Améliorer l enseignement de la relation médecin- patient aux internes en imagerie médicale : étude nationale. Nathalie Faye, Rokhaya Thiam
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- Stanislas Dubé
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1 Améliorer l enseignement de la relation médecin- patient aux internes en imagerie médicale : étude nationale Nathalie Faye, Rokhaya Thiam
2 TABLE DES MATIERES RESUME INTRODUCTION Objectifs de l étude Justification de l étude METHODOLOGIE Questionnaire Analyse des données RESULTATS DISCUSSION REFERENCES ANNEXE
3 Résumé Contexte : le rôle du radiologue dans la prise en charge du patient a évolué et l interaction entre les deux est de plus en plus fréquente. Les outils utilisés pour l enseignement des habiletés de communication sont souvent destinés aux cliniciens et peu adaptés aux radiologues. Il n existe pas actuellement de système d évaluation de ces compétences non techniques en imagerie médicale. But : connaître l avis des internes en imagerie médicale sur leur formation dans le domaine de la relation médecin-patient pour améliorer cet enseignement. Méthodes : un questionnaire demande aux internes en imagerie médicale d évaluer l enseignement de la relation médecin-patient dans leur spécialité. Il leur demande aussi leur expérience dans ce domaine et comment améliorer cet enseignement. Résultats : dans cette étude nationale, la formation dans le domaine de la relation radiologuepatient est jugée insuffisante et les moyens pédagogiques inadaptés. Pour améliorer leur formation, les internes souhaiteraient plutôt des mises en situation théoriques ou pratiques. Ils ne sont pas demandeurs de la mise en place d un système d évaluation. Conclusion : l amélioration de l enseignement de la relation médecin-patient aux internes en imagerie médicale paraît nécessaire et nécessite une adaptation des moyens pédagogiques utilisés. Mots clés : habiletés de communication, habiletés non techniques, relation médecin-patient, imagerie médicale, enseignement. 3
4 1. Introduction 1.1 Objectifs de l étude L exigence déontologique qui s applique à tout médecin enseignant est de promouvoir la formation de «bons médecins» dans sa spécialité et donc de se demander quelles qualités importantes il doit leur transmettre. Dans la définition proposée par l ACGME (Accreditation Council for Graduate Medical Education) il y a six compétences et dans celle de l European Core Curriculum il y en a neuf dont les capacités de communication 1. Cette étude a permis de mener une enquête nationale auprès des internes en imagerie médicale avec un triple objectif : 1- Dans un premier temps connaître de façon objective les attentes et l expérience des internes dans le domaine de la relation radiologue-patient, de l enseignement à la pratique mais aussi sur leur perception de l environnement et sur la façon dont les informations sur les examens et les résultats devraient être délivrés au patient. 2- À partir de l analyse quantitative et qualitative des réponses au questionnaire, proposer des pistes et modifications sur comment améliorer l enseignement des compétences non techniques de communication et donc la prise en charge des patients. 3- Publier et diffuser les résultats auprès des instances en imagerie médicale (SFR ou Société Française de Radiologie et CERF ou Collège des Enseignants de Radiologie de France). 1.2 Justification de l étude La médecine moderne nécessite le plus souvent des examens complémentaires, notamment d imagerie que ce soit dans le cadre du dépistage, du diagnostic d une pathologie, de l évaluation thérapeutique ou des examens réalisés en urgence. Tous ces examens peuvent 4
