Prise en charge de l hypertension artérielle du sujet âgé
|
|
- Rodolphe Bordeleau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Prise en charge de l hypertension artérielle du sujet âgé 1. PROMOTEURS : UFCV ET SFC 2. SOURCES Safar H, Chahwakilian A, Boudali Y, Debray-Meignan S, Safar M, Blacher J.: Arterial stiffness, isolated systolic hypertension, and cardiovascular risk in the elderly. Am J Geriatr Cardiol. 2006;15: Référentiel mesure ambulatoire de la pression artérielle : UFCV Référentiel HTA sévère ou à haut risque cardiovasculaire : UFCV Rosholm JU, Andersen Ranberg K, Himmelstrup B,: La Revue de Gériatrie. 2004; 29 : European Society of Cardiology guidelines for the management of arterial hypertension. European Society of Hypertension. Guidelines Committee : Journal of Hypertension. 2003; 21: British Hypertension Society guidelines for hypertension management 2004 (BHS-IV): summary Bryan Williams, Neil R Poulter, Morris J Brown, Mark Davis, Gordon T McInnes, John F Potter, Peter S Sever, Simon McG Thom; the BHS guidelines working party, for thebritish Hypertension Society BMJ. 2004, 328 Prise en charge des patients adultes atteints d hypertension artérielle essentielle : Actualisation Service des recommandations professionnelles de la HAS juillet Brindel P, Hanon O et all. for the 3C Study Investigators. Prevalence, awareness, treatment, and control of hypertension in the elderly: the Three City study. J Hypertens ; 24:51-8. Franklin SS. Hypertension in older people: part 1. J Clin Hypertens (Greenwich). 2006;8 : o Hypertension in older people: part 2. J Clin Hypertens (Greenwich) ; 8 : PATIENTS CONCERNES Tous les patients vus pour l exploration de la pathologie concernée 4. SELECTION DES DOSSIERS L AUTO-EVALUATION porte sur 20 patients. LA METHODE PROSPECTIVE semble la plus adaptée à la pratique du cardiologue libéral et le type de référentiel considéré tant pour l évaluation individuelle que collective. Evaluation individuelle Méthode rétrospective : prendre vingt dossiers dans le fichier : les vingt derniers patients rencontrés. Méthode prospective : sélectionner vingt dossiers de patients au fur et à mesure qu ils se présentent. Evaluation collective Méthode rétrospective : prendre vingt dossiers dans le fichier : soit les vingt derniers patients rencontrés. Méthode prospective : sélectionner vingt dossiers de patients au fur et à mesure qu ils se présentent. *UFCV : Union de Formation et d évaluation en médecine CardioVasculaire Groupe de travail UFCV sur «Prise en charge de l hypertension artérielle du sujet âgé» Experts : Pr Jacques BLACHER, Pr Olivier HANON et Pr Daniel HERPIN Chargé de projet : Dr Christian ZICCARELLI - UFCV - Responsable méthodologie : Dr Jean-François THEBAUT - UFCV - Président : Dr Elisabeth POUCHELON - UFCV - Membres du groupe : Dr Thierry DENOLLE, Dr Joël O HAYON, Dr Guy Renault-Lamaze.
