RAPPORT DE L ATELIER

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1 Atelier régional de renforcement des capacités, de partages d expériences et de mise en réseau des experts en évaluation environnementale des cabinets d études ouest - africains RAPPORT DE L ATELIER Novembre 2010

2 Introduction En vue de relever le défit de manque d outils adéquats et de la faible disponibilité des données en Evaluations environnementales, ainsi que celui de la compétitivité des experts Africains en Evaluation d Impacts Environnementaux, l Association Ouest Africaine d Evaluation Environnementale (AOAEE) avait inscrit dans son plan d action le renforcement de capacités de ses membres en matière de veille environnementale. Dans ce cadre il a inscrit dans son plan de travail annuel (PTA) 2010, une session de renforcement des capacités des bureaux d étude en Evaluation Environnementale. Cette session se veut non seulement de contribuer au renforcement des capacités, mais aussi de partage d expériences, d informations et de connaissances en matière d Evaluation Environnementale, et de mise en réseau des experts en évaluation environnementale des cabinets d études ouest-africains. Elle a reçu l appui financier du Centre Suédois d Etudes d Impact sur l Environnement. L atelier a été organisé en collaboration avec l Association des Spécialistes en Evaluation Environnementale du Togo (ASEET). Il s est tenu dans la salle de Conférence de SAPNA S DREAM S HOTEL à Lomé les 29 et 30 octobre 2010 et a connu la participation des représentants des cabinets d études en EIE du Bénin, du Burkina Faso, de la Cote d ivoire, de la Gambie, du Ghana, de la Guinée, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Nigéria, du Sénégal et du Togo. La liste nominative des participants est mise en annexe.

3 1. Objectifs de l activité Objectif Général : L activité vise à un atelier sur le renforcement des capacités des bureaux d études en Evaluation Environnementale. Elle est conforme aux mandats et objectifs du CLEAA et à l objectif général #1 et à l objectif spécifique #1.1 de l AOAEE. Objectifs spécifiques de l atelier 1- Partager les expériences entre les experts en évaluation environnementale des pays de la sous-région "Afrique de l Ouest" ; 2- Mettre en réseau les cabinets d études et experts ouest-africains en évaluation environnementale, pour les échanges d informations et de données. 2. Déroulement Ouverture La session a été lancée par le mot d'ouverture du président de l Association des Spécialistes en Evaluation Environnementale du Togo (ASEET), Monsieur Abalo BALA KINDI. Dans son mot d ouverture, il a remercié les experts en Evaluation Environnementale pour avoir répondu à l appel du Secrétariat Exécutif de l AOAEE. Les problèmes que nous partageons dans la sous-région ouestafricaine seront relevés dans les différentes communications que présenterons les experts. Ces communications ne sont pas choisis au hasard, elles tiennent compte des problèmes d actualité quotidienne au plan environnemental. Chacun des cabinets d étude en EIE ici présent sortira avec une connaissance en plus. Puis nous formerons un réseau afin de continuer à s échanges les informations pour une meilleurs atténuation des impacts environnementaux des projets en Afrique de l ouest. Il enfin exhorter chacun à se sentir à l aise avant de donner la parole au représentant du Secrétariat exécutif de l AOAEE. Le représentant du SE-AOAEE en la personne de madame GODONOU L. Joseline a également remercié les participants d avoir honoré de leur présence à l invitation du SE-AOAEE. Elle a présenté les excuses du SE-AOAEE, Monsieur ISSA Maman-Sani, qui a accusé de retard en raison d autres fronts de lutte. Elle

