun doute la plus économique (Lemoine aurai t da la conslruction "géométrographique") : on Q B trace la bissectnce d de l'angle PA C, puis le symétrique Q de B par rappon à d. On notera Q = rot-angle(a, B. C, Pl -"''-----'- - p A &HetNl APMEP - ft 402 FfNrler
10 C C' Q B' A o Cas génüal p Le cas général se ramène alors au cas particulier : on translate l'angle -BA C en 0 et on est ramené au cas précéd.n~ ce qui donne : - construire B' = parallélo(o, A. B), - coostruire C ' = parallélo (0, A, Cl, - construire Q = rot-sngl.(o, B'. C', Pl Quelques..,marques supplémentaires Nous ajouterons quelques remarques. Si. au lieu de se doooer la diagonale, on se donne le côté [AB ] du carre ABCD, on peut construire celui-ci eo traçant la perpeodiculaire d eo A à A Il [AB] et le cercle c de centre A et de rayon AB. L "intersection de d et c est composée de deux points dont on cboisit arbitrairement l'un d'eux C comme sommet D et, à partir de D. on construit '- _ --' --' le point C= parallélo(b, A. 0). Si le choix de l'un des points d'iotersection semble dans ce cas ne poser aucun problème, il o'en est pas de même pour des ligures complexes. car le choix entre deux intersections est lié è. des problèmes d'orientation qui ne sont pas toujours facilemeot prévisibles. Pour éviter cela, je conseiue de se passer le plus possible de l'emploi de cercles intennédiaires dans les macroconstructioos (ce n'csl évidemment pas toujours possible). d D C Remarquon aussi qu'on peut transgresser la règle selon laquelle les objets intermédiaires ou fin.ux doivent atre des objets liés en enfonçant 1. touche Symbollors de M la création de la macro-conslruction. Par exemple, pour le problème précédent. on pourra A B 14 8lJN6tJ.n APMEP. If 402 F,vrlB, 1996
11 tracer la perpendiculaire d en A à (AB), prend~ un point M sur d, et duinir D et C par D = isocèle (A, B, Ml et C = paralmlo (B, A, Dl. On pourra alorll créer une macro-construction ayant pour objets iniuau. les points A et B, pour objets intermédiaires la droite d et le point à un degré de liberté M et pour objets finaux les quatre segments [AB], [BC], [CD] et [DAI. Mais les figures obtenues avec de telles macro-constructions sont par Cois plus difficiles à prévoir que ceues obtenues avec des cercles intermédiaires. 4 - Mesures des segments et des angles 4,1 La prkwon des mesures Quand on parle de la précision des figures trac6es par Cabri-Géomètre, il ne faut pas confondre deux choses fon diff6rentes : les mesures efcectuées par le logiciel sur la représentation interne de la figure (ou, pour être précis, sur l'une de ses instances),. ce que l'on voit à l'écran et qui n'est qu'une représentation graphique de la précédente rendue très imprécise par le fait qu'un 6cran graphique n'cst composé que d'un nombre fini de pixels. Cabri géomètre calcule les coordonnées d' un point, la pente d 'une d,oite, la longueur d'un segment en centimètres, l'aire d'un polygone en cm 2 et la mesure d'un angle en degrés avec une précision de l'ordre de 10-'8. On peut obtenir cette précision avec l'article Calculer du menu Di vers (à condition d'avoir cboisi la précision maximale dans l'article Préférences du menu t,ution). Pour la représenllltion graphique, Cabri-Géomètre affiche à l'écran avec l'article Mesurer du menu Di vers la longueur d'un segment avec une précision de ler l cm et la mesure d'un angle avec une precision d'un centiè me de degré. On voit que ceci est une précision largement supérieure à ce que 1'0[1 peut obtenir dans une construction papier/crayon. La construction de figures faisant intervenir des longueurs de segments ou des mesures d'angles ne pose donc aucun problème. 4.2 Vérification d'une propriété L'article Vérifier une propriété du menu Divers permet de vérifier un cenain nombre de propriétés: 8 Un tel dtmonstnllcur existe; Chou 15] a ;mplanl~ une mêthode due à Wu avec laquelle il a démonsln! 512 théo~me. de géométrie (dont quelques no, sont nou veaux). Mais un tel démonstrateur nécessite un gros ordinateur e' est r"'auvement lent. &Ji«In APMEP ~ rr FtvritN J996 15
