LES EUROPÉENS ET LES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS

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1 Cette étude a été produite par INRA (Europe) European Coordination Office. Pour la DG Santé et Protection des consommateurs et représente les vues d'inra (Europe) European Coordiantion Office. Sur "Les Européens et les associations de consommateurs". Ces vues n'ont pas été adoptées ou de quelques façon que ce soit approuvées par la Commission et ne devraient pas être invoquées comme une déclaration de la Commission ou des vues de la DG Santé et Protection des consommateurs. La Commission européenne ne garantit pas la précision des données incluses dans cette étude et elle n'accepte pas la responsabilité pour une utilisation s'y rapportant.

2 EUROBAROMETRE 51.1 LES EUROPÉENS ET LES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS RAPPORT RÉDIGÉ PAR INRA (EUROPE) EUROPEAN COORDINATION OFFICE sa POUR La Direction Générale XXIV «Politique des Consommateurs et Protection de leur Santé» GÉRÉ ET ORGANISÉ PAR La DGX «Information, Communication, Culture, Audiovisuel» (Unité «Analyse de l opinion publique») 16 juillet 1999

3 Ce sondage d opinion, géré et organisé par la DGX, «Information, Communication, Culture, Audiovisuel» (Unité «Analyse de l Opinion publique»), a été réalisé à la demande de la DGXXIV, «Politique des Consommateurs et Protection de leur Santé». Il a été effectué dans l ensemble des pays de l Union européenne, entre le 12 avril et le 18 mai 1999, sous la coordination générale de INRA (EUROPE) - European Coordination Office, situé à Bruxelles. Le questionnaire, le nom des instituts associés à la recherche figurent en annexe. Le présent rapport n engage en aucune façon la responsabilité de la Commission européenne. La langue originale de ce rapport est le français. 16 JUILLET 1999

4 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION SYNTHESE i I 1. LES SOURCES D INFORMATION SUR LES DROITS DES CONSOMMATEURS 3 2. LA NOTORIÉTÉ DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS 7 3. LA TÂCHE PRIORITAIRE DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS LES TÂCHES MOINS IMPORTANTES DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS L INFLUENCE DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS Des associations de consommateurs plus influentes Des associations de consommateurs déjà suffisamment influentes L influence des associations de consommateurs comparée à celle d autres groupes d intérêt L influence des associations de consommateurs comparée à celle des politiciens L influence des associations de consommateurs comparée à celle des médias L influence des associations de consommateurs comparée à celle des autres ONG LES PROBLÈMES AUXQUELS SONT CONFRONTÉES LES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS Le manque de ressources financières Le manque de personnel expérimenté L absence de magazine de consommateurs Le manque de membres Le manque de pouvoir Le fait de ne pas être pris au sérieux ÊTRE MEMBRE D UNE ASSOCIATION DE CONSOMMATEURS Pourquoi être membre d une association de consommateurs? Pourquoi ne pas être membre d une association de consommateurs? LES MAGAZINES DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS La connaissance spontanée de magazines de consommateurs La lecture des magazines des associations de consommateurs JUILLET 1999 a

5 9. L AIDE APPORTEE PAR LES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS LES ROLES JOUES PAR LES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS SERVICE PUBLIC OU SERVICE PRIVÉ? Distribuer de l information Donner à tous les consommateurs des conseils/une aide pratique Ne donner qu aux membres des associations de consommateurs des conseils/une aide pratique Fournir des conseils juridiques Publier un magazine Exercer une pression sur le gouvernement Protéger les intérêts des consommateurs Représenter les intérêts des consommateurs S ADRESSER A UNE ASSOCIATION DE CONSOMMATEURS Demander des conseils/de l aide à une association de consommateurs Pourquoi demander des conseils/de l aide à une association de consommateurs? Expérience avec une association de consommateurs Pourquoi ne pas avoir demandé des conseils/de l aide à une association de consommateurs? LES MOYENS DE COMMUNICATION D UNE ASSOCIATION DE CONSOMMATEURS LE PRIX DES SERVICES FOURNIS PAR UNE ASSOCIATION DE CONSOMMATEURS Certains services devraient-ils être payants? Quels services devraient être payants? Montant et forme du paiement Payer pour certains services dont on a vraiment besoin LA PRINCIPALE SOURCE DE FINANCEMENT DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS 125 ANNEXES Questionnaire Spécifications techniques Noms des Instituts associés à la recherche 16 JUILLET 1999

