Innovation Process Présentation de la recherche
|
|
- Jeannine Paul
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Innovation Process Présentation de la recherche Présentation du projet Innovation Process Qui fait partie du projet? : Une équipe pluridisciplinaire (sociologie, gestion, psychologie) de l Ulg, active depuis 2007 Quel est l objet d étude du projet? : L analyse de la collaboration partenariale dans les projets et pôles de compétitivité, avec un focus: l apprentissage inter-organisationnel et le management des projets Quelle est notre méthodologie? : grâce à des échanges avec les acteurs de terrain à partir de bonnes pratiques identifiées et d un benchmarking international (autres pôles et projets en Europe) Pourquoi? : Favoriser l interactivité entre analyse et pratiques de terrain et permettre un partage d expériences entre projets 1 er axe de travail : dynamiques entre l organisation partenaire et le projet collaboratif Sur ce premier axe, nous nous intéressons aux échanges entre l organisation en tant que partenaire et le projet en tant que réseau. Organisation Projet Plus précisément, nous avons considéré les questions suivantes : Quels apprentissages pour l organisation solo au sein du projet (réseau de partenaires)? Que retire le partenaire de sa participation au projet, en termes d apprentissages? Comment apprend-il? Quels apprentissages pour le réseau (projet)? Comment les partenaires contribuent-ils au projet? Que versent-ils au «pot commun»? De quelle manière? + Sous-variable: dans quelle mesure les partenaires ont (ou non) l habitude de travailler ensemble? 1
2 2e axe de travail : dynamiques entre l expérimentation et le développement Sur ce deuxième axe, nous nous centrons sur les dynamiques entre les phases d expérimentation (exploration de nouvelles possibilités) et de développement (choix parmi les différentes possibilités envisagées, et développement à partir de l option choisie). Expérimentation Développement Nous avons observé que les partenaires d un projet d innovation oscillent entre deux options : EXPLORER de nouvelles pistes, procéder à des tests, considérer différentes options (le «R» de R&D) CHOISIR une piste parmi les différentes options considérées, cerner l objet ou le processus de plus près, avancer vers le développement en vue de production/commercialisation (le «D» de R&D) + Sous-variable: quel degré de maîtrise des connaissances, technologies et processus de développement? Différentes situations en fonction du degré d incertitude : Ce schéma présente brièvement quatre situations potentielles résultant du croisement des deux axes et des sous variables présentés ci-dessus. Premiers constats : 5 moments clés. Tous les projets d innovation inter-organisationnels sont confrontés, à des moments non-prédéfinis, à des questions ou difficultés qui s expriment différemment dans chaque projet (selon les cas, elles peuvent se produire une ou plusieurs fois, dans un ordre variable). Nous en avons identifiés cinq : o Définition du projet o Transition de l expérimentation au développement 2
3 o Transition du développement à l expérimentation o Transition de l organisation au projet o Transition du projet à l organisation Pour répondre à ces enjeux, les projets mettent en place des solutions spécifiques L analyse de 4 projets nous a permis d identifier une série de bonnes pratiques 1) Définition du projet : Les enjeux auxquels sont confrontés les partenaires sont les suivants : o Combiner expérimentation et développement (trouver le bon équilibre) o Développer la confiance entre partenaires Ces préoccupations se présentent à deux niveaux: o La composition du partenariat o La structuration du projet Elles apparaissent au démarrage du projet, mais peuvent ressurgir en cours de projet: o Recomposition du partenariat selon l évolution du projet o Restructuration de certaines tâches, réorientation des objectifs Composition du partenariat: quelques exemples de bonnes pratiques Recourir à des outils tels que le matching pour objectiver le choix des partenaires Dans un réseau préexistant (dans lequel les partenaires ont l habitude de travailler ensemble) o Veiller à rester ouvert sur l extérieur (réseautage, développement de nouvelles collaborations) o Introduire du «sang neuf» afin de maintenir un certain degré d exploration dans le partenariat (recrutement de nouveaux profils au sein du partenariat) o Permettre/prévoir une éventuelle recomposition du partenariat Dans un réseau non-préexistant (dans lequel les partenaires ne se connaissent pas ou peu) o Renforcer la collaboration (réunions plénières régulières, séances «carte de visite» ou «speed-dating» de chaque partenaire afin d optimiser la connaissance mutuelle) o Développer une identité collective, une culture projet (mobilité des compétences au sein du réseau, plate-forme de collaboration, organiser collectivement des actions de communication externe, etc.) Structuration du projet: quelques exemples Permettre ou favoriser la présence d un même acteur (partenaire) dans plusieurs sousprojets («agents de liaison») Dans un projet, les chefs d axe jouent un rôle d agent de liaison entre partenaires, en ce qu ils occupent aussi la fonction de chercheurs dans plusieurs projets (rôle opérationnel). 3
