LES MÉTIERS DE L AGROALIMENTAIRE
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- Sylvaine Blanchette
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1 Les Référentiels des métiers cadres / Les métiers de l agroalimentaire Des métiers en développement Un domaine à découvrir LES MÉTIERS DE L AGROALIMENTAIRE Les Référentiels des métiers cadres
2 Les Référentiels des métiers cadres sont une publication de l Apec. Les Référentiels des métiers cadres sont des outils destinés aux étudiants, aux cadres et aux acteurs des ressources humaines. Ils permettent de mieux connaître et faire connaître les métiers cadres d une fonction, d un secteur ou d un domaine en évolution au moyen de fiches-métiers, d identifier les entreprises où s exercent ces métiers, de fournir des informations pratiques permettant au lecteur d aller plus loin dans la recherche d un emploi ou pour pourvoir un poste. Ils sont réalisés à partir de l analyse des offres d emplois confiées à l Apec et parues dans la presse, d interviews de recruteurs, de DRH, de responsables opérationnels et de cadres, de rencontres entre professionnels. Dans la même collection: Les métiers de l immobilier Les métiers de la logistique et du transport Les métiers du multimédia Les métiers de l environnement Les métiers des fonctions commerciale et marketing Les métiers de la finance et de la comptabilité Les métiers de l agroalimentaire Cet ouvrage est créé sur l'initiative de l'apec, Association Pour l'emploi des Cadres, régie par la loi du 1 er juillet 1901 et publié sous sa direction et en son nom. Il s'agit d'une œuvre collective, l'apec en a la qualité d'auteur. Ont participé à son élaboration Emmanuelle Papiernik, responsable d études de l unité Informations Métiers, département Études et Recherche de l Apec; Marie-Christine Meunier, manager du pôle Recherche et Développement, département Études et Recherche de l Apec; Blandine Denis, chargée d études, unité Informations Métiers, département Études et Recherche de l Apec; Didier Brou, assistant d études, unité Informations Métiers, département Études et Recherche de l Apec; BEA Éditions, société d édition et d études. Décembre 2003
3 LES MÉTIERS DE L AGROALIMENTAIRE Des métiers en développement Un domaine à découvrir Les Référentiels des métiers cadres
4 Sommaire INTRODUCTION ENTREPRISES ET CADRES DE L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE Les acteurs de l agroalimentaire p. 5 Les évolutions de l agroalimentaire et de ses métiers cadres p. 9 LES FICHES MÉTIERS Les cartographies Les familles p. 14 Les niveaux d expérience p. 15 Production et organisation N 1 Chef de projet industriel p. 19 N 2 Directeur d usine p. 23 N 3 Responsable de production p. 27 N 4 Responsable de l ordonnancement - lancement p. 31 N 5 Responsable de la supply chain p. 35 Recherche et Développement N 6 Ingénieur de recherche p. 41 N 7 Responsable recherche et développement p. 45 Qualité N 8 Ingénieur qualité p. 51 N 9 Directeur qualité p. 55 N 10 Responsable de laboratoire p. 59 Achats N 11 Acheteur p. 65 N 12 Directeur des achats p. 69 Marketing et commercial N 13 Animateur commercial p. 75 N 14 Chef de produit p. 79 N 15 Chef de secteur p. 83 N 16 Directeur commercial p. 87 N 17 Directeur marketing p. 91 N 18 Responsable comptes clés p. 95 POUR ALLER PLUS LOIN Associations et fédérations professionnelles p. 101 Établissements de formation p. 102 Publications p. 103 Sites Internet p. 104 ANNEXES Abréviations et sigles p. 107 Lexique p. 108
5 Introduction L industrie agroalimentaire est le premier secteur industriel français en terme de chiffre d affaires et au premier rang des secteurs exportateurs. Elle est constituée de quelques grands groupes et d une myriade de PME. Premier secteur industriel en terme d effectif salarié, elle est aussi le seul secteur industriel où l emploi salarié continue de progresser. Cette industrie a fortement évolué au cours des dix dernières années. Le cadre réglementaire et législatif est devenu de plus en plus complexe. Les lois sur la sécurité alimentaire et sur l environnement ont contraint les industriels à innover face à une demande sociétale de plus en plus importante. En amont, les liens avec le monde agricole sont orchestrés par la PAC (Politique agricole commune). Au niveau international, les