RADIOPEDIATRIE NEUROLOGIQUE
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- Anaïs St-Hilaire
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1 RADIOPEDIATRIE NEUROLOGIQUE 1
2 Le cerveau normal de l enfant Particularités Poursuite de la maturation cérébrale après la naissance Poursuite de la myélinisation jusqu à 18 à 24 mois Toujours interpréter la trophicité cérébrale en fonction de la clinique et du périmètre crânien Nouveau-né 6 mois 1 an 2
3 LES MALFORMATIONS 3
4 Les craniosténoses Définition : Soudure prématurée d une ou plusieurs sutures de la boite crânienne Conséquences : Caractère inesthétique Troubles neurologiques : - Hypertension intracrânienne - Retard mental - Epilepsie - Atrophie optique La plus part des déformations du crâne sont bénignes et régressives, sans atteinte des sutures (positionnelles, traumatisme à l accouchement ) Etiologies : Origine mal connue Craniosténose primitive : Craniosténoses secondaires : Troubles de la pression intracrânienne Atrophie cérébrale majeure Dérivation ventriculaire Troubles de l ossification Rachitisme vitamino résistant Hypercalcémie, Hypophosphatémie Hyperthyroïdie 4
5 Diagnostic : Radiographie du crâne : Perte de l aspect dentelé des sutures Condensation des berges suturaires Saillie osseuse possible au niveau de la fusion des berges Signes indirects dans les formes évoluées : Impressions digitiformes, platybasie Scanner : Filtre UHR, coupes millimétriques Irradiation minimale : 120 KeV, 65 mas Sédation : Biberon, médicaments si besoin Etude du crâne et du contenu (malformations associée, étiologie) Reconstructions 3D très jolies, Mais diagnostic sur les coupes natives Rq : Pas de corrélation entre l importance de la soudure et des déformations Les différents types de craniosténoses Synostoses simples : Atteinte d une seule suture Scaphocéphalie : Synostose sagittale : crâne allongé Trigonocéphalie : Synostose suture métopique : crête frontale Plagiocéphalie : Synostose coronale ou lambdoïde : Hémi crâne plat Synostoses complexes : Atteinte de plusieurs sutures Brachycéphalie : Synostose coronales ou lambdoïdes : crâne Haut Oxycéphalie : Synostose des sutures coronales + 1 autre suture Crâne en trèfle : Multiples synostoses du crâne et de la base 5
6 Scaphocéphalie : Suture sagittale : Crâne allongé 6
7 Trigonocéphalie Suture métopique : Crète frontale Plagiocéphalie Suture coronale ou lambdoïde : Hémi crâne plat Souvent bénignes, positionnelles Si plagiocéphalie vraie,! Déformations (rocher et orbite) 7
8 Brachycéphalie Sutures coronales ou lambdoïdes : Développement vers le haut et l avant ou l arrière Associations malformatives: Syndrome d Alpert : Oxycéphalie Agénésie du corps calleux Kyste inter hémisphérique Poly syndactylie Maladie de Crouzon : Craniosténose complexe Hypoplasie maxillaire supérieure Exorbitisme 8
9 Les malformations cérébrales Malformations de Chiari Malformations kystiques de la FCP Holoprosencéphalie Schizencéphalie Hydranencéphalie Agénésie du corps calleux Anomalies de gyration corticale Anomalie de migration corticale 9
10 Malformations de Chiari : Anomalies de la FCP et de la région cervicale. Chiari type 1 : Ectopie des amygdales cérébelleuses à travers le trou occipital (5mm), Le IVe ventricule est en place. Souvent, il existe une petite syringomyélie Chiari type 2 : Ectopie des amygdales cérébelleuses et du vermis dans le canal cervical Comblement des citernes de la FCP Compression du mésencéphale par le cervelet Hydrocéphalie supra tentorielle Dilatation du canal épendymaire Chiari type 3 : Exceptionnelle Encéphalocèle sous tentorielle et cervicale Les types 2 et 3 sont associés à un défaut de fermeture du tube neural : myélo-méningocèle, spina bifida Chiari type 1 Chiari type 2 10