12 - paims alignés, - appartenance, - parallélisme, - OnhOgODalil~, - longueurs égales. Pour une lelle vérification, Cabri-Géomttre n'utilise pas de démonst.r~ teur dc théorèmes' : il se conlenle de vénfier par cajcul la validilé de celle p(opriélé sur un échantillon d' in;!8nces représenlatives de la figure. On peul donc mettre en défaut l'oracle de Cabri-Géomètre pour des problèmes exigeant des ca1culs en grande précision comme dans l'exemple suivant 0 qui correspond à une étude géométrique dc l'approxim.lton de f2 par la sui le (x.), définie par { '-0 = 1 x. =l("'_1 + _2_) 2 XrI_ 1 Pour obtenir une telle suite, nous utiliserons la notion de puissance d'un point par rappon il n cercle: si 0 est un point extérieur: à un cercle c. el si une droite d passant par 0 oupe le cercle c en T et V, alors OT.OV est indépendant de la d(oite d et est appelé puissance du point 0 par rapport au ce",le c. Si celle puissance est m et si OT = x, Alors le I1UUeu V de [TU] est tel que OV = l (x +!!!.), 2 x Il suffit d'oblenir le cas où la puissance de 0 est égale il 2, ce qui esi le cas si 1. longueur de la langente menée de 0 au cercle c esl égale à fi. Pour réaliser ceci dans Cabri, nous commençons par cons.truire la macroconstruction auxiliaire doolle. objels initiaux s.(onl deux l'omis 0 cl X et un cercle c et l'objet final un poull Y = isocèleco, V, Xl, V étant 1. milieu de l' un des poinls d'intersecùon T du cercle c cl de centre 0 pas.. nt par X et de l' inlersection V du cercle c et dc la droite lot) : o 9 Cel exemple m'a été ~uggér~ par Bernard Genevès. 16 BuNstin APMEP - rf' 402 F~, 1996
13 D'après cc qui précède,.v - Dy et x - OX sont li~, y - r par la relation (x + ~: J, m étant 1. puissance du poinl 0 par r.l'pan au cercle c. On prend alors deux potn15 0 et U tels que la longueur OU soit l'unité de mesure, le poin t V de la pe'l'endiculairc en U ~ (OU) tel que UV - OU et le point R = lsocèle(o, V, 11). Alo", OR = OV = fi. Si on prend un poinl A de la perpendiculaire en R à (OR) (par exemple le pomt d'mler>ection de cette perpendiculaire avec la droite (OV), la puissance de 0 par roppon au cercle c de cenlre A passanl par R est égale il 2. On COn5lruil alors 10 suite des points XI définis comme étanl égaux à U si j ;;: 0 et nu transformé de 0, X rl c par la mncrocon'\trucllt>n pr6c&lentc :.Tl = OX j est alors 1. SUlle définie ci dessu,. v / A '0 U R XI Géométriquemen~ pour OU = 5 cm, on cons tale que seul X, e>l nellement différent de R el que. dèsj= 2. X j est pral iquement confondu avec R. Une applicallon de l'article Calculer roumit les valeurs suivantes: Longueur(O U) = 5, cm Longueur (0 XI) = 7, cm Longueur (0 X2) = 7, cm Longueur (0 X3) = 7, cm Longueur (0 X4) = 7, cm Longueur (0 X5) = cm Longueur (0 R) = 7, cm tand" que \'tlrticle vérifi.. r la propriété répond que les segments [ORj el 8uJtetln APMEp ft 402. FtwrltJr
14 [OX3) ont des longueu", inégales tandis que les segments (OR) et fox,] ont des longueurs égales: la vérification d'une propriété n'utilise donc pas toute la précision de calcul fournie par l'article Calcul er. 5 - Les nombres réels et Cabri Géomètre us.uteurs de Cabri-Géomètre n' ont pas introduit de nombres dans leu", menus, On peu t y suppléer en représentant un nom bre k par un triplet de points u.ljgnés 0, U, K tels que OK = * : si les deuj, premie", points 0 et U OV représentent l'ongine el le point d'abscisse. 1 d'un axe, k esl l'abscisse du point K sur cet axe. Ceci est suffisant pour faire dans Cabri-Géomètre de la géométrie analytique, de la géométrie vectorielle ou pour y étudier les transformations 10, Montrons, par exemple, comment définir une macro-conslruction fournissant le u.o.nsfonné M' d'un poin. M par une homothétie de centre C el de mppon k. Une te lle macro-construction aura donc cinq points iniliaux, les points M, C, 0, U et K, et un poinl final, le poinl M'. On commence par tr1ijlslater l'axo (OV) en amenant 0 en C, ce qui donne les poonts U' cl K'. Si l'axe (OU) et la droite (CM) ne sont pas parallèles, on peut oblenlr directement le point M ' comme l'intersection de la droite (CM) avec la droite passant par K' et parallèle à (MV '). Mais une télle CO"S\nIction ne donnera flen dans le cas où (OU) et (CM) sont parallèles, Pour obtenir le cas général, il,u[fit de prendre une droite d passant par C qui ne soit pas parallèle à (CM) (par exemple le perpendiculain: à (CM)) et de considérer des poin,s Vo' L sur d te ls que CL = OK. CV OU M 'est alo," le point d'intersection de 1. droite (CM) avec 13 droite passant par L et parall~ l e à (MV). Ceci donne la réalisation su ivante en Cabri, On prend V ' = parallélo(c, 0, U) ct K' = parallélo(c, 0, K). On prend la perpendiculaire d en C à (CM), un polo' quelconque P sur d, la bissectrice d' de PCU' " et les symétriques L et V de K' et V' par rapport 11 d'. Le poin! M'est alo", le poin' d'interseclion de la droite (CM) avec la droite passant par L et parall~le à (MV). 