relations commerciales régies par l OMC engendrent un nouveau contexte concurrentiel. Par ailleurs, le poids exercé par la grande distribution sur le marché des produits alimentaires a obligé les industries concernées à innover dans le domaine du marketing et à consacrer une part croissante de leurs investissements à la publicité, afin d imposer des marques fortes auprès de leurs clients. L ensemble de ces facteurs a entraîné de nouvelles relations commerciales et des transformations des modes de production. Tous les cadres ont dû acquérir de nouvelles manières de travailler et apprendre à respecter les nouvelles relations contractuelles de l entreprise. Dans le même temps, les métiers des cadres ont évolué vers une technicité accrue du fait de l évolution des systèmes de production qui répondent de plus en plus à des impératifs de gains de productivité dans un environnement extrêmement concurrentiel. Dans ce contexte, les besoins en cadres des entreprises de l industrie agroalimentaire ont fortement crû au cours des dix dernières années. Ce référentiel des métiers cadres de l agroalimentaire propose une série de 18 fiches métiers qui permettront aux jeunes diplômés, aux cadres et aux acteurs des ressources humaines de se repérer dans un secteur en mutation. 1
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7 ENTREPRISES ET CADRES DE L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE LES ACTEURS DE L AGROALIMENTAIRE LES ÉVOLUTIONS DE L AGROALIMENTAIRE ET DE SES MÉTIERS CADRES
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9 Les acteurs de l agroalimentaire L industrie alimentaire repose sur la nécessité de satisfaire deux besoins essentiels: la conservation des aliments et la conception de produits à la fois économiques, toujours disponibles, faciles à préparer et offrant toutes les garanties d hygiène et d innocuité pour le consommateur. Les entreprises sont spécialisées dans la fabrication, le conditionnement et la commercialisation d aliments ou de produits intermédiaires réalisés à partir de produits issus de l agriculture, de l élevage et de la pêche. Elles ont recours à des technologies spécifiques de transformation ou de conservation d une matière biologique, qui répondent au respect de normes sanitaires et permettent la mise en place de procédures de logistique et de transport très pointues. L industrie agroalimentaire recouvre une kyrielle d activités au poids inégal en termes d effectifs ou de chiffre d affaires. De la biscuiterie à l industrie laitière, en passant par l abattage de volailles ou la fabrication de conserves et de surgelés, elle fait appel, selon les cas, à une main-d œuvre plus ou moins importante et à des procédés de fabrication peu ou fortement automatisés. Cependant, en dépit de l hétérogénéité des activités concernées, l industrie agroalimentaire comporte un certain nombre de secteurs aux caractéristiques communes et spécifiques. LES PRODUITS: RÉPERTORIÉS EN HUIT FAMILLES Les entreprises composant le paysage de l industrie agroalimentaire se distinguent tout d abord par la nature des produits qu elles transforment et conditionnent. C est en effet la nature du produit qui détermine la mise en œuvre de moyens, de types d organisations et de technologies industrielles spécifiques, qui seront très différents, par exemple, dans le secteur de la viande ou dans celui des boissons. Huit familles de produits, correspondant à des familles d activités industrielles différentes sont ainsi distinguées par l Association nationale des industries alimentaires, qui regroupe l essentiel des fédérations et syndicats professionnels du secteur. 1. L industrie de la viande: l abattage du bétail et de la volaille, la charcuterie, les préparations à base de viande et la conserverie de viande. 2. L industrie laitière: la fabrication du lait, du beurre, des yaourts, des fromages, du lait en poudre et concentré, le «crackage» du lait pour l industrie alimentaire (caséine, lactose, protéines ultrafiltrées ), la fabrication des crèmes glacées et des glaces. 3. Le secteur des conserves et surgelés, de fruits, de légumes, de poissons, des plats cuisinés et des confitures. 4. Le secteur des produits à base de céréales: farines, pain et pâtisserie industriels, biscuits et biscottes, semoule et pâtes alimentaires, malt, amidon, fécules et produits dérivés, aliments pour animaux d élevage et domestiques. 