4 De même, dans un autre projet, on observe que certains acteurs sont chefs de plusieurs sous-projets en même temps. Structurer le projet par objectifs (output-driven) Mettre en place une fonction de régulation pour suivre l avancement du projet, créer des synergies entre les partenaires, régler les conflits, etc. 2) Transition de l expérimentation au développement Dans cette situation, le partenariat procède à des choix, écarte certaines options (par exemple, en fonction de tests) pour sélectionner celle(s) sur laquelle (lesquelles) le projet va se poursuivre et perfectionner la solution choisie. C est le moment où se rencontrent (voire se confrontent) les différentes logiques des partenaires (ex: industriels/universitaires). Cette étape sous-entend une prise de décision idéalement win-win pour l ensemble des partenaires Recourir à un même langage, à des références communes (ex: le Proof of Concept, la notion d avancée scientifique, le caractère exploitable ou rentable des résultats ) Concentrer les réflexions autour d un objet concret, une réalisation tangible (ex: prototype) pour permettre aux partenaires de clarifier les étapes à venir et les prochains choix à poser Dans un sous-groupe d un projet, des partenaires universitaires ont acheté ou réalisé du matériel semblable à ce qui allait être utilisé pour construire un prototype, ils l ont apporté en réunion et l ont fait fonctionner. De plus, ils ont tenté de faire fonctionner des éléments conçus ou achetés séparément, tels qu une antenne conçue par un laboratoire, raccordée à un émetteur acheté par un autre laboratoire. Rendre les choix transparents, neutres, «hors de soupçon», dépersonnaliser les décisions o Garder une trace des options écartées et les raisons de leur abandon (critères de choix concertés et transparents) o Faire appel à un expert extérieur au projet (ex: jury d évaluation à mi-parcours) 3) Transition du développement à l expérimentation : Lors de cette étape, il s agit pour les partenaires de conserver le potentiel innovant et inédit du projet. En effet, un projet d innovation vise à trouver de nouvelles manières de faire, de nouveaux produits, explorer de nouvelles solutions. 4
5 Cela se traduit, au niveau du projet, par une phase d exploration, ou (à tout le moins) de tests de plusieurs options plus ou moins déterminées, balisées. L enjeu est donc de stimuler cette capacité d innovation au travers de l apport de nouvelles idées Maintenir la mobilisation d un partenaire écarté lors de choix précédents (continuer à l informer, l associer à certaines réunions) Stimuler les échanges avec des intervenants extérieurs (ex : associer des experts à certains brainstormings) Associer des doctorants à certaines étapes du projet (ex: démarches exploratoires, tests, développements, ) Dans un projet, la réalisation de thèses au sein du projet a été envisagée dès la négociation du projet à l initiative. Les industriels se sont progressivement intéressés aux résultats de ces travaux en formulant des suggestions. L inclusion de travaux académiques dans le projet permet de faire se rencontrer les intérêts et besoins des partenaires industriels et universitaires. Ces travaux de thèses stimulent la présence et le maintien de l exploration sur des thématiques qui intéressent les industriels. 4) Transition de l organisation au projet : Dans cette situation, nous observons comment les participants réagissent aux contributions de leurs partenaires dans le projet et les connaissances qu ils transmettent au projet. L apprentissage, concentré jusqu alors au niveau de l organisation, s étend au niveau du projet. Concrètement, il s agit du moment où l un des partenaires partage avec les autres un résultat de recherche, d expérience, une production solo, qu il «verse au pot commun» Enjeux: o la légitimité du partenaire aux yeux des autres. Celle-ci dépend de la mesure dans laquelle ses apports correspondent aux attentes placées en lui et les compétences qu on lui attribue. o La confiance mutuelle au sein du projet. Celle-ci sera mise à mal en cas de perte de légitimité ou si le partenaire apparaît comme déloyal aux yeux du projet (résultats partiellement partagés, déficit d engagement ) Favoriser les décloisonnements et optimiser la connaissance mutuelle des partenaires o Brainstormings collectifs et réunions tournantes, mise à disposition de personnel, partage de matériel ou d infrastructures,... 5