10 Y Bouteiller et M. Dupéricr u(il;~nl cette m~lhode pour une représentation unifiée des conique5 el, dans le: numt:ro 2 de Cabri()/t!. il csi même suggéré d'étudier c:er A IlIlnCS fonctions en utilisant un seul axe de coordonnées. 1 Le. point P ne sen que pour permettre à Cabri de lniccr cette: drohe. - BCll1etin APME.P rf' Février
15 , U. d o., Remarques : 1. Une tcjle Introduction consulue un relour aux sources de la géomttrie : les nombres apparrussenl, comme chez Eucllde, comme rapport> de grandours. 2 Si les poinl' de base d'une figure sonl à coordonnées rauunnelles cl SI 1. figure est constructible. soit à la règle ct nu compas. SOli même par glnise ment, les longueurs des.egments de la figure seronl toujours des nombres algébriques, Tam qu'on ne sc pose pas le probl~me de la longueur ou de la quadr.ltljre du cercle, introduire l' nsemble de tous les rcels pour faire de la g~oméuic euclidienne "it pn=sque invc:ntcr le mancau-pilon pour cas~er dc:s noix : on sail. depuis les lm"'aux de Cantor. qu'on Inlroduit des las de figures qui ne serontjamms conslruc:ublc'io, ni même conce\'able!) 6 - Conclusion On VOlt que la compr~hension et la nlnîtnsc crun logiciel. même ::J.ussi convivial que Cabn-Géomèlre supposent un minimum de tonnais!!.ances informatiques et géom6triques el un certain a pllrenlls~agc. De plu., un logiciel a un domaine d'emploi privijé~ié : Cnbri-Géomotrc est parfaitement adapté ~ la géométrie euclidienne. L' utilisation dans d' autres domaines mathématiques (géométrie "'10".11., géométrie des Lnlnsfonnations ou même anajyse) cm po~siblc, mais ~uppose une invenllon de l'utilisateur : par exemple. III construcuon du produit d'un vecteur rur un r~el suppose une compréhension profonde de J'introduction de~ nombres récis en géométrie; il en est de même du rapport d'homothétie. L' introduction d'un outil infonnatiqu(' dans l'enseignement sc fan donc plus ou moins bien ~ l le programme n'a pas été prévu pour "ulilisation de cet outil. Elle sera profondément facilitée le jour où la concepuol] de, programme intégrera la dlnlensîon informatique. On constatera alors peut.êttt que, our enseigner la géométrie a.vec un outil comme Cabri GéomèLCc. un retou r aux sources est ~an(, doute nécessaire: une introduction trop rapide de nollons trop abstraitcs telles que \"ecteur~ ou trnn~fonnalions es. peut-être Un obstacle 11 J'opprenussage d'une bonne "vision" géométrique, &Herln APMEP ri "02 Février
16 Référeoces Il] Sado AG ALMOtILOUD. Aide logicielle <l la d.olulion de problèmu avec la preu," : de. séquences didactiquu pour l'el/uignemml de la démons Iralion Recherche en didactique des matmmatiques vol. 12 no 23 (1992).p [2] Yves BOUTEJ~LER et MIchèle DUPÉRtER. us col/iques avec le logiciel "u Géomètre", Plot n 57 (décembre 1991), p M,chel CAR"AL et Roger CUPPEl'/S, us lribulalions d'un penlagone (m commenj mtll~r une recherche avec Cabr;~Géonr~tre). Paru dans Repères [4J Cabriole, Journal des utilisateurs de Cabri-Géomèlre. Deux numéros parus (au moment de la rédaction de J'article). 5) SIIA~O - CHIl'/ CHOU. Mechanieal Geomelry Theorem Proving. D. Reidel ublishing Company, l6] Cyrille DESMOULINS, Problèmes de mise en œllv" pour un lulellr de eonslrllclion defigure. In Environnement intemctifs d'apprentissage avec ordinateur (M Baron, R. Gr., et J.- F. Nicaud, cd), Eyrolle., p [7] Jean-Luc GASSER. Virions angillaires sllr UI/ urrain de foolball. in Bulletin M'MEP 0 386, p [8] Henn LEBESGUE. uçons sur les col/slrucliolls géométriques. Gauthiers Villar; Réédité par les éditions Jacques Galay en [9] Emile ŒMOINE. Géomélrographie 0.. an des COllSlruCliolls géomitriques. Seienua, Février [10] Pierre NICOLAS, COlI.lITllction el,'lrificalioll de fil/ilres géométriques dall. le sys/ème Mellloni.v.. Thèse de l' Université de Rennes [I ll Ju lius PETERSEN, M'lhades el Ihéories pour la ré.olulion de problèmes de COIISITUClioll.. géomélriq... s. Cinquième éd,ùon. Gauthiers-Villars
Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé.
Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. I- ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) Exercice 1 (3 points) On considère
Plus en détailAngles orientés et trigonométrie
Chapitre Angles orientés et trigonométrie Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Trigonométrie Cercle trigonométrique. Radian. Mesure d un angle orienté, mesure principale.
Plus en détailSi deux droites sont parallèles à une même troisième. alors les deux droites sont parallèles entre elles. alors
N I) Pour démontrer que deux droites (ou segments) sont parallèles (d) // (d ) (d) // (d ) deux droites sont parallèles à une même troisième les deux droites sont parallèles entre elles (d) // (d) deux
Plus en détailReprésentation géométrique d un nombre complexe
CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres
Plus en détailLe théorème de Thalès et sa réciproque
Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre
Plus en détailDeux disques dans un carré
Deux disques dans un carré Table des matières 1 Fiche résumé 2 2 Fiche élève Seconde - version 1 3 2.1 Le problème............................................... 3 2.2 Construction de la figure avec geogebra...............................
Plus en détailCONJUGUÉ D'UN POINT PAR RAPPORT À UN TRIANGLE
CONJUGUÉ D'UN POINT PAR RAPPORT À UN TRIANGLE Jean Luc Bovet, Auvernier L'article de Monsieur Jean Piquerez (Bulletin de la SSPMP No 86), consacré aux symédianes me paraît appeler une généralisation. En
Plus en détail5 ème Chapitre 4 Triangles
5 ème Chapitre 4 Triangles 1) Médiatrices Définition : la médiatrice d'un segment est l'ensemble des points équidistants des extrémités du segment (cours de 6 ème ). Si M appartient à la médiatrice du
Plus en détail1S Modèles de rédaction Enoncés
Par l équipe des professeurs de 1S du lycée Parc de Vilgénis 1S Modèles de rédaction Enoncés Produit scalaire & Corrigés Exercice 1 : définition du produit scalaire Soit ABC un triangle tel que AB, AC
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détail«Aucune investigation humaine ne peut être qualifiée de science véritable si elle ne peut être démontrée mathématiquement.
«Aucune investigation humaine ne peut être qualifiée de science véritable si elle ne peut être démontrée mathématiquement.» Léonard de Vinci MATHEMATIQUES Les mathématiques revêtaient un caractère particulier
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailPROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond.
PROBLEME(12) Une entreprise doit rénover un local. Ce local a la forme d'un parallélépipède rectangle. La longueur est 6,40m, la largeur est 5,20m et la hauteur est 2,80m. Il comporte une porte de 2m de
Plus en détailDate : 18.11.2013 Tangram en carré page
Date : 18.11.2013 Tangram en carré page Titre : Tangram en carré Numéro de la dernière page : 14 Degrés : 1 e 4 e du Collège Durée : 90 minutes Résumé : Le jeu de Tangram (appelé en chinois les sept planches
Plus en détailLa géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques
La géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques III. Cercles 1. Cercle d'euler 2. Droite d'euler 3. Théorème de Feuerbach 4. Milieux des segments joignant
Plus en détailpoint On obtient ainsi le ou les points d inter- entre deux objets».