5. Le secteur des huiles, corps gras et margarines. 6. Le secteur de l industrie sucrière. 7. Le secteur des produits alimentaires divers: chocolats, confiserie, cafés et thés conditionnés, épices, herbes aromatiques, condiments, vinaigres, sauces préparées, aliments diététiques, aliments pour bébés, produits de régime, petits déjeuners, entremets, desserts, bouillons, potages, levures, etc. 8. Le secteur des boissons et alcools: vins, distillation d alcool, eaux de vie, apéritifs, champagne, bière, cidre, jus de fruits et de légumes, autres boissons non alcoolisées, eaux minérales. 5
10 QUELQUES ACTEURS MAJEURS Raison sociale Effectif CA en M Activités principales Groupe Danone Produits laitiers frais, boissons, biscuits Altadis (Seita + Tabacalera) Tabacs Bongrain Fromages, produits laitiers Lactalis Lait et produits laitiers, viande, fruits Pernod-Ricard Vins et spiritueux Fromageries Bel Fromages Provimi Nutrition animale Sodiaal Coopérative agricole (lait) Bonduelle Transformation de légumes Céréol Transformation des graines oléagineuses Coopagri Bretagne Coopérative agricole Fleury Michon Charcuterie, plats cuisinés Source : Apec (d après données d entreprises 2002) LES ENTREPRISES Le marché agroalimentaire français comprend deux grands types d acteurs aux statuts différents: d une part, les sociétés de type commercial, d autre part, le secteur de la coopération agricole qui a son propre mode de fonctionnement. En dehors des spécificités juridiques qui les distinguent, les coopératives et les sociétés commerciales exercent leurs activités sur le même marché et ont des stratégies de développement souvent similaires. Une concentration géographique modérée Les entreprises agroalimentaires sont réparties sur l ensemble du territoire français, avec une concentration plus forte dans les régions les plus urbanisées: Île-de- France et Nord-Pas-de-Calais, autour des grandes villes (Marseille, Lyon ou Strasbourg) et à proximité des zones de production agricole et des ports. Directement liées à la production agricole, elles sont majoritairement présentes dans les zones de culture intensive (Île-de- France, Rhône-Alpes) mais également dans les régions traditionnellement vouées à l agriculture et au commerce, comme le Nord-Pas-de-Calais et la Picardie, la Bretagne et les Pays de la Loire. Une majorité de PMI Les coopératives agricoles Les PMI (moins de 250 salariés) restent largement majoritaires, malgré les nombreuses restructurations que continue de connaître le secteur. Ces PMI appartiennent majoritairement à des grands groupes, français ou étrangers. Dix de ces groupes contrôlent ainsi le cinquième des emplois et vingt groupes en contrôlent le tiers. L industrie laitière et les corps gras sont les plus concentrés. Dans la production laitière, huit grands groupes détiennent plus des trois quarts du marché. Cependant, des PME indépendantes, souvent d origine familiale, subsistent sur des créneaux très pointus (vins, produits de terroir ). Certaines d entre elles ont parfois donné naissance à de grandes entreprises (Bonduelle ou Lactalis, par exemple). Autre spécificité: l importance toujours prégnante des coopératives, surtout en Bretagne, Pays de la Loire, Poitou-Charentes, Midi- Pyrénées et Rhône-Alpes. Ce statut ne signifie cependant pas qu il s agit de petites entreprises. Puissantes dans le secteur laitier (Sodiaal) et des viandes (Socopa) notamment, les coopératives ont, pour certaines, tendance à se regrouper, ce qui leur permet d intégrer à la fois l amont et l aval d une filière (industries de première et deuxième transformations). Les coopératives agricoles, créées par des agriculteurs et basées dès le XVII e siècle sur le principe de la solidarité paysanne, interviennent sur le marché, à la fois en tant que fournisseurs de produits agricoles et comme industriels, essentiellement avec des entreprises de première transformation (vins, lait, sucre, abattage ). Leur spécificité est d abord juridique: le statut des coopératives agricoles est autonome, ni civil ni commercial. Leurs membres sont à la fois des associés, des clients ou des fournisseurs. Elles sont administrées par des agriculteurs élus. En terme d activités, deux catégories de coopératives cohabitent : les polyvalentes, présentes sur plusieurs filières et rayonnant sur plusieurs départements, et les spécialisées, qui se concentrent sur un produit ou une famille de produits. 6
