LE RÉVEIL PÉNITENTIAIRE

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1 Le Réveil pénitentiaire : organe corporatif de l'association générale des agents du service de surveillance et des [...] Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

2 Association générale des agents du service de surveillance et des transfèrements de l'administration pénitentiaire. Auteur du texte. Le Réveil pénitentiaire : organe corporatif de l'association générale des agents du service de surveillance et des transférements de l'administration pénitentiaire / Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque municipale de... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet / Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisation.commerciale@bnf.fr.

3 13* ANNEE. N* ÜR. 16 JUIN LE RÉVEIL PÉNITENTIAIRE Organe corporatif de l'association Syndicale du Personnel Pénitentiaire de France et des Colonies POUR LA JUSTICE ET L EQUITE DEVOIR TOUS POUR UN- SIÈGE SOCIAL, RÉDACTION ET ADMINISTRATION : Q, Square Delamtore (X.IVO Les manuscrits non insérés ne sont pas rendus IMCK L ÉMANCIPATION DROIT ÜN POUR TOUS LA REUNION GENERALE?.. du Ch and on fixa la de te de celte réu- IHon, le gros meeting des Balles \Vugriiu» où lièrent fonctionnàfrcç tù agents des service» publies et des cheminots, où l on entendit des orateur» au verte ardent s indigner contre toute idée de suppression des 720 fr. ou de réduction des traitements et balafres, n était pas encore prévu dans tes esprits de ceux qui l organisèrent spontanément, et dont le succès fut sans précédent On pouvait donc craindre qu aprè» une manifestation de si grande envergure répétée depuis dans de nombreuses villes do province les camarade* *e désintéresseraient de ce qui se dirait le 29 mai, rue B1 omet, 33. Il n en a rira été. Malgré une chaleur suffocante, 160 agents et employés de nos services, dont une dizaine de Poissy, avaient pris place dans la salle Allilaire, à 8 h. 30. Ce nombre était augmenté d une trentaine de dames, jeunes flues et jeune» gens, qui se firent un devoir d 'accompagner leurs parents et qui encouragèrent souvent les orateurs par leurs applaudissements. Le camarade Laurent, l'actif et dévoué secrétaire de lu Fédération des Syndicats des fonctionnaires, fut acclamé dès on apparition sur l estrade. Le camarade Richet, secrétaire généra), sjant déclaré la séance ouverte, il demanda qu'emo fût mise sous la présidence d'honneur de Ribardière. membre du Conseil, bouc-émissaire de l'autorité supérieure, pour avoir, étant secrétaire de la Section de Poissy, narré dans Je journal, sans prendre,dfte mitaines, comment M. le directeur Robert se comportait \»-à-vfr de ses camarades de fa Centrale dans tes questions de service. comment il dédaignait toute suggestion et tout ce qui pouvait avoir l'air <nid0 collaboration de leur part L assemblée agréa ta proposition par une tempête de vivats en l honneur kte oo militant jugé indésirable, que l on a expédié à Bordeaux pour qu il soit à une bonne distance de Paris. présidence effective fut dévolue A un Hdète et vieil ami de Ribardière, te camarade Dupuy, trésorier de la ection de Poissy, qui se déclara fort touché de l'attention dont il était l'objet, et qui ajouta quelques mots peu flatteur» jour t-jj directeur dont te nom se de- Le Bureau fui complété comme suit : secrétaire. Pag net, commis matières, de la section du P. A.; assesseurs, Ciraairlt, secrétaire de la section de Melun et délégué par oelte-ci. et Imbert. secrétaire de la section de la Santé. Le camarade Cunault. après avoir remercié rassemblée, révéla qu'il y avait à Melun aussi un directeur à poigne et À tel point bienveillant pour son personnel que, torffqu'il fait accorder un congé de dix jours à un aèrent pour sa marier, il le fait mettre à demi-solde! Richet. secrétaire général, à qui la parole fut donnée. remercia des assistants d être aussi nombreux dans la salle. Oft la Mémonflralion de la force de notre groupement, et de l intérêt oui l'attache À czs questions d'actualité : Ira 720 francs, Ire traitements, les suppressions d emploi, etc. Le 8. G. félicita tout spécialement les darnes présentes d être venues rehausser par leur» charmes i êclat de rassemblée, d avoir compris qu ehes étaient solldafrps avec leurs maris pour soutenir l action do ceux qui luttent pour La bonne cause. 71 les engaçea à ramener dans le devoir tout sociétaire qui * en écarterait, car le bon sociétaire se tient toujours dans le droit chemin, et comprecd ainsi son devoir : être un bon père de famille, soucieux d apporter du bien-être dans son intérieur; être aussi un bon camarade et un bon serviteur. Le non-sociétaire, au contraire, pourrait des buta égoïstes; il est quelquefois mauvais père de famille, presque toujours mauvais camarade, médiocre serviteur, ne cherchant, par ses platitudes, qu à se faire embusquer. (Appl.) Dfts re mer ricin rats chaleureux furent également adressés à notre ami. le camarade î auront, secrétaire général de la F. N. R. F., qui. malcré ses occupations si absorbantes, n hésita pas à répondre présent à notre appel. (Ft/s applaudisscmenl*). 29 Mai 1922 Rkhet, pour éclairer les jeunes camarades, expliqua pour quels motifs noire groupement fut constitué. C est parce que, il y a 20 mis, cvtait le régime du bun plaisir au point de vue discipline, traitements, avancement. Nous n avions que des obligation», mais pas de droits. G crt de cette situation irrégulière et anormale que naquit notre Association, c est pour lutter contre tes abus et tes injustices accumulés que quelques pionniers se sacrifièrent Un programme fut élaboré, tendant à l unification dis salaires, des heures de service, des ndiaitas, à la modernisation d'un régime disciplinaire trop draconnen. Ce irrçnrame e?4 aujourd hui réalisé; I ion mieux, il est dépassé par la création du double de médailles qu'il n y avait jadis, par l institution d im Conseil de discipline dan* lequel figurent des camarade» délégués par nous, dans lequel u*u avocat admis à prendre -lu défende des inculpés. Seuls, nos x>a- uiarèules des colonie# lie bénéficient pus de» mêmes avantages au poini de vue professionnel: il faudra faire do nouveaux efforts pour qu ils aient mieux sous ce rapport. (Appl.). Oepemianl. poursuit le 8. G., certains directeurs abusent parfois de la faculté qu ils ont de provoquer un retard de 0 mois ou un an dans le droit à l'avance n ent. Cette punition grave porte un I rèjidice sérieux au cancre de qu elle frfcj pe, surtout s'il est Jeune, «car la réyervus.-êon de ce retard se fait sentir sur toute 8a carrière. I) faudra demander.avec fermeté que cette sanction dépende du Conseil dé di^c pline, dont les décisions sont plue impartiales que celles des directeurs. (Appl.). S'adressant aux jeunes, Richet déclara que te plus gros du bon travail est fait; que <ious «Jeune* parfaitement organisés; que nous devons tes résultats obtenus, qui nous intéressent particulièrement, ù notre action commune dans notre sphère corporative. Quant aux revendication» d ensemble : traitements, indemnités de teherté de vie. de résidence et de charges de facilite. c est par l action appuyée par la F. N. quelles *onl résolues comme elles te sont actuellement. La même act en sera de rigueur au sujet de la question des retraites, qui nous préoccupe infiniment et qui fait déjà l objet d un projet de loi. Le concours de la Fédération sera indispensable; nous devrons la seconder de toutes nos forces. et pour ce faire tous les camarades soutiendront leurs militants et seront derrière eux I (AppZ.). Ces militants de ta Pénitentiaire se font déjà vieux pour la *plupart; iis s en front bientôt, et ceux qui tes remplaceront marcheront de l avant, en se disant bien que sans groupement Ton risquerait de perdre, dans un laps de temps très court, ce que tes aînés ont eu tant de peine à obtenir par 15 ans de ténacité. Par conséquent, pas de défaillances. serrons le* rangs. Qu il n y ail plus bientôt de non-sociétaires, car plus nous 6 e rom s nonife*rax dans nos orvanisations et plus nous serons forte! (Appt rêp/fa.) Ceapèt de Mantille I>e S. G. aborda le compte rendu Æu Un autre rapport relatif A l abus do Congrès de Marseille, en indiquant 3u il avait eu lieu les 15, et 18 m-ai croicr; que ce fut plutôt <me Communion d études de revendications nouvelle», et composée pour la métropole de Bilquca et de lut, Richet; pour l Al- Çfrie. de Millon et Louxière; pour la irnfeis, de Frigosini; qu ainsi les categortes du personnel étaient représentées par un contrôleur, un comptabledeniers, un surveillant-chef, un premier surveillant et un surveillant. La première question traitée fut la looneliteition d une Fédération unique. Puis, on décida qu'il faudrait s attacher A obtenir l'abrogation complète du).règlement de 1R22 et l'établissement d un Règlement moderne; Un rapport très précis concernant ta réforme pénitentiaire fut mla au point, et préconisant la suppression des petites prison*. l'organisation de prisons départementales et Intcrdépartcmenla détention préventive fut discuté et adopté également. En «qui louche directement te par* sonnet, son recrutement, tes traitements, l avancement, les congés, tes soins médicaux. l'unification des heures de service pour tous tes établissements, il y eut une ample discussion, et t'on s accorda à reeomialtre que ces questions devaient être soutenue* jusqu à «oluticn favorable et avec application dans lu Mébopole, l Algérie et la Tunisie. Celles de ces revendications qu il y aura lieu de soumettre à ta ratification du Congrès scrctt publiée» par le Hév<^7. Ensuite, Richet parla d une réunion b Marseille, à laquelle assirtèrcnl tous les canarados des fâvers établissements locaux sauf ceux retenus par le service, ainsi que te directeur et te personnel administratif. Cette réunion fut très intéressante. Tou» les congressiste# y prirent la parole. Un ordre du jour fut adopté à l'unanimité, réclamant l'union 1a plus complète entre tout le personnel pow obtenir les amclicrations matérielle# et morales auxquelles il a droit Bilquez cl Rfrhei ont rapporté de Marseille un souvenir ému pour l accueil cordial qui leur fut fait, ainsi que leur fraternel salut Août l oaamtance se trouvant dans ta salte, salut qui est envoyé de la mèm«façon par les camarades algériens et tunisiens qui sont de cœur avec nous,et qui offrent A tou» leurs vœux los plus sincères pour ta réalisation de nouveaux succès. (Appl.) îà* 8. G. exprima topte sa satisfaction de cette union qui se complète de plus en plus, et que chacun doit contribuer à rendre plus forte et indestructrbte. Il importe, continua-t-il, qu il y ail une collaboration entière cl confiante dans tous nos services qu il n y ait plu» de cvs cloisons étanches derrière lesquelle» se confine la routine: il importe que tout te personnel» connaisse næeux pour mieux s apprécier. La section du P. A. donne l'exemple: elle fonction ne on ne peut mieux et, grâce aux adhésions des directeurs bien inspirés, le* question* locales se rè-! fient sur place, le personnel est»conent ainsi et il l est parce qu il fait son devoir M qu il (Ment son droit. Le service s en porte mieux, et le Bureau de VA «iodation et l Ad minoration elle** môme annt décongestionnés de nombreuse* réclamations heureusement réglée» A l'amiable. (Applj Rfchet termina en ce» terme» : «J ai quelque peu abusé de vos instants, car voici l heure qui avance; je dois laisser la parole à d autre* plus qualifiés que moi. Mais encore une foi», je fais appel à l union de tous dan» notre groupement qui compte déjà tes quatrevingt-dix centièmes du personnel et oui réunira un ^ovr, j espere, l'intégralité des pé-nitentiiaires. «Donc, tou» à l œuvre, fous A rassociation. tous à la Fédération I» d opptaiidissemen/f.) La parole est donnée au camarade Bilquez. Le secrétaire de la eection du P. A. remercie la nombreuse assistance, parmi laquelle circule un courant de sympathie et un bon esprit de solidarité tjui doivent toujours A l avenir unir tous les membres dé la grande famille pénitentiaire. Il félicite les dames venue» en grand nombre rehausser de leur présence la portée morale de ta réunion. Beaucoup d entre vous, leur dit-il. ont encore présentes à la mémoire le» tristes soirées passée» au foyer avec les enfants triste* et inquiets, demandant pourquoi te papa restait parfois de< semaine» entières sans Jamais rentrer à la maison. Les pauvres petit», dans leur candeur naïve, croyaient sans doute «que leur père avait commis quelque méfait, méfait oui se réduisait souvent à une peccadille, quand il ne s'agissait pas malheureusement de ('arbitraire d un chef peu scrupuleux. Ces mauvais jours sont passé* ; *un bien-être moral est venu, auquel s eet ajouté <m peu plus d aisance par suite des relèvements successifs de nos traitement». Mai» on tente do nous arracher une partie de ces derniers et,en bonnes ménagères, connaissant 1e prix des denrée» de toute» sortes et ayant A souffrir du prix de 1a côtelette à ta Chéron, votre présence parmi noua»e«l une protestation non équivoque contre la suppression de» 720. qui sont indispensables tant «juc durera la situation actuelle. (Appl.