«Transmettre, le défi de la continuité!»
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- Jean-Baptiste Poitras
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1 UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES Eric Ausloos/Belpress.com «Transmettre, le défi de la continuité!» ENQUETE SUR LA TRANSMISSION D ENTREPRISE AUPRES DES ENTREPRENEURS FRANCOPHONES Octobre 2013 E RÉALISÉE EN COLLABORATION AVEC :
2 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Ce document est une publication du Service d études d UCM National, réalisée en collaboration avec l Unizo. Siège social : rue Colonel Bourg , 1140 Bruxelles Contact : 081/ service.etudes@ucm.be Auteur : Jonathan Lesceux, Conseiller, Service d études Comité de suivi & contribution : - Arnaud Deplae, Directeur, Service d études - Eléonore Dubois, Directrice, Développement économique - Julie Guillaume, Assistante administrative, Service d études - Gilles Vandorpe, Coordinateur études, Service d études de l Unizo - Aurélie Tahir, Conseillère, Développement économique - Charlie Tchinda, Conseiller, Service d études Éditeur responsable : Christine Lhoste, Secrétaire générale Date de publication : Octobre 2013 Page 2 UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES
3 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Table des matières : 1 Avant-propos Résumé Introduction Profil de l échantillon Caractéristiques des personnes interrogées Caractéristiques de l entreprise / activité Parcours des personnes interrogées Caractère familial de l activité Résultats de l enquête Changements envisagés à court terme Préparation et recherche du repreneur Connaissance de la valeur de l entreprise Motivations et options privilégiées pour la transmission d entreprise Principales difficultés (transmission et succession familiale) Principaux acteurs privilégiés dans le conseil en matière de transmission d entreprise et accompagnement UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES Page 3
4 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Avant-propos Pour créer de l emploi et de la richesse, une économie a besoin d entreprises. La voie la plus classique pour entreprendre est la création d activité. Pourtant, la reprise d une activité existante s avère très souvent une alternative intéressante pour démarrer une activité. En effet, reprendre une entreprise est souvent plus couteux que la créer mais la pérennité de ce type d entreprise est plus forte. En effet, cela permet généralement de bénéficier dès le départ d un fonds de commerce et d un portefeuille de clients existants. Par ailleurs, le bon fonctionnement du processus de transmission est un élément important pour favoriser la compétitivité de l économie et stimuler l entrepreneuriat. En effet, s assurer que les entreprises survivent à leur créateur, c est garantir le maintien au moins partiel du savoir-faire qui a été créé. C est éviter de devoir à chaque fois tout recommencer à zéro, en pouvant soutenir le processus de croissance d une entreprise. Ce qui demande souvent plusieurs générations. En outre, un marché de la transmission efficace, garantit aux entrepreneurs de pouvoir bénéficier en fin de carrière des fruits du travail qu ils ont fourni en trouvant un repreneur prêt à payer un prix équitable. Cela incite également les entrepreneurs à continuer à investir dans leur entreprise même en fin de carrière parce qu ils peuvent envisager qu elle continuera à fonctionner après leur départ à la retraite. Malheureusement l opération n est pas toujours si simple. Différentes difficultés apparaissent, aussi bien du côté du cédant que du repreneur : aspects psychologiques, financement, difficultés fiscales, recherche de repreneurs ou d'une entreprise à reprendre L attention portée à la problématique de la transmission est d autant plus importante qu'en Wallonie, les chefs d entreprises vieillissent... Effectivement la proportion d indépendants âgés de plus de 50 ans y est passée de 35,7% à 41,6% entre 2002 et En Flandre, le constat est identique avec une proportion qui est passée de 32.6% à 38.3%. A Bruxelles, par contre, la population d indépendants rajeunit pour passer de 33.8% d indépendants âgés de plus de 50 ans à 31,3%. Face à cette situation, nos organisations se sont déjà mobilisées au travers d actions de sensibilisation, d accompagnement des entrepreneurs et de publications diverses