REPROTOXICITE, GRANDS RISQUES CHEZ LA FEMME ENCEINTE
|
|
- Stéphane Normandin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 REPROTOXICITE, GRANDS RISQUES CHEZ LA FEMME ENCEINTE Connaitre : - Les grands risques liés à l exposition aux xénobiotiques chez la femme enceinte - Les facteurs en jeu dans la survenue d effets toxiques au cours de la grossesse - Les périodes de la grossesse les plus à risque - Les conséquences en terme de prévention. I. Introduction 1. Cycle de la reproduction Voir schéma du poly. 2. La reprotoxicité - Effets néfastes sur la fertilité chez l homme ou la femme, càd sur les fonctions ou la capacité de reproduction. Gamétogenèse, accouplement (libido), fécondation. On ne va pas en parler. - Effets néfastes sur le développement de l embryon, du fœtus et du nouveau-né, au cours de la grossesse et après la naissance. Embryotoxicité, foetotoxicité, toxicité péri- et post-natale. 3. Principaux effets reprotoxiques au cours de la grossesse a) Embryotoxicité - Fausses couches précoces - Mort embryonnaire in utero - Tératogenèse (formation d un monstre) = anomalies d organes, structurelles ou fonctionnelles, plus ou moins majeures. b) Foetotoxicité et toxicité péri-natale Mort fœtale Développement fœtal altéré : retard de croissance intra-utérin. Retard de croissance à la naissance : poids, taille et périmètre crânien (= degré de développement du cerveau). 1
2 c) Toxicité post-natale Retard de croissance post-natale Retard mental Troubles du comportement et de la personnalité. 4. Différentes classes d agents reprotoxiques au cours de la grossesse a) Substances chimiques Produits industriels : solvants, métaux lourds (cancérogènes) Psychotropes non médicamenteux : éthanol / tabac / drogues Certains médicaments. b) Agents physiques Radiations ionisantes c) Facteurs biologiques Maladies infectieuses : infections sexuellement transmissibles Maladies métaboliques : diabète. 5. Facteurs influençant la reprotoxicité au cours de la grossesse a) Périodes d exposition à l agent reprotoxique Période péri- ou pré-implantatoire (J0 à J14) : période de prolifération cellulaire Nutrition de l œuf assurée par les sécrétions utérines Risques : fausse couche précoce Loi du «tout ou rien» Période embryonnaire (J14 à J60) Période de la morphogenèse et l organogénèse Risques : mort embryonnaire, effet tératogène (à son maximum) Organe touché : fonction de la période d exposition Types de malformation : agénésie (pas de formation d un organe), dysplasie (malformation de l organe), hypoplasie (organe pas autant développé qu il devrait) Conséquences des malformations : viables ou létales, décelées à la naissance ou se manifestant plus tard. Périodes de développement des organes au cours de la grossesse Voir schéma du poly. 2
3 Périodes fœtales et péri-natale (J60 à l accouchement) Morphogénèse quasiment terminée Période de croissance et de maturation des organes Quelques organes encore en cours de maturation (SNC, cervelet, appareil urogénital) Risques : mort fœtale, troubles de la croissance et de la maturation des organes, retard de croissance post-natal, retard mental, troubles du comportement et de la personnalité. b) Autres facteurs Agents toxiques en cause - Biodisponibilité : plus l agent sera absorbé par la mère, plus il sera absorbé par le fœtus. Le placenta n est pas une barrière. - Activité intrinsèque : psychotropes, drogues Durée et intensité de l exposition à l agent toxique : par exemple l oxygène peut être toxique à forte dose. Caractéristiques du placenta : - pas de rôle de barrière spécifique : transport à travers la membrane placentaire = diffusion passive ; toutes les substances traversant les membranes biologique ont la possibilité de traverser la membrane placentaire - surface d échange en augmentation au cours de la grossesse (5 m² au départ 12 à la fin de la grossesse donc davantage d échanges). - rôle métabolique limité. Facteurs fœtaux - Fonction métabolique partielle : réactions de conjugaison - Circulation particulière : distribution rapide aux organes ; foie partiellement court-circuité, circulation pulmonaire court-circuitée - Barrière hémato-encéphalique immature : cerveau très vulnérable - Fonction d élimination : assurée par la mère Facteurs maternels Etat des fonctions hépatiques et rénales. 3