5 être source de stress pour les patients en raison de l acte lui-même ou surtout du résultat. Ce qui implique que le radiologue est de plus en plus en interaction avec le patient pour lui expliquer le déroulement d un examen, lui donner les résultats et parfois même lui annoncer une mauvaise nouvelle. Cette tâche est d autant plus difficile pour lui que, la plupart du temps, il n a reçu aucune formation spécifique et qu il ne dispose pas, contrairement au médecin référent, de la «carte thérapeutique». De plus la relation est souvent brève, voire unique et il ne sait pas toujours ce qui a déjà été dit au patient sur sa maladie. Le risque est donc de commettre des erreurs, ou d adopter un comportement d évitement ce qui peut avoir un effet délétère. Le rôle du radiologue dans la prise en charge du patient est aussi particulier car il réalise un examen à la demande d un autre médecin et se place dans une relation complexe «triangulaire». D une part, il doit se positionner par rapport au médecin prescripteur qui veut parfois garder l exclusivité de la communication avec le patient et doit s assurer d avoir le même discours ; d autre part, il doit se positionner par rapport au patient qui ne connaît pas toujours le rôle exact de ce spécialiste. Les recommandations établies dans la littérature concernant la relation médecin-malade, sont plus spécifiquement axées sur la relation avec les cliniciens 2,3 ou les oncologues 4 6 et la discussion de schémas thérapeutiques avec le patient. Leur inadéquation avec la pratique de la radiologie nécessite le développement d outils spécifiques visant à améliorer les compétences de communication des radiologues. Actuellement parmi les projets portant sur l amélioration de l enseignement aux internes en imagerie médicale, peu s intéressent aux capacités de communication avec le patient. Depuis presque 10 ans, je me suis particulièrement investie dans l étude de la relation médecin-malade et je me suis rendue compte qu il y avait une demande légitime croissante 5
6 des patients de connaître rapidement leurs résultats radiologiques et donc en parallèle un besoin croissant en formation à la communication pour les radiologues. A ma connaissance, il n'existe pas, en France, d'enquête publiée portant sur ces aspects spécifiques. 2. Méthodologie 2.1 Questionnaire Nous avons développé un questionnaire pour connaître de façon objective l avis des internes en imagerie médicale sur l enseignement de la communication avec le patient. À partir de l analyse des réponses au questionnaire, nous pourrons apporter des pistes pour améliorer leur formation dans ce domaine. Objectif du questionnaire : ce questionnaire a pour but d évaluer les attentes et les besoins des étudiants en ce qui concerne l enseignement des qualités «non techniques» de communication nécessaires à la rencontre avec le patient pour lui expliquer le déroulement d un examen et surtout pour lui délivrer des résultats. Méthode d élaboration du questionnaire : élaboration d un questionnaire tenant compte des spécificités de la spécialité imagerie médicale et de l objectif : avoir une connaissance des attentes des internes et les intégrer dans leur formation. Les items sont choisis à partir de l avis des internes en stage, d experts radiologues notamment en oncologie et en sénologie et des publications sur le sujet de l amélioration de la prise en charge des patients et l amélioration de la relation médecin-malade en imagerie médicale. Mode de distribution : le questionnaire a été mis sur le site de l UNIR (Union Nationale des Internes en Radiologie) durant le mois de mai 2014 et les internes ont été informés de cette 6
7 enquête par mail ; les questionnaires étaient complétés directement sur le site et les réponses ont été récupérées à la fin de l enquête par l investigatrice (NF). Items (annexe 1) : les questions posées portent sur les besoins (cours, enseignements dirigés, mises en situation théorique ou pratique, évaluation), l expérience (situations de rencontre avec le patient) et la satisfaction des internes (cursus, moyens pédagogiques) par rapport à leur formation à la communication avec le patient. 2.2 Analyse des données L analyse a été d une part qualitative pour les questions à réponse libre qui concernent des thèmes variés comme les attentes des étudiants avant les formations sur la relation radiologuepatient, les points qu ils ont trouvé positifs ou négatifs durant leur cursus de spécialité et leur pratique personnelle dans le domaine. D autre part elle a été quantitative avec la cotation des réponses selon un score de 0, 4, 6 ou 10 points. Les variables qualitatives sont exprimées en fréquences et pourcentages. Les variables quantitatives sont exprimées en moyennes pondérées et notées sur 10. Un score élevé correspond à un besoin en formation qui est présent. 3. Résultats 48 internes ont complété le questionnaire. Les résultats sont résumés dans le tableau 1. Le cursus de spécialité était considéré comme insuffisant (moyenne=5.6) (figure 1) et les moyens pédagogiques mis en œuvre comme inadaptés (moyenne= 5.6) (figure 2). 1 interne (2%) n a pas répondu à ces deux questions. 9 internes (19%) ont assisté à la formation dédiée à la relation radiologue-patient dispensée dans le module oncologie et l ont jugée suffisante (moyenne= 4.7). 7