11 DES LABORATOIRES À LA DISTRIBUTION: LE PARCOURS D UN PRODUIT AGROALIMENTAIRE Différents modes de production et de commercialisation sont utilisés par les industries agroalimentaires, en fonction des secteurs et des entreprises ainsi que des spécificités des produits. Une tendance forte, consécutive à l automatisation de la production, se dégage pour toutes les entreprises du secteur; la volonté de gagner du temps et de l argent en rationalisant chaque étape de la «vie» d un produit, de la recherche sur sa composition à sa commercialisation. La création ou l adaptation Les entreprises agroalimentaires, hormis les groupes de dimension internationale disposant de centres spécifiques, consacrent très peu d investissements à la recherche. Moins d une entreprise sur dix investit actuellement dans ce domaine. Un nouvel ingrédient ou un produit totalement nouveau provient en général des centres de recherche de grandes entreprises (comme Sodiaal ou Danone) ou des centres de recherche publics ou semi-publics comme les centres techniques industriels. Le fait qu un faible nombre d entreprises budgètent la recherche ne signifie pas une absence d innovation. La plupart des industries agroalimentaires ont en effet innové en produits ou en process entre 1998 et Mais la notion d innovation dans le domaine agroalimentaire ne s applique pas seulement à la composition du produit lui-même; dans certains secteurs, comme celui des eaux, elle concerne aussi le packaging. La recherche se traduit donc par différents choix: la composition du produit lui-même (modification de recette, amélioration de la qualité), la présentation du produit (nouveau packaging) et, pouvant en découler, la création d un nouveau process. Ainsi, la moitié des entreprises de charcuterie et plats préparés innovantes ont «seulement» modifié une recette, conçu un système plus pratique d ouverture ou changé la présentation du produit. Dans certains secteurs, l innovation n est pas un choix, mais une nécessité vitale, pour répondre aux attentes des consommateurs. Le succès des plats cuisinés, par exemple, contraint l industrie des fruits et légumes à aller toujours plus loin dans la recherche sur la transformation des légumes en plats cuisinés, salades composées et en composition de sauces. Ainsi, par exemple, la sauce tomate «simple» a perdu des parts de marché au profit de sauces plus élaborées. Les matières premières Les industries agroalimentaires doivent s approvisionner en matières premières, en France et à l étranger. Il s agit essentiellement de produits agricoles et de produits d élevage (fruits et légumes, vin, viandes, volailles et poissons ). Certaines entreprises intègrent de plus en plus l amont et l aval de la production. C est le cas du secteur de la viande, dans lequel les lieux d élevage et les abattoirs jouxtent les usines ou s en rapprochent de plus en plus. La matière première peut avoir été l objet d une première transformation avant son utilisation. C est le cas par exemple des arômes, colorants, levures, concentrés de fruits et légumes, préparations de fruits pour yaourts Fonctionnant parfois en tant que sous-traitantes d autres entreprises agroalimentaires, mais pouvant également développer leurs propres gammes, ces industries font partie intégrante du secteur de l agroalimentaire. Des centres techniques pour l aide aux PME, l innovation et la recherche Les industries agroalimentaires se sont dotées de centres techniques industriels, fonctionnant en partie grâce à des fonds des ministères de l Agriculture, du Budget, de la Recherche et de la Technologie, et à travers des prestations de services. La plupart de ces centres sont regroupés au sein de l Association de coordination technique pour l agroalimentaire (Actia). Leur rôle est de soutenir les entreprises (en particulier les PME) dans leurs travaux concernant la sécurité des aliments, la microbiologie, l évaluation sensorielle, la traçabilité, la nutrition, la protection de l environnement, les emballages Ils mettent également à leur disposition des informations et une documentation sur les aspects réglementaires, techniques et économiques de leur activité. 7