6 Dans le projet APC (EC3), le travail s effectue sur base d une plateforme avec transfert de personnel, tel que par exemple un technicien d une entreprise qui co-travaille avec une autre entreprise afin d améliorer la réactivité dans le rapport et la résolution de problèmes. o Faire preuve de pédagogie lors des présentations de résultats intermédiaires, se concentrer sur les apports concrets au projet et non leurs propriétés scientifiques 5) Transition du projet à l organisation : Nous observons ici la dynamique selon laquelle l organisation se réapproprie l apprentissage réalisé au niveau du projet. Il s agira d être attentif au moment et aux conditions de déroulement de cette étape: en effet cette «réappropriation» du savoir collectif sera perçue comme problématique si elle semble préjudiciable au projet (parce que trop précoce ou trop peu transparente). Cette étape constitue donc un enjeu fort en termes de propriété intellectuelle Concevoir de manière collégiale les accords de propriété intellectuelle Dans un projet, la convention de consortium et les accords de propriété intellectuelle ont été détaillés et fortement négociés en amont du projet, par la structure même, afin d atténuer les risques potentiels en cours de collaboration. S adjoindre les compétences d un expert extérieur, équidistant Produire un cadastre des licences, dès les prémisses du projet Prévoir une renégociation explicite des conventions de propriété intellectuelle en cours de projet Conclusions intermédiaires : La portée des bonnes pratiques proposées ici peut être renforcée ou modérée sous l influence du contexte: spécificités réglementaires, organisationnelles, de financement, de taille du projet, sectorielles Ces exemples ne s adressent pas seulement aux coordinateurs mais supposent également une implication des pôles, des partenaires, de la Région Wallonne Ceux-ci ne sont pas exhaustifs, mais constituent une première base de travail évolutive, destinée à être enrichie de deux manières : un benchmarking international et des échanges avec les pôles et projets 6
Lutin Laboratoire des Usages en Technologies
Lutin Laboratoire des Usages en Technologies d Information Numérique (à la Cité des Sciences) Offres à destination des entreprises (club d entreprises) Le principe de la plate-forme RNRT Le laboratoire
Plus en détailANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)
ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.
Plus en détailPlace de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat : 081/33.44.84 Accompagnement.recherche@spw.wallonie.be. Guide pratique pour les études de faisabilité
Direction générale opérationnelle Économie, Emploi et Recherche Département du Développement technologique Direction de l Accompagnement de la Recherche Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat :
Plus en détailManagement Interculturel
Management Interculturel La mondialisation et l ouverture des marchés ont permis l interconnexion des mondes. Ces phénomènes ont en même temps accéléré la mutation des modes de pensée et de consommation.
Plus en détailCharte de la Société suisse de la sclérose en plaques
Charte de la Société suisse de la sclérose en plaques Préambule La présente charte tend à rassembler l essentiel des principes, valeurs et visions qui sont chères à la Société suisse de la sclérose en
Plus en détailLICENCE PROFESSIONNELLE
LICENCE PROFESSIONNELLE Multimédia Domaine : Sciences, Technologies, Santé Dénomination nationale : Systèmes informatiques et logiciels Organisation : Institut Universitaire de Technologie Lieu de formation
Plus en détailGuide Méthodologique. Eco-conception & Ergo-conception : méthodes croisées
Guide Méthodologique Eco-conception & Ergo-conception : méthodes croisées La méthodologie qui vous est proposée a été développée par l Aract des Pays de la Loire, structure paritaire pour l Amélioration
Plus en détailMicro nanotechnologies et logiciel embarqué La mise à disposition de personnel
Micro nanotechnologies et logiciel embarqué La mise à disposition de personnel 3 Novembre 2009 Etat des lieux / Contexte Etat des lieux / Contexte Il existe différentes possibilités de mutualisation des
Plus en détailManagement des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique
Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique.i. Les enjeux et domaines de la veille.ii. La mise en place d un processus de veille.iii. Illustration d une démarche
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Comptabilité, contrôle, audit de l Université d Evry-Val-d Essonne - UEVE Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section
Plus en détailMaster Ressources Humaines
1 - Objectifs de formation du Master Le Master comprend deux années : Première année : Seconde année : La première année est dédiée à l acquisition des connaissances fondamentales en gestion des ressources
Plus en détailPôle Finance Exemples de réalisations
Pôle Finance Exemples de réalisations CONFIDENTIEL C PROPRIETE RENAULT Coûts de développement de l Ingénierie Mécanique: Réaliser une grille commune d analyse des coûts, et un benchmarking, puis proposer
Plus en détailSite(s) (lieux où la formation est dispensée, y compris pour les diplômes délocalisés) :
Evaluation des diplômes Masters Vague D Académie : Paris Etablissement déposant : Académie(s) : / Etablissement(s) co-habilité(s) : / Mention : Economie managériale et industrielle Domaine : Economie,
