La forêt comme réservoir de biodiversité : conservation, recherche et biotechnologie : Cas d une forêt protégée au Cameroun
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- Pascale Vincent
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1 La forêt comme réservoir de biodiversité : conservation, recherche et biotechnologie : Cas d une forêt protégée au Cameroun Présenté par Catherine Nicole DOUME DOUME Enseignant Chercheur Faculté de Génie Industriel / Université de Douala
2 SOMMAIRE Introduction I. Méthodologie et outils II. Nécessité d une gestion forestière durable: la zone protégée de Campo Ma an III. Aménagement du PNCM et sa ZP IV. Le protocole de Nagoya Conclusions Recommandations 2
3 INTRODUCTION 1. Contexte L assemblée générale des nations unies a déclaré l année 2011 année internationale des forêts afin de sensibiliser le public sur la gestion durable, la conservation et le développement durable de celles-ci. - - les écosystèmes de forêts sont parmi les plus productifs des écosystèmes terrestres, ils ont un grand intérêt du point de vue de l agriculture, mais aussi de l atténuation des effets du changement climatique. - - Ils constituent : des refuges de biodiversité, des puits de carbone, etc. Protéger les forêts et arrêter leur destruction est décisif pour freiner le changement climatique et pour la conservation de la diversité biologique qu elles hébergent. - - La protection de cette diversité étant aujourd hui un enjeu majeur pour la planète.sur Notre étude porte sur une zone protégée au Cameroun le parc national de Campo Ma an.
4 INTRODUCTION (suite) 4 2. Objectifs - Etudier et évaluer la diversité biologique d une forêt protégée au Cameroun - Montrer l importance d une gestion durable de la ressource forestière - Analyser le plan d aménagement de la Réserve protégée de Campo Ma an - Analyser le protocole de Nagoya
5 I. MÉTHODOLOGIE ET OUTILS 5 - Analyse documentaire (textes, rapports,études portant sur la zone, ainsi que les textes de lois et de conventions sur la conservation et la gestion de la biodiversité.) - Etude de cas - Interviews et entretiens
6 II. NÉCESSITÉ UNE GESTION FORESTIÈRE DURABLE: LA ZONE PROTÉGÉE DE CAMPO MA AN 1. Historique de la création du parc 6-19 novembre 1932 : création de la Réserve de Faune de Campo (RFC), d une superficie de ha. - Cette forêt fut affectée à une série de projets commerciaux - extraction de bois, plantations industrielles - jusqu'en 1999, date à laquelle le gouvernement camerounais y établit une immense zone protégée. Le 06 août 1999, l Arrêté n 054 CAB/PM, change le statut du Site Prioritaire de Campo- Ma an en Unité Technique Opérationnelle de Campo- Ma an. - Le Parc national de Campo Ma an (PNCM) a bénéficié de 1999 à 2003 de l appui du Projet de Conservation et de gestion de la biodiversité de Campo Ma an. Ce projet avait pour objectifs: d assurer la conservation de la biodiversité ; de promouvoir la gestion durable des forêts ; de favoriser le développement socio-économique des communautés locales.
7 HISTORIQUE DE LA CRÉATION DU PARC (suite) 7 - Du fait de son choix comme site de compensation des effets néfastes de la construction du Pipeline Tchad-Cameroun sur les forêts atlantiques, ce site bénéficie d une attention particulière tant au niveau national qu international. - Sa gestion est soutenue, depuis une décennie par les bailleurs de fonds et les partenaires au développement tels que l Organisation Néerlandaise de Développement (SNV), TROPENBOS International (TBI), la Fondation pour l Environnement et le Développement au Cameroun (FEDEC), le Fond Mondial pour la Nature (WWF), etc. - Cette assistance a permis de mettre en place une structure minimale de gestion, l amélioration des connaissances sur les ressources naturelles, ainsi que l élaboration d un schéma directeur pour l aménagement de la région.