8 2 internes (4%) n ont pas répondu à cette question. 24 internes (50%) ont assisté à la formation dédiée à la relation radiologue-patient dispensée dans le module professionnel niveau 1 et l ont jugée suffisante (moyenne=4.6). 2 internes (4%) n ont pas répondu à cette question. Les aspects intéressants durant leur cursus étaient représentés par les stages pour 26 d entre eux (54%) et les remplacements pour 6 d entre eux (12%). 17 internes (35%) n ont pas répondu à cette question. Les aspects inintéressants durant leur cursus correspondaient au défaut de formation dans le domaine de la relation radiologue-patient pour 15 internes (31%) et l absence de contact avec le patient pour 16 d entre eux (33%). 17 internes (35%) n ont pas répondu à cette question. L amélioration de la formation nécessiterait plutôt des cours magistraux pour 3 internes (6%), des enseignements dirigés pour 6 internes (12%), des mises en situation théoriques pour 14 internes (29%), des mises en situation pratiques pour 22 internes (46%) et autre pour un interne (2%) (figure 3). 11 internes (23%) n ont pas répondu à cette question. 29 internes (60%) ne désirent pas d évaluation dans le domaine de la relation radiologuepatient. 1 seul interne (2%) n a pas répondu à cette question. Les internes rencontrent le patient avant l examen en cas de demande non explicite pour 20 internes (42%), en cas de problème médical spécifique (notamment allergie ou insuffisance rénale) pour 17 d entre eux (35%) et en radiologie interventionnelle pour 11 d entre eux (23%). 26 internes (54%) rencontrent le patient après l examen si ce dernier en fait la demande, 5 internes (10%) rencontrent systématiquement le patient en exercice libéral, 5 internes en 8
9 radiologie interventionnelle (10%), 4 internes après un examen réalisé en urgence (8%) et 3 internes après une IRM (6%). 5 internes (10%) n ont pas répondu à ces deux questions. 31 internes (64%) sont d accord pour la communication des résultats au patient par le radiologue que l examen soit normal ou anormal, 1 interne uniquement si l examen est normal (2%) et 1 interne (2%) uniquement si l examen est anormal. 15 internes (32%) n ont pas répondu à cette question. Les résultats peuvent être communiqués directement en salle après une échographie pour 37 internes (77%), dans un bureau ou salle dédiés après TDM ou IRM pour 16 internes (33%). 15 d entre eux (31%) précisent tout de même qu en pratique il est difficile d avoir une pièce dédiée et que la communication des résultats se fait dans un endroit inadapté (dans le couloir, dans la cabine ou dans la salle de préparation). 5 internes (10%) n ont pas répondu à cette question. Quand l examen est anormal 23 internes (48%) expliquent au patient la nécessité de revoir le médecin référent pour discuter les résultats de l examen radiologique. Les sous spécialités en imagerie médicale représentées dans cette étude correspondaient à l imagerie digestive pour 7 internes (14%), l imagerie de la femme pour 7 internes (14%), l ostéo articulaire pour 6 internes (12%), la neuroradiologie pour 5 internes (10%), l imagerie cardiovasculaire pour 3 internes (6%), la radiologie générale pour 1 interne (2%). 15 internes n ont pas répondu à cette question (31%) et 4 internes ne savent pas encore quelle spécialité choisir (8%). 18 internes ayant répondu au questionnaire exercent en ile de France (37%) et 8 internes n ont pas répondu à cette question (17%). 9