} Il dériare sa fâche très facilitée par le compte rendu très documenté que le camarade Richet vient de faire de la réunion de Marseille et il ne s'étendra pas longuement, d autant plu» qu il laissera lu camarade Lturent, lo sympathique et déxuué mxm claire de la F. N., te soin de traiter les questions d ordre général. H t^quilà&e la réforme pénitentiaire telle que l unt comprise les délégués du I ( ergrès de Marseille, en demandant i notanmivnl que soient supprimée» tes! petite* maison» d'arrêt et que soient conllés à l'assistance publique tes jeunes gens qui n'ont commis d autre crime que celui de n avoir pas connu leurs parents ou de n avoir pas reçu d eux l'éducation et les soins suffisants. Cette réforme permettrait une réduction notable des déf.enee* par des conrpres- j sions d'effectif dans le personnel et cela sans nuire à la bonne exécution des services, ce qui n est pas te cas avec les suppression» actuelles faites par ordre. I sans souci de ce qui peut arriver de bien vu de mal. «On ne peut, dit-il, supprimer l'emploi avant la fonction, et chez nous, qui icprésentons un élément d ordre et de sécurité publics, tes dirigeants n auraient dû supprimer qu avec beaucoup de pondération. Les lois «ociates (con-, gés hebdomadaires, repos en descendant de garde, loi des «heures, etc.), ne peuvent être appliquées qu'à grand'pcine. Qu arrivera-t-il demain, après toutes tes suppression»? L'avenir noua l appren dra; espérons qu'il ne nous.l'apprenne pas sous forme de sombres tragédies roirme, hélas! nous avons le malheur d en avoir trop -souvent dans les sombres couloirs de nos prisons.» (Appl.) L Administration est ainsi conçue, poursuit-il, et il cite à l appuî Tcxemple de l'organisation de l Etat civil aux armées pendant 1e» hostilités. Partout, en haut lieu et loin du front bien entendu. I on avait créé des Bureaux de renseignement*, mais pas un moment Tautorilé supérieure n a pensé à renforcer les services des corps en compagne, base cependant de toute 1 organisatinn. la première et presque la seule source de ren- I seignenunt». 1 à romane partout, il a fallu ta bonne volonté et l initiative intelligente des chefs de corps ou de service, sinon tous les somptueux bureaux et leur personnel pléthorique n'auraient servi qu'à peu de chose. Mais là comme toujours, là comme en bien des endroits, l on crée ou l'on détruit au petit bonheur, sans consulter ceux qui ont charge d'exérntion. Quand on esttau faite', on possède fatalement lu science inluse.» 11 aborde ensuite la question de sup- pression de l emploi de surveillant commis greffier. 11 n y aurait plus qii uu soûl grade : premier surveillant; cet agent concourrait indistinctement au service de surveillance et de greffe. Nul ne pourrait être nomme sous-chef s'il ne justifiait. par exemple, deux ans dans ce gra- de, dont la moitié au moins passée dan» ( l'une cl l autre de ses nouvelles attributions. On ne verrait plu» ainsi de» ore- j miers surveillants nommés surv.-cnefs sans être familiarisé avec les écriture» ou des 8. C. G. ne connaissant que peu! ou prou 11 populaiioii détenue. Il y a lieu également de penser à l'in»- traction d**s agent» <iui débutent dans n importe quel établbernent et à oui on néglige par trop de faire connaître la tâche qui leur incombe. Il cite te cas où de» débutants doivent avoir recours aux détenus pour être renseignés sur oc qu ils doivent faire. Cette situation doit cesser; une instruction théorique doit être donnée aux débutants dans un sens plus large oue celle donnée actuelle- i ment. (Appl} Il arrive à la grosse mieetion des mi- j ses à la retraite, rappelle la campagne faite à ce sujet et qui ne doit s arrêter, que lorsque cvmjhète satisfaction noua. sera accordée, le maintien en fonctions des vieux fonctionnaire» et agents étant I préjudiciable au plus haut point, non seulement à l'avancement de grade, mais encore aux promotions de classe; il espère que l administration admettra enfin que l'intérêt général doit primer tes intérêts particuliers, oui n étant indispensable. Sur ce point, il reste à débattre l application oe l article 31 de la loi des Finances du 29 avril 1921, impliquant l affiliation d office A la Caisse Nationale des Retraites sur la Vieillesse de tous tes fonctionnaires et agents rentrés dans les cadres après l'ago de 30 ans, sous réserve que dans te délai do six mois, c csl-a-diro antérieurement au 1er novembre 1921, le» intéressés n'auront pas déclaré opter pour la loi de Chez nous, personne n ayant fait cette déclaration en temps utile, tou» les inti res«ês doivent légalement être affl- liés d'office A la Caisse des Retraites sur la Vieillesse. C'est d'ailleurs très avantageux pour nos surveillants de maisons d'arrêt, dont ua grand nombre partent < sans obtenir une retraite, et ce après 2\ ans et demi de service», comme cela s'est vu dernièrement Pour toutes les surveillantes retraitées apres le 30 avril 1V21, le devoir du C. A. est de tenir la main à ce que le bénéoce de l article 31 précité leur soit accordé. (Appl.) Le secrétaire de la section du P. A. fait ensuite un vibrant appel à l union de plus en plus cordiale de tout le personnel; tous, nous devons nous unir étroitement; nos intérêt» sont similaires dans la majeure partie des cas et chacun de son côté doit apporter tout sou effort à l'évolution dont sortira un peu plus de bien-être général. Les chef» donent apftorter un peu plus de bienveillance qu aulrefois envers leurs subordonnés; cela n exclut d ailleurs pas la fesmeté; un chef peut être liud.ain et juste, sans pour cela fane preuve de Xaible»»e. Les agents doivent en retour redoubler de zèle et de dévouement dans l'accomplissement de tenir» devoirs; c e»l ainsi qu ils témoigneront leur reconnaissance et prouveront qu ils ont toujours été dignes d'être traités en hommes conscients de la tâche qui leur incombe. (Appl.) 11 fait remarquer alors que pour mener à bien J'œuvre entreprise, pour faire aboutir notre nouveau cahier de revendications, pour collaborer à l'œuvre de néforme qui s impose au pays, il est nécessaire de tourner notre orientation vers une organisation qui nous permette de défendre nos intérêts imatariels et moraux. Les groupements placés fous l égide de ta loi de 1901 nous a) portent-ils de» garantie» suffisantes T Il ne ic pense pa», puisque les groupements ainsi constitués n'ont aucune capacité ctvile et ne peuvent pas, par exemple, former un recours en on»cil d Etat au nom de ta collectivité, c est-àdire que leur action n a qu'une efficacité très limitée; <<i fieut s'en cendre compte en constatant te nombre assez élevé des revendications non solutionnées, bien que reconnues légitime». Tous no» efforts dor ent donc tendre à d'h nir te bénéfice de ta loi de IBM. qui nous donnera plus de garanties et étendra noire collaboration avec J Admuiistration et les Pouvoirs public*. Il forme I e<poir de voir bientôt groupés sous fie mifcr.e drapeau tous le» agent» des services pénitentiaires, sans aucune distinction ; mai* ceux-ci ne devront jamais oublier que même unis entre eux, ils feraient bien peu do chose s ils i e» un iss a < ni à leur tour avec les pii j" in» nt> >in.i;aire», «"ils ne restaient -fis solidaires avec tous nos camarades réuni- au sein île ta Fédération des Fond ion Date»», qui a déjà tant lutté pour raniéiiorrlidn de notre sort. C\?sl de notre collégien de plu» en plus étroite que dépend le -iiccèr de nos revendications. (AppL bravo*.) Il termine en saluant le «mmarade Laurent, le dévoué ><<rétaire de cette I êdération, x;ui. n taux que lui, -aura retracer le chemin parcouru et nous indiquera la voix à suivre pour marcher vers le Progrès cl V Emancipa lion. Cunault fit cé»*.rvrr que la rèforme fénitentiaire, telle qu on la concevait» serait de nature à nuire considérablement A l av anœment, puisque les deux tiers des postes de surveimanla-ehefs dis'paraîtraier.t; qu a lors il «Tait imposable d encourager et de récompenser 1rs agents oelun leur valeur iiitellecturije et profeftdoihiebe: que cela serait injuste. Ce à quoi Laurent répondit qu'il fallait considérer avant tout l intérêt supérieur du pays, qui exige de» économies qu en pourrait réaliser par des réformes radicales, dussent certains intérêts particuliers en souffrir; que rien, d'ailleurs, ne s'opposerait à ce que, aux grades précédent celui dre chef», fussent attachés des émcrttxnente équivalent» à ceux de ce» dernier», qui conserveraient leur emploi; qu il suffirait de modifier à cet effet une échelle de traitements. Bergé, qui avait demandé la parole sur le m me sujet, déclara un peu plus tard que 1e secrétaire fédéral avait éloquemment rendu sa propre pensée, en termes qu il approuvait entièrement Par une judicieuse réorganisation des service», chacun pourrait être rémunéré selon ses aptitudes, et personne alors n aurait à»e plaindre de n avoir pu obtenir un grade devenu article trop rare. 1a camarade loudtehe se flt. A la tribune, l'interprète des sentiments de toute l assistance et de toute la corporation. en rappe'.avit que p»r son œuvre lmmen<e et déjà si appréciable en bons résultats, la Fédération s'est acquis des titres impérissables à ta reconnaissance Source gallica.bnf.fr! Bibliothèque nationale de France

4 Page 2 LE REVEIL PENITENTIAIRE H éternelle d t«u> les pénitentiaires en particulier ut de uu» les fonction nufrea en.1 lc«. Il <a i lü riuuile r< dhwnilration ci'iin piojrt publié dans I Hu moitié, tendait! hllni.iur dis indemnité» de ou tvuuo I runes à de* hauts foin*'- Uonnairqs detadn illustration ci nlr.de. pii oui <1 h aitrii «ni à HUNNi frein*, il «I le «emarade Richet terpvr»èv»rer et a continuer ne pa««'arrêter va vhesure qui» salit 11.< <» n ninl.< H. îétariat groupe au aein de la Fédération Nationale des byndicata do Fonctionnaires!. Approuve pleinement l'attitude de b 1- ration ot se déclare prêt à soutenir entièrement, pour sa part, l ac- Ihii ey-ètt jiour but d'obtenir notamment : e} î.e maintien de l'indemnité de rindemnîté dr cherté de vie do 720 fr. et son incorporation dans les traitement» acuicis; b i Mtr rapide du ik'ineau projet i ht 1rs r«traite». amendé selon hkratn de la Fédération natio-». «i qui rn<j'««htcu ta p< t:r r j ersonncl, 1rs améfioraliuiis i4>tei;ut i grand pcinc on ce* tli i nier * U n q». Kl lôut œta, d*«x!iar«urt-il avec i «n un b«il dvccin mi«vrc* gvh.- *jui g.igip'nl <!< 25JNX) A «<» <» francs. {Appt.) Vuiht roniideiilt «'ontir.ua Loudich**- le* Mu* du 1*1 r.o»eni'»e«idit) r«iini>*ant hi majurlté (Uiamhrv aetm'll *. êntendent lu politique sociale : ménager et f;n< rr<i Iré n*b possédant.- rt»< - câbler Je* hiuublea qui peinent ri pm- actuels. «! indrmnilén actuelles, qu«* de bon esprits parlementaires, stiinii* lés par rcx««'!riit M. Italie!, pr ident de 1 1 r ion à» InlérêU «S tîi«mi que», brûltil d'rnvir de r/duwr «n «le *up- {limer. En pæsant. I«aurenl rendii omniage à RicbeL nui. j»rr*«iuc t<»u> les j<m*. pansait h propos au siège fr déral v ui»r tenir au rourunl Puis, il dictai a rur si. le lendrma «n du fades Salle» Wagram.!«tnrt.x meeting goiiverm n crt frisait snhonrer par in preffe oue le ministre «1rs Finance* inscrirai dur»!«* pré^taxms budgétai I < nesimt M rftgrengires exorbitante sur les sasneni*. comme s il* n é- «l par des iinpol luh< h «l li ai laient déjà aspeg frappé par le* itdjmita «ta roiimhnination. Mai», tennine m camaratle, è nous de nous souvenir, à ncus (ta ifyarrr tas fauta# «lu pam*». rt de ptrtlkntier loua à lu.«ouxtiptinn faite p-»r te I «ih'raliun, parta «hui d une journfe <!