La fertilité du couple

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La fertilité du couple"

Transcription

1 28/04/2016 LANDRY Marie D1 CR : BOUACHBA Amine Hormonologie & Reproduction Pr Jean-Marie GRILLO 10 pages HORMONOLOGIE REPRODUCTION La fertilité du couple Plan La fertilité du couple A. Quelques définitions de fertilité I. La procréation II. La fertilité III.La stérilité IV. L'infertilité V. La fécondité VI. L'infécondité VII. La fécondabilité VIII. La conception B. Fertilité et épidémiologie I. Prévalence de l'infertilité II. Pourquoi surveiller la fertilité? III.Nécessité de construire un système de suivi de la fertilité C. Les facteurs de fertilité I. Les facteurs féminins de fertilité II. Les facteurs masculins de la fertilité III.La fréquence des rapports sexuels D. Etiologie de l'infertilité E. L'assistance médicale à la procréation (AMP) I. Les différentes techniques d'amp intraconjugale II. Conclusion sur l'amp A. Quelques définitions de fertilité I. La conception La conception c'est la formation du zygote 18 à 20h après la fécondation. Elle ne peut être constatée que lorsqu'elle est effectué in vitro (FIV). In vivo, elle n'est révélée que par la gestation qui débute par l'implantation de l'embryon dans l'endomètre à la deuxième semaine du développement (dosage des bêta-hcg, échographie etc... qui révèlent a posteriori la fécondation). II. La procréation La procréation est la naissance d'un enfant vivant et viable. III. La fertilité La fertilité est une potentialité, c'est l'aptitude à concevoir. On parle de fertilité individuelle (homme ou femme) ou de fertilité d'un couple. 1/10

2 IV. La stérilité Le contraire de la fertilité est la stérilité qui est volontaire ou involontaire. Un exemple de stérilité volontaire pour les femmes est ligature des trompes, et pour les hommes la vasectomie (ligature des voies spermatiques, du canal déférent notamment) qui est beaucoup utilisé dans les pays anglosaxons). Pour les stérilités involontaires on ne parle plus de stérilité mais d'infertilité ou d'hypofertilité (emploi d'un terme plus léger). La stérilité est un caractère définitif, on ne peut l'affirmer qu'à la fin de la vie reproductive. V. L'infertilité L'infertilité est le fait de ne pas avoir obtenu de conception révélée in vivo par la gestation après 12 ou 24 mois de tentative (délais approximatif). Cette infertilité peut être : Primaire : sans grossesse Secondaire : existence d'une grossesse ou plus auparavant, même s'il y a eu interruption volontaire de grossesse (IVG), grossesse extra-utérine (GEU) ou fausse couche spontané(fcs). Le terme d'infertilité désigne un groupe très hétérogène car il inclut ce qui deviendra la stérilité et les hypofertilités (diminution de l'aptitude à concevoir). VI. La fécondité La fécondité c'est un état, un fait : c'est le fait d'avoir procrée (enfant né vivant). La fécondité peut s'évaluer par des paramètres quantitatifs (exemple : nombre d'enfant/femme). Schéma : Évolution du nombre d'enfant par femme en France métropolitaine sur un siècle : La fécondité n'a pas beaucoup évoluée depuis 1 siècle, on remarque la cloche qu'a effectué la courbe suite à la deuxième guerre mondial, c'est le baby-boom. 2/10

3 Schéma : Estimation de la fréquence de l'infécondité involontaire : Sur 100 couples qui souhaitent un enfant, 6 mois après il n'en reste plus que 46% en situation d'infécondité involontaire puis 1 an après 24% et 24 mois après 11%. Au bout de 36 mois le nombre de couple a considérablement chuté. Le nombre de couple inféconds se réduit très vite, le temps est la première thérapeutique. VII. L'infécondité L'infécondité c'est lorsqu'il n'y a pas eu d'enfant projeté à ce jour (c'est un constat). Il faut interroger le couple qui consulte sur la durée de l'infécondité, c'est élément important à considérer. VIII. La fécondabilité La fécondabilité est la possibilité de concevoir en un cycle. La moyenne de fécondabilité = 25%, d'où le délai nécessaire pour concevoir (DNC) de 4 mois. Ce pourcentage diminue en fonction de l'âge féminin. Sur ce schéma on constate que la moyenne de fécondabilité est bien de 25% mais aussi que la fécondabilité peut varier de 5% à 65%, le DNC est très variable suivant les couples. B. Fertilité et épidémiologie I. Prévalence de l'infertilité 1) Les méthodes d'études Il existe différentes approches parallèles qui permettent d'évaluer la prévalence de l'infertilité : - Une première approche possible est le recueil des données sur le délai qui a été nécessaire pour concevoir - On demande également au couple les difficultés qu'ils ont rencontré pour concevoir - On réalise des enquêtes sur les couples sans grossesse bien qu'exposés aux risques de conception (existence de relations sexuelles et absence de contraception) - On peut aussi réaliser une estimation sur le nombre de couple qui consultent pour infertilité ou qui ont recours à des traitements. 3/10