4 a ensuite présenté brièvement l AOAEE, la composition du Secrétariat Exécutif, les activités menées et les projets en cours. Tout cela est présenté en détail dans prospectus sous forme de chemise dossier qui a été distribué, signala-telle. Suite à cela, le programme de l atelier a été amendé. Aucune modification n a été apportée. Puis chacun des participants s est présenté en déclinant toute son identité. Pour un bon déroulement de la séance, Monsieur Abalo BALA KINDI a été désigné comme modérateur de l atelier. Déroulement de la session Après l ouverture, les échanges d expériences se sont déroulés sous forme de présentation des communications suivis des débats. 1 ère communication Thème : EIE des grands projets agricoles Présentation Microsoft Office PowerPoint (Double-cliques sur l icône pour ouvrir le fichier) Elle a été présentée par Monsieur Agoro SEBABE, membre de l ASEET. Après sa présentation, les débats ont consisté en des questions, des contributions et des réponses aux questions. Le tableau I ci-après présente le récapitulatif des débats. Tableau I : récapitulatif des débats de la 1 ère communication sur EIE des grands projets agricoles QUESTIONS CONTRIBUTIONS / REPONSES AUX QUESTIONS Parler des prévalences des maladies à cause des affluences dues au projet au lieu de cibler seulement le SIDA Au cours de l évaluation des impacts des projets agricoles, on se limite souvent aux produits chimiques sans aller plus loin. Particulièrement les organochlorés ne sont pas plus émanant que les organophosphorés qui sont plus dangereux que les organochlorés. Nous les

5 Comment doit-on réaliser la synergie entre l ensemble des acteurs des projets agricoles et quel sera le rôle des bureaux d études? En plus des projets agricoles, il existe actuellement des projets sur le biocarburant ; mais il n y a pas encore des textes qui régissent ce domaine dans nos pays de l Afrique de l Ouest. environnementalistes nous devons aller plus loin en suivant depuis les origines jusqu aux dérivés après décomposition. Dans toutes les étapes de l Evaluation des Impacts Environnementaux, on peut avoir le rôle de chaque acteur. Le bureau d études doit avoir une vision synoptique sur tous les acteurs concernés pour faire intervenir chacun selon son rôle. Dans nos états, les grands projets agricoles sont initiés par l Etat, et souvent l Etat en tant que promoteur ne fait pas toutes les démarches vers les différents acteurs ; c est le bureau d étude ou le consultant d EIE qui doit faire le nécessaire pour atteindre tous les acteurs et intégrer tous les aspects des TDR. Les bureaux d étude travaillent suivant les TDR. Il faut aussi que le bureau d étude qui est désigné soit évalué sur les TDR pour voir niveau de connaissance par rapport aux TDR. Concernant la problématique de biocarburant, une commission a été créée au Togo, mais orientée vers la sécurité alimentaire. 2 ème communication Thème : Les SIG : un outil d évaluation environnementale Présentation Microsoft Office PowerPoint (Double-cliques sur l icône pour ouvrir le fichier) Cette communication a été présentée par Gildas Junior BOKO, Assistant du Secrétaire Exécutif de l AOAEE. Suivant le principe retenu, les débats constitués des questions, des contributions et des réponses aux questions ont suivi la présentation. Le tableau II ci-après présente le récapitulatif des débats. Tableau II : récapitulatif des débats de la 2 ème communication sur Les SIG : un outil d évaluation environnementale.