11 Malformations kystiques de la FCP : Malformation de Dandy-walker : Agénésie du vermis +/- complète Imperforation des trous de Magendie : dilatation du V4 et hydrocéphalie Forme variante du Dandy-Walker : Agénésie du vermis +/- complète Poche choroïdo-arachnoïdienne communicante (donc pas d hydrocéphalie) Poche arachnoïdienne de la grande citerne : Poche de Blake La + fréquente Expansion rétro cérébelleuse de la toile choroïdienne, communicante Kyste de la grande citerne : Exceptionnel Poche arachnoïdienne fermée expansive : Hydrocéphalie 11
12 Holoprosencéphalie Défaut de développement du massif facial entraînant une absence de diverticulisation du cerveau. Il en existe plusieurs types avec développement ou non de la face, les anomalies sont plus ou moins prononcées, mais on retrouve généralement une relative symétrie d axe sagittal : Un ventricule unique avec Défaut de formation du septum ventriculaire, Agénésie +/- complète du corps calleux. Il existe une atteinte +/- sévère des structures sensitives ( vision, olfaction ),avec dans la forme la plus sévère une cyclopie Radiopédiatrie (Ph Devred), Abrégés MASSON Ed 12
13 Schizencéphalie Il semblerait qu il y ait une origine génétique Fente cérébrale habituellement bilatérale, grossièrement symétrique, étendue du cortex au ventricule, tapissée de substance grise avec jonction entre le revêtement épendymaire des ventricules et du cortex Le septum est le plus souvent absent. Il en existe 2 types : Les schizencéphalies kystiques où les ventricules sont largement ouverts Les schizencéphalies fermées où la fente est virtuelle, avec simplement un tractus de substance grise qui s étend jusqu au ventricule Lésion épileptogène, retard mental +/- important, inconstant Radiopédiatrie (Ph Devred), Abrégés MASSON Ed 13
14 Hydranencéphalie Forme extrême des porencéphalies encéphaloclastiques : Accident vasculaire anténatal avec nécrose ischémique d un territoire vasculaire Ici, il ne reste quasiment qu une vaste cavité porencéphalique Elle peut aussi résulter d un œdème cérébral in-utéro Diagnostic souvent en anténatal par IRM orienté par l échographie morphologique 14
15 Agénésie du corps calleux Agénésie +/- complète des structures télencéphaliques : Commissure blanche antérieure Corps calleux Fornix Septum pellucidum Souvent associée à d autres anomalies : Lipome du corps calleux Malformations kystique de la FCP Kyste inter hémisphérique Anomalie de migration cellulaire Aspect radiologique : Fissure inter-hémisphérique au contact du V3 (axial et coronal) Pas de corps calleux en sagittal, circonvolutions radiées convergentes vers le V3 Radiopédiatrie (Ph Devred), Abrégés MASSON Ed 15
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17 Anomalies de gyration corticale L essentiel du stock de neurone est atteint des la 1ère moitié de la grossesse. Il y aura ensuite connexion progressive des neurones et développement des cellules gliales qui entraîneront la formation des gyri cérébraux. Lissencéphalie : cortex lisse : Agyrie et pachygyrie L agyrie : Absence totale de sillon. Substance grise toujours épaisse, substance blanche fine Le cervelet est en général normal. La pachygyrie : Forme atténuée de l agyrie, seul les sillons principaux sont creusés 17
18 Les anomalies de la migration cellulaire Le peuplement de la substance grise du cortex se fait pendant le développement embryonnaire à partir des régions péri ventriculaires médianes. Il peut exister des troubles le migration neuronale entraînant la présence d amas de substance grise au niveau e la substance blanche. On en distingue 2 types : Les hétérotopies nodulaires : Amas arrondis focalisés, disséminés, +/- nombreux Les hétérotopies laminaires : Lignes de substance grise +/- proche du cortex, pouvant au maximum former une image de double cortex Ces hétérotopies sont souvent épiléptogènes 18