qui sont détaillées plus spécifiquement dans ce document. Cette problématique reste néanmoins encore mal connue en Wallonie et à Bruxelles. L Unizo réalise depuis plusieurs années une étude approfondie sur les fins de carrière et la transmission d entreprise. Pour cette édition l UCM l a rejointe en réalisant une enquête similaire auprès des entrepreneurs francophones. L IRE a également collaboré à ce document, qui est publiée officiellement dans le cadre d une journée d études organisée par ses soins le 23 octobre Il s agit d ailleurs d une collaboration fructueuse que nous espérons pouvoir reproduire de manière régulière à l avenir, afin de renforcer l'importance des indépendants et des PME dans toutes les régions. Karel Van Eetvelt Administrateur Délégué d Unizo Philippe Godfroid Président d UCM National Page 4 UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES
5 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Contexte et méthodologie : 2 Résumé - La transmission d entreprise est une problématique qui se pose de manière de plus en plus pressante compte-tenu du vieillissement des indépendants : entre 2002 et 2012, la proportion d indépendants âgés de plus de 50 ans est passée de 35,7% à 41,6% en Wallonie, de 32.6% à 38.3% en Flandre et de 33.8% à 31,3% à Bruxelles (on y observe donc à contrario un rajeunissement). - L Unizo réalise depuis plusieurs années une étude approfondie sur les fins de carrière et la transmission d entreprise. En collaboration avec son homologue flamand, l UCM a réalisé pour la première fois une enquête similaire auprès des entrepreneurs francophones. - Certaines comparaisons sont faites avec l enquête menée par l Unizo auprès des entrepreneurs flamands. - Un échantillon représentatif de 785 entrepreneurs francophones (wallons et bruxellois) a été interrogé du 15 mai au 31 juin 2013 dans le cadre de cette enquête. Elle a été diffusée via divers médias de l UCM et d autre organisation comme l IRE. Mode de démarrage de l activité : - Plus des deux tiers (66,5%) des personnes interrogées ont démarré leur activité via la création d'une nouvelle affaire. Le tiers restant a démarré via la reprise d une activité existante : 16,5% des sondés ont démarré leur activité via l achat ou la reprise d une activité existante et 13,4% ont continué une entreprise familiale. - Le démarrage d une activité par la continuation d une entreprise familiale est presque deux fois plus répandu auprès des répondants flamands (20,3%) que des répondants francophones (13,4%). - La reprise d une activité existante est un mode de démarrage d une activité de moins en moins privilégié : 76% des entrepreneurs actifs depuis moins de 10 ans ont commencé leur activité via le démarrage d une nouvelle activité alors que cette proportion tombe à «seulement» 63% pour les entrepreneurs actifs depuis plus de 10 ans. Entreprises / activités familiales : - 70,8% des répondants flamands et 56,7% des répondants francophones sont actifs dans des entreprises familiales. Cela permet de penser qu il y a plus d entreprises familiales en Flandre que du côté francophone. - Les entreprises flamandes (37,9%) sont plus souvent détenues par la deuxième ou troisième génération que leurs homologues francophones (28,3%). Inversement, dans deux tiers des cas (67,3%) les entreprises francophones sont détenues par la première génération contre 57,9% pour les entreprises flamandes. Changements envisagés à court terme : - Près d un répondant sur quatre (23.9%) n a pas encore envisagé la transmission de son entreprise. Une majorité (53,5%) envisage néanmoins de céder son entreprise endéans les 5 prochaines années. UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES Page 5
6 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Parmi les autres changements envisagés, c est la croissance qui est citée le plus souvent (envisagée par 30,3% des répondants). Préparation : recherche du repreneur & connaissance de la valeur de l entreprise - En termes de préparation, deux tiers des entrepreneurs (64,9%) qui envisagent la cession de leur entreprise dans les 5 années à venir n ont pas encore de repreneur en vue. De plus, une quasi majorité d entre eux (49,7%) n a entrepris aucune action pour en trouver un. - Pour les répondants qui envisagent la cession endéans les deux ans, la proportion d entrepreneurs n ayant pas de repreneur en vue, chute