ARIF, rapport annuel

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ARIF, rapport annuel 2012-2013"

Transcription

1 ARIF, rapport annuel

2 SOMMAIRE MESSAGE DU PRÉSIDENT... 3 CHIFFRES CLÉS... 4 RÉTROSPECTIVE RAPPORT D ACTIVITÉS DU COMITÉ ET DU BUREAU... 6 COMPTE-RENDU DES COMMISSIONS... 7 PERSPECTIVES ÉTATS FINANCIERS RAPPORT DE L ORGANE DE RÉVISION BRÈVES Association Romande des Intermédiaires Financiers Créée à Genève le 15 mars 1999, l ARIF est une association privée, sans but lucratif, délégataire de tâches publiques pour la lutte contre le blanchiment d argent et le financement du terrorisme, ainsi qu en matière de déontologie des gérants de fortune indépendants. Organisme d autorégulation (OAR) agréé par la FINMA, l ARIF assure le respect par ses membres de la Loi fédérale concernant la lutte contre le blanchiment d argent et le financement du terrorisme dans le secteur financier (LBA). Ouverte à tout intermédiaire financier quelle que soit sa profession, l ARIF compte actuellement près de 460 membres. L ARIF a aussi édicté un Code de déontologie (CoD), reconnu par la FINMA, qui énonce les règles d une bonne pratique professionnelle des gérants de fortune indépendants dont elle surveille l application. Membre du / Mitglied des Membro del / Member of

3 MESSAGE DU PRÉSIDENT Quel avenir pour l autorégulation? La place financière suisse est dans la tourmente, c est peu dire! Une tempête, un tsunami, un typhon de propreté fiscale serait plus juste. Mais au fait, quel est le rôle des organismes d autorégulation (OAR) LBA créés à la fin des années 90, dans ce maelström? Me Julien Blanc Président de l Association Sont-ils des organismes purement privés, chargés de réglementer les comportements adéquats de leurs membres au regard de la LBA et des règles déontologiques pour les gérants de fortune? Ou sont-ils des délégataires de l Etat pour une surveillance efficace et une saine application de la législation suisse applicable aux quelques milliers d intermédiaires financiers du secteur non bancaire? Pour le Tribunal fédéral, depuis 2011, c est la deuxième variante qui a été retenue, accréditant même au passage la solution qui veut que les OAR sont tributaires de leur autorité de tutelle, la FINMA, laquelle peut leur dicter une correction de leurs règles statutaires si celles-ci entrent en conflit avec le droit administratif. Mais à vrai dire, il n y a pas que le Tribunal fédéral qui pense ainsi. A tel point que les praticiens sont tous convaincus aujourd hui que le rôle de délégataire d une tâche publique dévolu aux OAR ne laisse plus cours à l idée d une régulation purement privée des intermédiaires financiers. Votre comité fut dès lors plus que surpris en lisant, en février 2013, la pré-consultation du Département fédéral des finances (DFF) au sujet de la future loi sur les services financiers, déjà abrégée FIDLEG avant d avoir vu le jour. Dans ce rapport, sans aucun recul ni sens de l actualité, le DFF présente comme possible la disparition des OAR, qui, selon lui, ne bénéficient pas d un crédit suffisant au plan international puisque, justement, purement privés... Il est regrettable qu au mépris de la réalité, les OAR doivent maintenant, après plus de douze ans de bons services, justifier de leurs nombreux avantages en regard d un système étatique de surveillance ; au seul motif que certains Etats étrangers voisins ne connaissent qu une surveillance étatique. Et pour replacer les choses dans le bon ordre, ne devrions-nous pas dire plutôt que s il est mal vu à l étranger, c est parce que les fonctionnaires fédéraux du Secrétariat d Etat à l économie n ont pas su faire au système suisse de surveillance de proximité un marketing adéquat? Le temps est à notre avis venu de lui consacrer un vocable qui sera plus correct en regard de la situation réelle : parlons dès à présent de régulation déléguée, un système dans lequel l Etat dicte les règles, et dans lequel il laisse au secteur privé le soin d assurer l application de celles-ci et la surveillance du marché. Puisse ce discours trouver un écho auprès de nos défenseurs à Berne! Pour le Comité Julien Blanc, Président 3 ARIF RAPPORT ANNUEL

4 CHIFFRES CLÉS Total de 457 membres affiliés (au ) 108 membres soumis au Code de Déontologie de l ARIF (au ) Répartition des affiliés selon leur activité prépondérante ( ) Activités fiduciaires Gestion de fortune et de valeurs mobilières Change Négoce de matières premières / métaux précieux Trafic des paiements Transfert de fonds (money transfer) Négoce de devises, instruments financiers Courtage en assurances Crédit, leasing et affacturage Trusts Avocats / Notaires Distribution de fonds de placement réviseurs agréés 384 rapports de révision analysés lors de l exercice séminaires de formations LBA et CoD organisés (base et continue) 1161 personnes formées 15 sanctions 37 nouveaux affiliés durant l exercice 36 démissionnaires 4 exclusions 4 radiations S engager en toute simplicité. ARIF, le code de déontologie pour les gérants indépendants en toute sérénité L ARIF, approuvé par la FINMA, c est : > le seul OAR pluridisciplinaire de Suisse romande > des professionnels qui régulent des professionnels > un code de déontologie pour une réputation irréprochable > un haut niveau de compétences > environ 500 membres Devenir membre sur 4 ARIF RAPPORT ANNUEL

5 RÉTROSPECTIVE Modification des Statuts : inscription du rôle évolutif de l ARIF Recommandations révisées du GAFI et stratégie concernant la place financière Circulaire sur la distribution de placements collectifs Révision partielle des règles cadres pour la gestion de fortune Projet de loi sur les services financiers (LSFin) Cette modification concrétise l évolution du rôle de l ARIF amorcée depuis plusieurs années, en tant que participant actif et créatif à l élaboration de la réglementation applicable dans le domaine financier. L ARIF prend systématiquement position depuis de nombreuses années lors de chaque audition sur des projets de loi susceptibles d intéresser ses membres. C est pourquoi le Comité de l ARIF a souhaité inscrire cette activité dans les Statuts de l Association, afin d en accroître la visibilité, dans le but déclaré de contribuer à la promotion de la place financière suisse. Dans sa prise de position du 15 juin 2013, l ARIF a fait part de son appréciation essentiellement critique à propos de l avant-projet présenté par le DFF. Les projets de loi soumis à consultation apparaissent être une réponse excessive et insuffisamment réfléchie à la pression de l environnement international, visant à introduire un système de surveillance généralisée et favorisant un climat de suspicion global, dans plusieurs secteurs particulièrement importants de la vie sociale et économique. L ARIF compte environ 40% de gérants de fortune parmi ses membres. Elle s est donc naturellement prononcée sur le projet de Circulaire-FINMA «Distribution de placements collectifs» en formulant ses observations dans sa prise de position du 03 juin Avec l entrée en vigueur le 01 mars 2013 des versions révisées de la loi et de l ordonnance sur les placements collectifs de capitaux (LPCC et OPCC) disparaît la notion d «appel au public», laquelle est remplacée par celle de «distribution». Dans sa prise de position du 03 avril 2013, l ARIF a fait part de ses commentaires notamment sur l obligation d information et les rétrocessions. D autre part, elle regrette que les règles cadres ne contiennent aucun chapitre à propos des obligations de diligence transfrontalière. Le fardeau de la diligence transfrontalière est, de fait, reporté en partie par les banques sur les gérants de fortune indépendants. Elle-même consultée par le DFF sur les lignes directrices du projet, l ARIF a relayé la consultation auprès de ses membres. Les réponses reçues montrent un avis globalement favorable quant aux nouveaux principes présentés. L intégration du droit européen dans la législation suisse, qui ne semble pas aisée au vu de sa complexité et du nombre de directives et règlements applicables dans l UE, devrait selon nos membres s accompagner de l accès au marché européen. Dans sa prise de position du 28 mars 2013, l ARIF propose l abandon du système d autorégulation, au profit d une régulation déléguée. Dans un tel système, les règles édictées sont le fait de l Etat, alors que la surveillance serait déléguée à des organismes agissant comme auxiliaires de l autorité. La surveillance par de tels organismes est fortement souhaitée pour la proximité et le professionalisme qu elle assure, moyennant un renforcement de la surveillance exercée par la FINMA afin d assurer une équivalence avec les systèmes de surveillance étatique connus dans l UE. L ARIF a en outre proposé que les obligations principales des gérants de fortune fassent l objet d un chapitre complémentaire du code des obligations (CO) plutôt que d une réglementation administrative compliquée. Retrouvez toutes les prises de position de l ARIF sur son site Internet : 5 ARIF RAPPORT ANNUEL

