L effondrement des crédits immobiliers au premier trimestre pèsera sur la production de l année 2012
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- Patrick Jolicoeur
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1 1 Numéro 177, juillet 2012 L effondrement des crédits immobiliers au premier trimestre pèsera sur la production de l année 2012 I) Immobilier : un premier trimestre en chute libre Chute de 39,4% des crédits immobiliers au premier trimestre 2012 par rapport au premier trimestre 2011 Au cours des trois premiers mois de l année 2012, le montant des crédits immobiliers versés aux ménages a atteint 26,5 milliards d euros. Il s agit là d un plongeon de 39,4% par rapport à la même période de Au-delà de la chute elle-même, c est la rupture qui semble s être produite au premier trimestre qui est inquiétante. En effet, exceptées les années 2008 et 2009, la production mensuelle de crédits a toujours excédé 10 milliards d euros depuis En février 2012, cette production s établit à 7,3 milliards contre 14,3 milliards un an plus tôt, soit une baisse de 47,8%. En mars, la production ne s est pas redressée. Elle accusait aussi une chute de 52,4% par rapport à la même période de Ce résultat n est guère surprenant car la quasitotalité des établissements de crédits participant à l enquête Banque de France sur la distribution de crédits, ont observé une chute de la demande des crédits immobiliers au premier trimestre Dans le même temps, les banques affirment avoir laissé inchangés leurs critères d octroi de crédits. En élargissant l horizon d analyse à douze mois, à avril 2012, le montant des crédits versés s élève à 121 milliards d euros, soit une baisse de 23 milliards par rapport à une période de 12 mois s achevant en décembre Il apparait indispensable qu un redressement se produise au second semestre, faute de quoi la dégringolade s écarterait sensiblement du record établi en Pour ce faire, il faudrait que la crise des dettes souveraines trouve un début d issue définitive pour éviter que l Europe s enfonce dans la récession et que la France, après avoir échappé récemment à cette dernière, ne rejoigne le cortège des pays concernés. Le marché des crédits immobiliers dispose encore d une petite réserve, le dispositif d investissement locatif en extinction. En effet, les mesures d incitation fiscale à l investissement locatif (dispositifs Scellier et Bouvard) s achèvent au 31 décembre L Etat actuel des finances publiques ne permettant ni leur prolongation, malgré la baisse d activité dans le secteur immobilier, ni d ailleurs le lancement de nouveaux dispositifs, il reste moins d un semestre aux épargnants pour tirer parti de ce dispositif. Les taux d intérêt ayant amorcé un léger mouvement de repli, les Prêts Principaux d Epargne Logement ne se relancent pas. Ils ont représenté 1% de l ensemble de prêts du premier trimestre Les Prêts à taux zéro ont encore progressé pour représenter 5,3% des nouveaux crédits. C est donc encore sur le secteur libre que s est concentré l essentiel des nouveaux crédits distribués.
2 Tableau 1 - Nouveaux crédits immobiliers aux ménages, en millions d' Cumul de janvier à mars Année 09 Année 10 Année 11 mars-10 mars-11 Var. 10/09 mars-12 Var. 11/10 Ensemble des crédits % % dont PTZ % % dont PC-PAS % % dont PPEL % 294-1% dont Secteur Libre % % Source: BDF, estimations BPCE, Pôle Stratégie-DEVP. Un volume des transactions dans l ancien parmi les plus élevés de la dernière décennie En se situant à au premier trimestre 2012, le nombre de transactions immobilières dans l ancien n a été dépassé au cours de la dernière décennie que par celui du quatrième trimestre Il semble en effet qu un certain nombre de transactions, qui auraient dû se produire au quatrième trimestre 2011, aient été reportées, pour des raisons non clairement identifiées, au premier trimestre Traditionnellement, il y a plus de transactions au quatrième trimestre de chaque année qu au premier trimestre de l année suivante. Or en 2012, les transactions du premier trimestre sont supérieures de 10% à celles du quatrième trimestre C est d ailleurs le mois de janvier qui consacre l essentiel de ce déplacement comme en attestent les montants de crédits versés. En effet, en janvier 2012, ce sont 12,4 milliards de crédits nouveaux qui sont distribués contre 12,5 milliards en décembre 2011 alors qu à l accoutumé, un net écart en faveur de décembre s observe. Dans le neuf, les ventes ont baissé de 11,8% au premier trimestre 2012 par rapport au même trimestre un an plus tôt. Le repli est certes moins prononcé que celui observé au premier trimestre 2011 (-17,1%) mais la tendance baissière s installe dans la durée. La barre symbolique des transactions à laquelle nous étions habitués au cours des dernières années s éloigne définitivement d autant plus que le dispositif d incitation fiscale à l investissement locatif prend fin en 2012 comme déjà signalé. Concernant les prix, ils sont, pour les logements anciens, encore en hausse sur un horizon annuel. Au premier trimestre 2012, les prix ont augmenté de 2