< ntdro gain, nfin dr l amer à mener une campagne efflrare, aux élection» futures, contre les ennemi* dc^ petite fonctionnaire* et de la cla«*e ouvrière. (.Appl ) ta' camarade Rubtel, cumnih greffier à isaint-lîuuri*. succéda À Loiidfche. H SC dictera partisan convaincu de la retraite jcwportionnelle a 2T» ans de service. Celle revendication, selon lui, u a pas été défendue avec assez d injtalancc; die devrait être reprise el soutenue énergiquement, car, avec >on atciutfr seine ni, on ne verrait plus «le camarade* n ayant droit à rien en mourant entre 15 et 25 ans de service; on ne verrait plu? de veines mères de famille exposées a ne loucher que deux <"i»rois srcouit dérisoires qui rcsscnii ' i I trop à d«*g aumônes. Voilé, con- i I il, ure KRiestion bien plus intéressai,!< que celle d un uniforme que tas u is \< uh nt d une manière et les autres d'unt autre. Il lui est parfaitement égal, qtiaiu ii lui. qu il ait n importe quelle coupe et quelle couleur. Avec le camarade I^aurent. ce fut le clou de la séance, un vrai régal. Nous ne pouvons donner de son discours qu'un résumé incon plrl el qu un sens «un peu iagile. Il commença parles remercictr.rnlb Wusege, per rappeler tes liens <iui attachent te vaste organisation fédérale a notre group«*ment; il évoqua de vieux m»uvenir*, l époque oi i quelques c. niaradrs hardi» rl dévoués d ad mi ni s- tration» diféientre qui,» ignotant uulrefo:a, m rapprochèrent p«ur diseuter d«s itneddiranoiis c<»n muiiœ et poujrt<r ta» première h«v- d'une union de ï«in«1 < rraire»; il «si'iiitsa h graïuk traita flirt on rl la luth* poursuivit^ jus qu à ce jour: il pefe^u te rôle prépondérant joré ] nr les délégués <! ta Fêdêrstton dans la i i n inission llébrapd de \il <i<uvr au sujet des traitement* i«% i«««d«<rrt*lf d< rrédi n a I 1m n de l ii d«n nité d il t e f&liait y un fait r>«ui appris cu «n et tir in'< «r i enfant mi i ii rentra propos 11 «te qu aux nèr n vue du KO (rance. r< Ite mu n*e s Ml ilhlinrlton* 1.» trri«tain* fédéral, s'élevant un Instant uu-dcssvs dr» questions terre terre, purnnrnt nislèriali-tes. indiqua ce cu'auralt d beur»iix pour le pays une réforme Mhninislralhe. accomplie avec ta c<ilhd oiulkai des représentants des gr< t-4 <menta professionnels, qui connsta«ent le gracliis et Vim'Ohén nrc qui sévissent dans leurs services, et qui <a- Xcnt qne le moy en d y remédier est de trvnte-quatrr an», condamné la ermalne der- I mère A vingt ans de travaux forcée pour cambriolages et tentative d aaaasb.nal Or. ee matin. entre î h. et «h alors que la majorité des prisonnier* assistaient à la messe, neuf dma ans parmi lesquels Doloirr et Lecomet. étaient restés dans un atelier. A un moment donné, Doftoire cmipn les fils de la sonnette d'alarme puis, sa laissant une Planche, s'an servit pour enfon<wr le guichet d'une porte donnant sur un* cour. Suivi dr l^ecmnte. Dololre passa par cette I brèche et tous deux grimpèrent sur W toit dr la buandrrie et gagnèrent U mur «Teacrlnte de I la prison Au moment oû imiolrr allait descendre dans un Jardin particulier, sou pied manqua et. d'une hauteur de huit mètres environ. Il totnciuiu» les strvscc!» rendus péua difficile-. <1 fll> alourdis pour <t*ux qui restent. k i. I crnleur approuva (ordialenu-nt h.s Hpréaentahlè tics pénik'iil«aires «le I itiiat t«fd <k s r< de l itit c qui leur ol \< iiii»* de vouloir qu on incite fin aux abu- de la déh nthui prrmjithe, tout en -. '«li«ilm.l g i nurlht) enl des <en-. blé) Il Rui.lliH e Or H C Mil!tx l'dicll* de Miiirbiiivia pur j*di,e qui en Hir^s rl appl.) INirlsnl du projet Lu^ol,. g'iuo or» irlraib*. nu ici te» di»po»ili<in* que nos mandataire* fédéraux auraient»u v faire insérer, un.«\i. ni!«>.< maïqii our ta lui «lu 9 jii ti l>r. t i«g sant les pensions civiles. «! tiéhirr, quand «*nrüoiinaire* bénéficient n Min h» n «U frnnes rt dans h* IraBemenL niés étaient l<"ndue» fnur«pn«-i-il. peut-être n u» non- mbütlr» - trois mois que cette i.h Hrr <»u «ni elle sera aaeembuo générale. 8nMe Allilaire, 33. rue Bkmuq. Pari*. (XV' Jl» mai H>22. apn- avoir enh'ndti les camarades Rirhrt, srrrmairc général; Bihpirr. secrétaire adjoint; LaiirviH, secrétaire général de la Fédération des SvndM ftt* de faite t.mtr raee, H.-»r débarrasser de Fonctionnaires, a adopté 1 I unanimité «r< vagrs Inutiles et ac 'hi usés, de rc- I! <u!r«' du jour Mikanl : construire enfin \ neuf. Niais il est persuadé nu il n y a rien ii faire «tans cet 1 son! mptiétés dans leur* intérêts maté Oinsidèranl «pie les fonctionnaires ordre d idées avec ta Chambre actuelle, riel» ni moraux; qui préfère donner je change, qui s*ima- l unsidérhnl que le* travailleurs de* <ine qu elle aura restauré la navrante -ervic«* public* peuvent m* réclamer situation financière nctuelle par de* économies de bouts de dhmdelle. en «ifp- raronmpli«**ment de leurs d«-voirs pro- lu dévûuoment ou'ils apportdot duos primanl quêteurs damnes de mahers f«-»*iortnel* pour faire prévaloir leurs de fonctionnâmes lea plus modestement légitimes revendications; payés, mais des plus utiles, parce que Considérant que dans nng services il dans leurs emplois il y a de la besogne. n y u pus ou de création ti cmplois de- Que ceux-là s en aillent beaucoup I puis cl que les lois sociales y sont sont déjà jetés sur le pavé et ce sera î méconnue*; un peu plus de gftchta et de détordre Affirme «a solidarité avec tout le pro r % BriiiUt lie 'J&.OUII qua»«v«r«m«*nt tita Mnpicds. iuriiiii'ii par uni* «ié*«>rg.ini- P«*, «p e pour rrux qui n mu- 1 «r <i«i.p'r < u pour!«* ma-i enfants, ««serait la réduction i'< «n la *»upprvî««n totale. I fit de la vie étant bien plus 1 brique 1rs 720 franre furent I maintien dr «ans faire des m is AM ur te futur «lui i iru.fru I» i.l-«'lrr soirs peu n di-<>u*siuii, Laurent «léclara qu uue Cummisffion voinjh M-e de «umarades du Conseil fédérsl 4i étal oie quelque» Mni<idemrritd«r nr. uiinni»»nn<*r Çvûir 1 rii juil/. Il en est un qui pré- S «;»! g«j «e» au lieu «le deux. «! i» h«troisiérur, dite catégorie C, pénitentiaires -rrai«ni compris comme-d'ai tr«*» camarade» rraiph^an1 comu c eux d fon< tiun» pénmile*. Otlr (.iit uiiu->ii»n» limité volontairement <*<*» *Bhend**nt«hj» <iur ne pas /aire repuu»- M*r <i*t iiihlé«* rr projet Lugol. dont l'adufitkn pré»ente*rail maigri luut. aire Répondant î» R»4»l«L Laurent voudrait bien, lui aus»i, que i ou eût droit â la retraite pîupuitionnelle A 15 ans de»er- odn.inietratne pur la giuupcineru* de fouc- < nu re pouvoin» publics; di l.*«.4»l«*îihun «lu troll sy n dicid pour loirs li > fonction il Aires; l iitta'e 'n< rgiuurjnixit rutifrc le* d emptoh» qui ne peuvent que dêei.tgffbber te* aervicea el y créer i'iiimm'iiritè; Déclare que lc> rri tiofuie» nt peuvent i*r»nher que «je la ré<»rgani»a! *«n des entres et de la -aippreséinn «les maiéons d'arrêt; Di iiimim1«* ù <*r que Ir minimum «le» Salaire! iinp<»msbl«'- mit fixé à S.OOü fr.; Rt ctanir le r<qo* hdbtiomadaire, la journée de huit h< ur«**, 'le puimnent des heures êupplèrr.odluires de jour et <ta nuit, le congé annuel de trente jours; Emot les vieux que le Personnel de«roh ries tigricutes coivectionncllrs el ««le» de préftcrvatiœi nuit traité, quant aux hruieb de service, sur le même pied vlee. <4? serait un gnard avantage pou»*. <«ux étant faüguré «ta tamne heure. Qurnt aux femme» qui auraient te i d'épalilé que le pcreoifarl des autres état 4 i»*>e me f i ti» : Que le traitement des «urveimuntsclxfs ne >oü pas inférieur h celui des premier» -urveillants el surveillants uialie ur Ile perdre leurs maris apré* relie étape de 15 ans. elles se verraient allouer une toute inodi«ue pension. Tout rrla serait Ms bien et nul plus que lui ne ouhuitcraft qu il rn fût ainsi. Mais les Pouvoir» public*, malgré tnu«les reproclies qu il» encourent, ont parfois du flair, et il*.sentent «l'instinct qu atgo b* droit à une retraite proportionnelle à partir de 15 ans, ce serait Itabandnn «*i «nasse de ta fonction pour >c créer une situation ailleur». Ces pouvoirs pirblte*, en raison de la pertuitiation et des conséquences nnaiicièrasqui «Mi résulteraient, se refuseront longtemps encore, sans doute, à admettre lire clause contractuelle telle que la toitâruit RuLlct et, av<*c lui, presque tout le corps «1rs fonctionnaires. Laurent estime qu il ne faut pas, dans certains cas qui intéressenl les rnllrcti- rlléû. pratiquer fa politique du trait ou I rien; il faut savoir se contenter de pos-, sêbilité* qui peuvent profiler sensiblement sux inas»* *, et»i, véritablement, un ikiuvait réussir à ctitenh* la retraite pnipurtionnelle th partir de 15 ans, avec pai<n eut différé jusqu au te-mp» nerrmal requis pour l obtention de la retraite entière, cr serait un réel avantage. Plus tant, quand un bon pas est fuit, on s eff«>rrr d en fatal un autre. I e -, rreluirr f«'*drri«l termina «*on ms- 1 xtetrnl exposé, ou plulôl sa ronférrn'*- i«mm«un < et tout h fait in^lructivr. ( rn rxpr'istonl l'assurai i «* que les rama- l Hub's pénitent la très répondront rne«)rx mame entrain rt le mé*m«* ( cor «pu* par r pi», à Ttqipel qu elle «niliv.*-*»* 4i tou* tes groupements ««ni- I i il ùi bèt»érulh»n, rm me «te donner, <«! < -< i les n oyens de mener 1e <l»mi v n l».«t. oui«r<l 1 heure du règlement de» r«nj.l«* suis (inné M»ur te jêgistai<t»i» listih* :*«la iustire sortait. l'estime» frénétiques ««vurillirent mi pc'rernim'ii. et souvent ses dêhamtiüüs aux pa--ag«>» les plus marquant*, furent interi- n pue* par «i»» applaudis» - mente frarchement efialëiireiix. Persorrr ne d«*nihndunt phi* la palole, il fut donné Induré «te l ordre du jour. Au m< nient «te le mrltre aux voix, If * -ipàie «ifil avait une observation ù nier. Il déclara rn npprnti- p* teinne» généraux, mats,?«son M fallait r mettre on concordance «lui volé d*<*iiuh*iisiasme douze Niipni-ivanl aux Salir» Wagram. but : nt tre l«mr «ii«* n<»us 1 le irr«rè* sera toujours < r«basant et c'est avec cette ferme conviction que Je cède la parti au pumarade Bllquax. (ApjtiaadUicment*.) Le camarade BHquox remercie tous les camarades préaenta du chaleureux accueff qu'oa Ilul a réservé ainsi quta m collègues «K poursuit : Lee militants ne doivent jamais se lateliminuêff. Lrttit ordre du jour, a>nut été ivm tifié lun* le sens hàliqoè par Bergé, il fut M'opté par a<rlnn'hti<»ns, pur U>tu» le» Irrn* <lr l oudituire. En votai la teneur :!.«Pervontiel néithruliiürb. réuni en Se.sépare aux rrr- de riathvn Fv ndicale! Vive In Fédération Nationale!» La séatnec fui levée à 23 heure*, et chacun emporta de tte belle réunion. durant 1i quhle on n'entendit pas une noie discordante, In meilleure et la plus profonde impression. Réunion extraordinaire à Marseille l^a Section a'ee*. réunie en séance extraordinaire le K» mal IS32. en son lorjl habituel. h Vcffet d'entendre tes camarades délégnêa au C< agrès de la Fédération des Association* i>«- nltentlairea de France. d'algérie et de Tunisie: æcrmai- ; Millon. secrétaire l Alg/rir) ; Frigo Richet, «ecrêta're g>'d rai re-adjoint 4pour ta France» général et lx>ubtère «pour sinl «pour la Tanisie». l-a séance ml ouverte à la gor- Ke du surveillant avec la maso droite, le genou sur son ventre. Il lui fouillait les poches avec sa main gauche, cherchant les clefs «le la porte de sortie de l'êta b Hase ment pour s'évader. M. Chavaud eut cependant a**es de force et d'énergie pour se dégager, et c'est alors qa'il appela au secours et qu'à l'aide des deux détenus du service général. Jecquel fut maltrleé. Je n'eus pas à Intervenir mot même ; on arrivant dans la détention je trouva! M. Chavaud x h. SO.au mnieu d une salle cn»lle sous lu présidence du camarade Battistlnl. Parmi cette nombreuse æ*1»- tance, nmotw la présence de M. le directeur du P. A. au complet, à qui noua adressons nos plus lincèrei remerciement*. Le camarade ButtesllDl cède la place au camarade Rey p.»ur ta présentation de»* dél«*guêa. Utehe < Hl lu! o«l d'autant plus facile qu'il en r«m» ualt part leu >lè:emeoi quelqu**'> aa. Cette présentatkm faite, le camarade Battestlnl. dan* une al locution «impie et toute enprelnte do franchise, ml rosse ses plus v K* remercloinenta A tous 1rs camarade» venu* de loin pour dafeitdre la cause commune. Puis suerêde de camarade Richet qui donne d»m explications sur les améliorations obteuaes dans l'ad min tel rai ion d'dsls Je début de! Association. Il y a quelque vingt an*, iora de I ses premlète* année* dans F Administration à Fontevrault. notre situation n'était guère en 1 viable ; depuis, quel changement Suppressioa d*indemnités de légumes, de pain ; obtention d'uu conseil de discipline compœê d'agents de tous grad< s avec aa*l*tanc* d'un avocat : IVvlsnn complète des lralt*nnenu et unification ; CaU*gorim flxves par la Oommianion de coordination ; Maintien de 6 c asse* au lieu de 7 comme la» Douanes te demandaient ; Oêathm deîôt. médahles ; Indemnité de cherté de vie. charges de famille ; AftUlatlon à la Fédération d*> Fouet ion nair en {AvplauSiv- V'mrnUI, L'Associât 'on travaillant pour l'amélloraliou morale et matérielle du Personnel Péniten flaire eut dû être secondée par le P. A. qui. lit.ire.