Éditorial. Tracés. Revue de Sciences humaines. L illusion. Anthony Manicki et Arnaud Fossier

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1 Tracés. Revue de Sciences humaines L illusion Éditorial Anthony Manicki et Arnaud Fossier Édition électronique URL : ISSN : Éditeur ENS Éditions Édition imprimée Date de publication : 1 avril 2005 Pagination : 7-12 ISSN : Référence électronique Anthony Manicki et Arnaud Fossier, «Éditorial», Tracés. Revue de Sciences humaines [En ligne], , mis en ligne le 20 janvier 2009, consulté le 03 mai URL : journals.openedition.org/traces/2113 Tracés est mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.

2 Editorial «Exiger [que l homme] abandonne toute illusion sur son état, c est exiger qu il renonce à un état qui a besoin d i l l u s i o n s.» K. Ma rx, Pour une critique de la philosophie du droit de He g e l. 1 Associée ne serait-ce qu étymologiquement au jeu (l u d u s), et même au diable, l illusion a durant longtemps été dévalorisée, tout du moins dans les sociétés occidentales. Assimilée au jeu, au simulacre, ou au mirage, elle ferait donc office de pendant «n é g a t i f» non seulement du «r é e l» mais aussi de la «v é r i t é». Le rationalisme cart é s i e n s a n c re dans cette longue tradition théorique occidentale : l illusion est une croy a n c e fausse et trompeuse. Elle est, dans les Méditations métaphysiques, ce qui n est ni clair ni distinct, ce qui est fondamentalement rejeté de l expérience intuitive du c o g i t o 2. La saisie du cogito est indubitable, alors que toutes les autres choses peuvent être soumises au doute et en cela ne sont méthodologiquement que des i l l u s i o n s. Par différence avec la c e rtitude immédiate du c o g i t o, du «je pensant», l illusion est conçue par De s c a rtes comme ce qui caractérise les objets qui sombrent sous le coup du doute méthodique et radical. C est pourquoi elle est directement associée, dans la «Pre m i è re Méditation», à la tromperie du mauvais génie 3. Serait illusoire ce qui ne correspond pas à la réalité d un contexte ou d une situation donnée. Il faut en effet envisager l illusion à l aune du critère de réalité plus que de vérité. L illusion n est pas le contraire de la vérité à savoir l e r re u r, laquelle peut être corrigée dès lors qu on en a pris conscience. L illusion, elle, persiste, puisqu elle masque ce qui est conçu, préalablement à travers un système de croyances ou de valeurs, comme réel. Elle est un d é f a u t de la perception qui, dès lors qu il est mis en évidence, cherche à 1. In Marx K., Philosophie, Paris, Gallimard, 1982, Trad. M. Rubel. 2. Le «donc» du cogito ergo sum n étant pas déductif mais intuitif: je suis dès lors que je doute, et non parce que je doute. 3. Descartes écrit ainsi dans la Première Méditation : «Je penserai que le Ciel, l air, la terre, les couleurs, les figures, les sons et toutes les choses extérieures que nous voyons, ne sont que des illusions et tromperies dont le mauvais génie se sert pour surprendre ma crédulité ( ). Je prendrai garde soigneusement de ne point recevoir en ma croyance aucune fausseté, et préparerai si bien mon esprit à toutes les ruses de ce grand trompeur que, pour puissant et rusé qu il soit, il ne pourra jamais rien imposer.» (Descartes R., «Première Méditation», in Descartes R., Méditations métaphysiques, Ed. J.-M. Beyssade, Paris, Flammarion, 1992, pp ). REVUE TRACÉS n 8 printemps 2005 p. 7-12