6 QUESTIONS La préoccupation se pose en termes de coût et de temps. Certains disent que l EIE est un blocage pour l évolution d un projet ; un SIG pour l EIE n est-il pas un plus à la perte du temps et de l argent? Si la finalité d un SIG est la spatialisation sous forme de carte, pourquoi les SIG ne sont pas la cartographie? N est-il pas mieux de proposer aux Etats africains de mettre en place les SIG pour mettre les données à disposition des bureaux d études, au lieu que ce soit les bureaux qui n ont pas assez de moyens de constituer leurs SIG. L utilisation des SIG pour l EE fait références aux bureaux d étude. Les bureaux d études ouest-africains n ont pas accès à ces outils pour être compétitifs par rapport aux bureaux d études européens. Comment surpasser ces handicapes pour être compétitifs sur le marché international. Quelle définition donne-t-on à la cartographie si les SIG ne sont pas la cartographie? Est-ce qu on a des logiciels dépassés, à voir l état de nos institutions? Quel profil faut-il avoir pour être spécialiste en SIG Faut-il en tant que bureau d étude associer un spécialiste en SIG ou peuton intégrer nous-mêmes les données dans les SIG? Quels sont les projets de l AOAEE dans le domaine des SIG? CONTRIBUTIONS / REPONSES AUX QUESTIONS Comme une EIE, tout début est coûteuse ; mais après on utilise les acquits pour améliorer les prestations. Les SIG permettent d évaluer rapidement et efficacement les impacts d un projet. Les SIG ne génèrent pas seulement les cartes, ils génèrent aussi les tableaux, les graphiques, etc. Aujourd hui on peut avoir et utiliser des shapfiles (fichiers vectoriels), les fichiers raster sur des sites. Ce n est pas la cartographie simple qui permet cela ; ce sont les SIG. Il est vrai que c est difficile et coûteux de disposer et utiliser les SIG. Mais il faut choisir former le personnel, acquérir les données par téléchargement ou par achat. Si l Etat va utiliser les SIG pour mettre les données à la disposition de tout le monde, les données seront très globales, sommaires et à grande échelle. Ces données ne seraient détaillées et utilisables pour projets à petites échelles. La cartographie est la réalisation des cartes tout simplement même sans l informatique, alors que les SIG intègrent l informatique, donnent les cartes et beaucoup d autres résultats. Il existe des logiciels de SIG libres et gratuits et il y en a de payants. Même ceux payants, on peut les kraker si on est bien outillé en informatique. Si quelqu un remplir les critères d informaticien (base de données et réseaux), de cartographe, de géomaticien, de spécialiste en télédétection, ce dernier s estimer spécialiste en SIG Selon la capacité du bureau d étude, il peut associer un spécialiste en SIG ou intégrer luimême les données dans les SIG. Un logiciel de base de données est en cours pour le CLEIAA.

7 3 ème communication Thème : EIE des grands projets routiers Présentation Microsoft Office PowerPoint (Double-cliques sur l icône pour ouvrir le fichier) Elle a été présentée par Monsieur Abalo BALA KINDI, membre de l ASEET. Le tableau III ci-après présente le récapitulatif des débats qui ont suivi sa présentation. Tableau III : récapitulatif des débats de la 3 ème communication sur EIE des grands projets routiers QUESTIONS Que faire lorsqu on rencontre des problèmes avec les populations qui exigence qu on ne touche pas à leurs divinités ou exigent des coûts très élevés pour les déplacer. CONTRIBUTIONS / REPONSES AUX QUESTIONS Sur l exemple de projet routier donné, les sites d emprunts et de carrières abandonnés est la faute de suivie et non de l EIE. L EIE aurait prévu les mesures et le suivi n est pas fait. Il faut développer les outils qui permettront voir les différentes composantes qui peuvent être touché lors d un projet routier. Il est souvent demander de présenter un tableau de mesures des impacts résiduels c'est-à-dire quels sont les impacts qui vont disparaître, ceux qui vont persister et ceux qui vont diminuer puis leurs mesures. Dans une EIE, on réponde aux objectifs du développement durable. Donc les composantes à privilégier ne pose pas de problème. Lorsque le projet de route traverse une agglomération, le bureau d étude en tant que consultant de l EIE doit expliquer à la population les impacts du projet. Il doit être en mesure de proposer les mesures qui arrangent la population et le promoteur. Il faut faire la différence entre suivi environnemental et surveillance environnemental et bien situer les responsabilités.