* tout fait pour l'entrar»«il n'en le même aujourd'hui, ear un»* rectloc «le ce P«*r*onnel est constituée rt groupe déjà p us dr 1-û membre*. Toute* l«v question* locale* se règh ut ain*l sur place ; n*»««a «vans donc intérêt à collabora tc» ensemble ver» ; unité >ên!t«mtla!r M pela ad U * m i iniuv eu invitant h l'u'uvre conmwncêti eer abattre, un courant de sympathie doit toujours circuler par ou uaa ; noue noua sommes reaeontr^i* à Marse.lle avec les membres du C-mgrfc» de LA^Arh* et ds Tunisie axia d'étudier le* baeee d un projet futur : log camarades d» ('Algérie unt mar<-bê la main dans la main et ont cftteau mieux qu>n France. Il faut inciter à se grouper tons naîtront de bwi r L temps ont changé, od ne traite plus le* sgents comme autrtco^a : H y a done nacmaltê dî marcher unis pour réussir dan» n revend irai lune. Ensuite, le camarade Bloques. xpnse les questions d'ordre général : Questions des ÎJv francs, do» traitements, de la mise à la retraite, de l'avancement. On doit Intervenir auprès des parlementaires a tin d'arriver A une action efncace <m devrait adopter le uystêum* d'angles irnltrnsents devait enivreras fiacr i du prix d«* la vie. Nous devons nous grouper p.étroitem«al a*uc.es auuo <mc«tlouzmire*. Votona pour ceux q doux s.mitirn- Dent. 12 «eralt laadmlaeibêe qu'on ne **ent jnde po*. partout où U y a entrai#, le aerv.ee ae marche que mieux : jmur cala. H faut apprendre à àe cocdaltrv.4p <kmd«faeauaui. Le camarad- IxMiblèrr prenant la parole, remercie toux!ea r..m*r*<s»> dj charman: ae- iuj a L 11 min. faire mieux encore. Il adreane ensuite ses plus sincères remerciement* à tous le* camarades présente pour leur aeeuell biruvchiant < 4 ppia ad is* r m m Is». En termes trè* toachante. le camarade Mil- I lou remercie tuoa le» assistante d'avoir honoré, par leur chaleureux accueil, tous les délégués; Il «éhcit»- partirullèrrmvnt tontes tes dame* prêaentra. Nou» visons loua, dit-il. le même idéal ; e'sat te travail de chaque section qui tait tout l-e Coogrè» a adopté de* solation* arec profit pour l'etat ; on doit p«*rtrr un retnèd»- immolât aux diflteultê* un» cesse croissante» que noua travemom* Pour ce»a. il doit y avoir union, effort de vuloaté de tous dans l'exercice de la fonction En Algérie, tous tes membre» du Personnel Pénitentiaire sont groupé* ra une seule Association. Pour vaincre. 1 accord le plus complet doit exister entre tou» le* uamarades, tous tes éléments doivent venir eo placer sous notre bannière II faut regarder l'avenir arec cou fiance et courage ; c'ait dans cet espoir que Je vous dirai : acclames loua avec mo. notre b»lte A**ociallrm dont au'on lui a fa i. b débuta en 18US. en Il fut rattsrh à l'alg'rk. la ba*. U n y de distinction. Ml) on et lui travauiegt emmun ar'-ord ; la P. A. a prie les dcen faveur du peanmah de garde qui a vante prit la dêfen>t du P A. H n< faut jama.<4 re KiTder en arrière ni écouter «Isa breti.a gnleun«**. L'agent (ail le chef, nul n'eut parfait ; faite* convenablement voire wrvlee et personn«ne M'acharnera aur vous Attire* le P. A. dana voire sein, ne demamtax ça» l'.tu.ijmlbie pjur aro.r.e pa»«!ble, Noue a varia une arin»i: le b*j. et!a de vote, aachoo* noua oit «servir. No* app/tlla ne sont pa«grands, on «loft pouvoir les satisfaire. Je *ui» nê avant vou»«. Je dois partir avant ; je n'attendra! pas qu'on me mette à la porte ê êgamment. i-e camarade termina en assurant le* membres de la sect.œ d«marsellè qu'il ne mavqwaru paa. à son retour à Alger de dire combien on a été bienveillant pour lui. < lyptaudissemeeu.) Il ne reetait plue û entendre que le <!é!êgu«? de Tunisie. Le camarade Frigoslnl. en termes scoo'es et catarels exp^e la situation : En Tunisie, le personnel est traité comme les nègres du Soudan. En France, vous dites citoyen. Là-ban. il nous est hnpossible d'en dire autant, cr mot est Inconnu pour nous. Nous ne voiflons pui de fa v eu ns. Doua voulons '.a Joatt-e et La liberté. Pour arr ver au résultat actuel. U nous a fallu beaucoup de peins, leu débuts ont été très pêmlries. les obstacles n ont pas msn quê ; c'est par un travail opiniâtre, une lutte acharnée de tour' 1cm instants que nous soinhkm pirvemu- à avoir gain de cause Aujourd'hui. tout Irait pour Je mieux, si nous vivions tous dans Je même atmosphère. Imbus des mémo» idéas. pénétrés dfw même» sentiments, les ordr * «i personnes connaissant à fond le service au lieu d'avoir ù faire trop souvent à des chefs nommw après «i> ans. ne connaissant rien h leur «onction. fmü»»e»-tnc>! aussi vont remercier et soyax persuadés que je conserverai un précieux souvenir dm quelque* heures passées en votre agr>'ahl» société. (Applaudissr w«mis. I L'ordre du Jour suivant est volé : Après avoir écoulé attentivement tous les délégués d- Paris. d'algérie et de Tunisie, les agents de la Section de Marseille adressent à cm camarades leurs fxlcitat^on» et leur» remerciements lea plu» slncèrns pour les nombreuses et apprêciafblrs améliorations obtenues depuis la ixaiaaaiice de notre groupement Sont heureux que la ville de Marseille ail été ch ointe pour cette réunion qui leur permet de serrer cordialement la ina'ol ceo bon* militant* de U première heure Placent en eux toute leur confiance pour l'avenir afin qu'ils pument soutenir avec énergie et autorité, auprès des pouvoirs publics, toutes les revendications figurant encore dans no* cahier* et notamment la question du droit syndical Adressent leur *alul smlcal et fraternel aux camarades de l'association syndicale, des Ae- SDclatluna pénitentiaire» fédérée* et dr la Fédération Nationale de* Fondlonnalres et lèvent la séance aux crm unanimes de : Vivent les délégués! Vive F Association syndicale 1 Vive i'unioc cécenmlre au bten être de tour-! LE BI REAU CONGRÈS DE MARSEILLE Le compte rendu du Congres tenu à Marseille par les délégués des Associations Pénitentiaires de France. d Algérie et de Tunisie. ainsi que les rapports qui y ont été discutés seront publié' dans le prochain numéro. Tentative d évasion à Blois r.rrrau au rent rarinien au mat inzs : Blois, le 25 mal? Parmi les hôtes actusis ds notre prison, fl- Kurrnt Emile Uecomte, dix-netif ans, condamné le 22 février dernier h cinq ans de rêclu- **<* M> ir tentative ds meurtre sur Mlle Anfrrinet. de V1 nru11 : et Daniel Dotolrr. releva avec un» jambe fractarêa. I^onomte. *e voyant alors seul pour fuir, prit la parti de r*broas«er chemin at «te réintégrer l'atelier. Cotte *cènr <1 évasion avait eu pour témoins 1rs sept codôtsnu* qui. otito a ont pas prêté la main, m sont refusés à dénoncer leurs compagnon* et à donner l'slame. Dana la prison. vieux bâtiment délabré, n y a à l heure actuelle, une cinquantaine de détenue, confiés à la surveillance d'un gardien chef et de doux l gardiens. l-a tentative de ta-comte et d«doloîre t'est donc point pour surprendre On a seulement lieu d'ètro étonné que ira évasions ou les mutinerie* ne soient pis plus fréquentes dans les petites prlsoos oû la surveillance eut Illusoire fatalement..v. /> /-. H. Quand.1 n'y a pas un perse moi suffisant dan* les prisons, voilà œ qui arrive : des tentatives de meurtre comme à Bourg ou d'évasion comme à Blois, quand ce ne sont pas des assassinats cl des évasions pour de vrai. Et pourtant la grands pensée du j *ur est de le réduire encore, de supprimer des emplois par en bas au hasard, pour réaliser quelques insign flan fcc économies qui seraient autrement produefivra si l'on osait amputer, font en àaaf. quelques grosses sinécures Inutiles, si l'on se décidait enfin à ^organiser lee administratifs sur d<e bases modernes. En su tdani. pour ce qu. concerne la nôtre. ce sont les plus modestes, ce sont les camarades restant en fonctions qui devront aesurcr un service plus dur et plus périlleux ai possible partout <>û ils seront touché* par ceo sxpprvasl ms EX la sécurité publique, olle aussi, r perdra des garanties. Tout refa n est-ce pas plutôt du réeul qne du progrès? x Une agression à Bourg Ar ««rrh/tanf che/ dr la prit an étr cail^ rhi«crit : Le 12 mal. comme d'habitude à < h. 30. je Chavaud. surveillant, dé tns remettre la cia de U porte de sortie et je renvoyai faire le réveil pendant que Je restais au posta pour te aervire de la porte. J avait ub*ervê le défilé du dortoir au préau par la porte grillagé» du parloir. I-e calma la plus complet régna H. Ica hommes avalent défilé en ordre. Après avoir ouvert la porte de sorti* A la fille du rervs.liant. Je me rrnds â mon bureau attenant au poste. Je faisais tranquillement mon rapport journalier, lorsque l'entendis tout à coup un cri rauque provenant de la détanpar oir. devant laquelle les détenus eu inters attends.ent le retour du surveillant pour rentrer à la cuisine. Ceux-ci se précipitèrent au secours du dit surveillant. Ils dégagèrent M. Chavaud et traînèrent l'agrcsaeur dan* l'atelier. cependant que je me rendis au burean pour y prendre la clef de la détention <M que j'ouvris la porte du couloir y donnant acoèa. Crtte «eêne ne dura pas même trois minâtes ; c'eut au moment oû les détenus ré.ntêgraient l'atelier, après les soins de propreté, qu'c'de se déroula. L'agrmseur. le détenu Jacqnel. condamné à quatre mois de prison pour vol. roté en arrière de ses codétenus, se retourna bnisquenxnt et d'un coup de tète dans l'estomac de M. Chavaud. le fit chanceler ; il droite sur U le saisit alors à la gorge de la main pour rem pêcher de crier et le traîna palier de l'escalier du dortoir distant mètres de l'atelier. Là. serrant toujours qui. soutenu par les bons prisonniers, se diri de eu Ile à clef et geaient vers moi. Je m'assurai tout que les détenus étalent tous fermés Je fis monter M. Chavaud ebea lut soins que nécessitait son état. Ses bteoaure* n'.'talent j»as graves : quelques ecchymoses à la nuque, saignements du ne* et do la bouche et fortes pâleurs. Cependant, quelques Instante après. Il put redescendre au greffe. Je couru» alors au poste de police beaucoup plue près de la prison que la gendarmerie et js demandai deux agents pour nous prêter mainforte au m<mient de la m en en cellule du forcené. Cette précaution ne fut pas inutile ; h nous deux il nous eût été d.fficlle de tenir colosse et lui mettre les entraves, car au nonu nt ou je fus avec le surveillant 1e chercher dans l'atelier. Il prononça ces paroles : «Je veux bien vous suivre, mais à condition que vous ne me toucheras pas. car Je ne réponds pas d«- moi. M. Chavaud. excellent serviteur, qui a fa t preuve en la circonstance do beaucoup do con. rage et de vaillance, no se roaaent!ra-t-ll pas plus tard des violences dont II a été l'objet T Jecquel. qui a comparu le 24 mal devant le tr banal correctionnel de Bourg pour ces faits, a été condamné à trois ans de prison. Il ne Ta pas volé, mais N-s mauva's détenus do an tournure sont bien dangereux dans les prisons dépourvues d'agents en nombre suffisant Dvbom. «M reri Haut càr/. 11 est bon de rappeler que le camarade Pu bois a été autrefois vicltme. lui aussi, d'uno tentative semblable à celle relatée ci-dessus, et qui valut à son agre»<*eur!»0 Jours d«ou chot. Peut-on le dire? Peut-on dire qu'â la Maison Centrale de \Mun, M. le Directeur ne se g/ne pas pour faire des observations aux suneillants, en présence des détsnus, et que, pour ce motif, le camarade Vergue s donné su démission de l'administration? Peut-on dirv que les agents fi enfendent pas être traités de celte façon, parce qu'ils sont conscients de leurs devoirs cl soucieux de leur dignité? Peut-on dire que le surv -chef sc pkr^ met trop souvent d'altérer cl de façonner A sa guise 1rs rapports établis par les premiers surveillants contre les surveillants, et cela, bien entendis sans entendre ces derniers? Peut-on dire que, par contre, ce même surv.chrf n'hésite pas 4 tenir pour vd-«ridiques les dénonciations des détenus A Pégard du personnel? Pcul-on dire que dans le même établissement H y a eu p!tisieurs tentatives d'évasion avec détérioration de matériel, ef que leurs auteurs en ont été quittes fts'ee des punitions disciplinaires légères T Pn^n savoir pourquoi?