12 En première ligne quant aux problèmes de qualité et de sécurité alimentaires, ces sous-traitants sont régulièrement l objet d audits portant sur la qualité des produits et le respect des cahiers des charges. Ces audits sont commandités par les clients des fournisseurs de matières premières, ainsi que par les distributeurs des produits «finaux». Ainsi, les ingrédients qui entrent dans la composition des produits biologiques, distribués par certaines enseignes sous leur marque propre, font l objet de contrôles de la part des distributeurs. La transformation des produits Les industries agroalimentaires ont pour spécificité de devoir transformer une matière souvent fragile et périssable, en outre très réglementée sur le plan de l hygiène et de la sécurité. Mélanges, cuissons, congélation, «crackage», fermentation les procédés de transformation sont variés. Les contraintes de production peuvent ainsi être extrêmement différentes d un type de produit à l autre, y compris au sein d une même entreprise. Tandis que certaines industries (dans le secteur de la brasserie, par exemple) nécessitent des investissements technologiques très importants basés sur l automatisation des process, d autres restent avant tout des industries de main-d œuvre. Ainsi, la transformation de la viande bovine exige un salariat nombreux et qualifié. La tendance générale est cependant la poursuite de l automatisation pour réduire le temps unitaire de fabrication d un produit, depuis l approvisionnement en matières premières jusqu à son apparition dans les linéaires. Certaines phases, comme le conditionnement, peuvent être externalisées, surtout quand elles nécessitent une intervention humaine. La commercialisation et le marketing Le produit fini a trois destinations possibles: une autre entreprise d agroalimentaire, pour les produits de première transformation (arômes, additifs, ingrédients divers ); les clients de la restauration hors foyer (RHF, cantines, collectivités ) ; enfin les distributeurs, essentiellement les grandes et moyennes surfaces (GMS). Pour les deux premiers types de clientèle, le produit devra d abord répondre à des critères très précis de quantité, de qualité, d adaptation aux exigences des chefs de cantines ou, pour le secteur de la meunerie par exemple, aux artisans boulangers. Pour convenir aux critères de la grande distribution, le produit devra réunir d autres spécificités qui font l objet de contrats commerciaux extrêmement (et de plus en plus) précis. Devant faire la preuve de son pouvoir attractif sur les consommateurs, il aura aussi à convaincre de son assise sur le marché ou de sa capacité à le développer. «Le distributeur n attend pas seulement d un nouveau produit qu il se vende, mais aussi qu il crée un nouveau besoin», explique un spécialiste du marketing. Ainsi, paradoxalement, le fabricant doit aussi «vendre» au distributeur la certitude que son produit va créer un besoin, et donc engendrer sa propre concurrence. Autre destination possible, et autre type de contrat signé entre le fabricant et le distributeur: celui des produits commercialisés sous la marque distributeur. 8
13 Les évolutions de l agroalimentaire et de ses métiers cadres Les modifications de l outil et de la chaîne de production, la mondialisation, le changement des relations avec les clients, les exigences liées à la qualité et à la sécurité sont les moteurs actuels des changements dans les industries agroalimentaires. Ces évolutions, qui se sont beaucoup accélérées au cours des dix dernières années, se traduisent notamment par un renforcement de l encadrement. LA PRODUCTION SE RÉORGANISE ET L AUTOMATISATION SE POURSUIT Les bouleversements en production L industrie alimentaire est le premier client des secteurs du transport, de l emballage, de l eau et de l agriculture. De ce fait, elle doit se préoccuper des exigences environnementales et se soumettre aux évolutions de la demande. En effet, d une part, les réglementations actuelles françaises et européennes se durcissent. D autre part, sous l impulsion des distributeurs, l accent est déjà mis sur la prévention du risque le plus en amont possible, puisqu un grand nombre d entreprises sont certifiées (ISO et en majeure partie), entraînant dans leur sillage