8 2. LOCALISATION DU PARC DE CAMPO MA AN Situé dans la province du Sud du Cameroun, le Parc National de Campo-Ma an et sa zone périphérique (ZP) couvre une superficie totale d environ ha comprenant: - le parc national ha 4 UFA; deux concessions agro-industrielles -une zone agro forestière; - un domaine public maritime large de 50 m - Un domaine public lié aux cours d eau qui se définit comme une bande d une largeur de 25 m de part et d autre des cours d eau. 8 Parc de Campo Ma an Au niveau de ces différentes zones, certaines activités ne sont autorisées que dans le cadre des opérations d aménagement, conformément à la réglementation en vigueur
9 3. BIODIVERSITÉ DU PARC 1. Diversité floristique et faunistique 9 - Les inventaires fauniques effectués à ce jour révèlent la présence d une flore et d une faune très diversifiée : plantes (parmi lesquelles 114 sont endémiques), 390 espèces d invertébrés, 249 espèces de poissons,80 espèces de grands et moyens mammifères, 122 espèces de reptiles, 302 espèces d oiseaux. - Le Parc et sa région abrite des espèces menacées telles que l éléphant (Loxodonta africana cyclotis), le buffle (Synerus caffer nanus), le gorille de plaine (Gorilla gorilla), le chimpanzé (Pan troglodytes), le mandrill (Mandrillus sphinx), la panthère (Panthera pardus) et le pangolin géant (Manis gigantean). - Trois espèces de crocodile sont présentes, à savoir : le crocodile à museau fin d Afrique (Crocodylus cataphractus), le crocodile du Nil (Crocodylus niloticus) et le crocodile nain d Afrique (Ostealaemus tetrapis), qui sont des espèces menacées d extinction (IUCN, 2000).
10 BIODIVERSITÉ DU PARC (suite) 2. Diversité floristique et faunistique (suite) 10 - La zone est classée Zone d Importance pour la Conservation des Oiseaux selon les critères de l organisation Birdlife International. Le Parc et sa zone périphérique abritent deux espèces menacées d extinction : le Picatharte Chauve (Picathartes oreas) et le Tisserin de Bates (Ploceus batesi), deux espèces à distribution restreinte à la forêt atlantique du nord Gabon et du sud-ouest Cameroun ; l Hirondelle de Forêt (Hirundo fuliginosa) et le Malimbe de Rachel (Malimbus racheliae) ainsi que 24 autres espèces qui sont soit en danger soit rares et/ou celles dont le statut est incertain (Languy et Demey, 2000). - Le caractère exceptionnel du PNCM tient surtout du fait qu il est le seul habitat du mandrill qui bénéficie d un statut de protection. Le PNCM est une zone importante pour la conservation des chimpanzés, ainsi qu un important refuge pour le gorille de plaine (Matthews et Matthews, 2000). - Vingt et huit espèces de chauve-souris ont été signalées parmi lesquelles deux espèces endémiques au Cameroun à savoir Nycteris major, Hipposiderus curtus (Thomas et Thomas,1993 ; Hallé et Pascal, 1992).
11 BIODIVERSITÉ DU PARC (fin) 3. Populations 11 Sept ethnies natives d origine et d organisations socioculturelles distinctes peuplent principalement la région. Il s agit des des chasseurs-cueilleurs Bagyéli ou Bakola (Pygmées), des côtiers Iyassa et Batanga, des agriculteurs Bulu, Mvae et Ntumu, des pêcheurs fluviaux Mabéa et). À ces populations natives qui vivent dans la région depuis plusieurs générations, se sont ajoutés de nombreux immigrants, d origines diverses, attirés par les activités industrielles et les possibilités d emploi direct ou indirect.
12 Le Parc de Campo Ma an est une zone avec une biodiversité forestière très riche et diversifiée. 12 La gestion de cette biodiversité est donc une nécessité, pour les trois principales suivantes : une raison biologique : le patrimoine forestier doit disposer d une grande variabilité génétique, indispensable pour qu il puisse maintenir une capacité d adaptation face aux variations constantes du milieu, une raison éthique et mémoriale : face à l érosion de la biodiversité et au déclin des espèces, en partie forestière, la biodiversité doit être préservée, une raison culturelle ou sociale : la biodiversité forestière est considérée comme un patrimoine. Les attentes sont de plus en plus importantes, en particulier les attentes sociales. La forêt joue des rôles que l on ne pouvait pas imaginer il y a 50 ou 100 ans.