5 IJ! REVEIL PENITENTIAIRE Section du Personnel administratif I I Il I Réponse a diverses questions Vous avez bien voulu appeler mon attention sur les revend.cation» présentée» par lu section du personnel administratif do l Association générale du personnel des établissements pénitentiaires. Après examen do chacune dos questions posées. j'ai l'honneur de vous (aire connaître :! Que la réclamation relative au maintien eu act.vitê des fonctionnulna remplissant tes eonditioqs d'âge ol d'anetennvtê requises par la loi de 1853 pour être admis a la retraite, est, A l'heure actuelle, dépourvue d intérêt, la nécessité de réaliser le» suppressions d emplois prescrites par le Parlement entraînant fcour moi celle d'admettre effectivement à la retraite, dans le courant de celte année, tous ceux qui rompi ssent ccs conditions. Je dois ajouter que. dans le plus grand nombro de cas. cette obligation me cause le plus vif regret ; 2* Que la situation des fonctionna.res entrés trop tardivement dan» l Adnunistratlon pour pouvoir bénéficier d'une pension de retraite, bien qu'ayant dépassé 00 ans, et qui ont opté pour leur maintien mous le régime de lu loi de ne peut faire l objet que d examens individuels. Ces fonctionnaires ne peuvent être admis à faire valoir leurs droits à la retraite que dans les cas limitativement prévue par la loi sur tes pensions civiles ; 3* Que la situation financière actuelle n'a pas permis à l Admimstratlon ni au G ou v or nemont de prendre l'initiative de nouvelles propositions d'augmentation de crédits en vue du relèvement des traitements ; 4- Que les suppressions d'emplois actuellement effectuées, tant en exécution des compressions de crédits opérées par te Parlement dans le budget de 1922 que pour déférer aux proscriptions de l'art 77 de la loi de finances du 31 décembre ont permis de satisfaire aux exigences Imposées Jusqu'à ce jour par le législateur ; 5e Que tous les titulaires des emplois supprimés ont été pourvus d un poste équivalent ou maintenus provisoirement en surnombre en attendant une vacance d'emploi de leur catégorie ; «- Que 4a question du reclassement des commis et des comptables a fait.n son temps, l'objet d une étude bienveillants et attentive de TAdmlnlstratlon qui a opéré le reclassement de ceux qui avaient subi un préjudice certain. Il n'y a pas lieu de revenir sur les décisions prises en toute connaissance de cause et toute réclamation à cet égard ne pourra faire l objet d aucune suite favorable. Veuillez agréer, Monsieur le secrétaire géaérai, l assurance de mes mc il leur R aenti- ment s. Monsieur le secrétaire général. Parla. 10 juin Le Directeur de VAdm in lit ration pénitentiaire : FtJCYB. : Renseignements divers e Congrès franco-algê rien-tunisien. Cette réunion fut à proprement parler une commus on d'étude» en vue d'une entente pour la mise au point de la charte de no» revendications tant matérielles que morale* La réforme pénitentiaire y fut examinée de même que le relèvement d* '.'enfance coupable. Dans Fêtsde de toute» c<» question», nos camarade» aîgértenont apporté un large tribut et une documente tion précieuse. Dans sa dernière séance, le Conseil d administration a décidé que Ire rapporte élaborés par le dit Congrès, paraîtraient au Ktceil Pénitentiaire de juillet. Tou* le» sociétaire* pourront juger l'œuvre ébauchée el seront ainai en mesure d'apporter leurs critiques et leurs suggestion*. Deux à trois moi* avant la date qui sera fixé» pour» Congrès, uns Réunion Générale de notre eretioe se prononcera sur le* questions soumise», afin qu un mandat ferme soit donné aux représentant* de notre Section Mises d te retraite. - Comme il est Indiqué d'autre part, l'administration nous annonce la mise à la retraite de nos collègues Hoyoo. Chailltey et Gaaser. Certes, nous ne protestouê pas contre ces nnà la retraite, mal* il est bien pénible de constater que l'on commence toujours par tes petit» qui dépassent de peu la limite d'âge ou y sont à peine arrivé*, tandis que renient en fonctions nombre de Directeurs réunteaan: les eondliions requises el ce. parfois, députe plusieurs années. Nous avons toujours demandé et no ces*e- *ns do demander que tons 1«* membres du P. A. soient retraités dé» qu'lie atteignent 60 ans d'âge, mais nous teliœoni qu'il juste et équitable que l'on cocnmedoe par ls» p'.os âgés, ans dialmrilus de grade ; un groupement pro fabslonnel ne peut pa*. en ce qui le concerne, envisager deux poids, deux mesures. Néanmoins, ne désespérons pas ; peut-être l'administration nous r<teorve-l-elle une agréable surprime en nous donnant à bref délai, entière ealisfactloa. Nous reviendrons d'ailleurs snr cette question aussi longtemps que cela aéra aêceaaatra. Audience accordée par M. le Rapporteur du Budget des SenAcet Publics. Une délégation est rendue auprès de M. Baréty, député des Alpes-Maritimes, rapporteur de notre budget, à qui divers doc a mente et rapporta ont été remis concernant nos revendications : réparation do l'inlustice commise à notre égard lors du relèvement de nos traitement* et demande d une augmentation de 100 0/0 de l'indemnité allouée à nos collègue* non qui se trouvent dans une situation infériorisée par rapport à ceux d entre nous logés dans les Etabilssemente. M. 1s Rapporteur nous promit tout sou concours ; Il reconnut la légitimité de nos revendication* sur lesquelles l'administration, nous a-t-ll dit. avait déjà instamment appelé B<>n attention ; mais il nous fit rntrwoir Iss dlfficnltâa financières dans lesquelles le Pays M débat aetueilsmeat et que aou* dev.oaa evrta: ne ment connaître. La délégation répondit rn'h n'y avait qu à vouloir enfin sérieusement entreprendre la réforme administrative ; là. on trouverait dm disponibilité* pour rémunérer chacun se.on son travail ; en plus de sérieuses économies seraient réalisées, son* nuire au bon fonctionnement do, services, bien au contraire. Tous Ire Groupements professionnels «ont prêts A collaborer à cette œuvre qui a impuae chaque jour de plus en plus, pour de multiples raisons. M. le Raporteur nous assura qu'il était très partisan de la comubo ration des Pouvoirs public» av.-c Im Groupements professionnels et manifesta le désir de s entretenir avec nous au sujet de tout»» ces diverses questions. /Mrpot»' * 4 I'.4dsiiii<*rraH»n Centrale, Noua penaon» Aire reçus à très brrf délai par M. le Directeur Général à qui seront à nouveau exposées toutes nos réclamation* en Instance: noua ea profilerons pour lui demander de vouloir bien protester contre 1m suppression* d tnnplol que vent encore n-m* Imposer la Commission des Finances par suite d'un abattement de crédits ail budget do <dion envlnagdc. Il n'est pas possible que l'indemnité de logement ne soit pa» augmentée ; les d/fficultr» budgéta ire* ne sont pa» un obstacle sérieux puisqu'il ne s'agit que d'une somme de 10 à francs. En conséquence, tous le* membre» du P. A. sont priés d'intorvenlr en ce sens auprès des Parlementaires. Do sou côté,!«bureau de la Section ne restera pas inactif, car il faut que cette légitime revendication abouttese au budget de 1923; jusqu'à plus ample Informé, nous noua refuson* encore à croire que le droit et la Justice puiusent éternellement être méconnus. Parte, le 11 juin Le secrétaire de la Section On dit que la mise A la retraite d'un haut fonctionnaire des services extérieurs de l Administration pénitentiaire ferait de sa pan l'objet d un... marchandage I-a chose, parait-il, aurait même eu les honneurs d ira démenti. Sou ballons que tout cola n'ret que racontage stupide, car comment admettre que les dirigeants soient A la merci de certains subordonnés? lai suppression de certains directeurs serait envisagée : divers établis ements seraient ainsi dirigés par dea fonctionnaires d un grade Inférieur. Io«encore nous ne pouvons croire A un bruit sérieux. L économie réalisée serait si minime qu elle ne semble pas de nature à encourager les Pouvoirs publics à ravaler la fonction des agents des cadres administratifs des services pénitent:»ire*. Adhésions à la Section du P. MM. Roudet. Directeur à Marseille ; Catry. Directeur ù Clairvaux ; Sanson. Directeur à «Ix>oa ; Bouaquler, insthuteur-cbcf A Lu» : Altier, comptable M à Loc* ; Hardouln. Cotnmla D. à Looa ; C ananota. ComralsM. à Looa : Instituteurs au Val d'yèrre : Canavsgglo et FdraL Admissions à la Retraite MM. Hoyoa. comptable D. à Clairvaux Ohallliey. comptable M. à Eysae* ; Gusser. instituteur aux Douaire*. Noie du Trésorier Le trésor:er de la section du P. A. fait naître aux adhérents que la plus grande lie (tes cotisation» de In nuée 1922 ont été êea. Quelque» camarades seule nient ne les pa* encore acquittée». con par ver ont Il tes prie en conséquence de vouloir bien en adresser le montant, le plus tôt possible, afin de lui permettre de faire les verat-menta qui ont été retardés de ce fait, au trésorier général de l'association et au trésorier de la caim*- de solidarité aux d^eè*. H rappelle que le montant des cotisations est fixé comme suit : Pour l'année entière : 14 fr.. soit 12 fr. pour l'association et 2 fr. de cotisation annuerie à la Fédération des fonctionnaires. Pur semestre : premier semestre. 8 fr., soit 6 fr. pour l Association et 2 fr. A la Fédération : deuxième semestre. 6 fr. (cotisation de ranaoclalion». Les camarades faisant partie de la caisse de solidarité doivent ajouter aux cotisations ci-dessus : 6 fr. lorsqu llb payent leur cotisation annueuement : 3 fr. lorsqu il» payent leur cotisât on etmsntrtellement les cot»ati<*ci» du? semestre sont reçues à partir du 1- juillet Le trésorier prie les camarades de vouloir bien le» envoyer dans te courant de ce moia « LA DÉCHÉANCE des Greniers-Comptables el des Fronomes Mes Camarades de la Métropole voudrontils m excuser <te la liberté que jo prends en venant traiter, dans l organe de notre grande Association, la question de» appellation* DouvellM» des dlvsnws catégorie» de face tfcmâlrea dm Etablissement* pénitentiaires, J entends, du reste, limiter mes modeste* ob -ervatlons aux appellations nouvelles des fono- Uonnalrm de ma catégorie, telles qu'elles rédécret du Pr août aultent du 1919 Et qu'on veuille bien no pas me reprocher de faire œuvre personnelle en présentant cea ob servatlona. Je dirai, pourquoi, de toutes te* appellations nouvelles. les titres de greffiercomptabte et d éeonome, me paraissent seulêtro modifiés A tort. Dans te rapport qu'il a présenté à M te Président de la République pour J salifier son projet de décret, M. le Ministre de la Justice. I pour obtenir la substitution du terme do gnr- I dlen par celui de < surveillant». s'exprimait ainsi : L'appellation de surveillant donnera une Idée plus précise et plu* élevée du râle qu'il» (nos agent») sont appelé* à remplir dans les établlaaements pénl terni aires, où les gardea-chiourmok d'autrefois ont fait place à des agent» qui no t-r contentent pas d»- la garde dus prisonnier*, mais qui prennent souvent une part effective au relèvement moral et au Patronage des détenus ot des pupilles. Dans leur Congrèd, les gardions de prison ont demandé la disparition do ce ternie, auquel s attacherait. dan» l'opinion publique, une certaine défaveur. Il rcs ort nettement dox terme* du rapport de M. le Ministre de la Justice que c est nonleraent Ri volonté de rehausser le prestige des agente du personne: de surveillance qui a motivé la réforme des appellation^. Dette réforme trouvait à l ordre du jour des délibérations de nos Hoctions depui de nombreuse» années. C'ait dire combien nos camarade* du cadre de surveillance tenaient à la Mubutitution du terme déprécié de gardien» par celui, mieux eppropriê à leurs fonctions, de «surveillant». (Test dire ausel com été grande leur légitime atinfactlun de Ih signature du décret du lv août bien a le JtMir 19X9. C est égalciiirnt pour une question de pre«- tige que nou* avions demandé en Algérie tout au moins à remp:acer l'appellation de commis aux écritures» par celle de commis-rédacteur». plus conforme aux attributions de no* carnnrad-* commis, chargée principalement de travaux de rédaction. Outre les d«mx mots aux écritures ajouté au titre de commis, constituaient une superfétation qu'il était logique de faire disparaître - chacun sachant qu un commis, dans notre Administration, travaille aux écritures il Importait de mettre un terme A la confusion qui se produisait entre les commu» de l'administration et les commis du servie* de l'entreprise. Car, on dira ce que l on voudra, mais nos camarades commis ont quelque peu raton d être choqué* par cette particularité que. dan» un même établissement, deux services intfmciinnt liés. I! est vrai, mate aussi très distincte (Administration et Entreprise), Irte différent. mal *e confondant du public par suite d une similitude lion. Gui! nos camaracls ne veulent?a/ Air*» confondus, par le titre, avec le* employés de ('entreprise. Certes, ce n est pas un sentiment de mépris à l égnrd de ces derniers qn lb demandent A établir une distinction entre eux : ne leur falon* piu* cette Injure. Mais il y a tout de même une question d'ordre et <te