Déplacer un objet Cliquer sur le bouton «Déplacer». On peut ainsi rendre la figure dynamique. Attraper l objet à déplacer avec la souris. Ici, on veut déplacer le point A du triangle point ABC. A du triangle
Plus en détailChapitre 2 : Vecteurs
1 Chapitre 2 : Vecteurs Nous allons définir ce qu'est un vecteur grâce à une figure (le parallélogramme), mais au préalable nous allons aussi définir une nouvelle transformation (la translation). Nous
Plus en détailTOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET
TOUT E QU IL FUT SVOIR POUR LE REVET NUMERIQUE / FONTIONS eci n est qu un rappel de tout ce qu il faut savoir en maths pour le brevet. I- Opérations sur les nombres et les fractions : Les priorités par
Plus en détailChafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1
Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes
Plus en détailLes droites (d 1 ) et (d 2 ) sont sécantes en A Le point A est le point d intersection des 2 droites
I Droites perpendiculaires Lorsque deux droites se coupent, on dit qu elles sont sécantes Les droites (d 1 ) et (d 2 ) sont sécantes en A Le point A est le point d intersection des 2 droites Lorsque deux
Plus en détailLe contexte. Le questionnement du P.E.R. :
Le contexte Ce travail a débuté en janvier. Le P.E.R. engagé depuis fin septembre a permis de faire émerger ou de réactiver : Des raisons d être de la géométrie : Calculer des grandeurs inaccessibles et
Plus en détailÉVALUATION EN FIN DE CM1. Année scolaire 2014 2015 LIVRET DE L'ÉLÈVE MATHÉMATIQUES
ÉVALUATION EN FIN DE CM1 Année scolaire 2014 2015 LIVRET DE L'ÉLÈVE MATHÉMATIQUES NOM :....... Prénom :....... Né le :./../ École :............ Classe : Domaine Score de réussite NOMBRES ET CALCUL GÉOMÉTRIE
Plus en détail6. Les différents types de démonstrations
LES DIFFÉRENTS TYPES DE DÉMONSTRATIONS 33 6. Les différents types de démonstrations 6.1. Un peu de logique En mathématiques, une démonstration est un raisonnement qui permet, à partir de certains axiomes,
Plus en détailLE PRODUIT SCALAIRE ( En première S )
LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 4 Janvier 007 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble ( Année 006-007 ) 1 Table des matières 1 Grille d autoévaluation
Plus en détailVOS PREMIERS PAS AVEC TRACENPOCHE
Vos premiers pas avec TracenPoche page 1/16 VOS PREMIERS PAS AVEC TRACENPOCHE Un coup d'oeil sur l'interface de TracenPoche : La zone de travail comporte un script, une figure, un énoncé, une zone d analyse,
Plus en détailExprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 %
23 CALCUL DE L INTÉRÊT Tau d intérêt Paul et Rémi ont reçu pour Noël, respectivement, 20 et 80. Ils placent cet argent dans une banque, au même tau. Au bout d une année, ce placement leur rapportera une
Plus en détailDOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.
A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur
Plus en détailGéométrie dans l espace Produit scalaire et équations
Chapitre 11. 2ème partie Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES 2ème partie Produit scalaire Produit scalaire
Plus en détailCabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec
Cabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec Benoît Côté Département de mathématiques, UQAM, Québec cote.benoit@uqam.ca 1. Introduction - Exercice de didactique fiction Que signifie intégrer
Plus en détailExercice numéro 1 - L'escalier
Exercice numéro 1 - L'escalier On peut monter un escalier une ou deux marches à la fois. La figure de droite montre un exemple. 1. De combien de façons différentes peut-on monter un escalier de une marche?
Plus en détailCorrection : E = Soit E = -1,6. F = 12 Soit F = -6 3 + 45. y = 11. et G = -2z + 4y G = 2 6 = 3 G = G = -2 5 + 4 11
Correction : EXERCICE : Calculer en indiquant les étapes: (-6 +9) ( ) ( ) B = -4 (-) (-8) B = - 8 (+ 6) B = - 8 6 B = - 44 EXERCICE : La visite médicale Calcul de la part des élèves rencontrés lundi et
Plus en détailCh.G3 : Distances et tangentes
4 e - programme 2011 mathématiques ch.g3 cahier élève Page 1 sur 14 1 DISTC D U PIT À U DRIT Ch.G3 : Distances et tangentes 1.1 Définition ex 1 DÉFIITI 1 : Soit une droite et un point n'appartenant pas
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Pondichéry 12 avril 2007
Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 1 avril 7 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 4 points 1 a Les vecteurs AB et AC ont pour coordonnées AB ; ; ) et AC 1 ; 4 ; 1) Ils ne sont manifestement pas colinéaires
Plus en détailEXERCICES DE REVISIONS MATHEMATIQUES CM2
EXERCICES DE REVISIONS MATHEMATIQUES CM2 NOMBRES ET CALCUL Exercices FRACTIONS Nommer les fractions simples et décimales en utilisant le vocabulaire : 3 R1 demi, tiers, quart, dixième, centième. Utiliser
Plus en détailParis et New-York sont-ils les sommets d'un carré?
page 95 Paris et New-York sont-ils les sommets d'un carré? par othi Mok (3 ), Michel Vongsavanh (3 ), Eric hin (3 ), iek-hor Lim ( ), Eric kbaraly ( ), élèves et anciens élèves du ollège Victor Hugo (2
Plus en détailSoit la fonction affine qui, pour représentant le nombre de mois écoulés, renvoie la somme économisée.