légèrement mais reste importante (61%). - Le bouche à oreille (46,8%) est de loin la méthode privilégiée pour trouver un repreneur. Le recours à une plateforme de reprise spécialisée arrive ensuite et est citée par 23,4% des répondants. - Seulement 17,9% des cédants potentiels ont une connaissance très précise de la valeur de leur entreprise et près d un tiers d entre eux (32,5 %) affirme ne pas la connaître. Lorsque la valeur de l entreprise est connue, cette estimation n a cependant pas toujours été validée par un professionnel externe (54,1%). Motivations et options privilégiées pour la transmission d entreprise - Presque la moitié des répondants (49,6%) cite l atteinte de l âge de la pension comme motif de la cession ou cessation de l activité. Viennent ensuite les motifs de santé (évoqués par 29,3% des répondants) et enfin, pour un quart des répondants, l absence de successeur au niveau familial. - La majorité des répondants (52,6%) envisage de céder son entreprise à des tiers externes à la famille, presqu un quart d entre eux envisage purement et simplement la cessation de ses activités. La transmission familiale n est envisagée que par 12,4% des répondants. Difficultés rencontrées - La détermination de la valeur de l entreprise (citée par 51,2 % des répondants) et le fait de trouver un repreneur (cité par 48,9 % des répondants) sont les deux points d attention principaux cités par les répondants. - Si l'on s intéresse uniquement aux entreprises familiales, les problématiques les plus souvent rencontrées sont sensiblement les mêmes. Trouver le bon successeur reste la principale source de préoccupation(35,6%) même si elle est moins souvent citée que pour l ensemble des répondants. Acteurs privilégiés dans le conseil en matière de transmission d entreprise et accompagnement - C est l expert-comptable qui est l acteur privilégié en matière de conseil sur la cession / transmission d entreprise cité par les répondants (cité par 48,8%). Les comptables ou l UCM sont également cités par environ un quart des répondants (respectivement 26,7% et 24,4%). Les réviseurs et les intermédiaires en reprise sont cités par 12% des répondants. - Si l'on se limite aux répondants dont l entreprise occupe plus de 10 personnes, on constate que l ordre change. Les experts comptables restent en première position (50,7% de taux de citations) tandis que les avocats et juristes arrivent en deuxième position (43,7%) et les réviseurs d entreprises en troisième position (28,2%). Page 6 UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES
7 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones La majorité des répondants (52,7%) envisage de débourser au maximum pour la préparation de la transmission /cession de son entreprise. Près d un quart d entre eux n envisage pas de dépenser d argent du tout pour cette préparation. Plus d un quart (26,9%) n a aucune idée du montant qu il va dépenser pour la transmission. UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES Page 7
8 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones L enquête 3 Introduction L UCM s est largement inspirée du questionnaire utilisé par l Unizo pour réaliser cette enquête. En effet, l Unizo mène depuis plusieurs années une enquête sur la transmission d entreprises et les fins de carrière en Flandre. Elle a été présentée officiellement lors de la journée d étude de l Institut des réviseurs d'entreprise sur la transmission d entreprise organisée le 23 octobre Certaines questions spécifiques ont été posées uniquement aux entrepreneurs francophones afin d approfondir certaines problématiques qui tenaient à cœur en matière de transmission. De plus, afin de ne pas alourdir le questionnaire, on a opté de reporter à une autre édition de cette enquête les questions spécifiques à la fin de carrière. L enquête a été menée du 15 mai au 31 juin 2013 auprès de plus de indépendants wallons et bruxellois et diffusée via les médias de différentes organisations (UCM, IRE, APB ). 