Prospection Géophysique : Méthode Electrique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Prospection Géophysique : Méthode Electrique"

Transcription

1 Prospection Géophysique : Méthode Electrique Introduction, résistivité et sondage électrique Romain Brossier romain.brossier@ujf-grenoble.fr ISTerre, Université Joseph Fourier Grenoble L3P PPRS 09/10/2012 R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

2 Sommaire 1 Introduction 2 Résistivité électrique 3 Sondage électrique 4 Résumé R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

3 Sommaire 1 Introduction 2 Résistivité électrique 3 Sondage électrique 4 Résumé R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

4 Pourquoi la méthode électrique? Objectifs du géophysicien/géologue : caractériser une zone de manière robuste méthodes directes : forage méthodes indirectes : sismique, électrique la méthode électrique détermine la résistivité électrique la résistivité varie énormément dans la nature R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

5 Pourquoi la méthode électrique? R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

6 Pourquoi la méthode électrique? La variabilité de la résistivité en fait une caractéristique discriminante très employée pour la prospection Identification d une lithologie une mesure de résistivité de 500Ωm : argile ou sable? Identification de fluide caractérisation d un biseau salé en littoral Détection d anomalie forte objets métalliques enfouis R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

7 Sommaire 1 Introduction 2 Résistivité électrique 3 Sondage électrique 4 Résumé R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

8 Rappels d électricité U = RI (1) U est la tension, différence de potentiel entre 2 points de mesure : en Volts (V ) R est la résistance : en Ohms (Ω) I est l intensité du courant : en Ampères (A) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

9 Qu est ce que la résistivité? Nom : Résistivité électrique Caractéristique : paramètre intrinsèque d un milieu/matériau qui traduit sa capacité (difficulté) à laisser passer le courant électrique Notation : ρ Lien avec la résistance : la résistivité est la résistance ohmique d un cylindre de section et de longueur unitaire R = ρ L s (2) Unité? : L : longueur s : section R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

10 Qu est ce que la résistivité? Nom : Résistivité électrique Caractéristique : paramètre intrinsèque d un milieu/matériau qui traduit sa capacité (difficulté) à laisser passer le courant électrique Notation : ρ Lien avec la résistance : la résistivité est la résistance ohmique d un cylindre de section et de longueur unitaire R = ρ L s (2) L : longueur s : section Unité? : Ωm R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

11 Qu est ce que la conductivité? Nom : Conductivité électrique Caractéristique : paramètre intrinsèque d un milieu/matériau qui traduit sa capacité (facilité) à laisser passer le courant électrique Notation : σ Lien avec la résistivité : inverse de ρ σ = 1 ρ (3) Unité? : R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

12 Qu est ce que la conductivité? Nom : Conductivité électrique Caractéristique : paramètre intrinsèque d un milieu/matériau qui traduit sa capacité (facilité) à laisser passer le courant électrique Notation : σ Lien avec la résistivité : inverse de ρ σ = 1 ρ (3) Unité? : Siemens/m = S/m = Siemens m 1 = 1/(Ωm) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

13 Qu est ce que la conductivité? Nom : Conductivité électrique Caractéristique : paramètre intrinsèque d un milieu/matériau qui traduit sa capacité (facilité) à laisser passer le courant électrique Notation : σ Lien avec la résistivité : inverse de ρ σ = 1 ρ (3) Unité? : Siemens/m = S/m = Siemens m 1 = 1/(Ωm) en hydrogéologie, on utilise couramment le ms/m R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

14 Résistivité versus conductivité R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

15 Exercice : résistivité d un échantillon de grès Pour mesurer la résistivité d un échantillon de grès en laboratoire, On a : L= 20 cm diamètre = 3 cm différence de potentiel = 6 V intensité = 4.1 x 10 6 A 1 Valeur de la résistivité? 2 Valeur cohérente? R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

16 Exercice : résistivité d un échantillon de grès Pour mesurer la résistivité d un échantillon de grès en laboratoire, On a : L= 20 cm diamètre = 3 cm différence de potentiel = 6 V intensité = 4.1 x 10 6 A 1 Valeur de la résistivité? 2 Valeur cohérente? après calcul : 5172Ωm R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

17 Pourquoi les roches sont elles conductrices? 2 causes de conductivité dans les roches Conductivité solide passage du courant par déplacement d électrons (comme dans les métaux). Facteurs importants pour certains minéraux certains sulfures : pyrite, galène certains oxydes : magnétite, hématite le graphite, l or, l argent, le platine etc... les argiles sont très conductrices R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