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20 Les malformations vertébrales Les possibilités de malformations vertébrales sont nombreuses : Hémi vertèbres, vertèbres en ailes de papillon, bloc vertébral congénital... La localisation fréquente au niveau du rachis cervical avec réduction du nombre de vertèbres et un aspect de puzzle, peut être associée à une surélévation congénitale de la scapula avec os omo-vertébral. Le risque de compression médullaire doit être évalué par IRM. Au niveau dorsal ou lombaire, les éléments importants sont les suivants : Le nombre des anomalies et la notion d'équilibre global du rachis. Les anomalies costales associées. L'élargissement localisé du canal rachidien devant faire rechercher une anomalie médullaire associés (diastématomyélie). Dans tous les cas, recherchez des lésions viscérales associés. 20
21 Malformations spino-médullaires o Les Notochordodysraphies : La Diastématomyélie : Ebauche de duplication rachidienne avec diplomyélie. La moëlle se sépare en 2 avec au milieu une cloison osseuse (parfois fibreuse). Le cône terminal est souvent bas situé, parfois avec un gros filum terminal, un lipome, une hydromyélie. Le canal rachidien est élargi, il existe soucent des anomalies lamaires ou costales, des anomalies de fusion, un scoliose. Parfois, il existe un canal ou un kyste neuroenterique (masse épithéliale secrétant du mucus liée à une mauvaise séparation des feuillets embryologique. Il est toujours situé en avant de la moëlle. Diastématomyélie Elargissement du canal rachidien Malformations vertébrales Pont osseux Moelle Sac dural 21
22 o Les défaut de fermeture et de séparation du tube neural La myéloméningocèle Défaut de fermeture du tube neural qui reste ouvert à la peau. Le tissu nerveux et le sac méningé font hernie à la surface, plus ou moins recouvert de peau. Ils passent par un fente dans le squelette osseux lié à l écartement des arcs postérieurs : Le spina bifida Rx : visualisation du spina bifida, éversion des lames et des pédicules IRM : absence de séparation entre moelle et tissu cutané Interruption de la graisse sous-cutanée au niveau de la malformation Toujours explorer l ensemble du rachis pour rechercher d autres malformations associées, notamment la charnière cervico-occipitale : Malformation de Chiari type 2 associée dans 98% des cas Myéloméningocèle Moelle longue Sac dural et contenu médullaire à l air Pas de tissu cutané Défaut de fermeture osseuse 22
23 o Les dysraphie occultes La lipomyéloméningocèle Contrairement à la myéloméningocèle, elle se développe sous une peau normale. La moëlle est bas située, il existe une masse graisseuse intracanalaire ou en continuité avec les tissus graisseux sous-cutanés. Le canal vertébral lombo-sacré est en général élargi +/- spina bifida mais sans éversion des lames. Kyste et fistule dermique : Défaut de séparation entre le tube neural et la peau, sans anomalie de fermeture. Pertuis cutané ou kyste dermique dans le canal, toujours en arrière de la moelle infection 75% des cas : Traitement chirurgical Moelle fixée Visible en cas de myéloméningocèle ou dans la non régression du filum terminal Myélopathie progressive liée aux contraintes s exerçant sur la moelle quin est pas libre dans le sac dural Parfois, simple moelle bas située non fixée (<L2) : Variante anatomique 23
24 Lipomyéloméningocèle Masse graisseuse en arrière de la moelle en continuité avec les tissus sous cutanée Kyste dermique Moelle longue Défaut de fermeture de l os 24
25 o Autres malformations spino-médullaires L agénésie sacrée : - Agénésie sacrée asymétrique : Correspond à une méningocèle sacrée antérieure - Agénésie sacrée transversale : C est une régression caudale excessive Sacrée, lombaire ou parfois dorso-lombaire, l agénésie médullaire est corrélée à l agénésie osseuse associée (évolution métamérique) La méningocèle Hernie isolée des méninges à travers une déhiscence postérieure du canal vertébral Pas d élément nerveux dans la meningocèle Pas d anomalie cutanée en regard Méningocèle Moelle normale Hernie méningée, vide Petite déhiscence osseuse 25