8 4 ème communication Thème : EIE des grands projets pétroliers Présentation Microsoft Office PowerPoint (Double-cliques sur l icône pour ouvrir le fichier) Cette communication a été présentée par Monsieur OJO Adeolu du bureau d étude Triple E System Inc au Nigéria. Le tableau III ci-après présente le récapitulatif des débats ayant suivi sa présentation. Tableau III : récapitulatif des débats de la 4 ème communication sur EIE des grands projets pétroliers QUESTIONS Est-ce les problèmes sociaux qu on entend dans le Delta du Niger au Nigéria sont sont-ils liés au non respect des procédures d EIE des projets pétroliers ou bien où se situe le problème? Du fait que les projets pétroliers nécessitent de lourdes machineries, quels sont les aspects d évaluation et de gestion des risques d installations de connexions de réseaux d oléoducs des raffineries? Quelles sont les mesures proposées pour la gestion des ressources fauniques? Qu est-ce qui est du à la dégradation de la mangrove alors qu elle a été restaurée? CONTRIBUTIONS / REPONSES AUX QUESTIONS Le problème d enlèvements dans le delta du Niger est du au fait que les populations avaient accepté le projet et après les problèmes de chômage, d insuffisance de terres, etc. se sont posés. C est parce que les conditions qu elles ont demandé au gouvernement tardent à venir que les enlèvements ont commencés pour obliger le gouvernement à vite agir. La loi au Nigéria dit que la terre appartient à l Etat. Les communautés elles aussi défendent leurs propriétés foncières ; Lorsqu un projet arrive, le gouvernement négocie avec les communautés pour qu il y est un consensus. Pour les promoteurs, c est l aspect technique du projet qui les intéresse, ils ne s occupent pas de la sauvegarde des espèces ou de la végétation. La mangrove qui était coupée sur le site avait été replantée à un autre endroit. Ce sont les conditions de sols du nouveau site qui ont fait que la mangrove est dégradée. La partie ou le sol est saumâtre a favorisé le développement de la mangrove.

9 Table ronde 1 Thème : Les problèmes spécifiques de marché et de compétitivité des bureaux d étude locaux : Réalités, perspectives et solutions Animée par monsieur Abalo BALA KINDI. Résumé Les problèmes de marché et de compétitivité des bureaux d étude se posent en termes d argent. Les promoteurs des projets mettent l accent sur les aspects techniques et minimisent le volet environnement ; de telle sorte que les EIE sont très peu payés. Une autre réalité est que pour certains projets, le promoteur est à l étude technique et à l évaluation environnementale. Donc le cercle reste fermé autour de lui. Il y a aussi le système d amitié ; les promoteurs donnent les marchés d étude à leurs amis de telle sorte que l information ne sort pas pour que les autres bureaux soumissionnent. Le fait que les bailleurs de fonds imposent les critères de choix des bureaux d études et exigent parfois que le bureau d étude national sélectionné coopère avec un bureau d étude du pays d origine des fonds du projet ; cet état de chose réduit drastiquement les chances de compétition des bureaux nationaux. Ainsi le problème se pose en termes de protection des bureaux nationaux ; les états africains ne protègent pas ou protègent peu leurs bureaux d études nationaux contrairement à ceux des bailleurs qui protègent leurs en imposant qu un de leurs bureaux coopère avec les nôtres. Il en ressort les problèmes de garantie des bureaux d études nationaux. Il faut alors créer les conditions de garantis des bureaux d études nationaux en instaurant par exemple des visites/contrôles, une caution bancaire, etc. Il faut améliorer la qualité de présentation de nos rapports d études. Il faut s associer entre nous pour unir les différentes compétences. Il faut se doter des moyens nécessaires de travail et créer un réseau en notre sein afin de se communiquer les informations pour être compétitifs sur le marché international.