18 Pourquoi les roches sont elles conductrices? 2 causes de conductivité dans les roches Conductivité liquide électrolytique passage du courant par déplacement d ions. les roches conduisent le courant grâce à l eau qu elles contiennent Facteurs importants Teneur en eau Nature de l électrolyte : types d ions et quantité (eau salée versus eau douce) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

19 Résistivité des roches R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

20 La loi d Archie Pour une roche saturée, une relation expérimentale nous donne (loi d Archie) ρ r = ρ w aφ m (4) ρ r : résistivité de la roche ρ w : résistivité du fluide a : facteur qui dépend de la lithologie (a<1 pour roches à porosité inter-granulaires, a > 1 pour roches à porosité de fracture) Φ : la porosité m : facteur de cémentation (dépend de la forme des pores, de la compaction. Varie de 1.3 pour des sables non consolidés à 2.2 pour les calcaires cimentés). R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

21 La loi d Archie Pour une roche saturée, une relation expérimentale nous donne (loi d Archie) ρ r = ρ w aφ m (4) ρ r : résistivité de la roche ρ w : résistivité du fluide a : facteur qui dépend de la lithologie (a<1 pour roches à porosité inter-granulaires, a > 1 pour roches à porosité de fracture) Φ : la porosité m : facteur de cémentation (dépend de la forme des pores, de la compaction. Varie de 1.3 pour des sables non consolidés à 2.2 pour les calcaires cimentés). On appelle facteur de formation F = aφ m (5) donnant ρ r = F ρ w (6) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

22 La loi d Archie R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

23 La loi d Archie R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

24 Facteur de formation /phi R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

25 La loi d Archie Pour une roche non-saturée, la loi d Archie devient ρ r = F ρ w S n (7) ρ r : résistivité de la roche ρ w : résistivité du fluide F : facteur de formation S : la saturation n : exposant (varie très peu autour de 2) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

26 La loi d Archie Pour une roche non-saturée, la loi d Archie devient ρ r = F ρ w S n (7) ρ r : résistivité de la roche ρ w : résistivité du fluide F : facteur de formation S : la saturation n : exposant (varie très peu autour de 2) La température a également un effet sur ρ r... R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

27 Exercice : résistivité par loi d Archie Valeur de la résistivité pour : milieu sableux porosité de 30% saturé d eau fraiche : ρ w = 20Ωm 1 Valeur de la résistivité? 2 Que devient la résistivité si le sable est saturé d eau de mer ρ w = 0.5Ωm? 3 Si le sable est sec? R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

28 Exercice : résistivité par loi d Archie Valeur de la résistivité pour : milieu sableux porosité de 30% saturé d eau fraiche : ρ w = 20Ωm 1 Valeur de la résistivité? 2 Que devient la résistivité si le sable est saturé d eau de mer ρ w = 0.5Ωm? 3 Si le sable est sec? après calcul : ρ r 96Ωm (1), ρ r 2.4Ωm (2), ρ r Ωm (3) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

29 Sommaire 1 Introduction 2 Résistivité électrique 3 Sondage électrique Cadre théorique Dispositifs classiques Interprétation en sondage vertical Considérations pratiques 4 Résumé R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

30 Sommaire 1 Introduction 2 Résistivité électrique 3 Sondage électrique Cadre théorique Dispositifs classiques Interprétation en sondage vertical Considérations pratiques 4 Résumé R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

31 Monopôle en milieu homogène infini Potentiel électrique en un point M distant de r ( assez loin ) V M = ρi 4πr (8) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

32 Monopôle en demi-espace Potentiel électrique en un point M distant de r ( assez loin ) V M = ρi 2πr (9) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

33 Dipôle : principe de superposition Potentiel électrique en un point M effet de A V A = ρi A 2πr A (10) effet de B V B = ρi B 2πr B (11) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

34 Dipôle : principe de superposition Potentiel électrique en un point M effet de A par superposition des deux effets, on a V A = ρi A 2πr A (10) effet de B V B = ρi B 2πr B (11) V M = ρi A + ρi B (12) 2πr A 2πr B Le courant qui entre par une électrode est égale ou courant sort par l autre : I A = I B V M = ρi [ ] (13) 2π r A r B R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