3 REVUE TRACÉS n 8 printemps 2005 ê t re corrigé ; plus encore l illusion doit être d i s s i p é e. Le problème est alors de savoir si un c o n t e x t e, conçu comme urgence pratique, est «f a i t» d illusions, et, plus avant, s il gén è re lui-même des illusions. Si nous définissons temporairement le contexte comme l ensemble de paramètres qui rendent possible une action, nous pouvons aussi le caractériser par l indiscernabilité entre le réel et l i l l u s o i re, le faisable et l utopique, l o b j e c t i f et le subjectif. A la question consistant à déterminer s il existe des illusions nécessaire s s a d- joint celle de savoir comment sont produites les illusions. Aux illusions intern e s s p é c i- fiques à un système référentiel ou à un contexte, et qui en constituent les conditions (pragmatiques) de possibilité et d efficacité pratiques, s a rticulent donc des objets illus o i re s extérieurs à ce même système tels que les fantasmes et les utopies, par exe m p l e. Pa rce qu on ne peut la réduire à une simple erreur qui s annihile dès lors qu on en p rend connaissance, il faut mettre en évidence les modes spécifiques de production de l illusion. En d a u t res termes, la pre m i è re tâche qui nous incombe ici consiste à déterminer en quoi l illusion présuppose un contexte qui la fonde et qui apparaît comme sa condition de possibilité indispensable. Si un c a d re (théorique, perc e p t i f, esthétique ) e xclut bien des objets considérés comme illusoires, en re t o u r, ce cadre est lui-même défini par des illusions internes qui rendent possible l action. D une part, chaque contexte conçu au sens large comme un ensemble circonscrit d événements, de choses ou d énoncés exclut des objets qui sont, par rapport à lui, illusoires. D autre part, ce même contexte est fondé sur des illusions qui masquent certaines complexités que l u r g e n c e empêche d a n a l y s e r, et qui, pour cette raison, permettent l action. Resterait alors, pour re n d re toute sa positivité à ce concept, à montrer en quoi l i l l u- sion tend nécessairement à se dissocier du contexte qui la présuppose pour ensuite fonctionner elle-même comme un système produisant des pratiques originales. Il en va ainsi des croyances, issues d un certain contexte, et qui finissent par ne plus se référe r aucunement à ce contexte pre m i e r. Par exemple, la publicité entretient la croy a n c e que la valeur des marchandises constitue une de leur propriété essentielle, alors même que dans le contexte de la «s p h è re de pro d u c t i o n», le coût de ces biens est infime. Le passage de la fabrication à la diffusion, d un contexte de production à un contexte de circulation des marchandises, génère des illusions (des croyances en l o c c u r rence) qui n ont plus pour référent la production. En ce sens, elles s autonomisent du contexte qui les présupposent. Illusion, perception et jugement L illusion re n voie à des normes, à des principes (expérimentaux, théoriques, empiriques ) de connaissance, et par là même à des croyances, dont il nous faudra décrire les modalités. Cette notion d illusion cristallise les problèmes de notre mode d accès aux 8

4 Éditorial choses, de l objectivité, de la réalité, vo i re de l essence, de celles-ci. Peut-on postuler l e x i s- tence de données sensorielles, de sense data (pour re p re n d re un idiome pro p re aux sciences c o g n i t i ves), qui ne soient pas préconditionnées par le fait que nous y ayons accès? Ne sont-elles pas déformées par le prisme de notre perc e p t i o n? C est tout l enjeu des théories constructionnistes de montrer que la réalité est fabriquée par nos jugements, et de la sociologie des sciences de décrire les processus d établissement de faits, qui passent par la mise à l é c a rt subtile de certains paramètres. Nous ne sommes pas dans un rapport de transparence avec le réel, mais il est indéniable que parfois nous nous trompons, croyant réel ce qui n est qu i l l u s o i re. Nous pouvons avoir une expérience véridique et une expérience illusoire ; néanmoins notre expérience illusoire demeure une expérience, et une expérience d e quelque chose. L o b j e t de l illusion devient un objet complexe, un «objet intentionnel» qui détermine notre expérience sensorielle. Rien ne permet de distinguer, de notre seul point de vue, l i l l u- sion et l expérience véridique. Est-ce à dire qu elles re l è vent toutes deux d un même état mental? Si expérience véridique et illusion semblent se confondre sur un plan pré-réflexif, il ne s ensuit pas pour autant que, sur un plan post-réflexif, ce soient les mêmes objets qui nous soient donnés à travers ces deux formes d expérience. Le statut ontologique de l objet de l illusion peut donc différer de celui de l expérience véridique. Le jugement que certaines philosophies ont pu qualifier de «d é vo i l e m e n t» est ainsi ce qui permet de pre n d re connaissance de l illusion sans toutefois la supprimer, car elle n est pas une e r re u r. Cependant, le jugement est lui aussi fondateur d illusion dans la mesure où il est ce qui crée l i l l u- sion en déterminant l objet perçu comme «vrai et réel». Ce qui est en jeu, c est donc bien la validité théorique et pratique du vieux clivage illusion/ réalité. Il y aurait moins illusion qu e r reur dans notre usage du langage. On ne peut finalement parler d illusion que si on présuppose une norme de la connaissance à laquelle ne correspond pas l i l l u s i o n, mais à partir de laquelle on cherche à l e x p l i q u e r. On peut ici penser au degré de vérité q u a c c o rdent les anthropologues ou les historiens aux miracles : ils peuvent leur re c o n- n a î t re une valeur sociétale ou culturelle, sans pour autant cro i re à leur efficience. To u t e illusion est re l a t i ve à l acceptation d un système de croyances. Illusion et engagement On pourra dès lors déterminer la dimension contextuelle de l illusion afin de re n d re compte de son double fonctionnement. D une part en tant qu objet illusoire : est alors illusion ce qui, non conforme aux principes constitutifs d un c a d re, en est exclu. D autre p a rt en tant qu illusion interne : elle fonctionne dans ce cas comme condition de possibilité de l action. C est parce qu on est engagé dans une urgence pratique que l on ne 9

