ESSEC Cours Wealth management
|
|
- Serge Boisvert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1
2 Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique Analyse microéconomique Théories économiques Hypothèses Cycle de vie Précaution Limites et extension du modèle Applications au conseil en gestion de patr imoine François Longin 2
3 Analyse économique du patrimoine des ménages Analyse macroéconomique Source : agrégats de la comptabilité nationale Point de vue global (patrimoine de tous les ménages) Explications liées au contexte global Economique, financier, fiscal, social, etc. Modèles macroéconomiques (relations entre les variables macroéconomiques) Analyse microéconomique Source: données d enquêtes de terrain Point de vue particulier (patrimoine d une certaine classe de ménages) Explications liées au contexte particulier Age, revenu, catégorie socio professionnelle, situation vis à vis du marché de l emploi, niveau de formation, taille du ménage, situation géographique,etc. Modèles microéconomiques (exemple: modèle de Merton (1969)) François Longin 3
4 Patrimoine des ménages en France Sources: Comptes nationaux Insee Valeur du patrimoine des ménages en 2005 : Md 75% du patrimoine total de la nation Equivalent de 7 années de revenu disponible brut Taux d épargne: 15% du revenu des ménages Evolution entre 1995 et 2005: +10% par an Hausse du marché de l immobilier Hausse des marchés financiers François Longin 4
5 Structure du patrimoine des ménages en France Actifs non financiers : Md Terrains : Md Logements : Md Autres bâtiments et génie civil : 158 Md Machines et équipements : 43 Md Actifs financiers : Md Produits d assurance : Md Numéraire et dépôts : 980 Md Actions et OPCVM : 855 Md Passifs financiers : 943 Md Crédits immobiliers: 502 Md François Longin 5
6 Analyse du patrimoine des ménages en France Répartition du patrimoine des ménages par grands postes d actifs : Immobilier : 63% (du patrimoine brut) Placements (long terme) : 22% Produits d assurance : 12% Produits financiers : 10% Liquidités (court terme) : 11% Conclusion: importance de l immobilier dans le patrimoine des ménages Question : quelle est la part de l immobilier d usage et de l immobilier locatif (investissement) dans le patrimoine des ménages? François Longin 6
7 Structure du patrimoine des ménages : comparaison internationale Part du patrimoine non financier Pays Allemagne 73% 68% 65% Italie 71% 62% 69% Royaume Uni 52% 46% 66% Etats Unis 43% 35% 46% France 70% 63% 73% François Longin 7
8 Evolution du patrimoine des ménages en France Hausse de l investissement en immobilier Ménages propriétaires: 50% en 1982 et 57% en 2005 Utilisation du crédit Encours de 502 Md en 2005 (+10% en 2003, +14% en 2004 et +15% en 2005) Durée d emprunt plus longue: 13 ans en 1996 et 17 ans en 2005 Taux d intérêt bas:8 10% en 1996 et 3 5% en 2005 Hausse des prix de l immobilier En France : +15% en 2004 et +10% en 2005 François Longin 8
9 Travaux académiques sur la consommation Article de Modigliani et Brumberg (1954) Fait stylisé : relation affine entre revenus et consommation Article de Modigliani et Brumberg (1980) Fait stylisé (Etats Unis) : le taux d épargne évolue au cours du cycle d activité (vie active / retraite) Chaque ménage épargne pour découpler sa consommation de ses revenus. Il gère son patrimoine pour répartir sa consommation tout au long de sa vie. Article de Friedman (1957) Les ménages décident de leur niveau de consommation, non pas en fonction de leur revenu courant (fluctuant), mais de la composante permanente de leur revenu (permanent income). François Longin 9
10 Interprétation économique du patrimoine Objectif de l individu Consommer Consommer dans le présent et dans le futur Consommer régulièrement (lisser sa consommation au cours du temps) Notion de train de vie Exercice : formaliser le comportement de consommation de l individu. Interprétation du patrimoine Moyen pour l individu de transférer sa consommation dans le futur et lisser sa consommation dans le futur Patrimoine = réserve de consommation Patrimoine = consommation différée dans le temps François Longin 10
11 Pourquoi épargner? Epargne = Revenus Consommation Travaux de Keynes (1936) : neuf motifs pour épargner Substitution intertemporelle de la consommation : consommer dans le présent et dans le futur, consommer davantage dans le futur que dans le présent (taux d intérêt) Cycle de vie : constituer un patrimoine pour subvenir à ses besoins à la retraite (compenser la baisse de revenus) Précaution : mettre de l argent de côté pour faire face aux imprévus (maladie, chômage, etc.) Investissement : constituer une épargne préalable pour créer une entreprise ou acheter un bien immobilier Héritage, indépendance, avarice François Longin 11