4 2) Résultats de ces études HORMONOLOGIE REPRODUCTION La fertilité du couple - La proportion des couples qui consulte pour infertilité est de 15% au moins 15% des couples ont de la difficulté à concevoir. - 5% des couples ayant obtenu une naissance ont eu recours à un traitement médical (AMP) - 3 à 4% de couples sont réellement stériles malgré toutes les techniques proposées, ce pourcentage s'est beaucoup réduit avec l avènement de l'assistance médicale à la procréation (AMP). II. Pourquoi surveiller la fertilité? L intérêt de surveiller la fertilité est premièrement de répondre à un besoin, au besoin des couples en mal d'enfant. Le second intérêt étant que les paramètres de fertilité d'une population sont également un indicateur de santé. La reproduction est quelque chose de complexe et fragile, très vite perturbée. Exemple : La détérioration des paramètres spermatiques dans les pays industrialisés a été prouvée par des études réalisées sur plusieurs décennies, elle sous-tend une baisse de la fertilité ainsi qu'une augmentation du cancer du testicule notamment en Europe. Ces enquête sur la fertilité permettent d'estimer les besoins d'une population en AMP et ont aussi une fonction de sentinelle pour la reproduction qui est un témoin de l'impact des modifications de notre environnement (toxiques, chaleur, perturbateurs endocriniens, modification des comportements individuels : tabac, alcool...). III. Nécessité de construire un système de suivi de la fertilité Les systèmes permettant le suivi de la fertilité n'existe malheureusement pas dans tous les pays, notamment la France. Il faudrait mener des enquêtes statistiques répétées, destinées à mesurer au fil du temps le délai nécessaire à concevoir qui évolue sans cesse. On pourrait également introduire de manière systématique dans les enquêtes épidémiologiques ou démographiques des questions sur la reproduction et la contraception pour réussir à avoir un suivi de la fertilité. En Europe il n'y a que les pays scandinaves qui ont un suivi de la fertilité. C. Les facteurs de fertilité I. Les facteurs féminins de fertilité Les facteurs endocriniens : Ovulation normal Environnement hormonal favorable Endomètre de bonne qualité Glaire cervicale Les facteurs mécaniques : Utérus normal Trompe utérines perméables Liés aux comportements et à l'environnement : Tabac Nutrition Autre 4/10

5 L'âge : la réserve ovarienne HORMONOLOGIE REPRODUCTION La fertilité du couple On arrive à évaluer depuis quelques années la réserve ovarienne. La réserve ovarienne n'est pas tellement l'évaluation de ce qui reste dans l'ovaire mais plutôt la manière dont l'ovaire fonctionne (désolée il n'a pas été plus clair). Le stock de follicule ovarien est estimé au début de la puberté à ce qui correspond à 400 ovulations. A partir de 35 ans on constate une grande dégénérescence de ces follicules, on estime qu'il en reste entre et à 45 ans, de 10 à 1000 à 50 ans et 0 au moment de la ménopause. La réserve ovarienne est variable selon les individus, elle peut s'évaluer par : Le comptage des folliucules ovariens (antraux) en début de cycle (CFA) : une dizaine environ (4 à 5/ovaires) Des dosages hormonaux (FSH et l'amh qui est un très bon marqueur de la fertilité et de la réserve ovarienne) L'augmentation de la FSH n'est pas un bon signe, à l'inverse l'amh n'est pas de bon pronostic si effondrée. Maintenant que l'évaluation de la réserve ovarienne est toujours effectuée dans les bilans de fertilité, on s'aperçoit que certaine femme même jeune ont une insuffisance ovarienne prématurée (IOP). On n'utilise pas le terme de pré-ménopause. Schéma : Fertilité en fonction de l'âge féminin : La courbe pleine est la courbe de fécondabilité et la courbe hachurée représente pourcentage de fausses couches spontanées. La fertilité baisse rapidement avec l'âge chez la femme. Le problème de nos jours, c'est qu'il y a un désir d'enfant de plus en plus tardif. C'est un phénomène de société, la moyenne de la première naissance obtenue est de plus de 30 ans (âge féminin) dans la population française. Il est difficile de concilier la chute physiologique de la fertilité liée à l'âge chez la femme et ce désir d'enfant de plus en plus tardif. On sait que le principal facteur dans la chute physiologique de la fertilité liée à l'âge féminin est ovocytaire. 5/10