la certification de leurs fournisseurs. Les crises sanitaires successives, l ESB puis l épizootie de fièvre aphteuse, ont amené les consommateurs à acheter des produits de meilleure qualité et à s orienter vers des circuits de distribution plus coûteux. Ce constat se vérifie plus particulièrement pour la consommation de viande de bœuf, dont les prix ont fortement augmenté. Plus de la moitié des effectifs salariés de l industrie agroalimentaire se trouvent en production. Or la production est la fonction qui a connu et entraîné le plus de bouleversements et d adaptations au cours de ces dernières années, principalement en raison du développement de l automatisation, de la diversification des produits fabriqués mais aussi de l intégration de nouveaux outils de gestion en ordonnancement, maintenance, qualité et sécurité. Cependant, la politique et les degrés d automatisation diffèrent sensiblement d une branche à l autre. Le critère de la taille est bien entendu déterminant, les structures les plus petites restant souvent sur des modes de production plus traditionnels. Des secteurs comme celui de la transformation des fruits ou de viande, par exemple, continuent à nécessiter la présence d une main-d œuvre importante. Conséquence sur les emplois cadres de la production Les évolutions de la fonction production dans les entreprises agroalimentaires n ont pas d incidence directe sur les profils recherchés par les entreprises. Les ingénieurs agroalimentaires ou généralistes ayant une expérience en agroalimentaire sont toujours privilégiés. En revanche, le contenu des postes a évolué. L Association des chimistes, ingénieurs et cadres des industries agricoles et alimentaires (Acia) résume ainsi cette évolution: «La fonction de directeur de production a tendance à être remplacée, dans les groupes, par une direction industrielle multisite et, sur chaque site, par une fonction de chef d équipe intégrant des dimensions managériales.» La carrière des ingénieurs de production évolue de plus en plus vers des postes de direction technique ou de directeur industriel, ce qui permet d aborder la production de manière plus globale. Consulter les fiches N 1 Chef de projet industriel N 2 Directeur d usine N 3 Responsable de production 9
14 UNE PART À L EXPORT ET UNE PRÉSENCE À L ÉTRANGER TOUJOURS CROISSANTES Exploration et exploitation permanente de nouveaux marchés Les plus grands groupes français sont de taille modeste, comparés aux leaders mondiaux: Danone, n 1 français, se situe dans les dix premiers groupes mondiaux en terme de chiffre d affaires. Leur stratégie de développement repose sur une croissance externe, sur la constitution de réseaux de distribution et sur l implantation d unités industrielles à l étranger (Lactalis, Pernod- Ricard, Fromagerie Bel, Bongrain, etc.). Le capital de ces groupes français est encore souvent familial. Les grandes entreprises se trouvent surtout dans l industrie des boissons et l industrie laitière, à l instar de Danone, ainsi que dans celles des corps gras. L industrie de la viande (sauf les volailles) et celle du poisson demeurent entre les mains d un nombre très important de PME. Pour acquérir une taille suffisante, les entreprises se recentrent sur leurs principales activités: ainsi Danone sur les produits laitiers, les eaux minérales et les biscuits, ou Pernod-Ricard sur les alcools et les spiritueux après la cession d Orangina-Pampryl. D un autre côté, la plupart des leaders internationaux sont implantés en France: Kraft Jacob Suchard, Coca- Cola, Mac Cain, etc. Ils possèdent des unités de production et des sociétés de gestion. Ces implantations répondent à une double logique: approvisionnement en amont et recherche de débouchés nationaux. C est aussi au niveau mondial que les acteurs concernés doivent se battre. En effet, de nombreux débats sont nés dans les années 1990, que ce soit au niveau des échanges commerciaux (les accords de l OMC) ou de la construction du codex alimentarius (définition des produits alimentaires). Les experts français continuent à défendre leurs produits, leurs connaissances empiriques et scientifiques et, pour ce faire, se coordonnent et interviennent dans les instances internationales. Ces accords et ces définitions sont à la base du commerce international et de l exportation