2 4. OBJECTIFS DE BONNE PRATIQUE EVALUES 1. Connaître les spécificités propres de l HTA du sujet âgé. 2. Réaliser un bilan para clinique initial, reconnaître une éventuelle atteinte des organes cibles notamment un déclin cognitif. 3. Définir un objectif thérapeutique, proposer ou adapter un traitement médicamenteux en fonction des recommandations. Toujours tenir compte de l état physiologique et de l espérance de vie 1. Les facteurs de risque personnels sont facilement retrouvés (note 1) 2. Les résultats de la mesure de la pression artérielle sont notés (note 2) 3. La recherche d une hypotension orthostatique a été effectuée (note 3) 4. Une automesure de la PA ou une mesure ambulatoire (MAPA) a été réalisée (note 4) 5. Les éléments cliniques d un retentissement viscéral, notamment cognitif, éventuel sont explicités (note 5) 6. Un compte rendu détaillé de l ECG, et notamment la présence ou non d une HVG, est facilement retrouvé dans le dossier (note 6) 7. Les résultats du bilan biologique minimal sont disponibles ou en leur absence ils sont demandés ou la prescription est recommandée dans la lettre au médecin correspondant (note 7). 8. Les recommandations hygiéno-diététiques, la thérapeutique proposée ou adaptée selon le protocole préconisé sont explicitées dans la lettre du cardiologue à son correspondant 9. Les objectifs thérapeutiques sont retrouvés dans la conclusion (note 9) 10. Les recommandations du suivi clinique, biologique et cardiologique sont facilement retrouvées (note 10). Note 1 : Facteurs de risque utilisés pour estimer le risque cardiovasculaire global Âge (> 50 ans chez l homme et > 60 ans chez la femme) Tabagisme (tabagisme actuel ou arrêté depuis moins de 3 ans) Antécédents familiaux d accident cardiovasculaire précoce infarctus du myocarde ou mort subite avant l âge de 55 ans chez le père ou chez un parent du premier degré de sexe masculin infarctus du myocarde ou mort subite avant l âge de 65 ans chez la mère ou chez un parent du premier degré de sexe féminin AVC précoce (< 45 ans) Diabète (diabète traité ou non traité) Dyslipidémie : LDL-cholestérol 1,60 g/l (4,1 mmol/l) HDL-cholestérol 0,40 g/l (1 mmol/l) quel que soit le sexe Une personne âgée non hypertendue présente un risque de 90 % de développer une HTA durant le reste de son existence.
3 La discussion du groupe a porté sur la notion de sujet âgé : au-delà de 65 ans (?), 70 ans (?), 75 ans (?) Note 2 L HTA est définie de façon consensuelle par une PAS>= 140 mmhg et/ou une PAD>=90 mmhg, mesurées au cabinet médical et confirmées au minimum par 2 mesures par consultation, au cours de 3 consultations successives, sur une période de 3 à 6 mois. En cas de PA>= 180/110, il est recommandé de confirmer l HTA par 2 mesures par consultation, au cours de 2 consultations rapprochées. Il est recommandé d effectuer une mesure à chaque bras lors de la première consultation. Si une asymétrie tensionnelle (différence de plus de 20 mmhg pour la PAS) est constatée, les mesures de PA ultérieures seront effectuées sur le bras où la valeur tensionnelle la plus élevée a été observée. En sachant que la forme le plus souvent trouvée chez le sujet âgé est l HTA systolique isolée (PAS>=140 mmhg) alors que la PAD reste normale (PAD<90 mmhg). Note 3 La recherche d une hypotension orthostatique (chute de la PAS de plus 20 mmhg et/ou de la PAD de plus de 10 mmhg, lors du passage en position debout) est fondamentale chez le sujet de plus de 65 ans après 1 et 3 minutes d orthostatisme. Le groupe juge cette recherche fondamentale chez le sujet âge du fait de sa grande fréquence (de l ordre de 15 à 30 % au-delà de 75 ans) et de ses conséquences éventuelles. Note 4 Chez le sujet âgé dont la variabilité tensionnelle est augmentée, il est recommandé de mesurer la pression artérielle en dehors du cabinet médical (automesure tensionnelle ou MAPA), afin de s assurer de la permanence de l HTA, permettant de corriger les erreurs par excès (HTA blouse blanche) ou par défaut, plus rares (HTA masquée ou ambulatoire isolée). A titre diagnostique La MAPA est plus particulièrement indiquée pour évaluer le mode de variation de la PA nocturne, pour rechercher une variabilité inhabituelle, par exemple au cours d une dysautonomie diabétique ou primitive, chez les patients atteints d un SAS ou insuffisants rénaux chroniques et dans les cas où l automesure n est pas réalisable. 135/85 est la limite supérieure de la normalité pour l'automesure. 130/80, 135/85, 120/70 sont les limites supérieures de normalité pour la moyenne des PAS/PAD sur 24 h, en période diurne, en période nocturne. La fréquence de l effet blouse blanche peut atteindre 40 % dans les populations au-delà de 75 ans. La discussion du groupe de travail a porté sur le dépistage des HTA masquées sans apporter de réponse précise. L importance d une automesure doit être pratiquement systématique en réservant la MAPA aux indications des recommandations. Note 5 : Présence éventuelle d une dyspnée d effort ou de décubitus, de douleurs précordiales évocatrices d un angor, d un souffle artériel périphérique ou abolition d un pouls périphérique. Une évaluation de la fonction cognitive est recommandée chez l hypertendu au-delà de 75 ans (échelle MMSE annexe 1 : si score <24 adresser le patient à un spécialiste) en raison du risque de survenue d une démence et afin d évaluer le risque de mauvaise observance au traitement. Si la recherche d un déclin cognitif est admise par l ensemble du groupe de travail? la discussion a surtout porté sur celui qui doit la rechercher : le cardiologue a priori non pour la majorité, le MG a priori oui pour la majorité, par contre en cas de doute tout le monde est d avis de l adresser à un spécialiste. Il a été décidé de mettre en annexe le MMSE et de bien nous sensibiliser à l importance de ce test.