prestige. qu'il convient de faire trancher dan* l intérêt du personnel de l Admini«tration. La question, mal présentée sans doute, na pa* permis ù nos camarade* d'obtenir satisfaction avec le décret du 1* août Elle reste, pour mol. pendante comme on dit au Palais. Elle doit être reprise à la première occasion, et j'ai la parfaite vk-ion que d ici peu de temps no* camarade* commte s appelleront commis-rédacteur», titre qui indiquera mieux la nature de leurs fonctions, et aussi, oe pas suscites cadres de titre suffisamment effacé. p<»ur ter de» jalousies pa *!bl«a dan* l'administration supérieure. Je me rends compte que mon sujet m a en traîné un peu trop loin, alors que j'avais l in- ' tention d'être bref, car je m'étate simplement proposé de parler dos greffa-r«-comptable* et des économe*. Je m'eu excuae auprès dta camarades. à moins qu ils ne veuillent bien me permettre d* m'en féliciter, car on vaudra, dans res conditions, m acrorder plus volontiers que mon intervention dans les colonne* de autre vallkant organe ne constitue pas uns œuvre personnelle. Quavalt-on demandé dans te Sections de 1 nos Amicale* et dans no* différent* Congrès, en France et en Algérie, pour te changement des appellations des greffiers-comptables e< des économes? Ries que je»ache. Militent de vieille date, associé aseex intimement à too le» travaux entrepris par notre Association Algérienne pendant es* quinse dernières année», je crois pouvoir affirmer que jamais il n'cet venu à l idée de personne de roanger. contre un titre quel- <te ffreffler-comptabte et d'êco- demander à ronque. ceux noms. Cependant, Je II* dans 1<- rapport précité d«m, te Ministre de la Justice : I»es vue* de l'adininistration concordent avec celle* de l As oelatten pmfe-»*iondelte du personnel ad rnlntetratif qui a demandé à plusieurs reçr: ses la suppression d'appellations désuètes....l'avoue n y rien comprendre du tout! Cependant certain» camarades <te la Métropole avec qui j'ai pu m'sntretenir de la question m ont dit qu eux y comprenaient quelque chose... Ils se bont rontenté» de rester mystérle^l Quoi â ta haute Administration, déchéance dont nous avons le décret du P* août 1919 T Un greffier-comptable, un des titres qui avaient une qu il en *oit, s est-on rendu compte, do la sorte de été frappé» par économe, vol IA signification de fonctions administrative». Ih reprise talent aux yeux du personnel et à eenx du publie lexercice de fonction* officielles et je dirai même quelque peu techniques. Dans tes Etablissements pénitent! Mûres dépourvus de contrôleur. c est souvent 1e greffier-comptable ou l'économe qui assume les fonctions de Directeur en cas d absence de cslui-cl J avoue, mol* qui al eu l honneur de servir dans tes rangs de lu surveillance, avoir su la plus grands considération pour mon grsffier-comptable. Je veux dire par là qu en l'absence du Directeur et du Contrôleur. 11 restait encore suffisamment de prestige au grsffter-comptabte et à l économe pour représenter dignement le pouvoir administratif, aussi bien aux yeux de l'adminbtratian supérieurs, comme aux yeux du personnel pénitent Lire, comme à ceux de l opinion publique. Hélas! il n en est plus do même aujourd'hui Los nouveaux a g en U trouvent à Isur entrée dans l'établissement quantité de comptable» : comptable de l Adm In lit ration. comptable» du* Services de i Entreprls», comptables détenus (il y a même des comptable* généraux parmi cette dernière catégorie!). Ces titre» de comptables n ont plus d'autre signification, pour tout!e monde, que celle de personnes chargées d aligner des chiffres. On trouve tant de comptable* dura les mille et une branches de la vie! occupent tou* deux des employés d'un ordre aux yeux d'appella- Et lorsque le Directeur absent est. aujourl'établlsement, tmmédiatemont le domaine dv d hul. remplacé à la têts de par son comptable, on sent comme un effondrement dans la discipline et de l autorité. Croy«*z bien également que ai. aujourd'hui, notre service se trouve sacrifié au point de vue «échelle du iraltemonta». cela est dû. pour une Imjud- partie, à l'insuffisance de considération à laquelle ont prêté nos grades vte-à-vki de ceux des lervlces Auxquels nous étions autrefois comparés. Un Directeur était assimilé à un sous-chef de bureau des ministères. car si l on trouvait après te sous-chef aux ministère-, des rédacteurs principaux et des rédacteurs, on trouvait auasi chez nous, après le Directeur. I*Inspecteur, le grsffiercomptnbte. l économe et le commis (et mêm-* «tes rédacteurs en Algérie), en un mot un cadre qui. pur le s^ul fait des appellations, était pris au sérieux. Jacques Mài.maknari, Greffier-Comptable du Prnitencier Agricole de Hrriouaphia (Alger). VlllUEIISI.H'IltSSt Le» économies de M de Lastevrie augmenter les gros traite LADSAT NOTE POUR LFS ADHERENTS RETARDATAIRES DE LA CAISSE DE SOLIDARITE Camarades. Le résultat du versement du 1 semestre 1922 sera publié dans le Réveil de julllet. Les camarades qui n ont pas effectué leur versement du premier semestre 1922 sont priés de le faire parvenir immédiatement au trésorier de leur section pour que toutes les cotisations me soient parvenues a-ant le 1 juillet, dernier délai Le trésorier. Godet ADRESSES A RETENIR Qu on se le dise! Il m'a rté assuré que lors du passage de I* voifsrr cellvlalrr dans la région, un agent de or service aurait conseillé d un membre du personnel de surveillance d'une d"s prisons de mu circonscription de cèauprr d'amicale sous prétexté qu il obtiendrait plus rapidement satisfaction à une demande qu'u avait adressés par la voie réglementaire. Je tiens d mettre le personnel en garde contre de telles manœuvres, qui n'ont pour résultat fjur de semer la discorde, amoindrir Tauton lé des chefs rt affaiblir la discipline. D'autn part, rba^r sait qnt si tes amicales jn uont intervenir dans fri questions ttimtêrct général. Il n est pas dans lêutu attributions de s occuper des cas particuliers. En rr qui concerne nia circonscription, je liins à pactiser que feramine toujours avec le plus grand soin toutes les demandes qui me sont adressées en vn«dr leur transmission b Tautûrité supérieure. Qu'on me faste du bos servie? et Je m efforcerai d être, utile et mémo agréable d tous. Par conséquent, si dre propos de la nature de ceux qui font i nbjcî dr la présente circmlalre étaient tenus dans votre établissement vous auriez à m'en avertir afin que je puisse saisir nffictcunment M. le ministre de la Justice. (A suivre). Le DrniXTBi-R. De l Humanité. du 26 mai : ^llcs sertiront ù ments. Notre ministre»ar sa presse la des Finances fait vantei «politique d économie îu il poursuit en réduisant le nombre dra pc its fonctionnaires. Plus de agents et mp.oyé* de l administration A supprimer cet e année ; nos prédécesseur* n'avaient pa* trou.*é ça Et puis, n'avait-il pas, d ua simple trait le plume, biffé du projet de budget de 1922 e* 720 francs d'indemnité de vie chère du per ion ne! qu'il daignait conserver? Le conseil des mlntetrca s est tout de même nquiété du zèle réformateur de M. du Ln*ley rie et. sur tes protestations du Temps» lui même. Il l a invité ù déposer un projet ten Jant A maintenir jusqu'à nouvel ordre l'indemnité de cherté de vte qu il avait proposé desnp primer. Maie voici que notre argentier sc rattrape. Ah! on veut laisser Ira 720 franc* au petit personnel T Wb bien, que les gros fonctionnai res aient aussi leur part! Et en attendant te projet que le conseil des ministre* l'a prié d é tablir..m. de Lssteyrie vient d'en dépœer un autre qui tend à ouvrir un crédit supplémentaire de francs en vue d accorder au «Personnel Supérieur» de» administrations centrales des indemnité* variant de à francs. Nous donnons ci-de**ou* te tableau comparatif des traitements actuels et des traitements proposés par le gouvernement : Traitements actuel* : Directeurs généraux : Cr. ; Directeur* : à fr. ; Sous-directeurs : à fr. ; Chefs de bureau : à ; Sou»-chefs de bureau : à fr. Traitements proposé» : Directeur* généraux: fr. ; Directeurs à fr. ; Sou*-di recteur» A fr. ; Chefs de bureau û fr. ; Soun-chHfe de bureau : à fr. Aucune augmentation n'e«t prérue pour les rédacteurs, ni pour le» commis et expéditionnaires. L exposé des motifs du projet de loi rappelle que la commission interministérielle < a hucevrtsivement étudié la question de relèvement de traitement* et celle des économies destinées d compenser, au moins pour partie l'augmentation de dépense* à provenir de ces relèvement*. En ce qui concerne ce* économie*, dit l exposé un peu plus loin. la commission tenant compte des réductions déjd effectuées sur 1rs crédits des administrations centrales ptir la loi de finances du SI ddermbre proposé de nouvelles compressions qui. pour l'année atteindraient fr. Les petits fonctionnaire* congédiés par M. de l-aateyrlc auvent donc A quoi»'en tenir sur n véritable cause de leur infortune : on a voulu réaliser de* économies pour aug menter 1rs gros traitements dr leurs chefs dr service. Richet. 8. square Delambrc. Pari» (IP), secrétaire général Gady. surveillant à Fiwmm (Seine), trésorier général Godet, commis-greffier à Fr<-rc*e (Seine), trésorier de la Caisse de solidarité. La veaux, 68. rue Bousslngaull. Parla (13 ). gérant du Journal. Del ma», surveillant des traunfê remonte cellulaire*. 13, avenue d Orléans, à Antony (Seine). Le directeur de la circonscription pénitentiaire de X- a adressé à son personnel la ieàtre-cireuiaire ciaprès : Ajouter nn commentaire serait amoindrir la geste de ce directeur qui sait dire son fait aux farceurs qui promettent la lune pour attirer l eau dans leur moulin. LA FIDÉLITÉ DÉ L HONNEUR Le 18 avril dernier les membres du smmgroupe de Mulhouoe ont offert, au restaurant Vogel, un vin d'honneur au camarade Buntx. appelé aux fonctions de surveillant-chef à la prison de Colmar. Le camarade Buntx a «té un dre premier* qui a pria place dan* le* rang» de la jeune section d'ateace et de Lorraine fondée par le camarade FrémonL II a dirigé le sous-groupe de Mulhouse juwju'à *on départ Sa tâche n» pas toujours été facile. La vague do pessimisme, causée par le» éternel» atermoiements du gouvernement à noue donner un «tstut définitif et une compensation équitable pour 1e surcroît de travail à fournir dan» des circonstances difficiles, ainsi que les tiraillements dans!» *ein du personnel, ont menacé la Jeune section. Un certain parti n'a ménagé ni lœ pro- 'OMSCH, ni même les menaces pour attirer le :e. président dans ses rang». Camarade Buntx a su maintenir l union par *a confiance inébranlable. «on affabilité envers tou* et son dêvouemsnt ù la cause commune. Tous ceux qui connaissent le» circonstances particulières d* notre pays «'associeront à nous pour adresser xu camarade partant le* plus vivre félicitations pour son activité dans 1» passé et les meilleurs vœux pour eon avenir. A Mulhouse il a bien mérité de l'association «de la cae- *e française. Xnsisheim. le 2 juin »^»^» Demande de Permutations Le camarade O. Dubois, surveillant-chef (! classe), à Bourg, désirerait permuter avec n» collègue d un établissement de même catégorie. soit de la région méridionale ou fiud- OuetuL Lui écrire. Le camarade André, surveillant A la maison centrale de Fontevrault (Maine-et-Loire), demande un permutant pour le» départements: du Gard. Hérault, Vaucluse ou Bouchre-da- Rhône. lai 1 écrire. Ix* camarade Paradis, surveillant à la maison centrale de Melun, demande permutant dans Ire départements de Vaucluse ou du Gard. Le camarade Terret. surveillant à la maison centrale de Melun, demande permutant dans tes départements : Gironde. Lot-et-Garonne. Tarn-eLGarocne. Tarn. Le camarade Paillé Joseph. surveillant à la maison d arrêt de Corte (Cor*e). demande us permutant pour le continent Nécrologie Nous avoife le regret d apprende le décès des camarades dont les noms suivent : Mme Martin, surveillante à Montmêdy : Patrier François. 20 ans. surveillant à Bordeaux : Adoyer, surveillant à Redon ; Sécall. surveillant à Clairvaux. âgé de 43 ans. 14 ans de service. Nous prions les familles de ces camarade*, d'agréer nos bien vive» condoléances. Remerciements Profondément touché des nombreux témoignages de sympathie et de compassion dont j'ai été l objet dans les pénibles circonstance» que je viens do traverser A l occasion de la mort presque foudroyante de mon malheureux nia. je tiens à remercier du fond du cœur mes amis de la Seine, du Bureau de la Section do P. A. et du Conseil d'admlniatration qui ont bien voulu arelster à ses obsèques, lea camarades de la Rédaction qui ont nu la délicate attention d annoncer la trlsto nouvelle dans le «Réveil». et tou* ceux qui. de Paria et de Province, m ont adressé un monceau de lettre» de condoléance» auxquelles j ai été extrêmement sensible. J unis Ira uns et les autres dans une même pensé» reconnaissante, je leur exprime > tous ma plus vive gratitude pour m'avoir apporté, dans un moment où j ai été cruellement frappé dans mes affections, un précieux réconfort moral. E. BLIN. unebm neerdtaire gt'néral, Membre du Conseil, fiurirülant chef à Taure.