ANALYSE 5 points Exercice 1 : Léonie souhaite acheter un lecteur MP3. Le prix affiché (49 ) dépasse largement la somme dont elle dispose. Elle décide donc d économiser régulièrement. Elle a relevé qu elle
Plus en détailPriorités de calcul :
EXERCICES DE REVISION POUR LE PASSAGE EN QUATRIEME : Priorités de calcul : Exercice 1 : Calcule en détaillant : A = 4 + 5 6 + 7 B = 6 3 + 5 C = 35 5 3 D = 6 7 + 8 E = 38 6 3 + 7 Exercice : Calcule en détaillant
Plus en détailIntroduction à Adobe Illustrator pour la cartographie et la mise en page
Atelier Carto. Septembre 2009 Dept. Géographie / Université de Toulouse-Le Mirail Laurent Jégou Introduction à Adobe Illustrator pour la cartographie et la mise en page Le présent support n'a pas prétention
Plus en détailDurée de L épreuve : 2 heures. Barème : Exercice n 4 : 1 ) 1 point 2 ) 2 points 3 ) 1 point
03 Mai 2013 Collège Oasis Durée de L épreuve : 2 heures. apple Le sujet comporte 4 pages et est présenté en livret ; apple La calculatrice est autorisée ; apple 4 points sont attribués à la qualité de
Plus en détailInitiation à la programmation en Python
I-Conventions Initiation à la programmation en Python Nom : Prénom : Une commande Python sera écrite en caractère gras. Exemples : print 'Bonjour' max=input("nombre maximum autorisé :") Le résultat de
Plus en détailChapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION
Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Rappel d u c h api t r e pr é c é d en t : l i de n t i f i c a t i o n e t l e s t i m a t i o n de s y s t è m e s d é q u a t i o n s s i m u lt a n é e s r e p o
Plus en détailLa médiatrice d un segment
EXTRT DE CURS DE THS DE 4E 1 La médiatrice d un segment, la bissectrice d un angle La médiatrice d un segment Définition : La médiatrice d un segment est l ae de smétrie de ce segment ; c'est-à-dire que
Plus en détailActivités numériques [13 Points]
N du candidat L emploi de la calculatrice est autorisé. Le soin, la qualité de la présentation entrent pour 2 points dans l appréciation des copies. Les résultats seront soulignés. La correction est disponible
Plus en détailLe seul ami de Batman
Le seul ami de Batman Avant de devenir un héros de cinéma en 1989, Batman est depuis plus de 50 ans un fameux personnage de bandes dessinées aux États-Unis. Il fut créé en mai 1939 dans les pages de Détective
Plus en détailEté 2015. LIVRET de RÉVISIONS en MATHÉMATIQUES
Eté 2015 LIVRET de RÉVISIONS en MATHÉMATIQUES Destiné aux élèves entrant en Seconde au Lycée Honoré d Estienne d Orves Elaboré par les professeurs de mathématiques des collèges et lycées du secteur Une
Plus en détailUTILISATION DE CABRI-GEOMETRE POUR LES PROGRAMMES DE CONSTRUCTION EN CLASSE DE SIXIEME
I.U.F.M Académie de Montpellier Site de Montpellier BUFFET Charles UTILISATION DE CABRI-GEOMETRE POUR LES PROGRAMMES DE CONSTRUCTION EN CLASSE DE SIXIEME Contexte du mémoire Discipline : Mathématiques
Plus en détailSOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES
SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES MES 1 Les mesures de longueurs MES 2 Lecture de l heure MES 3 Les mesures de masse MES 4 Comparer des longueurs, périmètres.
Plus en détailRaisonnement par récurrence Suites numériques
Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.
Plus en détailMAT2027 Activités sur Geogebra
MAT2027 Activités sur Geogebra NOTE: Il n est pas interdit d utiliser du papier et un crayon!! En particulier, quand vous demandez des informations sur les différentes mesures dans une construction, il
Plus en détail2. RAPPEL DES TECHNIQUES DE CALCUL DANS R
2. RAPPEL DES TECHNIQUES DE CALCUL DANS R Dans la mesure où les résultats de ce chapitre devraient normalement être bien connus, il n'est rappelé que les formules les plus intéressantes; les justications
Plus en détailBaccalauréat S Nombres complexes Index des exercices sur les complexes de septembre 1999 à juin 2012 Tapuscrit : DENIS VERGÈS
Baccalauréat S Nombres complexes Index des exercices sur les complexes de septembre 1999 à juin 2012 Tapuscrit : DENIS VERGÈS N o Lieu et date Q.C.M. Algébrique Géométrie 1 Asie juin 2012 2 Métropole juin
Plus en détail1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..
1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé
Plus en détailSéquence 2. Repérage dans le plan Équations de droites. Sommaire
Séquence Repérage dans le plan Équations de droites Sommaire 1 Prérequis Repérage dans le plan 3 Équations de droites 4 Synthèse de la séquence 5 Exercices d approfondissement Séquence MA0 1 1 Prérequis
Plus en détailD'UN THÉORÈME NOUVEAU
DÉMONSTRATION D'UN THÉORÈME NOUVEAU CONCERNANT LES NOMBRES PREMIERS 1. (Nouveaux Mémoires de l'académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Berlin, année 1771.) 1. Je viens de trouver, dans un excellent
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détailINTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES
INTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES Dominique LAFFLY Maître de Conférences, Université de Pau Laboratoire Société Environnement Territoire UMR 5603 du CNRS et Université de Pau Domaine
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détail1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R.