6 INTRODUCTION Le sondage d opinion analysé dans le présent rapport a été effectué, entre le 12 avril et le 18 mai 1999, dans le cadre de l Eurobaromètre 51.1, à la demande de la Direction Générale XXIV «Politique des Consommateurs et Protection de leur Santé» de la Commission européenne. Ce sondage est géré et organisé par la Direction Générale X «Information, Communication, Culture, Audiovisuel», unité «Analyse de l Opinion publique». Le présent rapport aborde la perception qu ont les Européens de questions portant sur les associations de consommateurs. Il se subdivise en plusieurs sections qui couvrent, notamment, la connaissance qu ont les Européens de ces associations, les sources d informations par lesquelles ils en ont pris connaissance, l image qu ils ont de leur influence, les rôles qu ils leur attribuent, les problèmes qu ils leur associent, les moyens de communication qui devraient leur permettre de mieux s adresser au public, les sources de financement qui leur correspondent, la possibilité de rendre certains services payants. Les citoyens peuvent aussi s exprimer sur leur propre expérience de contact avec ces associations en précisant le type d informations qu ils recherchaient et ce qu ils ont reçu. Dans chaque pays, ces questions ont été soumises à un échantillon représentatif de la population nationale âgée de quinze ans et plus. Au total, personnes ont été interrogées, soit, en moyenne, quelque personnes par pays, sauf en Allemagne (2.000 : dans les nouveaux Länder et dans les anciens Länder), au Royaume-Uni ( : en Grande-Bretagne et 300 en Irlande du Nord) et au Luxembourg (600). Précisons que les chiffres relatifs à l Union européenne dans son ensemble qui figurent dans ce rapport sont une moyenne pondérée des chiffres nationaux. Pour chaque pays, la pondération utilisée est la part de la population nationale âgée de 15 ans et plus au sein de la population communautaire âgée de 15 ans et plus. Il convient aussi de noter que le total des pourcentages présentés dans les tableaux de cette étude peut dépasser 100% lorsque le répondant a la possibilité de donner plusieurs réponses à une même question. Ce total peut également ne pas atteindre exactement 100%, mais un nombre très proche (par exemple, 99% ou 101%), du fait des arrondis. Rappelons également que l abréviation NSP signifie Ne Sait Pas. Enfin, la numérotation des questions va de 22 à 41 en raison de l inclusion du questionnaire portant sur les associations des consommateurs dans un train Eurobaromètre portant aussi sur d autres sujets. 16 JUILLET 1999 i

7 SYNTHESE Les résultats de ce sondage Eurobaromètre montrent que la notoriété des associations de consommateurs est relativement bonne puisque 34% d Européens déclarent connaître une association de consommateurs contre 55% qui disent n en connaître aucune. Ils sont 63% à s estimer pas bien informés sur leurs droits en tant que consommateurs. Parmi ceuxci, l on trouve une majorité de citoyens méditerranéens. Alors qu un citoyen sur cinq (22%) affirme en être informé par les médias, 12% déclarent l être par les associations elles-mêmes. Ces associations sont jugées pas très influentes comparées aux médias, aux politiciens, aux ONG et à d autres groupes d intérêt. D autant plus qu ils sont 40% d Européens à considérer qu elles n ont pas assez de pouvoir. Dès lors, ils sont 67% de citoyens européens à vouloir voir augmenter l influence des associations de consommateurs dans leur pays, pour lesquelles la tâche prioritaire consiste à distribuer de l information, selon 27% de la population. Tâche suivie de rôles secondaires tels que donner des conseils ou une aide pratique à ses membres ou encore publier un magazine. Selon 63% de citoyens, le manque de pouvoir est le problème majeur auquel les associations doivent faire face, alors que 54% estiment que l obstacle principal est le fait de ne pas être pris au sérieux et pour un même pourcentage, le manque d argent. Une minorité d Européens (33%) pense que l absence de magazine de consommateurs représente un problème majeur pour les associations. Seuls 4% de citoyens européens déclarent au moment de l enquête être membres d une association de consommateurs avec les plus grandes proportions au Luxembourg (29%), aux Pays-Bas (25%) et en Suède (22%). Si certains sont membres d une association, c est tout d abord parce qu elle a la meilleure réputation (30%), ensuite parce qu elle offre le meilleur service (28%). Le fait de ne pas en connaître d autres est un motif repris à 16% tout comme le fait de connaître certains des membres. Ceux qui ne sont pas membres d une association de consommateurs le justifient par le fait qu ils n en connaissent pas (45%) ou parce qu ils n en ont pas besoin (22%). Le manque de temps (18%) et le désintérêt (13%) représentent d autres arguments expliquant cette attitude. Quoi qu il en soit, si 73% de citoyens européens déclarent pouvoir citer au moins un magazine de consommateurs, ils ne les lisent pas pour autant puisque seuls 3% affirment lire tous les numéros et 16%, certains numéros. 47% d Européens souhaiteraient être aidés par une association surtout lorsqu ils ont besoin de conseils pratiques et d informations. Ce qui représente d ailleurs le rôle général d une association, selon 59% de la population. Tandis qu ils sont 10% à avoir déjà demandé des conseils/de l aide à une association, la moitié d entre eux déclarent qu ils ont reçu ce dont ils avaient besoin. En revanche, 6% affirment que les informations reçues n étaient pas utiles du tout. 16 JUILLET 1999 I

8 A propos des services proposés, ils sont 22% à penser que certains devraient être payants et en particulier les conseils juridiques (60%) et le magazine (36%). La préférence serait de payer un montant fixé pour chaque service fourni (52%) ou, dans une moindre mesure, une cotisation annuelle de 40 euro (20%). Mais au-delà de ce montant, les citoyens se montrent moins enthousiastes à payer et estiment que cela dépendra du service fourni (16%). Alors que les plus disposés à payer se comptent parmi les Danois, les Néerlandais, les Suédois et les Finlandais, ceux qui se montrent les moins en faveur du paiement sont à trouver parmi les Grecs, les Autrichiens, les Portugais et les Belges. Quant au financement des associations, les citoyens pensent qu il devrait provenir des pouvoirs publics/du gouvernement (35%) ou encore d un financement mixte (30%). Par contre, ils sont plutôt minoritaires à choisir les cotisations des membres (14%) ou le paiement des services (12%). Enfin, 42% d Européens trouvent que le numéro de téléphone gratuit représente le meilleur moyen pour une association qui cherche à communiquer avec le public. Le magazine est un autre moyen choisi par 40% de citoyens. 16 JUILLET 1999 II