6 En effet le don d'ovocyte marche d'autant mieux que la donneuse est jeune. Il y a un débat en cours à propos de la conservation des ovocytes par vitrification en vue d'une utilisation ultérieure. Ce n'est pas un traitement de la fertilité mais une auto conservation sociétale ou de convenance. On peut se demander quelle est l'âge limite d'utilisation des ovocytes vitrifiés? Il faut faire attention car les grossesses tardives comportent des risques. II. Les facteurs masculins de la fertilité Endocriniens : Axe gonadotrope normal Spermatogenèse normale Mécaniques : Perméabilité du tractus séminal Éjaculation normale (réalisation d'un spermogramme) Il y a 50 ans on n imaginait pas ou peu que l'infertilité venait de l'homme, la demande systématique du spermogramme en consultation de fertilité n'existait pas. Liés aux comportements et à l'environnement : Tabac, alcool Chaleur Toxiques ou autres L'âge a une influence moindre chez l'homme que chez les femmes. Spermogramme (OMS 5ème édition 2010) : (Passé très rapidement) Volume : > à 1.5 ml ph : à 7.2 Numération : > à 39M / éjaculat Concentration : > à 15 M/ml Vitalité : > 58 % Morphologie : (FT) > 15 % Mobilité : Progressifs > 32 %, Non progressifs > 40 %, Immobiles III. La fréquence des rapports sexuels Fécondabilité selon la fréquence des rapports sexuels (RS) pendant la période fertile : Fréquence RS Barett et al, 1971 Schwartz et al, /7 jours 14,00% 16,00% 1/5 jours 20,00% 22,00% 1/3 jours 31,00% 31,00% 1/jour 68,00% 49,00% Retenir que plus il y a de rapports sexuels plus il y a de chance de procréer! (il faut le préciser aux couples lors des consultations, apparemment ils ne sont pas tous au courant). Schéma : fécondabilité selon le jour du RS par rapport à l'ovulation : 6/10

7 La fécondabilité est la plus élevée à J-1 de l'ovulation et elle augmente à mesure qu'on se rapproche de l'ovulation. D. Étiologie de l'infertilité Cause féminine isolée : 36% des cas Cause masculine isolée : 20% des cas Mixte : 30% des cas Il existe un problème masculin dans 50% des cas, chose qui était ignoré il y a quelques décennies. Cause idiopathique : 14% des cas (causes inexpliquées) Exemple d'infertilité d'origine tubaire : Les trompes altérées ou obturées : les infections altèrent la perméabilité des trompes (salpingites). Rôle important des MST dont 25% entraînent des salpingites. Les trompes absentes suite à une salpingectomie, causée entre autre par des grossesses extra-utérines. Au début, c'est pour cette indication d'infertilité d'origine tubaire qu'on a mis au point la technique de fécondation in vitro (FIV). E. L'assistance médicale à la procréation (AMP) - 5% des couples qui obtiennent une grossesse ont eu recours à un traitement médical (pris en charge par une équipe médicale). - En 2010, 2,7 % des enfants sont né en France suite à une AMP. - Nombre d'enfant nés d'amp en 2010 (chiffre ABM) : , nombre qui a augmenté depuis (environ ) Infos de la diapo non dites à l'orale : Nombre total de naissance INSEE : Un enfant sur 40 est né suite à une AMP Avènement de la fécondation in vitro (FIV) : En 1978 : La première naissance réalisée par FIV a lieu en Angleterre, elle s'appelle Louise Brown et a été réalisée par Edwards et Coll. Puis à Paris en 1982 : naissance d'amandine dont la FIV a été réalisée par Testart et Frydmann. (Nom des scientifiques non précisés à l'oral) La FIV a été mise au point dans un premier temps pour prendre en charge les infertilités d origine tubaire puis on a élargi ses indications. Avant ces techniques il n'existait pas grand-chose. Pour l'infertilité d'origine tubaire les chirurgiens essayaient de reperméabiliser les trompes, ce qui ne donnait pas beaucoup de résultat. 7/10

8 I. Les différentes techniques d'amp intraconjugale 1) L'insémination intra-utérine (IIU) L'insémination intra-utérine consiste à aller déposer au fond de la cavité utérine, grâce à un cathéter qui perce la glaire cervicale, des spermatozoïdes préparés. Cette préparation des spermatozoïdes permet de sélectionner les meilleurs. En plus on prépare la patiente et on cadre l'ovulation. Une des bonnes indications est lorsqu'il y a un problème de glaire cervicale, on évite ce passage difficile aux spermatozoïdes. Les indications : Problème de sperme modéré (Oligo et/ou Azoo et/ou tératospermie) et/ou Test Post-Coïtal (TPC) médiocre. Le test post-coïtal permet d'étudier le comportement du spermatozoïde dans la glaire cervicale de la conjointe 18h après un rapport. On étale sur une lamelle un prélèvement de glaire cervicale où on étudie le nombre et la vitalité des spermatozoïdes. Infertilité mal expliquée Problème anatomique cervical Les résultats : 10 à 15% de grossesses cliniques par cycle 8/10