6 RAPPORT D ACTIVITÉS DU COMITÉ ET DU BUREAU 1. Comité Le Comité continue de porter une attention particulière à l évolution législative dans le secteur financier et en particulier pour les gérants de fortune et la distribution des placements collectifs. Ses représentants ont participé à plusieurs réunions d information du DFF à Berne et pris position sur les projets de lois sur les services financiers (LSFin/FIDLEG) et de modification de la LBA. M. Giulio Ronga Vice-président de l Association Membres du Comité (inclut les membres du Bureau ci-après au ch. 2) : Josef Bollag Vice-président Mark Brendow Membre Philippe Haener Membre Gaudéric Massot Membre Jean-Claude Mathais Membre Philippe Perles Membre Jean-Marc Schwenter Membre Christian Thury Membre Dr Josef Bollag Vice-président de l Association et du Comité du Forum SRO OAR OAD 2. Bureau du Comité Le Bureau du Comité est un organe rassemblant le président, un des deux viceprésidents, le trésorier, les quatre présidents des commissions et le directeur, dont les tâches sont de préparer les séances du Comité, gérer les affaires courantes et, le cas échéant, les affaires urgentes. Le Bureau s est réuni 11 fois au cours de l exercice. M. Walter Stresemann Trésorier Membres du Bureau : Julien Blanc Giulio Ronga Walter Stresemann Raphaël Treuillaud Guy Girod Guy Châtelain Andreas Fabjan Norberto Birchler Président Vice-président Trésorier Président de la Commission de surveillance Président de la Commission d admission Président de la Commission de formation et information Président de la Commission de gestion Directeur Secrétariat Direction, formation, comptabilité et administration générale : Norberto Birchler Directeur Alain Saint-Sulpice Assistant Christine Cardot Comptabilité Surveillance et admission des membres : Natalina Chapuis Surveillance Monique Flückiger Surveillance Leïla Abbès Admission Céline Perucca Auxiliaire (20%) 6 ARIF RAPPORT ANNUEL

7 COMPTE-RENDU DES COMMISSIONS M. Guy Girod Président de la Commission d admission 1. Commission d admission La Commission d admission a maintenu la non-perception d une finance d inscription. Les procédures d admission simplifiées sont appréciées des candidats. L objectif qu elle s était fixé de prendre une décision d admission dans les 15 jours suivants le dépôt du dossier complet de candidature a été respecté. Dans l intérêt des membres ARIF, sous l angle de la prévention du risque de réputation, la Commission a renforcé ses contrôles pour refuser les candidatures de sociétés de domicile; il s agit principalement pour la Commission de vérifier qu une activité réelle se déroule bien en Suisse et que les organes en Suisse de la société participent effectivement aux activités du candidat. Toute activité déclarée en matière de FOREX fait l objet d un diagnostique préalable obligatoire afin de contrôler que le candidat se situe bien dans la tolérance prévue par la FINMA, faute de quoi il a l obligation de s affilier directement auprès d elle. Des exigences minimales sont en vigueur pour l admission des «Money Transmitters». De nouvelles activités d intermédiation financière voient le jour en matière de paiements électroniques. Plusieurs candidatures ont été acceptées et la FINMA a été sollicitée afin de clarifier certains aspects opérationnels de ces nouveaux domaines d activités. Cette dernière problématique est suivie en collaboration avec la Commission de surveillance de l ARIF. Durant l exercice écoulé, 39 demandes d affiliation ont été traitées, 37 candidats ont été acceptés, dont 14 gestionnaires de fortune indépendants qui ont également adhéré au Code de déontologie de l ARIF (CoD). Une demande d affiliation a été refusée et une autre déclarée caduque. Un nouveau formulaire doit être rempli par l ARIF pour la FINMA en cas de candidatures caduques, retirées ou refusées. Ceci permet d établir des statistiques nationales fiables. Cinq diagnostiques préalables ont été effectués et les cinq candidats concernés ont pu apporter les précisions demandées pour être finalement acceptés. En outre, 5 réviseurs LBA ont obtenu l agrément de l ARIF durant l exercice écoulé. Au 30 juin 2013, l ARIF comptait 457 membres et a enregistré, durant l exercice, 36 démissions (principalement pour cessation d activité). Durant les différents contrôles effectués auprès des candidats, la Commission d admission a pu observer que les directives internes contrôlées par les réviseurs au moment de l admission permettent à ces mêmes candidats de mieux comprendre la problématique LBA. Le nouveau membre pourra alors plus facilement aborder cette matière complexe lors de la formation LBA de base obligatoire. 11% 6% 3% Internet 6% 3% Réviseur 18% FR 26% 54% Recommandation d'un IF déjà membre Avocat / Notaire Autre 73% ANG ALLD IT Comment avez-vous connu l ARIF? (exercice ) Langue de travail des membres admis durant l exercice ARIF RAPPORT ANNUEL

8 COMPTE-RENDU DES COMMISSIONS (suite) Me Raphaël Treuillaud Président de la Commission de surveillance 2. Commission de surveillance La Commission de surveillance a tenu 11 séances au cours de l exercice écoulé et ses membres ont mené de nombreuses séances de travail individuelles pour le suivi des dossiers qui leur sont attribués. Les membres de la Commission ont également effectué 60 visites auprès de membres, destinées à mieux les connaître et les aider à s organiser au mieux de leurs intérêts dans le respect de la loi. Outre les réponses aux nombreuses demandes d avis juridique et pratique des membres, et la vérification des rapports de révision LBA 2011 et 2012, la Commission a mis sur pied une liste de réviseurs particulièrement qualifiés chargés d effectuer les enquêtes spéciales prévues par la directive 12. Sur demande de la FINMA, un document de travail pour la révision a été élaboré à l usage des intermédiaires financiers pratiquant le money transfer. Des enquêtes disciplinaires ont dû être engagées, suite à des dysfonctionnements constatés ou à des injonctions de la FINMA ; 19 sanctions, dont 4 exclusions ont été proposées au Comité, et 4 radiations de membres en déshérence ont été effectuées. La Commission a également procédé à plusieurs modifications des directives de l ARIF, qui ont été approuvées par le Comité et la FINMA. Ainsi, particulièrement, les expériences récentes ont mis en lumière la nécessité d une attention accrue à l égard des «in house companies» afin de les identifier et de les intégrer au périmètre de révision. Un document de travail spécial a été élaboré à cette fin. Il sera suivi d une modification de la directive 1 relative à l admission. En plus de ses fonctions de surveillance et de contrôle, la Commission a poursuivi son activité règlementaire, en participant aux travaux préparatoires et aux procédures de consultation ouvertes en matière LBA (évolution du rôle du MROS notamment), ainsi qu en matière d entraide fiscale et administrative, et plus généralement dans le cadre des travaux de la future Loi sur les services financiers (FIDLEG). Me Guy Châtelain Président de la Commission de formation et information 3. Commission de formation et information La Commission de formation et d information a la double mission d une part de veiller à assurer aux membres de l ARIF un niveau de connaissances suffisant en matière LBA et CoD, d autre part d apporter aux membres les nouvelles du front qui les touchent directement, nouvelles qui chaque année peuvent apparaître plus nombreuses et/ou plus éloignées de nos pratiques «ancestrales». S agissant de la formation, la Commission a, au cours de l exercice écoulé, organisé 14 séminaires. Elle a plaisir à constater tout à la fois que ces différents cours sont fréquentés par une proportion substantielle de non-membres (ce qui établit qu ils sont recherchés au-delà de nos rangs, et incidemment en baisse le coût pour chacun) et que l indice de satisfaction des participants est toujours agréablement élevé. En complément de ce programme, la Commission a initié un cycle de conférences sous la forme de déjeuners-débats et de séances d information pour maintenir nos membres au plus près de l actualité, et là aussi les échos sont très positifs. Enfin, nous travaillons actuellement sur un concept de formation e-learning afin d identifier les possibilités concrètes d intégrer un tel vecteur en parallèle (ou en remplacement?) des formations traditionnelles. Quant à l information, celle-ci est plus rationnellement, plus largement et plus régulièrement diffusée à nos membres par le biais des nombreux outils de communication que nous avons développés : mailings généraux ou plus spécifiquement destinés à telle ou telle catégorie d affiliés, flux permanents RSS, regroupements optimisés sur le site Internet, newsletter bisannuelle et même mise en œuvre d un moteur de recherche simplifié pointant sur une banque de données du SECO. L interactivité et le dialogue gagnent en intensité ; nous ne pouvons que nous en réjouir vivement! 8 ARIF RAPPORT ANNUEL