12 Life cycle hypothesis (LCH) Le motif de cycle de vie Les revenus peuvent varier au cours du temps (aspect prévisible). Hausse des revenus en période d activité Chute (brutale) des revenus à la retraite Les individus souhaitent garder le même niveau de consommation (vie active / retraite). Le patrimoine accumulé sert à découpler le profil des revenus et le profil de la consommation. Emprunt au début de la vie active Utilisation du capital à la retraite François Longin 12
13 Le motif de précaution Les revenus peuvent varier au cours du temps (aspect aléatoire). Baisse temporaire des revenus (chômage, maladie, etc.) Les individus souhaitent garder le même niveau de consommation (au cours de toute la vie). Le patrimoine accumulé sert à compenser la perte de revenus de façon à maintenir le même niveau de consommation. Utilisation du patrimoine en cas de problème François Longin 13
14 Age et comportement d épargne En pratique, les deux motifs de constitution d un patrimoine coexistent. Il est difficile de les dissocier car la même variable (l épargne / le patrimoine) permet de satisfaire ces deux besoins. L importance accordée à ces deux motifs évolue en fonction de l âge. En pratique : Effet d âge (effet microéconomique) Effet de génération (effet macroéconomique) François Longin 14
15 Le modèle du cycle de vie Travaux académiques : formalisation de l hypothèse du cycle de vie (Modigliani et Brumberg 1954) Samuelson (1969) : modélisation en temps discret Merton (1969) : modélisation en temps continu François Longin 15
16 Objectif de l individu Modélisation de l individu (1) L individu cherche à maximiser l utilité de sa consommation au cours de sa vie entière : {u(c t )} t=0,t où C t représente le montant dépensé pour consommer à la date t. L individu peut aussi accorder une utilité à sa richesse à la date de sa mort (date T): fonction de leg B(W T ) Programme d optimisation: maximisation des utilités de consommation En temps discret t = T En temps continu = t 0 exp ( ρ ) t u ( c ) + exp ( ρ T ) B ( W ) t T T = t 0 exp ( ρ s ) u ( c ) ds + exp ( ρ T ) B ( W ) s T François Longin 16
17 Modélisation de l individu (2) Exemples de fonction d utilité Fonction CRRA (constant relative risk aversion) 1 γ ( ) = C pour γ < 1 et γ 0 U C γ ( ) = ln ( C ) cas limite pour γ = 0 U C Coefficient d aversion relative au risque = 1 γ Fonction CARA (constant absolute risk aversion) U η C ( C ) = exp / η Coefficient d aversion absolue au risque = η François Longin 17
18 Fonction d héritage Modélisation de l individu (3) ( ) ρ t e 1 γ = ( W ) γ W T ε / γ avec ε 0 B T, T ε : paramètre représentant la volonté de l individu à laisser une partie de son patrimoine à ses héritiers Plus ε est élevé, plus cette volonté est forte. Si ε est égal à 0, alors l individu ne souhaite pas laisser d héritage. Il consomme son patrimoine à la fin de sa vie. François Longin 18
19 Modélisation du comportement de l individu (1) Deux paramètres pour modéliser le comportement de l individu L attitude face à l avenir : taux de dépréciation du futur ρ Interprétation : plus ρ est élevé, plus l horizon de décision de l individu est court (à T donné) ρ faible : individu préoccupé par l avenir / préférence pour le futur ρ élevé : individu vivant au jour le jour / préférence pour le présent L attitude face au risque : coefficient d'aversion au risque γ (ou 1 γ) Interprétation : plus (1 γ) est élevé, plus l individu est averse au risque (le risque portant sur la variation de la consommation) 1 γ faible : individu aventureux / préférence pour le placements plus risqués 1 γ élevé : individu prudent / préférence pour les placements moins risqués François Longin 19
20 Modélisation du comportement de l individu (2) Importance de prendre en compte les deux paramètres pour comprendre les choix patrimoniaux Modèles simples : Paramètre ρ : arbitrage consommation / épargne Paramètre γ : allocation de la richesse et arbitrage consommation / épargne Réalité plus compliquée, besoin de modèles plus sophistiqués Interaction entre les paramètres ρ et γ Autres paramètres François Longin 20