3 Les prix amorcent un repli 2,1% en glissement annuel. Rappelons que cette hausse était encore de 7% au premier trimestre 2011 sur le même horizon. Les prix dans l ancien ont cependant commencé à baisser. D ailleurs sur un horizon trimestriel, ce repli est déjà observable. Il est de 1,2% au premier trimestre 2012 par rapport au quatrième trimestre C est surtout le deuxième trimestre consécutif où il se produit. De plus, cette orientation à la baisse s observe aussi bien en province qu en région parisienne. Dans le neuf, les prix poursuivent leur ascension. Au premier trimestre 2012, la hausse était de 2,7% en glissement annuel contre 3% au premier trimestre D un trimestre à l autre, les prix dans le neuf ont augmenté de 2,6% au premier trimestre 2012 par rapport au quatrième trimestre Cette dernière hausse intervient après deux trimestres consécutifs de baisse. Elle interrompt donc provisoirement la perspective d une réelle baisse des prix d ici la fin de l année. tout comme les taux des prêts à la souscription A la fin du premier trimestre 2012, les taux des prêts immobiliers achevaient une période de hausse entamée début En mars, les taux des prêts pour une période de fixation initiale des taux supérieur à un an 1 s affichaient à 4,1%. En un an, ces taux ont donc augmenté de 50 points de base. Ce niveau de taux explique aussi l ampleur du recul des crédits nouveaux au cours de cette période. Les taux des prêts baissent pourtant depuis le mois de mars Cependant, le recul a d abord concerné les échéances de 15 ans et moins. Ces dernières représentaient seulement un crédit sur cinq au premier trimestre 2012 et moins d un crédit sur quatre au deuxième, selon les statistiques de l Observatoire Crédit Logement. L extension de la baisse des taux aux durées de 20 et 25 ans, dès mai, devrait légèrement booster la production des crédits. Concernant les crédits à taux variables, les taux de ceux-ci ont chuté plus significativement dès la fin du premier trimestre. Ils s élevaient à 3,3% en mars 2012, soit un gain de 20 points de base en trois mois. 1 Il s agit peu ou prou des prêts à taux fixe. 3
4 II) Les crédits de trésorerie résistent encore Les établissements de crédits spécialisés ont encore souffert au premier trimestre Les crédits de trésorerie 2 nouveaux s affichent à 49,3 milliards d sur un an à la fin du premier trimestre 2012, soit une quasi-stabilité par rapport au trimestre précédent. Cependant, lorsque nous nous intéressons à l évolution des crédits par trimestre, nous constatons, pour l ensemble du marché, une baisse moyenne de 3,1% au cours du premier trimestre 2012 par rapport à la même période un an plus tôt. Par rapport au trimestre précédent, il y a une stricte stabilité. Le montant de crédits distribué au premier trimestre 2012 est exactement le même que le montant distribué au quatrième trimestre Le premier trimestre n a pourtant pas été neutre pour tous les établissements de crédits. En particulier, les établissements spécialisés ont beaucoup souffert. Leurs crédits à la consommation ont baissé de 10,3% au premier trimestre 2012 par rapport au premier trimestre Ces établissements représentant environ la moitié de la production nouvelle, la chute de la production a été en partie compensée par la hausse de la production des banques, justifiant une baisse globale limitée à 3%. Parmi les crédits ayant le plus chuté se trouvent le financement des automobiles (près des 2/3 des financements affectés):- 14,9% au premier trimestre 2012 par rapport au premier trimestre Pire, le financement de l automobile neuve s est effondré : -23,4%. Plus généralement, à l exception de la location avec option d achat, aucun type de crédits des établissements spécialisés n échappe à la baisse. Les prêts personnels chutent de 13,7%. Les crédits renouvelables reculent de 9,1%. Les autres financements affectés hors automobile diminuent de 3,4%. La location avec option d achat a progressé de 4,3% au cours au premier trimestre. Enfin, au premier