9 1. LES SOURCES D INFORMATION SUR LES DROITS DES CONSOMMATEURS A la question «Pensez-vous être bien informé sur vos droits en tant que consommateur?», six citoyens européens sur dix répondent par la négative. Un taux qui monte à huit sur dix en Grèce et en Espagne. Seuls, deux ressortissants européens sur dix (22%) ont entendu parler de leurs droits en tant que consommateurs dans les médias. Cette réponse arrive en tête pour chacun des pays membres, sauf au Luxembourg où les associations de consommateurs elles-mêmes sont désignées comme la principale source d information. Ils sont 12% à en avoir pris connaissance grâce aux associations de consommateurs et 6 % grâce aux pouvoirs publics nationaux. Ces trois sources d information précèdent dans l ordre les autres réponses suggérées : les associations sectorielles (3%), les associations de l industrie et du commerce (2%) et les pouvoirs publics européens (1%). Ventilation par variables nationales Q.22 De façon générale, pensez-vous être bien informé sur vos droits en tant que consommateur? (SI OUI) Par qui? (MONTRER CARTE LIRE PLUSIEURS REPONSES POSSIBLES) 1. Non, pas bien informé 2. Oui, pas les pouvoirs publics (NATIONALITE)/le gouvernement (NATIONALITE) 3. Oui, par les pouvoirs publics européens 4. Oui, par les médias 5. Oui, par les associations de consommateurs 6. Oui, par les associations de l industrie et du commerce 7. Oui, par les associations sectorielles/les groupes d intérêt comme les producteurs de viande, les producteurs de vin, etc 8. Oui, par d autres sources (SPONTANE) Pays NSP B DK WD D OD GR E F IRL I L NL A P FIN S UK UE JUILLET

10 Parmi les citoyens qui déclarent ne pas être bien informés, les Grecs arrivent en tête avec 81% devant les Espagnols (80%) et les Italiens (77%). Les Portugais (75%) et les Irlandais (71%) marquent aussi des scores supérieurs à 70%. Avec 63% de consommateurs qui estiment ne pas être bien informés sur leurs droits en tant que consommateurs et près de 4% qui ne savent pas répondre à cette question, on peut déduire que seul un tiers des citoyens européens se sent informé à ce sujet. Mis à part le Luxembourg où les citoyens citent principalement les associations de consommateurs elles-mêmes, les médias constituent la principale source d information dans tous les autres Etats membres. Les médias atteignent ou dépassent les 30% dans cinq nations : en Finlande (48%), aux Pays-Bas (41%), au Danemark (39%), en Suède et en Allemagne (30% chacune). En revanche, ils n excèdent pas les 14% en Irlande, en Grèce (13%), en Italie (12%) et en Espagne (11%). 12% des consommateurs déclarent être informés par les associations de consommateurs ellesmêmes. Cette source atteint les 31% aux Pays-Bas. Les pays scandinaves marquent des taux largement supérieurs à la moyenne européenne : 24% au Danemark, 22% en Suède et 20% en Finlande. Rappelons aussi le cas des Luxembourgeois qui citent ces associations comme source d information principale (23%). Par contre, les scores les plus bas sont enregistrés en Grèce (2%), au Portugal et en Espagne (4% chacun). Les sources suivantes obtiennent des scores inférieurs à 6%. Il en va ainsi des pouvoirs publics nationaux par lesquels près de six citoyens européens sur cent se disent informés. Cette source d information affiche des taux deux à trois fois supérieurs à la moyenne européenne aux Pays-Bas (17%) et dans les pays scandinaves : Finlande (15%), Danemark (14%) et Suède (13%) à l inverse de la Grèce et du Portugal qui enregistrent les scores les plus faibles (2% chacun). Les associations sectorielles sont citées le plus souvent par les Suédois (9% pour une moyenne européenne de 3%), les Finlandais (7%), les Néerlandais et les Autrichiens (6% chacun). D autres sources que celles suggérées semblent avoir informé les citoyens dans certains pays plus qu ailleurs. C est le cas au Luxembourg (5%) et en France (4%). Alors que les associations de l industrie et du commerce n obtiennent que 2% au niveau européen, des scores de 5% sont observés au Danemark et en Suède. Les citoyens européens donnent le score le plus médiocre aux pouvoirs publics européens (1.2%). Ces derniers ne recueillent même pas 1% au Portugal. Notons enfin les scores élevés de NSP enregistrés pour cette question en Allemagne (7% pour une moyenne européenne de 4%) et en Autriche (8%). 16 JUILLET