21 Structure du patrimoine Patrimoine de l individu Le patrimoine (la richesse) de l individu est investi en actifs : actif sans risque (liquidités), obligations, actions, biens immobiliers, etc. Chaque actif est caractérisé par une rentabilité anticipée et une volatilité représentant son risque, paramètres d une loi normale. Evolution du patrimoine L individu dispose d un patrimoine initial. Sur la période [t 1, t], le patrimoine W évolue : Rentabilité de la richesse sur la période r t : effet positif ou négatif Revenus salariaux s t : effet positif Consommation c t : effet négatif W = W 1 t t 1 ( + r ) + s c t t t François Longin 21
22 Actif sans risque Taux sans risque : r Composition du patrimoine Proportion investie en actif sans risque : 1 w t Actifs risqués Taux de rentabilité anticipé : a (ou a i ) Risque mesuré par l écart type : σ ou (σ i ) Corrélation : ρ ij (corrélation entre l actif i et l actif j) Proportion investie en actif(s) risqué(s) : w t (w t i ) François Longin 22
23 Résultats du modèle de Merton (1969) Déter mination du taux de consommation optimal C* C = * t ( ( ν ( t T ) ν / 1 + ( νε 1 ) e ) W avec ν = ( ρ γ )/(1 γ ) Le taux de consommation de richesse optimal est proportionnel à la richesse. Il dépend de l age, des paramètres comportementaux de l individu (attitude face au risque et à l avenir) et du paramètre d héritage. Déter mination de l allocation optimale de la richesse w a r σ * * t = = w 2 ( 1 γ ) La proportion en actif risqué est indépendante de la richesse et du temps. Question: étudier l impact des paramètres sur la proportion en actifs risqués. t François Longin 23
24 Limites et extensions du modèle du cycle de vie (1) Dans la réalité, on observe des disparités en termes de comportement d épargne pour une même classe d âge. Prise en compte d autres facteurs : catégorie socioprofessionnelle, situation familiale, niveau de formation, etc. Dans la réalité, le comportement des actifs ne suit pas un mouvement brownien Existence de krachs boursiers Illiquidité de certains actifs Certains actifs sont aussi des biens de consommation (immobilier d usage) Importance du leg Mode de décision des individus François Longin 24
25 Limites et extensions du modèle du cycle de vie (2) Prise en compte de la fiscalité Incitation fiscale pour certains placements Incertitude de la date du décès Exercice: quel est l impact du risque sur la date de décès? Salaire aléatoire Exercice: quel est l impact d une augmentation du risque portant sur ses salaires futurs? On s interrogera sur l effet de la dépendance éventuelle entre salaire et actifs financiers. François Longin 25
26 Application du modèle du cycle de vie Conception de produits financiers Gammes de fonds life style / fonds à horizon Décisions d investissement / Conseil Prise en compte de différents aspects : âge de l individu, ses revenus futurs et son patrimoine actuel (valeur et composition) D où l importance du R1 (bilan de la situation de l individu) Etude des conséquences de l investissement: consommation et évolution du patrimoine (valeur et composition) D où l importance du R2 (présentation des simulations) Classification des clients Préférence pour le présent Aversion au risque Age et autres critères François Longin 26
27 Classification des individus (1) Classification des individus (Arrondel, Masson et Verger 2005) Bons pères de famille Aversion au risque élevée (1 γ élevé) Faible taux de dépréciation du futur (ρ faible) Patrimoine élevé : épargne pour la retraite, épargne de précaution Epargne logement / assurance vie / liquidités Cigales prudentes Aversion au risque élevée (1 γ élevé) Fort taux de dépréciation du futur (ρ élevé) Patrimoine assez faible :épargne de précaution Placements liquides peu risqués François Longin 27
28 Classification des individus (2) Classification des individus (Arrondel, Masson et Verger 2005) Têtes brûlées Aversion au risque faible (1 γ faible) Fort taux de dépréciation du futur (ρ élevé) Patrimoine faible / Interdits bancaires Investissements professionnels / Investissements à risques (parfois inconsidérés) / Assurance décès Entreprenants Aversion au risque faible (1 γ faible) Faible taux de dépréciation du futur (ρ faible) Prévoyant et audacieux Patrimoine variable Mélange d investissements professionnels (risqués) et de patrimoine personnel François Longin 28
29 Classification des individus (3) Classification des individus (Arrondel, Masson et Verger 2005) Les autres Aversion au risque moyenne (γ moyen) Taux de dépréciation du futur moyen (ρ moyen) Question : quel type d individu (consommateur / épargnant) êtes vous? François Longin 29