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Création et administration de SIG de l Université de Lorraine Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Création et développement numérique en ligne de l Université Paris 8 - Vincennes Saint-Denis Vague D 2014-2018
Plus en détailLicence Professionnelle Gestion de l'économie sociale et solidaire et Entrepreneuriat
Licence Professionnelle Gestion de l'économie sociale et solidaire et Entrepreneuriat BAC+3 Domaine : Droit, Economie, Gestion Dénomination nationale : Management des organisations Organisation : Ecole
Plus en détailImpact de l Apparition de l Hyper-Connectivite sur la Banque de De tail
Impact de l Apparition de l Hyper-Connectivite sur la Banque de De tail 2012 Financial Breakthroughs - Ver-2012-02-06 - Document sous licence CC-BY-NC-ND I FICHE RESUME DE CE LIVRE BLANC... 1 II INTRODUCTION...
Plus en détailLicence professionnelle Administration et gestion des entreprises culturelles de la musique et du spectacle vivant
Formations et diplômes Rapport d évaluation Licence professionnelle Administration et gestion des entreprises culturelles de la musique et du spectacle vivant Université Savoie Mont Blanc - USMB Campagne
Plus en détailTravail d équipe et gestion des données L informatique en nuage
Travail d équipe et gestion des L informatique en nuage BAR Octobre 2013 Présentation Au cours des études collégiales et universitaires, le travail d équipe est une réalité presque omniprésente. Les enseignants
Plus en détailÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS
ÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS REGARDS CROISÉS DES ACTEURS DE LA GOUVERNANCE Administrateurs Présidents de conseil d administration/surveillance
Plus en détailMaster international de Management des Médias à distance. Organisation pédagogique de la formation
Master international de Management des Médias à distance Organisation pédagogique de la formation Session 2014/2015 Table des matières Organisation pédagogique... 1 UE 1 : Histoire, économie et mondialisation
Plus en détailL Institut National des Sciences Mathématique et de leurs. Premiers éléments d un bilan à deux ans.
L Institut National des Sciences Mathématique et de leurs Interactions (INSMI) : Premiers éléments d un bilan à deux ans. 1. Mise en place de l INSMI Au CNRS, l année 2009 a été une année de transition
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailSearch. L'innovation dans la recherche de cadres et d information stratégique. contact@inovasearch.com. www.inovasearch.com. cv@inovasearch.
L'innovation dans la recherche de cadres et d information stratégique 01 83 64 88 78 contact@inovasearch.com cv@inovasearch.com INOVA Search 8 rue de berri 78008 PARIS INOVA search INOVA Search innove
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes
Plus en détailPrésentation Intactile DESIGN
SECTION I Présentation Intactile DESIGN Création industrielle en interface homme machine [I.H.M.] Le métier d Intactile consiste à designer des produits et à élaborer des interfaces en prenant en compte
Plus en détailAccélérer les projets de géoservices des PME. Réunion d information Paris, le 17 juillet 2014
ign.fr En partenariat avec Accélérer les projets de géoservices des PME 1 ère ÉDITION JUILLET 2014 Réunion d information Paris, le 17 juillet 2014 Nicolas Lambert (IGN) Eric Dubois (Cap Digital) LE PROGRAMME
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION DE NORTHBRIDGE. À propos de Northbridge
PROGRAMME DE FORMATION DE NORTHBRIDGE À propos de Northbridge Northbridge est l une des plus importantes compagnies d assurance générale commerciale au pays avec des primes souscrites d une valeur de 1,3
Plus en détailPROPOSITION D INTERVENTION
PROPOSITION D INTERVENTION PROJET D INTERVENTION MISSION DE RECRUTEMENT SOMMAIRE: 1. CONDITIONS GENERALES D INTERVENTION 2. METHODOLOGIE 3. HONORAIRES 4. PLANNING D INTERVENTION CONDITIONS GENERALES D
Plus en détailMaster Management, innovation, technologie
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Master Management, innovation, technologie Université Pierre Mendes France- Grenoble- UPMF Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour
Plus en détailObjectifs Contenu de la formation M1 et M2 Organisation de la formation
MASTER AFFAIRES INDUSTRIELLES INTERNATIONALES PROGRAMME DE LA FORMATION SOMMAIRE Objectifs Contenu de la formation M1 et M2 Organisation de la formation Page 1 sur 6 Objectifs Préparer des cadres de culture
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Gestion opérationnelle et juridique des ressources humaines de l Université de Haute-Alsace Vague C 2013-2017 Campagne
Plus en détailInvestissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)»
Investissements d avenir Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Appel à projets «Innovation et compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires» Volet compétitif «Initiatives
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain
www.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain Objectif de la formation Ce master propose une formation de haut niveau en histoire moderne et contemporaine. Il a pour objectif
Plus en détailL Ag ence esanté en route...