4 Note 6 Hypertrophie ventriculaire gauche :Indice de Sokolow-Lyon > 35 mm ; indice de Lewis (RD1+SD3)- (SD1+RD3) > 17 mm ; indice de Cornell >2440 mm*ms La discussion a porté sur l indice à utiliser, le Sokolow n est certes guère sensible mais le plus facile à utiliser, l indice de Lewis le plus sensible pour certains mais peu utilisé, l indice de Cornell recommandé par la ESC n est guère utilisable en pratique. Pour l ESC on parle d HVG si l indice de SL>38 mm. Note 7 Les examens complémentaires recommandés dans le cadre du bilan initial sont : créatininémie et estimation du débit de filtration glomérulaire (DFG : formule de Cockcroft et Gault) ; bandelette réactive urinaire (protéinurie, hématurie) et dosage pondéral si positivité. La recherche d une micro-albuminurie (à 2 reprises) sera effectuée uniquement chez les diabétiques de type 2. kaliémie (sans garrot) ; prélèvements à jeun : glycémie, cholestérol total et HDL-cholestérol, triglycérides, calcul du LDLcholestérol (formule de Friedewald). Sur le bilan biologique à demander le groupe de travail est unanime sur le fait qu il faut tenir compte de l âge physiologique et de l espérance de vie, Par contre quel est l intérêt de doser le LDL-CT au-delà de 80 ans (aucune étude n a démontré l intérêt d initier un traitement hypolipémiant, par contre s il est initié il est sans doute souhaitable de le poursuivre)? Reste aussi à définir l âge à partir duquel on est âgé! Quel est l intérêt d une mesure du DFG par la formule de Cockcroft chez le sujet âgé alors qu il est en général à cet âge <60 ml/min d autant plus chez le sujet au-delà de 80 ans? Note 8 La baisse de la pression artérielle chez le patient âgé hypertendu de plus de 65 ans sera progressive. Le traitement non médicamenteux a fait preuve de son efficacité et portera essentiellement sur la perte de poids en cas de surcharge pondérale, la pratique d une activité physique régulière, la limitation de la consommation d alcool et l arrêt du tabagisme. Il est recommandé de ne pas proposer de restriction sodée. Il est recommandé de débuter le traitement dans un premier temps par une monothérapie à faibles doses, en particulier chez le sujet au-delà de 80 ans. En dehors des cas particuliers, les thérapeutiques recommandées en première intention sont les diurétiques thiazidiques ou les inhibiteurs calciques type dihydropyridine de longue durée d action. Ne sont pas recommandés les diurétiques de l anse sauf si insuffisance cardiaque ou rénale. Au-delà de 80 ans il est recommandé de ne pas dépasser la prescription de plus de 3 antihypertenseurs et de se contenter de la baisse tensionnelle obtenue avec ces thérapeutiques. La discussion a porté essentiellement sur la diététique avec un avis divergent des experts, tout en sachant que là encore il faut tenir compte de l âge physiologique et de l espérance de vie, il faut certainement être beaucoup plus tolérant sur le régime alimentaire, raison pour laquelle il a été supprimée dans la note 8.