785 personnes y ont répondu en Wallonie et à Bruxelles au cours de cette période ce qui est statistiquement très pertinent. Elle porte sur la préparation des entrepreneurs, le mode de transmission envisagé, le processus de recherche des repreneurs Des questions spécifiques concernant le processus de transmission familiale ont été posées aux répondants qui mentionnaient qu'ils envisageaient de transmettre leur entreprise à des membres de leur famille. Néanmoins, il est apparu que la transmission familiale était un mode de transmission peu utilisé. C est pourquoi, le nombre de réponses obtenu par rapport à cette modalité spécifique de transmission ne nous a pas paru suffisant pour être repris dans ce document. Elles sont néanmoins disponibles sur demande et feront l objet d une exploitation ultérieure De plus, partant des constats posés dans cette étude, l UCM va organiser des focus groupes avec les participants à l enquête. Ceux-ci permettront d affiner nos propositions en matière de transmission d entreprise et de remettre aux responsables publics des recommandations pour faire face de la manière encore plus efficace possible au défi de la transmission d entreprise. Les actions De nombreuses actions sont déjà menées à différents niveaux pour faciliter le processus de transmission. Citons par exemple en Wallonie, l action «agent relais transmission» mise en œuvre par l UCM et la CCI Luxembourg et coordonnée par l Agence de Stimulation Economique et la SOWACCESS. Celle-ci couvre, via ses agents relais-transmission l ensemble de la Wallonie et est accessible à toutes les PME. Ces agents sensibilisent aussi bien les candidats cédants que repreneurs via l organisation de divers événements, les conseillent et les accompagnent tout au long du processus. Ils les orientent en fonction des besoins identifiés vers des professionnels de la transmission. La SOWACCESS, Société wallonne d'acquisitions et de Cessions d'entreprises a mis en place une plateforme qui couvre actuellement la Belgique, les Pays-Bas et la France afin de mettre en relation acquéreurs et cédants potentiels. Il existe aussi en Wallonie, des droits de succession et de donation pour les transmissions d entreprises qui sont réduits, sous certaines conditions, à 0%. De plus, une plateforme européenne «Transeo» a été mise en place afin d échanger les bonnes pratiques en matière de transmission d entreprises entre professionnels privés, publics et académiques en Europe Page 8 UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES
9 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones A Bruxelles, l ABE met à disposition des entreprises le portail BruTrade. Il s'agit d'une plateforme virtuelle dédiée à la rencontre entre l'offre et la demande en matière de transmission d'entreprises offrant en outre aux parties concernées la possibilité de communiquer en toute confidentialité. Les droits de succession et de donation sont également réduits à 3% en cas de transmission d entreprise en région bruxelloise. UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES Page 9
10 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Caractéristiques des personnes interrogées 4 Profil de l échantillon La grande majorité des répondants sont des hommes (71,3%), un peu plus d un quart (28,7%) sont des femmes. Cette répartition est cohérente avec la répartition observée dans la population d indépendants en général (66% d hommes et 34% de femmes 1 ) qui est similaire, même si l'on observe une légère sousreprésentation de la population féminine. Graph. 1 : répartition par genre Une femme 28,7% Un homme 71,3% 0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0% 50,0% 60,0% 70,0% 80,0% Le questionnaire a été envoyé sans distinction d âge pour deux raisons : d une part, comme le confirme les résultats de l enquête, le départ à la retraite n est pas la seule raison qui motive un entrepreneur à céder son entreprise. D autre part, la plupart des questions ne s adresse pas spécifiquement aux personnes qui envisagent à brève échéance la transmission de leur entreprise. Néanmoins, l'on constate que l échantillon qui a répondu à l enquête est plus âgé que la population totale d indépendants. En effet, 71,3% des répondants ont plus de 44 ans, ce qui est supérieur au poids de cette catégorie dans la population totale d indépendants (52,6%). Cette surreprésentation des indépendants les plus âgés dans notre échantillon s explique par l objet de l enquête qui concerne davantage les indépendants les plus âgés. Cette surreprésentation renforce par ailleurs la pertinence des réponses obtenues puisque notre échantillon est beaucoup plus proche de la cession effective de l entreprise que la population globale. 1 Inasti 2012 Page 10 UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES
11 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Graph. 2 : répartition par âge 75 ou plus 2,2% Entre 65 et 74 ans 10,4% Entre 60 et 64 ans 16,4% Entre 55 et 59 ans 19,1% Entre 45 et 54 ans 23,2% Entre 35 et 44 ans 14,9% Entre 25 et 34 ans 11,6% Moins de 25 ans 2,2% 0,0% 5,0% 10,0% 15,0% 20,0% 25,0% Une part non-négligeable des répondants, 29,4%, est active depuis moins de 10 ans. La majorité des répondants (59, 5%) est néanmoins active depuis 10 à 40 ans. Une proportion relativement faible (9.3%) de répondants est active depuis plus de 40 ans. Graph. 3 : Depuis combien de temps êtes-vous actif comme indépendant? < 10 ans 29,4% ans 19,6% ans 23,7% ans 16,2% > 40 ans 9,3% Je ne suis pas indépendant 1,8% 0,0% 5,0% 10,0% 15,0% 20,0% 25,0% 30,0% UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES Page 11
12 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Caractéristiques de l entreprise / activité L enquête porte sur l ensemble des indépendants et entreprises wallons et bruxellois francophones. Si l'on compare aux répartitions régionales de la population d indépendants et d entreprises ayant la forme de personne morale, l'on observe que la part de répondants bruxellois (17%) est plus faible que son poids réel 2 (28,7%) dans l ensemble Wallonie-Bruxelles. Cette sous-représentation des Bruxellois s explique en partie par deux raisons : d une part, l enquête ne s adressait qu aux francophones alors que les proportions utilisées pour la comparaison portent sur toutes les entreprises bruxelloises. D autre part, le tissu économique bruxellois est relativement plus jeune que le tissu wallon (78,6% des indépendants bruxellois ont moins de 55 ans contre 72,1% pour les indépendants belges) ce qui peut expliquer un intérêt plus faible pour la problématique de la transmission d entreprises qui faisait l objet de l enquête. Concernant, la répartition entre les différentes provinces wallonnes, l'on observe une légère surreprésentation des répondants de la province de Liège (25% des répondants) par rapport à leur poids réel (21,5%). Par ailleurs, la province de Namur (19,2% des répondants) est également surreprésentée par rapport à son poids réel (10,4%) dans l échantillon. Toutefois les résultats sont statistiquement significatifs. Graph. 4 : répartition régionale Liège 25,0% Hainaut Namur 19,2% 20,1% Bruxelles 17,0% Brabant wallon 12,1% Luxembourg 6,5% 0,0% 5,0% 10,0% 15,0% 20,0% 25,0% Les secteurs les plus représentés dans l échantillon sont les services aux entreprises (19,4%), le commerce de détail (16,9%) et les professions médicales et paramédicales (13,8%). Une part relativement marginale (13,8%) des répondants ressort d un secteur d activité non repris dans l analyse. Si l'on compare avec la ventilation sectorielle de l ensemble des entreprises actives en Wallonie et à Bruxelles 3, l échantillon présente une ventilation sectorielle cohérente. Le secteur du commerce de détail représente 16,9% de notre échantillon pour 20,7% de la population totale, le secteur des services aux entreprises représente 19,4% de notre échantillon pour 17,5% au niveau de la population totale. On observe par contre une surreprésentation de la catégorie «Professions médicales et paramédicales» dans notre échantillon ainsi qu une sous-représentation du secteur de la construction. 2 SPF Economie 2013, Entreprise ayant un numéro de TVA fin Belfirst 2013 Page 12 UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES
13 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Graph. 5 : ventilation sectorielle Services aux entreprises & autres professions libérales 19,4% Commerce de détail 16,9% Autre (veuillez préciser) : Professions médicales et paramédicales 13,8% 13,8% Services (hors services aux entreprises) 10,2% Construction 8,2% Horeca 6,4% Industrie Commerce de gros Transport & logistique Agriculture 4,8% 3,3% 1,9% 1,2% 0,0% 5,0% 10,0% 15,0% 20,0% Les entreprises occupant maximum 5 personnes représentent plus des 3/4 de l échantillon sondé (76,8%). Si l on ne considère que les entreprises occupant au moins deux travailleurs 4, la part d entreprises occupant 10 personnes se situe à 82,3% ce qui est très proche de la proportion observée dans la population totale où les unités locales de moins de 10 travailleurs représentent 78,3% de la population totale d entreprises 5. Les entreprises occupant plus de 50 personnes représentent une proportion presque négligeable de l échantillon (1,7% ou 2,7% si l'on ne prend en compte que les entreprises occupant au moins un travailleur). Cette proportion est plus faible que les proportions généralement observées au niveau de l ONSS pour l ensemble Wallonie-Bruxelles où les employeurs de plus de 50 personnes représentent 4,8% des employeurs. 4 Afin de pouvoir comparer avec les chiffres de l ONSS 5 ONSS 2011 UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES Page 13