9 12,6% en 2010 en France (déterminée par l'agence de Biomédecine) 5925 enfants nés en 2010 (non précisé) Nombre de tentatives : 4 à 6 maxi, on laisse un mois d'écart entre chaque car l'iiu s'accompagne d'un traitement hormonal. Pour le succès d'une IIU il faut bien sûr que les trompes de la patiente soient perméables. Pour le savoir on réalise au préalable une hystéro-salpingographie à l'aide d'un produit de contraste. Si échec, il ne faut pas tarder à passer à la FIV si la patiente a autour de 38 ans car à partir de 40 ans les résultats chutent peu importe la technique utilisée. 2) La fécondation in vitro classique Elle consiste à effectuer au laboratoire ce qui ne peut pas se faire dans les trompes, à savoir la fécondation et les premières étapes du développement embryonnaire. Les premières fécondations in vitro dans le monde ont été effectuées pour des obstructions tubaires. Dans un premier temps on réalise une stimulation ovarienne avec de la FSH : on donne des gonadotrophines pendant 15 jours à la patiente, celles-ci vont supprimer la dominance d'un ovocyte pour que plusieurs ovocytes arrivent à l'ovulation (hyperstimulation) car pour avoir des chances de succès on a besoin de beaucoup de follicules. Puis on réalise le déclenchement de l'ovulation On ponctionne ensuite par voie transvaginale l'ovaire à l'aide d'une sonde échographique afin de récupérer ses follicules. C'est un prélèvement qui se fait au bloc opératoire sous anesthésie locale ou générale Dans deuxième temps on les féconde dans le laboratoire avec des spermatozoïdes traités, on obtient le stade zygote au bout de 18 à 20h et à J3 on a des embryons. Avec le même cathéter utilisé pour les IIU on va déposer 2 embryons maximum dans la cavité utérine, qui s implanteront ou non. Les embryons non replacés dans l'utérus peuvent être conservés par congélation. Pour la FIV on réalise une hyperstimulation ovarienne à l'inverse de l'iiu qui nécessite une petite stimulation pour éviter le risque de grossesse multiple. Indications de FIV : Féminines : pathologies tubaires, endométriose Masculine : oligo-asthéno-tératospermie (OAT) Mixtes Infertilité idiopathique > 4 ans Échecs d'inséminations artificielles Attention à l'âge féminin! La limite de remboursement de la sécurité sociale est de 43 ans, après 43 ans les chances de succès sont minimes. 4 FIV et 6 inséminations sont remboursées par la sécu pour 1 enfant (une FIV coûte en moyenne 2000 à 3000 euros : info à titre indicatif). La FIV en France (chiffre agence de biomédecine 2010) : ponctions FIV/an Transferts d Embryons Congelés (TEC) 100 centres Taux de grossesses cliniques/ponction 25 % Taux d accouchements /ponction 20 % Enfants nés par an TEC 3) L'injection de sperme intra-cytoplasmique (ICSI : intra cytoplasmic sperm injection) 9/10

10 Un spermatozoïde va être déposé directement dans le cytoplasme ovocytaire. On peut disposer que d'un seul spermatozoïde! Indication de l'icsi : Échec de FIV Quand il a trop peu de spermatozoïde dans l'éjaculat pour envisager une FIV classique Les azoospermies, on réalise un prélèvement de spermatozoïde in situ (dans le canal déférent, voir dans le testicule) Origine des spermatozoïdes utilisés lors de l'icsi : Spermatozoïdes provenant de l'éjaculat Spermatozoïdes prélevés dans les voies spermatiques en cas d'azoospermie excrétoire (obstructive) Spermatozoïde prélevés dans le testicule en cas d'azoospermie sécrétoire (non obstructive) L'ICSI représente désormais 60% de l'activité FIV totale en france. L'ICSI a réellement changé le pronostic des azoospermies. II. Conclusion sur l'amp Il a eu une évolution considérable de la prise en charge et du pronosctic de l'infertilité grâce à l'amp. L'ICSI a constitué un énorme progrès dans la prise en charge de l'infertilité masculine. Malheureusement aucune technique d'amp ne peut compenser l'effet délétère de l'âge féminin sur la fertilité. Question : Existe-il une prise en charge psychologique des patients souffrant d'infertilité? Oui, un accompagnement psychologique est proposé par le CHU. CR : Le grand retour de Grillo! On notera l amélioration du plan et l absence d utilisation de rétroprojecteur. Sinon grosse dédicace aux SF qui depuis maintenant 2 ans, étudient courageusement avec nous les pires cours de notre cursus. AIH et TS et maintenant Hormono, vous devez vraiment avoir une image étrange de la médecine. On pense à vous! 10/10

Mais pourquoi je ne suis pas enceinte?