10 Amélioration Evaluation Rencontre patient Rencontre patient Communication formation avant examen après examen résultats N (%) Cours magistraux : Non : Radiologie interventionnelle : A sa demande : Radiologue : normal ou anormal 3 (6%) 29 (60%) 11 (23%) 26 (54%) 31 (64%) Enseignement dirigé : Oui : Problème spécifique : NA : Radiologue : anormal 6 (12%) 18 (38%) 17 (35%) 5 (10%) 1 (2%) Situation théorique : NA : Demande non explicite : Radiologue : normal 14 (29%) 1 (2%) 20 (42%) 1 (2%) Situation pratique : NA : NA : 22 (46%) 5 (10%) 15 (32%) NA : 11 (23%) Tableau 1. Résumé des résultats Ce tableau résume les principales réponses des internes en imagerie médicale au questionnaire sur la relation radiologue-patient. 48 étudiants ont complété le questionnaire. N= nombre d étudiants. NA= non assessable ou absence de réponse. Les résultats sont exprimés en fréquences et pourcentages. 10
11 Cursus Très insuffisant Insuffisant Suffisant Très suffisant NA Figure 1. Cursus de spécialité en imagerie médicale Ce schéma représente la répartition des réponses des 48 internes à la question sur le cursus de spécialité en imagerie médicale. 26 d entre eux ont trouvé le cursus insuffisant ou très insuffisant pour la formation à la relation radiologue-patient. 1 interne n a pas répondu à cette question. NA= non assessable ou absence de réponse. 11
12 Moyens pédagogiques Très inadapté Inadapté Adapté Très adapté NA Figure 2. Moyens pédagogiques Ce schéma illustre les réponses des 48 internes à la question sur les moyens pédagogiques mis en œuvre durant leur cursus de spécialité. Les moyens pédagogiques étaient considérés comme inadaptés ou très inadaptés pour 28 d entre eux. 1 interne n a pas répondu à cette question. NA= non assessable ou absence de réponse. 12
13 Amélioration formation Cours magistraux Enseignements dirigés Situation théorique 14 Situation pratique Autres 22 NA Figure 3. Amélioration de la formation à la relation radiologue-patient Ce schéma illustre la réponse des 48 internes à la question sur comment améliorer la formation à la relation radiologue-patient. 14 internes souhaiteraient des mises en situation théoriques et 22 internes des mises en situation pratiques. 11 internes n ont pas répondu à cette question. NA=non assessable ou absence de réponse. 13
14 4. Discussion La question de l interaction entre le radiologue et le patient est discutée dans la littérature depuis les années 60. Mais la spécificité de cette relation qui fait intervenir trois protagonistes : à savoir le radiologue, le patient et le médecin prescripteur de l examen radiologique explique que cette question reste encore d actualité. Les résultats de cette enquête réalisée auprès des internes en imagerie médicale montrent aussi qu il y a un besoin en formation spécifique dans ce domaine. Dans la littérature nous avons identifié trois thèmes principaux dans le domaine de la relation radiologue-patient : la spécificité du rôle du radiologue dans l équipe médicale, la demande des patients notamment en ce qui concerne la communication de leurs résultats, l enseignement aux radiologues et aux internes en imagerie médicale de la communication avec le patient. Spécificité du rôle du radiologue : l imagerie médicale est devenue incontournable dans la médecine moderne et le radiologue intervient à chaque étape que ce soit au niveau du dépistage, du diagnostic ou de la surveillance thérapeutique. Dans les années 60 7, les médecins prescripteurs considéraient que les résultats devaient leur être communiqués directement et que le radiologue n avait pas à établir de relation privilégiée avec le patient. Le radiologue n était pas considéré comme un consultant à part entière mais comme un prestataire du médecin prescripteur. Dès 1977 Berlin s interrogeait sur le rôle du radiologue dans cette relation complexe entre le médecin demandeur de l examen radiologique et le patient : est ce que le radiologue devait être considéré comme le «doctor s doctor» ou comme le «patient s doctor»? 8. 14