5 REVUE TRACÉS n 8 printemps 2005 peut discerner le réel (supposé) de l i l l u s o i re. L illusion est une condition n é c e s s a i re d e l action. L acteur (ou le sujet) parce qu il est inscrit dans un contexte, n est jamais pleinement conscient des principes de son action. P. Bourdieu parle de «m é c o n n a i s s a n c e» et d i l l u s i o pour qualifier cette inconscience nécessaire à l a c t i o n 4. L illusion peut dès lors ê t re définie comme un aveuglement de l acteur par rapport au contexte dans lequel il se t ro u ve sans que cet aveuglement soit nécessairement perçu de manière négative 5. Un c o n t e x t e constitue donc un ensemble de conditions qui rendent p o s s i b l e une action, et i m p o s s i b l e une autre, ce que N. Elias appelle «c o n f i g u r a t i o n» 6. En jeu aussi dans cette exploration de la notion d illusion, l explicitation de ce que peut être un contexte. Plus avant, la configuration est fondée sur des illusions internes, lesquelles re n d e n t p e n s a b l e une action et impensable une autre. Des effets de l i l l u s i o n Une fois esquissée cette positivité de l illusion conçue comme condition de possibilité de toute pratique, on peut insister sur la dimension c r é a t r i c e de l illusion dans les a rts, r é g u l a t r i c e dans la société ou s t ru c t u ra n t e dans la perception, analyser les différe n t s p rocédés esthétiques fondés sur l illusion, montrer dans quelle mesure nos croyances déterminent ce que l on croit être une perception objective ou enre g i s t rer certains mécanismes idéologiques (duperie, endoctrinement ). C est la positivité même de l i l l u s i o n qui est ici en jeu. Afin de ne pas réduire ce concept à la description toute négative d u n e n vers de la vérité ou de la réalité, il s agit de re n d re compte de sa puissance normative. Loin de l e m p ê c h e r, l illusion permet la pratique, ou plutôt p ro d u i t des effets pra- 4. Bourdieu P., «Intérêt et désintéressement», Cours du Collège de France, Bourdieu forge, ou resémantise plus exactement, la notion d illusio pour désigner cet aveuglement propre à l individu situé dans un champ. 5. L illusion apparaît ainsi chez Nietzsche comme un véritable stimulant de l action. Afin d échapper à un pessimisme latent, résultat négatif des conditions de l existence, il voit dans l illusion une croyance comportant une dimension positive. Reprenant dans un de ses premiers textes La Naissance de la tragédie le thème schopenhauerien de l illusion consolatrice, il développe une théorie des trois degrés de l illusion : socratique, artistique, métaphysique. La première devant guérir «la plaie éternelle de la vie» par la connaissance, la seconde par l art, la troisième par une espérance en la vie éternelle. Nietzsche écrit ainsi : «C est un phénomène éternel : toujours l insatiable Volonté trouve un moyen pour attacher ses créatures à l existence et les forcer à continuer de vivre, à l aide d une illusion répandue sur les choses. ( ) Les trois degrés de l illusion sont réservés aux plus nobles natures, chez lesquelles le poids et la misère de l existence suscitent un dégoût plus profond et qui ne peuvent échapper à ce dégoût que par le secours de stimulants choisis». (La Naissance de la tragédie. Trad. G. Bianquis, Paris, Gallimard, 1949, p. 91). 6. Elias N., Scotson J.-L., Logiques de l exclusion : enquête sociologique au cœur des problèmes d une communauté, Paris, Fayard, 1997, trad. de l anglais par P.-E. Dauzat. 10