trimestre 2012, l encours de crédits de trésorerie est à 147,5 milliards d euros, en baisse de 1,8% par rapport au premier trimestre Les encours de ventes à tempérament, comptes courants débiteurs et revolving ont davantage baissé : respectivement -10,2%, -2,6% et -4,8%. Les encours de prêts personnels, location avec option d achat et comptes 2 Cf. annexe ci-après. Il s agit des versements de crédits de trésorerie hors découvert et hors revolving. Contrairement aux crédits nouveaux, la série des encours est complète et détaille l ensemble des crédits à la consommation : découverts bancaires, revolving, Location avec Option d Achat, ventes à tempérament, prêts personnels et autres crédits. 4
5 courants à débit différés ont quant à eux progressé : 1,1%, 4,8% et 29,3% respectivement. Tableau 2 - Encours et variation d'encours de crédits à la consommation aux particuliers, en millions d' Encours Variation d'encours sur un an en millions d' T1 2011T1 2012T T1 2011T1 2012T1 Crédit sur le lieu de vente Crédit revolving Prêts personnels Autres crédits de trésorerie Location avec option d'achat Découverts bancaires Total crédit à la consommation Note: T i = trimestre i Source: BDF-DSM, Estimations BPCE, Pôle Stratégie-DEVP. Achevé de rédiger le 13 juillet 2012 Auguste MPACKO PRISO 5
6 Annexe A) Sources des statistiques de crédits Les statistiques de crédits nouveaux (immobiliers et à la consommation) proviennent de l enquête BDF auprès des Institutions Financières Monétaires hors OPCVM monétaires conformément au règlement n 63/2002 de la BCE. L enquête est menée tous les mois auprès d un échantillon de guichets issus de deux strates de la population des déclarants potentiels, les banques généralistes et les autres établissements. Pour la strate des banques généralistes, la Banque de France sélectionne un échantillon de guichets par sondage à probabilités proportionnelles à la taille des guichets. Quant aux établissements spécialisés, la sélection de ceux qui participent à l enquête se fait par sondage à probabilités proportionnelles à la taille des établissements. La liste des établissements de crédits et de guichets sélectionnés est revue une fois par an en fonction du résultat du calcul de précision (l erreur de mesure ne doit pas dépasser 10 points de base dans 90% des cas). Pour ce qui concerne les crédits de trésorerie, il existe un problème de représentativité. Deux types de crédits de trésorerie ne sont explicitement pas concernés par cette enquête, le crédit renouvelable et les découverts bancaires. Or le premier type représentait 17% de l encours de crédits de trésorerie aux particuliers au premier trimestre 2010 alors que le second atteignait 4,5%. Par ailleurs, la méthode d échantillonnage de l enquête (cf. supra), notamment en ce qui concerne les établissements spécialisés (plus l établissement est gros, plus il a de chance de figurer dans l échantillon) n est pas nécessairement favorable aux crédits de trésorerie (le crédit de trésorerie ne pèse pas lourd par rapport à d autres types de crédits). Selon les données de 2008 et 2009, les montants estimés par l enquête des crédits de trésorerie représentent environ 60% de l ensemble des crédits de trésorerie. Les statistiques d encours de crédits proviennent de la Direction des Statistiques Monétaires de la Banque de France. B) Crédits nouveaux et encours de crédits Crédits Immobiliers Nouveaux aux ménages, en millions d' Cumul de janvier à mars Données mensuelles Année 09 Année 10 Année 11 mars-10 mars-11 Var. 10/09 mars-12 Var. 11/10 mars-10 mars-11 mars-12 Ensemble des crédits % % dont PTZ % % dont PC-PAS % % dont PPEL % 294-1% dont Secteur Libre % % Source: BDF, estimations BPCE, Pôle Stratégie-DEVP. Encours de crédits immobiliers aux ménages Encours en millions d' T1 2011T1 Glis. an. 11T1/10T1 2012T1 Glis. an. 12T1/11T1 PAP ,8% ,3% Prêts à taux zéro ,4% ,8% PC-PAS ,7% ,7% PPEL ,7% ,6% Secteur libre ,6% ,5% Total logement ,5% ,5% Note: T i = trimestre i Source: BDF-DSM, Estimations BPCE, Pôle Stratégie-DEVP. 6
7 Encours de crédits à la consommation aux particuliers Encours en millions d' T1 2011T1 Glis. an. 11T1/10T1 2012T1 Glis. an. 12T1/11T1 Crédit sur le lieu de vente ,4% ,2% Crédit revolving ,1% ,8% Prêts personnels ,6% ,1% Autres crédits de trésorerie ,4% ,3% Location avec option d'achat ,5% ,8% Découverts bancaires ,4% ,6% Total crédit à la consommation ,4% ,8% Note: T i = trimestre i Source: BDF-DSM, Estimations BPCE, Pôle Stratégie-DEVP. 7
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