11 Ventilation par variables sociodémographiques Q.22 De façon générale, pensez-vous être bien informé sur vos droits en tant que consommateur? (SI OUI) Par qui? (MONTRER CARTE LIRE PLUSIEURS REPONSES POSSIBLES) 1. Non, pas bien informé 2. Oui, pas les pouvoirs publics (NATIONALITE)/le gouvernement (NATIONALITE) 3. Oui, par les pouvoirs publics européens 4. Oui, par les médias 5. Oui, par les associations de consommateurs 6. Oui, par les associations de l industrie et du commerce 7. Oui, par les associations sectorielles/les groupes d intérêt comme les producteurs de viande, les producteurs de vin, etc 8. Oui, par d autres sources (SPONTANE) Variables NSP Sexe Homme Femme Age Niveau d études <= Profession Indépendants Managers/Cadres Employés Travailleurs manuels Personne au foyer Sans emploi Pensionnés Etudiants Echelle des revenus UE JUILLET

12 Les hommes sont un peu plus nombreux que les femmes à déclarer qu ils sont bien informés sur les droits qui sont les leurs en tant que consommateurs. Plus le citoyen est jeune, plus il ne se trouve pas bien informé. Ainsi, ils sont 61% de personnes âgées de 55 ans ou plus, 62% de 40-54, 63% de et 68% de dans ce cas. 70% de citoyens qui ont arrêté leurs études avant l âge de 15 ans ne se sentent pas bien informés sur leurs droits de consommateurs, contre 61.2% parmi ceux qui ont mis fin à leurs études entre 16 et 19 ans et 54.2% parmi les plus instruits. Pour une moyenne européenne de 63%, le score attribué à pas bien informé s élève le plus pour les personnes au foyer et les étudiants (68% chacun) et est le plus faible parmi les cadres (51%). Ce sont aussi chez eux que l on observe le meilleur score d information via les pouvoirs publics de leur pays (8%) et les pouvoirs publics européens (2%), les médias (28%) et les associations de consommateurs (22%). Enfin, plus le revenu baisse, plus l on se dit mal informé : 54% pour les revenus supérieurs, 60% pour les revenus moyens supérieurs, 62% pour les revenus moyens inférieurs et 65% pour les revenus inférieurs. Il en découle, avec une certaine logique, que les revenus supérieurs se déclarent davantage informés que les autres revenus. En effet, les revenus supérieurs donnent les meilleurs scores à chaque source d information. 16 JUILLET

13 2. LA NOTORIETE DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS Plus d un citoyen européen sur deux ne connaît aucune association de consommateurs en son pays, un tiers en connaît au moins une, un sur dix s abstient de répondre à cette question. Ventilation par variables nationales Q.23 Connaissez-vous au moins une association de consommateurs en (NOTRE PAYS)? Pays Oui Non, ne connaît NSP aucune association de consommateurs en (NOTRE PAYS) B DK WD D OD GR E F IRL I L NL A P FIN S UK UE Cinq Etats membres dépassent les 55% de non : la Grèce (86%), l Italie (75%), l Irlande (74%), l Espagne (65%) et le Royaume-Uni (59%). Avec 75%, les Néerlandais arrivent en tête pour le oui, devant les Luxembourgeois (63%), les Suédois (60%) et les Français (51%), quatuor qui marque les scores de notoriété les plus élevés. Au contraire des Grecs (11%), des Irlandais et des Italiens (15% chacun) et des Finlandais (16%) qui donnent au oui les scores les plus faibles. A noter le score spectaculaire de NSP en Finlande (32%), loin devant l Autriche (19% pour une moyenne européenne de 11%). 16 JUILLET

14 Ventilation par variables sociodémographiques Q.23 Connaissez-vous au moins une association de consommateurs en (NOTRE PAYS)? Variables Oui Non, ne connaît NSP aucune association de consommateurs en (NOTRE PAYS) Sexe Homme Femme Age Niveau d études <= Profession Indépendants Managers/Cadres Employés Travailleurs manuels Personne au foyer Sans emploi Pensionnés Etudiants Echelle des revenus UE Les hommes sont plus nombreux à déclarer connaître au moins une association de consommateurs que les femmes (36% contre 32%). Exception faite du groupe des personnes les plus âgées (29%), plus l âge augmente, plus les citoyens disent connaître l une ou l autre association. Le niveau d instruction exerce aussi une influence puisque les scores donnés au oui augmentent parallèlement à lui : de 22% chez les moins instruits jusqu à 50% chez les plus instruits en passant par 36% dans la catégorie intermédiaire. 16 JUILLET

15 Les cadres donnent le meilleur score au oui (55%), devant les employés (46%) alors que les sans emploi (63%), les personnes au foyer, les étudiants (62% chacun) et les pensionnés (61%) donnent les scores les plus élevés au non. La variable revenus influence le niveau de notorité dans la mesure où les scores de oui augmentent au fur et à mesure que s élève le revenu : 26% pour la tranche inférieure, suivis de 36% pour la tranche moyenne inférieure, 40% pour la tranche moyenne supérieure et 48% pour la tranche supérieure. 16 JUILLET