9 COMPTE-RENDU DES COMMISSIONS (suite) Me Andreas Fabjan Président de la Commission de gestion 4. Commission de gestion La Commission de gestion s est réunie à 5 reprises au cours de l exercice Elle a, conformément à sa mission, veillé à garantir une saine gestion des liquidités de l Association, procédé au suivi diligent des débiteurs et adapté en permanence le plan comptable en fonction de l évolution des charges réelles de l Association. Au final, l exercice se solde par un léger excédent de recettes de CHF Ce résultat est légèrement inférieur au budget, qui prévoyait un excédent de CHF Cette différence s explique notamment par la constitution d une charge extraordinaire sous forme d une provision à hauteur de CHF Le résultat de l exercice peut par conséquent, compte tenu de cette charge extraordinaire, être considéré comme très satisfaisant. Cette provision a pour objectif d égaliser les variations des recettes constatées entre la première et la seconde année du cycle de formation. Cette différence significative et récurrente des recettes, d environ CHF , s explique par le rythme bisannuel de l obligation de formation. Une majorité de membres attend en effet la seconde année pour accomplir son obligation de formation. Il est prévu de dissoudre cette provision l année suivante, soit au cours de l année qui correspond à la première année du cycle de formation, où les recettes sont moins importantes. Grâce à un suivi très attentif des charges de l Association, l exercice a pu se solder avec un excédent de recettes. Le budget , qui n anticipe pas de charges exceptionnelles, prévoit un budget à l équilibre. Au vu de ces éléments, la situation financière de l Association peut être considérée comme saine et équilibrée. Il convient toutefois de relever que des changements importants se profilent dans les années à venir s agissant du rôle et des fonctions à assumer par les Organismes d autorégulation, en particulier en ce qui concerne la surveillance des gérants de fortune. Il est donc à prévoir, en fonction des décisions qui seront prises prochainement, que les structures et l organisation de l ARIF soient amenées à évoluer à court et moyen terme. M. Norberto Birchler Directeur 5. Le secrétariat Durant l exercice écoulé, le secrétariat s est fortement impliqué pour assurer le suivi des travaux du Comité et de ses commissions. Près de 60 séances se sont tenues à l ARIF, soit grossièrement en moyenne, une par semaine. En raison de l accélération des événements liée aux événements politiques (Weissgeldstrategie, adaptation du dispositif LBA suisse aux normes internationales, etc.), le secrétariat a dû, en outre, préparer et coordonner des réunions supplémentaires visant à élaborer, soutenir et préparer les prises de position de l ARIF sur les modifications règlementaires. En marge de cette activité de soutien aux différentes commissions et groupes de travail, le directeur a participé à des séances externes (Forum des OARs, Groupement des compliance officers de Suisse romande et du Tessin - GCO) afin de pouvoir pratiquer des échanges fructueux avec d autres acteurs de la place financière suisse. Durant toute l année écoulée, et malgré la charge supplémentaire de travail liée aux projets législatifs en cours, le secrétariat a néanmoins continué d assurer son rôle de plateforme de soutien aux membres. Comme chaque année, la FINMA a audité l ARIF en février pour examiner la qualité de son travail en tant qu OAR. Dans son rapport d avril 2013, la FINMA souligne que les processus mis en place par l ARIF pour le suivi de ses membres est bon et que les dossiers qu elle a contrôlés par pointage sont complets et bien tenus. Les mesures prisent pour les cas particuliers étaient, toujours selon la FINMA, appropriées. Globalement, cela fait plusieurs années de suite, que les audits de la FINMA aboutissent à des constatations positives quant au travail effectué par le secrétariat, que ce soit pour les contrôles ou le suivi des membres. Ceci est dû à un engagement sans failles des collaborateurs du secrétariat et du directeur tout au long de l année. 9 ARIF RAPPORT ANNUEL

10 PERSPECTIVES Foreign Account Tax Compliance Act (FATCA) Projet de loi sur les services financiers (LSFin) Révision des règles-cadres pour la gestion de fortune Modifications de la LBA et du Code pénal suisse Habilitation des gestionnaires de fortune actifs dans la prévoyance professionnelle Le FATCA exige des établissements financiers étrangers (foreign financial institution, FFI) qu ils s enregistrent auprès de l autorité fiscale américaine (Internal Revenue Service, IRS), voire concluent un éventuel contrat FFI avec elle. Parallèlement, le Trésor américain s efforce de signer avec les autres juridictions des accords bilatéraux reposant notamment sur le principe d échange automatique de renseignements. Suite à la signature par la Suisse de l accord FATCA, le 14 février 2013, l ARIF s est intéressée de près au processus d élaboration du projet de loi sur la mise en oeuvre des dispositions de l accord et a tenu informé, en septembre 2013, ses membres et autres acteurs financiers de la place sur les derniers développements en cours lors d un déjeuner-débat et d une séance d information gratuite. En principe, FATCA devrait entrer en vigueur le 1 er juillet 2014 (échéance qui a déjà été reportée à deux reprises). Le projet de loi, annoncé durant l été 2012 et qui fait suite à une série de rapport de la FINMA sur la distribution de produits, visera à aligner la législation suisse en matière de produits financiers, et donc le conseil en placements et la gestion de fortune, sur les standards internationaux et européens d ici A cette date en effet, il sera important pour les acteurs de notre pays, que celui-ci ait obtenu une équivalence de la Commission européenne pour permettre aux entreprises suisses d offrir leurs services dans les pays de l Union. La nouvelle circulaire de la FINMA (Circ.-FINMA 2009/1), entrée en vigueur en juillet 2013, prend en compte la dernière jurisprudence du Tribunal fédéral concernant la gestion de fortune individuelle, ainsi que la révision de la loi sur les placements collectifs et précise les devoirs des gérants de fortune. Sont en particulier visés les devoirs de renseignement (profil de risque du client), d information (informations sur les risques) et de diligence (actualisation du profil de risque) et l obligation de rendre compte des rétrocessions. L ARIF a jusqu à fin 2013 pour adapter son Code de déontologie (Directive 14) auquel sont soumis les gérants de fortune qui lui sont affiliés. Certaines adaptations sont nécessaires pour que le droit suisse soit conforme aux recommandations révisées du GAFI et pour remédier à certaines lacunes relevées par cette dernière lors de l évaluation de la Suisse effectuée en En outre, l extension des obligations de diligence prévoit un examen basé sur les risques, qui vise à prévenir l acceptation de valeurs patrimoniales non fiscalisées. La Commission de haute surveillance de la prévoyance professionnelle (CHS PP) a la tâche de réglementer l octroi d une habilitation aux gérants de fortune qui ne sont pas expressément autorisés par l ordonnance à gérer la fortune de prévoyance. Dans le cadre de cette mission, la Commission a élaboré des «Directives concernant I habilitation des gérants de fortune actifs dans la prévoyance professionnelle», lesquelles sont mises en consultation par le biais d une procédure d audition invitant les milieux concernés à faire part de leurs commentaires avant le 20 septembre ARIF RAPPORT ANNUEL

11 ÉTATS FINANCIERS Bilan au CHF CHF ACTIF Actif circulant Liquidités Caisse ' Banques et PostFinance '554' '556' Créances résultant de prestations Débiteurs-membres ' Autres créances Créances diverses (avances/impôt anticipé) 9' ' Comptes de régularisation Actifs transitoires (diverses primes payées d avance) ' Taxe de surveillance / OAR 2013 (2012) à percevoir ' ' Actif immobilisé Immobilisations financières Dépôt de garantie bancaire ' Immobilisations corporelles Equipement informatique ' Mobilier, machines et installations de bureau ' ' Total de l actif '772' PASSIF Fonds étrangers Dettes à court terme Créanciers divers Comptes de régularisation Passifs transitoires : - cotisations perçues d avance et provisions factures à payer émoluments de formations perçus d avance Taxes de surveillance OAR: provision pour taxations 2013 (2012) Fonds propres Réserve libre Excédent au bilan à reporter Total du passif ARIF RAPPORT ANNUEL

12 ÉTATS FINANCIERS (suite) Compte d exploitation CHF CHF PRODUITS Cotisations annuelles LBA Cotisations annuelles COD Finances d inscriptions Enquêtes et diagnostics préalables Séminaires et formations Pénalités conventionnelles 8' Autres revenus CHARGES Charges de personnel Honoraires membres du comité Honoraires de tiers Formations et séminaires Honoraires de révision Frais de bureau et sécurité Frais informatiques Frais de télécommunication et de diffusion Emoluments organisations étatiques Loyers et charges de locaux Amortissements sur immobilisations Attribution à la provision pour débiteurs douteux et pertes Charges extraordinaires Résulat d exploitation, avant produits financiers, taxes et impôts Taxes et divers Taxe de surveillance des OAR 2012 (2011) encaissée Taxe de surveillance des OAR 2012 (2011) bordereau Produits financiers et divers Produits de l exploitation / Excédent des charges (-) Report de l exercice précédent Montant à disposition Attribution à la réserve libre Excédent au bilan à reporter ARIF RAPPORT ANNUEL