30 Classification des individus : résultats (1) Source : enquête «Patrimoine 1998» Insee Delta Bons pères de famille : 33% Têtes brûlées : 27% Cigales prudentes : 15% Entreprenants : 7% Autres : 15% François Longin 30
31 Classification des individus : résultats (2) Evolution du profil au cours du temps Sexe Bons pères de famille : Homme : 29% Femme : 34% Têtes brûlées : Homme : 32% Femme : 22% Age Bons pères de famille : 30 ans : 17% 60 ans : 58% Têtes brûlées : 30 ans : 42% 60 ans : 11% Situation familiale Bons pères de famille : Couple : 36% Seul : 26% Têtes brûlées : Couple : 24% Seul : 31% Bons pères de famille : Pas d enfant : 28% 3 enfants : 36% Têtes brûlées : Pas d enfant : 32% 3 enfants : 23% François Longin 31
32 Classification des individus : résultats (3) Evolution du profil au cours du temps Situation professionnelle Bons pères de famille : Privé : 29% Public : 41% Têtes brûlées : Privé : 28% Public : 23% Niveau de diplôme Bons pères de famille : <Bac : 28% Bac : 45% >Bac : 35% Têtes brûlées : <Bac : 28% Bac : 26% >Bac : 24% Catégorie sociale Bons pères de famille : Agriculteur, ouvrier employé : 36% Indépendant : 29% Cadre ou profession intermédiaire : 28% Têtes brûlées : Agriculteur, ouvrier employé : 22% Indépendant : 33% Cadre ou profession intermédiaire : 33% François Longin 32
33 Optimisation du patrimoine Un problème difficile en théorie Conclusion Un problème encore plus difficile en pratique Chaque client est un cas particulier Importance de prendre le temps de découvrir le client et non pas de vendre un produit (sinon produit/solution non adaptée ou vente cassée) Comprendre et poser le problème du client : reformuler les objectifs du client Chaque problématique particulière nécessite une solution particulière adaptée à la problématique Nécessité de disposer d une palette large de produits / Travail en réseau Rarement le cas en pratique : les conseillers sont plus des vendeurs spécialisés (assurance vie vs produits financiers vs défiscalisation) Gestion de patr imoine = gestion du r isque François Longin 33
Chapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailRAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT
RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailDOSSIER : ÉPARGNE ET PATRIMOINE DES MÉNAGES
DOSSIER : ÉPARGNE ET PATRIMOINE DES MÉNAGES ÉPARGNE ET PATRIMOINE DES MÉNAGES : DONNÉES MACROÉCONOMIQUES ET DONNÉES D ENQUÊTES Analyser l accumulation patrimoniale des ménages offre un intérêt à plusieurs
Plus en détailLes ménages et le crédit
Les ménages et le crédit Marseille 16 novembre 2011 1 Tous droits réservés 2011 Objectif et plan PLAN DE LA PRÉSENTATION Etat des lieux : Endettement et surendettement Bien souscrire son crédit immobilier
Plus en détailHéritages, donations et aides aux ascendants et descendants
Dossier Héritages, donations et aides aux ascendants et descendants Bertrand Garbinti, Pierre Lamarche, Laurianne Salembier* Le patrimoine d un ménage est constitué par la somme de tous les biens qu il
Plus en détailTHÈME 1. Ménages et consommation
THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail
Plus en détailChapitre 1: Introduction à la théorie de l équilibre à prix fixes
Chapitre 1: Introduction à la théorie de l équilibre à prix fixes L3 Eco-Gestion/ Faculté de Droit, Sciences Economiques et de Gestion Plan 1 Rappels sur l utilité espérée La représentation des événements
Plus en détailDes solutions pour les seniors à revenus insuffisants
Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits
Plus en détailFaut-il encourager les ménages à épargner?
Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailChapitre 1 : La consommation et l épargne
Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est
Plus en détailEpargne, Retraite, Prévoyance et Santé
L offre FOBA Des outils d aide à la vente Budget Retraite Augmenter la vente des différentes solutions retraite ANI Générer des rendez-vous qualifiés et réduire le délai de décision pour la souscription
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détailÂge, revenu et comportements d épargne des ménages Une analyse théorique et empirique sur la période 1978-2006
École d Économie de Paris École des Hautes Etudes en Sciences Sociales Master Analyse et politique économiques Âge, revenu et comportements d épargne des ménages Une analyse théorique et empirique sur
Plus en détailEn collaboration avec GROUPE ACTICONSEIL. Epargne salariale, assurances, retraite collective Quelles opportunités pour votre activité?
