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1 Allocution d ouverture du forum formation : La sécurisation des parcours professionnels Brigitte TONDUSSON ; vice présidente en charge de l éducation de la formation et de l enseignement supérieur Pour la deuxième année, c est avec plaisir que j ouvre ce forum de la formation à CHATELLERAULT. C est en effet un moment privilégié de rencontre et de dialogue entre tous les acteurs de la formation ; cette année, nous vous proposons de réfléchir sur le thème de la sécurisation des parcours professionnels. La sécurisation des parcours professionnels,c est la recherche de solutions concrètes pour éviter la précarité et les aléas de la vie professionnelle ;elle doit permettre de concilier les besoins de flexibilité des entreprises et une demande sociale forte de protection des salariés. C est une nouvelle sécurité sociale qui se matérialiserait par la prise en charge des risques liés aux transitions- de l entrée de plus en plus difficile des jeunes dans la vie active jusqu à la retraite- dans une double dimension : - préventive : pour éviter le chômage et la précarité - et curative : pour sortir le plus vite possible et le mieux possible des situations de chômage. Cela signifie créer des droits attachés aux individus et non plus aux statuts, cela signifie se préoccuper de ceux que le système laisse de côté parce qu il n ont pas d appétence pour la formation parce que leur passage par la formation initiale est ressenti comme un échec.

2 Nous nous sommes donc donnés comme objectif dans le schéma régional des formations de mettre en place le compte formation universel : un compte attaché à la personne qui ouvre droit à formation,droit d autant plus important que la personne ne l a pas utilisé en formation initiale. Ceci s appuie sur le principe que la qualification est le pilier sur lequel se construira la capacité de mobilité et donc la sécurisation : c est le moyen de construire et de maintenir la capacité des travailleurs à s inscrire et à évoluer sur le marché du travail. C est aussi grâce à la formation que se construira l économie de la connaissance selon l engagement de Lisbonne en 2000 : «construire l économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde, capable d une croissance économique durable accompagnée d une amélioration quantitative et qualitative de l emploi et d une plus grande cohésion sociale» La notion d'éducation et de formation tout au long de la vie constitue un élément clé de cette stratégie Pour faire face à la mondialisation nous devons en effet développer l éducation, la formation, l enseignement supérieur et la recherche : c est cela qui permettra à nos entreprises de développer de nouveaux emplois dans des secteurs de pointe et d anticiper et d accompagnerici nous devrions dire «apprivoiser»- les mutations ; c est par cette voie que nous réussirons ainsi que le dit Jaurès, à «refuser le cercle de la fatalité, le cercle de fer» Face à cette société qui change, qui nous inquiète, qui broie les plus faibles, qui laisse l individu seul et désemparé, nous voulons contribuer à mettre en œuvre une nouvelle protection sociale collective. C est d ailleurs une attente sociale forte : les partenaires sociaux s en sont emparés et l Etat a souhaité mettre en œuvre une réforme. En 2002, la loi de modernisation sociale créée la VAE, première étape de ce lien entre éducation et formation et première pierre de la sécurisation des parcours professionnels. Nous sommes en effet dans une société qui sacralise le diplôme et qui en invente chaque jour : titres et diplômes sont répertoriés.

3 Dans ce contexte, celui qui n a pas de diplôme est en difficulté même si cela ne signifie pas qu il n a pas de compétence : c est le cas de personnes en Poitou Charentes et ceci explique la forte demande sociale suscitée par la VAE / plus de titres ont été obtenus en France par cette voie depuis La loi du 4 Mai 2004 qui reprend l accord national interprofessionnel du 5 décembre 2003 ainsi que la loi du 13 Août 2004 ont construit à la fois de nouveaux outils comme le DIF et tenté de clarifier le cadre institutionnel. Cependant cette réforme semble encore inachevée. Elle proposait - de faire du salarié l acteur de sa formation : mais peut on être acteur et autonome dans un système opaque et la question reste posée du nécessaire accompagnement dans ce labyrinthe et du nouveau rôle des prescripteurs de formation - de créer un droit individuel : mais ce droit tant qu il n est pas transférable ne concoure pas à la mobilité et à la sécurisation des parcours ; le crédit formation différé a été abandonné ; seule la période de professionnalisation donne au salarié cette possibilité de rebondir - de dépasser l opposition adaptation/reconversion : il faut pour cela un dialogue renouvelé entre l employeur et le salarié, un véritable portage de cette question par les partenaires sociaux particulièrement dans les petites entreprises qui sont majoritaires dans le tissu économique - de construire le système en s appuyant sur les branches : dans le même temps la loi élargit le champ de compétence des régions : ceci questionne l articulation entre logique de branches et logique de décentralisation - Sans doute faudra t il aller plus loin et requestionner l ensemble du système qui reste complexe selon Pierre CAHUC les reformes récentes en ont même accru l inefficacité et l inéquité mais il est sans doute possible, dans l attente de cette refonte, de se donner les moyens d avancer vers cet objectif de sécurisation. C est en tout cas, ce sur quoi nous allons travailler pendant ces deux journées.