L Ag ence esanté en route... Le Luxembourg souhaite se doter d un dossier électronique national d échange et de partage de données de santé, entre et pour les professionnels de santé intervenant auprès
Plus en détailSCIENCES DE L ÉDUCATION
UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance
Plus en détailCéramique. Apprentissage. CFA Céramique Bourgogne. CFA Céramique Limousin. Institut Céramique Française
Apprentissage CFA Bourgogne CFA Limousin Institut Française Cette représentation ou reproduction par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2
Plus en détailLe CRSNG: Un partenaire financier incontournable en matière de R&D et d innovation. Robert Déziel, Ph. D. MBA Gestionnaire, bureau régional du Québec
Le CRSNG: Un partenaire financier incontournable en matière de R&D et d innovation Robert Déziel, Ph. D. MBA Gestionnaire, bureau régional du Québec ORGANISME SUBVENTIONNAIRE FÉDÉRAL EN SCIENCES NATURELLES
Plus en détailDr. Ilias MAJDOULINE
Dr. Ilias MAJDOULINE Doctorat de l Université de Nancy 2 sous le thème «Les ingénieurs entrepreneurs marocains : réalités et mise en place d un dispositif de formation» Master en Sciences de l ingénieur
Plus en détailRAPPORT MUNICIPAL N 99 AU CONSEIL COMMUNAL
RAPPORT MUNICIPAL N 99 AU CONSEIL COMMUNAL Réponse à la motion de M. le Conseiller communal Tefik Rashiti "Nyon zone hors AGCS" Délégué municipal : Monsieur Daniel Rossellat Nyon, le 4 mai 2009 Monsieur
Plus en détail2013-2014. psychologie. UFR des Sciences de l Homme
2013-2014 DU LYCÉE À L UNIVERSITÉ psychologie UFR des Sciences de l Homme OBJECTIFS de la formation Vous êtes intéressé par les études de psychologie? A l Université Bordeaux Segalen, cette formation s
Plus en détailLe BTS Sciences et Technologies des Aliments (STA)
BTS Le BTS Sciences et Technologies s Aliments (STA) Qu est ce que l agroalimentaire? Définition: L'agroalimentaire désigne l'ensemble s activités transformation s produits l'agriculture stinés à l'alimentation
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailLE TRAVAIL EN GROUPES
ACADEMIE DE DIJON LE TRAVAIL EN GROUPES Dossier Professeur LE TRAVAIL EN GROUPES : un atout pour les élèves en P.P.C.P. LE TRAVAIL EN GROUPES : des avantages multiples et variés! pour les élèves! pour
Plus en détailL ULg crée le VentureLab, 1 er incubateur de projets entrepreneuriaux étudiants en Belgique francophone
L ULg crée le VentureLab, 1 er incubateur de projets entrepreneuriaux étudiants en Belgique francophone! Le VentureLab est accessible à 50.000 étudiants ou jeunes diplômés de l ULg et des Hautes Ecoles
Plus en détailISTEX, vers des services innovants d accès à la connaissance
ISTEX, vers des services innovants d accès à la connaissance Synthèse rédigée par Raymond Bérard, directeur de l ABES, à partir du dossier de candidature d ISTEX aux Initiatives d excellence et des réunions
Plus en détail1 Travailler dans le secteur social
1 Travailler dans le secteur social Proposer des formations aux métiers de la solidarité. Accéder à un emploi dans un secteur porteur. Parmi les acteurs : AskOria, les métiers des solidarités Cet organisme
Plus en détailMASTER MANAGEMENT, SPECIALITE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS ET DEVELOPPEMENT RESPONSABLE
MASTER MANAGEMENT, SPECIALITE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS ET DEVELOPPEMENT RESPONSABLE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Droit, Economie, Gestion Mention : Management
Plus en détailL AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises
Communiqué de presse L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises Objectif : Aider les managers à gérer la diversité religieuse au quotidien Alors que la question de l expression religieuse
Plus en détailCAMPUS SANTÉ OUTAOUAIS : UNE SYNERGIE REMARQUABLE POUR PRENDRE SOIN DE LA SANTÉ DE L OUTAOUAIS
Communiqué CAMPUS SANTÉ OUTAOUAIS : UNE SYNERGIE REMARQUABLE POUR PRENDRE SOIN DE LA SANTÉ DE L OUTAOUAIS Gatineau, le 14 septembre 2009. Campus santé Outaouais, le consortium créé en juin 2008 et dont