HSBC Intervention du 18 janvier 2011 En collaboration avec GROUPE ACTICONSEIL Epargne salariale, assurances, retraite collective Quelles opportunités pour votre activité? Les enjeux sociaux et patrimoniaux
Plus en détailL endettement privé des ménages début 2010
Dossier L endettement privé des ménages début 2010 Pierre Lamarche, Laurianne Salembier* Début 2010, 46 % des ménages sont endettés pour un motif privé, c est-à-dire sans lien avec l activité professionnelle,
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailÉquivalent patrimonial de la rente et souscription de retraite complémentaire
ANNALES D ÉCONOMIE ET DE STATISTIQUE. N 66 2002 Équivalent patrimonial de la rente et souscription de retraite complémentaire Le cas de la France Ronan MAHIEU, Béatrice SÉDILLOT * RÉSUMÉ. Nous modélisons
Plus en détailDossier retraite. Profil 1B. Année de naissance. Profil 1A
Dossier retraite Mise à jour : 10/03/2014 Vos ressources De quelles ressources disposerez-vous lors de votre départ en retraite? Elles sont de 5 natures : - La retraite sécurité sociale dite retraite de
Plus en détailQUESTIONS SUR L'ÉPARGNE
QUESTIONS SUR L'ÉPARGNE Christian BIALÈS Professeur de Chaire Supérieure en Économie et Gestion www.christian-biales.net Ce site se veut évolutif. Pour cela il fait l objet d un enrichissement documentaire
Plus en détailun environnement économique et politique
Vision d un économiste sur le risque agricole et sa gestion un sol un climat un environnement économique et politique Jean Cordier Professeur Agrocampus Ouest Séminaire GIS GC HP2E Prise en compte du risque
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailEnjeux - Gestion de patrimoine CFA-Québec 4 février 2015. Denis Preston, CPA, CGA, FRM, Pl. fin.
Enjeux - Gestion de patrimoine CFA-Québec 4 février 2015 Denis Preston, CPA, CGA, FRM, Pl. fin. 2 Enjeux - Gestion de patrimoine 1.La planification financière personnelle 2.Finance personnelle versus finance
Plus en détailPourquoi et comment investir dans les unités de compte?
Pourquoi et comment investir dans les unités de compte? Direction de l Epargne Patrimoniale - Offre Financière Avril 2013 Préambule Quelques règles simples à retenir pour investir dans les unités de compte
Plus en détailMémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains.
Mémoire d actuariat - promotion 2010 La modélisation des avantages au personnel: complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. 14 décembre 2010 Stéphane MARQUETTY
Plus en détailADOPTER UNE STRATÉGIE PATRIMONIALE SUR MESURE AVEC PIERRE DE SOLEIL
PIERRE DE SOLEIL ADOPTER UNE STRATÉGIE PATRIMONIALE SUR MESURE AVEC PIERRE DE SOLEIL PARCE QUE VOUS SOUHAITEZ Accéder à une gestion financière sur mesure Optimiser la fiscalité de votre patrimoine Préparer
Plus en détailY A-T-IL UNE EXCEPTION FRANÇAISE DES COMPORTEMENTS D EPARGNE?
Y A-T-IL UNE EXCEPTION FRANÇAISE DES COMPORTEMENTS D EPARGNE? mercredi 21 avril 2004 Rapport final Table des matières Résumé 3 Introduction 4 Première partie : la France en Europe, cadrage macro-économique
Plus en détailDiane Patrimoine. Assurance-vie à annuités variables. Janvier 2011
Diane Patrimoine Assurance-vie à annuités variables Janvier 2011 Sommaire 1 Enjeu de la retraite et environnement client 2 La solution retraite patrimoniale en 4 points clés Un revenu garanti à vie Performance
Plus en détailComportements d épargne des ménages actifs et retraités: une analyse théorique et empirique sur la période 1978-2011
Comportements d épargne des ménages actifs et retraités: une analyse théorique et empirique sur la période 1978-2011 Céline Antonin OFCE Ecole d Economie de Paris 22 septembre 2014 Résumé Au cours des
Plus en détailCONTRAT D ASSURANCE VIE ASSURANCE
Ligne Beta Ligne Alpha CONTRAT D ASSURANCE VIE LOI ASSURANCE MADELIN VIE Version Arborescence Retraite Essentielle Madelin 1 unité 20 X X Notice Logotype La retraite est un sujet d actualité pour bon nombre
Plus en détailLes clés de l évaluation. Hervé Bardin
Les clés de l évaluation Hervé Bardin Evaluation d entreprise : principes généraux Evaluation d entreprise : principes généraux Que veut-on évaluer? Contexte de l évaluation Typologie des méthodes d évaluation
Plus en détailQui épargne? Qui désépargne?