6 Éditorial tiques. La sociologie religieuse wébérienne analyse par exemple le bouddhisme comme un ascétisme extra-mondain, qui caractérise la vie quotidienne comme illusoire. Pa r conséquent, il n est pas nécessaire de changer le monde, puisque celui-ci est une illusion. On a là, t y p i q u e m e n t, les conditions d impossibilité d émergence du capitalisme moderne (qui, lui, nécessite l action dans le monde à la gloire de Dieu). En apparaissant sous une forme fantasmagorique, l illusion constitue se dissociant ainsi du contexte qui la présuppose un système illusoire de déterminations (sociales, politiques, etc.) qui fonctionne comme une stru c t u re guidant un ensemble de pratiques. Ma rx a mis en évidence 7 par le concept de «fétichisme de la marc h a n d i s e» en quoi la valeur des marchandises produites par le mode de production capitaliste apparaît de m a n i è re illusoire comme une détermination e s s e n t i e l l e à la chose même, alors qu e l l e n est que la cristallisation de paramètres (temps de travail socialement nécessaire à sa fabrication, rapport entre valeur d usage et valeur d échange) indirectement reliés à cette chose. In t e r roger les modalités de l illusion, c est donc re m e t t re en cause la pert i n e n- ce des critères essentialistes qui servent d o rd i n a i re à approcher un «e n - s o i» virtuel des p h é n o m è n e s. Illusion, croyance et usages De l illusion présupposant un contexte à l illusion fonctionnant comme système on peut la nommer c roy a n c e se joue la valorisation théorique d un concept qui, loin de n ê t re que la négation d un donné faisant office de réalité ou de vérité, apparaît comme une stru c t u re pratique à part entière du réel. Elle tend à valoir positivement pour elle-même, et non plus comme simple condition de possibilité de l a c t i o n. La définition de l illusion ne se résorbe donc pas dans celle de l e r re u r. L illusion n e s t pas non plus l e n vers négatif ni de la vérité ni de la réalité. Elle n est pas le simple «e n d e h o r s» d un système de croyances ou de valeurs qui la présupposent, ni une simple condition de possibilité de l action ou de la perception. Réduire l illusion à cela, c est ne jamais perc e voir que sa négativité, c est vouloir la dissiper sans jamais perc e voir qu e l l e fonctionne pragmatiquement en se constituant elle-même comme système efficient. Proposer un discours critique du concept d illusion, ce n est donc pas la réduire à la com- 7. Cf. Le Capital, Livre Premier, Première Section, chapitre I, 4, «Le caractère fétiche de la marchandise et son secret». (Trad. J.-P. Lefebvre, Paris, PUF, 1993, pp ). Ce n est qu illusoirement que la valeur d une marchandise apparaît comme une de ses qualités propres. Elle dépend en réalité de rapports sociaux qui valorisent (indirectement) cette marchandise. L illusion consiste à croire que celle-ci a une valeur intrinsèque, alors qu elle n a de valeur que sociale et conventionnelle. Sur ce point, voir l article d Isabelle Garo: «Le fétichisme de la marchandise chez Marx. Entre religion, philosophie et économie politique.», in Actes du Congrès Marx International II, Paris, PUF, 2000, pp

7 REVUE TRACÉS n 8 printemps 2005 posante «n é g a t i ve» d un contexte, mais plus radicalement chercher à montrer que l illusion tend à se fonder en un système d u s a g e s déterminés et déterminant des pratiques, à savoir la croy a n c e. 12

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