4 II. Exemples d agents reprotoxiques au cours de la grossesse 1. Alcool Neurotoxique et hépatotoxique. Devenir de l alcool chez la femme enceinte : l alcool franchit le placenta par diffusion passive. Alcoolémie du fœtus est égale voire supérieure à celle de sa mère! Phénomène de concentration. Période de la grossesse à risque? Toutes! 1 e trimestre : l alcool est tératogène. 2 e et 3 e trimestres : effets sur la croissance et le développement psychomoteur. Conséquences de la consommation d alcool : - gravidique : fausses couches, prématurité - fœtale : syndrome d alcoolisation fœtale : 1 à 3 naissances/ % des femmes classées consommatrices excessives. Syndrome d alcoolisation fœtale (SAF) : - Retard de croissance intra-utérin et post-natal : - Petit poids, petite taille et petit volume crânien (microcéphalie) - D autant plus sévère que la consommation d alcool est importante - Fréquence : dans 80% des cas de SAF - Principal critère diagnostique - Malformations congénitales (alcool = tératogène) : - Fréquence : dans 10-30% des cas de SAF - Dysmorphies crâno-faciale (DCF) : forme typique = sévère. Epicanthus (repli cutané au niveau de l œil), hypertélorisme (augmentation de la distance entre les globes oculaires), philtrum absent (gouttière entre le nez et la bouche), lèvre supérieure mince, front bas bombé et étroit, nez court en trompette, menton petit étroit effacé et fuyant. Caractéristiques majeures : fentes palpébrales minces (distance courte entre les paupières supérieure et inférieure), philtrum lisse et convexe, lèvre supérieure mince. - Anomalies des organes : cerveau, cœur, squelette, reins - Retard mental : - Alcool : première cause de retard mental acquis chez l enfant - QI moyen de 65% (20 à 120) - Difficultés d apprentissage scolaire et professionnel - Troubles du langage - Troubles de la motricité fine. - Troubles du comportement : - Hyperactivités, troubles de l attention, troubles de la concentration - Difficultés d insertion sociale - Comportements délinquants - Toxicomanie. 4
5 Autre risque pour le nouveau-né : syndrome de sevrage, si accouchement dans un contexte d alcoolisation maternelle. Devenir des enfants atteints de SAF : le retard de croissance persiste dans les formes sévères, les troubles neurologiques persistent, voire s amplifient. Notions importantes : - une susceptibilité individuelle du fœtus (génétique) - une relation dose-effet : diagnostic à la naissance RCIU (retard de croissance intra utérin) et DCF, tableau de SAF plus ou moins complet, quand formes légères il peut passer inaperçu. - toutes les catégories d alcool sont nocives de façon identique. - pas de consommation en dessous de laquelle le risque est nul. Répétée modérée : à partir de 2 verres/jour ou 7 verres/semaine. Occasionnelle massive : à partir de 5 verres. - à niveau égal, les effets d une alcoolisation aiguë sont plus marqués que ceux d une alcoolisation répétée. 2. Tabac 20 à 25% des femmes fumeuses continuent à fumer pendant toute la durée de leur grossesse. Le tabagisme passif est mal quantifié, mais il est fréquent et peut jouer un rôle. La fumée de tabac contient plus de 4000 composés, dont de nombreux toxiques. Toutes les périodes de la grossesse sont à risque. Agents en cause dans la reprotoxicité du tabac : - monoxyde de carbone : liaison à l hémoglobine (HbCO) : hypoxie = manque en oxygène, affinité du CO pour l Hb fœtale très supérieure à celle pour l Hb maternelle. Hypoxie fœtale corrélée au taux d HbCO. - nicotine : neurotoxique, agit très rapidement sur le SNC. Constriction des artères du placenta et du cordon ombilical = hypoxie fœtale et diminution des apports nutritifs. Effets sur le SNC : neurotoxicité, dépendance. Souffrance fœtale = il manque d oxygène. - cadmium : inhibiteur de l absorption du zinc donc provoque un déficit en zinc chez le fœtus. Premier trimestre de la grossesse : période péri-implantatoire - Grossesse extra-utérine : 35% des grossesses extra-utérines seraient attribuables au tabac, le risque est dose-dépendant. RR = 1,5 (< 10 cigarettes/jour) à 5 (> 30 cigarettes/jour). - Avortement spontané : lié à une implantation de mauvaise qualité, le risque est également dosedépendant, RR = 1,5 à 3 donc non négligeable. Deuxième et troisième trimestres : déroulement de la grossesse - Placenta praevia : anomalie de l insertion du placenta dans l utérus, risque d hémorragie sévère et donc de fausse couche. RR = 2 à 3 - Hématome rétro-placentaire : sang entre placenta et utérus. 25% des HRP seraient liés au tabagisme. RR = 1,5 - Accouchement prématuré avec membrane intacte : RR = 2 - Rupture prématurée des membranes : RR = 2 à 3. 5