15 Le dépistage en mammographie a ouvert la voie à l interaction directe du radiologue avec la patiente pour la communication des résultats en raison de l absence de médecin prescripteur et les résultats dans la littérature sont positifs 9. Le défaut ou l absence de communication, constitue même une des causes les plus fréquentes de procès aux Etats Unis intentés par les patients contre les radiologues 10. Le développement de la mammographie, de l échographie et de la radiologie interventionnelle a aussi modifié la vision de la place du radiologue dans l équipe médicale et explique qu il soit de plus en plus en interaction directe avec le patient. Cependant les radiologues et surtout les cliniciens restent encore réticents à la communication directe des résultats aux patients surtout si l examen est anormal 11. Ainsi l étude de Levitsky et al. 12 a montré que 89% des radiologues sont d accord pour donner les résultats directement au patient si l examen est normal (76% des cliniciens sont d accord pour qu il le fasse) contre 33% si l examen est anormal (28% des cliniciens sont d accord pour qu il le fasse). Dans l étude de Bassett et al. 13, 85% des cliniciens sont d accord pour que le radiologue communique les résultats directement au patient si l examen est normal contre 58% si l examen est anormal. Le radiologue est le mieux placé pour connaître les indications, les limites, les risques et interpréter les images par rapport au clinicien 14 mais il exprime d avantage le sentiment d être moins bien formé à la communication par rapport aux autres praticiens 15. Pourtant l imagerie médicale s oriente de plus en plus vers une division en sous spécialités et la participation des radiologues en réunion de concertation multi disciplinaire leur permet de connaître aussi bien les modalités de prise en charge thérapeutique que le médecin référent. Dans notre étude nous avons observé que 54% des internes souhaitent rencontrer le patient et lui communiquer les résultats que l examen soit normal ou anormal. Mais ils reconnaissent à 54% que leur formation dans le domaine est insuffisante ou très insuffisante et à 58% que les moyens pédagogiques mis en œuvre durant leur cursus sont inadaptés ou très inadaptés. 15
16 Demande des patients : il existe encore une confusion pour les patients sur le rôle exact du radiologue dans l équipe médicale. Ainsi plusieurs auteurs montrent que les patients ne savent pas toujours ce qu est exactement un radiologue et notamment qu il s agit d un médecin (56% seulement des patients répondent correctement dans l étude de Pahade et al. 16 ) ; et quand ils le savent, ils pensent tout de même que l interprétation des images est faite par le médecin demandeur de l examen 17. Cela peut expliquer en pratique que les patients ne demandent pas les résultats de leur examen directement au radiologue qui l a réalisé. Peu de patients souhaitent rencontrer le radiologue avant l examen (64% répondent non dans l enquête de Ollivier et al. 18 en 2009). Dans notre étude, les internes rencontrent le patient avant l examen uniquement dans des cas particuliers comme la radiologie interventionnelle ou en cas de problème (allergie, insuffisance rénale ou prescription non explicite). Par contre la plupart des patients souhaitent le rencontrer après l examen (77% répondent oui dans la même enquête de Ollivier et al.) pour connaître leurs résultats (86% des cas). Les actes d imagerie sont anxiogènes pour les patients (51% des patients sont inquiets dans les jours précédents un examen 18 ) et le fait d avoir un entretien avec le radiologue permet de diminuer l anxiété notamment en radiologie interventionnelle (23% des internes rencontrent le patient avant un acte de radiologie interventionnelle notamment pour le rassurer et lui expliquer la procédure) 19. L anxiété est aussi expliquée par la crainte des résultats (76% des cas pour Ollivier et al. 18 ). Les patients souhaitent donc connaître leurs résultats le plus rapidement possible. Le délai d attente jugé comme acceptable pour 95% des patients dans l étude de Basu et al. 20 était de 2 heures après la réalisation de l examen. Ils préfèrent donc que les résultats leur soient communiqués directement par le radiologue que l examen soit normal (92%) ou anormal (87%)