26 LES TUMEURS CEREBRALES DE L ENFANT 26
27 Généralités Tumeurs fréquentes Localisation FCP et ligne médiane préférentielles : Hydrocéphalie +++ Examen diagnostic de choix : IRM Objectifs de l examen : Orientation diagnostique (rarement de certitude uniquement sur l imagerie) Localisation, extension Critères Bénin/ Malin (extension, envahissement, contours ) Retentissement : Œdème, effet de masse, Hydrocéphalie Préparer une éventuelle chirurgie (repérage stéréotaxique, rapports tumoraux) Les Tumeurs de la fosse cérébrale postérieure Astrocytome Médulloblastome Ependymome Gliome du tronc cérébral 27
28 L'astrocytome pilocytique du cervelet Il constitue 40 % des tumeurs de la fosse cérébrale postérieure de l'enfant. Plus fréquent chez le garçon, surtout entre 3 et 10 ans. Atteint essentiellement le vermis, avec extension secondaire aux hémisphères cérébelleux. Composante kystique régulière, non rehaussée en périphérie. Nodule charnu bien limité, bien rehaussé après injection. Image typique : «Œuf au plat» Parfois, présentation atypique, absence d'image kystique ou multiples petits kystes. Parfois, prise de contraste des parois du kyste. L effet de masse peut être important et il existe souvent un engagement des amygdales cérébelleuses. Traitement : Tumeur curable si l'exérèse est complète. 28
29 Le médulloblastome : Il représente 30 à 40 % des tumeurs de la fosse cérébrale postérieure de l'enfant. Il atteint essentiellement le vermis. Spontanément discrètement hyperdense, prend fortement le contraste. Peut être très hétérogène, avec des calcifications, des zones kystiques ou nécrotiques, Il existe souvent un axe vasculaire intra tumoral. Extension dans la cavité du IVe ventricule, descente dans le trou occipital. Il entraîne souvent ainsi une hydrocéphalie. Le médulloblastome peut donner des métastases méningées, et une méningite carcinomateuse. Faire une IRM cérébrale + médullaire Le pronostic et relativement mauvais avec moins de 20 % de guérison. Traitement : Chirurgie + chimiothérapie + radiothérapie. 29
30 L'épendymome : Ils constituent 15 % des tumeurs de la fosse cérébrale postérieure de l'enfant. Il survient surtout entre 1 et 5 ans. Se développe surtout dans le IVe ventricule. Très mou, descend souvent dans le trou occipital Passe par les trous de Luscka. Elle contient fréquemment des calcifications. Partie charnue : prise de contraste très hétérogène Fréquents remaniements hémorragiques (hypot2). Cette tumeur est très récidivante. Elle peut donner des métastases méningées rachidiennes et cérébrales : Faire une IRM cérébrale + médullaire Pronostic réservé 30
31 Le gliome du tronc cérébral : Survient surtout entre 3 et 10 ans. Tumeur peu agressive infiltration progressive : pas d'hydrocéphalie, mais une paralysie progressive des nerfs crâniens. Augmentation de diamètre du tronc cérébral, Hypersignal T2, un hyposignal T1, Prise de contraste variable. Parfois, zones kystiques ou nécrotiques. Parfois, la lésion englobe le tronc basilaire. Le scanner rate souvent lésion (hypo ou isodense). Rarement, il est existe une forme exophytique localisée : c'est la seule éventuellement curable. Pronostic désastreux (0 % de survie à 5 ans) 31
32 Tumeurs supra sellaires Craniopharyngiome Gliome Tératome Germinome Hamartome 32
33 Le craniopharyngiome : Il représente 50 % des tumeurs sellaires de l enfant. Il se manifeste par : Une insuffisance antéhypophysaire (nanisme harmonieux) Des troubles visuels Une hydrocéphalie. Il présente 3 composantes : Des calcifications Une partie charnue qui prend le contraste Une composante kystique souvent à contenu épais, «huile de vidange» dont le signal n est pas purement liquidien en IRM (différent du LCR). Rq : Il faut le distinguer d un kyste de la poche de Rathke, résidu embryonnaire purement kystique, sans prise de contraste après injection. 33