6 Deuxième et troisième trimestres : développement fœtal - Retard de croissance intra-utérine : déficit pondéral à la naissance : généralement de 100 à 300g. Effet dose-dépendant : < 5 cig/jour = 100 g et > 20 cig/jour = 450g. RR = 2,5 - Mort fœtale in utero : au cours du 3 e trimestre. 10% des morts fœtales in utero sont imputables au tabac. RR = 2. Après l accouchement : nouveau-né - Mort subite du nourrisson : décès avant 1 an, pic à 4 mois. 350 cas/an. RR = 3 - Risque du syndrome de sevrage : sevrage à partir du 3 e jour de naissance. Après l accouchement : enfance et adolescence - Risque accru de pathologies respiratoires et ORL : asthme, bronchiolites, otites et rhinopharyngites. - Troubles du comportement et du développement cognitif : troubles de l attention, hyperactivité, violence. Troubles de la mémoire et difficulté d apprentissage. - Risque de toxicomanie à l adolescence. 3. Médicaments a) Le Thalidomide 1950 : mise sur le marché comme sédatif dans 46 pays, prescription aux femmes enceintes comme anti-émétique (6-12 e semaines de grossesse) : reconnaissance de son action tératogène, touchant notamment les membres : phocomélie, amélie (= sans membre) bébés morts in utero, bébés nés avec des handicaps sévères, environ 3500 victimes toujours en vie. Période de sensibilité : 24 e au 50 e jour de grossesse (moment de formation des membres). Sensibilité variable selon les espèces : sensibilité faible, voire nulle des rongeurs. Action tératogène liée à l énantiomère S. Mécanisme d action tératogène : inhibition de l angiogénèse. Regain d intérêt dans le traitement des cancers. Aujourd hui utilisé à l hôpital pour un traitement contre la lèpre. b) Diéthylstilbestrol ou DES Œstrogène de synthèse commercialisé selon le nom de Distilbène 1940 : prescription aux femmes enceintes pour prévenir les fausses couches, traiter les stérilités : survenue de cancer du vagin chez des femmes dont la mère a été traitée par du DES durant sa grossesse : une génération d enfants exposés au DES in utero nait. 6
7 Effets du DES : filles DES : malformations génitales, stérilité, risque de cancer du vagin, du col de l utérus et du sein. Garçons DES : malformations génitales, baisse de la fertilité. Génération suivante : malformations génitales, autres? c) Produits commercialisés Médicaments tératogènes à proscrire au cours de la grossesse. Ex : Isotrétinoïne : dérivé de synthèse de la vitamine A, dans le traitement de l acné (Roaccutane ). Malformations du cœur, SNC, oreille externe, thymus. Fréquence du risque : 20 à 25%. Période à risque : 2 premiers mois de grossesse. Prescription et délivrance chez la femme en âge de procréer : accord de soin et de traitement de la patiente, contraception efficace pendant toute la durée du traitement et le mois qui suit son arrêt, prescription limitée à 1 mois. Médicaments contre-indiqués pendant la vie fœtale : anti-inflammatoire non stéroïdiens (AINS). Tous les AINS sont concernés = toxicité de classe. Inhibition de la synthèse des prostaglandines : vasoconstriction cardio-pulmonaire et rénale fœtale. Toxicité fœtale et néo-natale à partir du 6 e mois de grossesse : mort fœtale in utéro, mort néo-natale, toxicité cardiaque ou rénale. Prise d AINS formellement contre-indiquée dès le début du 6 e mois de grossesse, y compris par voie cutanée. III. Conclusion - Le placenta n est pas une barrière vis-à-vis des xénobiotiques. - La reprotoxicité au cours de la grossesse peut prendre des formes plus ou moins graves : du RCIU à la mort embryonnaire ou fœtale, en passant par la tératogénèse. - Les principaux facteurs en jeu sont : le xénobiotique, la dose et la durée d exposition, et surtout la période d exposition au cours de la grossesse. - Des drogues licites largement consommées sont des toxiques majeurs au cours de la grossesse (tabac, alcool). - Certains médicaments sont contre-indiqués ou doivent être utilisés avec précaution au cours de la grossesse. 7
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailAlcool et grossesse :
Alcool et grossesse : comment en parler? Actualisation des connaissances Repères pour la pratique professionnelle pour : une démarche d information auprès de toutes les femmes un accompagnement des femmes
Plus en détailGrossesse et tabagisme. Observatoire des perceptions et comportements de la femme enceinte face au tabac sur les forums internet