35 Dipôle : principe de superposition R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

36 Sommaire 1 Introduction 2 Résistivité électrique 3 Sondage électrique Cadre théorique Dispositifs classiques Interprétation en sondage vertical Considérations pratiques 4 Résumé R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

37 Quadripôle en milieu homogène Dans les montages classiques, on utilise 4 électrodes : on injecte le courant par deux électrodes : A et B on mesure la différence de potentiel entre deux autres électrodes : M et N On obtient la résistivité ρ = V M V N 2π (14) I f où f est le facteur géométrique du montage défini par f = 1 MA 1 MB 1 NA + 1 (15) NB R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

38 Quadripôle en milieu hétérogène En milieu hétérogène, on ne mesure plus directement une résistivité, mais une résistivité apparente ρ a = V M V N I 2π f (16) ρ a dépend de la configuration d électrode ρ a est une sorte de moyenne des résistivités du milieu parcouru ρ a ne dépend pas de I R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

39 Résistivité apparente en milieux hétérogènes R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

40 Champ électrique R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

41 Champ électrique R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

42 Champ électrique R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

43 Dispositif Wenner Configuration : AM = MN = NB = a A M N B Calculer le facteur géométrique f? R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

44 Dispositif Wenner Configuration : AM = MN = NB = a A M N B Calculer le facteur géométrique f? f wenner = 1 a (17) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

45 Dispositif Schlumberger Configuration : AB = L, MN = l, l << L Calculer le facteur géométrique f? R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

46 Dispositif Schlumberger Configuration : AB = L, MN = l, l << L Calculer le facteur géométrique f? f schlum = 8l L 2 l 2 8l L 2 (18) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

47 Dispositif Dipôle-Dipôle Configuration : AB = MN = a, BM = na A B M N Calculer le facteur géométrique f? R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

48 Dispositif Dipôle-Dipôle Configuration : AB = MN = a, BM = na A B M N Calculer le facteur géométrique f? f dip dip = 2 a(n(n + 1)(n + 2)) (19) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

49 Sensibilité Wenner Schlumberger Dipôle-Dipôle Structures Verticales Structures Horizontales Profondeur d investigation 0.11L 0.125L 0.195L R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

50 Sondage vertical versus trainé sondage vertical (VES) : augmentation de l écart entre électrodes sensibilité à différentes profondeurs Trainée horizontale (HEP) : déplacement du dispositif en surface sensibilité à différentes positions Pseudo-section : déplacement du dispositif + écartement sensibilité à différentes positions + différentes profondeurs R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

51 Sommaire 1 Introduction 2 Résistivité électrique 3 Sondage électrique Cadre théorique Dispositifs classiques Interprétation en sondage vertical Considérations pratiques 4 Résumé R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

52 Sondage vertical Hypothèses liées au sondage vertical 1 le milieu est considéré comme tabulaire (invariance latérale) 2 dans les approches classiques, le milieu est considéré comme un ensemble de couches homogènes 3 on cherche les propriétés (résistivités, épaisseurs) sous le point milieu du dispositif (mais à cause de l hypothèse 1, c est aussi les propriétés ailleurs...) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

53 Sondage vertical Hypothèses liées au sondage vertical 1 le milieu est considéré comme tabulaire (invariance latérale) 2 dans les approches classiques, le milieu est considéré comme un ensemble de couches homogènes 3 on cherche les propriétés (résistivités, épaisseurs) sous le point milieu du dispositif (mais à cause de l hypothèse 1, c est aussi les propriétés ailleurs...) Méthodes classiques d inversion 1 milieu à 2 couches 2 milieu à 3 couches 3 milieu à 4 couches et plus... (à partir des méthodes 2 et 3 couches, ou a partir d elec.exe) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

54 Milieu à 2 couches On cherche ρ 1, h 1 et ρ 2 Démarche pour AB (L) petit ρ a = ρ 1 lorsque L, ρ a commence à voir ρ 2 lorsque h 1 = L/8 ρ 2 est obtenu par superposition de l abaque et des mesures dans le plan log(l/h), log ρ 2 /ρ 1 R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

55 Milieu à 3 couches On cherche ρ 1, h 1, ρ 2, h 2 et ρ 3 Q A K H R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

56 Principe d équivalence : non unicité des champs Deux principes fondamentaux en prospection géophysique (et en général) : aux mêmes causes les mêmes conséquences répétabilité d une mesure R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