13 4. RECHERCHE ET BIOTECHNOLOGIE 13 - Les études entreprises dans la zone ont permis de mettre en évidence une diversité floristique et faunique exceptionnelle. - Malgré cela, la biodiversité forestière du parc n est pas totalement connue, il existe des zones inexplorées, ce qui devrait susciter un développement de la recherche scientifique. - La présence des mangroves relativement intactes offre des opportunités de conservation de cet écosystème particulier. Par ailleurs la proximité de la côte atlantique reconnue comme habitat important pour les tortues marines ouvre la possibilité de créer une aire protégée marine, ce qui permettrait la mise en place dans la zone d un réseau d aires protégées diversifié. - La biotechnologie permettrait donc : de mener des activités scientifiques notamment dans la santé, l'agriculture, l alimentation, etc.; pour engendrer de nouvelles méthodes de production et la fabrication de nouveaux produits
14 II. AMENAGEMENT DU PNCM ET SA ZP 1. Objectif global 14 - L objectif du plan d aménagement du parc national de Campo-Ma an et de sa zone périphérique est : «d assurer la protection de la biodiversité du PNCM et de ses environs dans le contexte d une utilisation planifiée de l espace et d une gestion durable des ressources forestières et fauniques». 2. Objectifs spécifiques Afin d atteindre cet objectif principal, six objectifs spécifiques ont été identifiés : - Renforcer les capacités de gestion du service de la conservation du parc ; - Assurer la protection et l intégrité du parc - Mettre en place des mécanismes de gestion participative du PNCM et de sa zone périphérique ; - Développer un programme de recherche-action et de suivi écologique - Promouvoir l approche paysage dans la gestion transfrontalière des ressources naturelles.
15 Ces objectifs seront atteints par la mise en place 15 des programmes ci-après : - Gestion administrative et financière - Protection - Cogestion et écodéveloppement - Recherche et suivi-écologique - Gestion transfrontalière Malheureusement ces différents programmes n ont pas effectivement été mis en œuvre. La biodiversité du parc continue a se dégrader (braconnage intensif, exploitation forestière illicite, etc.). Les conflits avec les populations riveraines continuent. Les bailleurs de fond étant plus préoccupés par l aspect recherche.
16 3. Atouts relatifs à l aménagement du parc 16 - Insertion du parc dans la politique nationale de conservation (site hautement prioritaire de conservation appui du programme FEM. réseau national des aires protégées - Recherche scientifique et á la conservation : - Développement touristique ( facilités d accès à partir des aéroports de Douala et de Yaoundé ; proximité de Kribi diversifiés). organisation des circuits touristiques - Coopération sous-régionale (développer une initiative de gestion transfrontalière des ressources naturelles entre les parcs nationaux de Campo Ma an au Cameroun et de Rio de Campo en Guinée Équatoriale) Récemment le PNCM et sa périphérie ont été identifié comme site pilote pour une nouvelle initiative sous régionale sur la conservation et la réduction de la pauvreté (CAFPAP). Le plan d aménagement pourrait constituer un levier important pour attirer d autres initiatives.
17 4. CONTRAINTES A L AMENAGEMENT DU PNCM ET SA ZP - Contraintes liées au zonage (facilités d accès braconnage, coupe frauduleuse du bois, etc. En effet, la délimitation du parc n a pas tenu compte des utilisations traditionnelles par les populations locales, les travailleurs immigrés et les concessions forestières conflits. La non matérialisation des limites du parc. - Contraintes liées à la situation frontalière du PNCM (existence d une frontière commune avec la Guinée Équatoriale, difficile à contrôler braconnage transfrontalier intensif. - Contraintes d ordre scientifique (lacunes sur le plan bioécologique). - Contraintes d ordre légal et institutionnel (mauvaise organisation des mécanismes de gestion participative du parc et de sa zone périphérique désintérêt et hostilité des populations pour les activités de conservation. Conflit de compétences poste de contrôle forestier et de chasse. Insuffisance des RH
18 CONTRAINTES A L AMENAGEMENT DU PNCM ET SA ZP (suite) 18 Sur le plan organisationnel, la structure actuelle du Service de la Conservation n est pas suffisamment fonctionnelle. Le Conservateur n a pas de cadres assistants et les autres activités de gestion (sensibilisation, recherche, promotion du parc) sont par conséquent délaissées au profit de la lutte antibraconnage. les besoins en infrastructures et équipements demeurent importants. insuffisance des moyens financiers. Contraintes socio-économiques (multiplicité des parties prenantes aux intérêts divergents (communautés locales, autorités en charge de la conservation, agro industries)). Contraintes liées aux activités industrielles (Des UFA périphériques, une seule (09-024) dispose d un plan d aménagement validé. Il est également constaté que l UFA est déjà mise en exploitation sans que l étude d impact sur l environnement qui devrait être un préalable à une telle exploitation ne soit menée.