6 Klw «LB REVETE MWTTIWrtAinB Conseil d.administration oooéooooo J-e conseil d'administration» est réuni i le 6 juin en wn local habituel, sous la présidence du camarade Gndy. Etaient présents : Richet. Bllquez, Gady. Godet. Donidon. Bonnet. Leccia, Roussel. Chnmpomier, G lequel, Londlche, Bergé-An- dreu. Pény, Martel et Maury. Do service ou oxcusda : La veaux. Bocque- net. Moreau. Sorba, Ray. Alexandre. Cap- depon et Porte. Le procès-verbal de la dernière séance est adopté. Le S G. donne connaissance de la correspondance et des rapjxjrta transmis depuis la dernière réunion. I-e vœu éxnl* par la section du P. A. au sujet des militaires d'avant, question qui concerne d'ailleurs tout le personnel a été I transmis h M. le directeur général. Bllqurx Informe que la question est reprise actuellement par la Fédération. Affaire de Pile de la Réunion. Nos camarades ont informé qu'à l'exception des retenues de traitement abusive* dont ils avaient été l'objet, la situation était toujours la même Une lettre adressée au mois d'avril au chef de cabinet qui avait reçu la délégation étant restée sans réponse, copie du rapport déposé au mois de décembre a été envoyée au ministre qui. peu après, le 22 mai. a répondu qu'une mission d'information avait été chargée do procéder à une enquête sur place, que dès que ses travaux seraient terminés. Il no manquerait pas de tenir au courant des décisions qui pourraient intervenir. A la réunion générale, le camarade Cu- nault a fait connaître qu'à Melun, des congés sollicités par des camarades en vue de leur mariage avaient été accordés mais avec retenue. Un rapport de la section demandant que des congés sans retenue soient accordés lors du mariage d'un agent, de la nalas-ince d'un enfant ou du décès d'un proche parent a été transmis. Ont en outre été transmis : Uh rapport de la section de Marseille concernant la prison Salnt-Plerr» où le repos hebdomadaire ne peut être assuré. Commencement de satisfaction a été donnée, a es Instructions ayant prescrit de faire rentrer deux agents détachés Un rapport des camarades de la prison de Corbeil oh un démissionnaire. depuis longtemps, n'est pas remplacé. Un rapport de la section de Polesy concernant la maison d'arrêt de Blois, où une tentative d'évasion vient de se produire. Le manque de personnel es fait sentir dans cette maison et le remplacement des surveillante absents a été demandé d'urgence. Un rapport de la section de Marseille, signalant qu'à la prison de Graaee. où la population moyenne est de 64 détenus, il 'y a que 2 surveillant* pour assurer le service. Ix» S. G. demande ensuite si de» membres du conseil ont des objections h faire sur les modification* apporté* par la Fédération au projet de loi sur les retraites. Toutes les» Association» ont été représentée» au conseil fédéral: il semble donc que tout a pu être dit et qu'il n'y ait plue h y revenir. Pény objecte que l'art. 16 présente une anomalie, les somme* versées par un fonctionnaire ne pouvant Mro touchées par sre ayant* droit que s'il u acquis des droits à la retraits, disposition qu'il serait juste d'étendre à tous. Bllquez dit que h» but recherché par le gouvernement est le ma In tien de see agents en fonction*, des dispositions trop larges étant susceptibles d'amener le départ de beaucoup d'entre eus. Le S. G. transmettra à la Fédération l'objection du camarade Pény. Lecture rat faite par le 8 O. d'un procèe- verhal de la s.xstton de Beaulieu de laquelle le camarade Giraud, un vieux militant qui tient bien la section ot secrétaire depuis le 25 avril. Pour des motifs énoncée au procès-verbal. la radiation do Gulchaoua a été pronon :ée. Conformément aux statuts, le conseil prend acte de cette radiation qui sera eoumiss au Congrès. Pute le 3. G. rend compte que la secti >n de Grenoble se trouve actuellement sam bureau. Chaque fols que des radiations sont demandée* dans une section, il se produit un mécontentement général*, c'est ce qui 'ni p&sèé à Grenoble 11 donne lecture de la correspondance échangée. A la suite d une proposition de radiation qui n'a même pas été votée par la aoctlon. parce qu'il engageait à l'entente avec un vieux sociétaire, tes membres du bureau om donné leur démission, non roulement du bureau mais austi de l'association Tout le possible avait cependant été fait depuis quelque temps pour cette section, ce quo reconnaissent d'ailleurs les membres «bi bureau dans leur lettre de démission. Di»ers camarade* des sous-groupes ont demandé ce qu'lis devaient faire et s'il ne serait pas possible de les rattuchsr à la rectlon de Lyon. Après diecumlon. le conseil ne trouvant pas pratique le rattachement À Lyon décide, sur la proposition de Gady que les camarades de la serties de Grenoble, en attendant qu'il soit possible de reconstituer le bureau, seront invités à envoyer directement leum cotisations au trésorier général et à s'adresser au 8. G. pour tout ce qu'il* auraient h soumettre. Le S. G. expoae qu'avec d'autres membre* du bureau. Il a visité le local vacant à la Maison des fonctionnaires. Ce local, situé au quatrième étage, se compose de deux pièces; les réunions du conseil et des diverses commission* pourraient se tenir là où se trouveraient réunies tou las les archives. Le prix est de 710 francs H II y aurait Heu. en cas d'acceptation de s'occuper de l'achat de l'ameublement indispensable. Le conseil est d'avis qu'il y a lieu de faire cesser la situation actuelle, qu'il est de toute nécessité de réunir les archives dispersées dans divers endroits et d'avoir une salle de réunion. Tous les membres du conseil s'occuperont do la question de l'achat du mobilier et transmettront au 8. G, les renseignements par eux obtenus. Le S. G. entretient le contell du Congrès de Marseille, n'ajouttnt que quelques mot* au compte rendu qn'll a fait à la réunion générale; les délégués, dit-il. oui fourni un grand travail qui les a tenus quatre jour» complot*. Il termine en transmettant 1s salut fraternel des camarades d'algérie et de Tunisie, co qui lui a été bien recommandéet ne doit pas oublier. Une réunion du personnel des trois établissements de Marseille a été tenue. Tous, sociétaires ou non ont été invités; une visite a été faite nu directeur. Tout le personnel assistait à la réunion où a été démontrée la nécessité do faire partie de l'association; la plus grande cordialité n'a ceisé de régner, sans un mot discordant et, actuellement, le P. A. demande à adhérer. l^e 8. G. pense qu'il y aurait Heu de faire une sélection dus travaux préparés à.marseille. Quelques vœux réalisables seraient soumis à l'administration supérieure; les grosse* questions qui peuvent attendre seraient publiées dans le «Réveil». Elle» seraient étudiées et chacun apporterait ses Idées au prochain Congrès. SI cette manière de voir était adaptée, on disséquerait ce qui a été fait, on reprendrait les questions de : Réforme pénitentiaire; suppression du règlement de 1822; soins médicaux; détention arbitraire; condamné* h mort. l-e procès-verbal du congrès de Marseille sera publié dans le prochain < Réveil»; nos camarades seront ainsi éclairés sur ce qui a été fait. Ayant tout en mains, on pourra faire paraître nn numéro du journal affecté spécialement à ces questions et préparer de cette façon les travaux du prochain Congrès. Bllquez émet l avis que pour chaque question Il y aura lieu de nommer un rapporteur. 1-râ sections pourront ainsi fournir leurs objections et les délégués arriveront avec un travail préparé. Cest ainsi que l'entend le S. G. qui pense qu'un rapport doit être fait sur chaque question pour n'avoir plue à discuter que sur les conclusions de ce* rapports. l-ondiche demande où en est l'affaire Ri- bardlère. Le 8. G. répond qu il ne s agit plus de l'affaire Rlbardière mais de l'affaire do Polssy qui va être reprise; le rapport sera transmis incessamment au ministre à qui H y aurait Heu d'adresser une demande d'audience pour l'entretenir de la question dm suppressions d'emplois, du non-paiement de diverses Indemnités dues dapuis 1918 et du rappel d'avancement du deuxième semestre est décidé que cette demanda d'audience sera faite et la séance est levée à 23 heures. Mouvement dans le Personnel NOMINATIONS AsneUlonts-cAcff. MM. Mion. s. c. g à Dijon, surv. chef à Daume-les-Dame* ; Mar- sault, surv. à Fontevrault, s. ch. à Beaulieu; Deaplerre*,! surv. à ï-a Roquette. s. ch. à Clair vaux ; R* taon, s. c. g. A Brest.». ch. à Auberivo ; Costa, a. c. g. à Béziers, s. ch à Apt.! Surveillante et U* tart'eulanfe*. M. Lebreton. s. à Fontevrault. 1" surv. sur plaoe ; Madame Serpaud. surv. à Clermont, 1" surv. sur plaoe. Kart» Commte-prr//ters. MM. Simonin, *. à Dijon, s. c. g. à Clair vaux ; Romand, s. à Dijon (c.) s. c. g. sur place ; Champ, a. à Brest, a. c. g. sur place ; Bonneau, *. à Pot tiers, a c. g. à Douai. è aneiltanfrx contremalt r rejet. Mmes PeUlet et Bonin, de Cadillac, nommée* sur place. Surveillant t. MM. Malquion, à Clairvaux, et H Ion, à Ixm» (cent). Surveillant t ilaytairee. MM Bel vos, MA rigaad. Feu. Laveau. à Potesy : Bony, à Ajaccio et Valade. à Bastia. Survt tuantrs. Mmes Vielle, à Saint- Hilaire ; Dus. à Doullens ; Grandjeau. Tuè Her (veuve d«gu*rre».dréneau (veuve d'agent». Baladin. Catheline, PheBpeau et Borle. à Ret> I nés. MUTATIONS M. Patacchini, surv. chef, à Clermont-Fer nmd, passe A Angers. >1. Ixi borde rie,! *nrvm à Fresnes, passe h La Roquette. Surveilla nie. MM. Fléchier et Vives, de Rouen, pansent au Havre ; Maillard, d'evreux au Havre ; Ribre, d'evreux à Amiens ; De laup. de Bernay à Doullens (al ; Derchue, de Vervlm à Loos (cent.) ; Ottavy, de ChAteau- Thierry à Melun (c.) ; Laurent, de Laon à ' Marseille (al; Martel, de U Santé à Fresnes ; Lhotle. de la Conciergerie à la Santé ; Ko» mond, de Rtiffec à Maronnes ; Birgeul, de Limoge* A Jonzac ; Richard, de Saintes à La Rochelle ; Bouilleau. d Angers A Tours ; Créplllon, de Prenne* A Tour* ; PeHssler. d'angrrs au Val d'yêvre ; Cournûn, de Fon- tovreuit à Fr» snes ; HerpaUler. de Fonto- vrault à Saumur ; Laville. de Fontevrault A Fresnes ; Gaillard, de Fontevrau:t à la Santé: Joly, du Maa< A Nantes ; Cas té r an. de la Santé A Aniane ; Roussel, de Troyen A Montbéliard ; Grmsette. de Bar-sur-Aube A Clair- vaux ; Baudin, de Grey A Dôle ; Léonl. de Chaumont A Marseille (a>; Arbes. de Vesoul (c) A Lyon (al; Petit. d'epinal à Nancy ; Brugglamosca. de DOIe à Alx ; Badie.de Tulle à Aurillac ; DevIiloChabralle, de Cuasrt à Riom (c) ; Arnaud, de Riom A Valence ; Favennec. de Saint-Nazaire à Lorient ; Mogg*. de Saint-Maurice à Marseille (a) ; Fargearcl et Colombeau. de Saint-Maurice à Polssy ; Lepley, de Beaulieu à la Santé ; Arrousez, de Mortagm» A Beaulieu ; Laurent, de Mortaln A Beaulieu ; Simon, de Lavail A Saint-Nazaire ; Marc. d'argentan à Polssy ; Thomas, de Cou tan ce* A Cherbourg ; Bernard de Pont- l'evêque à Rlotn ; De rivière. d'alençon aux Douaires ; Brlchard. des Douaires à Corbeil: Bons, de Beanlleu A Draguignan ; Debrioa. des Douaires au Val d Yèvre ; Berthler, des Douaires A Lyon (al; Piriou et Beau fort, des Douaires A Polssy ; Huet, des Douaires A Montbrison ; Jambon, des Douaires A Saint- Etienne ; Baruteau et Bernuchon, do Saint, Hilaire A Polasy ; Rcnsêseau. de Belle-Ile A la Conciergerie ; Michel, de Belle-lie A Nîmes (cl ; l-affont, d Eyases à la Conciergerie ; hbunno, do ta Conciergerie à Fruaaes ; Le- raud et Marchand, de Fontevrault A Angor* ; Ruugrroa, de CbAtcauronx A ChAteaudun ; BalHargeon, de Niort A Nantes ; VerboL de poltlf r* A R xhefort ; Maurette. de Thouars A * nger» : BIcot. de Thousr* à Nantes : David et Lagreae, de Tbouars au Val d'yêvre ; i Viro;iet, de Tbouars à Sa.nle-M» arbuuid ; Vitré, de Satate-MenehouM A Tbouare ; Ar«mutin, de BeD^Ile à Blois ; Clément, de Blok» A Belle-Ile ; Rousseau, de Blois A Pote- sy ; Bodin, de Douaires à Bk>te ; Qulttard. de Montbéliard à Vienne ; Le Gai. de Cambrai auz Douaires ; Gaillard, de Fontevrault à Redon ; Serres, de Toulouse A Nîmes <e) ; SégalAê-Talonc. de Mon tau ban A Alx ; Lu- combe. de Montanban A Grasse ; Harislur. d'aucb A Eysses ; Fauré, d* Condom à An la- no ; Ladagnous, de Tarbes A EysMt» ; Fauré, do Cahom à Eyüses ; Pelaprat. d Kya»e* A Cadillac ; Carll. d'aaianc à Maraoilla (a) ; CharruHud. d'eyaseu au fort du HA ; Bausély, d'icysara A Tarascon : 8aint-8evln. do Toulon A Riom ; Gaillard, de Riom à Fre nés. Miulemolsulle Viel. do Rennes, pas*» A Clermont. EN DISPONIBILITE Mme Plchat. surv. A Rrnne» ; M. Albloet, surv. A Rodez (sur demande) ; M. Colin, surv. à Versailles (c) (d'offlee, invalidité physique). ADMIS A LA RETRAITE ffurvcumfs-cüe/9. MM. Bsrbecot. A Clair- vaux ; Ducrot. A Moulin»; Gulllory, A Amiens; I«erouge A Yssingcaux ; Pautrot A Mont mort lion. Fumeftàinff. MM Bernard et Bourey, à la Roquette ; Cellier. A Dijon ; Tester, A Cadillac ; Gauthier à Vienne. WwrwUlank-*. Menâmes Ducrot, à Moulins et Gulltery, A Amiens.. ' Réunions des Sections NIMES. Réunion du 28 février, sous la pr<tald«*nce du camarade Roy qui Invite au silence. A serrer les coudas et A faire disparaître le* animosités personnelles. Lectures est donnée de la correspondance ; d'un appel lancé par la Fédération au sujet du surcla*»- s-nwnt des indemnités du résidence, d un-j lettre de Mme Vve Cochet nu sujet de sa mise à la retraite rejetée par le Conseil il'etal Le camarade Boy présente les cama rades Berthelon et Couderc venant tous deux de Grenoble et leur souhaits la bienvenue au nom de la Section. Lecture est donnée d'un article paru dan* le «Petit Maraelllala» signé < un groupe de vieux serviteurs». Cet srtlcte qui tend A élevor 1m vieux en diminuent le prestige des jeunes est critiqué par Im camarades Boy et Albert ; ce dernier fait ressortir que ce n'est que pour semer la divl Ion qu'tl a été Inséré. Diverses revend ica lions locales sont ensuit» examinées. MONTPELLIER Réunion du 21 avril, sous la présidence du camarade Artlgu». secrétaire provisoire La but de lu réunion étant de nommer le bureau, on passe au vota Inscrits : 67, votant : 54 Ont été élus. Secrétaire : Artigue. c. g. 62 voix ; secrétaire adjoint ; Mlle Renucci ; trésorier : Bâtisse : trésorier adjoint : Faure. Le camarade Ar- tigna remercie en non nam et en celui de» membres du bureau, de la confiance qui leur est témoignée, dont ils s'efforceront d'ôlr.» dignes ; il félicite les camarades survell- lûmes d'ôtre si nombreuses à In réunion, fait l exfmmé des bienfaits de l Assocladon. èn démontre l'évolution et exhorte les camarades à la discipline et A la fraternisation. Ponr ks revwndtcatlons locales. Il s'engage à faire les démarches voulues lorsqu'il aura con- aulté les camarades intéressées et les en- gogo A faire de leur mieux un service irréprochable. RIOM Réunion du 24 avril. Présidence du camarade IbouleL secrétaire La réunion avait été organisée en l'honneur du camarade Londlche. membre du Conseil et secrétaire de la Section de Fresnes, de passage A Riom. Le secrétaire lui souhaitant la bienvenue dit combien 11 était