Plus en détailET LES DISPONIBILITÉ ARMÉES NATIONALE. 1 er mars
Association des collèges communautaires du Canada LES COLLÈGES ET LES INSTITUTS CONTRIBUENT AU MAINTIEN DISPONIBILITÉ OPÉRATIONNELLE DES FORCES ARMÉES CANADIENNES PAR LA FORMATION ET LE RECRUTEMENT EN
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détailLISTE DES DIPLOMES REQUIS Recrutement des Inspecteurs du recouvrement 50 e promotion
LISTE DES DIPLOMES REQUIS Recrutement des Inspecteurs du recouvrement 50 e promotion Les URSSAF recrutent dans les filières administration et gestion des entreprises, comptabilité, droit et ressources
Plus en détailFaculté des Sciences Juridiques et Economiques de la Guadeloupe. Campus de Fouillole. Pour mieux vous aider A choisir vos matières
Faculté des Sciences Juridiques et Economiques de la Guadeloupe Campus de Fouillole 9757 Pointe-à-Pitre Pitre Cédex Pour mieux vous aider A choisir vos matières SOMMAIRE Page Schéma des études 3 Maquette
Plus en détailCentre Régional Africain d Administration du Travail (CRADAT) BP 1055 Yaoundé Tél. 22.23.32.04 Fax. 22.22.21.80 E-mail. : cradat@ilo.
Centre Régional Africain d Administration du Travail (CRADAT) BP 1055 Yaoundé Tél. 22.23.32.04 Fax. 22.22.21.80 E-mail. : cradat@ilo.org I- PRESENTATION DU CRADAT A- Création - Siège Le Centre Régional
Plus en détailSéminaire en ligne : Diffuser un management transversal des projets dans une université
Séminaire NQI du jeudi 14 février 2013 En partenariat avec : Séminaire en ligne : Diffuser un management transversal des projets dans une université NQI COMPTE RENDU DE SEMINAIRE EN LIGNE Présenté par
Plus en détailIngénieur en prévention des risques
Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour
Plus en détailColloque Bio pour Tous. Hélène Fortier Bureau du Québec CRSNG 6 mars 2015
Colloque Bio pour Tous Hélène Fortier Bureau du Québec CRSNG 6 mars 2015 ORGANISME SUBVENTIONNAIRE FÉDÉRAL EN SCIENCES NATURELLES ET EN GÉNIE AU CANADA Budget annuel : 1,1 MM $ 248 M $ au Québec : 764
Plus en détailRéférentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique
Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique I Contexte du métier 1. Définition Les professeurs de musique diplômés d'état sont chargés
Plus en détailLa Participation, un cadre de référence(s) Support de formation Pays et Quartiers d Aquitaine Mars 2011
+ La Participation, un cadre de référence(s) Support de formation Pays et Quartiers d Aquitaine Mars 2011 Présentation Cheikh Sow (Anthropologue au CLAP Sud-Ouest) et Mehdi Hazgui (Sociologue- Consultant)
Plus en détailÉvaluation en vue de l accréditation. Programme Master Européen en Médiation de l Institut Universitaire Kurt Bösch
Évaluation en vue de l accréditation Programme Master Européen en Médiation de l Institut Universitaire Kurt Bösch Rapport final du Comité de visite de l OAQ 30 août 2005 I - Description du processus d
Plus en détailAugmenter l impact économique de la recherche :
Augmenter l impact économique de la recherche : 15 mesures pour une nouvelle dynamique de transfert de la recherche publique, levier de croissance et de compétitivité Partout dans le monde, la recherche
Plus en détail8 formations. carrément commerciales. Catalogue 2015
8 formations carrément commerciales Catalogue 2015 8 formations pour : vendre plus et mieux Vendre ses prestations intellectuelles page 4 La relation client dans la gestion de projet page 5 Apprendre à
Plus en détailCHAPITRE QUINZE POLITIQUE DE CONCURRENCE, MONOPOLES ET ENTREPRISES D ÉTAT
CHAPITRE QUINZE POLITIQUE DE CONCURRENCE, MONOPOLES ET ENTREPRISES D ÉTAT Article 15.1 : Droit et politique en matière de concurrence 1. Chacune des Parties adopte ou maintient des mesures prohibant les
Plus en détailUNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL
UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 01/017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL Les présentes règles s inscrivent dans le cadre réglementaire national défini par les tetes
Plus en détailFILIÈRE DE FORMATION BANQUE- ASSURANCES