57 Principe d équivalence : non unicité des champs Deux principes fondamentaux en prospection géophysique (et en général) : aux mêmes causes les mêmes conséquences répétabilité d une mesure un même effet peut venir de plusieurs causes problème de non-unicité/équivalence des solutions d un problème inverse R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

58 Principe d équivalence : non unicité des champs Deux principes fondamentaux en prospection géophysique (et en général) : aux mêmes causes les mêmes conséquences répétabilité d une mesure un même effet peut venir de plusieurs causes problème de non-unicité/équivalence des solutions d un problème inverse Problème pour la prospection électrique : des terrains de résistivités différentes peuvent donner des courbes de sondage (quasi-)équivalentes... R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

59 Principe d équivalence : non unicité des champs Dans le cas H, la contrainte sur la deuxième couche s applique sur conductance longitudinale h 2 /ρ 2. Q K A H Exercice d application sous elec.exe ρ 1 = 380, h 1 = 5,ρ 2 = 15, h 2 = 5, ρ 3 = 380 ρ 1 = 380, h 1 = 5,ρ 2 = 30, h 2 = 10, ρ 3 = 380 autre configuration? R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

60 Principe d équivalence : non unicité des champs Dans le cas K, la contrainte sur la deuxième couche s applique sur résistance transverse h 2 ρ 2. Q K A H Exercice d application sous elec.exe ρ 1 = 100, h 1 = 10,ρ 2 = 1000, h 2 = 5, ρ 3 = 10 ρ 1 = 100, h 1 = 10,ρ 2 = 500, h 2 = 10, ρ 3 = 10 autre configuration? R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

61 Sommaire 1 Introduction 2 Résistivité électrique 3 Sondage électrique Cadre théorique Dispositifs classiques Interprétation en sondage vertical Considérations pratiques 4 Résumé R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

62 Considérations pratiques L utilisation de la méthode électrique sur le terrain nécessite certaines précautions pour une interprétation robuste des données effets de la topographie (toutes applications) effets des structures 2D/3D (spécifique au sondage vertical) effets locaux à proximité des électrodes (toutes applications) bruits électriques (toutes applications) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

63 Effets de la topographie R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

64 Effets de la proximité des électrodes La mesure est très sensible à la résistivité de contact de l électrode et aux hétérogénéité locales proches des électrodes bien enfoncer les électrodes éventuellement mouiller le contact (pour supprimer la résistance de contact) R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

65 Effets des courants telluriques R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

66 Effets de la polarisation induite Sensible pour roches riches en sulfure et oxydes métallique (prospection minière) certains argiles riches en cation R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

67 Sommaire 1 Introduction 2 Résistivité électrique 3 Sondage électrique 4 Résumé R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

68 Résumé Grandes variations de la resistivité dans la nature : facteur discriminant Résistivité électrique (ρ en Ωm) : difficulté à laisser passer le courant électrique La résistivité des roches dépend principalement de l eau qu elles contiennent : loi d Archie Mesure de la résistivité apparente par montage à 4 électrodes : Wener, Schlumberger, Dipôle-Dipôle Interpretation en sondage vertical Problème d équivalence Aspects pratiques R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

69 Prochaine fois Pseudo-section : écartement + déplacement des électrodes Tomographie électrique : inversion de la résistivité apparente pour aller vers la résistivité locale R. Brossier (ISTerre, UJF) Méthode Electrique L3P PPRS 09/11/ / 55

Chapitre 5 Mesures géophysiques

Chapitre 5 Mesures géophysiques Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable

Plus en détail

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,

Plus en détail

Méthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/

Méthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le

Plus en détail

Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal

Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon

Plus en détail

Ressources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech

Ressources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux

Plus en détail

Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre

Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Kourou Novembre 2010. MANGOTECHNO Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Frédéric BOUCHAR (TENUM Toulouse) Version 1.0 Table des matières 1.Introduction...3 2.Qu'est-ce que la salinité?...3

Plus en détail

Interprétation automatique des sondages électriques

Interprétation automatique des sondages électriques H.LAKSHMANAN Ingénieur géologue Directeur technique de la Cie de prospection géophysique française Interprétation automatique des sondages électriques Y. BERTRAND Ingénieur géologue chargé de cours i l'ecole

Plus en détail

L ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma

L ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -

Plus en détail

L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2

L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2 L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2 Laurent Jammes, Guillemette Picard Schlumberger Carbon Services Technique Académie des sciences Paris 19 Mai 2009 Plan de la présentation 2 La