Observatoire des perceptions et comportements de la femme enceinte face au tabac sur les forums internet Grossesse et tabagisme Les points clés d une étude inédite Grossesse et tabagisme : un risque trop
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLes drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailEstimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans
Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations
Plus en détailIntoxications au Monoxyde de Carbone (CO)
Intoxications au Monoxyde de Carbone (CO) K. Elhajjaoui, N. Rhalem, I. Semlali, R. Soulaymani Bencheikh 1. Introduction : L intoxication au monoxyde de carbone (CO) occupe la première place dans les pays
Plus en détailN O S L I M I T E S?!
NOS LIMITES?! Cette brochure contient des informations essentielles sur l alcool et peut vous permettre de calculer votre. L alcool L alcool est une drogue licite et réglementée dont la substance psychoactive
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailMais pourquoi je ne suis pas enceinte?
Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailSITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME
I. Tabac-info-service.fr SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME I. TABAC-INFO-SERVICE.FR http://www.tabac-info-service.fr/ Site du Ministère de la Santé et de l Inpes (Institut national de prévention et d
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailJe vais être maman. et je fume encore!? J ai décidé d arrêter de fumer. Pour ma santé et pour celle de mon enfant.
Je vais être maman et je fume encore!? J ai décidé d arrêter de fumer. Pour ma santé et pour celle de mon enfant. Ligue suisse contre le cancer, Ligue pulmonaire suisse, Association suisse pour la prévention
Plus en détailMÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS
MÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS GUIDE À DESTINATION DES MÉDECINS PRESCRIPTEURS Ce guide est remis dans le cadre des mesures de minimisation du risque mises en place pour le valproate, dans
Plus en détailConférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg»
Conférence de Presse 11/09/2013 «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» La Santé Périnatale au Luxembourg Etat des lieux Présentation de deux rapports : Surveillance de la Santé
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailLes gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.
Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailLes jeunes non mariés
Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailRougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche
Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailEtude Elfe, Le de de e v nir de 20 000 en a f n a t n s
Etude Elfe, Le devenir de 20 000 enfants Le projet ELFE I Quelques informations sur le projet ELFE Objectifs scientifiques Echantillon des enfants ELFE Outils de communication Perspectives du déroulement
Plus en détailREHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes
REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes Dr BAJON-THERY Dr COURJARET Dr SURET Dr DEWITTE Dr MICHOT Surveillance médico-professionnelle
Plus en détailPLEINS FEUX SUR LE RC EXAMENS SYSTEMATIQUES ET PREVENTION
PLEINS FEUX SUR LE RC SFMG - 2009 EXAMENS SYSTEMATIQUE ET PREVENTION est le résultat de consultation le plus fréquemment relevé par les médecins généralistes de l OMG. Voir là. Pour mieux vous familiariser
Plus en détailMa vie Mon plan. Cette brochure appartient à :
Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailDéclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur.
Déclaration médicale Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Les données communiquées ci-après seront nécessaires pour pouvoir formuler une offre d assurance. Important Le candidat
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détailEXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE
EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE Une demande au syndicat de copropriété pour entreprendre les démarches nécessaires afin de réduire ou d'éliminer le problème d'infiltration de fumée de tabac secondaire. Cette
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détail"La santé des étudiants en 2013"
1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailPourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?
Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailTraiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir
Traiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir Ce pamphlet contient des informations générales que vous devriez connaître avant de traiter une fausse couche avec du misoprostol. Quand
Plus en détailComportements addictifs
Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailLES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11
LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailBaccalauréat Professionnel «Accompagnement, soins et services à la personne» Lycée Guillaume Budé Limeil- Brevannes
Baccalauréat Professionnel «Accompagnement, soins et services à la personne» Lycée Guillaume Budé Limeil- Brevannes E Méchineau : enseignante BTSE S Grisolle : enseignante STMS Le bac Pro ASSP Option D
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailPREUVE D ASSURABILITÉ DESCRIPTION DE LA PROTECTION
PREUVE D ASSURABILITÉ DESCRIPTION DE LA PROTECTION La présente demande d assurance comprend deux formulaires : Preuve d assurabilité Description de la protection et Questionnaire relatif aux renseignements
Plus en détailÀ compter de 2010 les codes du chapitre XVI ne doivent plus être employés au-delà de 2 ans. Créé le 1 er Mars 2011
FASCICULE VI AFFECTIONS DU NOUVEAU-NÉ Emploi des codes du chapitre XVI Le chapitre XVI est celui de Certaines affections dont l origine se situe dans la période périnatale. La définition de la période
Plus en détailDossier Administratif du Patient
Handident Franche-Comté CHBM - service ORL (Docteur LEGER) Cadre réservé Handident FC N adhérent au réseau Handident FC 2, rue du Docteur Flamand 25209 MONTBELIARD Cedex Dossier Administratif du Patient
Plus en détailFICHE THÉMATIQUE : LA LOI SANTÉ
LOI SANTÉ : QUELS IMPACTS SUR LE QUOTIDIEN DES FRANÇAIS? Le 14 avril dernier l Assemblée nationale a adopté à 311 voix contre 241 le projet de loi de «modernisation de notre système de santé» dit loi santé.
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailLe cannabis en question(s)
Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents
Plus en détailListe des maladies professionnelles de l OIT. (révisée en 2010)
Liste des maladies professionnelles de l OIT (révisée en 2010) CONFÉRENCE INTERNATIONALE DU TRAVAIL Recommandation 194 Recommandation concernant la liste des maladies professionnelles et l enregistrement
Plus en détailPROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS
PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS Positionnement en vue de la session spéciale des (22 septembre 2014) 2 1. FACE À UN AVENIR INCERTAIN, LES GOUVERNEMENTS DOIVENT SE REMOBILISER
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailPROJET DE LOI DE SANTE
Dossier de presse PROJET DE LOI DE SANTE Changer le quotidien des patients et des professionnels de santé 15 octobre 2014 Contact Presse : Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des
Plus en détailComment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents
Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailPartie III : Les déterminants de la santé
Partie III : Les déterminants de la santé La santé de la population bruxelloise dépend de nombreux facteurs qui interviennent à des niveaux différents. Au niveau individuel, outre les facteurs génétiques,
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailL assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013
1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11
Plus en détailPREPARATION A LA PARENTALITE RYTHMES ET BESOINS DU NOUVEAU-NE. «Un bébé a besoin de tendresse, de chaleur, de contact et de lait»
Version 1- Nov. 2012 OBSTETRIQUE Fiche d information N 3 Page 1/8 Validation PREPARATION A LA PARENTALITE RYTHMES ET BESOINS DU NOUVEAU-NE Document 3-3 Condition «Un bébé a besoin de tendresse, de chaleur,
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailLe cannabis en question(s)
Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents
Plus en détailLes conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012
Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailLa contribution des pères au développement de leur enfant
Activité 1 La contribution des pères au développement de leur enfant Le père: Un rôle en évolution Théorie de l évolution Question de survie! Homme Animaux Christine Gervais, Ph. D., Professeur au département
Plus en détailAUTOUR DE LA MISE BAS
AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif
Plus en détailTDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE
DOCUMENT SUPPLÉMENTAIRE 6C TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE Points clés pour les médecins à réviser avec les adolescents et adultes atteints de TDAH: Données concernant les risques: a) Des études cliniques
Plus en détailGUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE
GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailLa cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac?
La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Dubois G, Goullé JP, Costentin J Au nom de la Commission VI (Addictions) Académie Nationale de Médecine Introduction Le tabac tue un
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailPRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT
Guide Pratique Protection de l enfance PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT grandir parents respecter prévenir devoirs écouter mieux-être protéger PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détail