17 Ils espèrent ainsi selon Ollivier et al. 18 : «être rassurés et ne pas attendre les résultats, avoir des résultats préliminaires, savoir s il y a un problème». Ces réponses exprimées par les patients montrent qu ils n attendent pas des explications détaillées et que la communication des résultats par le radiologue peut constituer une première information qui pourra être complétée par le médecin prescripteur. D ailleurs les internes interrogés précisent que quand l examen est anormal, ils insistent auprès du patient pour qu il refasse le point avec le médecin référent. L entretien avec le patient dans les suites d un examen d imagerie constitue actuellement un critère de qualité de prise en charge pour 90% des patients dans l article de Pahade et al. 16. Un des freins à la généralisation de la consultation entre le radiologue et le patient est du à l organisation actuelle des services notamment en milieu hospitalier ; en effet cette consultation doit s intégrer dans un planning de plus en plus chargé et dans des locaux pas toujours adapté. Les internes dans notre étude ont souligné ces deux limites. Ils trouvent que la rencontre avec le patient est trop rare car la charge de travail ne leur permet pas de voir le patient de façon systématique. Ils se contentent donc de voir les patients qui le demandent explicitement surtout dans les services hospitaliers. Ils savent aussi que les résultats doivent être communiqués dans un lieu dédié après un scanner ou une IRM mais 31% d entre eux ont précisé qu en pratique ce n est souvent pas le cas car les locaux ne sont pas adaptés. Il est donc important que toute l équipe (du personnel d accueil au chef de service) soit motivée par cette problématique et que le service d imagerie médicale soit organisé autour du patient (patient centered practice 18 ). Enseignement de la relation radiologue-patient : dans cette étude, les internes estiment que leur formation dans le domaine de la relation avec le patient est insuffisante et que les moyens pédagogiques utilisés sont inadaptés. 17
18 En effet le cursus de spécialité en imagerie médicale est constitué de cours magistraux qui se prêtent mal à ce type d enseignement d habiletés non techniques. De plus, les formations dédiées à l interaction avec le patient sont nationales, se déroulent sur Paris et uniquement tous les trois ans pour le module oncologie ; l accès à ces enseignements est donc limité. Seul 9 internes (19%) ont assisté à la formation dispensée dans le module oncologie et 24 internes (50%) à celle dispensée dans le module professionnel niveau 1. Pour améliorer leur formation, les internes qui trouvent les moyens pédagogiques inadaptés, souhaiteraient à 43% plutôt des mises en situation théoriques (avec des jeux de rôle ou des patients simulés) ce qui n existe pas actuellement dans le cursus d imagerie médicale mais qui est utilisé dans d autres spécialités ou d autres établissements 22 ; les 2 groupes d internes souhaiteraient aussi d avantage de mises en situation pratiques à 46% car ils trouvent que le contact avec le patient est trop rare en CHU (vacation sous la responsabilité d un senior ou trop chargée). Les aspects qu ils ont jugé les plus intéressants dans leur cursus correspondaient à des situations pratiques (stages et remplacements) qui leur permettaient d être en interaction directe avec le patient. Certains auteurs proposent des moyens mémo techniques pour enseigner les compétences de communication aux internes et radiologues comme Goske et al. 23 avec les acronymes anglais RADPED (Rapport, Ask for information, Discuss the exam, Perform the procedure, Exam distraction techniques, Discuss results) et PEARLS (Partnership, Empathy, Apology, Respect, Legitimization, Support) et Leclère et al. 24 les acronymes français CREDO (Construire une relation, Réaliser l examen, Ecouter, Donner les informations, Organiser les services autour du patient) et PERLES (Partenariat, Excuses, Respect, Légitimation, Empathie, Support). Ces outils sont destinés à mémoriser les points forts de la rencontre médecin-patient et surtout à éviter les erreurs. Les auteurs soulignent l importance de 18