des productions françaises. La nouvelle organisation du marché au sein de l Union européenne et les perspectives de croissance des marchés dans le reste du monde font partie des facteurs qui influencent l industrie agroalimentaire française. Les nouveaux marchés devraient se développer principalement avec l Asie et l Amérique latine mais aussi avec les pays de l Est. L industrie agroalimentaire voit ses ventes progresser à l étranger, particulièrement en Europe centrale et orientale, en Afrique du Nord, au Proche et au Moyen-Orient, et dans les pays d Asie. Arrivent en tête les vins et champagnes, spiritueux, produits laitiers, viande fraîche, sucre et chocolaterie confiserie. Parallèlement, le secteur poursuit ses investissements à l étranger, en forte croissance depuis dix ans. Conséquences de l internationalisation sur les emplois cadres Cette progression a deux types de conséquences sur les emplois cadres du secteur. D une part, un impact «culturel» qui concerne un grand nombre de fonctions dans l entreprise: l approvisionnement et les achats (les fournisseurs de matières premières peuvent se situer à l étranger); la logistique (il faut connaître les contraintes et conditions de la chaîne logistique des autres pays et savoir travailler à l export); le marketing et le commercial (il est nécessaire d engager une réflexion sur des produits exportables dans tous les pays ou répondant spécifiquement à un marché). D autre part, des évolutions de carrière des cadres, surtout les seniors, peuvent s envisager et se réaliser à l étranger. Ainsi, des cadres de production et achats (industrialisation, achats industriels et/ou de services) sont sollicités, lors de missions ponctuelles ou de longue durée, pour assurer des transferts de technologie et/ou des installations de sites. De même, dans les grands groupes français, si un recrutement local peut être favorisé dans les autres pays, on confie souvent les postes de direction stratégique (marketing/vente notamment) à des cadres français, afin de leur permettre d évoluer. Consulter les fiches N 13 Animateur commercial N 14 Chef de produit N 15 Chef de secteur N 16 Directeur commercial N 17 Directeur marketing N 18 Responsable comptes clés 10
15 DES RELATIONS TENDUES AVEC LA GRANDE DISTRIBUTION Le grand enjeu vis-à-vis de la grande distribution Le grand enjeu des industries agroalimentaires aujourd hui est, certes, de satisfaire ses clients, mais surtout de pouvoir s imposer face à la grande distribution. Les relations avec elle sont stratégiques; elles déterminent l organisation des services marketing et commercial. Face à la politique offensive d achat de la grande distribution et à ses exigences en termes de délais, de qualité, de coûts, de diversification des produits, les entreprises agroalimentaires répondent en envisageant de plus en plus la relation commerciale comme une relation de services, englobant tous les aspects d un contrat. Le marché s oriente vers une diversification des marques et des gammes de produits, plus que sur de nouveaux produits en tant que tels. Les services recherche et développement travaillent donc de plus en plus étroitement avec le marketing. Conséquence : émergence de métiers à l intersection du marketing et du commercial La mise en place des services commerciaux et marketing fonctionne un peu comme un jeu de miroir entre les entreprises agroalimentaires et les enseignes: les premières se réorganisent en fonction des secondes. De nouvelles fonctions ou de nouvelles compétences intégrées à des fonctions existantes apparaissent: ainsi les category managers, placés en interface entre le commercial et le marketing, ou encore les directeurs d enseigne ou les responsables des comptes clés, amenés à gérer l intégralité des relations avec les clients. Consulter les fiches N 4 Responsable l ordonnancementlancement N 5 Responsable de la supply chain N 11 Acheteur N 12 Directeur des achats QUALITÉ ET SÉCURITÉ: DES EXIGENCES ACCRUES La sécurité alimentaire : la préoccupation principale Les crises successives ont fragilisé cette industrie, plus particulièrement la filière viande, et ont accéléré le mouvement de modernisation du secteur. La qualité et la sécurité alimentaires, sous l effet de la méfiance des consommateurs et des nouvelles réglementations, ont concerné