10 2 ème journée La deuxième journée de l atelier régional de renforcement des capacités, de partage d expériences et de mise en réseau des experts en évaluation environnementale des cabinets d études ouest-africains a commencé par la présentation des deux communications programmées pour la journée. Elles ont été présentées par Monsieur Maman-Sani ISSA, secrétaire exécutif de l Association Ouest Africaine d Evaluation Environnementale (SE/AOAEE). La première sur les Politiques de sauvegarde environnementale et sociale des PTF des pays en développement (Banque Mondiale, Union Européenne, BAD, BOAD, BIDC). Présentation Microsoft Office PowerPoint (Double-cliques sur l icône pour ouvrir le fichier) Et la deuxième sur le Challenge de la diversité actuelle des outils d Evaluation Environnementale et des terminologies (EES, CGES, EIE, EIES, PGE, PGES, Analyse environnementale, etc.) pour les échanges d expériences. Présentation Microsoft Office PowerPoint (Double-cliques sur l icône pour ouvrir le fichier) Suite à ces communications qui ont été presqu interactives, les débats ayant suivi se résume aux points suivants : 1) Le contenu de la catégorie FI (Intermédiaire financier). Il s agit d une catégorie dont les projets ne sont pas connus au départ. Le bailleur donne des fonds pour le développement d un secteur. Ce financement nécessite une évaluation environnementale qui est classée dans la catégorie FI. Mais lorsqu un bénéficière vient avec sont projets, ce dernier n est pas exempté de l EIE. 2) Les contenus des terminologies d Etude d Impact Environnemental (EIE), Etude d Impact Environnemental et Social (EIES), Etude d Impact Social (EIS), Etude d Impact Sanitaire (EIS). Selon le présentateur, le contenu dans ces différentes terminologies est le même dans la mesure où dans une EIE, tous les aspects (le naturel, l artificiel, le sanitaire, etc.) sont pris en compte comme dans une EIES ou dans une EIS. Bien qu on écrive EIES, il n y a pas

11 encore de procédure d EIES ; c est la procédure d EIE qui est toujours suivi en EIES. Au Sénégal, on fait une Analyse Environnementale Initiale (AEI) à partir de laquelle on fait une EIE et une EIS. La loi ne l oblige pas mais le Direction de l Environnement est rigoureuse sur cela et pénalise ceux qui n en font pas. 3) Les textes sur les EIE ne prévoient pas de recours de suspension en cas de conflit sur la validation d un rapport d EIE. Le moyen le plus souvent utilisé en cas de conflit, c est d aller à la validation et de rejeter le rapport d EIE même s il est bon. Ce qui n arrange pas le promoteur ni le consultant. Au mali, il est obligatoire de joindre la lettre de validation des TDR au rapport d EIE avant d avoir le certificat de conformité. Table ronde 2 Thème : Mémorandum de coopération et de joint-ventures (comment dynamiser les bureaux d études ouest-africains) Animé par Monsieur Maman-Sani ISSA. Synthèse: L objectif est de voir les opportunités à créer pour les bureaux d études. Il y a un site déjà fonctionnel au niveau de l AOAEE. Si un bureau d étude veut créer son site, on peut l héberger sur ce site. Les ressources que nous avons à produire, les documents, le logiciel pour le suivi des PGE déjà finalisé, seront mis sur le site. On a besoin d avoir une bonne base de données des bureaux d étude qu on met sur le site pour une meilleure vente à l international. Cela permettra de faire connaitre l existence des bureaux d études nationaux souvent recherché en vain depuis le niveau international. Il faut standardiser les pratiques d EE dans l espace CEDEOA. Quelle est la procédure de validation d EIE ou de législature d un projet qui est entre deux pays par exemple? Il faut hiérarchiser le réseau de sorte à ce que les bureaux d études nationaux soient s organisent et se mettent en relation avec les Associations Nationales

12 d Evaluation Environnementale (ANEE) qui à leur tour se mettent en relation directe avec l AOAEE. Il sera important que l administration nous aide en imposant que tout bureau d étude qui naîtra doit s inscrire au bureau de l Association Nationale d Evaluation Environnementale. Il aura sur le site de l AOAEE le une plate forme des bureaux d études Ouestafricaines. Donc d ici deux ou trois mois, chaque association nationale envoie à AOAEE la liste des bureaux d études de son pays précisant : Domaines Nom du bureau Intitulé adresses Expérience d expertise Il aura les échanges d adresses et de contacts entre les bureaux d études On peut créer un forum d échanges sur le site de l AOAEE pour se poser des questions et donner des réponses. On peut mettre sur le site les différents textes et outils régissant l Evaluation Environnementale afin de s échanger ces textes et se compléter pour améliorer les compétences des bureaux d études. Conclusion Les deux jours d échange ont permis à chacun d apporter sa pierre à l édifice pour que les bureaux d études et l AOAEE grandisse. L espoir est que les acquits feront d huile dans chaque pays représenté ici. Les remerciements sont allés à l endroit de l appui financier (SWEDISH EIA CENTRE), du SE/AOAEE et de tous les participants ayant répondu à l invitation pour l atelier.