Mais pourquoi je ne suis pas enceinte? Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...

Plus en détail

L assistance médicale à la procréation en France en 2010. Dossier de presse

L assistance médicale à la procréation en France en 2010. Dossier de presse L assistance médicale à la procréation en France en 2010 Dossier de presse Mars 2010 1 SOMMAIRE Communiqué de synthèse page 3 PARTIE I AMP : ce qu il faut retenir page 5 Fiche 1 - L AMP : une réponse possible

Plus en détail

Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP)

Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP) Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP) Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) Date de création du document 2010-2011 Table des matières Pré-Requis... 4 OBJECTIFS...

Plus en détail

SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE

SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE 1 TABLE DES MATIERES 1. Un petit mot d introduction 2. En quoi consiste le don d ovocyte? 3. A qui s adresse le don d'ovocyte? 4. Les différents types de don d ovocyte A. Le don anonyme B. Le don dirigé

Plus en détail

Exploration et Prise en charge d un couple infertile

Exploration et Prise en charge d un couple infertile Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie

Plus en détail

GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire

GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral

Plus en détail

Fécondation in vitro avec don d ovocytes

Fécondation in vitro avec don d ovocytes Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com

Plus en détail

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées

Plus en détail

Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons

Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons Le centre hospitalier Ambroise Paré collabore depuis de nombreuses années avec les Cliniques Universitaires de Bruxelles Hôpital Erasme pour vous permettre

Plus en détail

AVIS N 75. Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi

AVIS N 75. Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi Comité Consultatif National d Ethique pour les Sciences de la Vie et de la Santé AVIS N 75 Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi Le CCNE a été saisi par Claire Brisset, Défenseure

Plus en détail

Brochure d information

Brochure d information Centre de stérilité masculine et Centre d Études et de Conservation des Œufs et du Sperme humain CECOS Midi-Pyrénées Hôpital Paule de Viguier 330 avenue de Grande-Bretagne CHU de Toulouse 2005 Brochure

Plus en détail

Fécondation In Vitro «La bourse ou la vie?»

Fécondation In Vitro «La bourse ou la vie?» Rapportd Immersion encommunauté FécondationInVitro «Labourseoulavie?» CharelConstantin Julie VanessaDaverio CoralieZermatten Tuteurs:AndreaCarlinoetAstridStuckelberger Facultédemédecine UniversitédeGenève

Plus en détail

Contraception après 40 ans

Contraception après 40 ans Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception

Plus en détail

Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC)

Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC) Préface Notre association regroupe les énergies bénévoles d étudiants en médecine et en pharmacie, avec pour objectif d aider et accompagner enfants, adolescents et jeunes adultes confrontés à la maladie.

Plus en détail

AVIS N 112. Une réflexion éthique sur la recherche sur les cellules d origine embryonnaire humaine, et la recherche sur l embryon humain in vitro

AVIS N 112. Une réflexion éthique sur la recherche sur les cellules d origine embryonnaire humaine, et la recherche sur l embryon humain in vitro Comité Consultatif National d'éthique pour les Sciences de la Vie et de la Santé AVIS N 112 Une réflexion éthique sur la recherche sur les cellules d origine embryonnaire humaine, et la recherche sur l

Plus en détail

Guide d'aide à la mise en place. du dispositif d'amp vigilance * * Dispositif de vigilance relatif à l'assistance médicale à la procréation

Guide d'aide à la mise en place. du dispositif d'amp vigilance * * Dispositif de vigilance relatif à l'assistance médicale à la procréation Guide d'aide à la mise en place du dispositif d'amp vigilance * * Dispositif de vigilance relatif à l'assistance médicale à la procréation Ce guide a été élaboré de façon collective avec la participation

Plus en détail

Assistance médicale à la procréation. Informations pour les couples donneurs. Le don. d embryons

Assistance médicale à la procréation. Informations pour les couples donneurs. Le don. d embryons Assistance médicale à la procréation Informations pour les couples donneurs Le don d embryons Sommaire Le don d embryons, qu est-ce que c est? 2 Qui peut en bénéfi cier? Qui peut donner les embryons et

Plus en détail

Les INSÉMINATIONS INTRA-UTÉRINES

Les INSÉMINATIONS INTRA-UTÉRINES 1 Équipe AMP La Sagesse Rennes DOSSIER GUIDE Les INSÉMINATIONS INTRA-UTÉRINES COMPOSITION DE L'EQUIPE DE FECONDATION IN VITRO 2 L'équipe de Fécondation in vitro est multidisciplinaire et son bon fonctionnement

Plus en détail

Etat des lieux et perspectives du don d'ovocytes en France

Etat des lieux et perspectives du don d'ovocytes en France Inspection générale des affaires sociales RM2011-024P Etat des lieux et perspectives du don d'ovocytes en France RAPPORT TOME I Établi par Dr Pierre ABALLEA Anne BURSTIN Jérôme GUEDJ Membres de l Inspection

Plus en détail

Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique

Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur M. Tournaire Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique Tome XXII publié le 2.12.1998 VINGT-DEUXIÈMES JOURNÉES

Plus en détail

ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION

ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION INTRODUCTION Autrefois, l'avortement était prohibé par l'apanage des familles nombreuses et par l'influence de l'église qui classaient la contraception au rang de délit.