13 RAPPORT DE L ORGANE DE RÉVISION Tél BDO SA Fax Biopôle - Epalinges Case postale Lausanne Rapport de l organe de révision sur le contrôle restreint à l Assemblée générale des membres de l ASSOCIATION ROMANDE DES INTERMEDIAIRES FINANCIERS (ARIF), Genève Mesdames et Messieurs les membres, En notre qualité d organe de révision, nous avons vérifié la comptabilité et les comptes annuels (bilan, compte d exploitation et annexe) de l ASSOCIATION ROMANDE DES INTERMEDIAIRES FINANCIERS (ARIF) pour l exercice arrêté au 30 juin La responsabilité de l établissement des comptes annuels incombe au comité alors que notre mission consiste à vérifier ces comptes et à émettre une appréciation les concernant. Nous attestons que nous remplissons les exigences légales de qualification et d indépendance. Notre révision a été effectuée selon les Normes suisses relatives au contrôle restreint. Cette norme requière de planifier et de réaliser la vérification de manière telle que des anomalies significatives dans les comptes annuels puissent être constatées. Un contrôle restreint englobe principalement des auditions, des opérations de contrôle analytiques ainsi que des vérifications détaillées appropriées des documents disponibles dans l entreprise contrôlée. En revanche, des vérifications des flux d exploitation et du système de contrôle interne ainsi que des auditions et d autres opérations de contrôle destinées à détecter des fraudes ne font pas partie de ce contrôle. Nous avons révisé les postes des comptes annuels et les indications fournies dans ceux-ci en procédant à des analyses et à des examens par sondages. En outre, nous avons apprécié la manière dont ont été appliquées les règles relatives à la présentation des comptes, les décisions significatives en matière d évaluation, ainsi que la présentation des comptes annuels dans leur ensemble. Nous estimons que notre révision constitue une base suffisante pour former notre opinion. Lors de notre contrôle, nous n avons pas rencontré d élément nous permettant de conclure que les comptes annuels ne sont pas conformes à la loi et aux statuts. Lausanne, le 12 septembre 2013 BDO SA Roland Burger Expert-réviseur agréé Auditeur responsable pp Jean-Jacques Bachmann Réviseur 13 ARIF RAPPORT ANNUEL

14 BRÈVES Invité de l AG 2013 : M. Stiliano Ordolli, Chef du MROS Les Rencontres de l ARIF sous forme de déjeuner-débat Les séances d information de l ARIF Moteur de recherche sur les sanctions internationales Départ à la retraite d une collaboratrice La 15 e Assemblée générale ordinaire de l ARIF se tiendra le jeudi 7 novembre 2013, à 17h30, au Swissôtel Métropole à Genève. L Assemblée sera suivie d une intervention de M. Stiliano Ordolli, Chef du Bureau de communication en matière de blanchiment d argent (MROS), concernant l évolution législative liée au MROS. Depuis 2013, l ARIF propose à un large public de professionnels de la finance un concept de lunch-séminaires pratiques et conviviaux, dans le but de favoriser les synergies et les échanges de vues parmi ses membres (et non-membres) sur des sujets d actualité ou d importance sectorielle, sans connotation commerciale. Le premier déjeuner-débat de l ARIF du 13 mai 2013 sur les perspectives et défis des gérants de fortune a suscité un vif intérêt. Un deuxième a été programmé le 9 septembre 2013 dans le cadre des préoccupations actuelles liées à FATCA. Dans le cadre de sa mission d information, l ARIF met ponctuellement sur pied des séances d information sur les développements législatifs d importance pouvant toucher ses membres. Suite au succès rencontré par sa conférence gratuite du 2 mai 2012, dédiée aux gérants de fortune indépendants (près de 200 participants), l ARIF s est adressée à un plus large public en organisant une nouvelle séance d information sur le thème de FATCA, le 18 septembre 2013 à l auditorium de la FER-Genève, réunissant pour l occasion un grand nombre de professionnels (115 participants). Compte tenu de l obligation faite aux intermédiaires financiers de se tenir informés sur les sanctions en vigueur et d appliquer les mesures coercitives, l ARIF met à disposition sur son site Internet un moteur de recherche simplifié pointant sur une banque de données du Secrétariat d Etat à l économie (SECO) recensant l ensemble des personnes, entreprises et organisations faisant l objet de sanctions internationales appliquées par la Suisse. L interface en ligne permet de chercher dans ces listes un nom ou un pays spécifique. Les membres du Comité de l ARIF tiennent à remercier chaleureusement leur plus ancienne collaboratrice, Mme Natalina Chapuis, qui a oeuvré sans ménager ses efforts depuis 2002 à la surveillance et au suivi administratif des membres de l association. Dès 2014, son remplacement sera assuré par Mme Céline Perucca qui a déjà travaillé à ses côtés depuis plus de 6 ans en qualité d auxiliaire. Mme Natalina Chapuis Mme Céline Perucca 14 ARIF RAPPORT ANNUEL

15 Association Romande des Intermédiaires Financiers Rue de Rive Genève Téléphone : (+41) Fax : (+41) info@arif.ch 15 ARIF RAPPORT ANNUEL

16

Association Romande des IntermØdiaires Financiers

Association Romande des IntermØdiaires Financiers es 1[nt G Association Romande des IntermØdiaires Financiers Rue de Rive $ - CH - 1204 GenŁve TØl, 022 310 07 35 - Fax 022 310 0 39 wwwarileh e-mail: info@arif eh TVA n CHE-10i. 192.434 (Dem franz sischen

Plus en détail

Quo Vadis Gérant Indépendant? 21 septembre 2011 Jean-Luc Epars, Partner, Legal Yvan Mermod, Partner, Audit FS

Quo Vadis Gérant Indépendant? 21 septembre 2011 Jean-Luc Epars, Partner, Legal Yvan Mermod, Partner, Audit FS Quo Vadis Gérant Indépendant? 21 septembre 2011 Jean-Luc Epars, Partner, Legal Yvan Mermod, Partner, Audit FS Agenda 1. Les gérants indépendants sous pression 2. Surveillance actuelle 3. Directive AIFM

Plus en détail

Ordonnance réglant la perception d émoluments et de taxes par l Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers

Ordonnance réglant la perception d émoluments et de taxes par l Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers Ordonnance réglant la perception d émoluments et de taxes par l Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Ordonnance sur les émoluments de la FINMA, Oém-FINMA) du Le Conseil fédéral suisse,

Plus en détail

Date de fondation : 2 novembre 1981 (Journal officiel du 19 novembre 1981).

Date de fondation : 2 novembre 1981 (Journal officiel du 19 novembre 1981). Les statuts ARTICLE 1 CREATION Il est fondé entre les adhérants au présent statut une association régie par la loi du 1 er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour titre «ASSOCIATION MEDICALE

Plus en détail

Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs

Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs (Loi sur la surveillance de la révision, LSR) 221.302 du 16 décembre 2005 (Etat le 1 er janvier 2013) L Assemblée fédérale de la Confédération

Plus en détail

Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs

Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs (Loi sur la surveillance de la révision, LSR) 221.302 du 16 décembre 2005 (Etat le 1 er septembre 2007) L Assemblée fédérale de la Confédération

Plus en détail

DE AGCV suissetec Association Genevoise des entreprises de Chauffage et de Ventilation

DE AGCV suissetec Association Genevoise des entreprises de Chauffage et de Ventilation DE AGCV suissetec Association Genevoise des entreprises de Chauffage et de Ventilation 2013 STATUTS DE AGCV suissetec ASSOCIATION GENEVOISE DES ENTREPRISES DE CHAUFFAGE ET DE VENTILATION CHAPITRE I : RAISON

Plus en détail

DIRECTIVE 2 RELATIVE A LA VERIFICATION DE L IDENTITE DU COCONTRACTANT

DIRECTIVE 2 RELATIVE A LA VERIFICATION DE L IDENTITE DU COCONTRACTANT 1 DIRECTIVE 2 RELATIVE A LA VERIFICATION DE L IDENTITE DU COCONTRACTANT Principe 1 L intermédiaire financier vérifie l identité du cocontractant de chacune de ses relations d affaires assujetties à la

Plus en détail

Surveillance consolidée des banques et des négociants en valeurs mobilières

Surveillance consolidée des banques et des négociants en valeurs mobilières Foire aux questions (FAQ) Surveillance consolidée des banques et des négociants en valeurs mobilières (Dernière modification : 31 mars 2015) La FINMA surveille plus de 100 groupes de banques et de négociants

Plus en détail

Nouvelles exigences en matière de présentation des comptes et de révision

Nouvelles exigences en matière de présentation des comptes et de révision www.pwc.ch Nouvelles exigences en matière de présentation des comptes et de révision Aperçu des modifications du Code des obligations suisse Décembre 2011 Un document PwC destiné aux responsables de la

Plus en détail

Nouvelles exigences pour les entreprises et les réviseurs

Nouvelles exigences pour les entreprises et les réviseurs Nouvelles exigences pour les entreprises et les réviseurs Modifications du droit des sociétés et introduction d une surveillance de la révision Décembre 2005 Modifications du droit des sociétés En décembre

Plus en détail

Art. 2 : Siège et durée L Association a son siège dans la République et canton de Genève à l adresse de son secrétariat. Sa durée est illimitée.