Angles orientés Trigonométrie I. Préliminaires. Le radian Définition B R AB =R C O radian R A Soit C un cercle de centre O. Dire que l angle géométrique AOB a pour mesure radian signifie que la longueur
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailLogiciel SCRATCH FICHE 02
1. Reprise de la fiche 1: 1.1. Programme Figure : Logiciel SCRATCH FICHE 02 SANS ORDINATEUR : Dessiner à droite le dessin que donnera l'exécution de ce programme : Unité : 50 pas : Remarque : vous devez
Plus en détailINFO 2 : Traitement des images
INFO 2 : Traitement des images Objectifs : Comprendre la différence entre image vectorielle et bipmap. Comprendre les caractéristiques d'une image : résolution, définition, nombre de couleurs, poids Etre
Plus en détailLes Angles. I) Angles complémentaires, angles supplémentaires. 1) Angles complémentaires. 2 Angles supplémentaires. a) Définition.
Les Angles I) Angles complémentaires, angles supplémentaires 1) Angles complémentaires Deux angles complémentaires sont deux angles dont la somme des mesures est égale à 90 41 et 49 41 49 90 donc Les angles
Plus en détailBaccalauréat L spécialité, Métropole et Réunion, 19 juin 2009 Corrigé.
Baccalauréat L spécialité, Métropole et Réunion, 19 juin 2009 Corrigé. L usage d une calculatrice est autorisé Durée : 3heures Deux annexes sont à rendre avec la copie. Exercice 1 5 points 1_ Soit f la
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailRésolution de problèmes à distance
Résolution de problèmes à distance Table des matières 1. INTRODUCTION... 2 2. PROCESSUS DE GESTION DES PROBLEMES... 3 3. RECONNAITRE LE PROBLEME... 4 3.1. NE PAS CONFONDRE QUESTION ET PROBLEME... 4 3.2.
Plus en détailCorrection du baccalauréat S Liban juin 2007
Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailChapitre. Conquérant est une toile de 1930 qui se trouve au Centre Paul Klee à Berne (Suisse). Paul Klee (1879-
Chapitre 9 REVOIR > les notions de points, droites, segments ; > le milieu d un segment ; > l utilisation du compas. DÉCOUVRIR > la notion de demi-droite ; > de nouvelles notations ; > le codage d une
Plus en détailMesure d angles et trigonométrie
Thierry Ciblac Mesure d angles et trigonométrie Mesure de l angle de deux axes (ou de deux demi-droites) de même origine. - Mesures en degrés : Divisons un cercle en 360 parties égales définissant ainsi
Plus en détailConstruction d un cercle tangent à deux cercles donnés.
Préparation au CAPES Strasbourg, octobre 2008 Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Le problème posé : On se donne deux cercles C et C de centres O et O distincts et de rayons R et R
Plus en détailC.F.A.O. : Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur.
C.F.A.O. : Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur. La CFAO réunit dans une même démarche informatique les actions de conception et de fabrication d un objet. La technique utilisée permet à
Plus en détailLE PROCESSUS ( la machine) la fonction f. ( On lit : «fonction f qui à x associe f (x)» )
SYNTHESE ( THEME ) FONCTIONS () : NOTIONS de FONCTIONS FONCTION LINEAIRE () : REPRESENTATIONS GRAPHIQUES * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
Plus en détailLeica DISTO A2. The original laser distance meter
Leica DISTO A2 The original laser distance meter Manuel d'utilisation Français Nous vous félicitons pour l'achat de votre Leica DISTO. Vous trouverez les consignes de sécurité dans la brochure en annexe.
Plus en détailUNITÉS ET MESURES UNITÉS DE MESURE DES LONGUEURS. Dossier n 1 Juin 2005
UNITÉS ET MESURES UNITÉS DE MESURE DES LONGUEURS Dossier n 1 Juin 2005 Tous droits réservés au réseau AGRIMÉDIA Conçu et réalisé par : Marie-Christine LIEFOOGHE Bruno VANBAELINGHEM Annie VANDERSTRAELE
Plus en détailThème 17: Optimisation
OPTIMISATION 45 Thème 17: Optimisation Introduction : Dans la plupart des applications, les grandeurs physiques ou géométriques sont exprimées à l aide d une formule contenant une fonction. Il peut s agir
Plus en détailLa sauvegarde (backup) de votre comptabilité a pour but de vous permettre de retrouver vos données si un incident est survenu.