5 Note 9 Si les objectifs sont peu différents par rapport aux sujets de moins de 65 ans, il faudra, chez les sujets de plus de 80 ans, être moins exigeant en raison des risques d effets secondaires au-delà de 3 antihypertenseurs. Volontairement il n a pas été défini d objectifs chiffrés comme dans les recommandations (sujet <80ans => <140/90, sujet >80ans => <150 en l absence d hypotension orthostatique, insuffisance rénale ou diabète <130/80, si protéinurie >500 mg/24 h => protéinurie <0,50 g/24 h) car l essentiel est de faire baisser les chiffres de PA mais certainement pas de faire de l acharnement thérapeutique. Note 10 : Le suivi est adapté au profil du patient : La tolérance clinique (en particulier la recherche d une hypotension orthostatique) et la tolérance biologique (créatinine, kaliémie, natrémie notamment) seront régulièrement vérifiées (lors de l initiation du traitement puis au minimum 2 fois par an à l occasion de pathologies intercurrentes). Chez les patients âgés le maniement de certaines classes thérapeutiques dont les diurétiques, les IEC et les ARAII justifie une surveillance régulière de la fonction rénale (créatinine sérique et DFG : notamment en cas de prescription conjointe de médicaments à potentiels néphrotoxiques (ex : AINS de courte durée). Là encore le groupe a volontairement décidé de ne pas définir de règles strictes (notamment les recommandations), mais il est essentiel d adapter le suivi selon le profil du patient, son espérance de vie, son âge physiologique. Toute reproduction, totale ou partielle, et toute représentation du contenu substantiel de ce document, d'un ou de plusieurs de ses composants, par quelque procédé que ce soit, sans autorisation expresse de l UFCV, est interdite, et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L et suivants du Code de la propriété intellectuelle. Les informations, photographies, images, textes, et autres documents sont protégés par des droits de propriété industrielle et/ou intellectuelle, soit que l UFCV en soit le titulaire, soit qu elle soit autorisée à les reproduire et les représenter. A ce titre, toute reproduction, représentation, adaptation, traduction et/ou modification, partielle ou intégrale ou transfert sur tout autre support sont interdits. La copie sur support papier à usage privé de ces différents objets de droits est autorisée conformément à l article L122-5 du Code de la Propriété Intellectuelle. Leur reproduction partielle ou intégrale, sans l'accord préalable et écrit de l UFCV, est strictement interdite.
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailEvaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI
Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailConsidérée à tort comme un acte
Bien mesurer la pression artérielle Recommandations pour la pratique Nicolas POSTEL-VINAY Guillaume BOBRIE Unité d hypertension artérielle Hôpital européen Georges-Pompidou 20, rue Leblanc 75908 Paris
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailRecommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue
RECOMMANDATIONS SFC/ALFEDIAM Recommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue Recommandations, argumentaire, références B. Charbonnel, B. Bouhanick, C. Le
Plus en détailAutomesure de la tension artérielle
Automesure de la tension artérielle Pour mieux surveiller votre santé Illustration Imothep M.-S. Être bien informé, mieux se prendre en charge Souhaitez-vous mesurer vous-même votre tension? Comprendre
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 7 janvier 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 7 janvier 2009 ZANEXTRA 20 mg/10 mg, comprimés pelliculés B/30, code CIP : 385 967.4 B/90, code CIP : 387 392.9 Laboratoires BOUCHARA RECORDATI Enalapril/Lercanidipine
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailPour la prévention des maladies cardiovasculaires dans le diabète, le taux d'hba1c cible recommandé est <7,0% (<53 mmol / mol).
Discussion par le Dr Boustani : les nouvelles recommandations européennes sur la prévention nous invitent à une révolution intellectuelle dans l identification des patients à risques. La majorité des cardiologues,
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailEvaluation des médicaments antihypertenseurs et place dans la stratégie thérapeutique
NOTE DE CADRAGE Evaluation des médicaments antihypertenseurs et place dans la stratégie thérapeutique Direction de l Evaluation Médicale economique et de santé Publique Service Evaluation du Médicament
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PATIENTS ADULTES ATTEINTS
PRISE EN CHARGE DES PATIENTS ADULTES ATTEINTS D HYPERTENSION ARTERIELLE ESSENTIELLE RECOMMANDATIONS CLINIQUES ET DONNEES ECONOMIQUES AVRIL 2000 Service des Recommandations et Références Professionnelles
Plus en détailTélésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel
Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel Colloque Tic Santé,11 février 2010 Dr France Laffisse, Orange Healthcare Plan Télésurveillance
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Guide du parcours de soins Titre cardiopa GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Insuffisance cardiaque Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France - F 93218 Saint-Denis
Plus en détailSachez mesurer vous-même votre tension
Fiche rédigée, en octobre 2000, par le service d hypertension artérielle de l hôpital européen Georges Pompidou (Paris), et le service de santé publique de la faculté Broussais Hôtel-Dieu (Paris). Ce texte
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailPRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES. collectives D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES collectives D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION
Plus en détailTreatment of hypertension : present and perspectives Key-words (Index medicus): Antihypertensive agents. Hypertension. Préventive medecine.