Art. 2 : Siège et durée L Association a son siège dans la République et canton de Genève à l adresse de son secrétariat. Sa durée est illimitée. Association Alzheimer Suisse Section de Genève Chemin des Fins 27 1218 Grand Saconnex STATUTS Dans les présents statuts, toute dénomination de personne, de statut ou de fonction recouvre l homme ou la

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION

STATUTS DE L ASSOCIATION STATUTS DE L ASSOCIATION STEP SUISSE ROMANDE ADOPTES PAR L ASSEMBLEE GENERALE DU 24 SEPTEMBRE 2003 A GENEVE 2 I. DISPOSITIONS GENERALES Article 1 (Nom) L association STEP Suisse Romande a été constituée

Plus en détail

Loterie Romande. Rapport financier

Loterie Romande. Rapport financier 2013 Loterie Romande Rapport financier Sommaire Sommaire Bilan au 31 décembre 2013 2 Compte de résultat 2013 3 Tableau de financement 2013 4 Tableau des fonds propres 5 Répartition 2013 5 Répartition 2013

Plus en détail

Règlement relatif aux sanctions et à la procédure de sanction

Règlement relatif aux sanctions et à la procédure de sanction Règlement relatif aux sanctions et à la procédure de sanction (dans la version du 24 décembre 2012) La commission de l'organisme d'autorégulation de l'association Suisse des Sociétés de Leasing (OAR /

Plus en détail

Association Suisse des Managers du Sport Statuts

Association Suisse des Managers du Sport Statuts Association Suisse des Managers du Sport Statuts Statuts Association Suisse des Managers du Sport Page 1 / 11 Statuts de l'association Suisse des Managers du Sport (ASMS) I. NOM ET SIEGE Article 1. L'Association

Plus en détail

Loterie Romande. financier

Loterie Romande. financier 2011 Rapport financier Société de la Loterie de la Suisse Romande 13, rue Marterey Case postale 6744 1002 Lausanne CH Tél. + 41 21 348 13 13 Fax + 41 21 348 13 14 info@loro.ch www.loro.ch Sommaire Bilan

Plus en détail

association suisse du mimosa du bonheur

association suisse du mimosa du bonheur association suisse du mimosa du bonheur STATUTS Chapitre Premier Dispositions générales Article 1 Nom et siège L Association Suisse du Mimosa du Bonheur est une association au sens des articles 60 et suivants

Plus en détail

Master of Advanced Studies en lutte contre la criminalité économique [MAS LCE] Master of Advanced Studies in Economic Crime Investigation [MAS ECI]

Master of Advanced Studies en lutte contre la criminalité économique [MAS LCE] Master of Advanced Studies in Economic Crime Investigation [MAS ECI] Master of Advanced Studies en lutte contre la criminalité économique [MAS LCE] Master of Advanced Studies in Economic Crime Investigation [MAS ECI] Les Hautes écoles spécialisées Les Hautes écoles spécialisées

Plus en détail

SOINS INFIRMIERS EN ONCOLOGIE GENEVE : SOGE STATUTS

SOINS INFIRMIERS EN ONCOLOGIE GENEVE : SOGE STATUTS SOINS INFIRMIERS EN ONCOLOGIE GENEVE : SOGE STATUTS ARTICLES 1 ET 2 : Nom et siège Sous le nom de soins infirmiers en oncologie Genève, est fondée une association professionnelle sans but lucratif au sens

Plus en détail

Statuts I. BUT ET SIEGE II. SOCIETAIRES

Statuts I. BUT ET SIEGE II. SOCIETAIRES Case postale 7141 tél. 031 / 323 53 36 3001 Berne fax 031 / 322 37 46 www.svri.ch Statuts I. BUT ET SIEGE Art. 1 But L "Association suisse pour le développement de l informatique juridique" vise à promouvoir,

Plus en détail

Association suisse Des techniciens en radiologie médicale

Association suisse Des techniciens en radiologie médicale Association suisse Des techniciens en radiologie médicale Statuts Section romande Page 1 sur 8 I. NOM, SIEGE ET BUTS DE LA SECTION Art. 1 Nom et siège L Association suisse des techniciens en radiologie

Plus en détail

FIBROSE KYSTIQUE CANADA

FIBROSE KYSTIQUE CANADA États financiers de FIBROSE KYSTIQUE CANADA KPMG s.r.l./s.e.n.c.r.l. Téléphone (416) 228-7000 Yonge Corporate Centre Télécopieur (416) 228-7123 4100, rue Yonge, Bureau 200 Internet www.kpmg.ca Toronto

Plus en détail

Statuts Association Ethno-médias Suisse

Statuts Association Ethno-médias Suisse Statuts Association Ethno-médias Suisse (Version à l intention de l assemblée constituante du 1 ier nov. 2012) 0. MISSION Une bonne information et une participation sociale authentique des migrants et

Plus en détail

U-CH Statuts Commission suisse de validation des modules informatiques pour utilisateurs

U-CH Statuts Commission suisse de validation des modules informatiques pour utilisateurs U-CH Statuts Commission suisse de validation des modules informatiques pour utilisateurs Secrétariat U-CH J. Bertschi c/o CPLN SFC Adresse Maladière 6, 00 Neuchâtel Tél. 0/77 40 0 E-mail : jeanine.bertschi@cpln.ch

Plus en détail

Article premier Forme et siège 4 Article 2 Buts 4 Article 3 Moyens 5. Article 4 Membres en général 5. Droits et obligations des membres

Article premier Forme et siège 4 Article 2 Buts 4 Article 3 Moyens 5. Article 4 Membres en général 5. Droits et obligations des membres STATUTS TABLE DES MATIÈRES I. Forme, buts et moyens Article premier Forme et siège 4 Article 2 Buts 4 Article 3 Moyens 5 II. Membres Article 4 Membres en général 5 Article 5 Droits et obligations des membres

Plus en détail

Imagine Canada États financiers

Imagine Canada États financiers États financiers 31 décembre 2014 Table des matières Page Rapport de l auditeur indépendant 1-2 État des produits et des charges 3 État de l évolution des actifs nets 4 État de la situation financière

Plus en détail

Etat au 16 septembre 2010 Statuts. Association suisse des banquiers (SwissBanking)

Etat au 16 septembre 2010 Statuts. Association suisse des banquiers (SwissBanking) Etat au 16 septembre 2010 Statuts Association suisse des banquiers (SwissBanking) Association suisse des banquiers Principes directeurs 2010 La place financière suisse se classe parmi les premières places

Plus en détail

Circulaire 2009/1 Règles-cadres pour la gestion de fortune

Circulaire 2009/1 Règles-cadres pour la gestion de fortune Banques Groupes et congl. financiers Autres intermédiaires Assureurs Groupes. et congl. d assur. Intermédiaires d assur. Bourses et participants Négociants en valeurs mob. Directions de fonds SICAV Sociétés

Plus en détail

Dans ces statuts, toute désignation de personne, de statut ou de fonction vise indifféremment l homme ou la femme.