14 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Graph. 6 : ventilation par classe de taille ,2% 38,6% ,4% ,4% ,4% Plus de 500 0,3% 2,8% 1,0% 0,0% 5,0% 10,0% 15,0% 20,0% 25,0% 30,0% 35,0% 40,0% Environ 35,7% des répondants exercent leur activité sous forme de personne physique dont une petite partie à titre complémentaire (7,7%). Les répondants qui exercent leur activité sous forme de personne morale le font généralement sous forme de SPRL (43,7%) ou de SA (14,5%). Dans la catégorie «autres» se trouvent essentiellement des sociétés coopératives (SCRL) ou de sociétés à responsabilité illimitée (SNC ou société en commandite). Graph. 7 : forme juridique SPRL 43,7% Personne physique (indépendant à titre principal) 28,0% SA 14,5% Personne physique (indépendant à titre complémentaire) Autre (veuillez préciser) 7,7% 5,6% SPRL-S 0,6% 0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0% 50,0% Seulement 23,5% des répondants mentionnent avoir conclu un pacte d actionnaire. Néanmoins, il faut nuancer ce constat parce que 29,2% d entre eux sont le seul actionnaire de l entreprise ce qui implique que la question n est pas relevant. Page 14 UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES
15 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Graph. 8 : Avez-vous prévu un pacte d'actionnaires? Non parce que je suis le seul actionnaire 29,2% Non 47,3% Oui 23,5% 0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0% 50,0% 4.3 Parcours des personnes interrogées Plus des deux tiers (66,5%) des personnes interrogées ont débuté leur activité via le démarrage d une nouvelle affaire. 16,5% des sondés ont démarré leur activité via l achat ou la reprise d une affaire existante et 13,4% ont continué une affaire familiale. La reprise d une activité reste donc un mode de démarrage d activité moins répandu que la création pure et simple mais néanmoins, il est loin d être anecdotique. Graph. 9 : mode de démarrage de l'activité Autre : 3,7% Continuation d'une entreprise familiale 13,4% Reprise/achat d'une affaire existante 16,5% Démarrage d'une nouvelle affaire 66,5% 0,0% 20,0% 40,0% 60,0% 80,0% Si l'on examine en détail en fonction de l âge de l activité, on observe que le démarrage d une nouvelle affaire est plus souvent privilégié par les entrepreneurs qui ont débuté «récemment» leur activité : 76% des entrepreneurs actifs depuis moins de 10 ans ont commencé leur activité via le démarrage d une nouvelle activité alors que ce n est le cas que pour 63% des entrepreneurs actifs depuis plus de 10 ans. UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES Page 15
16 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Le démarrage d une activité indépendante via la continuation d une entreprise familiale en particulier, a presque diminué de moitié au cours des 10 dernières années : celle-ci était l option utilisée par 17% des répondants actifs depuis plus de 10 ans alors qu elle ne l est plus que pour 5,5% des entreprises répondantes actives depuis moins de 10 ans. Graph. 10 : mode de démarrage -comparaison actif > et < 10 ans Autres 3,7% 2,4% Continuation d'une entreprise familiale Reprise/achat d'une affaire existante 5,5% 17,0% 14,8% 17,7% Démarrage d'une nouvelle affaire 63,0% 76,0% 0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0% 50,0% 60,0% 70,0% 80,0% Actif < 10 ans Actif > 10 ans On constate également que le démarrage d une activité par la continuation d une entreprise familiale est presque deux fois plus répandu auprès des répondants flamands (20,3%) que des répondants francophones (13,4%). Le démarrage d une activité par le lancement d une nouvelle affaire est également légèrement moins répandu auprès des répondants flamands (63%) que des répondants francophones (66,5%). Graph. 11 : mode de démarrage - comparaison FR-NL Autres 2,2% 3,7% Continuation d'une entreprise familiale Reprise/achat d'une affaire existante 20,3% 13,4% 14,4% 16,5% Démarrage d'une nouvelle affaire 63,0% 66,5% 0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0% 50,0% 60,0% 70,0% NL FR Trois quarts des répondants interrogés (74,8%) ont démarré directement en tant qu indépendant à titre principal. Près de 22% ont d abord exercé leur activité à titre complémentaire, ce qui montre que ce statut reste un tremplin. Page 16 UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES
17 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Ces résultats sont extrêmement proches de ceux obtenus dans le cadre d une étude sur les starters 6 menée par l UCM où l on constatait que 76,2% des indépendants démarraient directement à titre principal. Graph. 12 : démarrage en tant indépendant à titre principal ou d'abord à titre complémentaire? Immédiatement indépendant à titre principal 74,8% D'abord indépendant à titre complémentaire 21,9% Pas d'application 3,3% 0,0% 20,0% 40,0% 60,0% 80,0% 6 UCM National -Service d études, Chiffres clés sur les starters et recommandations, Octobre UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES Page 17
18 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Caractère familial de l activité La majorité (56,7%) des répondants considère que son entreprise est une entreprise familiale. Le critère utilisé était le fait que l entreprise était détenue par une ou plusieurs familles. Les 43,3% restants sont constitués de SPRL dont les associés n ont pas tous des liens de parenté entre eux. Graph. 13 : Caractère familal ou non de l'entreprise Non 43,3% Oui 56,7% 0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0% 50,0% 60,0% La comparaison avec les résultats de l enquête menée par Unizo montre que l échantillon de répondants est composé d une part plus importante d entreprise familiale (70,8% pour les répondants flamands contre 56,7% pour les répondants francophones). Graph. 14 : Caractère familal ou non de l'entreprise Non 29,20% 43,3% Oui 56,7% 70,80% 0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0% 50,0% 60,0% 70,0% 80,0% NL FR C est la première génération qui est propriétaire de l entreprise dans plus de deux tiers des cas (67,3%). Dans environ un cas sur cinq (19,5%), l entreprise est détenue par la deuxième génération. Cela indique que dans près d un cas sur cinq l entreprise familiale a déjà fait l objet d une transmission au sein de la famille. Page 18 UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES
19 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones Graph. 15 : Quelle génération est actuellement propriétaire de votre entreprise? Première génération 67,3% Deuxième génération 19,5% Troisième génération 8,8% Quatrième génération 3,2% Autre (veuillez préciser) : 1,2% 0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0% 50,0% 60,0% 70,0% On constate également que les entreprises flamandes (37,9%) sont plus souvent détenues par la deuxième ou troisième génération que pour leurs homologues francophones (28,3%). Dans deux tiers des cas (67,3%) les entreprises francophones sont détenues par la première génération contre 57,9% pour les entreprises flamandes. Graph. 16 : Quelle génération est actuellement propriétaire de votre entreprise? (comparaison FR-NL) Première génération 57,9% 67,3% Deuxième génération 19,5% 26,0% Troisième génération 11,9% 8,8% Quatrième génération Autre (veuillez préciser) : 3,4% 3,2% 0,9% 1,2% 0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0% 50,0% 60,0% 70,0% NL FR Ces entreprises familiales occupent dans la plupart des cas (68,9%) au moins un membre de la famille, qui est le plus souvent le compagnon ou la compagne (31,1%). Dans 43,5% des cas, un membre de la UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES Page 19
20 Enquête sur la transmission d entreprise auprès des entrepreneurs francophones famille potentiellement susceptible de la reprendre (enfants, neveux, nièces, petits-enfants, autres) est présent dans l entreprise. Graph. 17 : certains membres de la famille travaillent-ils aussi dans votre entreprise? (plusieurs réponses possibles) Oui, mon (ex) compagnon/compagne 35,9% Non, aucun membre de la famille ne travaille dans mon entreprise 31,1% Oui, mon(es) enfant(s) 27,9% Oui, autre(s) membre(s) de la famille 21,2% 0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0% Page 20 UCM NATIONAL SERVICE D ETUDES
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