INFORMATION Au nom de la Commission IV (Maladies cardiovasculaires) Traitement de l hypertension artérielle : présent et perspectives Mots-clés : Hypertension artérielle, Anti-hypertenseurs. Médecine préventive.
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailCaisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente
Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailHypertension artérielle. Des chiffres qui comptent
Hypertension artérielle Des chiffres qui comptent REPÈRES 7 500 000 d hypertendus (15 à 20 % des adultes en 1990). La fréquence de l hypertension artérielle (HTA) augmente avec l âge. Mais sur 8 personnes
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées
RAPPORT D ORIENTATION Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées Avril 2011 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLe traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien
Folia veterinaria Le traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien Les principaux traitements à instaurer chez le chien insuffisant cardiaque sont passés en revue en insistant sur les critères de
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailRecommandations pour le diagnostic et la prise en charge de l insuffisance cardiaque du sujet âgé
RECOMMANDATIONS Recommandations pour le diagnostic et la prise en charge de l insuffisance cardiaque du sujet âgé Société française de cardiologie Société française de gériatrie et de gérontologie Comité
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailTests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE
Chapitre 5 UE4 : Biostatistiques Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailEVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE
EVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE L INR CHEZ LES PATIENTS ADULTES TRAITES PAR ANTIVITAMINES K EN VUE DE LA PRISE EN CHARGE PAR L ASSURANCE MALADIE DES DISPOSITIFS D AUTOMESURE DE L INR OCTOBRE 2008 Service
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailAPRÈS L'ACCIDENT CORONAIRE
APRÈS L'ACCIDENT CORONAIRE CE QUE JE DOIS FAIRE POUR PRÉVENIR LA RÉCIDIVE! Informations et conseils pour une bonne réadaptation La fédération française de cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation
Plus en détailLes modalités cliniques de la mesure de la pression. Quels tensiomètres choisir? DÉCIDER
Quels tensiomètres choisir? DÉCIDER Objectif : Choisir un appareil fiable pour mesurer la pression artérielle au cabinet médical ou à domicile. Avec la pratique de l automesure, l utilisation des manomètres
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailALD 8 DIABÈTE DE TYPE 2
ALD 8 DIABÈTE DE TYPE 2 GUIDE MÉDECIN -1- SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 GUIDE MEDECIN ALD 8 - DIABETE DE TYPE 2... 4 I. BILAN INITIAL... 4 I.1. Objectifs...4 I.2. Professionnels impliqués...4 I.3. Rappel
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détailAvis 20 novembre 2013
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 20 novembre 2013 COVERSYL 2,5 mg, comprimé pelliculé B/30 (CIP : 34009 366 587 5 2) B/90 (CIP : 34009 366 590 6 3) COVERSYL 5 mg, comprimé pelliculé sécable B/30 (CIP
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailCATALOGUE ÉLECTRONIQUE D INDICATEURS DE QUALITÉ DE LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DE CARDIOLOGIE INDICATEURS DE QUALITÉ POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE
CATALOGUE ÉLECTRONIQUE D INDICATEURS DE QUALITÉ DE LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DE CARDIOLOGIE INDICATEURS DE QUALITÉ POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE UN DOCUMENT DE CONSENSUS DE LA SCC Historique des versions :
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailmaladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs
maladies des artères Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères : comment, pourquoi? La principale maladie de nos artères, appelée athérosclérose,
Plus en détailsoins va changer et quelle est la place des TIC?
Pourquoi l organisation des soins va changer et quelle est la place des TIC? Docteur Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Luxembourg 15 avril 2010 UN RAPPORT «La place
Plus en détail