Dans ces statuts, toute désignation de personne, de statut ou de fonction vise indifféremment l homme ou la femme. STATUTS DE LA CROIX-ROUGE VALAIS Dans ces statuts, toute désignation de personne, de statut ou de fonction vise indifféremment l homme ou la femme. Constitution Art.1 Sous le nom «Croix-Rouge Valais»,

Plus en détail

S T A T U T S DE L ASSOCIATION

S T A T U T S DE L ASSOCIATION S T A T U T S DE L ASSOCIATION Organisation faîtière nationale du monde du travail en santé Nationale Dach-Organisation der Arbeitswelt Gesundheit du 12 mai 2005 (Etat le 28 juin 2012) I. Dénomination,

Plus en détail

Conséquences de la loi américaine «Foreign Account Tax Compliance Act (FATCA)» pour les caisses populaires et credit unions

Conséquences de la loi américaine «Foreign Account Tax Compliance Act (FATCA)» pour les caisses populaires et credit unions Conséquences de la loi américaine «Foreign Account Tax Compliance Act (FATCA)» pour les caisses populaires et credit unions Le 4 décembre 2012 Dan Lundenberg, associé Grant Thornton, S.E.N.C.R.L. T +1

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION DU CARNAVAL DES BOLZES

STATUTS DE L ASSOCIATION DU CARNAVAL DES BOLZES STATUTS DE L ASSOCIATION DU CARNAVAL DES BOLZES TITRE PREMIER : Dispositions Générales Art.1. Art.2. Art.3. Art.4. Définition et nom L Association du Carnaval des Bolzes (ACB) est une personne morale de

Plus en détail

GROUPE BANQUE INTERNATIONALE ARABE DE TUNISIE BIAT

GROUPE BANQUE INTERNATIONALE ARABE DE TUNISIE BIAT GROUPE BANQUE INTERNATIONALE ARABE DE TUNISIE BIAT ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 31/12/2012 Groupe BIAT Etats financiers consolidés arrêtés au 31 décembre 2012 Page ~ 2~ BILAN CONSOLIDE ARRETE AU 31 DECEMBRE

Plus en détail

Membres du comité de l Association :

Membres du comité de l Association : ASSOCIATION SUISSE POUR L ENFANCE VOLÉE ET LA MALTRAITANCE DES ORPHELINS (ASO/SWV) STATUTS Membres du comité de l Association : - Dr P.-A. Savary-Camélique : 1202 Genève : Président -Fondateur - Dresse

Plus en détail

Statuts de l Association suisse des traducteurs, terminologues et interprètes

Statuts de l Association suisse des traducteurs, terminologues et interprètes Statuts de l Association suisse des traducteurs, terminologues et interprètes Art. 1 - Définition Titre I - Dispositions générales L Association suisse des traducteurs, terminologues et interprètes (ASTTI)

Plus en détail

Note à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle

Note à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général

Plus en détail

Nouveaux statuts de l Association faîtière suisse pour l animation enfance et jeunesse en milieu ouvert DOJ / AFAJ

Nouveaux statuts de l Association faîtière suisse pour l animation enfance et jeunesse en milieu ouvert DOJ / AFAJ Nouveaux statuts de l Association faîtière suisse pour l animation enfance et jeunesse en milieu ouvert DOJ / AFAJ Selon décision l assemblée des membres le 4 juin 2012 1. Dispositions générales 1.1. Sous

Plus en détail

RÉPONSE DU CONSEIL D'ETAT à l interpellation Amélie Cherbuin Comment soutenir nos ressortissants américains?

RÉPONSE DU CONSEIL D'ETAT à l interpellation Amélie Cherbuin Comment soutenir nos ressortissants américains? AOÛT 2014 13_INT_190 RÉPONSE DU CONSEIL D'ETAT à l interpellation Amélie Cherbuin Comment soutenir nos ressortissants américains? Rappel de l'interpellation Suite aux accords Foreign Account Tax Compliance

Plus en détail

Article 2 Siège L ACS constitue une association au sens du Code civil suisse. Son domicile est au siège de l administration centrale à Berne.

Article 2 Siège L ACS constitue une association au sens du Code civil suisse. Son domicile est au siège de l administration centrale à Berne. I. BUT ET SIÈGE Article 1 But L Automobile Club de Suisse, ACS, Automobil Club der Schweiz, ACS, Automobile Club Svizzero, ACS, fondé à Genève le 6 décembre 1898, a pour but de grouper les automobilistes

Plus en détail

Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité constituée le 23 janvier 1982, à Genève STATUTS

Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité constituée le 23 janvier 1982, à Genève STATUTS EXIT A.D.M.D. Suisse romande Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité constituée le 23 janvier 1982, à Genève STATUTS adoptés le 05.04.2008, le 17.04.2010 et le 31.03.2012 EXIT A.D.M.D. Suisse

Plus en détail

III MEMBRES I BUTS II SIÈGE

III MEMBRES I BUTS II SIÈGE STATUTS Le Collège Suisse des Experts Architectes (CSEA) est une association au sens des articles 60 à 79 du CCS. I BUTS Art. 1 L Association encourage et facilite les contacts entre ses membres. Elle

Plus en détail

Statuts Association Suisse de Physiothérapie

Statuts Association Suisse de Physiothérapie Statuts Association Suisse de Physiothérapie I. Nom, siège et buts de l Association Art. Nom et siège L Association Suisse de Physiothérapie (ci-après physioswiss) est l organisation corporative et professionnelle

Plus en détail

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78)

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) 1 ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) Le Président du gouvernement de la Polynésie française, Sur le rapport

Plus en détail

Fondation Québec Philanthrope (antérieurement Fondation communautaire du grand Québec)

Fondation Québec Philanthrope (antérieurement Fondation communautaire du grand Québec) Fondation Québec Philanthrope (antérieurement Fondation communautaire du grand Québec) États financiers Au 31 décembre 2014 Accompagnés du rapport de l'auditeur indépendant Certification Fiscalité Services-conseils

Plus en détail

Sans cet agrément, il est interdit de pratiquer l assurance, en Suisse ou à partir de la Suisse (art. 87 LSA).

Sans cet agrément, il est interdit de pratiquer l assurance, en Suisse ou à partir de la Suisse (art. 87 LSA). Département fédéral des finances DFF Office fédéral des assurances privées OFAP Conditions d octroi de l agrément pour l exercice de l activité d assurance Institution d assurance sur la vie avec siège

Plus en détail

2) Information : BASIS propose à ses membres : - un service d information juridique, sociale et comptable

2) Information : BASIS propose à ses membres : - un service d information juridique, sociale et comptable statuts de l'association Basis Art. 1 nom : Sous la dénomination «Bureau Arts de la Scène des Indépendants Suisses» (B.A.S.I.S.), il est constitué une association régie par les présents statuts et par

Plus en détail

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures

Plus en détail

Rapport standard analyse des risques/stratégie d audit. Sommaire

Rapport standard analyse des risques/stratégie d audit. Sommaire Projet de mise en consultation du 9 septembre 2003 Circ.-CFB 0 / Annexe 1: Rapport standard analyse des risques/stratégie d audit Rapport standard analyse des risques/stratégie d audit Les sociétés d audit

Plus en détail

AUDIT. Le nouveau droit comptable. Comptes annuels illustratifs. kpmg.ch

AUDIT. Le nouveau droit comptable. Comptes annuels illustratifs. kpmg.ch AUDIT Le nouveau droit comptable Comptes annuels illustratifs kpmg.ch 2 KPMG Le nouveau droit comptable: comptes annuels illustratifs Table des matières Remarques préliminaires et hypothèses 3 Comptes

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION SUISSE DES TATOUEURS PROFESSIONNELS ASTP

STATUTS DE L ASSOCIATION SUISSE DES TATOUEURS PROFESSIONNELS ASTP STATUTS DE L ASSOCIATION SUISSE DES TATOUEURS PROFESSIONNELS ASTP I. Personnalité, siège et but Art. 1 1. L Association Suisse des Tatoueurs Professionnels ASTP (en abrégé ASTP dans le texte ci-dessous)

Plus en détail

INSOS Suisse Statuts 26 juin 2014

INSOS Suisse Statuts 26 juin 2014 INSOS Suisse Statuts 26 juin 204 I. Nom, forme juridique, siège et but Article. Nom, forme juridique INSOS SUISSE est une association d utilité publique au sens des articles 60 ss. CC. Elle est politiquement

Plus en détail

Aperçu des 37 principes directeurs

Aperçu des 37 principes directeurs Département fédéral des finances DFF Administration fédérale des finances AFF Gouvernement d entreprise de la Confédération Aperçu des 37 principes directeurs Principe n o 1 En principe, il convient d

Plus en détail

Monnaie, banques, assurances

Monnaie, banques, assurances Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d

Plus en détail

Niger. Régime général des mutuelles de santé

Niger. Régime général des mutuelles de santé Régime général des mutuelles de santé Loi n 2008-10 du 30 avril 2008 [NB - Loi n 2008-10 du 30 avril 2008 portant régime général des mutuelles de santé en République du ] Titre 1 - Dispositions générales

Plus en détail

ASSOCIATION SUISSE POUR LA QUALITE DANS LES SOINS PALLIATIFS STATUTS. Art.1

ASSOCIATION SUISSE POUR LA QUALITE DANS LES SOINS PALLIATIFS STATUTS. Art.1 ASSOCIATION SUISSE POUR LA QUALITE DANS LES SOINS PALLIATIFS STATUTS I. Nom et siège Art.1 Sous le nom de qualitépalliative, Association suisse pour la qualité dans les soins palliatifs existe une association

Plus en détail

Statuts. de la Chambre de commerce, d industrie et des services de Genève

Statuts. de la Chambre de commerce, d industrie et des services de Genève Statuts de la Chambre de commerce, d industrie et des services de Genève Avril 2010 1 I. DÉNOMINATION, SIÈGE, BUT Article 1 er : Dénomination Il est constitué, sous la dénomination «Chambre de commerce,

Plus en détail

Économie, connaiss.de base Réponse 1. Économie, connaiss.de base Question 1 Affaires bancaires. Économie, connaiss.