16 3. LA TÂCHE PRIORITAIRE DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS Il a été demandé aux répondants de se prononcer parmi une liste de 8 tâches sur celle qu ils estiment être une priorité pour les associations de consommateurs. Deux d entre elles recueillent 25% ou plus de votes : distribuer de l information, et donner à tous les consommateurs des conseils ou une aide pratique. Une autre tâche obtient 19% de votes : protéger les intérêts des consommateurs. Les autres recueillent 7% ou moins de votes : représenter les intérêts des consommateurs (7%), exercer une pression sur le gouvernement (5%), fournir des conseils juridiques (5%), publier un magazine (3%), et ne donner qu aux membres des associations de consommateurs des conseils ou une aide pratique (2%). Ventilation par variables nationales Q.24.a A votre avis, laquelle des tâches suivantes devrait être une PRIORITE pour les associations de consommateurs? (MONTRER CARTE UNE SEULE REPONSE) 1. Distribuer de l information 2. Donner à tous les consommateurs des conseils/une aide pratique 3. Ne donner qu aux membres des associations de consommateurs des conseils/une aide pratique 4. Fournir des conseils juridiques 5. Publier un magazine 6. Exercer une pression sur le gouvernement 7. Protéger les intérêts des consommateurs 8. Représenter les intérêts des consommateurs 9. D autres tâches (SPONTANE) Pays NSP B DK WD D OD GR E F IRL I L NL A P FIN S UK UE JUILLET

17 Partout en Europe, sauf dans quatre nations, la tâche qui recueille le plus de votes est distribuer de l information. Les exceptions : l Irlande où la tâche prioritaire consiste à protéger les intérêts des consommateurs (23%), l Allemagne (34%), le Danemark (28%) et le Royaume-Uni (23%) où donner à tous les consommateurs des conseils ou une aide pratique est la tâche prioritaire. A noter les scores élevés de «NSP» au Royaume-Uni et en Autriche (10% chacun pour une moyenne européenne de 6%) suivis de l Irlande (8%). Enfin, il est à signaler que la réponse spontanée «autres» obtient un score relativement élevé au Luxembourg (2% pour une moyenne européenne de 0.2%). 16 JUILLET

18 Ventilation par variables sociodémographiques Q.24.a A votre avis, laquelle des tâches suivantes devrait être une PRIORITE pour les associations de consommateurs? (MONTRER CARTE UNE SEULE REPONSE) 1. Distribuer de l information 2. Donner à tous les consommateurs des conseils/une aide pratique 3. Ne donner qu aux membres des associations de consommateurs des conseils/une aide pratique 4. Fournir des conseils juridiques 5. Publier un magazine 6. Exercer une pression sur le gouvernement 7. Protéger les intérêts des consommateurs 8. Représenter les intérêts des consommateurs 9. D autres tâches (SPONTANE) NSP Variables NSP Sexe Homme Femme Age Niveau d études <= Profession Indépendants Managers/Cadres Employés Travailleurs manuels Personne au foyer Sans emploi Pensionnés Etudiants Echelle des revenus UE JUILLET

19 Distribuer de l information représente une tâche prioritaire aussi bien pour les hommes que les femmes. Chaque catégorie d âge donne son meilleur score à cette tâche. Quel que soit le niveau d instruction, chaque citoyen considère que distribuer de l information reste la tâche prioritaire pour les associations de consommateurs. Seuls les employés (28%) et les travailleurs manuels (27%) choisissent donner à tous les consommateurs des conseils/une aide pratique comme tâche prioritaire. Enfin, les revenus supérieurs donnent le meilleur score (29%) à distribuer de l information tandis que les autres catégories de revenus choissent donner à tous les consommateurs des conseils/une aide pratique comme tâche prioritaire. 16 JUILLET

20 4. LES TÂCHES MOINS IMPORTANTES DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS Lorsqu on demande aux répondants de se prononcer sur les tâches moins importantes des associations de consommateurs, un citoyen sur 5 ne peut répondre à cette question (21% au niveau européen). Ce taux monte jusqu à 28% au Royaume-Uni et reste encore élevé en Grèce, en Espagne et au Portugal (24% chacun). Selon un citoyen sur quatre, les tâches moins importantes seraient de ne donner qu aux membres des associations de consommateurs des conseils/une aide pratique (24%) et publier un magazine (21%). Ventilation par variables nationales Q.24.b. Et, lesquelles sont des tâches MOINS IMPORTANTES? (MONTRER CARTE PLUSIEURS REPONSES POSSIBLES) 1. Distribuer de l information 2. Donner à tous les consommateurs des conseils/une aide pratique 3. Ne donner qu aux membres des associations de consommateurs des conseils/une aide pratique 4. Fournir des conseils juridiques 5. Publier un magazine 6. Exercer une pression sur le gouvernement 7. Protéger les intérêts des consommateurs 8. Représenter les intérêts des consommateurs 9. D autres tâches (SPONTANE) Pays NSP B DK WD D OD GR E F IRL I L NL A P FIN S UK UE JUILLET