13 Annexes 1 : Liste nominative de présence ATELIER REGIONAL DE RENFORCEMENT DES CAPACITES, DE PARTAGE D EXPERIENCES ET DE MISE EN RESEAU DES EXPERTS EN EVALUATION ENVIRONNEMENTALE DES CABINETS D ETUDES OUEST-AFRICAINS / REGIONAL WORKSHOP FOR WEST AFRICAN EA EXPERTS : CAPACITY-BUILDING, KNOWLEDGE SHARING AND JOINT-VENTURES AGREEMENT Lomé, le 30 octobre 2010 Liste de présence N Noms et Prénoms Pays Bureau d étude s 1- ALAGBE Landry Bénin ENVIDEV- Consulting landry.alagbe@gmail.com 2- DONOU T. Blaise Bénin LINER donaise2025@yahoo.fr 3- OGOUWALE Romaric Bénin IVATIS ogou25@yahoo.fr 4- BALA KINDI Abalo Togo balakindi@yahoo.fr 5- SEBABE Agoro Togo Comité d organisation / agorotg@yahoo.fr 6- ASEET AGRIGNAN Esso-Sam Togo ragrignanso@yahoo.fr 7- AGBEMELO Joël Togo JAT CONSULTING jatconsulting.ca@gmail.com 8- DOGOUA Michel César Côte d Ivoire BNETD dogouam@yahoo.fr 9- SELLY Camara Guinée AGRETAGE camaraselly@gmail.com 10- FOUTOU Ambroise Urbain Mali GEEIS Soul aufoutou@yahoo.fr 11- KERIM Abdellahi Ould Mauritanie amkerim@yahoo.fr Mohameden 12- HASSOUMIOU Mounkaila Niger ICA-Niger ica_niger@yahoo.fr 13- OJO Adeolu Nigeria Triple E System Inc. ade_bronco@yahoo.com 14- DEME N Diaga Sénégal H2O Engineering ndiagademe.sn@gmail.com 15- YAKOUBA Samboré Burkina Faso 16- NDENNEH Nying Gambie 17- DZOGBEDO Agbenyo Togo SAM Consult International Envi- Développement ysambore@yahoo.fr Envi.developpement@gmail.com

14 18- POLO-AKPISSO Aniko Togo Global lead 19- VOLLEY Koffi Togo BTEDE 20- TCHAYZA Dondja Togo SEC-DE 21- SENIOU Djao Togo 22- BOKO Gildas Junior Bénin 23- GODONOU Lisbeth S. Bénin Joselyne Staff / AOAEE 24- IDIETI M Po Edouard Bénin idworys@hotmail.com 25- MAMAN SANNI Issa Bénin Issa.42@live.com 26- AMOUSSOU Linda Bénin amoussoulinda@yahoo.fr