34 Le gliome du chiasma : Il est important de distinguer 2 cas : Le gliome sporadique : Garçon 2 à 3 ans, Lésion très agressive, pronostic désastreux. Le gliome lié à une neurofibromatose : Dans le cadre d une maladie de Recklinghausen : Elargissement du nerf souvent pauci ou asymptomatique, en général non évolutif. Lésion bénigne, aucun traitement. 34
35 Autres tumeurs du plancher du 3è ventricule Le tératome Lésion énorme, diagnostic très tôt Volumineuse masse hétérogène, avec des calcifications. Bénin ou malin Marqueurs tumoraux (AFP, BetaHCG) Traitement : Chirurgie si lésion bénigne. Le germinome : Tumeur ectopique épiphysaire. Diabète insipide précoce (avant imagerie) Recontrôler l imagerie si elle est négative au départ. Tumeur charnue hétérogène Prise de contraste ponctuée «poivre et sel». L hamartome du tuber cinereum : Substance grise ectopique Asymptomatique, épilepsie gélastique (rires et pleurs spasmodiques), troubles du comportement, puberté précoce. 35
36 Les tumeurs épiphysaires ( = pinéales) Leur type histologique est très variable : pinéalocytome, pinéaloblastome, germinome, tumeurs à cellules germinales( doser les marqueurs tumoraux!). On peut aussi distinguer : Les tumeurs pinéales vraies (pronostic assez sombre) englobant les calcifications pinéales Les tumeurs développées au niveau de la lame tectale (pronostic bien meilleur). Extension dans le IIIè ventricule ou en avant en comprimant l aqueduc de Sylvius : Hydrocéphalie Attention aux métastases méningées, étude cérébrale et médullaire Tumeurs intra-ventriculaires L astrocytome à cellules géantes : Survient toujours dans un contexte de sclérose tubéreuse de Bourneville. Développement électivement frontal au dépens d un nodule tubéreux sus épendymaire du trou de Monro. Souvent calcifié Papillome / carcinome des plexus choroïdes : Enfant très jeune Tumeur «en chou-fleur» Bénin/Malin +/- envahissement des parois ventriculaires L épendymome : Rarement développé au dépens des ventricules chez l enfant 36
37 Les tumeurs hémisphériques L épendymome : Développement intra parenchymateux à partir de cellules épendymaires ectopiques. L astrocytome : Même caractéristiques qu en sous tentoriel, bon pronostic. Les PNET : Equivalent du médulloblastome en sous tentoriel, pronostic effroyable. Les DNET : Petites tumeurs d évolution lente, sont à la limite entre malformation et tumeur. Hétérogènes, +/- kystiques, +/-calcifiées, pas d effet de masse, pas d œdème cérébral. Lésion épileptogène qui est symptomatique avant 20 ans. Le gangliogliome L oligodendrogliome 37
38 Autres tumeurs cérébrales Le Méningiome : Rare chez l enfant. Toujours évoquer une Neurofibromatose de type 2 Les métastases : Evoquer en premier lieu un Neuroblastome Lymphome à forme cérébrale : Non exceptionnel Homogène, discrètement hyperdense spontanément au scanner Prise de contraste homogène 38
39 Pathologie cérébrale vasculaire Moins fréquent que chez l adulte, mais pas si rare Pathologies de développement Malformations Souffrances néo-natales 39
40 Malformations Artério rio-veineuses (MAV) Veine Définition : Développement exubérant d un réseau capillaire (nidus), associé à un afférence artérielle et une efférence veineuse. Artère 78% se manifestent par une hémorragie : grave Plus rarement : épilepsie, détérioration neurologique, insuffisance cardiaque (shunt) TDM : Hémorragie, Lit vasculaire +/- visible IRM, Angiographie : mise en évidence de la MAV Précice la taille, la localisation, le mode circulatoire, les branchements artériels et veineux Traitement : Chirurgie ou embolisation Rx 40