21 La tâche secondaire (en importance après la tâche prioritaire de la Q.24a) qui retient le plus de votes consiste donc à ne donner qu aux membres des associations des conseils ou une aide pratique. Elle est choisie le plus massivement dans 5 nations : en Suède (33%), en Allemagne (29% pour le pays total avec 33% dans les nouveaux Länder), en France (28%), au Luxembourg et en Finlande (26% chacun). L Espagne choisit aussi ce rôle mais un nombre égal de répondants ne peuvent répondre à cette question (24% de part et d autre). La Suède, comme mentionné plus haut, a choisi aussi cette tâche à score égal avec une autre, publier un magazine (33%). En ne prenant pas en compte les scores de NSP, la fonction publier un magazine est la plus souvent choisie en Belgique, au Danemark et aux Pays-Bas (24% chacun), en Espagne et en Grèce (21% chacune), en France et en Irlande (19% chacune), et au Royaume-Uni (27%). Fournir des conseils juridiques est une tâche citée par 13% de citoyens européens et grimpe jusqu à 24% en Suède, 20% en Belgique. Exercer une pression sur le gouvernement est une tâche citée par 13% de citoyens européens. Ce score passe à 19% au Luxembourg. 10% des citoyens considèrent que représenter les intérêts des consommateurs est une autre fonction moins importante qui, toutefois, a davantage de succès en Autriche (24%), au Danemark (23%), en Grèce et en Belgique (18% chacune). Donner à tous les consommateurs des conseils ou une aide pratique est cité par 9% des Européens. Ce score s élève à 21% au Danemark. Distribuer de l information, qui avait été une fonction largement choisie comme fonction prioritaire est considérée comme moins importante par 8% d Européens dont 20% au Danemark et 18% en Grèce. Enfin, la réponse spontanée d autres tâches n est mentionnée qu à raison de 2% au niveau européen mais s élève à 6% en Grèce, à 5% au Luxembourg, à 4% au Portugal et en Italie. 16 JUILLET

22 Ventilation par variables sociodémographiques Q.24.b Et, lesquelles sont des tâches MOINS IMPORTANTES? (MONTRER CARTE PLUSIEURS REPONSES POSSIBLES) 1. Distribuer de l information 2. Donner à tous les consommateurs des conseils/une aide pratique 3. Ne donner qu aux membres des associations de consommateurs des conseils/une aide pratique 4. Fournir des conseils juridiques 5. Publier un magazine 6. Exercer une pression sur le gouvernement 7. Protéger les intérêts des consommateurs 8. Représenter les intérêts des consommateurs 9. D autres tâches (SPONTANE) Variables NSP Sexe Homme Femme Age Niveau d études <= Profession Indépendants Managers/Cadres Employés Travailleurs manuels Personne au foyer Sans emploi Pensionnés Etudiants Echelle des revenus UE JUILLET

23 La tâche secondaire qui retient le plus de votes consiste donc à ne donner qu aux membres des associations des conseils ou une aide pratique. Les répondants âgés de ans choisissent le plus massivement cette tâche (26% pour les 25-39) et (25% pour les 40-54). A noter le taux d abstention élevé auprès des 55+ (25%). Le niveau d instruction influence les répondants. Ceux ayant arrêté leurs études à 15 ans ou avant marquent des scores faibles pour chaque tâche et, plus le niveau d instruction augmente, plus les scores augmentent. Il n est dès lors pas étonnant que les moins instruits enregistrent le taux d abstention le plus élevé (28%). Les différentes variables de profession et de revenus sont sans effet pour cette question-ci. A signaler que le taux d abstention augmente au fur et à mesure que le revenu diminue. 16 JUILLET

24 5. L INFLUENCE DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS A la question Aimeriez-vous que les associations de consommateurs deviennent plus influentes?, près de 7 citoyens sur 10 répondent par l affirmative alors qu un citoyen sur cinq ne peut se prononcer. Ventilation par variables nationales Q.25a Aimeriez-vous ou non que les associations de consommateurs deviennent plus influentes en (NOTRE PAYS)? Pays Oui Non NSP B DK WD D OD GR E F IRL I L NL A P FIN S UK UE Les pays qui voudraient voir grandir l influence des associations de consommateurs sont la Grèce (84%), le Portugal (80%) et l Espagne (78%). C est dans ces pays que l on observe les taux de non les plus faibles. Par contre, les pays qui souhaitent ne pas voir augmenter l influence de ces associations sont la Finlande (23% de non), le Danemark (21%) et les Pays-Bas (20%). D autre part, cette question a suscité des scores élevés de «NSP» en Autriche (38% par rapport à une moyenne européenne de 23%), en Allemagne (35%), au Luxembourg (28%), en Belgique (26%), en Irlande et en Suède (25% chacune) ainsi qu en Italie (24%). 16 JUILLET

25 Ventilation par variables sociodémographiques Q.25a Aimeriez-vous ou non que les associations de consommateurs deviennent plus influentes en (NOTRE PAYS)? Variables Oui Non NSP Sexe Homme Femme Age Niveau d études <= Profession Indépendants Managers/Cadres Employés Travailleurs manuels Personne au foyer Sans emploi Pensionnés Etudiants Echelle des revenus UE Plus il est instruit, plus le citoyen désire voir augmenter l influence des associations de consommateurs : 64% pour les personnes ayant arrêté leurs études à quinze ans ou moins, 68% pour celles qui ont étudié jusqu à l âge de ans et 72% pour celles qui ont arrêté leurs études à 20 ans ou plus. Dans les catégories socioprofessionnelles, le score le plus élevé de oui est à trouver chez les employés (73%). Les revenus inférieurs ont marqué des scores plus faibles de oui que les revenus supérieurs. 16 JUILLET