15 Annexe 2a : Programme de l atelier Atelier régional de renforcement des capacités, partages d expériences et de mise en réseau des experts en évaluation environnementale des cabinets d études ouest africains Jour 1 (29 octobre 2010) 1- Ouverture 08h 30 à 09h 00 Mot de Bienvenue du Point Focal national (Association des Spécialistes en Evaluation Environnementale du Togo) (Pdt/ASEET) Mot du représentant du Secrétaire Exécutif et brève présentation de l Association Ouest Africaine pour l Evaluation Environnementale (Staff/AOAEE) 2- Communication Débats : 09h 00 12h 00 09h 00 10h 00 : EIE des grands projets agricoles (Par M. Agoro SEBABE) 10h 00 12h 00 : Les SIG : un outil d évaluation environnementale (Par M M. Gildas BOKO et Edouard IDIETI) 12h 00 13h 30 : Déjeuner 3- Communication- Débats et Table ronde : 13h 30 à 18h 00 13h 30 14h 30 : EIE des grands projets routiers (Par M.BALA KINDI) 14h 30 15h 30 : EIE des projets pétroliers (par Mr. Adeolu OJO) 15h : Pause Café 16h 00 18h 00 : Table ronde sur : Les problèmes spécifiques de marché et de compétitivité des bureaux d étude locaux : Réalités, perspectives et solutions (Président M. BALA KINDI) 18h 00 : Fin de la journée Jour 2 (30 octobre 2010) 1- Communication Débats : 08h 30 12h 30 08h 30 09h 30 : Politiques de sauvegarde environnementale et sociale des PTF des pays en développement (Banque Mondiale, Union Européenne, BAD, BOAD, BIDC) (Par M. Maman-Sani ISSA) 09h 30-10h 30 : Challenge de la diversité actuelle des outils d Evaluation Environnementale et des terminologies (EES, CGES, EIE, EIES, PGE, PGES, Analyse environnementale, etc.) pour les échanges d expériences (Par M. Maman-Sani ISSA) 10h 30-11h00 : Pause café 11h00-13h 00 : Table ronde sur : Mémorandum de coopération et de joint-ventures (Président M. Maman-Sani ISSA) 13h 00 13h 30 : Remise d attestation et mot de clôture du SE/AOAEE et du Pdt/ASEET 13h30 : Déjeuner

16 Annexe 2b : Planning of the workshop REGIONAL WORKSHOP FOR WEST AFRICAN EA EXPERTS : CAPACITY-BUILDING, KNOWLEDGE SHARING AND JOINT-VENTURES AGREEMENT Day 1 : (October, 29 th, 2010) 1- Opening (from 08h 30 to 09h 00) Welcome speech from national focal point, Chairman of Association des Spécialistes en Evaluation Environnementale du Togo Speech of the WAAEA Executive Secretary Representant, followed by a short presentation of WAAEA and its main achievements (WAAEA Staff) 2- Presentations Debates (from 09h 00 to 12h 00) 09h 10h 00: EIA of agricultural projects (Mr. Agoro SEBABE, Togo) 10h 12h 00: GIS: a useful tool in Environmental Assessment (MM Gildas BOKO & Edouard IDIETI) 12h 00 13h 30 : Lunch break 3- Presentations Debates Round Table (from 13h 30 to 18h 00) 13h 30 14h 30: EIA of road constructions project (Mr. Abalo BALA KINDI) 14h 30 15h 30: EIA of oil projects (Mr. Adeolu OJO) 15h 30 16h 00: Coffee break 16h 00 18h 00: Round table on: Specific matters related to contracts and competitive quality of local EA firms (Chairman: Mr. Abalo BALA KINDI) 18h 00: End of Day 1 Day 2: (October 30 th, 2010) 1- Presentations Debates (from 08h 30 to 12h 30) 08h 30 10h 30: Donors environmental and social safeguard policies in developing countries (World Bank, European Union, ADB, BOAD, BIDC) (Mr. Maman Sani ISSA) 10h 30 11h 00: Coffee Break 11h 00 12h 30: Handling variety in EA tools and terms (SEA, ESMP, EIA, ESIA, Environmental Analysis, etc.) in a knowledge-sharing context (Mr. Maman-Sani ISSA) 12h 30 14h 00: Lunch break 2- Round table (from 14h 00 to 16h 00) 14h 00 16h 00: Round-table on: Memorandum of Joint ventures and cooperation (Mr Maman-Sani ISSA) 16h 00 16h 30: Graduation ceremony, followed by final speech of WAAEA Executive Secretary and ASEET President