41 Anomalies veineuses de développement d : Souvent improprement appelés «angiomes veineux» Définition : Réseau veineux collatéraux résultant d une occlusion veineuse précoce Volumineux tronc veineux drainant un réseau de petites perforantes Aspect en «tête de méduse» Réseau veineux exubérant Ne saignent que très rarement Peuvent être épileptogènes Veine de drainage Traitement : Aucun sauf si symptomatique Angiomes caverneux ou cavernomes: Définition : Anomalies avec lacs veineux peu circulant Fréquents, souvent de découverte fortuite Peuvent se thromboser ou donner des hémorragies TDM : Discrètement dense,+/- calcifié, +/- rehaussés, rarement œdème, souvent difficilement visible car de petite taille IRM : Asignal T2 majoré en echo de gragient : T2* +++ Si saignement ou volumineux : Sang coagulé (Hyper T1 et T2) Halo d hémosidérine (Asignal T1 T2) +/- Œdème (Hyper T2) 41
42 CAVERNOMES Anévrisme de l ampoule l de Galien Propre à l enfant Poche veineuse située dans la région pinéale Précurseur embryonnaire persistant communicant avec le système sus-tentoriel dorsal Complications :Hydrocéphalie, insuffisance cardiaque Traitement : Embolisation Ampoule de Galien Radiodiagnostic (J.P Monnier), Abrégés MASSON Ed 42
43 Anévrismes artériels riels : Rares chez l enfant, associés à d autres anomalies artérielles (artères rénales ou aorte) Familles à risque : Développement rare avant 20 ans Csqs : rupture et hémorragie méningée Même démarche que chez l adulte : TDM : Hémorragie méningée, parfois visualisation directe de l anévrisme Angiographie, IRM : Anévrisme Traitement : chirurgie ou embolisation radiologique 43
44 Souffrances cérébrales vasculaires Chez le nouveau-né prématuré, cerveau très fragile : - Fréquentes hémorragies ventriculaires ou sous épendymaires - Ischémie localisée plutôt à la substance blanche péri ventriculaire Chez l enfant plus grand, mécanismes pas toujours bien connus : Souvent contexte de vascularite ou de maladie systémique, de malformation 44
45 Hémorragie ischémie Traumatismes cranio-cérébraux Lésions osseuses : Fractures linéaires Surtout occipitales et temporales Attention aux sutures surnuméraires Disjonction des sutures Potentiellement grave car à proximité des sinus veineux dure-mériens : - Hématome exta-dural - Thrombose veineuse Fractures enfoncements : «en balle de ping-pong» Liées à l élasticité osseuse, correspond au bois vert des os longs. RX : Sur densité en projection de la voûte TDM : +++ Les embarrures : Fragment saillant interne : traitement chirurgical 45
46 Place de la RX du crâne : Pas de corrélation entre les atteintes traumatiques crâniennes et les lésions cérébrales Elle ne remplace pas un bon examen clinique Elle n est indiquée ni en routine, ni en urgence prioritaire Elle est obligatoire en cas de suspicion de sévices à enfant Si elle est réalisée : Face droite Profil, Face fronto-sous-occipitale Si suspicion d atteinte de la face ou de la base : Indication de TDM Autre indication de Rx crâne : surveillance craniosténose 46
47 Collections hématiques extra cérébrales Pas de particularité par rapport à l adulte Hyperdensité spontanée au Scanner Hyper T1 Hyper T2 au stade aigu, parfois isot1 dans les toutes premières heures Hématome Extra Dural Hématome extra-dural : Lentille biconvexe Limité par les sutures Origine plutôt artérielle 47