19 LE PROTOCOLE DE NAGOYA 193 pays signataires de la Convention sur la diversité biologique se sont réunis en 2010 à Nagoya au Japon, pour le Sommet sur la biodiversité. L'objectif du Sommet étant de freiner la destruction des espèces animales et végétales et de mettre en place des mesures efficaces de sauvegarde des écosystèmes. 19
20 Qu est ce que le Protocole de Nagoya et quel est son objectif? 20 Le Protocole de Nagoya sur l accès et le partage des avantages est un nouveau traité international adopté sous les auspices de la Convention sur la diversité biologique (CDB), à Nagoya, Japon, le 29 octobre Son objectif est d assurer le partage juste et équitable, des avantages découlant de l utilisation des ressources génétiques, contribuant ainsi à la conservation et l utilisation durable de la diversité biologique, et à la réalisation des trois objectifs de la CDB. Le Protocole de Nagoya entrera en vigueur lorsque 50 pays l auront ratifié.
21 Importance du Protocole Le Protocole de Nagoya permettra d assurer une plus grande certitude juridique et transparence, tant pour les fournisseurs que pour les utilisateurs de ressources génétiques, en : - créant des conditions plus prévisibles pour l accès aux ressources génétiques en. 21
22 contribuant à assurer un partage des avantages, 22 lorsque des ressources génétiques quittent une Partie contractante fournissant des ressources génétiquesen contribuant à assurer un partage des avantages, le Protocole de Nagoya crée des incitations en faveur de la conservation et de l utilisation durable des ressources génétiques, et il renforce par conséquent la contribution de la diversité biologique au développement et au bienêtre humain
23 Champ d application - le Protocole de Nagoya s applique aux ressources génétiques qui entrent dans le champ d application de la CDB et aux avantages découlant de leur utilisation. - Il s applique également aux connaissances traditionnelles associées aux ressources génétiques qui entrent dans le champ d application de la CDB, ainsi qu aux avantages découlant de leur utilisation 23
24 Obligations du Protocole Obligations fondamentales en matière de ressources génétiques Obligations en matière d accès Obligations en matière de partage des avantages Obligations en matière de respect des obligations 24
25 Outils et mécanismes destines à appuyer la mise en œuvre - la désignation de correspondants nationaux et d autorités nationales compétentes, servant de points de contact pour fournir des informations, accorder un accès ou coopérer sur des questions relatives au respect des obligations 25 - un Centre d échanges sur l accès et le partage des avantages pour partager des informations, telles que des informations sur les exigences réglementaires nationales en matière d accès et de partage des avantages, ou des informations sur les correspondants nationaux et les autorités nationales compétentes
26 -un renforcement des capacités pour appuyer les éléments fondamentaux de la mise en œuvre Sur la base de l autoévaluation des pays de leurs besoins et priorités nationaux, ceci peut comprendre la capacité de : Elaborer une législation nationale sur l accès et le partage des avantages, afin d appliquer le Protocole de Nagoya Négocier des conditions convenues d un commun accord Développer les capacités de recherche et les institutions dans chaque pays Une sensibilisation Un transfert de technologie Un soutien financier cible, pour appuyer le renforcement des capacités et le développement d initiatives, par le biais du mécanisme de financement du Protocole de Nagoya, à savoir, le Fonds pour l environnement mondial (FEM) 26
27 CONCLUSIONS 27 - Pour une gestion efficace et efficiente du parc, les mesures d aménagement suivantes doivent être appliquées : - Une démarche participative de tous les acteurs - Une matérialisation des limites du parc afin d éviter les conflits - Un soutien matériel et financier suffisant - Recrutement et formation de la ressource humaine du parc - etc.
28 RECOMMANDATIONS 28 Au terme de cette étude les recommandations suivantes ont été faites: - Réaliser un audit environnemental pour les deux sociétés agroindustrielles. - Promouvoir une gestion transfrontalière du parc, - Réaliser une étude d impact environnemental des UFA - Renforcer la capacité organisationnelle du Service de Conservation - Recruter du personnel de qualité et en nombre suffisant - Renforcer les capacités matérielles et logistiques d intervention - Créer de plates-formes de collaboration et des structures de gestion
29 Services rendus par la biodiversité forestière 29 Notre alimentation Nos activités
30 Services rendus par la biodiversité(suite) Notre santé 30 L équilibre de la planète Notre bien être (rôle récréatif, éducatif, culturel, spirituel ou esthétique) Notre avenir (réservoir potentiel des gènes encore inconnus et d innovations a venir
31 Végétation 31
32 Végétation 32
33 La grenouille Goliath 33
34 Le madrill 34
35 35 Merci pour votre aimable attention
Le Protocole de Nagoya sur l accès et le partage des avantages
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