Économie, connaiss.de base Réponse 1. Économie, connaiss.de base Question 1 Affaires bancaires. Économie, connaiss. Économie, connaiss.de base Question 1 Économie, connaiss.de base Réponse 1 Quels sont les six types de banques les plus importants? les grandes banques les banques cantonales les banques régionales/caisses

Plus en détail

Risques juridiques (accrus) dans le cadre des activités financières

Risques juridiques (accrus) dans le cadre des activités financières Point de Presse, 22 octobre 2010, Genève Dr Urs Zulauf General Counsel Membre de la direction Risques juridiques (accrus) dans le cadre des activités financières transfrontières Mesdames, Messieurs, Lors

Plus en détail

Nom de l entreprise. Branche. Personne à contacter. N de téléphone. Adresse Internet. Banque / Poste IBAN. Mode du paiement

Nom de l entreprise. Branche. Personne à contacter. N de téléphone. Adresse Internet. Banque / Poste IBAN. Mode du paiement Données sur l examen du risque Assurance de la responsabilité civile professionnelle des conseillers, fiduciaires, fournisseurs de prestations en matière de révision et autres prestataires de services

Plus en détail

Statuts. La désignation des personnes s entend aussi bien au féminin qu au masculin.

Statuts. La désignation des personnes s entend aussi bien au féminin qu au masculin. Statuts La désignation des personnes s entend aussi bien au féminin qu au masculin. Nom et siège 1. La Fédération romande des consommateurs (FRC) est une association à but non lucratif au sens des articles

Plus en détail

CENTRE DE FORMATION. Diplôme Compliance Officer Spécialiste Marchés Financiers

CENTRE DE FORMATION. Diplôme Compliance Officer Spécialiste Marchés Financiers CENTRE DE FORMATION Diplôme Compliance Officer Spécialiste Marchés Financiers Nos formations à Genève Diplôme Compliance Officer Spécialiste Marchés Financiers Objectifs La volonté du Centre de Formation

Plus en détail

Statuts de la Fédération suisse pour l élevage des petits animaux (SGK)

Statuts de la Fédération suisse pour l élevage des petits animaux (SGK) Statuts de la Fédération suisse pour l élevage des petits animaux (SGK) I. Nom, for et but Art. 1 Nom et for 1 La Fédération suisse pour l élevage des petits animaux (SGK) est une fédération neutre au

Plus en détail

Préavis No 22-2006 au Conseil communal

Préavis No 22-2006 au Conseil communal VILLE DE PULLY Municipalité Direction Administration générale, finances et affaires culturelles Préavis No 22-2006 au Conseil communal Fixation du plafond d endettement et du plafond pour les cautionnements

Plus en détail

N 1619 ASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI

N 1619 ASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI Document mis en distribution le 21 avril 2009 N 1619 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 15 avril 2009. PROJET

Plus en détail

Lignes directrices à l intention des praticiens

Lignes directrices à l intention des praticiens Janvier 2005 Lignes directrices à l intention des praticiens Visiter notre site Web : www.cga-pdnet.org/fr-ca Le praticien exerçant seul ou au sein d un petit cabinet et l indépendance Le Code des principes

Plus en détail

FORMULAIRE D'OUVERTURE DE COMPTE FOREX - COMPTE INDIVIDUEL

FORMULAIRE D'OUVERTURE DE COMPTE FOREX - COMPTE INDIVIDUEL FORMULAIRE D'OUVERTURE DE COMPTE Instructions d ouverture de compte Pour finaliser votre demande d ouverture, veuillez suivre ces instructions : 1 Lisez ce Formulaire d Ouverture de Compte, les Conditions

Plus en détail

IFPI SUISSE. Statuts. Groupe national suisse de l IFPI, International Federation of the Phonographic Industry

IFPI SUISSE. Statuts. Groupe national suisse de l IFPI, International Federation of the Phonographic Industry IFPI SUISSE Statuts Groupe national suisse de l IFPI, International Federation of the Phonographic Industry Version du 8..04 Table des matières I. Dispositions générales... Art. Dénomination et siège...

Plus en détail

STATUTS TITRE I OBJET DÉNOMINATION SIÈGE DURÉE ARTICLE 1

STATUTS TITRE I OBJET DÉNOMINATION SIÈGE DURÉE ARTICLE 1 STATUTS Edition 03 du 13 décembre 2009 _ Assemblée générale extraordinaire du 16 janvier 2010 ayant pour objet le changement des statuts et règlement intérieur. Titre de l Association : TENNIS CLUB DU

Plus en détail

Fonds d assurance responsabilité professionnelle de l Association des courtiers et agents immobiliers du Québec RAPPORT ANNUEL 2006

Fonds d assurance responsabilité professionnelle de l Association des courtiers et agents immobiliers du Québec RAPPORT ANNUEL 2006 Fonds d assurance responsabilité professionnelle de l Association des courtiers et agents immobiliers du Québec RAPPORT ANNUEL 2006 Table des matières Mission 1 Message du président du conseil 2 Message

Plus en détail

TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES

TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers Rapport de l'auditeur indépendant 1 États financiers Bilan 3 État des résultats 4 État de l'évolution de l actif net 6 État des flux de

Plus en détail

Exercice 2005. Mesdames, Messieurs,

Exercice 2005. Mesdames, Messieurs, SQLI Société anonyme à Directoire et Conseil de surveillance Au capital social de 1.332.339,15Euros Siège social : Immeuble Le Pressenssé 268, avenue du Président Wilson 93200 La Plaine Saint-Denis RCS

Plus en détail

Pratique de l Autorité de contrôle en matière de lutte contre le blanchiment d argent relative à l art. 2, al. 3, LBA

Pratique de l Autorité de contrôle en matière de lutte contre le blanchiment d argent relative à l art. 2, al. 3, LBA Département fédéral des finances DFF Administration fédérale des finances AFF Autorité de contrôle en matière de lutte contre le blanchiment d argent Pratique de l Autorité de contrôle en matière de lutte

Plus en détail

FASMED FEDERATION DES ASSOCIATIONS SUISSES DU COMMERCE ET DE L INDUSTRIE DE LA TECHNOLOGIE MEDICALE STATUTS

FASMED FEDERATION DES ASSOCIATIONS SUISSES DU COMMERCE ET DE L INDUSTRIE DE LA TECHNOLOGIE MEDICALE STATUTS FASMED FEDERATION DES ASSOCIATIONS SUISSES DU COMMERCE ET DE L INDUSTRIE DE LA TECHNOLOGIE MEDICALE STATUTS I. Nom, siège et but Nom Art. 1 Sous le nom de "FASMED" "Dachverband der schweizerischen Handels-

Plus en détail

Certificat de formation continue en. Compliance Management. janvier à décembre 2012. www.compliance-management.ch

Certificat de formation continue en. Compliance Management. janvier à décembre 2012. www.compliance-management.ch Certificat de formation continue en Compliance Management janvier à décembre 2012 www.compliance-management.ch À l initiative de la Fondation Genève Place Financière, l Université de Genève offre depuis

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION MOBSYA. Art. 3 Le siège de l Association est à Lausanne. Sa durée est illimitée.