tous les salariés et entreprises de ce secteur. Par ailleurs, des programmes de recherche (Aliment Qualité Sécurité) du ministère de l Agriculture ont été lancés dans ce domaine. Les exigences en matière de qualité et de sécurité ont des influences sur toute la chaîne de production et de distribution des produits. Les entreprises continuent d investir dans la certification de leurs installations: salles blanches, traitement des systèmes d aération, règles d hygiène et contrôles de plus en plus stricts sont au programme. La traçabilité par exemple est l une des contraintes qui influence les services achats, recherche et développement, et logistique. Ces exigences doivent être rendues compatibles avec celles d une productivité accrue. Les audits qualité auprès des fournisseurs des entreprises et auprès des industriels eux-mêmes se multiplient. Conséquence : la fonction qualité en quête de pouvoir Les ingénieurs qualité, placés en première ligne des préoccupations actuelles, sont de plus en plus amenés à avoir un contact direct avec la clientèle. Les cadres de la fonction qualité interviennent à tous les stades de la chaîne de production, la matière première, le choix et la conduite des procédés, les questions environnementales, jusqu à l utilisation par le consommateur. Les services achat ainsi que recherche et développement sont également concernés par ces contraintes, à travers les comptes précis qu ils doivent rendre sur le choix, la nature et la traçabilité des produits. Enfin, la logistique est partie prenante de ces dispositifs, tant en amont, pour fournir des denrées dans des conditions optimales, qu en aval, lors de l acheminement vers les points de distribution. Consulter les fiches N 8 Ingénieur qualité N 9 Directeur qualité N 10 Responsable de laboratoire 11
16 Traçabilité, labels, appellations d origine contrôlée Pour permettre au consommateur de connaître l origine des produits, et/ou lui offrir des garanties sur ses modes de production, de culture et d élevage, de nombreux labels et certifications d origine ont été créés. En voici les principaux Les labels (comme le label rouge) attestent de la qualité supérieure du produit, selon des normes réglementaires. Les appellations d origine contrôlée (AOC) font référence à un lieu géographique de production, reliant la qualité du produit à ce lieu. La certification NF, élaborée par l Association française de normalisation (Afnor), est appliquée comme un gage de sécurité et de qualité des aliments. Les appellations d origine protégée (AOP) et les indications géographiques de provenance (IGP) sont des protections réglementaires accordées par la Commission européenne après étude des dossiers, mais les contrôles restent effectués par les administrations nationales. 12
17 LES FICHES MÉTIERS LES CARTOGRAPHIES PRODUCTION ET ORGANISATION RECHERCHE ET DÉVELOPPEMENT QUALITÉ ACHATS MARKETING ET COMMERCIAL
18 Cartographie des métiers par famille Production et organisation N 1 Chef de projet industriel N 2 Directeur d usine N 3 Responsable de la production N 4 Responsable de l ordonnancement lancement N 5 Responsable de la supply chain Recherche et développement N 6 Ingénieur de recherche N 7 Responsable recherche et développement Qualité N 8 Ingénieur qualité N 9 Directeur qualité N 10 Responsable de laboratoire Achats N 11 Acheteur N 12 Directeur des achats Marketing et commercial N 13 Animateur commercial N 14 Chef de produit N 15 Chef de secteur N 16 Directeur commercial N 17 Directeur marketing N 18 Responsable comptes clés Source: Apec 14
19 Cartographie des métiers par niveau d expérience Ouvert aux jeunes Jeunes cadres Cadres confirmés diplômés 1 à 5 ans Plus de 5 ans Moins de 1 an d expérience d expérience d expérience N 8 Ingénieur qualité N 15 Chef de secteur N 3 Responsable de production N 1 Chef de projet industriel N 6 Ingénieur de recherche N 4 Responsable de l ordonnancement-lancement N 11 Acheteur N 14 Chef de produit N 7 Responsable recherche et développement N 9 Directeur qualité N 10 Responsable de laboratoire N 5 Responsable de la supply chain N 13 Animateur commercial N 18 Responsable comptes clés N 2 Directeur d usine N 12 Directeur des achats N 16 Directeur commercial N 17 Directeur marketing Source: Apec 15
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