19 développer un partenariat avec le patient, de se présenter, de faire preuve d empathie, d écouter, de donner les informations en s assurant de leur compréhension et d organiser les services autour du patient (patient centered practice 18 ). Nos résultats montrent que les internes interrogés ne souhaitent pas d évaluation spécifique dans le domaine de la relation radiologue-patient à 60%. Sur les trois internes ayant donné les raisons de leur réponse négative, deux ont notamment expliqué qu il était impossible d évaluer objectivement cette compétence. En effet il s agit d habiletés non techniques qui font appel à des qualités d empathie et d écoute difficiles à évaluer de façon objective. Pourtant dans la littérature plusieurs équipes ont déjà développé des outils pour enseigner et évaluer le professionnalisme et les qualités de communication des résidents en médecine et en radiologie 15. En ce qui concerne l évaluation, Wood et al. 25 montre que le professionnalisme et les qualités de communication des internes en radiologie peuvent être évalués par un supérieur, le patient et par lui même. Mais dans cet article l évaluation porte sur l explication des risques et du déroulement d une procédure radiologique et non pas sur la communication des résultats au patient qui est une tâche plus complexe. Par contre Lown et al. 15 a développé un outil spécifique pour enseigner et évaluer la communication au patient des résultats de mammographie par l interne ; dans cette étude l interne est évalué par le patient et par lui même. Il est aujourd hui bien établi que ces habiletés non techniques de communication font partie des qualités nécessaires pour faire un bon médecin et doivent donc être évaluées comme les autres compétences. Les études sur le sujet montrent que l évaluation joue un rôle central dans la dynamique enseignement-apprentissage et peut faire intervenir un senior de la spécialité, un membre du personnel paramédical (infirmier ou manipulateur en radiologie en fonction de la spécialité) mais aussi le patient et l étudiant lui même. 19
20 La principale limite de notre travail concerne le caractère incomplet de certains questionnaires et la non justification des réponses quand cela était possible. En conclusion, ce travail montre qu il y a un besoin en formation des internes en imagerie médicale dans le domaine de la communication avec le patient et que les moyens pédagogiques utilisés doivent être adaptés à l enseignement et à l évaluation de ces habiletés non techniques. 20
21 Références 1. Batalden P, Leach D, Swing S, Dreyfus H, Dreyfus S. General competencies and accreditation in graduate medical education. Health Aff Proj Hope Oct;21(5): Makoul G. Essential elements of communication in medical encounters: the Kalamazoo consensus statement. Acad Med J Assoc Am Med Coll Apr;76(4): Makoul G. The SEGUE Framework for teaching and assessing communication skills. Patient Educ Couns Oct;45(1): Baile WF, Beale EA. Giving bad news to cancer patients: matching process and content. J Clin Oncol Off J Am Soc Clin Oncol May 1;19(9): Baile WF, Lenzi R, Parker PA, Buckman R, Cohen L. Oncologists attitudes toward and practices in giving bad news: an exploratory study. J Clin Oncol Off J Am Soc Clin Oncol Apr 15;20(8): Duffy FD, Gordon GH, Whelan G, Cole-Kelly K, Frankel R, Buffone N, et al. Assessing competence in communication and interpersonal skills: the Kalamazoo II report. Acad Med J Assoc Am Med Coll Jun;79(6): Sprunt,WH. Whom do we serve. Radiology. 1966;87: Berlin L. The radiologist: doctor s doctor or patient s doctor. AJR Am J Roentgenol Apr;128(4): Hoffman NY, Janus J, Destounis S, Logan-Young W. When the patient asks for the results of her mammogram, how should the radiologist reply? AJR Am J Roentgenol Mar;162(3): Cannavale A, Santoni M, Mancarella P, Passariello R, Arbarello P. Malpractice in radiology: what should you worry about? Radiol Res Pract. 2013;2013: Vallely SR, Mills JO. Should radiologists talk to patients? BMJ Feb 3;300(6720): Levitsky DB, Frank MS, Richardson ML, Shneidman RJ. How should radiologists reply when patients ask about their diagnoses? A survey of radiologists and clinicians preferences. AJR Am J Roentgenol Aug;161(2): Bassett LW, Bomyea K, Liu S, Sayre J. Communication of mammography results to women by radiologists: attitudes of referring health care providers. Radiology Apr;195(1): Gunderman RB. Psychosocial issues in pediatric oncology: what the radiologist needs to know. Pediatr Radiol Jan;30(1): Lown BA, Sasson JP, Hinrichs P. Patients as partners in radiology education: an innovative approach to teaching and assessing patient-centered communication. Acad 21
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