bsureux que te sscti.m connaisse par la voix du secrétaire de Fresnee les origines de l'éphémère fièvre jaune Pendant 2 heures. Londlche entretint les camarades de Riom et fit connaître ce qui avait motivé l'intervention de aa aec- tlon. Une causerie s'engagea ensuite sur la situation actuelle au point de vue dre Indemnités et de la réduction des effectifs qui va désorganiser nos services et compromettre te sécurité de nos camarades des maisons d'arrêt. I-o secrétaire remercia te camarade lx>n- dfche. le priant d'être l'interprète de la section auprès du Conseil pour lut faire part de toute sa sympathie et de son profond attachement Malgré l'heure tardive, bon nombre de camarades ne rendirent dan» un éta bltessmcnt voisin pour trinquer en i bonr neur de notre belle devise. Bonne ut agréable soirée pour la soctlon de Riom BEU.E-ILEL Réunion du 28 avril, stnis te pré*wence du camarade HodeL L'ordre du jour comportait : compte rendu dre rapporta adressés A la Fédération et A te Commission interministérielle au aujet de l indemnité de résidence. Réponse du Ministre : < Mes services vont examiner cette question sans retard». Lecture réponses des parlementaires en ce qui concerne tes syndicats de fonctionnaires ; copies ont été adressées A te Fédération. lecture de deùx circulaires du siège : adoption de l'heure scolaire ot suppression d'emplois. Tous las membres du personnel do surveillance (sauf un) ont opté pour l heure solaire ; en ce qui concerne la deuxième circulaire, la section est unanime A approuver les considérations qu'elle renferme. Elle assure que. dans sa modeste sphère, elle veillera à ce que les avantages acquis au prix de tant d'efforts ne notent pas compromis. D'autre part, elle s'associe pleine- nom ont aux protestations faites ou tentées par le siège pour que les effectifs actuels ne soient point réduits. Il est donné lecture de te protestation adressée aux parlementaires et des réponses reçues ; copies du tout seront adressées au siège. Demande de réintégration du camarade G1- boln. démlssionnaira Après discussion, ta réintégration de ce camarade est décidée par 18 voix contre 5. Question* diverses : protestation contre la désignation d un agent pour faire fonction de premier surveillant en remplacement de M. Bertho, emploi supprimé. La section estime que ce n'est plus l'emploi de premier survoiltant qui est supprimé mal* bien celui d'an agent ; demande de l'attribution d'un jjyrdln aux agents dont bénéfl- stent la plnpart dre -cewaraffss des Colonies agrtcotea Ce» rerrndkaiteu» ssiont soumi tes à M. ta Directeur. EY9SE8. Réunions des 28 et 29 avril sou» la présidence du camarade Testée Les deux délégués à la fondation d'une fédération départementale ont rendu compte que le principe de cette fédération avait été adopté entre les représentante du eyndicat des Institutedrs. des eaux et forêts et des pénl tentiaires. La section demande pour Ire Colonies la réduction dre heures de présence ou te paiement des beurre supplémentaires. Elle prie le secrétaire général de faire une démarche à ce sujet auprès de 1*Administration, de fal- à ce sujet auprès de l'adminlstration, de faire savoir ce qu il advient des MM» Tr. dont il avait été question l'an dernier et d'insister pour obtenir te demi-tarif. Les camarades Plagna. Balutelg, Rey, ont été désigné* pour présenter des revendications locales puis, le camarade Bouroncle a été admis dans le groupement à l'unanj- mité. THOUAR8. Réunion du 4 mal. vous ta présidence du camarade Roy. secrétaire qui donne lecture dre réponses reçues des parlementaires au sujet du surctessement des localités pour l'indemnité de résidence. Tou* sont unanimes A reconnaître le bien fondé de ta réclamation et ont promis leur concours ainsi quo pour tes 720 francs. section a émis les vœux suivants : ls Que pour le* agonis du personnel de surveillance (qui effectuent une service actif indiscutable) la mise A la retraite d'office soit prononcée automatiquement et sans exception après 26 ans de services ou 55 ans d'âge. 2* Que les mêmes agent* qui réunissent l une de* deux conditions puissent être admis à la retraite sur leur demande sans être obligés de fournir un certificat d'invalidité. 3- En ce qui concerne les emploi* réservé*. que l'emploi de surveillant commte-gref fier, devenu un grade, ne soit plus directement accessible aux candidat* militaire*. Ensuite, te camarade Aussandon, trésorier, donne cunnalsoanoe do la mutation du camarade Colin, premier surveillant A Clairvaux. nommé surveutant-chof A la maison d'arrêt de ChàtelloraalL LA SANTE. Réunion du 5 mal sou* te présidence du camarade Imbert, secrétaire. 38 présenta, 26 excusés et 27 absent* sans motif. Lecture de la correspondance. Approbation de la lettre adressée au Secrétaire général au sujet de l'admission d'un membre du P. A. «ans consultation préalable de la section. Le bureau rend complre de l audience qu'il a eue avec M. le Directeur en présence de M, le surveillant-chef ; Il e«t heureux de constater que toutes les revendications soumises, sauf une.ont reçu un commencement d'exécuthto. Le camarade Porte remercie le bureau pour tout le dévouement dont 11 a fait prouve ot demande en sa faveur un vote do confiance qui est accordé à l'unanimité. Porte regretta que les camarades se désintéressent tant des réunions et y assistent en si petit nombre. Sur te pn> position de Bouquin et de Chagnon, un blâme est voté aux camarades qui. sans mo tif, ne viennent jamais ou presque jamais aux réunions. Ut soc ré taire donne lecture d'une lettre de remerciements qu'il serait heureux d adresser à MM. les Directeur et Surveillant-chtd pour les amélioralton» qui viennent d fttr» aocordéos ; A l'unanimité les termes de la lettre sont adoptés. A la lecture d'une lettre du trésorier de Fresnes faisant part de ta mutation du camarade Dan- tony, premier survellant. contenant un commentaire en faveur du bon et loyal militant qu'est Dan ton y, une salve de bravos reten Ut en son honneur. Sur ta proposition du camarade Bérldo. l'aaeemhlée décld»- A l'unanimité qu«te camarade Imbert devra assister de temps en temps aux séances du Conseil. Imbert accepte mais fait remarquer qu il ne peut assister aux séances qu> titre d'au dlteur, n'ayant aucun droit A ta parola Le camarade Porto fait ensuite une causerie très Intéressant» sur ta dernière réunion du Conseil au aujet du projet des retraites, adresse un appel pressant A la bonne volon té de tou* pour les cotisations demandées par la Fédération en vue d une propagande In tense pour sauvegarder nos droit* acquis. Il annonce également une réunion générai* pour te fin du mois et demande instamment à tou* de s'y rendre. POISKY Réunion du 8 mai. Un ordre d i jour émanant d» tous les camarades présenta a été adopté A l'effet d'adresser toute leur gratitude et leurs bien sincère* remerciements au camarade Planchet pour te bonne camaraderie et te dévouement apportés A notre cause corporative, ayant assuré pendant 16 années au bureau de te Section les ; fonctions d»» secrétaire adjoint d'une façon ligne de tous 61 ogre ; d'une vision juste et bien éclairée, le* camarades trouveront toujours près de lui une bonne direction émanant de ses bons conseils. BEAUUKU. Réunion du 29 avril. Après l'appel nominal, le secrétaire déclare te bureau démissionnaire et demande de désigner un bureau i>rov *oira Le camarade Rou- beyrie est désigné pour présider te séance. Le camarade Lavaure donne lecture d une adresse qu'il a faite demandant de porter les voix sur le camarade Giraud comme secrétaire ; ce camarade, dit-il. ret un vieux militant et tout son passé témoigne en sa faveur. Le camarade Giraud devant ta pression qui est faite dit qu'il acceptera dans un but d'union. On procède au vote. Inscrits : 77. Elu» : secrétaire. Giraud, 65 votx ; secrétaire adjoint. Boche, 53 voix ; trésorier. Boule. 66 voix ; trésorier adjoint. Néel. 61 voix. Le camarade Giraud prend possession de son poste et remercie le» camarade* de ta confiance qu'ils témoignent au nouveau bureau. Il les assure qu'il fera passer les inté rêt* de ta collectivité avant les intérêts per- t sounels. demande et Insiste pour que tou* les camarades assurent leur service d ans façon Impeccable et pour que l'union sacrée existe parmi te section. Il demande que le camarade Bugnazet du P. A. soit désigné comme conseiller technique (adopté), et termine en déclarant que plu» que jamais noos devons mettre en vigueur notre belle devise : < Toa* pour un. un pour tou»». Un tonnerre d'applaudisssaants termine son appel A la concorda La parole est donné#. A la commission d en- luéts nommé» pour examiner le» agi» ment» de Plllst»t Galchauua à l'égard du camarade Maria Après. 1». rapport de cette commission établis tant I» manque d» cami rndorle dn Pillet et Gulchaoua qui. ayant trouvé M«rte tombé sur I» palier, prit d'un étourdtesemenl l ont dénoncé comme étant en état d'ivresse, la»ectlon. vu te«antécédent* de camaraderie d» Plltet. décide de lui infliger un blâme qui aéra Inscrit* au procès-verbal et au «Réveil» pute, prononce ta radiation de Guiehacua Celte radiation sera soumise au Conseil d administration en le priant de vouloir bien l'accepter. Dès c» jour, le bureau prend en main* Ire rapport concernant cette malheureuse affaire. On nomme une commission qu) ne s'occupera que du service. Sont désigné* : Quontam. Barthélémy, et Chambord. Le camarade Bugnaxel demande que l'assoctatio» Intervienne pour que le* frai» d» détache m«mt des agent* dans Ire maison* d'arrêt soient avancés par l Adminlstration et non par les agents. MELUN. Réunion du 8 mal sous ta présidence du secrétaire qui souhait» la bienvenue aux camarades Péiiaaler, venant d» Provins. Lucas et Léon de Fontainebleau si Dautriât, du Val d'yêvre. Nous connaissons déjà. dit-u. cm camarades, nous savons que ce sont de bon* militant*, nous espérons, maintenant qu ils sont au s»ta d» ta section. qu ils apporteront leur concours. L» secrétaire demande pour te bureau l autorisation d'expédier au siège les ordres du jour et les procès-verbaux des séances dès leur vote. Ia> camarade Perrin appuie cetts demande. te système actuel ne permettant de faire mention des faits dan» te journal qu'un mois après leur discussion. A l'unanimité, ta demande est accordée. Le secrétaire donne lecture d'une réponse de M. Dumrenll, député au sujet des syndicat* do fonctionnaires L'Assemblée décide que Ire réponses de MM. Chaussy et Dumesnil seront transmises à 1a Fédération, le secrétaire était d avis qu'il ne faut pas attendre de réponse des autres députés de Selne-oUMarne, pi- llani du Bloc qui ne/répondront pas. Le secrétaire propose de voter une somme annuelle do 12 francs pour l entretien de la tombe du camarade Gravier. Proposition acceptée à l'unanimité. 11 est donné connaissance d'une lettre de démission du camarade Caaanave qui, invité A venir donner dre explications, n'a pas répondu. Le secrétaire flétrit l'acte de Cazanave qui n'a aucun mo tff do quitter l'association ; fl ne peut comprendre que de jeunes camarades quittent no* rang* à l'heure actuelle où nos dirigeant* cherchent A nous anéantir. Tous voudraient noua diriger comme par le passé, à leur fantaisie : suppresion de traituiuent, arrêts, privation de congés, 12 et 14 heures de service, voilà leur Idéal révé. N'ou- bllsz pas camarades te vieux proverbe : Diviser pour régner. Plus que jamais, nous devons rester groupés et avant d'imiter Cazanave. vous réfléchirez. Rente ignés-vous sur ce qu'a fait notre Association pour nous et nos famlhes, vous la jugerez utile et voua verrez non seulement ta nécessité mais un devoir de rester sous sa bannière. Malgré tout, j'espère que le camarade Cazanave aura un remords de conscience el reviendra avec nous. On passe ensuite à ta discussion de questions locale* : service d» nuit qui, dit le secrétaire, est plus dur à Melun que dans toutes les autre* grandes maisons ; M n reparlera au directeur qui peut-être se décidera à donner satisfaction. Manque d» discipline ot temps nécessaire pour aller voter. MELUN. Lre surveillant* de* prison* ds Mslun. réuni* en séance 1e 24 mai 1822, aasoclent au Conseil d Admlnlstratlon pour protostrr énergiquement contre toute suppression d'emptoi qui frappe toujours les petits sans attaquer te haut de l'échelle absorbant cependant ta plu* forte part du budget. contre ta mwnace de suppression de» 720 fr. qui doivent être maintenus plu» que jamais ; contre toute détention préventive arbitraire qui.est contraire aux droite du citoyen et à tout vrai régime républicain démocrate ; demande ta suppression de l'impôt sur les salaire» qui frappe l'ouvrier et laisse en pslx la haute finance, 1e patronat et tou* les mer cantls ; donne mandat à son secrétaire de se rendre le 29 mal à Parts à I*Assemblée générale pour être son porte-paroles près du siège social et lui donne tout son appui pour qu il mène A bien cette tâche de protestation. ANIANE. La section s est réunie tes 12 et 13 mal pour procéder au renouvellement du bureau. A la première séance, après le vote, bonne chance et bonne santé ont été nouiiai- IdoH A tous les camarades quittant ta Co* Ionie, appelé» A remplir leur» fonction» dans d'autre* établissements, souhaita s'adressant également A leur famlllea. A celte ocra» km, un toast fut porté par les camarades Chambon. Rlgoulet, Scapula. Charvre et Bal votât et on» e«t séparé aux cris de : Vive l Association! A la deuxième séance, ont été déclarés élus A l'unanimité : Séta, secrétaire ; Ro- mieu. secrétaire sdjolnt ; Boutesac, trésorier ; Durcay. trésorier adjoint. Le camarade Bêla lève la séance après avoir remercié le» camarades d'avoir bien voulu lui témoigner leur confiance par un vote unanime. BEAULIEU. Réunion du 20 mal Présidence du camarade Giraud, secrétaire, qui Invite les sociétaire* à venir plus nombreux aux réunions surtout lorsque des questions aussi importantes que celle* de* 720 francs sont A l'ordr» du jour. Une réunion du Cartel des services publics relative an maintien de l'indemnité de cherté de rte devant avoir lien A Caen le 21 courant, te secrétaire Invite tous le* camarades disponibles A assister à cette manifestation «t demande qu'une somme do 50 francs soit prise sur la calas» pour subvenir, de concert avec les autre» groupe- msn t* locaux aux frai* occasionnés par la location de la salle^el de 1a publicité (adopté). Ensuit», lecture est donnée d'un appel du secrétaire général et de ta fédération demandant que dès maintenant un» souscription soit ouverte afin de constituer un fonds d» caisse nécessaire en vue de» prochaines élections et pour reformer I» groupe parlementaire. Cet appel, ml* Aix votx. e*t adopté A l'unanimité. Dès maintenant, la»oa*- crlptlon est ouverte. Pâte, après quelques revendications locales et une petite causerie du camarade Dugnazet du P. A., ta aéanci est levée. ** C.rsaf ; LAVKAUX GRANDE IMPRIMERIE «PEREFCTA»» Neuve-PoulDOOUXt. «XI»)

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