Plus en détail

Influence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique

Influence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique SYMPOSIUM DE GENIE ELECTRIQUE (SGE 14) : EF-EPF-MGE 2014, 8-10 JUILLET 2014, ENS CACHAN, FRANCE Influence de la géométrie du conducteur sur la dans un poste sous enveloppe métallique Nesrine REBZANI 1,2,3,

Plus en détail

Parcours Hydrologie-Hydrogéologie. Utilisation de la conductivité électrique pour l analyse des propriétés hydrodynamiques des sols

Parcours Hydrologie-Hydrogéologie. Utilisation de la conductivité électrique pour l analyse des propriétés hydrodynamiques des sols Université Pierre et Marie Curie, École des Mines de Paris & École Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts Master 2 Sciences de l Univers, Environnement, Ecologie Parcours Hydrologie-Hydrogéologie

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

Exploitation de la micro-sismique pour le monitoring de la fracturation Etude de faisabilité

Exploitation de la micro-sismique pour le monitoring de la fracturation Etude de faisabilité المعهد الجزاي ري للبترول INSTITUT ALGERIEN DU PETROLE JOURNEES D ETUDES TIGHT & SHALE RESERVOIRS 17-18 Septembre 2013 Sheraton, Alger Exploitation de la micro-sismique pour le monitoring de la fracturation

Plus en détail

Dominique Chapellier & Jean-Luc Mari

Dominique Chapellier & Jean-Luc Mari PRINCIPE DE BASE Professeurs Dominique Chapellier & Jean-Luc Mari Cours online de géophysique de l Université de Lausanne Principes de base - D. Chapellier Table des matières Chapitre 1 3 LA RESISTIVITE

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

COMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre?

COMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Claire FORGACZ Marion GALLART Hasnia GOUDJILI COMPTERENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Si l on se pose la question de savoir comment on peut faire

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Les transistors à effet de champ.

Les transistors à effet de champ. Chapitre 2 Les transistors à effet de champ. 2.1 Les différentes structures Il existe de nombreux types de transistors utilisant un effet de champ (FET : Field Effect Transistor). Ces composants sont caractérisés

Plus en détail

TEST DE METHODES GEOPHYSIQUES SUR COUVERTURES DE CSD : SITE EXPERIMENTAL

TEST DE METHODES GEOPHYSIQUES SUR COUVERTURES DE CSD : SITE EXPERIMENTAL TEST DE METHODES GEOPHYSIQUES SUR COUVERTURES DE CSD : SITE EXPERIMENTAL TEST OF GEOPHYSICAL METHODS ON LANDFILL COVERS : EXPERIMENTAL SITE Fanny GENELLE (1, 2), Colette SIRIEIX 1, Véronique NAUDET (1,

Plus en détail

Sondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques

Sondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques Sondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques Technologie à 2 ou à 4 électrodes Large plage de mesure 0,05 S/cm... 500 ms/cm process, matériaux, état de surface adaptés aux applications

Plus en détail

Professeur. D. Chapellier. Assistant L. Baron -1-

Professeur. D. Chapellier. Assistant L. Baron -1- DIAGRAPHIES PETROLE Professeur D. Chapellier Assistant L. Baron -1- Chapitre 1 INTRODUCTION 1 Introduction Lorsque l'on a repéré un réservoir potentiel souterrain par des méthodes de surface, géologiques

Plus en détail

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur

Plus en détail

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration

Plus en détail

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE - MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base

Plus en détail

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur

Plus en détail

Cours 9. Régimes du transistor MOS

Cours 9. Régimes du transistor MOS Cours 9. Régimes du transistor MOS Par Dimitri galayko Unité d enseignement Élec-info pour master ACSI à l UPMC Octobre-décembre 005 Dans ce document le transistor MOS est traité comme un composant électronique.