17 Annexe 4 : Termes de références Titre : Organisation d un atelier sous-régional sur le renforcement des capacités des bureaux d étude en Evaluation Environnementale. Contexte et justification : La qualité médiocre des Evaluations environnementales en Afrique reste tributaire du déficit d'expertise, du manque d outils adéquat et de la faible disponibilité des données pour l analyse. Il n est pas rare de constater que lorsqu il s agit de l Etude d Impact Environnementale des grands projets (barrages, industries, les grands infrastructures de transport, etc.) les bureaux d étude et les experts Africains restent très peu compétitifs par manque d expérience malgré les cursus théoriques intéressants. C est pour contribuer à la promotion du renforcement des capacités et du partage d expériences, d informations et de connaissances en matière d Evaluation Environnementale dans les pays de l Afrique de l ouest, l Association Ouest Africaine d Evaluation Environnement (AOAEE) a initié un atelier de formation sur le renforcement des capacités en Evaluation environnementale des bureaux d études. Cet atelier de formation a reçu un appui financier du Centre Suédois d Etudes d Impact sur l Environnement. Objectif et concordance : L activité vise à organiser un atelier sur le renforcement des capacités des bureaux d études en Evaluation Environnementale Elle est conforme aux mandats et objectifs du CLEAA et à l objectif général #1 et à l objectif spécifique #1.1 de l AOAEE. Bénéficiaires Les bénéficiaires de cette activité sont les Experts en Evaluation Environnementale travaillant dans un cabinet d étude. Indicateurs principaux d exécution : - Ip-1 : les capacités d au moins 15 experts (membres d un cabinet d étude) ont été renforcées dans différents domaines de l évaluation environnementale. - Ip2 : Un rapport de l atelier est rédigé, contenant les expériences acquises par les participants - Ip-3 : Augmentation de la visibilité de l AOAEE auprès des experts en environnement de la sous région - Ip-4 : Existence d un réseau des cabinets d étude de la zone CEDEAO

18 Profil des participants Les participants attendus à cet atelier sont les experts en environnement travaillant dans les cabinets d études en évaluation environnementale. Activités : Pour mener cette première expérience, les actions suivantes seront réalisées : - Lancer l appel à nomination de participants auprès des points focaux nationaux, - Etablir le planning de l atelier - Réaliser l atelier - Rédiger le rapport de l atelier - Réaliser un suivi de l atelier sur une durée de 6 mois. Lieu : L atelier aura lieu dans un pays de l Afrique Occidentale, de préférence, membre de l AOAEE. Coûts : N Activités 1 Logistique et communication (Location de salle, interprétariat, presse, etc.) Prix unitaire $US Total $US Frais de voyage des participants Frais des participants (Hôtel, restauration, per diem) Frais d organisation Frais de Secrétariat (voyage, séjour, restauration) Rédaction du rapport final FP Total Durée : L atelier est planifié sur une durée de 2 jours de travaux intensifs

19 Annexe 4 : Photos des participants présents Maman Sani ISSA SE-AOAEE/BENIN Lisbeth S. Joselyne GODONOU A/SE-AOAEE/BENIN Gildas Junior BOKO A/SE-AOAEE/BENIN M Po Edouard IDIETI A/SE-AOAEE/BENIN Abalo BALA KINDI ASEET/TOGO AgorO SEBABE ASEET/TOGO AGRIGNAN Esso-Sam ASEET/TOGO VOLLEY Koffi BTEDE/TOGO SENIOU Djao CIES /COVODI - Togo AGBEMELO Joël JAT CONSULTING /TOGO POLO-AKPISSO Aniko Global lead / TOGO TCHANADEMA Mèwississo???/ TOGO HASSOUMIOU Mounkaila ICA-Niger FOUTOU Ambroise Urbain GEEIS Sarl / Mali DEME N Diaga H2O Engineering / Sénégal OJO Adeolu Triple E System Inc / NIGERIA

20 SELLY Camara AGRETAGE / GUINEE TEBONOU?????? Représentant TCHAYIZA DONOU T. Blaise LINER / BENIN ALAGBE Landry ENVIDEV-Consulting/ BENIN OGOUWALE Romaric IVATIS/ BENIN AMOUSSOU Linda Stageaire/SE-AOAEE/BENIN

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