4 Nous avons en Région d hors et déjà commencé à construire les conditions, les fondements de cette sécurisation en mobilisant les 143 millions inscrits pour la formation: En rassemblant les financeurs dans une «conférence des financeurs» pour éviter les zones blanches dans lesquelles en raison de leur statut ou de leur absence de statut certains n ont plus accès à la formation. La tâche n est pas aisée, c est une démarche nouvelle, nous n avons pas ou peu d interlocuteurs régionaux et une multitude d acteurs coexistent : on dénombre 99 OPCA.Mais notre volonté est de dégager des axes de travail prioritaires et développer des synergies. Certains ont déjà compris l intérêt de cette démarche et c est avec ceux là que nous avançons ; d autres viendront. En travaillant sur l amélioration de l accès à l information en créant une Agence Régionale De la Formation tout au long de la vie ( par le rassemblement du Carif et du GIP Qualité )aux objectifs redéfinis pour être plus proche du grand public, devenir un centre de ressources pour nos territoires, et pouvoir suivre la mise en œuvre du CFU. Nous avons aussi engagé une démarche pour apporter l information au plus prés des citoyens, dans les quartiers : le Chapiteau régional en est le support ; nous avons aussi travaillé avec les structures chargées de l information : les missions locales que nous continuons à financer mais sur la base d objectifs quantitatifs pour multiplier l accès des jeunes à la qualification et créé une école de la 2éme chance pour redonner aux jeunes l envie d apprendre. De même les accords négociés avec l AGEFIPH et l ANPE ont pour but l amélioration de l accès à l information sur la formation. Nous avons aussi renforcé le dispositif de conseil et d accompagnement à la VAE par la création de huit chargés de mission sur les territoires et la mise place de prestations d accompagnement des publics fragiles Nous avons commencé à entrer dans la logique du CFU avec des droits à formation proportionnels aux besoins et au parcours

5 de l individu sur la promotion sociale et sur les cheques formation femmes par exemple Nous avons mis en place les premiers outils d individualisation des parcours dans et par les organismes de formation : nous avons créé un fonds pour l innovation des organismes de formation pour un million d euros ainsi qu un contrat d objectif territorial pour accompagner la mutation indispensable des organismes : il n est pas pensable de continuer à proposer des actions uniformes à des personnes qui ont fait validé leurs acquis ou qui font le choix d un complément de formation via le DIF. notre convention avec l AFPA porte aussi sur ce thème Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, les modalités pédagogiques n ont que peu évolué alors que la société s est profondément transformée. Il faut que nos places de formation deviennent réellement opportunités Et nous mettons en place un système d évaluation par enquête auprès des stagiaires, par analyse par les référents des missions locales, et avec nos partenaires du CCREFP par des études menées par des doctorants. Nous nous donnons donc les moyens de progresser En effet il nous faut encore avancer et c est la raison d être de ce forum : nous appuyer sur l expertise du citoyen et des acteurs pour construire l avenir. Il nous faut continuer le travail mené avec les financeurs pour assurer une réelle continuité des parcours. Mais sans doute une réelle impulsion nationale sera t elle nécessaire pour que chacun s inscrive dans cette logique. Il nous faut aussi rappeler que la sécurisation des parcours professionnels commence par l insertion des jeunes et donc par la capacité de l école à préparer ces jeunes à évoluer, à s adapter et à aimer apprendre. Nous avons mis en place des actions sur le soutien scolaire, créé des bureaux pour les enseignants, renforcé les équipes éducatives par des conseillers tuteurs en insertion et des animateurs culturels : mais tout ceci reste périphérique au cœur du problème : les moyens donnés aux enseignants pour accompagner la progression des jeunes, l évolution cohérente de la carte scolaire( qui supprime

6 par exemple les premières d adaptation et donc les passerelles entre les filières ) Ce sont des choix politiques nationaux qui pèsent sur l insertion des jeunes. Il nous faudra aussi lutter dès maintenant contre la précarité car nous connaissons la corrélation entre difficulté sociale des familles et difficulté scolaire et le lien entre difficulté scolaire et précarité Léon Blum disait que «toute société qui prétend assurer aux hommes la liberté, doit commencer par leur garantir l existence» sur ces thèmes et pour ces raisons, nous savons que les partenaires sociaux nous accompagnerons pour les salariés ; et nous devons tout mettre en œuvre pour éviter les clivages entre les statuts ( demandeurs d emploi, salariés, salariés de TPE et salariés de grande entreprise ) Ce sont là aussi de profonds changements qu il faudra enclencher dans le droit du travail et les modalités de dialogue social. Nous comprenons bien que chacun d entre nous a les moyens de faire progresser le système qui ne changera cependant que s il est porté par une action politique globale et cohérente et un dialogue social riche et ouvert. IL s agit donc pendant ces deux journées de s approprier cette ambition de sécurisation des parcours et de réfléchir sur ce que nous pouvons faire avancer en nous appuyant sur la réflexion de nos invités : Philippe Méhaut, Jean Paul Géhin, ou Dominique Méda, pour nourrir les ateliers de cet après midi. Et demain d entendre les partenaires sociaux avant de réagir et de faire des propositions concrètes. Nous pouvons rendre ce monde plus juste si nous rassemblons nos potentiels et nos intelligences, c est ce que nous allons faire aujourd hui et demain.

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