Dossier Qui épargne? Qui désépargne? Bertrand Garbinti et Pierre Lamarche* En 2009, la moitié des ménages français ont épargné plus de 13 % de leurs revenus. Les comportements d épargne sont cependant
Plus en détailCours Marché du travail et politiques d emploi
Cours Marché du travail et politiques d emploi L offre de travail Pierre Cahuc/Sébastien Roux ENSAE-Cours MTPE Pierre Cahuc/Sébastien Roux (ENSAE) L offre de travail 1 / 48 Introduction Introduction Examen
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailLa Théorie de la relativité des Loyers Par Alain BECHADE
La Théorie de la relativité des Loyers Par Alain BECHADE Depuis la fin des années 90 (au siècle dernier!) la financiarisation de l immobilier a apporté des méthodes mathématiques bien pratiques, mais qui
Plus en détailESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit
ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Plan de la séance 3 : Le risque de crédit (1) Les opérations de crédit Définition d un crédit La décision de crédit Les crédits aux petites
Plus en détailLA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités
Plus en détailLES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1
LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et
Plus en détailÉtude Patrimoniale Document de collecte d informations. Votre conjoint. Vous. Vos proches. Date de l entretien... DOSSIER
Date de l entretien.... DOSSIER Vous Votre conjoint Prénom.... Prénom.... Nom.... Nom.... Date de naissance... Date de naissance.... Situation familiale marié(e) célibataire divorcé(e) veuf(ve) union libre
Plus en détailLes actifs financiers les plus couramment
2.1 Performance des placements à rendements réglementés Les actifs financiers les plus couramment détenus par les ménages sont les comptes ou livrets d épargne dont les revenus sont exonérés d impôt et
Plus en détailGESTION DU PATRIMOINE
Jean-Marc AVELINE Christian PRISCO-CHREIKI GESTION DU PATRIMOINE, 2007 ISBN : 978-2-212-53808-3 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 1 PREMIÈRE PARTIE LES GRANDS PRINCIPES DE LA GESTION DE PATRIMOINE CHAPITRE
Plus en détailMATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA
MATHS FINANCIERES Mireille.Bossy@sophia.inria.fr Projet OMEGA Sophia Antipolis, septembre 2004 1. Introduction : la valorisation de contrats optionnels Options d achat et de vente : Call et Put Une option
Plus en détailConsommation, épargne et investissement
Chapitre 1 Consommation, épargne et investissement Dans les pays en développement, la dépense de consommation représente une part très grande de la dépense privée ; aussi, comprendre ses déterminants est
Plus en détailINITIATION A LA GESTION DE PATRIMOINE
INITIATION A LA GESTION DE PATRIMOINE L AUREP propose des séminaires sur mesure pour les conseillers en gestion de patrimoine junior et pour les collaborateurs des conseillers. Il s agit d une sensibilisation
Plus en détail-3 - Epargne & hypothèse du cycle de vie
-3 - Epargne & hypothèse du cycle de vie - Epargne et variation de patrimoine - Du bon usage du modèle de cycle de vie - Taux d épargne agrégé à long terme - Impact de la crise de 2008 Un regard un peu
Plus en détailLe produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne
Le produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne Congrès Institut des Actuaires 2013 Jean-Pierre DIAZ, BNP Paribas Cardif Emmanuelle LAFERRERE, BNP Paribas Cardif Gildas ROBERT, Optimind Winter
Plus en détailComprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement
Comprendre le financement des placements par emprunt Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Le financement des placements par emprunt consiste simplement à emprunter pour
Plus en détailpremium banking Banque Migros SA www.banquemigros.ch Service Line 0848 845 400 MBW 2031/2013-04
premium banking Conseil Anlageberatung, financier global Vermögensverwaltung, Finanzierung Banque Migros SA www.banquemigros.ch Service Line 0848 845 400 MBW 2031/2013-04 Se poser en partenaire solide
Plus en détailLa crise de 1929. Lionel Artige. Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège
La crise de 1929 Lionel Artige Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège Expliquer la crise de 1929? La crise de 1929 a été l objet de nombreuses publications tentant d expliquer ses causes,
Plus en détailENSIIE. Macroéconomie - Chapitre I
ENSIIE Macroéconomie - Chapitre I Le 13 avril 2013 Table des matières 1 Introduction 2 2 La théorie Keynésienne 3 2.1 Keynes......................................... 3 2.2 Quelques ordres de grandeur.............................