Plus en détail

APPLICATION DE LA PROSPECTION ÉLECTRIQUE A L'ÉTUDE DES NIVEAUX D'ALTÉRATION

APPLICATION DE LA PROSPECTION ÉLECTRIQUE A L'ÉTUDE DES NIVEAUX D'ALTÉRATION APPLICATION DE LA PROSPECTION ÉLECTRIQUE A L'ÉTUDE DES NIVEAUX D'ALTÉRATION Yves ALBOUY Section Géophysique du Ce&e 0 RSTOM de M Bow JeanClaude PION Section Géologie du Ceiztse ORSTOM de DakarHum JeanMarie

Plus en détail

Electricité Générale

Electricité Générale Electricité Générale Electricité 1 Livret 4 Résistance Loi d Ohm Loi de Joule Mise à jour février 2007 *FC1207041.1* FC 1207 04 1.1 Centre National d Enseignement et de Formation A Distance Réalisation

Plus en détail

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation COMITÉ FRANÇAIS DE MÉCANIQUE DES SOLS Journée «HYDRAULIQUE» du 23-01-2002 MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure,

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

Mesure. Multimètre écologique J2. Réf : 251 055. Français p 1. Version : 0110

Mesure. Multimètre écologique J2. Réf : 251 055. Français p 1. Version : 0110 Français p 1 Version : 0110 Sommaire 1 Présentation... 2 1.1 Description... 2 1.2 Type d alimentation... 3 1.2.1 Alimentation par générateur... 3 1.2.2 Alimentation par piles... 3 2 Sécurité... 3 2.1 Signalétique

Plus en détail

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Astra Elite AM/3 Manuel d'installation

Astra Elite AM/3 Manuel d'installation 1) Caractéristiques techniques Astra Elite AM/3 Manuel d'installation Alimentation : - Tension : 9 à 16 V- - Consommation : 33 ma repos/40 ma en alarme - Ondulation : 2 V c à c à 12 V- Canal Hyperfréquence

Plus en détail

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................

Plus en détail

Le théorème de Thalès et sa réciproque

Le théorème de Thalès et sa réciproque Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre

Plus en détail

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de

Plus en détail

FONTANOT CREE UNE LIGNE D ESCALIERS IMAGINÉE POUR CEUX QUI AIMENT LE BRICOLAGE.

FONTANOT CREE UNE LIGNE D ESCALIERS IMAGINÉE POUR CEUX QUI AIMENT LE BRICOLAGE. STILE FONTANOT CREE UNE LIGNE D ESCALIERS IMAGINÉE POUR CEUX QUI AIMENT LE BRICOLAGE. 2 3 Magia. Une gamme de produits qui facilitera le choix de votre escalier idéal. 4 06 Guide pour la sélection. 16

Plus en détail

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace 3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de

Plus en détail

Cours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie

Cours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον

Plus en détail

Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant I B.

Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant I B. Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant. - Le régime linéaire. Le courant collecteur est proportionnel

Plus en détail

Chauffage par induction

Chauffage par induction Guide Power Quality Section 7: Efficacité Energétique www.leonardo-energy.org/france Edition Août 2007 Chauffage par induction Jean Callebaut, Laborelec Décembre 2006 1 Introduction... 3 2 Principes physiques...

Plus en détail

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS) apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé

Plus en détail

Dérivées et différentielles des fonctions de plusieurs variables

Dérivées et différentielles des fonctions de plusieurs variables UE4 : Evaluation des méthodes d analyses appliquées aux sciences de la vie et de la santé Analyse Chapitre 6 : Dérivées et différentielles des fonctions de plusieurs variables Christelle MELODELIMA Année

Plus en détail

Principe de fonctionnement des batteries au lithium

Principe de fonctionnement des batteries au lithium Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

Chapitre 7 : CHARGES, COURANT, TENSION S 3 F

Chapitre 7 : CHARGES, COURANT, TENSION S 3 F Chapitre 7 : CHARGES, COURANT, TENSION S 3 F I) Electrostatique : 1) Les charges électriques : On étudie l électricité statique qui apparaît par frottement sur un barreau d ébonite puis sur un barreau

Plus en détail

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation

Plus en détail

L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue

L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION PUBLIQUE EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Notions physiques Niveau 2

Notions physiques Niveau 2 14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.

Plus en détail

Correction : E = Soit E = -1,6. F = 12 Soit F = -6 3 + 45. y = 11. et G = -2z + 4y G = 2 6 = 3 G = G = -2 5 + 4 11

Correction : E = Soit E = -1,6. F = 12 Soit F = -6 3 + 45. y = 11. et G = -2z + 4y G = 2 6 = 3 G = G = -2 5 + 4 11 Correction : EXERCICE : Calculer en indiquant les étapes: (-6 +9) ( ) ( ) B = -4 (-) (-8) B = - 8 (+ 6) B = - 8 6 B = - 44 EXERCICE : La visite médicale Calcul de la part des élèves rencontrés lundi et

Plus en détail

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact

Plus en détail

La soudure à l arc. électrique. Jean-Claude Guichard. Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5

La soudure à l arc. électrique. Jean-Claude Guichard. Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5 La soudure à l arc électrique Jean-Claude Guichard Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5 INITIATION À LA SOUDURE 14 1-PRINCIPES DE BASE.............................. 16 LA SOUDABILITÉ DES ACIERS.........................................