Universitaire Professionnel FILIÈRE DE FORMATION BANQUE- ASSURANCES LICENCE PROFESSIONNELLE CHARGÉ DE CLIENTÈLE DE PARTICULIERS D.U. CHARGÉ DE CLIENTÈLE DE PROFESSIONNELS EN BANQUE UCO Laval Campus EC
Plus en détailLe CRM en BFI : une approche du pilotage stratégique
Le CRM en BFI : une approche du pilotage stratégique Sébastien Pasquet, Responsable de missions Le CRM (Customer Relationship Management) s est développé depuis 10 ans essentiellement par l intégration
Plus en détailSection des Formations et des diplômes
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Statistique et informatique décisionnelle de l Université de Lorraine Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012
Plus en détaille plan stratégique de l Université d Ottawa
le plan stratégique de l Université d Ottawa uottawa : un bilan éloquent L Université d Ottawa fait partie des grandes universités canadiennes. Ces dernières années, nous avons connu une croissance et
Plus en détailLICENCE PHYSIQUE, CHIMIE EN L3 :
SCIENCES & TECHNOLOGIES - SANTÉ ET STAPS LICENCE EN L : - Parcours : «Chimie» (Dunkerque) - Parcours : «Physique, Sciences-Physiques, Electronique et Instrumentation» (Calais) www.univ-littoral.fr OBJECTIFS
Plus en détailAvant de commencer, merci de renseigner les données suivantes :
Le questionnaire ci dessous a pour objectif de faire le point sur le RESSOL, sur notre dernière action à savoir le mois de l Economie Sociale et Solidaire et sur nos pistes d évolution. Ce questionnaire
Plus en détailLes fonctions du marketing R A LLER PL US L OI
2 du marketing Comment intégrer les missions marketing dans les profils de poste transport logistique? Le marketing d études Le marketing stratégique Le marketing produit Le marketing opérationnel et la
Plus en détailLicence professionnelle Maîtrise des énergies renouvelables et électriques
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence professionnelle Maîtrise des énergies renouvelables et électriques Université Savoie Mont Blanc - USMB Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations
Plus en détailRESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT
RESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT Titre enregistré au Répertoire National des Certifications Professionnelles de niveau II délivré par Université Catholique de l Ouest IPLV (J.O du
Plus en détailCapture et stockage du CO2 (CCS)
European Technology Platform for Zero Emission Fossil Fuel Power Plants (ZEP) Capture et stockage du CO2 (CCS) Une solution majeure pour combattre le changement climatique 50% de réduction des émissions
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Forum de l emploi solidaire -
DOSSIER DE PRESSE Relations Presse : Abrasive Karine Michaud Tel : 04 26 00 25 16 E-mail : contact@abrasive.fr Communiqué de presse 17 octobre 2014 Forum de l emploi solidaire : une journée pour découvrir
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailMASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES
MASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES Libellé de l UE (Unité d enseignement) et de l EC (Elément constitutif) SEMESTRE 1 S1 : UE OBLIGATOIRES Management public et stratégie
Plus en détailQuels oligopoles la régulation doit-elle faire émerger? Réunion Fratel Tunis, 17 octobre 2008 Nicolas Curien, membre de l ARCEP
Quels oligopoles la régulation doit-elle faire émerger? Réunion Fratel Tunis, 17 octobre 2008 Nicolas Curien, membre de l ARCEP Régulation et structure de marché La structure de marché n est pas un donné
Plus en détailSéminaire sur la Coopération Territoriale Européenne 2014/2020
Les opportunités 2014/2020 des programmes INTERREG pour les acteurs du Nord Pas de Calais Les 1ères rencontres de la Coopération Territoriale Européenne 2014/2020 Séminaire sur la Coopération Territoriale
Plus en détailREPUBLIQUE TUNISIENNE. Ecole Supérieure d Agriculture de Mograne
REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L AGRICULTURE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE Institution de la Recherche et de l Enseignement Supérieur Agricoles Université Carthage