Plus en détailStratégie d assurance retraite
Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police
Plus en détailEpargner à long terme et maîtriser les risques financiers
Epargner à long terme et maîtriser les risques financiers Olivier GARNIER David THESMAR 2 juin 2009 Le champ du rapport Point de vue des ménages-épargnants, plutôt que celui du financement de l économie
Plus en détailLes débats sur l évolution des
D o c u m e n t d e t r a v a i l d e l a B r a n c h e R e t r a i t e s d e l a C a i s s e d e s d é p ô t s e t c o n s i g n a t i o n s n 9 8-0 7 C o n t a c t : La u re nt V e r n i è r e 0 1 4
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailNote de présentation générale. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES 11 mai 2010 «Variantes de durée d assurance et d âges de la retraite» Dossier technique préparé par le secrétariat général du COR Document N 1 Document de travail, n
Plus en détailIntroduction des. comptes d épargne libre d impôt
Introduction des comptes d épargne libre d impôt Comptes d épargne libre d impôt Une nouvelle façon d épargner Les comptes d épargne libre d impôt ont été introduits par le gouvernement fédéral dans le
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailÉconomie et démographie
Économie et démographie Chapitre 1 PLAN DU CHAPITRE Thème 1.1 Comment la dynamique démographique influe-t-elle sur la croissance économique? 1 2 3 Les grandes évolutions démographiques Le rôle de l épargne
Plus en détailAttitude des ménages face au risque. M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Automne 2014
Attitude des ménages face au risque - M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Automne 2014 Plan du cours 1. Introduction : demande de couverture et comportements induits pa 2. Représentations
Plus en détailCONSOMMATION INTERTEMPORELLE & MARCHE FINANCIER. Epargne et emprunt Calcul actuariel
CONSOMMATION INTERTEMPORELLE & MARCHE FINANCIER Epargne et emprunt Calcul actuariel Plan du cours Préambule : la contrainte budgétaire intertemporelle et le calcul actuariel I II III Demandes d épargne
Plus en détailTERRE D AVENIR 2 MARS 2013
TERRE D AVENIR 2 MARS 2013 LA SÉCURITÉ EN TOUTE LIBERTÉ Terre d avenir 2, un contrat d assurance vie souple qui s adapte à vos besoins Une nouvelle génération de contrat d assurance vie qui vous aide À
Plus en détailMultisupport 3 Aréas. Dynamisez votre épargne et donnez vie à vos projets
Multisupport 3 Aréas Dynamisez votre épargne et donnez vie à vos projets Multisupport 3, un placement souple et performant, quelles que soient vos attentes Le contrat d assurance vie Multisupport 3 doit
Plus en détailCHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES
CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES PLAN ET RÉFÉRENCES Plan du chapitre I. Circuit et équilibre macro-économique II. La consommation et l épargne III. L investissement Références Généreux (2) Mankiw
Plus en détailLivret d epargne SaLariaLe
Livret d Epargne Salariale Chère collaboratrice, Cher collaborateur, En tant que salarié(e) de PAGE PERSONNEL, vous bénéficiez de l accord de participation en vigueur dans l entreprise. En complément de
Plus en détailQu est-ce qu une banque?
Qu est-ce qu une banque? Nathalie Janson 1 Financement de l Activité économique Développement des entreprises nécessite apport de fonds Les entreprises peuvent se financer de façon interne ou externe Les
Plus en détailComment évaluer une banque?
Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans
Plus en détailLe financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple
Le financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple Laurent Batsch ahier de recherche n 2005-01 Le financement adossé est une des modalités de financement de l investissement
Plus en détailwww.expert-invest.fr
www.expert-invest.fr Ce document est une synthèse non exhaustive du contenu du bilan patrimonial professionnel que nous proposons. Il ne saurait se substituer à une véritable analyse de notre part ni remplacer
Plus en détailPERP Gaipare Zen. Prévoir le meilleur pour votre retraite
PERP Gaipare Zen Prévoir le meilleur pour votre retraite On a tous une bonne raison d épargner pour sa retraite Composante de votre avenir, la retraite s envisage comme une nouvelle vie, synonyme de liberté.
Plus en détailLes SCPI. François Longin 1 www.longin.fr
Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire i «L investissement t immobilier» Les SCPI François Longin 1 www.longin.fr Généralités sur les SCPI SCPI Borloo Plan Processus d investissement (sélection
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détail> Votre conjoint. Adresse :... Régime matrimonial :... ... Avantages matrimoniaux (ou autres particularités) :
Date de l'entretien :... > Vous Prénom :... Nom :... Date de naissance :... Situation familiale : Marié Célibataire Divorcé Veuf Union libre PACS > Votre conjoint Prénom :... Nom :... Date de naissance
Plus en détailCatalogue. E-learning TV Learn Storytelling Quiz d évaluation. FormaLearning Notre expertise pédagogique au service de vos projets!