Plus en détail

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle

Plus en détail

info ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane

info ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane Roaccutane isotrétinoïne Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane info ROACCUTANE RM SM MANAGEMENT Programme de prévention de la grossesse SOMMAIRE 3.

Plus en détail

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant

Plus en détail

MUTUELLE. Complémentaire santé. Prestations Actifs au top, non-actifs dans le bon créneau. Profil Seniors

MUTUELLE. Complémentaire santé. Prestations Actifs au top, non-actifs dans le bon créneau. Profil Seniors MUTUELLE Octobre - Novembre - Décembre 2011 N 19 infos Complémentaire santé Prestations Actifs au top, non-actifs dans le bon créneau Le conseil d administration a voulu souligner, grâce à une étude comparative

Plus en détail

Stratégie de don d'ovocytes : expérience Belge

Stratégie de don d'ovocytes : expérience Belge Stratégie de don d'ovocytes : expérience Belge B. Lejeune Le don d'ovocytes existe depuis une vingtaine d'années : la première grossesse obtenue par cette méthode date de 1984 et avait été obtenue par

Plus en détail

Dossier table tactile - 11/04/2010

Dossier table tactile - 11/04/2010 Dossier table tactile - 11/04/2010 Intro Je vais brièvement exposer dans ce document: Ce que j'ai fait, comment je l'ai fait, combien ça m'a couté, et combien de temps j'ai mis à fabriquer, dans le cadre

Plus en détail

La planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule

La planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule La planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule Fistula Care à EngenderHealth 440 Ninth Avenue, 13th Floor New York, NY, USA 10001 Tel: 212-561-8000 E-mail: fistulacare@engenderhealth.org

Plus en détail

Marquage CE et dispositifs médicaux

Marquage CE et dispositifs médicaux Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS

GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS Cette brochure a été conçue dans le but de répondre à vos questions et vous aider à prendre une décision

Plus en détail

des banques pour la recherche

des banques pour la recherche ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Le Transfert sélectif d un seul embryon à la suite de la fécondation

Le Transfert sélectif d un seul embryon à la suite de la fécondation DIRECTIVE CLINIQUE COMMUNE SOGC SCFA N o 241, avril 2010 Le Transfert sélectif d un seul embryon à la suite de la fécondation La présente directive clinique a été rédigée par le comité commun Société des

Plus en détail

Cet article a été transmis par le Pr Madélénat à l association EndoFrance pour une utilisation qui lui réservée

Cet article a été transmis par le Pr Madélénat à l association EndoFrance pour une utilisation qui lui réservée PRISE EN CHARGE DE L'ENDOMETRIOSE Patrick Madélénat Hôpital Bichat Juin 2007 L'endométriose est une maladie difficile. Avant tout elle est difficile à vivre pour celles qui en souffrent, mais elle est

Plus en détail

Manuel Bioéthique. des Jeunes NOUVELLE ÉDITION ACTUALISÉE ET AUGMENTÉE

Manuel Bioéthique. des Jeunes NOUVELLE ÉDITION ACTUALISÉE ET AUGMENTÉE Manuel Bioéthique des Jeunes NOUVELLE ÉDITION ACTUALISÉE ET AUGMENTÉE Manuel Bioéthique des Jeunes Quoi de plus intime à la vie que la vie elle-même, l'histoire de nos premiers et de nos derniers instants?

Plus en détail

Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?

Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»

Plus en détail

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique.

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique. Placement en établissement médicalisé ou spécialisé Cette aide permet de faire face à la charge financière importante que représente le placement en établissement spécialisé de l adhérent ou de l ayant

Plus en détail

Avis relatif aux recherches et utilisation des embryons humains in vitro à des fins médicales et scientifiques. Rapport.

Avis relatif aux recherches et utilisation des embryons humains in vitro à des fins médicales et scientifiques. Rapport. Avis relatif aux recherches et utilisation des embryons humains in vitro à des fins médicales et scientifiques. Rapport. N 8-15 décembre 1986 Sommaire Avis Recommandations générales Recommandations relatives

Plus en détail

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien : Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne

Plus en détail

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant

Plus en détail

UEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.

UEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

Parcours médical des nouveau-nés dans leur premier mois de vie :

Parcours médical des nouveau-nés dans leur premier mois de vie : Année : 2010 N : UNIVERSITE PARIS XI FACULTE DE MEDECINE PARIS SUD Thèse pour le Doctorat en Médecine Présentée par Sandra PARETS épouse QUILLARD Née le 12-06-1981 à Chatenay-Malabry (92) Parcours médical

Plus en détail

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

Info Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril 2014. Contenu. Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013

Info Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril 2014. Contenu. Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013 BULLETIN Région de la Capitale-Nationale Bulletin numéro 8 Avril 2014 Contenu Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013 Éditorial 1 Comité de suivi régional : un travail d équipe! 3 Coordination et organisation

Plus en détail

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre. Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences

Plus en détail

QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.

QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design

Plus en détail

58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014

58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014 58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014 COMMISSIONS DROIT DES ASSURANCES/ DROIT MEDICAL Vendredi 31 Octobre 2014 LA TECHNOLOGIE MEDICALE DE POINTE ET SON COUT N GANN Supermann

Plus en détail

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2013 SCIENCES. SÉRIES ES et L. Durée de l'épreuve : 1 h 30 coefficient : 2

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2013 SCIENCES. SÉRIES ES et L. Durée de l'épreuve : 1 h 30 coefficient : 2 BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2013 SCIENCES SÉRIES ES et L Durée de l'épreuve : 1 h 30 coefficient : 2 Ce sujet comporte 8 pages numérotées de 1 à 8. L'usage de la calculatrice est autorisé. Le candidat

Plus en détail

ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches

ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent

Plus en détail

LA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN

LA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans

Plus en détail

Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes

Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Biostatistique Pr. Nicolas MEYER Laboratoire de Biostatistique et Informatique Médicale Fac. de Médecine de Strasbourg Mars 2011 Plan 1 Introduction

Plus en détail

LES STAGIAIRES. 1. Qui sont les «stagiaires» au sens de la réglementation?

LES STAGIAIRES. 1. Qui sont les «stagiaires» au sens de la réglementation? LES STAGIAIRES 1. Qui sont les «stagiaires» au sens de la réglementation? La loi relative à l enseignement supérieur a défini enfin ce qu est un stage en milieu professionnel: il s agit d une «période

Plus en détail

PROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES

PROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES Leçon 11 PROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES Dans cette leçon, nous retrouvons le problème d ordonnancement déjà vu mais en ajoutant la prise en compte de contraintes portant sur les ressources.

Plus en détail

Exo7. Probabilité conditionnelle. Exercices : Martine Quinio

Exo7. Probabilité conditionnelle. Exercices : Martine Quinio Exercices : Martine Quinio Exo7 Probabilité conditionnelle Exercice 1 Dans la salle des profs 60% sont des femmes ; une femme sur trois porte des lunettes et un homme sur deux porte des lunettes : quelle

Plus en détail

Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille

Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre

Plus en détail

Moteur de recherche : Daniel Goutaine Page d'accueil Rubrique : contentions

Moteur de recherche : Daniel Goutaine Page d'accueil Rubrique : contentions Les contentions Moteur de recherche : Daniel Goutaine Page d'accueil Rubrique : contentions Les contentions Quatre types de contentions : - physiques (ou mécaniques) : au fauteuil ou au lit du résident,

Plus en détail

Demande chimique en oxygène

Demande chimique en oxygène Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse

Plus en détail

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,

Plus en détail

Principe d un test statistique

Principe d un test statistique Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre

Plus en détail

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Wilfried Minvielle

AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Wilfried Minvielle AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Service du Professeur E. Souied Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil Objectif Déterminer l inocuité du laser diode micropulse transfovéolaire dans l'œdème

Plus en détail

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs

Plus en détail

L intégration des TIC chez les futurs enseignants : votre point de vue

L intégration des TIC chez les futurs enseignants : votre point de vue L intégration des TIC chez les futurs enseignants : votre point de vue Réservé à l administration Associés Questionnaire - Enseignants associés 1 QUESTIONNAIRE ENSEIGNANTS ASSOCIÉS Ce questionnaire permettra

Plus en détail

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins

Plus en détail

LE DON D OVOCYTESD. Dr Marie-Christine DULUCQ CECOS d Aquitained Service du Dr A. Papaxanthos Bordeaux

LE DON D OVOCYTESD. Dr Marie-Christine DULUCQ CECOS d Aquitained Service du Dr A. Papaxanthos Bordeaux LE DON D OVOCYTESD Dr Marie-Christine DULUCQ CECOS d Aquitained Service du Dr A. Papaxanthos Bordeaux Le Don d ovocytesd Apport par un tiers, de gamètes féminins f en vue d une d assistance médicale m

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

Mémoire sur le projet de loi n 20, Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant

Mémoire sur le projet de loi n 20, Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant Avis au lecteur sur l accessibilité : Ce document est conforme au standard du gouvernement du Québec SGQRI 008-02 afin d être accessible à toute personne handicapée ou non. Toutes les notices entre accolades

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation

Plus en détail

Les pôles commerciaux et leurs magasins

Les pôles commerciaux et leurs magasins Les pôles commerciaux et leurs magasins Julien Fraichard* Pour les commerçants, l'implantation de leur établissement dans le tissu urbain est primordiale. Certains types de commerces, comme les magasins

Plus en détail

La planification familiale

La planification familiale La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup

Plus en détail

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3 Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,

Plus en détail

CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques

CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On

Plus en détail

Corefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?

Corefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,

Plus en détail

JFM. 7èmes journées franco-marocaines de. Gynécologie, Obstétrique et Fertilité. Marrakech. 17, 18 et 19 mai 2012. www.lesjfm.com

JFM. 7èmes journées franco-marocaines de. Gynécologie, Obstétrique et Fertilité. Marrakech. 17, 18 et 19 mai 2012. www.lesjfm.com JFM 2012 7èmes journées franco-marocaines de Gynécologie, Obstétrique et Fertilité Marrakech 17, 18 et 19 mai 2012 Président des 7 èmes jfm : Pr. Léon Boubli (Marseille) Coordination scientifique et organisation

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

- Réalisation de salle de bain complète (carrelage, sanitaire, doublage placo: 1 seul intervenant)

- Réalisation de salle de bain complète (carrelage, sanitaire, doublage placo: 1 seul intervenant) - Réalisation de salle de bain complète (carrelage, sanitaire, doublage placo: 1 seul intervenant) - Réalisation de Cuisines (meubles, carrelage, sanitaire, doublage placo: 1 seul intervenant) - VMC (Ventilation

Plus en détail

Merci beaucoup de votre collaboration

Merci beaucoup de votre collaboration QUESTIONNAIRE ENSEIGNANTS ASSOCIÉS Ce questionnaire permettra de recueillir des informations sur l intégration des technologies de l information et de la communication (TIC) chez les futurs enseignants

Plus en détail

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 L utilisation des indicateurs de performance ne peut se faire de manière pertinente

Plus en détail

COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE

COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

Plan de la présentation

Plan de la présentation Quand la maladie vient compliquer la transition de l adolescence vers le merveilleux monde des adultes Développement d une clinique pour adolescents greffés Marie-France Vachon, M.Sc.Inf., CPON, CSIO,

Plus en détail

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester

Plus en détail

CREATION D UNE EVALUATION AVEC JADE par Patrick RUER (www.mathenvideo.comuv.com)

CREATION D UNE EVALUATION AVEC JADE par Patrick RUER (www.mathenvideo.comuv.com) TABLE DES MATIERES I) Le logiciel JADE 2 II) Etablissements 3 1) Configuation de l établissement 3 2) Importation des classes avec SCONET 4 3) Les groupes d élèves 6 4) Les variables supplémentaires 6

Plus en détail

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert

Plus en détail

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de

Plus en détail

ENQUETE SUR LES AIDES TECHNIQUES CHEZ LES SOURDS ET MALENTENDANTS

ENQUETE SUR LES AIDES TECHNIQUES CHEZ LES SOURDS ET MALENTENDANTS ENQUETE SUR LES AIDES TECHNIQUES CHEZ LES SOURDS ET MALENTENDANTS Monsieur R. MAZELIER BUDOCES - 40, rue du Mont-Valérien - 92210 Saint-Cloud Lancée en février 1988 à travers les deux périodiques de la

Plus en détail

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

I. Une nouvelle loi anti-discrimination

I. Une nouvelle loi anti-discrimination Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre

Plus en détail

ECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU

ECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU ECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU 1 CHAPITRE 3: L ASYMÉTRIE D INFORMATION NOTIONS IMPORTANTES: Asymétrie d information Antisélection (ou sélection

Plus en détail

IlliS. Pratique du don d'ovocytes : l'expérience de l'hôpital Antoine-Bée/ère

IlliS. Pratique du don d'ovocytes : l'expérience de l'hôpital Antoine-Bée/ère IlliS NOTE ORIGINALE médecine/sciences 1 995 ; 1 1 : 5 91-600 Pratique du don d'ovocytes : l'expérience de l'hôpital Antoine-Bée/ère Summar y Ovocyte donation : the Antoine Béclère Hospital experience

Plus en détail

P.S.E. 1 ère situation d évaluation

P.S.E. 1 ère situation d évaluation Lycée X Ville Session 201 P.S.E. 1 ère situation d évaluation Première Bac Professionnel Spécialité du diplôme Académie de Nancy-Metz Durée : 55 minutes NOM :. Prénom :. NOTE : / 18 NOTE : / 09 FOLIO :

Plus en détail

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie I. Le financement de l'économie Financement = fait d'apporter des fonds à un individu, une entreprise, ou à soi-même. A) Les différents types de financement

Plus en détail