Plus en détail

DETECTION DE NIVEAU LA GAMME

DETECTION DE NIVEAU LA GAMME DETECTION DE NIVEAU LA GAMME Plaisance, Le Haut May 61110 BRETONCELLES Tel: 02.37.37.25.85 Fax: 02.37.37.29.70 A PALETTE ROTATIVE LA GAMME : ERMAP propose une vaste gamme d indicateurs de niveau définie

Plus en détail

Les transistors à effet de champ

Les transistors à effet de champ etour au menu! Les transistors à effet de champ 1 tructure A TANITO à JONCTION (JFET) Contrairement aux transistors bipolaires dont le fonctionnement repose sur deux types de porteurs les trous et les

Plus en détail

IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES

IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES E. Fransolet, M. Crine, G. L Homme, Laboratoires de Génie Chimique, P. Marchot, D. Toye. Université

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

Les résistances de point neutre

Les résistances de point neutre Les résistances de point neutre Lorsque l on souhaite limiter fortement le courant dans le neutre du réseau, on utilise une résistance de point neutre. Les risques de résonance parallèle ou série sont

Plus en détail

Essais de charge sur plaque

Essais de charge sur plaque Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif

Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Lors de l installation de la clôture Zenturo ou Zenturo Super en tant que mur décoratif, vous devez tenir compte de quelques

Plus en détail

Barre Supplémentaire 85x85 Barre Supplémentaire 85x30

Barre Supplémentaire 85x85 Barre Supplémentaire 85x30 Système de Pergola de Base Fixé au Sol Système de Pergola de Base Fixé au Sol Module Additionnel Système de Pergola de Base Amoviblé, avec Plaque de Pose Système de Pergola de Base Amoviblé, avec Plaque

Plus en détail

Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique.

Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique. Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique. Mike El Kousseifi K. Hoummada, F. Panciera, D. Mangelinck IM2NP, Aix Marseille Université-CNRS, Faculté

Plus en détail

Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE

Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE UE4 : Biostatistiques Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Introduction

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SikaLatex

FICHE TECHNIQUE SikaLatex FICHE TECHNIQUE SikaLatex RÉSINE À MÉLANGER À L'EAU DE GÂCHAGE DES MORTIERS DESCRIPTION DU PRODUIT Le SikaLatex est une dispersion aqueuse de résine synthétique qui se présente sous la forme d un liquide

Plus en détail

Mesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles

Mesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles Mesure de conductivité on-line Mesurer Surveiller Régler La mesure de conductivité est un paramètre reconnu, dont on ne peut plus se passer en analyse moderne des process, des eaux et eaux usées. On utilise

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

Batteries. Choix judicieux, résultats performants

Batteries. Choix judicieux, résultats performants Batteries Choix judicieux, résultats performants Batteries pour tous les défi s, besoins et budgets Sans danger - pas de dégazement Sans entretien Facile à installer Puissance constante Mastervolt vous

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre

Plus en détail

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le

Plus en détail

République Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005

République Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005 République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l énergie et des Mines Direction des systèmes d information, des analyses économiques et de la documentation Résultat du Secteur de l Energie

Plus en détail

BREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée. Première partie

BREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée. Première partie BREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée Première partie Objectifs de ce cours: 1. Introduction à la formation du 2* 2. Comprendre les lois fondamentales régissant : la flottabilité (Archimède)

Plus en détail

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire?