Catalogue E-learning TV Learn Storytelling Quiz d évaluation E-learning Banque, fi nance, assurance Initial Le compte bancaire La procuration Les incidents de fonctionnement du compte Les moyens de paiement
Plus en détailmais on suppose maintenant que ses préférences sont représentées par la fonction
Ecole Nationale de la Statistique et de l Administration Economique 2ème année, 1er semestre, 2007/2008 Examen de Macroéconomie Stéphane Gauthier 2 heures, sans document ni calculatrice 1. Questions de
Plus en détailLes chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011
Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011 Les bénéficiaires de retraites Nombre de retraités, selon les différents régimes (COR janvier 2010) : 16 millions dont : 11,3 millions :
Plus en détailA la découverte de l assurance vie HSBC France
A la découverte de l assurance vie HSBC France L assurance vie, le placement qui vous accompagne dans tous vos projets Depuis quelques années, l assurance vie est devenue le placement préféré des Français
Plus en détailEpargne. Bien comprendre l épargne-retraite en entreprise. L offre globale. Assurances et Services pour le développement des entreprises.
entreprises Epargne Bien comprendre l épargne-retraite en entreprise L offre globale Groupama Assurances et Services pour le développement des entreprises. epargne Comment maintenir le niveau des retraites?
Plus en détailSommaire. La famille. L immobilier. Le couple. La gestion des biens du couple. La séparation. La gestion des biens des mineurs et des incapables
Sommaire La famille Le couple 1. Union 12 2. Mariage, Pacs, concubinage : que choisir? 13 La gestion des biens du couple 3. Biens meubles et immeubles 15 4. Régime primaire 17 5. Choix du régime matrimonial
Plus en détailObjet : Un panorama de l épargne financière des ménages.
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Réunion plénière du 12 septembre 2002 «Retraite par répartition et compléments de retraite» Document n 2 DIRECTION DE LA PRÉVISION SOUS-DIRECTION DES SYNTHESES MACROECONOMIQUES
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailMarché d assurance vie. Septembre 2004
Marché d assurance vie Septembre 2004 Quels types des contrats d assurance vie commercialisons-nous dans le marché américain? Temporaire-décès Unités de compte Non-unités de compte Garantie décès déclenchable
Plus en détailProgramme ESSEC Gestion de patrimoine
Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire «L investissement immobilier» Fiscalité de l immobilier François Longin 1 www.longin.fr Fiscalité de l immobilier Plusieurs niveaux de fiscalité (investissement
Plus en détailStratégies relatives au compte d épargne libre d impôt
Stratégies relatives au compte d épargne libre d impôt Le gouvernement du Canada a annoncé la création du compte d épargne libre d impôt (CELI) à l occasion de son budget de 2008, puis a procédé à son
Plus en détailTaux d épargne, le paradoxe franco- britannique
OFCE le 10 novembre 2003 Taux d épargne, le paradoxe franco- britannique Valérie Chauvin, Catherine Mathieu, Henri Sterdyniak. Version provisoire En ce qui concerne l organisation de leur système de retraite,
Plus en détailItalie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS
Italie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS Déductions et crédits d impôt Réductions d impôts Imposition des plus-values Imposition des revenus financiers Régimes spéciaux concernant les expatriés L impôt
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailGérard Huguenin Petit guide pour s enrichir au quotidien
Gérard Huguenin Petit guide pour s enrichir au quotidien Groupe Eyrolles, 2005, 2007 ISBN 10 : 2-7081-3782-4 ISBN 13 : 978-2-7081-3782-0 Table des matières Sommaire....................................................5
Plus en détailFrance. Conditions d ouverture des droits. Calcul des prestations. Indicateurs essentiels. France : le système de retraite en 2012
France France : le système de retraite en 212 Dans le secteur privé, le système de retraite repose sur deux piliers obligatoires : un régime général lié à la rémunération et des dispositifs professionnels
Plus en détail64% des actifs font confiance aux mutuelles : La France Mutualiste se mobilise pour répondre à leurs attentes
DOSSIER DE PRESSE CONFÉRENCE DE PRESSE DU 14 SEPTEMBRE 2010 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Enquête exclusive La France Mutualiste/IFOP : Les Français et la retraite 64% des actifs font confiance aux mutuelles :
Plus en détailLes exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?
Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du
Plus en détailL épreuve se compose de quatre exercices indépendants.
COMPTABILITÉ ET ANALYSE FINANCIÈRE Épreuve à option Rédacteur 2009 Concours externe et interne Document et matériel autorisés : Liste intégrale des comptes comportant la mention «document autorisé aux
Plus en détailLIFE MOBILITY. épargne patrimoniale
épargne patrimoniale LIFE MOBILITY evolution UN CONTRAT D ASSURANCE VIE ÉMIS AU GRAND-DUCHÉ DU LUXEMBOURG AU SERVICE DE LA MOBILITÉ PARCE QUE VOUS SOUHAITEZ Un contrat sur-mesure pour une stratégie patrimoniale
Plus en détail