48 Hématome sous-dural : Hématome Sous Dural Décollement concave moulant les sillons non limité par les sutures. Origine plutôt veineuse H. sous-duraux de la faux du cerveau plus fréquents chez l enfant secoué!!! Lésions cérébrales traumatiques : Les lésions de base : La concussion : Atteinte purement fonctionnelle du tronc cérébral La contusion : Pétéchies hémorragiques, souvent corticales, doubles (contrecoup) L attrition : nécrose parenchymateuse focale L atteinte neuronale diffuse : Ruptures multiples des fibres nerveuses + vaisseaux Le scanner met +/-bien en évidence ces lésions L IRM est souvent plus sensible, meilleure si disponible L Effet de masse : Engagement des amygdales cérébelleuses dans le trou occipital du lobe temporal à travers la tente du cervelet (trans-tentoriel) sous la faux du cerveau (sous-falcoriel) Toujours recontrôler un peu à distance : - Evolution de l œdème cérébral - Apparition de complications (hémorragie sur nécrose, décollement) A distance, vérifier l absence d hydrocéphalie et évaluer les séquelles 48
49 Hématome intra parenchymateux Oedème cérébral Lésions axonales 49
50 Infections encéphaliques Méningites bactériennes : Exploration encéphalique si réaction incomplète au traitement antibiotique Recherche de foyer d encéphalite avec un rehaussement mal défini ou en anneau (stade pré suppuratif), ou véritable abcès («en cocarde») Recherche d une collection sous durale : - Soit de LCR par cloisonnement, mais favorise l empyème - Soit un empyème = abcès extra cérébral : Traitement chirurgical L hydrocéphalie peut survenir à tout moment (liée aux cloisons) La ventriculite est grave car diminue la sécrétion de LCR La vascularite induite par l infection cause souvent les lésions les + sévères Rechercher une porte d entrée : brèche ostéoméningée (bulle d air évocatrice) 50
51 Empyème Abcès Encéphalite Herpétique +++ Toujours la garder à l esprit URGENCE Diagnostique et Thérapeutique Souvent traitement débuté avant l imagerie : ZOVIRAX IV Si taitement précoce, pas de signe radiologique en général Sinon, lésions de nécrose : Visibles plus précocement à l IRM ( Hypo T1, Hyper T2 rehaussé après Gado ) qu au scanner (hypodensité ) Localisation temporo-frontale bilatérale et symétrique très évocatrice Epargnant les noyaux gris centraux 51
52 SCANNER IRM 52
53 Epilepsie Crise d épilepsie : C'est une décharge anarchique de potentiels d'action par une population donnée de neurones. Elle a lieu au niveau d'un des deux hémisphères cérébraux. Elle s'accompagne, en règle générale, de trouble de la conscience. Epilepsie maladie : Maladie caractérisée par la répétition des crises d épilepsie. Etat de mal épileptique : crise d'épilepsie durant au moins 30 mn ou crises survenant en séries sans récupération de conscience entre les crises (risque de séquelles Neurologiques). Les crises généralisées : Les absences ou «petit mal» : Episodes de perte de contact de quelques secondes de début et de fin brutale avec interruption puis reprise de l activité en cours. Favorisées par l hyperpnée (pendant le jeu) ou les émotions La crise généralisée tonico-clonique ou «grand mal»: Déroulement de la crise : 1. Phase tonique : Perte de conscience, contraction musculaire généralisée 2. Phase clonique : Convulsions saccadées, brèves et répétées 3. Phase stertoreuse : Etat flasque, relâchement (perte d urines) 4. Phase post-critique : Retour à la conscience 53
54 Les crises partielles : Moins fréquentes chez l enfant, plus souvent dues à des lésions cérébrales Les crises somato-motrices : Ce sont des crises tonico-cloniques localisées à un segment de membre, un membre ou un hémicorps. Les crises bravais-jacksoniennes : C'est une contraction clonique de l'extrémité d'un membre, s'étendant progressivement au reste du membre. Généralisation secondaire possible, avec trouble de la conscience. Elle est due à une décharge d'origine frontale ascendante, s'étendant en tâche d'huile. Les crises versives : C'est une rotation lente et forcée de la tête et des yeux, pouvant se poursuivre par une abduction lente du membre supérieure. Il y a une rotation possible de l'ensemble du corps {crise giratoire}. La généralisation est fréquente. Elle est due à une décharge d'origine frontale colatérale. Les crises sensitives : Elles sont rares et souvent d'origine tumorale. Les crises sensorielles : Elles sont rares chez l'enfant. Les crises végétatives : Il y a salivation, déglutition, crises abdominales, troubles vasomoteurs {pâleur, rougeur, sueurs}. Décharge d'origine temporale profonde. 54