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire? Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires

Plus en détail

Présentation : A. A. TOSSA

Présentation : A. A. TOSSA LA BANQUE DE DONNEES INTEGREE (BDI) DE LA DIRECTION GENERALE DE L HYDRAULIQUE Un Outil pour la Gestion des ressources en eau Présentation : A. A. TOSSA 1- Le Service de la Banque de Données Intégrée (SBDI)

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

Choix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts)

Choix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts) SNC1D test d électricité Nom : Connaissance et Habiletés de la pensée compréhension (CC) (HP) Communication (Com) Mise en application (MA) 35 % 30 % 15 % 20 % /42 /31 grille /19 Dans tout le test, les

Plus en détail

' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska,

' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska, J. Phys. IVFrance 11 (2001) O EDP Sciences, Les Ulis Limites des solutions solides dans le système binaire CdBr2-AgBr A. Wojakowska, A. Gorniak and W. ~awel' Laboratoire d'analyse Thermique, Département

Plus en détail

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,

Plus en détail

Détermination de la relation résistivité électrique - teneur en eau au laboratoire. Application aux sols de Tunisie centrale

Détermination de la relation résistivité électrique - teneur en eau au laboratoire. Application aux sols de Tunisie centrale Colloque GEOFCAN Géophysique des sols et des formations superf i c i e l l e s 11-12 septembre 1997, Bondy, France BRGM, INRA, ORSTOM, UPMC Abstracts et Résumés étendus Détermination de la relation résistivité

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE

DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE RAILWAY TRACK QUALITY ASSESSMENT: CASE STUDY OF A NEW

Plus en détail

www.devico.com Vente Location Service Sales - Rentals - Service www.devico.com

www.devico.com Vente Location Service Sales - Rentals - Service www.devico.com Produits Devico products Devico www.devico.com www.devico.com Vente Location Service Sales - Rentals - Service Français English Carottage directionnel DeviDrill Le DeviDrill est un carottier à câble orientable.

Plus en détail

Le gaz de schistes : son exploitation

Le gaz de schistes : son exploitation Le gaz de schistes : son exploitation Résumé de l exploitation du gaz de schiste Après la lecture de cet article, ce schéma synthétique vous apparaîtra très simple et clair. Déjà, il sera plus grand. Le

Plus en détail

SUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires

SUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires SUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires IMPORTANT : L objectif de la présente note technique n est pas de se substituer à l ouvrage «Alimentation électrique de sites isolés» mais de fournir des

Plus en détail

3 Charges électriques

3 Charges électriques 3 Charges électriques 3.1 Electrisation par frottement Expérience : Frottons un bâton d ébonite avec un morceau de peau de chat. Approchonsle de petits bouts de papier. On observe que les bouts de papier

Plus en détail

Eléments constitutifs et synthèse des convertisseurs statiques. Convertisseur statique CVS. K à séquences convenables. Source d'entrée S1

Eléments constitutifs et synthèse des convertisseurs statiques. Convertisseur statique CVS. K à séquences convenables. Source d'entrée S1 1 Introduction Un convertisseur statique est un montage utilisant des interrupteurs à semiconducteurs permettant par une commande convenable de ces derniers de régler un transfert d énergie entre une source

Plus en détail

Biostatistiques Biologie- Vétérinaire FUNDP Eric Depiereux, Benoît DeHertogh, Grégoire Vincke

Biostatistiques Biologie- Vétérinaire FUNDP Eric Depiereux, Benoît DeHertogh, Grégoire Vincke www.fundp.ac.be/biostats Module 140 140 ANOVA A UN CRITERE DE CLASSIFICATION FIXE...2 140.1 UTILITE...2 140.2 COMPARAISON DE VARIANCES...2 140.2.1 Calcul de la variance...2 140.2.2 Distributions de référence...3

Plus en détail

Chapitre 10 : Mécanique des fluides

Chapitre 10 : Mécanique des fluides Chapitre 10 : Mécanique des fluides 1. Pression hydrostatique Les fluides regroupent gaz et liquides. En général, on considère des fluides incompressibles. Ce n est plus le cas en thermodynamique. Un objet

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

Utilisation des méthodes géophysiques pour l auscultation des digues en eau

Utilisation des méthodes géophysiques pour l auscultation des digues en eau Utilisation des méthodes géophysiques pour l auscultation des digues en eau Étude de cas sur le canal du Centre (France) Grégory BIÈVRE Laboratoire régional des Ponts et Chaussées d Autun Christophe NORGEOT

Plus en détail

PROPRIÉTÉS TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB

PROPRIÉTÉS TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB Propriétés techniques Neoweb V 2.5 SYSTÈME DE CONFINEMENT CELLULAIRE 3D CLASSIFICATION POLYMÈRE TYPE Neoloy Technologie de pointe nano-composite MÉCANIQUES DU SYSTÈME Module

Plus en détail

BALAIS Moteur (charbons)

BALAIS Moteur (charbons) BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague

Plus en détail

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre

Plus en détail