Logiciels concernés Ciel Compta Premium, Evolution et Réseau. Depuis la version 10.xx jusqu'à la version 13.xx Sauvegarde Remarque préliminaire La sauvegarde (backup) de votre comptabilité a pour but de
Plus en détailPARTIE NUMERIQUE (18 points)
4 ème DEVOIR COMMUN N 1 DE MATHÉMATIQUES 14/12/09 L'échange de matériel entre élèves et l'usage de la calculatrice sont interdits. Il sera tenu compte du soin et de la présentation ( 4 points ). Le barème
Plus en détailMetrohm. ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781. Un nouveau concept qui fait référence. Analyse des ions
Metrohm Analyse des ions ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781 Un nouveau concept qui fait référence Des fonctions multiples faciles à utiliser Le ph-mètre 780 et le ph-/ionomètre 781 associent la qualité Metrohm
Plus en détailCours Informatique Master STEP
Cours Informatique Master STEP Bases de la programmation: Compilateurs/logiciels Algorithmique et structure d'un programme Programmation en langage structuré (Fortran 90) Variables, expressions, instructions
Plus en détail4G2. Triangles et parallèles
4G2 Triangles et parallèles ST- QU TU T SOUVINS? 1) On te donne une droite (d) et un point n'appartenant pas à cette droite. vec une équerre et une règle non graduée, sais-tu construire la parallèle à
Plus en détailCOMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre?
Claire FORGACZ Marion GALLART Hasnia GOUDJILI COMPTERENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Si l on se pose la question de savoir comment on peut faire
Plus en détailExercices du Cours de la programmation linéaire donné par le Dr. Ali DERBALA
75. Un plombier connaît la disposition de trois tuyaux sous des dalles ( voir figure ci dessous ) et il lui suffit de découvrir une partie de chacun d eux pour pouvoir y poser les robinets. Il cherche
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailCOURS EULER: PROGRAMME DE LA PREMIÈRE ANNÉE
COURS EULER: PROGRAMME DE LA PREMIÈRE ANNÉE Le cours de la première année concerne les sujets de 9ème et 10ème années scolaires. Il y a bien sûr des différences puisque nous commençons par exemple par
Plus en détailNote de cours. Introduction à Excel 2007
Note de cours Introduction à Excel 2007 par Armande Pinette Cégep du Vieux Montréal Excel 2007 Page: 2 de 47 Table des matières Comment aller chercher un document sur CVMVirtuel?... 8 Souris... 8 Clavier
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailCatalogue des connaissances de base en mathématiques dispensées dans les gymnases, lycées et collèges romands.
Catalogue des connaissances de base en mathématiques dispensées dans les gymnases, lycées et collèges romands. Pourquoi un autre catalogue en Suisse romande Historique En 1990, la CRUS (Conférences des
Plus en détailDiviser un nombre décimal par 10 ; 100 ; 1 000
Diviser un nombre décimal par 10 ; 100 ; 1 000 Diviser un nombre décimal par 10 ; 100 ; 1 000. 23 1 et 2 Pauline collectionne les cartes «Tokéron» depuis plusieurs mois. Elle en possède 364 et veut les
Plus en détailDURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE
DURÉE DU JUR E FCTI DE LA DATE ET DE LA LATITUDE ous allons nous intéresser à la durée du jour, prise ici dans le sens de période d éclairement par le Soleil dans une journée de 4 h, en un lieu donné de
Plus en détailIntroduction : Cadkey
Introduction Cadkey Cadkey est un logiciel de dessin assisté par ordinateur. La fenêtre du logiciel devrait ressembler à quelque chose comme suit: Le menu supérieur: Redraw Autoscale Efface Modifier les
Plus en détailL'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes
L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes Les 3 objectifs sont poursuivis aussi bien à l'école maternelle, qu'à l école primaire MATERNELLE * Favoriser la construction des actions motrices
Plus en détailPropagation sur réseau statique et dynamique
Université de la Méditerranée UFR Sciences de Luminy Rapport de stage informatique pour le Master 2 de Physique, Parcours Physique Théorique et Mathématique, Physique des Particules et Astroparticules.
Plus en détailCORRECTION EXERCICES ALGORITHME 1
CORRECTION 1 Mr KHATORY (GIM 1 A) 1 Ecrire un algorithme permettant de résoudre une équation du second degré. Afficher les solutions! 2 2 b b 4ac ax bx c 0; solution: x 2a Solution: ALGORITHME seconddegré
Plus en détailCHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques
CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On
Plus en détailBANQUES DE DONNÉES PÉDAGOGIQUES
223 Daniel BURET, Jean-Claude BLANCHARD. HISTORIQUE L'EPI a entrepris en 1989 de créer des bases d'énoncés mathématiques destinées aux enseignants pour la production de documents et accompagnées d'un outil
Plus en détailPetit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007
Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007 page 1 / 10 abscisse addition additionner ajouter appliquer
Plus en détailUN TOURNOI A GAGNER ENSEMBLE
UN TOURNOI A GAGNER ENSEMBLE Ce tournoi réunit 3 classes de CM1, CM2 et 6, chaque équipe essaye de réussir le plus grand nombre possible des 82 exercices proposés. Objectifs généraux : Pour les 6, accueillir
Plus en détailRappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie
Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie 1 Définition des nombres complexes On définit sur les couples de réels une loi d addition comme suit : (x; y)
Plus en détail