STATUTS DE L ASSOCIATION MOBSYA. Art. 3 Le siège de l Association est à Lausanne. Sa durée est illimitée. STATUTS DE L ASSOCIATION MOBSYA Forme juridique, but et siège Art. 1 Alinéa 1 Sous le nom d association Mobsya est créée une association à but non lucratif régie par les présents statuts et par les articles

Plus en détail

pour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire

pour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire GUIDE PRATIQUE pour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire Edition du 18 juin 2015 But Le présent guide pratique est un simple instrument de

Plus en détail

STATUTS DE L ASMAV. Association suisse des médecins assistants et chefs de clinique section vaudoise

STATUTS DE L ASMAV. Association suisse des médecins assistants et chefs de clinique section vaudoise STATUTS DE L ASMAV Association suisse des médecins assistants et chefs de clinique section vaudoise I.- NOM, SIEGE, BUT ET DUREE Article 1 er : Nom L Association suisse des médecins assistants et chefs

Plus en détail

LOI 614.05 du 21 novembre 2006. sur la Cour des comptes LE GRAND CONSEIL DU CANTON DE VAUD

LOI 614.05 du 21 novembre 2006. sur la Cour des comptes LE GRAND CONSEIL DU CANTON DE VAUD LOI 614.05 du 21 novembre 2006 sur la Cour des comptes LE GRAND CONSEIL DU CANTON DE VAUD vu l article 166 de la Constitution du Canton de Vaud du 14 avril 2003 vu le projet de loi présenté par le Conseil

Plus en détail

A S T J ASSOCIATION SUISSE DES TRADUCTEURS-JURÉS STATUTS TITRE I. Article 1 er

A S T J ASSOCIATION SUISSE DES TRADUCTEURS-JURÉS STATUTS TITRE I. Article 1 er A S T J ASSOCIATION SUISSE DES TRADUCTEURS-JURÉS STATUTS TITRE I DÉNOMINATION - SIÈGE - DURÉE - BUT Article 1 er Sous le nom d «ASSOCIATION SUISSE DES TRADUCTEURS-JURÉS», il a été constitué une association,

Plus en détail

Payer, épargner, prévenir

Payer, épargner, prévenir Payer, épargner, prévenir 1 sommaire Compte courant et internet-banking page 2 Compte d'épargne page 3 TerZo (pilier 3a) page 7 Compte de libre passage page 10 Part ordinaire page 12 1 Compte courant et

Plus en détail

COMPTES 2007-2008. 01.10.2007 au 31.12.2008

COMPTES 2007-2008. 01.10.2007 au 31.12.2008 COMPTES 2007-2008 01.10.2007 au 31.12.2008 TABLE DES MATIERES PREAMBULE I COMPTES DE FONCTIONNEMENT ET COMMENTAIRES RECAPITULATION PAR NATURE ET RESULTAT 1 BILAN 4 ANNEXE AUX COMPTES 5 1 CHARGES 1000 Personnel

Plus en détail

Statuts. Etat au 1 er juillet 2015. Fédération Suisse des Psychologues

Statuts. Etat au 1 er juillet 2015. Fédération Suisse des Psychologues Statuts Etat au 1 er juillet 2015 Fédération Suisse des Psychologues Chapitres I. Nom et siège 4 II. Buts 5 III. Membres 6 IV. Associations affiliées 8 V. Organes 9 VI. Finances 19 VII. Publications 20

Plus en détail

FONDATION QUÉBÉCOISE POUR LE PROGRÈS DE LA MÉDECINE INTERNE

FONDATION QUÉBÉCOISE POUR LE PROGRÈS DE LA MÉDECINE INTERNE FONDATION QUÉBÉCOISE POUR LE PROGRÈS DE LA MÉDECINE INTERNE ÉTATS FINANCIERS 2 RAPPORT DE L'AUDITEUR INDÉPENDANT À l'attention des membres de Fondation Québécoise pour le progrès de la médecine interne

Plus en détail

Statuts de l association Amis du Château de la Grande Riedera ACGR

Statuts de l association Amis du Château de la Grande Riedera ACGR Statuts de l association Amis du Château de la Grande Riedera ACGR ACGR case postale CH-7 Le Mouret / FR/ Suisse La forme masculine, utilisée dans les présents statuts, s applique par analogie aux personnes

Plus en détail

Statuts. Association suisse des Diffuseurs, Éditeurs et Libraires (ASDEL) adoptés le 16 juin 2003 TABLE DES MATIÈRES

Statuts. Association suisse des Diffuseurs, Éditeurs et Libraires (ASDEL) adoptés le 16 juin 2003 TABLE DES MATIÈRES Association suisse des Diffuseurs, Éditeurs et Libraires (ASDEL) Statuts adoptés le 16 juin 2003 TABLE DES MATIÈRES Préambule.............................................. 2 I Désignation, siège et buts..............................

Plus en détail

Règlement J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (SaraFlip)

Règlement J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (SaraFlip) Règlement J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (SaraFlip) Mars 2014 Règlementt Le présent règlement se fonde sur l art. 2 des statuts de J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (désignée ci-après

Plus en détail

Statuts Association Pro Senectute Genève

Statuts Association Pro Senectute Genève . Statuts Association Pro Senectute Genève Préambule Le présent document, les termes employés pour désigner des personnes sont pris au sens générique ; ils ont à la fois valeur d un féminin et d un masculin.

Plus en détail

STATUTS DE L UNION TECHNIQUE DE LA MUTUALITE MALIENNE

STATUTS DE L UNION TECHNIQUE DE LA MUTUALITE MALIENNE STATUTS DE L UNION TECHNIQUE DE LA MUTUALITE MALIENNE TITRE I. DISPOSITIONS GENERALES CHAPITRE 1 ER : FORMATION ET OBJET DE LA MUTUELLE Article 1 er : Il est créé une Union Nationale de groupements mutualistes

Plus en détail

Problématiques cross-border : comment démarcher un client fiscalisé et comment communiquer avec lui?

Problématiques cross-border : comment démarcher un client fiscalisé et comment communiquer avec lui? 13 décembre 2012 Problématiques cross-border : comment démarcher un client fiscalisé et comment communiquer avec lui? Conférence Academy & Finance du 13 décembre 2012 Alexandre de Senarclens ads@oher.ch

Plus en détail

Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes)

Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes) 1 Commune municipale Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes) I. GENERALITES 1. Bases légales, prescriptions

Plus en détail

Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration

Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration joint au rapport de gestion rendant compte des conditions de préparation et d organisation des travaux du Conseil ainsi que des procédures de

Plus en détail

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale CSSS/14/118 DÉLIBÉRATION N 14/063 DU 2 SEPTEMBRE 2014 RELATIVE À LA COMMUNICATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL PAR L

Plus en détail

Table des matières. Rapport annuel ASBCEF 2012

Table des matières. Rapport annuel ASBCEF 2012 2 Table des matières 1. L Association Page 3 1.1. Comité directeur de l ASBCEF Page 3 1.2. Membres de l ASBCEF Page 3 1.3. Secrétariat Page 3 1.4. Présentation d une branche économique Page 4 2. Rapport

Plus en détail

Textes légaux essentiels pour les associations (sections et groupes sportifs)

Textes légaux essentiels pour les associations (sections et groupes sportifs) Textes légaux essentiels pour les associations (sections et groupes sportifs) Le droit associatif est basé sur le Code civil suisse (CC). Aux articles 60 et suivants, se trouvent toutes les dispositions

Plus en détail

Statuts de la Coopérative suisse des artistes interpretes SIG

Statuts de la Coopérative suisse des artistes interpretes SIG Coopérative suisse des artistes interpretes SIG avenue de la Gare 2, CH- 2000 Neuchâtel, Tél. +41 77 251 97 96 Schweizerische Interpretengenossenschaft SIG Kasernenstrasse 15, CH- 8004 Zürich Tel +41 43

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION SUISSE DES AMIS DE CAUX INITIATIVES ET CHANGEMENT

STATUTS DE L ASSOCIATION SUISSE DES AMIS DE CAUX INITIATIVES ET CHANGEMENT STATUTS DE L ASSOCIATION SUISSE DES AMIS DE CAUX INITIATIVES ET CHANGEMENT 1 I. NOM FORME JURIDIQUE - SIEGE Article 1 Sous le nom de «Les Amis de Caux Initiatives et Changement» est constituée une association

Plus en détail

Fonds de compensation de l assurance-vieillesse et survivants, de l assurance-invalidité et du régime des allocations pour perte de gain

Fonds de compensation de l assurance-vieillesse et survivants, de l assurance-invalidité et du régime des allocations pour perte de gain Fonds de compensation de l assurance-vieillesse et survivants, de l assurance-invalidité et du régime des allocations pour perte de gain Approuvés par le Conseil fédéral le 10 juin 2015 Bilan de l AVS

Plus en détail

NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER

NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER REMARQUES PRELIMINAIRES Les ménages n ont pas d obligation de tenir une comptabilité. En revanche, d une part, certaines situations liées à un état de dépendance

Plus en détail

POLIT FLASH. Recommandation pour la session d été des Chambres fédérales. du 1 au 19 juin 2015

POLIT FLASH. Recommandation pour la session d été des Chambres fédérales. du 1 au 19 juin 2015 POLIT FLASH Recommandation pour la session d été des Chambres fédérales du 1 au 19 juin 2015 Conseillère nationale Daniela Schneeberger Présidente FIDUCIARE SUISSE TABLE DES MATIERES Ordre chronologique

Plus en détail