55 Etiologies : Tout ce que l on vient de voir peut donner une épilepsie - Séquelles néo-natales ou congénitales - Malformations cérébrales, troubles de migration neuronale - Tumeurs, dysplasies corticales, Malformations vasculaires - Traumatismes, séquelles traumatiques - Infections cérébrales ou méningées - Maladies métaboliques Epilepsie idiopathique : sans lésion organique retrouvée Cause la plus fréquente : Hyperthermie (angine, grippe ) Convulsions hyperthermiques : Convulsions avec température supérieure ou égale à 38 sans infection du système nerveux central, liée à l'âge (risque maximum à 2 ans puis diminue avec l'âge). Récidives fréquentes (40 %), bénignes (seul risque rare : convulsion supérieure à 30 mn avec risque de séquelles). Eliminer une méningite : PL systématique avant 1 an ou en cas de signes méningés, Eliminer une encéphalite : en cas de doute : PL, EEG, scanner Traitement : Faire baisser la fièvre : anti-pyrétiques, bain VALIUM intra-rectal si persistance 55
56 Epilepsie généralisée idiopathique : pronostic intellectuel excellent, traitement efficace nécessaire transitoirement sauf chez l'adolescent avec risque de récidives ++ à l'arrêt de traitement. E. absence "petit mal" : enfant ou adolescent, absences atypiques, EEG : pointe-ondes à 3 c/s (hyperpnée ++) E. généralisée "grand mal" : tout âge, crises tonicocloniques, EEG : pointe-ondes généralisées. E. myoclonique de l'adolescent : myoclonies et crises TC (réveil ++), EEG : poly-pointe-ondes (SLI ++) E. photosensible : crise TC devant la TV ou l'ordinateur, EEG : pointe-ondes. Epilepsie généralisée, symptomatique, cryptogénique : pronostic intellectuel réservé, épilepsie difficile à contrôler. Syndrome de WEST : Age inférieur à 1 an, spasmes épileptiques, régression neurologique. EEG : hypsarythmie. Syndrome de LENNOX GASTAUT : Age supérieur à 2 ans, crises atoniques + absences atypiques + crises toniques, retard psychomoteur, trouble du comportement, EEG : tracé de fond lent + pointe- ondes lentes. Encéphalopathie épileptique 56
57 E. focalisée (partielle) idiopathique : pronostic intellectuel excellent, traitement transitoire. Epilepsie à paroxysmes rolandiques (EPR) : Crises oro-faciales ou hémi-corporelles, parfois secondairement généralisées (réveil, sommeil), EEG : pointes rolandiques tantôt droites, tantôt gauches. Autres plus rares (occipitales,...). E. focalisée symptomatique (lésion visible)/cryptogénique (lésion très probable mais non visualisée par les techniques neuro-radiologiques actuelles) : type de crises, localisation des anomalies EEG et pronostic dépendant de la maladie sous-jacente. E. partielle ou généralisée de nature indéterminée. E. myoclonique sévère du nourrisson : C.H.T. fréquente et prolongée avant 1 an (EEG : SLI ++), puis myoclonie, retard psychomoteur + autres types de crises, pronostic sévère. E. avec pointe-ondes continues du sommeil (POCS) : enfant, crises partielles ou généralisées rares avec apparition de troubles des fonctions supérieures (langage, mémoire...) EEG : POCS., pronostic variable. Syndrome de LANDAU KLEFFNER : enfant, aphasie acquise plus ou moins crises, EEG : pointes bi-temporales ou POCS, pronostic variable. Epilepsie inclassable. 57
58 Atrophie (ou dysplasie) Hippocampique Définition : Anomalie de développement du cortex dans la région temporale interne Bilan spécifique avec des coupes d épaisseur très fines Parallèles et perpendiculaires au plan des hippocampes. Séquences variables : 3D T1, T2, FLAIR 58
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