26 5.1 DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS PLUS INFLUENTES Quelles sont les raisons qui poussent les citoyens à vouloir voir augmenter l influence des associations de consommateurs? Cette question ne fut posée qu aux répondants ayant donné oui comme réponse à la question précédente, c est-à-dire 67% de la population européenne. Parmi les trois raisons proposées, la première recueille 40% de votes : Elles n ont pas assez de pouvoir actuellement. Les deux autres raisons se côtoient de très près : Elles peuvent bien protéger les intérêts des consommateurs (39%) et Les consommateurs ne sont actuellement pas bien représentés (38%). Ventilation par variables nationales Q.25b Est-ce parce que (MONTRER CARTE LIRE PLUSIEURS REPONSES POSSIBLES) (SI OUI, CODE 1 EN Q.25a) 1. Elles n ont pas assez de pouvoir actuellement 2. Elles peuvent bien protéger les intérêts des consommateurs 3. Les consommateurs ne sont actuellement pas bien représentés (SPONTANE) 4. Pour d autres raisons (SPONTANE) Pays NSP B DK WD D OD GR E F IRL I L NL A P FIN S UK UE Le manque de pouvoir est la raison évoquée par un Français sur deux (50%). Cet avis est aussi partagé par des proportions importantes de Belges (48%), d Allemands des anciens Länder (48% pour une moyenne nationale de 46%), de Finlandais (45%), de Portugais et de Grecs (42% chacun). Les autres Etats membres marquent des scores inférieurs à la moyenne. 16 JUILLET

27 Ce sont les Néerlandais qui donnent à cette première raison le score le plus médiocre (28%). Par contre, ils donnent à la deuxième raison suggérée son meilleur score (53%) : les capacités des associations à bien protéger les intérêts des consommateurs. Ils sont suivis des Allemands des nouveaux Länder (51%), alors que leurs compatriotes marquent un score de 45%. D autres pays atteignent ou dépassent la barre des 44% pour cette deuxième raison : le Danemark (46%), la Suède et l Italie (44%). La troisième raison spontanée -, les consommateurs ne sont actuellement pas bien représentés enregistre son meilleur score en Irlande (49%), en Grèce (47%), au Royaume-Uni (45%) et en Finlande (44%). Le Danemark suit le quatuor de tête (42%) avec les Allemands (42%). A noter qu en Allemagne, cette troisième raison retient plus de votes dans les anciens Länder (42%) que dans les nouveaux (39%). Les Autrichiens (8%), les Luxembourgeois (5%) et les Portugais (5%) sont les plus nombreux à ne pas se prononcer, alors qu au niveau européen, ce score s élève à 2.5%. Les Luxembourgeois (5% pour une moyenne européenne de 2%) et les Portugais (4%) marquent les scores les plus élevés pour la réponse spontanée «autres raisons». 16 JUILLET

28 Ventilation par variables sociodémographiques Q.25b Est-ce parce que (MONTRER CARTE LIRE PLUSIEURS REPONSES POSSIBLES) (SI OUI, CODE 1 EN Q.25a) 1. Elles n ont pas assez de pouvoir actuellement 2. Elles peuvent bien protéger les intérêts des consommateurs 3. Les consommateurs ne sont actuellement pas bien représentés (SPONTANE) 4. Pour d autres raisons (SPONTANE) Variables NSP Sexe Homme Femme Age Niveau d études <= Profession Indépendants Managers/Cadres Employés Travailleurs manuels Personne au foyer Sans emploi Pensionnés Etudiants Echelle des revenus UE Ils sont 44% d hommes à déclarer vouloir voir augmenter l influence des associations de consommateurs parce qu elles n ont pas assez de pouvoir actuellement contre 37% de femmes. Tandis que ces dernières choisissent une autre cause à raison de 40% : elles peuvent bien protéger les intérêts des consommateurs. Plus le niveau d instruction augmente, plus les scores obtenus pour chaque raison augmentent. 16 JUILLET

29 5.2 DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS DEJA SUFFISAMMENT INFLUENTES Quelles sont les raisons qui poussent les citoyens à ne pas vouloir voir augmenter l influence des associations de consommateurs? Cette question ne fut posée qu aux répondants ayant donné non comme réponse à la question Q.25a, soit 10% de la population européenne. Parmi les trois raisons proposées, la première recueille 28% de votes dans ce groupe : Elles ont déjà suffisamment de pouvoir. Le fait qu elles ne représentent pas bien les intérêts des consommateurs pousse un citoyen sur quatre à ne pas vouloir des associations plus influentes. 19% de citoyens de ce groupe 1 reprochent à ces associations de ne pas être élues démocratiquement. A noter les scores élevés de NSP (16%) pour cette question. Ventilation par variables nationales Q.25c Est-ce parce que (MONTRER CARTE LIRE PLUSIEURS REPONSES POSSIBLES) (SI NON, CODE 2 EN Q.25a) 1. Elles ont déjà suffisamment de pouvoir 2. Elles ne représentent pas bien les intérêts des consommateurs 3. Elle ne sont pas élues démocratiquement 4. Les consommateurs sont déjà bien représentés (SPONTANE) 5. Pour d autres raisons (SPONTANE) Pays NSP B DK WD D OD GR E F IRL I L NL A P FIN S UK UE c est-à-dire : de 90% de l opinion publique européenne. 16 JUILLET