Plus en détailLe point de vue de l UNSA
Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise
Plus en détailOffre IDALYS. Le conseil couvrant tous les aspects métiers du commerce digital. Mai 2013
Offre IDALYS Le conseil couvrant tous les aspects métiers du commerce digital Focus sur : 1. Équilibre entre CA et Fraude 2. Étude d opportunité e-wallets Mai 2013 IDALYS - Sommaire 1 Présentation d IDALYS
Plus en détailPRÉSENTATION DE L ACCOMPAGNEMENT DU PROGRAMME «ECO-DESIGN & BOIS»
PRÉSENTATION DE L ACCOMPAGNEMENT DU PROGRAMME «ECO-DESIGN & BOIS» ENJEUX DU PROGRAMME ECO-DESIGN Elaboration un produit éco-conçu grâce à un accompagnement personnalisé + Définir le placement marketing
Plus en détailGROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité MEDIATION INFORMATIONS
GROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité INFORMATIONS MEDIATION La médiation fait partie du dispositif de protection de la personnalité des membres du personnel de l'etat de Genève et des institutions
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détailLicence professionnelle Bibliothécaire
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence professionnelle Bibliothécaire Université Bordeaux Montaigne Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES, 1 Didier
Plus en détailLicence Langues étrangères appliquées, spécialités anglais-espagnol
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence Langues étrangères appliquées, spécialités anglais-espagnol Université Centre Universitaire Jean-François Champollion CUFR, Université Toulouse II -
Plus en détailDevenez expert en éducation. Une formation d excellence avec le master Métiers de l Enseignement, de l Education et de la Formation
Institut Universitaire de Formation des Maîtres Université de Provence - Aix-Marseille Université 20 ans d expérience dans la formation des professionnels dans les métiers de l enseignement, de l éducation
Plus en détailLicence Chimie et procédés
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence Chimie et procédés Université Joseph Fourier Grenoble - UJF Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES, 1 Didier
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Communication publique et politique
www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Communication publique et politique Un peu d histoire Cette formation qui existe depuis une quinzaine d années est devenue un master
Plus en détailMASTER PROFESSIONNEL INFORMATION ET COMMUNICATION DANS L ESPACE LOCAL ET REGIONAL ICELR.2008/2009
MASTER PROFESSIONNEL INFORMATION ET COMMUNICATION DANS L ESPACE LOCAL ET REGIONAL ICELR.2008/2009 La spécialité Information et communication dans l espace local et régional ( ICELR) est dispensée à l ISCEA/
Plus en détaill originalité conseil en stratégies médias pour une croissance pérenne Your business technologists. Powering progress
l originalité pour une croissance pérenne conseil en stratégies médias Your business technologists. Powering progress Realizing Customer Value Une nouvelle approche Dans le monde des médias, la prise de
Plus en détail- Dossier de presse -
- Dossier de presse - Janvier 2014 Sommaire I. Valérie Moissonnier & l Institut du Selfcoaching 1. Valérie Moissonnier : son parcours et son blog RadioCoaching 2. L équipe de l Institut du Selfcoaching
Plus en détailMise sur le marché des engrais en Europe. Paris, le 9 septembre 2009. Vincent Delvaux
Mise sur le marché des engrais en Europe Paris, le 9 septembre 2009 Vincent Delvaux Implémentation pratique des Articles 28 et 30 et 95 du Traité CE Législation harmonisée garantit que les produits sont
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS
TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...
Plus en détailPromulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I
Loi n 98-11 du 29 Rabie Ethani 1419 correspondant au 22 août 1998 portant loi d Orientation et de Programme à Projection Quinquennale sur la Recherche Scientifique et le Développement Technologique 1998-2002
Plus en détail