30 Le trio scandinave, suivi des Pays-Bas (40%), se distingue pour avoir choisi la première raison en plus grand nombre et pour avoir invoqué le fait que les associations aient déjà suffisamment de pouvoir : la Suède et le Danemark (54% chacun), la Finlande (45%). D autres citoyens leur reprochent de ne pas bien représenter les intérêts des consommateurs, avec un taux spectaculaire en Grèce (76%), loin devant le deuxième pays : l Italie (37%). Le fait de ne pas être élues démocratiquement est le plus souvent cité par les Allemands (25%) et les Néerlandais (23%). Les citoyens européens qui ne souhaitent pas voir l influence des associations augmenter justifient cette position spontanément par le fait que les consommateurs sont déjà bien représentés. C est le cas en Allemagne (20%) et aux Pays-Bas (16%). A l inverse, cet avis ne se retrouve que très faiblement en Italie (1%) et pas du tout au Portugal (0%). Certains citoyens citent d autres raisons au Portugal (34%), en Italie (25%), en Belgique (15%) et en Espagne (13%). Signalons enfin les scores élevés de réponse NSP en Irlande (37% pour une moyenne européenne de 16%), en Autriche (34%), en Espagne (31%) et dans les nouveaux Länder (22%). 16 JUILLET

31 Ventilation par variables sociodémographiques Q.25c Est-ce parce que (MONTRER CARTE LIRE PLUSIEURS REPONSES POSSIBLES) (SI NON, CODE 2 EN Q.25a) 1. Elles ont déjà suffisamment de pouvoir 2. Elles ne représentent pas bien les intérêts des consommateurs 3. Elle ne sont pas élues démocratiquement 4. Les consommateurs sont déjà bien représentés (SPONTANE) 5. Pour d autres raisons (SPONTANE) Variables NSP Sexe Homme Femme Age Niveau d études <= Profession Indépendants Managers/Cadres Employés Travailleurs manuels Personne au foyer Sans emploi Pensionnés Etudiants Echelle des revenus UE Les hommes marquent des scores supérieurs à la moyenne pour les trois propositions alors que les femmes donnent les meilleurs scores aux réponses spontanées. Les variables d âge, de niveau d instruction, de profession et de revenus sont sans effet pour cette question-ci. 16 JUILLET

32 5.3 L INFLUENCE DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS COMPARÉE À CELLE D AUTRES GROUPES D INTÉRÊT Les associations de consommateurs, comparées à d autres groupes d intérêt, sont considérées comme pas très influentes par 42% de citoyens de l Union européenne, et pas influentes du tout par 12%. Ils sont 23% à les juger assez influentes et 4% très influentes. Ventilation par variables nationales Q.40.a. Comparée à d autres groupes d intérêt en (NOTRE PAYS) représentant l industrie, le commerce, l agriculture, les banques, etc., comment qualifieriez-vous l influence des associations de consommateurs? (MONTRER CARTE AVEC ECHELLE UNE SEULE REPONSE) Pays Très influentes Assez influentes Pas très influentes Pas influentes du tout NSP Moyenne B DK WD D OD GR E F IRL I L NL A P FIN S UK UE Un poids allant de un à quatre a été attribué à chacun de ces quatre niveaux 2, afin de calculer des moyennes tant à l échelle européenne que nationale pour chaque type d influence. Conservons à l esprit que le point central est égal à 2.5. Sur une échelle à quatre points, la moyenne européenne est de 2.24 pour cette question qui ne semble pas vraiment de nature à diviser les ressortissants des Quinze. Les attitudes sont très proches de nation à nation, puisque 0.50 points seulement séparent le pays à la moyenne la plus élevée (2.63 pour le Danemark) et la moins élevée (2.13 pour le Portugal et les nouveaux Länder). A noter le score élevé de réponse NSP en Irlande (32% pour une moyenne européenne de 19%) et en Italie (26%). 2 «Très influentes», 4.0 ; «Assez influentes», 3.0 ; «Pas très influentes», 2.0 et «Pas influentes du tout», 1.0 ; le point central = JUILLET

33 Ventilation par variables sociodémographiques Q.40.a. Comparée à d autres groupes d intérêt en (NOTRE PAYS) représentant l industrie, le commerce, l agriculture, les banques, etc., comment qualifieriez-vous l influence des associations de consommateurs? (MONTRER CARTE AVEC ECHELLE UNE SEULE REPONSE) Variables Très influentes Assez influentes Pas très influentes Pas influentes du tout NSP Moyenne Sexe Homme Femme Age Niveau d études <= Profession Indépendants Managers/Cadres Employés Travailleurs manuels Personne au foyer Sans emploi Pensionnés Etudiants Echelle des revenus UE Rappelons que le point central est égal à 2.5. La moyenne la plus élevée se retrouve chez les employés (2.29) et la plus faible chez les moins instruits (2.18). Quant aux autres variables prises en compte, elles sont sans effet pour cette question-ci. Le taux d abstention est le plus faible chez les hommes (15% pour une moyenne européenne de 19%), les répondants de ans (15%), les plus instruits (10%), les cadres (10%) et dans les revenus supérieurs (9%). 16 JUILLET

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